Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Dieu le Père s'entretient avec ses enfants

PRÉFACE

L'Evêque et la Voyante ont voulu faire plaisir à notre communauté et à tous ceux qui, éparpillés dans le monde, aiment, vénèrent et invoquent la Mère de l'Eucharistie.

Après avoir obtenu la permission du Ciel, ils ont autorisé la publication des Lettres de Dieu et des entretiens qu'ils ont eus l'été dernier avec les Trois Personnes Divines, la Madone et quelques saints.

Nous nous trouvons devant un évènement unique et une décision importante. En effet, les messages surnaturels donnés au cours de l'année liturgique, en présence de la Communauté, ont toujours été intégralement et fidèlement publiés dans notre petit journal "Perles de la Mère de l'Eucharistie" et mis sur notre site internet www.madredelleucaristia.it, alors que ceux seulement donnés à l'Evêque et à la Voyante au cours des mois d'été des années passées, à quelques rares exceptions près, ont été tenus secrets. Les raisons de ce secret sont :

1) que ces messages sont strictement personnels,

2) qu'ils renferment des nouvelles, révélations et informations concernant l'Eglise et d'autres thèmes délicats et importants.

Comme l'été 2006 a été particulièrement difficile pour l'Evêque et la Voyante, plein de problèmes et riche en souffrances, Dieu s'est manifesté avec une fréquence sans égale dans toute l'Histoire de l'Eglise, ainsi que l'a affirmé la Madone.

Le Père Céleste a permis à l'Evêque et à la Voyante de l'appeler "Papa" et s'est penché avec une douceur inimaginable sur la souffrance de ses deux enfants.

Des larmes d'émotion sont venues aux yeux de ceux qui ont eu le privilège de se charger de la publication de ces lettres de Dieu, qui canalisent l'amour infini du Dieu-Papa envers les deux enfants qu'Il a appelés pour assumer la double mission de:

1) faire triompher l'Eucharistie dans le monde entier,

2) faire renaître l'Eglise.

Nous sommes certains que le contenu de ces lettres de Dieu non seulement émouvra et touchera le coeur de ceux qui les liront, mais surtout enrichira leur âme en leur faisant connaître et goûter la paternité de Dieu et la maternité de la Madone.

Nous sommes reconnaissants à notre Evêque, Mons. Claudio Gatti, et à notre soeur Marisa Rossi d'avoir voulu nous ouvrir leurs coeurs, mais surtout le coeur de Dieu et celui de la Mère de l'Eucharistie.

Nous demandons à tous de prier intensément et d'offrir à Dieu, privations, sacrifices, jeûnes et pénitences pour augmenter les conversions des âmes et accélérer les interventions divines qui feront remporter à l'Evêque et à la voyante la victoire qui leur a été promise depuis longtemps.


Alba Adriatica (TE), le 7 juillet 2006 - 12h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Que de monde!

La Madone - Moi, la Mère de l'Eucharistie, je parle en premier en ce jour de la fête de votre saint Evêque, Saint Claudio. J'ai ici avec moi Saint Claude, Evêque de l'Eucharistie, comme toi.

J'aimerais tant que vous vous aimiez comme Nous nous aimons et que la souffrance vous donne aussi de la joie. J'aimerais vous voir sourire et faire fête. Excellence, s'ils te font de petits cadeaux, accepte-les, c'est une joie pour eux de t'en faire; donnons leur aussi de la joie.

Saint Claude - Mon cher Evêque, je suis également Evêque de l'Eucharistie. Je prie tous les jours pour toi et je t'aime beaucoup; si tu savais combien de personnes grandes et petites prient pour toi! A la fin, tu triompheras.

Ta vie est dure, le début de ton triomphe se fait attendre toujours plus, mais tu n'es pas seul, tu as Marisella qui t'aide et a offert sa vie pour toi.

Le Dieu tout-puissant m'a donné la permission de te parler, cher Evêque de l'Eucharistie, Nous sommes deux Evêques de l'Eucharistie.

Marisa - Ecoute, puis-je te dire quelque chose? Ce qui m'intéresse, c'est que tu étreignes mon Evêque, Mons. Claudio Gatti, serre-le fort sur ton coeur, le coeur de Jésus, de Marie et de tous.

Tu dois m'aider, petite Madone, aide-moi à surmonter ce moment de crise, qui je crois ne durera pas toujours, il y aura ensuite la joie, la force, le courage que tu me donneras, que Jésus tous les anges et les Saints du Paradis me donneront. N'est-ce pas, petite maman, que tu m'aideras aussi?

La Madone - Courage, mes chers enfants, soyez forts et si quelque chose arrive par la faute de personnes qui ne se conduisent pas bien, laissez tomber et dites seulement: "Tu t'es mal conduit " cela suffit, sans discuter.

Cherchez à les aimer tous. Vous aimez bien tout le monde et les autres n'aiment pas, c'est pourquoi vous souffrez.

Saint Claude - Mons. Claudio Gatti, je t'aime et je prie pour toi, tous prient pour toi au Paradis. Courage, Dieu dit que l'heure approche. Je ne connais pas les temps de Dieu; je vous dis courage et avancez au nom de Jésus, Marie, Saint Joseph, de la chère grand-mère Iolanda et de tous ceux qui vous aiment, avancez et aimez-vous.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

L'Evêque - Puis-je parler?

La Madone - Oui. Demandes-tu encore plus, Don Claudio?

L'Evêque - Nous sommes encore dans le moment de l'attente, de l'épreuve et de la souffrance

Par ton intermédiaire, je remercie Dieu de l'aide visible que j'ai constaté à maintes occasions, si nous n'avions pas eu votre aide, Marisa ne serait plus ici à cette heure.

Tu te souviens quand je t'ai demandé l'an passé de pouvoir être ensemble dans le calme et la sérénité, parce que je croyais que ce seraient nos dernières vacances ensemble? Tout ce que je t'ai demandé l'an passé, je te le redemande cette année, si c'est possible. Elle veut être en notre compagnie, la pauvrette, elle est toujours seule, si on lui enlève aussi notre compagnie quand nous mangeons et sommes ensemble à table, qu'est-ce qui lui reste ? Dieu peut, si c'est Sa volonté, lui donner la possibilité de manger quelque chose, même si c'est peu et conseillé, si possible, par toi?

La Madone - Bien sûr, je peux tout conseiller, mais l'état de Marisella est très grave.

L'Evêque - Je sais.

La Madone - Elle est très sensible, très hypersensible et son estomac s'en ressent, comme en ce moment, parce que sa santé empire; nous luis avons donné l'Eucharistie et elle a faim de nouveau.

L'Evêque - Pourquoi?

La Madone - Elle doit prendre l'Eucharistie et un peu de nourriture.

L'Evêque - Mais elle ne réussit pas …

La Madone - Elle arrivera aussi peu à peu à se nourrir uniquement de l'Eucharistie, mais elle n'y arrive pas maintenant, parce qu'elle a une tumeur qui la ronge ainsi que le peu d'Eucharistie que nous lui donnons. Nous espérons que Dieu lui donnera ce qu'elle a besoin de manger et avancerons. Nous espérons que tout ceci finira bientôt. Vous devez avoir plus de force et de courage.

Marisa - Bah, plus de ces choses je ne sais pas!

L'Evêque - Ma petite soeur est un roc.

La Madone - Son estomac est maintenant détruit. Même son foie et sa rate sont malades, mais c'est l'estomac qui est le plus mal en point.

L'Evêque - Mais Jésus est Dieu et peut tout faire.

La Madone -Oui, il peut tout faire.

L'Evêque - Je sais qu'elle s'immole pour mon avenir et je devrais l'en remercier à chaque seconde, mais fais-la aller un petit peu mieux pour qu'ainsi nous sortions et qu'elle jouisse du peu dont elle peut jouir. L'Eucharistie est Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

La Madone - Voyons maintenant comment va se passer la journée d'aujourd'hui qui ne se présente pas bien du tout.

L'Evêque - Pouvons-nous sortir un petit peu pour la distraire?

La Madone - Oui, vous pouvez toujours sortir.

L'Evêque - Maintenant? Mais nous ne pouvons pas sortir quand il fait soleil.

La Madone - Ce soleil ne fait pas mal.

L'Evêque - C'est bon, sortons aussitôt et nous verrons ainsi si elle peut se distraire.

La Madone - Il se peut qu'en marchant elle ait un creux à l'estomac, qu'elle ait plus faim.

L'Evêque - Si tu ne le sais pas, toi qui est la mère de Dieu …

La Madone - Je sais que je suis la Mère de Dieu.

L'Evêque - Je suis une petite créature …

La Madone - C'est Dieu qui décide.

L'Evêque - Oui, d'accord, je ne suis pas convaincu, pouvons-nous le demander à Dieu?

La Madone - Vous pouvez lui demander tout ce que vous voulez.

L'Evêque - J'aimerais la défendre en cette période finale des souffrances causées par les hommes, mais je n'y parviens pas, merci en tous les cas d'être venue.

La Madone - Adieu, mon amour. Tous mes voeux à notre cher Evêque.

L'Evêque - Est-ce que grand-mère Iolanda a parlé?

Marisa -Grand-mère Iolanda a dit seulement: "Aimez ma fille, ne la faites pas souffrir ". Je ne sais pas pourquoi elle l'a dit.

Alba Adriatica (TE), le 10 juillet 2006 - 22h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - La Maman te remercie de toutes tes souffrances qui ne sont pas terminées. Je te remercie de la joie que tu donnes aux enfants qui sont avec toi, comme tu l'as fait ce soir en chantant des chants montagnards. As-tu vu que la Maman t'a donné un peu de voix?

Marisa - Me la laisses-tu pour toujours?

La Madone - Cela dépend de Dieu, je te la laisserai toujours. Ne chante pas seule, mais avec le choeur. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de joie vous me donnez, quand vous êtes sereins, chantez, riez même pour des bêtises.

Marisa - C'est pourquoi je désire que les hommes se convertissent.

La Madone - Tu monteras au Ciel avec moi, les anges et les Saints, et l'Evêque te suivra au Paradis, t'embrassera, puis reviendra sur la Terre pour y terminer sa tâche.

Marisa - Peux-tu me dire quand tu m'emmèneras? Parce que je suis vraiment fatiguée, fatiguée de souffrir.

La Madone - Tu sais que c'est Dieu qui décide de tout et qu'Il a maintenant besoin de toi, créature. Combien d'hommes se sont éloignés de Dieu et combien ont abandonné la mission qu'ils avaient acceptée! Toi, belle âme sainte, tu es restée encore pour aider Dieu et souffrir pour les âmes. Tu le sais parce que tu es déjà au Paradis, où tout est joie, et jouis avec ta maman, la Mère de l'Eucharistie, Jésus, ton époux, Saint Joseph et tous ceux que tu as connus.

Marisa - J'aimerais que certaines personnes se convertissent et croient en toi.

La Madone - En Dieu. Je veux qu'elles se convertissent, mais personne ne peut prétendre convertir ses propres parents, s'ils ne le veulent pas. Toi, Marisella, tu ferais tout pour convertir ces personnes.

Marisa - Oui, mais aide-moi, j'ai tant besoin d'aide et fais-moi dormir un petit peu la nuit, je t'en prie, sinon comment ferai-je pour aller voir les prêtres en bilocation?

L'Evêque - Je suis prêt à rester éveillé cette nuit pour qu'elle dorme.

La Madone - Merci, Excellence, je m'y attendais.

Marisa - Mon Jésus, mon époux bien-aimé, aide-nous, Toi.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Courage et tous mes voeux à vous tous.

Marisa - Bonjour, bonjour, ma petite maman.

Grand-mère Iolanda - Quand tu m'appelles la nuit, mon enfant, je viens toujours près de toi et je vois que tu souffres beaucoup. Personne ne peut se rendre compte de l'intensité de ta souffrance, seul l'Evêque peut le comprendre. Courage, mon enfant, nous nous verrons dans peu de temps en haut au Paradis; tu y es déjà maintenant, mais d'une autre manière.

Marisa -J'ai le don de trilocation? Je ne le sais pas. C'est bon, maman.

Grand-mère Iolanda - Donne un baiser à l'Evêque de ma part?

Marisa - Bien sûr, il t'aime beaucoup.

NOTE: A ceux qui se scandaliseraient en lisant les lettres de Dieu des 14, 15 et 21 juillet 2006, nous reprenons ce que le cardinal Josef Ratzinger a écrit peu de jours avant d'être élu Pape sous le nom de Benoît XVI.

" Mais ne devons-nous pas penser également à ce que le Christ doit souffrir dans son Église elle-même? Combien de fois abusons-nous du Saint-Sacrement de sa présence, dans quel cœur vide et mauvais entre-t-il souvent ! Combien de fois ne célébrons-nous que nous-mêmes, et ne prenons-nous même pas conscience de sa présence! Combien de fois sa Parole est-elle déformée et galvaudée! Quel manque de foi dans de très nombreuses théories, combien de paroles creuses! Que de souillures dans l'Église, et particulièrement parmi ceux qui, dans le sacerdoce, devraient lui appartenir totalement! Combien d'orgueil et d'autosuffisance! Que de manques d'attention au sacrement de la réconciliation, où le Christ nous attend pour nous relever de nos chutes! Tout cela est présent dans sa passion. La trahison des disciples, la réception indigne de son Corps et de son Sang sont certainement les plus grandes souffrances du Rédempteur, celles qui lui transpercent le cœur.

Souvent, Seigneur, Ton Eglise nous semble une barque prête à couler, une barque qui prend eau de toute part. Et dans ton champ, nous voyons plus d'ivraie que de bon grain.

Les vêtements et le visage si sales de Ton Eglise nous effraient. Mais c'est nous-mêmes qui te trahissons chaque fois, après toutes nos belles paroles et nos beaux gestes. Prends pitié de ton Eglise: en elle aussi, Adam chute toujours de nouveau. Par notre chute, nous Te traînons à terre, et Satan s'en réjouit, parce qu'il espère que Tu ne pourras plus te relever de cette chute; il espère que Toi, ayant été entraîné dans la Chute de Ton Église, Tu resteras à terre, vaincu. Mais Toi, Tu te relèveras. Tu t'es relevé, Tu es ressuscité et Tu peux aussi nous relever. Sauve ton Église et sanctifie-la. Sauve et sanctifie-nous tous. ". (Chemin de Croix - Neuvième Station)

Alba Adriatica (TE), le 14 juillet 2006 - 16h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je ne suis plus en état de continuer à souffrir, en particulier pour les prêtres. Cela suffit. Je me retire dans ma maison, via delle Benedettine, avec mon Evêque, et ne veux plus aider aucun prêtre, parce que ma santé est compromise et je m'en vais par leur faute. Si l'on me dit d'aider un jeune, une maman, un papa, je suis prête à le faire, mais je ne veux pas souffrir pour les prêtres. Condamne-moi, si tu veux, cela m'est égal, je ne veux plus souffrir pour les prêtres, ils me font horreur (Marisa pleure sur l'épaule de l'Evêque). Je ne veux pas des prêtres, je n'en veux pas, je n'en veux pas.

L'Evêque - Ma petite Madone, je t'en prie, montre-toi, tu vois dans quel état nous sommes? Nous n'en pouvons plus.

Marisa - Je n'en veux à personne, ni à Dieu le Père, ni à Dieu le Fils, ni à Dieu le Saint Esprit, ni à la Madone, mais cette fois, mon non est définitif. Je ne m'occupe plus des prêtres. Pourquoi devrais-je penser à eux, quand j'ai mes frères et soeurs à qui penser? Pourquoi devons-nous continuer à donner aux prêtres qui sont répugnants? J'ai envie de vomir quand je parle d'eux. Ils ont tout reçu, je ne veux plus rien leur donner.

Petite Madone, crois-moi, je ne t'en veux pas, je ne veux pas te désobéir, mais je ne veux plus immoler mon corps, faire souffrir mon âme pour ces hommes. Je me meurs et j'aimerais mourir dans la joie avec Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, Dieu le Fils, la Mère de l'Eucharistie, ma maman et mon Evêque. Faites-moi quitter ce monde rapidement, parce que je n'en peux plus. Pardonne-moi, petite Madone, si j'ai dit ces choses, ce n'est pas par méchanceté, mais je n'en peux plus. Pardonne-moi, mais je n'en peux plus.

L'Evêque - Moi non plus. Nous sommes deux à être au bout du rouleau.

Marisa - Cela nous a pris tant d'années.

L'Evêque - Trente cinq ans.

Marisa - Trente cinq ans de souffrance, et nous avons toujours dit oui.

L'Evêque -Cela suffit maintenant.

Marisa - Qu'on prenne maintenant quelqu'un d'autre. Ceux qui se sont retirés ont bien fait, certains sont morts, mais pourquoi me maintenir toujours dans la souffrance?

L'Evêque - Demande à la Madone de venir t'aider.

Marisa - Viens m'aider, petite Madone, même si je ne le mérite pas?

La Madone - Mais je suis ici avec toi, trésor, je suis ici avec vous. Tu as raison, ce que tu dis est juste et Nous ferons comme tu le veux.

Marisa - Pour l'Evêque aussi?

La Madone - Oui, cela suffit maintenant. C'en est assez de toutes ces misères avec les hommes d'Eglise, cela suffit. Je suis avec vous et vous êtes avec moi. Les hommes d'Eglise sont aussi mes enfants bien-aimés, mais ils ne font pas la volonté de Dieu.

Marisa - Pourquoi sommes-nous avec toi? Nous sommes sortis hier pour faire une promenade et nous avons dû faire demi-tour, aujourd'hui nous devons y parvenir, mais je ne suis pas bien.

La Madone - Je verrai à ce que tu y arrives aujourd'hui.

Marisa - Aide l'Evêque, aide-le. Il t'aime, il t'aime trop, il m'aime trop moi aussi.

La Madone - Oui, je le sais.

Marisa - Regarde, maman pleure, elle pleure pour l'Evêque. Aide-nous, aide-nous. Adieu, petite Madone, tu as promis que tu m'aiderais et j'attends anxieusement ton aide.

L'Evêque - Puis-je parler? Demande lui si je peux parler.

Marisa - Peut-il parler?

La Madone - Bien sûr.

L'Evêque - Le moment est-il arrivé où Dieu dira cela suffit?

La Madone - Non, il n'est pas arrivé, mais après ce qu'a dit ta soeur aujourd'hui, je crois qu'elle n'aura plus à penser aux prêtres.

L'Evêque - Qu'est-ce que cela signifie?

La Madone - Cela signifie qu'elle en a fini de souffrir pour les prêtres et que Nous viendrons la chercher.

Marisa - Excellence, veux-tu venir avec moi?

L'Evêque - Je dois accomplir ma mission. Je monterai de temps à autre et tu descendras vers moi.

Marisa - Alors recevons la bénédiction.

L'Evêque - Ce qui compte, c'est que tu ailles mieux.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis tous les enfants, mamans, papas et petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Faisons maintenant ce qu'elle a dit.

L'Evêque - Sortons.

Marisa - Je n'irai plus voir les prêtres en bilocation.

L'Evêque - J'en suis heureux, j'en suis heureux.

Marisa - Hier soir, quand la Madone m'a parlé de Milingo, j'ai eu un choc.

Alba Adriatica (TE), le 15 juillet 2006 - 13h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme tu l'avais promis à nos pères, à nous aussi tu as promis de belles choses. Cela fait trente cinq ans que tu nous as appelés pour la grande mission. Nous avons beaucoup souffert, joui aussi, mais combien n'avons-nous pas souffert. Nous sommes maintenant arrivés à un point où nous n'avons plus la force de nous lever, de nous asseoir, de manger, de parler, de rien faire. Petite Madone, pure, sainte et Immaculée, parle à Dieu pour nous et dis-lui que nous sommes épuisés.

La Madone - Mes chers enfants, Dieu sait tout. Il connaît votre fatigue et votre souffrance et sait également que tu refuses d'aider les prêtres et il y a consenti.

Marisa - J'en suis heureuse.

La Madone - Mais il te reste la tâche d'aider les laïcs, les petits enfants et les jeunes. Tu verras que ce sera plus facile de les aider que les prêtres. Jésus, la petite Madone et Saint Joseph souffrent que tu aies refusé avec justesse de ne plus aider les prêtres.

Dieu le Père - Moi aussi, Dieu le Père Tout-puissant, j'éprouve de la répulsion à parler de Monsieur Milingo. Si cet homme t'écoeure et te dégoûte, imagine ce que cela me fait à Moi, qui l'ai créé. Tous l'ont défendu, en commençant par le Saint Père, des évêques aux cardinaux. Ils lui ont tout donné, maison, argent, honneurs et lui qu'a-t-il fait? Il s'est enfui dans les bras de sa femme. Tu as bien fait de renoncer à aider les prêtres, je ne te ferai jamais de reproches pour ce refus. Cela suffit avec les prêtres, qu'ils soient bons ou mauvais, cela suffit. Jouis du peu de temps qu'il te reste à vivre. Jouis en avec ton frère et ceux qui t'aiment. Pour Moi l'heure de ton départ pour le Paradis est sur le point de s'accompli et je sais que tu en es heureuse. Je sais que tu ne vas pas bien et que ta tumeur à l'estomac te ronge intérieurement, et qu'il serait donc mieux que nous t'emmenions au Paradis. Même en ce moment, tu ne te sens pas bien, parce que tu penses à ces prêtres répugnants. Je sais qu'ils sont abjects. Si tu avais à tes côtés d'autres prêtres comme Monseigneur Claudio Gatti, tout serait plus facile pour toi et pour lui. Mais je t'en prie, n'abandonne pas les enfants, les jeunes et les laïcs qui veulent se convertir. Sois bonne, Marisella, accepte tout, mais sans offrir ta souffrance et tes prières pour les prêtres. Je sais que cela te fatigue de parler et que les douleurs minent ton corps, c'est pourquoi je te demande, Excellence, si tu désires Me parler. Si tu le veux, mais sans te sentir obligé de le faire.

L'Evêque - Seigneur mon Dieu, je Te remercie avant tout de l'aide venant de Toi que j'ai constaté au cours de ces quinze jours, vraiment de grande souffrance, sans lequel nous n'aurions pu fêter nos trente cinq ans. Toi, mon Dieu, Tu as dit à Marisella qu'il lui restait très peu de temps à vivre et Tu l'as exhortée à en jouir. C'est pourquoi je Te demande de lui retirer quelques douleurs, comme Tu lui as retiré sa tumeur osseuse le 15 juillet de l'an passé. J'aimerais tant vivre avec elle cette dernière partie du chemin, en parlant du Paradis, de mon avenir et de comment aider toute cette multitude abandonnée par les pasteurs à se tourner vers Toi, mon Dieu. Voilà, c'est le grand désir que j'ai dans mon coeur et que je ne T'aurais pas dit, si Tu ne m'avais pas invité à le faire. Est-il possible, mon Dieu, que Marisa aille un petit peu mieux? Tu décides du jour et de l'heure de notre naissance et de notre mort, mais il y a cette date que j'ai indiquée pour les raisons que Tu sais. Seigneur, je m'en remets à Toi, fais ce que Tu veux et ce sera toujours le mieux, mais si je peux insister, fais que l'état de Marisella puisse s'améliorer un petit peu. Je n'ai rien d'autre à te dire sinon de Te recommander Ton Eglise et les prêtres qui sont bons et honnêtes. Même si Marisella ne doit plus penser à eux, je crois que c'est mon devoir de penser et de prier pour les prêtres. Je Te demande de bénir les bons et de neutraliser les méchants de la façon que Tu jugeras la meilleure. Ton Eglise renaîtra certainement du côté de Ton Fils, par Ta puissance et la grâce du Saint Esprit, mais aussi par le sang, les larmes et la souffrance de Tes enfants qui ont offert et immolé leur vie pour Elle. Je ne crois pas être présomptueux en pensant que nous sommes aux premières places parmi eux. Mon Dieu, bénis-moi, donne-moi la force de continuer, mais surtout de me dominer et de me maîtriser, parce que la fatigue est parfois si grande que je suis très nerveux. Je ne veux pas que la plus petite parole pouvant faire souffrir involontairement Marisa, qui souffre déjà tant, ou quelqu'un d'autre, sorte de ma bouche. Seigneur, donne-moi, comme Tu me l'as toujours donné, beaucoup de grâces pour l'âme et d'énergie pour le corps, afin que je puisse travailler jusqu'à la fin et faire Ta sainte volonté.

Marisa - Moi aussi, mon Dieu, je Te demande de me donner un peu plus de force, parce que je ne réussis plus à parler, manger, rester debout ou assise, je suis si épuisée. Je sens la fatigue qui me ronge et je suis très faible, mais je veux continuer à T'aimer ainsi que tout le Paradis, mais j'ai besoin que Tu m'aides, sinon il vaut mieux que Tu m'emmènes maintenant sans plus attendre. Je ne Te demande rien qui soit contre Ta volonté, mais si Tu le veux, emmène-moi.

Je te recommande Monseigneur Claudio de tout mon coeur, je pensais vivre jusqu'à son ascension à des hauteurs vertigineuses, mais dans l'état où je suis aujourd'hui, je n'en peux plus, je ne peux pas. Tu sais combien je l'aime, mais je ne peux y arriver, parce que les forces me manquent. Si Tu le veux, Tu peux nous aider, nous donner cette petite force dont nous avons besoin.

Dieu le Père - Moi, Dieu le Père Tout-puissant, je ferai tout pour guérir le mal présent en ces personnes, mais ne vous laissez pas aller. Vous au moins, soyez affectueux et aimez-vous. Moi, Dieu le Père, Jésus, l'Esprit Saint, la Mère de l'Eucharistie et tous les anges et les Saints du Paradis, nous sommes avec vous. N'oubliez pas que grand-mère Iolanda est sainte.

Marisa - Merci. Deviendrai-je sainte? Je ne suis pas bonne comme ma maman.

Dieu le Père - Oh oui ma fille, tu seras bientôt déclarée sainte!

Marisa - Merci.

Dieu le Père - Excellence, si tu n'as plus rien à dire, terminons cette Théophanie qui t'es dédiée, parce que ta soeur est très fatiguée.

L'Evêque - Oui, j'ai un désir dans mon coeur et Tu sais à quoi je me réfère, mais nous en parlerons une autre fois.

Dieu le Père - Non, dis le maintenant, ne t'inquiète pas.

L'Evêque - Seigneur, Tu as accompli les plus grands miracles eucharistiques de l'Histoire de l'Eglise dans le lieu thaumaturgique. Nous conservons l'Eucharistie qui a saigné et diverses hosties qui ont versé du sang, même deux ou trois fois. Pour le triomphe de l'Eucharistie, pour Ton triomphe, qui me paraît modeste, il serait beau que le troisième dimanche du mois, Tu interviennes pour guérir beaucoup de malades, même graves, à la condition qu'ils se soient réconciliés avec Toi dans la Sainte Confession. Tu sais que cette pensée est en moi depuis des années, pensée que Tu connais et que Tu m'as autorisé aujourd'hui à T'exprimer.

Dieu le Père - C'est bon. Je vous remercie de tout le bien que vous faites pour l'Eglise, mais je ne veux pas pour cela que vous continuiez à travailler et à souffrir pour les prêtres. Non, non, cela suffit.

Aimez les invalides, les malades, ceux qui ont faim et soif de justice, mais laissez les prêtres.

Marisa - Oui, oui, je suis contente.

Dieu le Père - Puis-je vous donner ma bénédiction ou as-tu encore quelque chose à dire, Don Claudio, mon Monseigneur.

L'Evêque - Nous t'avons tout dit et maintenant, mon Dieu, je m'agenouille, même si Tu sais que je ne le pourrai pas, mais je dois me prosterner à terre devant Toi. Donne-nous Ta bénédiction et soulage un peu Marisa.

Dieu le Père - Ensemble avec la Maman, Mère de l'Eucharistie, et tous les anges et les Saints du Paradis, je vous bénis et les personnes que je vous ai dit d'aider. Je vous serre tous sur mon coeur et vous deux en particulier, mes chers enfants.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, Excellence, si tu ne veux pas mettre la mitre, tu peux t'abstenir de la porter.

L'Evêque - Merci.

Dieu le Père - Fais ainsi, parce que tu es plus beau sans mitre.

Marisa - Adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 18 juillet 2006 - 14h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Me feras-tu aller un petit peu mieux, la nuit surtout, quand les problèmes et les douleurs se déchaînent? Ecoute, maman, tu vas le dire à Dieu? Ne passe pas par un intermédiaire, va trouver Dieu directement et dis-le lui. Dis-le lui, trésor, maman, sinon emmène-nous. Si l'Evêque ne veut pas venir, cela ne fait rien, emmène-moi, je n'en peux plus. Je suis une grande charge pour l'Evêque et quand je ne serai plus ici, il sera plus tranquille. Tu vas parler à Dieu? Tu le lui dis?

Grand-mère Iolanda - Oui, trésor, je te promets que je vais aller trouver Dieu, mais pas toute seule. J'emmènerai avec moi une troupe d'anges pour parler à Dieu, pour lui dire au moins qu'il te fasse aller un petit peu mieux, seulement un petit peu.

Marisa - Nous ne demandons pas beaucoup, nous demandons seulement d'aller un petit peu mieux, trésor. Ma petite maman, je sais que tu ne commandes pas, mais dis-le à Dieu.

Grand-mère Iolanda - Et l'Evêque?

Marisa - Nous recommençons avec l'Evêque. Il devra faire renaître l'Eglise. Emportez-moi. Dis à Dieu de nous faire aller un petit peu mieux, un petit peu, peu, nous ne demandons pas beaucoup.

(Tournée vers l'Evêque) N'est-ce pas un tout petit peu?

L'Evêque - Sinon je fais la grève.

Marisa - Maman, tu ne nous crois pas? Tu sais que lorsqu'il dit quelque chose, il le fait. C'est bon, maman, écoute, va trouver Dieu et dis-lui de me faire aller un petit peu mieux, de nous faire jouir un peu dans ce coin de paix. Aidez-nous vraiment, parce que nous sommes à bout de force, finis. Adieu, adieu, trésor.

Grand-mère Iolanda - Adieu, amour.

Marisa - Pense à nous, je t'en prie, pense à nous.

Villetta Barrea (AQ), le 19 juillet 2006 - 22h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Nous t'avons attendue et tu es venue accompagnée de ma maman. Petite Madone, vois-tu dans quel état nous sommes? Nous sommes deux loques, aide-nous, je t'en prie, fais nous reposer et passer une journée paisible, un peu plus détendue, sans tant de problèmes qui nous affligent. Je ne suis pas seule à souffrir, son Excellence et les jeunes qui sont avec nous souffrent aussi. Aide-nous, petite Madone, je t'en prie. Maman, notre maman à tous les deux, aide-nous, nous avons tant besoin d'aide. Je ne suis bonne à rien, même si en ce moment je me sens mieux, continue à nous aider, et nous serons avec vous et vous serez avec nous et nous prierons ensemble. Quand je dis non, c'est parce que je suis fatiguée et que je ne me sens pas capable de prier à voix haute, mais je prie dans mon coeur; je prie avec toi, avec maman et ton saint Evêque. Bénis-nous tous les eux, aide-nous, ne nous abandonne pas, nous avons tant besoin de ton aide. Je n'en dis pas plus.

Nous te remercions de tout notre coeur et attendons ta bénédiction au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit il.

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Courage, mes enfants, courage. Vous pensez être seuls, mais vous ne l'êtes pas.

L'Evêque - Puis-je te poser une question?

La Madone - Oui, oui.

L'Evêque - Est-ce que c'est seulement Marisella qui ne doit plus écrire, ni aller trouver les prêtres, les évêques les cardinaux et encore plus haut? Pourquoi me tourmenter avec ces lettres à écrire aux cardinaux.

La Madone - Je sais, mon cher enfant, mais tu dois être le chef des jeunes et des adultes. Marisella n'ira plus parler aux hommes d'Eglise pour les diverses raisons que tu connais, mais tu ne peux pas les laisser tous seuls. Laisse les prêtres, mais aide les jeunes et les adultes à leur parler, en restant à l'écart comme Marisella.

L'Evêque - Merci. Je ne dois donc plus écrire à ces messieurs?

La Madone - Si, écrire oui, mais tu ne dois plus aller leur parler ou faire autre chose. Tu en as fini avec ça, comme Marisella.

L'Evêque - Quand notre calvaire finira-t-il?

La Madone - Mon fils, le calvaire est toujours long. Soyez patients.

L'Evêque - Tu as vu combien je prie, comme cette nuit.

La Madone - Oui, je suis très heureuse de t'entendre prier, mais quand ta soeur ne s'en sent pas capable, ne la force pas, parce qu'elle va si mal. Adieu, mon doux fils. As-tu encore quelque chose à me dire?

L'Evêque - Fais-la aller un petit peu mieux et fais-la se reposer. Je ne me sens pas maintenant en état de dire que je veillerai pour elle, parce que, tu le sais, j'ai très peu dormi les dernières nuits. Fais que nous nous reposions tous les deux.

La Madone - Vous devez prendre un comprimé et dormir tous les deux.

L'Evêque - Merci.

La Madone - Salut, mes enfants. Adieu, Excellence, va en paix.

Grand-mère Iolanda -Adieu, Excellence, va en paix.

L'Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.

Marisa - Adieu, petite maman.

Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 18h00 (Lettre de Dieu)

Grand-mère Iolanda (s'adresse à Dieu) - Dieu le Père, c'est moi grand-mère Iolanda, Tu me connais. Je ne Te demande rien d'autre que d'aider ces deux enfants qui sont miens. Ils ont toujours souffert, ils ont aussi souffert avec moi, aide-les je T'en prie. Tu peux le faire, je ne peux que prier.

Dieu le Père - Nous les aidons, bien sûr, un peu à la fois, doucement, doucement. Leur mission est très difficile, mais Je ne les abandonne jamais. Grand-mère Iolanda, toi qui es leur maman, aide-les à vivre avec toi, et surtout à vivre avec Dieu, avec leur Papa.

Marisa - Tu as emmené avec toi tous les anges, les petits enfants sont aussi présents. Comme ils sont beaux! Tu sais qu'une petite fille nous est née, Miriam? Puis un autre doit naître, Ismaele.

Grand-mère Iolanda - Quel doux nom que celui d'Ismaele.

Marisa - C'est moi qui l'ai suggéré, il te plaît?

Grand-mère Iolanda - Il est très beau.

Marisa - Est-ce que Gioele te plaît?

Grand-mère Iolanda - Ce sont tous de beaux noms. Allez en paix, mes enfants. Je vous ai dit maintes fois que je ne vous abandonnerai jamais. Votre vie est bien sûr dure, très dure. Aucun saint n'a jamais souffert comme vous. Quand vous finirez de souffrir, vous jouirez ensemble et les autres comprendront qui vous étiez et pourquoi vous avez tant souffert.

Marisa - Puis-je te dire, bonjour Dieu?

Dieu le Père - L'Evêque peut me dire: "Bonjour, Papa" et toi: "Bonjour, Dieu!". Vous faites tout de toute façon.

Marisa - Nous T'aimons. Je me suis demandée bien des fois: "Mais est-ce que Dieu nous aime?". "Pourquoi nous fait-il autant souffrir, s'Il nous aime?".Je T'en prie, fais-nous dormir la nuit. Je n'en peux plus, ton fils n'en peut plus. Qu'est-ce que cela Te coûte de nous tendre la main? Il Te suffit de faire ainsi (Marisa claque des doigts), et nous sommes bien. Adieu, adieu, maman.

Grand-mère Iolanda - Adieu, mon fils, je suis ta maman.

Dieu le Père - Adieu, mon fils, je suis ton Papa.

Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 18h58 (Lettre de Dieu)

(L'apparition a eu lieu en voiture)

Marisa - Viens m'emmener, maman. Je n'en peux plus. Tu t'occuperas de Claudio, maman. Emmène-moi, je suis fatiguée, je souffre tant, tout le monde ne peut pas comprendre mon immense souffrance qui est un martyre permanent. Maman, maman, demande à Jésus de m'emporter. Envoie quelqu'un aider Don Claudio, ne le laissez pas seul. Ma petite maman, ma petite maman, emmène-moi. Ma vie n'est pas une vie, emporte-moi, je n'en peux plus de vivre. Dieu a dit qu'il m'aidait, mais mon état ne fait qu'empirer. Maman, Mère de l'Eucharistie, de Jésus, Dieu Tout-puissant, anges et Saints du Ciel, je veux souffrir, mais je suis épuisée et je veux venir avec vous. Emportez-moi. Si vous vous faites du souci pour Claudio, emportez-le lui aussi. Que faisons nous sur la Terre? Souffrir, seulement souffrir. Maman, je t'en prie, demande au Dieu Tout-puissant de nous emporter. Maman, belle maman, mon trésor, comme tu es belle, comme tu es belle, maman. Je sais, je sais que certaines personnes t'ont fait souffrir, ce sont des personnes qui ne savent pas aimer et tu sais pardonner, n'est-ce pas?

Grand-mère Iolanda - Alors, Marisella, comme j'ai pardonné, tu dois, toi aussi, pardonner. Pardonne aussi à ceux qui te font encore souffrir. Bien des fois je descendrais sur la Terre pour les réprimander, puis je réfléchis et dis: "Oui, je leur ai pardonné ". Toi aussi, ma fille, tu dois leur pardonner, ce sont des personnes qui ne sont pas bonnes, qui ne savent pas aimer. Tu vois que celle qui se dit athée est meilleure qu'elles. Trésor, et c'est pour cette raison que tu l'aimes, c'est pourquoi tu l'as adoptée comme ta fille, elle dit qu'elle est athée, mais ce n'est pas vrai. Ce sont au contraire, celles qui vont à l'église, qui ont les mains jointes, qui reçoivent Jésus, qui te font souffrir. Mais tu n'es pas seule, tu as Monseigneur Claudio Gatti. Tu as aussi cette personne qui se dit athée, mais ne l'est pas, elle t'aime et vous veut du bien à tous les deux. Il y a Marco qui vous aime, Marco a changé, Marco est devenu un autre homme, spirituellement parlant. Puis tu as tous tes neveux, mais celui qui t'aime vraiment beaucoup, c'est l'Evêque. Mon trésor, je retourne vers le Père prier avec tous les anges et naturellement avec la Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph et tous les Saints que tu connais. Je vais prier pour vous, parce que tu n'arrives plus à sortir, c'est trop dur. Je demanderai à Dieu ce qu'il veut encore de toi et nous verrons ce qu'il me dira.

Adieu, ma fille, adieu, mon fils, adieu petite athée, adieu, Marco, un baiser à tous.

Marisa - Je suis fatiguée, si fatiguée.

Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 19h00 (Lettre de Dieu)

(L'apparition a eu lieu en voiture)

L'Evêque - Regarde le Paradis. Qui vois-tu maintenant? Regarde devant toi.

Marisa - Pourquoi ne prends tu pas en photo toutes ces montagnes?

L'Evêque - Décris nous le Paradis, c'est plus intéressant.

Marisa - Le Paradis est immense, si grand et si beau.

L'Evêque - Sont-ils arrivés devant Dieu?

Marisa - Pas encore. Ils sont tous en marche pour aller devant Dieu et lui demander si je peux aller mieux ou mourir. Maman va le lui demander, mais ils ne sont pas encore tous arrivés.

L'Evêque - Est-ce que la procession qui va devant Dieu est si longue?

Marisa - Le Paradis est le Paradis. Il est immense.

L'Evêque - Ils y sont tous? Est-ce une grande file, très longue?

Marisa - Oui, ils y sont tous, les petits enfants et beaucoup d'âmes bonnes.

L'Evêque - Y a-t-il aussi Don Giovanni et Don Giorgio?

Marisa -Oui, mais ils sont au fond. Près de maman, il y a la Madone, Saint Joseph et tous les petits enfants.

L'Evêque - Les neveux?

Marisa - Oui, puis tous les autres Saints arrivent, d'abord, entre eux, il y a Fatina.

Grand-mère Iolanda (chantant) - C'est moi, mon Dieu, la maman de Marisa, que veux-tu faire d'elle? Veux-tu l'emmener bientôt ou la laisser encore un petit peu sur la Terre pour qu'elle soit heureuse avec son frère et se porte un petit mieux? Voilà, mon Dieu, nous sommes tous autour de Toi. J'ai vu l'étoile de Dieu. Nous sommes tous autour de Toi pour T'implorer pour cette créature. Les noms que l'Evêque lui a donnés sont justes.

Marisa - Mais je ne m'en souviens pas, parce que j'ai toujours peur qu'on se moque de moi.

L'Evêque - Martyre d'amour.

Marisa - Martyre d'amour.

L'Evêque - Héroïne de la souffrance.

Marisa - Héroïne de la souffrance.

L'Evêque - Victime de l'Eucharistie.

Marisa - Victime de l'Eucharistie. Martyre d'amour. . Victime de l'Eucharistie.

Dieu le Père - Je suis Dieu. Je vous accueille tous auprès de Moi. Priez ensemble pour Miriam, Marisella. Priez, afin qu'elle réussisse à faire totalement la volonté de Dieu. Je ne veux pas l'emporter, je veux la voir finir de souffrir, puis je l'emporterai au Paradis. J'aimerais la laisser encore un peu de temps avec Son Excellence pour qu'elle jouisse un peu de la vie dans le monde. La vie sur la Terre est tellement immonde, tellement infâme que cela me déplaît presque de la laisser dans ce monde plein d'êtres immoraux, à commencer par la tête de l'Eglise.

Marisa - Ne le dis pas, mon Dieu, ne le dis pas. Je T'entends, mais je ne Te vois pas, j'ai vu l'étoile, une grande étoile brillante, est-ce Toi?

Dieu le Père - C'est Moi. Tant que tu seras sur la Terre, tu ne me verras pas, mais tu verras l'étoile, une fleur et beaucoup d'autres scènes merveilleuses, mais tu ne me verras pas tant que tu ne monteras pas au ciel. Essaie de ne pas manger, ma fille, essaie de prendre seulement l'Eucharistie, nous verrons comment cela ira. Moi, Dieu, je veux te laisser encore un peu avec ton frère, mais comme tu le vois, ta santé est très éprouvée. Pense à tous ceux qui sont au Paradis et qui t'aiment tous. Tu viendras bientôt avec Moi et alors tu Me verras et seras heureuse. Sois attentive, regarde l'étoile. Courage, ma fille, courage. Essaie de prendre seulement l'Eucharistie comme nourriture, nourris toi seulement de l'Eucharistie, nous verrons comment cela ira.

Marisa - Mais Tu sais comment cela va.

Dieu le Père - En ce moment Je suis Dieu sur la Terre. Si la situation s'améliore, je te laisserai encore un peu, si cela ne va pas bien, je t'emporterai, ma fille, Je ne peux pas continuer à te voir souffrir ainsi.

(Le Notre Père est récité))

Marisa - Merci, Dieu Tout-puissant, aide-moi à aller un petit mieux, si cela n'arrive pas, emmène-moi avec l'étoile. Adieu à tous. L'étoile a disparu.

Villetta Barrea (AQ), le 23 juillet 2006 - 12h00

Phénomène particulier

Marisa - Je ne souffre pas pour la guerre, mais je prie pour elle, parce que si elle arrive en Italie nous serons tous perdus. Je souffre énormément: j'ai d'abord beaucoup souffert pour les prêtres, maintenant je ne souffre plus pour eux, mais cela me fait mal. Je Te le répète, je ne suis pas capable de parler comme mon frère, son coeur est plein d'une grande richesse spirituelle et vous l'inspirez quand il parle. Je ne sais pas parler, j'ai cette grande douleur qui me ronge. Je Te le répète, si l'heure est arrivée, Tu dois le dire, comme Tu nous l'as promis, parce que nous devons nous préparer spirituellement et matériellement. Je ne suis pas bonne, je ne suis pas sainte, j'ai encore des imperfections à corriger, mais Toi, mon Dieu, ne prolonge pas cette agonie si douloureuse, parce que Tu nous fais mal en la prolongeant. Tu nous dis une chose, puis une autre, Tu as dit, que Tu nous dirais la date de ma mort, Tu as dit que Tu préparerais l'Evêque à ce départ, mais rien encore. J'aimerais aller parfaite au Paradis, peut-être que je demande trop ou que c'est impossible.

L'Evêque - Tu es déjà au Paradis, tu es déjà au Paradis. C'est ce que Dieu t'a dit.

Marisa - Non, je le répète: si l'heure est arrivée, dis-le, je T'en prie, dis-le, et nous rentrerons à Rome pour nous préparer et moi, étendue sur ce lit de mort, je serai avec Toi. Moi quand je dis que je désire avoir un cercueil blanc, un vêtement blanc, je le dis parce que j'aime plaisanter, j'aime rire, j'aime me remonter le moral et celui des autres et je fais parfois des mots d'esprit. Je sens en moi cette espèce de serpent qui bouge et me ronge. J'ai assez parlé. Décide-Toi, Mon Dieu, si je dois partir, fais que nous rentrions aussitôt à Rome pour tout préparer. Si je ne dois pas partir et que Tu désires que je reste encore avec les miens, surtout avec mon frère, fais-moi aller un petit peu mieux, un petit peu, je ne dis pas beaucoup, mais un petit peu. Tu avais dit que Tu me donnais l'Eucharistie pour que je ne souffre pas en mangeant, mais je souffre quand même. Je souffre encore plus, la journée d'hier a été terrible et c'est aujourd'hui comme hier. Je n'en peux plus. Je Te demande pardon si je n'ai pas su Te donner tout ce que Tu me demandais, je Te demande pardon, si je n'ai pas su souffrir pour tous, je Te demande pardon, si j'ai refusé de souffrir pour les prêtres; Cela, Tu l'as accepté. Je Te demande pardon, si je ne parviens pas à m'offrir pour cette guerre, mais seulement à prier pour elle. Je Te demande pardon, si j'ai fait souffrir certains de mes jeunes, certains adultes, si j'ai fait souffrir mon frère, je T'en demande pardon. Mon Dieu, je Te demande pardon, si je T'ai fait souffrir. (Tourné vers l'Evêque). Je te demande pardon si je t'ai fait souffrir. Est-ce vrai que je t'ai fait souffrir quelquefois? (L'Evêque fait signe que non) Si Tu nous dis de partir parce que l'heure est arrivée, nous devons partir.

L'Evêque - Qu'il nous le dise.

Marisa - C'est ce que j'ai dit. Nous ne pouvons pas continuer ainsi. Mon Dieu, je ne sais plus quoi Te dire.

( L'Evêque fait appeler les autres)

Marisa - Je T'aime. Mon Dieu, je T'aime, je T'aime, je T'ai tant aimé, je n'ai pas honte à le dire. J'ai tant aimé les hommes, tous les hommes, même ceux qui me faisaient souffrir. Je pensais ne pas savoir aimer, mais je sais aimer. Je sais les aimer tous, je veux les aimer tous, mais il me reste bien peu de temps, je sens que l'heure arrive. Si cette heure est arrivée, mon Dieu, parle à l'Evêque, dis lui: "Partez pour Rome, c'est l'heure de préparer le départ de cette enfant". Si au contraire ce n'est pas encore l'heure, mais que j'ai encore un peu de temps, fais-moi jouir un peu avec mes amis et mon Evêque, fais-moi aller mieux. Tu as dit que si je prenais l'Eucharistie, j'irais mieux, mais je vais toujours mal, mal, mal.

Mon Dieu, mon Papa, je T'aime, comme je les aime tous, même si parfois des mots forts sortent de ma bouche, mais c'est ma façon de parler, même pour plaisanter un peu, remonter un peu le moral. Je Te demande pardon, corrige ces imperfections, et décide-Toi. Prends une décision, mon Dieu, as-tu besoin de tant de temps pour prendre une décision? Si nous devons partir, partons pour tout bien préparer. (Tournée vers l'Evêque) N'est-ce pas? Tu es d'accord. Adieu, mon Dieu, adieu, Mère de l'Eucharistie, adieu, Saint Joseph, adieu, maman, je viendrai bientôt vous retrouver.

J'aimerais vivre dans une situation meilleure que celle-ci, sinon je viens te retrouver et nous serons heureux ensemble, parce que je n'en peux plus ainsi et l'Evêque n'en peut plus non plus, il ne tient plus sur ses pieds, il ne réussit plus à rien faire. Ce n'est pas possible que Tu aies traité tes deux enfants de cette manière pendant trente cinq ans. Nous avons dit oui à tout, je suis fatigué, fatiguée.

(On chante "Je T'aime Seigneur ")

Marisa - Tu vois Jésus, qu'en dépit de tout, nous réussissons à chanter, pleurer, prier et rire, mais nous attendons une réponse. Si je dois mourir d'ici peu, nous devons rentrer à Rome. Tu sais que je ne veux pas mourir ici, je veux mourir à Rome avec les miens. Mais si tu me donnes encore un peu de santé, fais que j'aille un petit peu mieux. Ne me fais pas passer des nuits pareilles, il y a de quoi devenir fou. Et puis tu dois faire dormir l'Evêque, parce que lui aussi ne tient plus sur ses pieds et comment fera-t-il pour m'aider? Je ne suis pas une petite fille, je suis adulte. La Madone dit: reste une enfant. Tu dois nous aider à aller bien, un petit peu, un tout petit peu, je ne demande pas beaucoup, un petit peu, mais retire-moi cette douleur que j'ai là et qui me tourmente. (Tournée vers l'Evêque) Tu nous donnes la bénédiction ?

L'Evêque - Ils ne disent rien?

Marisa - Pas encore.

L'Evêque - Voulons-nous chanter encore un cantique?

Marisa - Non, bénis-nous, cela suffit, je suis fatiguée.

(L'Evêque donne la bénédiction eucharistique à ceux qui sont présents et la Communion à Marisa)

Villetta Barrea (AQ), le 23 juillet 2006 - 13h20 (Lettre de Dieu)

Marisa - La voilà, la voilà. Je te remercie d'être venue. Nous avons tant besoin de toi, de ton aide, de l'aide de Dieu le Père, de Jésus, de l'Esprit Saint, de Saint Joseph et de ma maman. Nous avons besoin d'une réponse très importante, précise et claire. Nous ne pouvons pas continuer ainsi.

La Madone - Marisella, je prends la parole en m'unissant à toutes les prières que l'Evêque a formulées hier soir, cette nuit et ce matin et avec lesquelles vous vous êtes adressés à Dieu en tant que ses enfants; vous êtes des enfants de Dieu. Ton départ arrive, mais il n'aura pas lieu ces jours-ci. Vous avez encore un peu de temps à passer ensemble, à vous réjouir et à prier. Je sais que la souffrance est grande.

Tu as d'abord dit que tu te sens imparfaite et la Maman te demande: en quoi? Tu ne saurais pas me répondre. La réponse de Dieu est donc que le départ arrive, mais que vous aurez encore du temps, peu naturellement, pour être ensemble. Ceci ne doit pas vous affliger, cela doit vous consoler. Vous devez vous dire que votre soeur finira finalement de souffrir et que lorsqu'elle sera au Ciel avec Nous, elle priera pour vous. Elle priera aussi pour vos êtres chers, vos amis, parents, enfants qui ne croient pas et qui arriveront à croire. Vous devez accepter le départ de votre soeur, parce qu'elle doit finir de souffrir.

Je vous dis qu'elle n'a pas demandé à souffrir pour que la guerre cesse, mais seulement à prier, elle ne demande plus de souffrances, elle ne peut plus prendre sur elle les maladies de ceux qui vont mal, elle peut seulement prier, vous aussi, vous devez prier pour elle. Priez afin que Dieu lui donne la force ainsi qu'à l'Evêque de tout accepter jusqu'à la fin. Quand j'emporterai Marisella au Paradis, vous devrez faire une cérémonie plus belle que celle d'un Mariage, d'une Première Communion, de la Confirmation, et du Baptême. Vous devrez faire une très grande cérémonie aux yeux des hommes, aux yeux de tout le Paradis et vous devrez être heureux. Marisella, je sais que tu souffres énormément que tu sens ce serpent qui te ronge. Oui, c'est vrai que le mal qui est en toi te ronge, te consume, t'épuise, mais vois-tu, tu iras mieux d'ici peu, tu pourras te reposer. La douleur a diminué et tu le dois aux prières de Son Excellence et des amis présents.

Courage, avance dans la grâce de Dieu. Ne vous en prenez pas à Dieu, Il n'y est pour rien, c'est la vie naturelle du monde. Soyez bons, acceptez cette souffrance de Marisella, acceptez son départ, son ascension vers le Père, parce que ce sera également un bien pour vous. Marisella, j'aimerais t'appeler Miriam et de tous les noms que je te donnais quand tu étais petite, mais laissons cela, je te donne la force d'accepter et de continuer, ensemble avec Son Excellence, votre saint Evêque. Je le répète à nouveau, pour être déclaré saint par Dieu, il ne faut ni témoignages, ni procès de canonisation, ni mettre les tapisseries à Saint Pierre. Pour Dieu, votre Evêque est saint et Marisella est sainte.

Dieu vous bénit tous, Dieu vous aide tous, Dieu vous aime et toi, Marisella, tu l'aimes, je le sais. Acceptez tout. Vous voyez que maintenant il n'y a plus le problème de la nourriture qui a créé avant une discussion permanente. Elle prend Jésus et vivra pour Jésus tout le temps qui lui reste à vivre. Merci de vos prières.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos parents et vos enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Excellence, s'il te plaît, plus de larmes.

Marisa - Adieu.

Elle est partie.

L'Evêque - Pour toi, ton monde approche et quand tu seras là-haut, tu seras très puissante.

Marisa - Très puissante?

L'Evêque - Tu convertiras beaucoup d'autres personnes.

Mais je ne comprends pas: ils pleurent toujours et je ne peux pas laisser libre cours à ma douleur?

Villetta Barrea (AQ), le 25 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Deux démons, grands, forts et féroces ont effrayé votre soeur et sont prêts à revenir pour lui faire du mal. Ils sont jaloux d'elle plus que jamais, parce qu'ils savent qu'elle leur enlèvera beaucoup d'âmes.

Quand elle montera au Paradis, elle emmènera avec elle les âmes du Purgatoire choisies par Dieu. La grande frayeur qu'elle a eue aujourd'hui, pauvre créature, lui a rappelé celle qu'elle a eu enfant et qui s'est renouvelée aujourd'hui d'une manière très impressionnante et brutale. Les démons ont essayé de la tuer en la terrorisant. Monseigneur, ne la laisse pas seule. Je sais que tu as beaucoup à faire, mais ne la laisse pas seule. Mets une petite chaire d'or dans sa chambre et travaille à côté d'elle. Je sais que je te demande beaucoup, mais si Dieu n'intervient pas jusqu'à sa mort, elle a besoin de ton aide. Toi aussi, Chiara, quand tu travailles, ne fais pas tant de bruit et surveille l'état de Marisella, afin de voir si elle a besoin d'aide. Aide aussi l'Evêque, parce qu'il ne peut pas faire tout tout seul. Ce qui s'est passé a été terrible, mais nous l'avons aidée et sauvée. Je répète que ce genre de situations terribles et ces méchancetés se répèteront encore. Les démons essaieront de transpercer son corps et son âme, mais elle est de Dieu et ils ne peuvent pas faire ce qu'ils veulent.

Marisella, sois forte et courageuse, plaisante, ris, fais des mots d'esprit, comme tu sais le faire, et continue. Excellence, tu ne dois pas te faire plus de soucis qu'il ne faut. Si tu le peux, fais ce que je t'ai dit, fais-le. Si tu ne le peux pas, envoie quelqu'un auprès d'elle qui vit en état de grâce.

Vous ne pouvez pas vous imaginer comme ce qui s'est passé a été brutal et épouvantable, il s'est passé quelque chose de quoi épouvanter le monde entier. Je le répète, d'autres actes diaboliques seront encore perpétrés contre elle, parce qu'elle est maintenant de Dieu et ils ne le veulent pas. Dieu lui a donné la permission d'emporter au Paradis des âmes du Purgatoire et cela ils ne le veulent pas; c'est pourquoi ils essaieront encore par tous les moyens de la tuer, mais cela n'arrivera pas, soyez tranquilles. Elle souffrira, elle souffrira beaucoup, mais rien n'arrivera qui puisse la tuer. Je vous demande à tous d'être courageux. Je ne voulais pas vous parler de ce qui est arrivé aujourd'hui, j'ai attendu toute la journée et puis finalement, j'ai dit à Marisella: "Marisella, parlons en ce soir, vous dormirez ainsi la nuit". Je vois que Monseigneur est très fatigué, Chiara aussi, mais toi, Marisella, qui a été la plus mal de tous, c'est toi la plus gaie.

Jésus, la Mère de l'Eucharistie, grand-mère Iolanda et tous les anges et les Saints t'aideront et te remercient. Je sais que tu as très faim maintenant. Prends toute l'Eucharistie, tu verras que ta douleur à l'estomac passera. Je sais que Dieu t'a donné une souffrance qui n'est pas rien. Les autres sont heureux que tu ne manges pas, ne boives pas et tu devrais être aussi heureuse, parce que tu souffres beaucoup moins.

Marisa - Mais je souffre maintenant, j'ai souffert hier. Quel est le jour où je n'ai pas souffert? Ce fameux 8 juillet. Aidez-moi, je vous en prie, j'en ai tant besoin. J'ai besoin de votre aide. Vous êtes si nombreux, aidez moi et l'Evêque.

La Madone - Le Paradis ouvre toute la création pour vous faire monter. Comme vous avez vu les enfants jouer avec les fleurs, dans une si belle harmonie, vous devez faire de même. Chantez, priez, louez Dieu, même si, parfois, vous pensez que Dieu vous a fait beaucoup souffrir. Il faut faire Sa volonté et continuer.

Adieu à tous. Adieu, Marisella, je vous souhaite à tous une bonne nuit.

Ensemble avec mon et saint Evêque, je vous bénis, mes enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Souvenez-vous des enfants, des fleurs et des chants.

Marisa - Est-ce que je dois jouer comme les enfants?

La Madone - Marisella, tu es comme les enfants.

Marisa - Ne me fais pas honte.

La Madone - Je t'ai dit d'autres fois, reste comme tu es, parce que tu nous plais ainsi. A ceux qui ne te respectent pas, ne t'aiment pas, fais un sourire, cueille même une fleur et offre leur.

Marisa - Et avec quelles jambes?

La Madone - Ne t'inquiète pas. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Bonjour, maman.

Grand-mère Iolanda - Donne ce baiser à son Excellence (elle envoie un baiser).

Marisa - Je sais que tu penses beaucoup à lui. Alors, si tu penses beaucoup à lui, aide-le. Il est fatigué, fatigué, je vois qu'il est très fatigué.

Grand-mère Iolanda - Ne t'inquiète pas.

Marisa - Comment ne pas m'inquiéter, quand je vois que mon frère est fatigué?

Grand-mère Iolanda - Ne t'inquiète pas.

Marisa - C'est bon. Adieu à tous.

Ils sont partis.

Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Puis-je parler avant toi, ma petite Madone?

La Madone - Oui.

Marisa - Merci. J'aimerais comprendre ce qui s'est passé ce soir, je t'en prie, même si ce que tu dois me dire n'est pas beau, dis-moi, ce qui s'est passé. Qu'est-ce qui s'est passé dans mon corps? Il n'y a que ça que j'aimerais savoir pour ma tranquillité et te demander ensuite de me faire reposer et de faire se reposer Son Excellence et ceux qui sont avec nous. Dis-moi ce qui s'est passé, parce que je deviens folle, je perds la tête ce soir.

La Madone - Marisella, tu ne te souviens pas que je t'ai dit hier que le démon t'attaquerait par tous les moyens et il t'a attaquée en te faisant manger deux feuilles de salade empoisonnées.

Marisa - Mais pourquoi ne me l'as-tu pas dit avant?

La Madone -Le démon est puissant, très puissant et ceux qui t'ont attaquée sont les plus puissants qui existent. C'est lui qui a essayé de te brûler l'estomac, de te faire mal. Je t'ai dit et je le dis aussi à Son Excellence, vous devez être vigilants, c'est le moment le plus terrible de ta vie, mon enfant. Le démon te tente par tous les moyens, il ne te touche pas parce que tu as l'Eucharistie, mais il fait d'autres choses, bien plus fortes, bien plus graves. Tu étais fatiguée et tu n'as pas compris quand je t'ai dit: "Laisse la nourriture "

Marisa - Je n'ai pas compris, je n'ai pas compris, j'ai seulement remarqué que la salade était très amère, j'ai encore maintenant un goût très amer dans la bouche.

La Madone - Eh bien, je te le répète, mon enfant, les démons t'assiègent. Si l'un s'en va, il en vient un autre, si deux s'en vont, il en vient trois, si trois s'en vont, il en vient quatre, parce qu'ils veulent te détruire, te tuer, c'est pourquoi je t'ai dit: "Ne reste jamais seule", il suffit qu'une personne, en état de grâce naturellement, soit près de toi.

L'Evêque - Ma j'y étais.

Marisa - Mais quand tout cela s'est-il passé? Quand, toi, Excellence, tu te reposais cet après-midi.

La Madone - C'est justement parce que l'Evêque se reposait, qu'ils ont abusé de toi, t'ont donné à manger et tu as mangé.

Marisa - Mais je croyais que c'était toi qui me le disait.

La Madone - Non, Marisella, tu sais que tu dois vivre de l'Eucharistie, je ne pouvais pas te le dire.

Marisa - Mais alors pourquoi ne m'as-tu pas secouée, empêché de manger? J'ai mal, je deviens folle avec toutes ces douleurs, je n'en peux plus de vivre ainsi et ce sera l'Evêque après moi. Cela je ne le permets pas, je ne le veux pas, je t'en prie, sauve au moins l'Evêque, sauve-le, sauve-le.

La Madone - Sois vigilante à partir de maintenant, parce que le démon pourra se présenter sous l'aspect d'un homme ou d'une femme. Tu te souviens quand il s'est présenté portant mes vêtements, mais que son visage était laid? Je te répète que tu dois rester vigilante, parce que le démon peut aussi se cacher sous les traits d'un homme ou d'une femme qui peut te faire du mal. Les démons qui veulent te terroriser et te tuer sont fort nombreux. Ne reste jamais seule, sois toujours avec quelqu'un qui vit en état de grâce. Marisella, écoute la Maman, fais comme je te dis, prie, souffre et offre tes souffrances et n'écoute personne, écoute seulement l'Evêque. Excellence, aide cette enfant.

L'Evêque - Je suis prêt à l'aider, mais je suis dans une confusion totale, je ne comprends plus rien. Tu as vu: je priais et je me suis endormi. Que dois-je faire, veiller vingt quatre heures sur vingt quatre? Rester toujours éveillé? Que dois-je faire?

La Madone - Non, non, quand tu dormiras, je viendrai et je serai ici avec elle.

L'Evêque - Et aujourd'hui pourquoi n'étais-tu pas là, excuse-moi.

La Madone - Je suis venue deux fois aujourd'hui, je ne pensais pas qu'une telle chose arriverait. Même moi, quand je suis sur la Terre, je suis une femme comme vous, j'agis comme vous et je n'aurais jamais pensé qu'en dépit de ma présence, le démon aurait tenté de l'empoisonner.

L'Evêque - Pardonne-moi, Maman du Ciel, il est possible que je ne comprenne plus rien, mais ne pouvais-tu pas me réveiller, me faire comprendre la tromperie que préparait le démon? Qu'est qui se passe ici?

La Madone - Je t'ai déjà dit que quand je suis sur la Terre, je suis moi aussi une femme comme les autres.

L'Evêque - Et alors qui peut nous défendre?

La Madone - Si j'avais compris les intentions du démon à son égard, je t'aurais réveillé et t'aurais dit: "Sors de ton lit et va chez ta soeur".

Marisa - I'Evêque prie beaucoup, beaucoup, beaucoup, il a toujours le rosaire dans ses mains, il est toujours prêt à prier. Petite Madone, fais-nous comprendre encore quelque chose, parce que nous en sommes réduits à la dernière extrémité. Moi aussi, je ne comprends rien, j'ai la tête qui bourdonne et tourne, l'Evêque souffre du même état. Pourquoi nous avez-vous réduit à cet état ? Dieu ne peut-il pas intervenir?

La Madone - Je ne dis rien d'autre, mon enfant, mais à partir de ce soir, toi et l'Evêque vous attacherez le rosaire à votre bras et resterez toujours ensemble, à moins que l'Evêque ait des tâches à accomplir, dans ce cas il y aura Chiara ou quelqu'un d'autre dans la grâce de Dieu auprès de toi. Moi, en tant que maman, je vous demande pardon de ne pas avoir été capable de comprendre la tromperie diabolique. En tant que femme de la Terre, moi aussi je n'ai pas compris ce qui se passait. Pardonnez-moi, mes enfants.

L'Evêque - Mais Dieu ne pouvait-il pas te le faire comprendre?

La Madone - Si, mais il n'a rien dit.

L'Evêque - Pourquoi?

La Madone - Chiara, je te remercie de ce que tu fais pour Marisella. Reste auprès d'elle. Ne la laisse jamais seule, le temps presse.

L'Evêque - Ma petite Madone, tu sais que je suis toujours près d'elle et même aujourd'hui quand un jeune m'a dit de faire deux pas, je lui ai répondu: "Non, je suis fatigué", mais la vérité est que je voulais rester près de Marisa.

La Madone - Je t'en prie, Excellence, je t'en prie, sois fort comme tu l'as toujours été.

L'Evêque - Peux-tu nous débarrasser de ce cauchemar diabolique?

La Madone - Ne t'effondre pas, Claudio, ne t'effondre pas, mon fils.

L'Evêque - Je ne m'effondre pas, je ne m'effondre pas. Mon Dieu, je m'adresse à Toi. Mon Dieu, pourquoi permets-Tu qu'il nous arrive ce qui n'est jamais arrivé à personne? Pourquoi cela nous arrive-t-il dans un moment déjà aussi dur? Père, je m'adresse directement à Toi, sans passer par la Madone. Pourquoi arrive-t-il ici quelque chose qui nous détruit? Mon Dieu, veux-Tu notre destruction? Père Céleste, veux-Tu nous voir finis?

Dieu le Père - Jamais, jamais, mon fils.

L'Evêque - Mon Dieu, j'ai tant prié, parce que je pressentais qu'il se passerait quelque chose de terrible. J'ai prié nos anges gardiens, Ismaele et Gioele, pour qu'ils nous défendent, mais personne ne nous a défendus.

Dieu le Père - Ils vous ont tous défendus, sinon Marisella ne serait plus ici à cette heure et tu n'aurais pu faire la belle cérémonie que tu as faite. Elle est encore avec toi. N'es-tu pas heureux qu'elle soit encore avec toi?

L'Evêque - Si, mon Dieu, mais à quel prix!

Dieu le Père - Alors, tu veux que je l'emporte?

L'Evêque - Non. Nous devons d'abord rentrer à Rome, pas maintenant, mon Dieu. Je T'en prie, je T'en supplie, Tu es Tout-puissant. Je sais que les démons en veulent à mort à ma soeur à cause du bien qu'elle a fait, et des conversions qu'elle a obtenues avec ses souffrances. En la détruisant, ils savent qu'ils me détruisent aussi. Je T'en prie, je T'en supplie, mon Dieu, envoie Tes anges, qu'ils nous servent de rempart contre ces démons. Je lutterai, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour les éloigner. Je sais que c'est le dernier combat et que nous vaincrons contre les démons parce que Tu es avec nous. Mais je me permets de dire, que cela me bouleverse d'entendre parler la Madone comme elle l'a fait aujourd'hui. Mon Dieu, tu m'entends?

Dieu le Père - Oui, je t'écoute.

Marisa - Mon Dieu, mon Père, ne m'abandonne pas en ce moment. Où es-tu? Où es-tu, papa? Fais que cette douleur si atroce s'apaise, que je puisse me reposer et recommencer demain une vie difficile, mais pleine d'amour pour sauver d'autres âmes. Dieu, mon Dieu, mon Père, ne nous abandonne pas, je T'en prie, nous avons besoin de Ton aide. Nous n'avons maintenant qu'une jeune fille qui nous aide. Peux-Tu nous envoyer une autre personne pour nous aider? Mais qui soit bonne, qui nous aime vraiment.

Dieu le Père - Ne pense pas à cela maintenant, reste encore un peu ici, puis va te coucher et attache le rosaire à ton bras.

L'Evêque - Je sais que je dois également attacher le rosaire à mon bras.

Marisa - Nous aimes-Tu, mon Dieu? Aies un peu de bonté, un peu de pitié, un peu de compassion pour nous. Comment vas-tu maman? Vas-tu bien? Pourquoi ne me fais-tu pas aller bien un petit peu? Je vis de l'Eucharistie, je ne mange rien. Ce soir les démons m'ont mis dans cet état, mais si Tu le veux, Tu peux m'aider et me faire aller mieux. Peux-Tu me faire aller mieux? Peux-Tu me faire reposer? Si je pouvais vomir, me libérer de ces vers, de ces animaux que j'ai en moi, je serais heureuse avec toi, Dieu, avec toi, Marie et avec mon frère.

La Madone - Adieu, mes enfants, je vous souhaite une bonne nuit et vous aide autant que je peux. Si les démons se présentent à nouveau, vous devez être forts et vous accrochez au rosaire et si tu devais vomir, mon enfant, ne t'inquiète pas, parce que les vers sortiront et tu te sentiras mieux.

Marisa - Pouvons-nous vous dire bonne nuit? Jésus, bonne nuit, mon Dieu, bonne nuit. Soyez un peu compatissant envers nous, je vous en prie. Adieu. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - As-tu compris ce qui s'est passé?

L'Evêque - J'ai compris, Marisella, ce qui s'est passé.

Marisa - Que dois-je faire? Je ne comprends plus rien.

L'Evêque - Nous t'aiderons.

Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 14h50 (Lettre de Dieu)

Marisa -Don Claudio a été suspendu a divinis, parce qu'il a seulement célébré une Sainte Messe dans le lieu thaumaturgique. Puis, parce qu'il a été ordonné Evêque par Dieu, il a été réduit à l´état laïc. L'Evêque a toujours souffert et continue à souffrir. Vous m'avez fait prendre l'Eucharistie à la place de nourriture et je vais encore plus mal, même si j'ai dit à l'Evêque que j'allais mieux, ce n'était pas vrai. J'ai dit que j'avais dormi toute la nuit, mais ce n'était pas vrai.

Mon Dieu, que veux-Tu de nous? Où es-Tu, où Te caches-Tu? A quoi le sacerdoce lui a-t-il servi, s'ils lui ont ensuite interdit de célébrer la Sainte Messe? A quoi lui a servi d'être ordonné Evêque par Toi, mon Dieu? A souffrir, à être humilié et condamné? Combien de calomnies et de diffamations contre l'Evêque! Je Te le répète: A quoi cela a t-il servi de me nourrir de l'Eucharistie, si je suis mal ensuite? De plus, les démons nous tourmentent. Chasse-les. Ils font des choses horribles, épouvantables, écoeurantes. Chasse-les. Pardonne-moi, mon Dieu, mais je suis fâchée après Toi. Pourquoi m'as-Tu donné le don de me nourrir de l'Eucharistie? Pour faire plaisir à l'Evêque? Mais je vais très mal. Pense à tout ce que Tu nous a enlevé. Nous avons seulement souffert. Je Te demande pardon, mais je sens le besoin de Te dire ce que je pense. Et toi, Marie, Mère de l'Eucharistie, pourquoi ne nous aides-tu plus comme autrefois? Et toi, maman, que fais-tu dans le ciel? Pourquoi ne viens-tu pas nous aider?

Grand-mère Iolanda - Mes enfants, je suis avec vous, mais je suis une simple créature de Dieu, je ne suis pas importante comme vous le pensez.

Marisa - Maman, maman, tu es importante, pour nous au moins. Aide-nous, petite maman, je t'en prie, aide-nous ou emporte-nous, dis à Dieu de nous emporter, parce que la souffrance est si grande. Je vous demande seulement d'aider l'Evêque, quand je ne serai plus là. Aide-le, maman, je te le demande, aide ton fils, Petite Madone, aide-le. Mon Dieu, je ne sais pas où Tu T'es caché, mais si Tu le veux, aide l'Evêque. Tu l'as ordonné, mais Tu l'as conduit à une souffrance énorme. Pardonne-moi ce que j'ai dit; si je mérite Ta bénédiction, donne-la moi, si je ne la mérite pas, ne me la donne pas, de toute façon mes pensées à ton égard restent les mêmes. Mon amour pour Toi, mon Dieu, est très grand, mais je me sens morte à présent.

Dieu le Père - Marisella, Je suis Dieu. Je T'ai aidée et tu ne t'en es jamais rendue compte. Oui, c'est vrai que beaucoup de démons tournent autour de toi et cherchent par tous les moyens à te faire mourir, pour que tu n'emportes pas au Paradis les âmes du Purgatoire, mais ils n'y sont pas parvenus jusqu'à présent. Seul Moi sait quelles âmes monteront au Ciel, puis je te le dirai aussi et tu y monteras avec elle. Excellence, ton Papa n'a pratiquement pas le courage de te dire courage.

L'Evêque - Mon Dieu, je n'ai plus ni force ni courage.

Dieu le Père - Je te dis courage. Vous devez avoir beaucoup de courage, parce que vous êtes fortement malmenés par les hommes et les démons. Mais maintenant, je t'en prie, fais-le pour ta soeur, va manger quelque chose pour reprendre des forces, sinon tu vas t'affaiblir.

L'Evêque - Et elle?

Dieu le Père - A elle je dis de recommencer à manger un petit peu.

Marisa - Mon Dieu, je t'ai dit: Tu m'as donné l'Eucharistie pour que j'aille mieux, et tous étaient heureux, mais j'ai souffert et je souffre toujours, mais fais comme Tu veux, ce que Tu veux. Dois-je prendre l'Eucharistie? Je prendrai l'Eucharistie. Dois-je prendre un peu de nourriture? J'en prendrai.

L'Evêque - Papa, dis-le nous clairement.

Dieu le Père - J'ai dit: Marisella, tu peux manger un petit peu.

L'Evêque - Quoi?

Dieu le Père - Quelque chose. Ou elle ne prend que l'Eucharistie, ou l'Eucharistie et un peu de nourriture.

L'Evêque - Qu'est-ce qui est le mieux?

Marisa - Si l'estomac est aussi très malade avec l'Eucharistie, je ne veux pas manger, parce que je n'ai pas faim. Je ne comprends pas pourquoi Tu me donnes l'Eucharistie pour me faire aller mieux et c'est pire au contraire, je ne parviens pas à l'accepter. Même quand nous avons mis l'Eucharistie dans de l'eau, afin que je puisse la boire sans risque, j'ai été malade, cela je ne parviens pas à l'accepter, mon Dieu, mais que Ta volonté soit faite.

Dieu le Père - Attends encore un peu, parce que tu dois agir en secret des démons. Prends l'Eucharistie et nous verrons comment cela ira.

L'Evêque - Mon Dieu, pourquoi ne les chasses-Tu pas? Tu es Dieu … Tu me réponds?

Dieu le Père - Je suis Dieu, mais cette créature doit s'immoler jusqu'à la fin pour sauver les âmes.

L'Evêque - Mais nous ne pouvons plus vivre ainsi.

Marisa - Donne moi toute la souffrance, soulage l'Evêque et donne-lui des forces. Il m'a toujours aidée, il a toujours été fort, mais maintenant je le vois dans un état où il n'en peut plus. Nous sommes deux, il ne peut pas me voir dans cet état, et je ne peux pas le voir dans cet état, et Toi que fais-Tu mon Dieu? Tu Te caches?

Dieu le Père - Je suis parmi vous. Si je vous ai demandé, à toi spécialement, Marisella, cette autre épreuve, c'est pour sauver beaucoup d'âmes.

Marisa - Et je n'ai pas besoin d'être sauvée, quand je T'ai dit que je vais très mal à me nourrir seulement de l'Eucharistie? Pardonne-moi ma hardiesse.

Dieu le Père - Non je ne suis pas offensé, je sais que cela ne vient pas du coeur.

L'Evêque - Mon Dieu, nous avons plus d'un mois devant nous, je ne peux plus vivre dans ces conditions.

Marisa - Réponds lui. Il n'en peut plus. Veux-Tu nous aider? Même si je suis mal, donne-lui des forces. J'ai compris maintenant que je garderai mes douleurs, mais ce qui me tue, c'est de savoir que tous pensent, même les neveux, qu'en me nourrissant seulement de l'Eucharistie, j'irai bien et tous étaient heureux, mais ils ne savaient pas au contraire que je souffrais et je ne pouvais pas non plus leur dire.

Dieu le Père - Trésors de Dieu, avancez avec foi et amour. Moi, Dieu, je suis avec vous et je ne vous abandonnerai jamais.

Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 22h55 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Excellence, mon fils, trésor de Dieu, tu t'es immolé pour la conversion des prêtres, en particulier pour celle des prélats de haut rang. Souviens-toi que Je décide de tout et que seulement Moi peux décider si tu peux me voir ou ne pas me voir, tant que tu es en vie. Tu ne peux pas dire: "Quand j'accompagnerai Marisella au Paradis, lors de son départ, je ne verrai pas Dieu".

L'Evêque - Merci, Papa.

Dieu le Père - Je ne parle plus. Parce que si tu devais parler encore…

L'Evêque - Non parle, parle, cela me fait plaisir, mon Dieu que Tu parles.

Marisa - Cela te fait plaisir, mais pas à moi, Marisa.

L'Evêque - Pourquoi?

Marisa - Parce que je suis fatiguée et je n'ai pas la force de m'entretenir avec Dieu.

L'Evêque - Alors, abandonnons.

Dieu le Père - Mon fils, tu dois m'écouter.

L'Evêque - Dis-moi, mon Dieu, mon Papa.

Dieu le Père - Tu ne dois rien dire, c'est Moi, Dieu, qui décide de tout. Comme tu le vois, c'est à Moi de décider pour Marisella. Vous les hommes, vous ne pouvez pas changer ce que Je dis ou fais.

L'Evêque - Il ne manquerait plus que cela.

Dieu le Père - Qu'en sais-tu, si tu me verras ou non, quand tu accompagneras ta soeur au Paradis? Tu dois seulement faire ce que Je te dis de faire et si Moi, Dieu, je veux t'emporter au ciel, qui es-tu pour dire non?

L'Evêque - Mais je viens volontiers, et comment.

Dieu le Père - Moi, Dieu je ne plaisante pas.

L'Evêque - Je le sais, Seigneur.

Dieu le Père - Ne dis pas et comment, parce que…

L'Evêque - Il est possible que je ne m'exprime pas bien ce soir, mais il est logique que mon grand désir soit de toujours faire Ta volonté.

Dieu le Père - La grande souffrance est celle de ta soeur …

L'Evêque - Oui, c'est vrai.

Dieu le Père - Cela ne veut pas dire que tu sois moins saint ou plus saint qu'elle. Laisse Dieu décider, Je suis Dieu, Je suis ton Papa. As-tu bien compris?

L'Evêque - J'ai parfaitement compris.

Dieu le Père - Alors?

L'Evêque - Merci, mon Dieu, mon Papa.

Marisa - Tu dis maintenant merci parce qu'il nous a dit tout ça?

L'Evêque - Cela te parait peu?

Marisa - Dieu nous sourit.

La Madone - Moi, la Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph et tous les anges et les Saints du Paradis, nous sommes ici présents avec vous. Mes petits enfants, vous ne devez pas avoir peur. Oui, je connais les démons, ils sont puissants, féroces, méchants et peuvent vous faire du mal. Mais tant que tu auras Jésus, moi, l'Evêque et ceux à côté de toi qui prient, tu seras aidée, ma fille.

Marisa - Je suis sûre que vous m'aidez, mais n'oublie pas que je suis très peureuse. Je ne peux pas oublier ce jour horrible, ce feu horrible, comme je ne peux pas oublier qu'ils m'ont fait manger du poison. Maintenant j'ai peur, j'ai très peur. Si du devais me dire à un certain moment de manger, je ne mangerais pas, parce que j'ai peur de manger, peur de boire, peur de tout. J'aimerais, Seigneur et toi petite Madone, que vous m'aidiez à supporter la souffrance, parce que mon corps est martyrisé de partout et je n'ai plus la force de supporter toute cette souffrance. J'ai posé une question à Dieu et j'attends sa réponse. Je ferai ce qu'Il décidera, mais c'est dur de vivre pour moi, très dur. Je désirerais maintenant savoir si tante Anna est au Paradis avec grand-mère et maman.

La Madone - Marisella, ta tante Anna est au Paradis depuis des années. Tu ne te souviens pas quand tu l'appelais petite Madone? Tu as souvent parlé avec elle. Bien sûr au Paradis, c'est grand-mère Iolanda qui trône, mais il y aussi tante Anna, dont c'est la fête aujourd'hui, parce que c'est la fête de Sainte Anne et de Saint Joachim, mes parents.

Marisa - Donc, maman, en plus de sa maman, ma grand-mère, il y a aussi sa soeur.

La Madone -Ta tante Anna est montée au Paradis avant grand-mère Iolanda, cela fait quarante ans qu'elle est morte, trésor.

Marisa - Me donneras-tu la réponse que j'attends de Dieu si anxieusement? Je me ne soucie pas de savoir si ce sera oui ou non, pourvu que j'aie sa réponse et je ferai la volonté de Dieu. De toute façon, combien de temps me reste-t-il à vivre? Si vous le voulez, vous pouvez me donner un peu de joie pour le peu de temps qu'il me reste à vivre.

Ecoute, Jésus, Dieu est-t-il parti dormir? Il ne va pas chez Son Excellence?

Jésus - N'exagérons pas maintenant, nous ne dormons pas, nous chantons, prions, sommes tous unis dans l'amour, la charité, la prière, tous ensemble avec Dieu. Quand tu vois une belle fleur, c'est Dieu, quand tu vois une étoile lumineuse, comme il y a quelques jours, c'est Dieu. Tant que tu vivras sur la Terre, tu verras Dieu sous la forme d'une fleur ou d'une étoile, puis quand tu monteras au Paradis tu le verras, tel qu'il est, ta joie sera alors grande et belle.

Courage, Marisella, sois forte et accepte cette souffrance si grande, sois torturée dans tout ton corps, tu es Martyre de l'Eucharistie.

Marisa - C'est bon, je le demanderai ensuite à mon frère l'Evêque, parce que je ne me souviens jamais des choses.

Jésus - C'est bon, continuez maintenant à faire la sérénade à Marie, puis tu prendras des comprimés pour dormir.

Marisa - Me ferez-vous dormir un peu?

Jésus - Pas toute la nuit, naturellement, tu dormiras un petit peu.

Marisa - Merci.

L'Evêque - Jésus, pouvons-nous veiller à tour de rôle et faire reposer Marisella?

Jésus - Pas les autres, parce qu'ils travaillent dur du matin au soir.

L'Evêque - Je veillerai.

Jésus - Pas toi, parce que tu dois vaquer à beaucoup de tâches, tu dois aider ta soeur, tu dois écrire et faire ton travail. Marisella veillera pour tous. Soyez heureux et obéissants tous tant que vous êtes.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Il y a aussi tante Anna. Adieu, adieu à tous, dites bonjour à Dieu de ma part.

Villetta Barrea (AQ), le 27 juillet 2006 - 21h27 (Lettre de Dieu)

La Madone -Me voici, Marisella. C'est moi la Mère de l'Eucharistie, et grand-mère Iolanda m'accompagne. Dieu donnera sa réponse à l'Evêque, mais je ne sais pas quand. La seule chose venant de moi est de te conseiller de manger des haricots verts que tu peux même assaisonner.

Marisa - Je ne connais pas les haricots verts.

L'Evêque - Peux-tu manger des haricots verts?

Marisa - Je les connais?

L'Evêque - Ce sont ceux que tu as dit d'assaisonner. Peux-tu les manger?

La Madone - Oui, ce soir.

L'Evêque - Est-ce toi, petite Madone, ou quelqu'un d'autre?

Marisa - C'est la Madone. Qu'est-ce que cela veut dire?

L'Evêque - Est-ce la Mère de l'Eucharistie?

Marisa - C'est la Madone. Oui, elle est très belle, maman est belle aussi.

La Madone - Ce soir et tous les jours, je te dirai quoi manger en fonction de ton état. Si tu n'avais pas ce creux à l'estomac comme aujourd'hui, tu prendrais seulement l'Eucharistie, sinon tu mangeras un peu. Mange ce soir deux haricots verts.

Marisa - Mais je ne les aime pas.

La Madone - Assaisonne les comme tu as dit et tu verras que tu les aimeras, si l'Evêque le permet.

L'Evêque - Oh oui, oui, oui!

Marisa - Qu'est-ce que l'Evêque a à voir avec ça, c'est Dieu qui décide.

La Madone - Non, trésor, ce conseil vient de la Maman. C'est moi, la Mère de l'Eucharistie, qui te dis de manger des haricots verts, tard dans la soirée. Sais-tu pourquoi je te le dis? C'est parce que tu ne les aimes pas. Tu les manges et tu fais ainsi pénitence.

Marisa - Mais tu es rusée! Attends, Don Claudio, sais-tu ce qu'elle a dit?

L'Evêque - J'ai entendu. Demande-lui pourquoi tu as eu toujours faim aujourd'hui, bien que tu aies reçu plusieurs fois l'Eucharistie.

Marisa - Pourquoi ai-je eu toujours faim aujourd'hui, alors que j'ai pris l'Eucharistie?

La Madone - C'est Dieu qui l'a permis. Quand il arrive des situations particulières, importantes, c'est à Dieu, seulement à Lui, de décider, et tu as été très bonne, parce que tu as gardé confiance jusqu'à la fin, tu as accepté de faire la volonté de Dieu, tu as obéi à Dieu jusqu'à la fin. Manger des haricots verts est pour toi un sacrifice, donc tu mangeras des haricots verts, quand tu le pourras.

Marisa - Mais pourquoi?

La Madone - C'est un sacrifice parce que tu ne les aimes pas, c'est une pénitence parce que tu ne les aimes pas.

L'Evêque - Il suffit qu'ils ne te fassent pas mal.

Marisa - Je ne comprends plus rien.

La Madone - Ne t'inquiète pas, l'Evêque a fort bien compris.

Marisa -Ecoute, mais puisque je ne les aime pas, est-ce qu'ils ne me feront pas mal?

La Madone - Non, si je te le dis de les manger. Tu dois faire la pénitence, la mortification et le sacrifice. Tu ne les aimes pas? Tu les manges. Si tu aimes un aliment délicieux, celui dont nous avons parlé aujourd'hui? Tu n'en manges pas. Comprends-moi, tu manges un peu de haricots verts et tu fais en même temps le sacrifice, la pénitence et la mortification qui ont pour Dieu une valeur énorme. Tu auras après l'Eucharistie, trésor. Ne t'inquiète pas si tu devais encore souffrir de la faim, parce que Dieu me dira que faire, j'obéirai à Dieu et tu m'obéiras. Es-tu contente?

Marisa - Oui, oui. Je suis contente, il suffit qu'ils ne me fassent pas mal, mais pour manger deux haricots verts, je dois faire pénitence, une mortification, un sacrifice, et s'ils sont mal préparés, le sacrifice est double.

La Madone - Non, tu les assaisonnes toute seule, comme tu l'as fait les autres fois.

Marisa - Dis-moi la vérité, puis-je vraiment en manger? Parce que je souffre, mais je ne veux pas désobéir à Dieu, par charité, j'ai toujours obéi à Dieu, je ne veux pas lui désobéir. Puis-je vraiment en manger?

La Madone - Marisella, je suis ta Maman, tu ne penses pas que je te dise une chose pour une autre?

Marisa - Non, mais ces derniers temps, il y a eu un tel flot de paroles et je n'ai plus rien compris. Est-ce que c'est bien ce que je lui ai dit?

L'Evêque - Oui, tu es bonne.

Marisa - Bonne? Tu es bon.

L'Evêque - Non, tu es bonne.

Marisa - Si je suis bonne, tu es … (elle s'adresse à a Madone)

L'Evêque - Elle est très bonne.

Marisa - Tu es très bonne.

L'Evêque - On peut tout dire à une maman.

Marisa - Je pensais qu'elle avait ri davantage hier.

L'Evêque -Aujourd'hui, elle a moins ri.

Marisa - Oui.

L'Evêque - J'avais compris que Dieu t'avait permis d'avoir un creux à l'estomac, je te l'ai dit.

Marisa - Don Claudio, tu seras avec moi quand je mangerai?

La Madone - S'il y a l'Evêque avec toi, Marisella, veux-tu que je sois là moi aussi? Si je te mange les haricots verts, que mangeras-tu?

Marisa - Ne me mange pas ces deux haricots verts qu'on me donne. Oui, c'est bien, je te remercie, Petite Madone, je sais que je ne mérite rien, mais je ne veux pas désobéir à Dieu, absolument pas.

La Madone - Alors prions ensemble le Dieu tout-puissant, Notre Père …

Marisa - Petite Madone, fais que l'Evêque, Marco, Chiara et Marisella aillent bien. Adieu, merci, merci, merci. Ce qui est beau c'est que je n'aime pas les haricots verts.

L'Evêque - Comment va ton estomac?

Marisa - Bien.

L'Evêque - Je suis heureux.

Marisa - La douleur est passée.

Villetta Barrea (AQ), le 29 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Dieu le Saint Esprit, nous aimerions que Tu nous dises quelque chose: que Tu nous aimes, que Tu nous veux du bien, que Tu nous aides. Nous avons besoin de Toi. Mon cher Evêque demande toujours le don des langues. Pourrais-Tu le lui donner? Il n' a pas besoin du don de toutes les langes, il suffirait que Tu lui donnes le don de parler le français, l'anglais, l'allemand, le portugais, l'espagnol, l'arabe et le russe.

Dieu le Saint Esprit - Marisella, tu me demandes tout.

Marisa - Je le demande pour lui, parce qu'il ne parvient pas à parler à tous. Quand des étrangers viennent, il ne peut leur parler, parce qu'il ne connaît par leur langue. Me promets-Tu, Dieu le Saint Esprit, que Tu lui donneras ce don? Prends tout de moi, je ne m'en lamente pas de toute façon parce que je n'ai rien et donne-le à l'Evêque, qui a tant besoin de cela. Il a également besoin que des personnes l'aident, l'aiment, le respectent. Envoie-nous quelqu'un, comme il faut, je t'en prie. Esprit Saint, Esprit d'amour, éclaire mon esprit, embrase mon coeur, aide-nous ainsi que tous ceux qui T'invoquent, parce que nous avons besoin de Toi. Je ne demande rien pour moi, je demande seulement le don des langues pour mon Evêque. Quand aura-t-il ce don des langues?

Dieu le Saint Esprit - Quand Dieu le dira, Dieu le sait.

Marisa - Il doit encore dire quand.

Dieu le Saint Esprit - Vous devez comprendre que Dieu fait ce qu'il veut, comme il le veut et quand il le veut, ce n'est pas à vous de décider.

Marisa - Mais nous pouvons demander.

Dieu le Saint Esprit - Oui, vous pouvez demander tout ce que vous voulez. Tu as vu, Marisella, comment Dieu t'a exaucée aujourd'hui?

Marisa - Oui, je ne m'y attendais pas en effet, parce que je nuis pas bonne. Il faut que je dise ce que je pense, je n'arrive pas à me taire.

Dieu le Saint Esprit - Il faut être ainsi: dire ce que l'on pense, toujours dire la vérité. Très cher Excellence, prépare-toi et quand Dieu le voudra, Il te donnera ce que tu lui demandes, mais seulement quand Il le décidera.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Que la bénédiction du Saint Esprit et de Marie, Mère de l'Eucharistie, descende sur vous. Attention! Il y a des personnes qui disent: "Au nom du Père, de la Mère, du Fils et du Saint Esprit". C'est un blasphème, une hérésie très grave. Les trois personnes sont: le Père, le Fils et le Saint Esprit; la Madone est la Maman de tous, mais c'est une créature.

Marisa - Nous n'avons jamais dit cette formule, je n'y ai jamais pensé.

C'est bon, adieu.

Dieu le Saint Esprit - L'Esprit Saint descend sur vous. Adieu, Marisella.

Marisa - C'est la première fois que le Saint Esprit m'appelle Marisella, je ne l'ai jamais entendu le dire avant.

L'Evêque - Mais est-ce que tu te rends compte? Nous appelons Dieu, et Il vient.

Villetta Barrea (AQ), le 29 juillet 2006 - 21h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Nous sommes trois Miriam: la Madone, Marisella et la petite fille.

Je suis venue bénir la petite Miriam. Je l'ai déjà bénie à l'hôpital quand elle était à peine née et que tu y étais avec moi, Marisella, là aussi nous étions trois Miriam.

Je bénis les parents, je vous recommande de ne pas la gâter, de ne pas la cajoler de trop et de faire qu'elle grandisse saintement.

Marisa - Miriam voit maintenant la petite Madone et rit. La petite Madone te regarde, trésor. Voilà, elle te sourit.

Bénis-nous tous et aide-nous à supporter ces longues et dures souffrances, aide surtout l'Evêque qui n'en peut plus de vivre ainsi, je ne peux pas l'aider davantage.

Dieu nous avait promis de nous aider à empêcher les démons de nous tourmenter. Ne les fais plus venir, je t'en prie! Nous avons tant souffert. Fais en sorte qu'ils ne viennent plus et donne-nous un peu de paix, de tranquillité et de calme.

Aide aussi la petite Chiara qui nous a été si proche et a beaucoup souffert avec nous, mais je te recommande surtout l'Evêque.

La Madone - Et la Maman recommande l'Evêque aux jeunes.

Marisa - C'est Toi, mon Dieu!

Dieu le Père - Oui, tu me reconnais parce que tu as vu l'étoile. Marisella, tu as un trésor d'enfant dans les bras et grâce à toi, cette enfant est maintenant parmi vous.

Je te promets, Dieu ne ment pas, que les démons ne viendront plus vous torturer, ils ne viendront plus, ma fille! Tu as trop souffert. Prends l'Eucharistie et mange quelque chose que tu te sentes capable de manger.

Excellence, les démons ne viendront plus, parce que Je les écraserai un par un.

L'Evêque - Merci, mon Dieu.

Marisa - Merci, mon Dieu. Tu vois cette enfant? Elle est aussi mienne.

Dieu le Père - Elle est surtout tienne, Marisella, parce qu'elle est née par tes souffrances.

Marisa - Je Te remercie, j'aimerais maintenant avoir Ta bénédiction.

Dieu le Père - Lève-toi simplement, Excellence.

Marisa - J'aimerais Ta bénédiction pour cette enfant.

Dieu le Père - Moi, Dieu le Père, je te bénis, petite Miriam, avec tes parents et Marisella. Croîs en beauté, bonté, force et courage. Je vous bénis tous.

Moi, le Dieu tout-puissant, Je suis trop sévère et trop dur à vos yeux, mais J'ai fait ce que je devais faire. La situation changera maintenant, ces démons ne viendront plus et vous serez heureux. Mais tu sais, Marisella, que Je ne peux pas t'enlever tes douleurs. Ta mission est de souffrir.

Marisa - Oui, c'est bon, je ne pense pas aux douleurs, je suis heureuse que Tu sois intervenu. J'éprouve une grande joie. Merci. Je suis surtout heureuse pour Son Excellence. Est-ce que Tu l'aimes? Tu lui as dit de T'appeler Papa et puis Tu le fais souffrir.

Dieu le Père - Il n'arrivera plus rien. Le Ciel s'ouvre pour votre joie et votre bonheur. Il y aura encore des souffrances et des problèmes, parce qu'ils font partie de la nature humaine et il est humain que cela arrive, mais ce qui importe c'est que ces horribles monstres ne viennent plus, parce que Je les détruirai un par un, comme J'ai commencé à le faire ce soir.

Marisa - Excuse-moi, mon Dieu, puis-je m'asseoir, parce que je n'en peux plus de rester debout?

Regarde, comme elle Te regarde!

Merci, mon Dieu, merci de cette joie que Tu nous a donnée. Tu nous as donné un court message, mais si grand pour nous. Excellence, es-tu heureux?

L'Evêque - Je suis très heureux.

(Ceux qui sont présents chantent l'Alléluia)

Marisa - Dieu n'est plus là?

La Madone - Non, Marisella, il y a ta Maman et grand-mère Iolanda. Quand tu sentiras la faim et que l'Eucharistie ne la calmera pas, prends quelque chose, mais tu dois m'entendre et me voir pour manger.

Marisa - Merci, petite Madone, il se peut que je ne mérite pas cette joie. Merci de toute façon.

La Madone - Je vous bénis tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, mes chers jeunes. Je bénis l'Evêque et l'Evêque bénit naturellement la Maman et sa soeur.

Grand-mère Iolanda - Adieu, Excellence, c'est moi grand-mère Iolanda. Je prie beaucoup pour toi et Marisella, et aussi pour la petite Miriam.

La Madone - Et moi, la Mère de l'Eucharistie, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

L'Evêque - Marisa, as-tu compris que les démons ne viendront plus? Et il n'y aura également plus besoin de bénir chaque fois ce que tu manges et bois.

Marisa - Je n'avais pas espéré qu'Il nous le dise.

L'Evêque - Nous lui avons arraché cette grâce, nous ne pouvions plus vivre.

Villetta Barrea (AQ), le 30 juillet 2006 - 13h10 (Lettre de Dieu)

Marisa -Miriam aussi est là, petite Madone. Elle est agitée, je la berce. Elle a faim, est-ce que l'Enfant Jésus avait toujours faim?

La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence et de ce que vous avez fait pour mes deux anges. Tout est beau pour ceux qui agissent avec amour et vous avez tout fait avec amour et sacrifice, aussi parce que quand vous êtes nombreux, il est normal de faire quelques sacrifices. Mes chers enfants, mes petits apôtres, même vous avez suffisamment grandi désormais, la Maman vous aime et Dieu a voulu vous concéder des grâces, spécialement à toi, Marisella. Dieu viendra même aujourd'hui pour vous parler, vous dire quelque chose que vous désirez savoir, comprendre, même s'il n'est pas facile de comprendre Dieu. Ce que je dois vous dire est que je suis heureuse de la façon dont vous vous êtes conduits.

Marisa - Voilà Dieu! Je vois aujourd'hui une belle fleur toute lumineuse et c'est Toi qui es là. Je ne Te vois pas, je Te verrai quand viendra l'heure où Tu m'emporteras au ciel, si je le mérite, parce que si je ne deviens pas bonne il sera difficile de monter vers Toi. Tu es venu aujourd'hui avec une belle fleur. J'aimerais T poser une question mais je ne sais pas si je la poserai bien. Tu as dit que les démons seraient écrasés ou que Tu as commencé à le faire, à les détruire. J'aimerais savoir si tous les démons du monde seront détruits, anéantis ou seulement ceux qui nous ont combattus pour nous faire du mal.

Dieu le Père - Marisella, tous ne seront pas anéantis, pour le moment, mais on y arrivera aussi peu à peu. Contentez-vous pour l'instant que ceux qui vous ont importuné soient éliminés. Sois tranquille maintenant, tu me sembles aujourd'hui heureuse et satisfaite parce que tu n'as pas peur.

Marisa - Je n'ai pas peur et puis depuis que Tu viens souvent, je suis heureuse et n'ai pas peur. Donne aussi cet aide à l'Evêque, rends le heureux, il en a besoin. Pardonne-moi si je me permets de Te demander, si Tu ne pourrais pas nous envoyer quelqu'un qui nous aime bien pour nous aider?

Dieu le Père - C'est Moi qui commande, c'est Moi qui décide, c'est Moi qui agis et vous devez rester silencieux. Si Je dis à l'Evêque: "Je t'emporterai aujourd'hui au Paradis avec Moi", il doit seulement l'accepter.

Marisa - Attends un moment, allons lentement, il est encore tôt, il doit d'abord régler la situation de l'Eglise. Jusqu'à ce que tu m'appelles ...

Dieu le Père - Tu vois, Marisella, comme tu es devenue simple, même avec ton Dieu que tu ne vois pas?

Marisa - Oui, mais cette fleur est merveilleuse et ces lumières qui l'entourent sont magnifiques.

Dieu le Père - Donc, courage, mes enfants, ne soyez plus aussi abattus, soyez heureux et donnez un peu de joie à ces deux enfants et Moi, Dieu je vous en donnerai, parce que je veux vous emporter tous au Paradis.

Marisa - Et Miriam?

Dieu le Père - Tu es attachée à Miriam.

Marisa - Oui. Je voulais...

Dieu le Père - Elle reste sur la Terre avec ses parents, tu lui rendras visite, tu l'aideras, tu aideras la petite et puis quand l'heure viendra, puisqu'elle vient pour tous, ils monteront vers Moi.

Marisa - Elle veut chanter, mais elle n'a pas de voix.

Dieu le Père - C'est bien, mes enfants, participez maintenant à la Sainte Messe, pensez que Jésus y est, faites la Sainte Communion, vivez dans la grâce tous autant que vous êtes. Chantez, mais chantez bien! Chiara, vous devez bien chanter.

Villetta Barrea (AQ), le 31 juillet 2006 - 0h50 (Lettre de Dieu)

La Madone - Vous avez vécu trois années pleines de souffrance. Marisella a été plusieurs fois près de la mort et s'en ressent maintenant. La fatigue est grande, l'épuisement est grand, je suis près d'elle même la nuit quand elle dort. Elle était si épuisée ce soir, parce que la pauvre, souffre de tout cela, mais vous ne devez pas vous en inquiéter.

L'Evêque - La feras-tu dormir cette nuit?

La Madone - Si je suis près d'elle, c'est pour la faire dormir. Je vous répète que vous ne devez pas vous inquiéter, parce que le moment est arrivé où elle ressent tout ce qui s'est passé. Elle n'a pas seulement souffert pour elle-même, mais aussi pour vous et en particulier pour toi, Don Claudio, Excellence Révérendissime.

L'Evêque - Je le sais.

La Madone - Elle a souffert à cause de ces personnes que tu connais. Vous ne devez pas vous faire de soucis, parce qu'elles sont...

L'Evêque - Insensibles.

La Madone - Ces personnes la détruisent en ce moment, même si parfois elle fait semblant, elle souffre énormément.

Mes enfants, je suis près de vous. Bonne nuit à tous.

Marisa - Excellence, tu ne dois pas te faire de soucis, parce que si tu t'inquiètes, tu ne me fais plus vivre.

L'Evêque - Es-tu plus tranquille maintenant, Marisa?

Marisa - Oui, même si j'ai l'impression parfois de tomber dans un trou.

Villetta Barrea (AQ), le 5 août 2006 - 22h55 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, il est temps d'intensifier la prière, pour que la guerre se termine et que la paix triomphe. Priez pour tous ceux qui souffrent, qui meurent par la faute des méchants. Priez pour mes deux enfants, je suis toujours auprès d'eux, à n'importe quel moment, même s'ils disent qu'ils ne le remarquent pas. Je suis la Mère de l'Eucharistie et j'aime tous mes enfants, petits et grands. Essayez de comprendre combien ma tâche est difficile.

Quand le ciel s'assombrit, devient mauvais, et vous fait peur, vous pensez aussitôt à vous couvrir et à rentrer à la maison. Puis quand le soleil revient, vos coeurs tressaillent de joie. Le Christ est le soleil, et moi, la petite Madone, je suis la lune. Est-il si difficile de rester tous les jours en contact avec Jésus et la Madone? Qu'il pleuve, fasse soleil, fasse froid, vous devez toujours rester en contact avec tous. Je vous prie de prier pour ceux qui sont à Rome et qui ont souffert de la chaleur et en souffrent encore, pour ceux qui se rendent à notre Basilique pour prier pour vous. Priez, vous, pour eux.

Quand nous partirons pour le Jourdain, tout sera beau, il fera soleil, la lumière sera merveilleuse et notre Jésus parlera avec l'Evêque pour l'aider à avancer sur ce chemin difficile. Toi, Marisella, tu sais ce qui t'attend, alors je t'invite à prier pour l'Evêque et à souffrir pour lui, comme tu le fais toujours.

Marisa - J'espère que tu n'as pas oublié que je prie pour lui, que j'ai donné ma vie pour mon Evêque. S'il arrive là où Dieu le veut, ce sera grâce à tous ceux qui ont prié pour lui.

La Madone - Mes petits enfants, Sara et Emanuele, vous devez être bons et sages, vous devez manger, parler, écrire, jouer, vous pouvez tout faire, mais vous devez surtout obéir à papa et maman. Mes chers enfants, je me retire auprès de Dieu le Père et je serai demain de nouveau avec vous.

Cette nuit, Marisella, tu dormiras peu probablement, parce que je dois te dire quelques noms de ceux que tu emmèneras avec toi au Paradis.

Marisa - Y sont-ils aussi?

La Madone - Oui.

Marisa - Oh mon Dieu! Puis-je le dire à l'Evêque?

La Madone - Après.

Marisa - C'est bon. Je continuerai à prier pour tous. Combien sont ceux qui doivent venir avec moi au Paradis?

La Madone - Ils seront plus de 3000 au total. En es-tu heureuse?

Marisa - Bien sûr que je suis heureuse, mais ce que tu m'as dit m'a rendu encore plus heureuse. J'aimerais que tous les hommes aillent au Paradis avec Dieu le Père, Dieu le Fils et, Dieu le Saint Esprit, pour chanter ensemble des louanges à Dieu, prier Dieu, réciter des psaumes, être unis à Lui.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, je bénis Emanuele et Sara. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 6 août 2006 - 12h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Dieu le Père m'a envoyée aujourd'hui pour vous dire que la colonne de ceux qui doivent monter du Purgatoire au Paradis, avance lentement, ils ne sont plus immobilisés. Dieu vous en donne le mérite, c'est un grand don qu'il vous fait. Vous devriez être heureux de savoir que vos êtres chers montent au Paradis. C'est pourquoi je vous dis: priez, priez, priez pour vos défunts, afin qu'ils montent aussi au Paradis. Une très belle couronne de fleurs s'est formée ayant à sa tête la petite Madone, Saint Joseph et grand-mère Iolanda qui avancent pas à pas pour arriver jusqu'au Paradis. Souvenez-vous que conquérir le Paradis ne veut pas dire être toujours en prière, ou aller dans les sanctuaires pour y prier. Le Paradis se conquiert avec l'amour, l'obéissance et la charité. Vous devez tous être une seule chose, vous devez aimer. Parmi ceux qui avancent vers le Paradis, le chemin est encore long, certains ne sont jamais allés à l'église, n'ont pas beaucoup prié, mais ont su aimer. Il ne sert pas, je vous le répète, de rester à prier les mains jointes, il faut surtout aimer tous les hommes, même ceux qui font souffrir. J'attends ce jour où votre soeur montera au Paradis, emportant derrière elle toutes ces âmes qui sont plus de 3000: il y a parmi elles des enfants ayant l'usage de la raison, des adultes, des prêtres, des évêques, des cardinaux, tous montent lentement, lentement vers Dieu. Ceux qui voient Dieu éprouvent une grande joie et un grand bonheur. Il ne vous est pas possible pour l'instant de voir Dieu, mais quand vous monterez au Paradis, vous le verrez comme Il est. Dieu nous a fait ses enfants et il nous aime comme ses enfants.

Il ne me reste qu'à vous dire: priez et ne vous découragez pas, parce qu'alors le démon vous tente. Si vous vous découragez et êtes abattus, il est plus facile au démon de se jeter sur vous et de vous faire pécher. Vous devez être forts, parce que vous devez vaincre le démon. Comment peut-on vaincre le démon? Avec la prière, l'amour, en vous aimant les uns les autres. Le démon s'enfuit en particulier quand vous avez l'Eucharistie. Recevez l'Eucharistie tous les jours, ne vous abstenez jamais de la recevoir, à moins que vous ayez des motifs importants qui vous empêchent d'aller à l'église. Courrez y au contraire, faites la Sainte Communion, recevez Jésus dans votre coeur et vous verrez que le démon ne pourra rien vous faire. Même si vous êtes abattus et que vous vous effondriez, accrochez-vous à Jésus Eucharistie et avancez. Voyez la misère qu'il y a partout: la guerre, les hommes qui tuent. Vous devez essayer de prier pour empêcher le démon de détruire les âmes et faire que le monde redevienne comme Dieu l'a créé. Dieu n'a pas créé le monde pour vous faire souffrir, mais parce qu'il vous a aimés. Vous les hommes, vous n'avez pas compris tout cela et vous continuez à ne pas prier et à vous décourager. Faites pénitence, faites de petits sacrifices, faites prier vos enfants et vous verrez que tout ira bien.

Merci du fond du coeur à ceux qui participent à cette campagne pour le salut des âmes.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis tous les enfants et les malades. Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 13 août 2006 - 13h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Seulement en recevant Jésus tous les jours, vous pouvez aller au Paradis. Sans Jésus Eucharistie, vous ne pouvez pas aller au Paradis. Je suis seulement venue pour vous dire bonjour. Celui qui viendra après moi aura beaucoup à dire.

Dieu le Père - C'est moi Dieu. Je suis venu tous les jours pendant un certain temps et aujourd'hui, après plusieurs jours, je viens à nouveau vous voir pour vous remercier de tout ce que vous faites: des petits sacrifices, de la pénitence, telle que l'a suggérée votre Evêque, que vous avez faits pour la paix, pour aider Marisella et tant de personnes qui en ont besoin. Continuez, parce que les hommes parlent toujours beaucoup, mais la paix n'arrive pas de façon définitive. C'est aujourd'hui la paix, demain on ne sait. Vous qui partez et quittez ce lieu, priez et faites pénitence, peut-être un peu plus facilement.

Marisa - Ils ont choisi de manger du foie, je ne leur ai pas dit de le faire.

Dieu le Père - Faites ce que vous pouvez, mais priez pour la paix dans le monde. Moi, Dieu je serai à vos côtés, près de vous et je vous aiderai, comme j'aiderai aussi ceux qui sont loin en vacances. Ce sera pour Moi une grande joie de vous voir recevoir Jésus Eucharistie, ainsi vous pourrez un jour monter au Paradis. Savez-vous combien de personnes monteront avec Marisella au Paradis? Ce sont 3.540 jusqu'à aujourd'hui! Et la majeure partie de leurs noms n'a pas été écrite. Pauvre Marisella, c'est difficile pour elle de se souvenir de tous les noms, alors de tant en tant quand Je viens, Je lui dis les noms qu'elle doit écrire avec l'Evêque.

Ajoutez-y aujourd'hui Lauro, Giacomo, Luca, ce sont tous des personnes saintes, et en plus Massimo, Antonello, Giovanni et bien d'autres. Du nom de Iolanda, il y a seulement ta maman. Y aura-t-il une autre Iolanda? Qui sait. Ceci doit vous donner de la joie. Pensez à quand vous formerez vous aussi une guirlande de fleurs et monterez au Paradis, où vous trouverez tant de joie, d'amour et de charité.

Et puis d'autres y viendront, d'autres encore et finalement aussi les enfants.

Marisa - Mon Dieu, pourquoi maman rit-elle?

Dieu le Père - Parce qu'elle pense à toutes les âmes qui viendront avec toi au Paradis, liées les unes aux autres comme des fleurs. Combien d'âmes devons-nous encore sauver, Marisella?

Marisa - Nous voulons les sauver toutes. C'est Toi!

Dieu le Père - Oui, Je veux les sauver toutes. Je t'ai fait beaucoup souffrir pour sauver les âmes, pour sauver l'Eglise, pour le nouveau Pape, et tu sais à qui je pense. Il y a encore beaucoup à faire.

Marisa - Ecoute mon Dieu, parlons d'homme à femme. Puis-je m'exprimer ainsi?

L'Evêque - De créateur à créature.

Marisa - De créateur à créature. Si je dois attendre tout ce que je dois faire, je ne meurs plus! Je devais mourir en mars, puis en juin, nous sommes au mois d'août et je suis encore en vie. Quand m'emporteras-Tu? Si Tu ne m'emportes pas, comment ferai-je pour tirer la cordée de toutes ces âmes?

Dieu le Père - Courage, Marisella, je sais que tu plaisantes.

Marisa - Non, non, non, je ne plaisante pas du tout. Je Te parle de créateur à créature. Tu as entendu comme l'Evêque a parlé? Quand monterai-je au Paradis? Quand emporterai-je tous les autres au Paradis? Je n'ai plus de mots, mon cher Dieu. Je T'aime et je T'aime, mais je ne peux pas taire ce que je pense, parce que Tu es Dieu.

(Marisa se tourne vers l'Evêque) Dis-moi si je commets une faute.

L'Evêque - Non, c'est la fille qui parle au Père.

Marisa - Je suis la fille qui parle au Père. Nous essayons de nous dépêcher, fais que quand nous arriverons à Rome, tout soit finit, terminé, sinon j'irai m'acheter un cercueil et je me mettrai dedans. Ils rient tous là-haut, même maman rit.

Dieu le Père - Courage, mon enfant, je suis près de toi, je t'aime, comme tous ceux qui sont au Paradis t'aiment, en particulier ton époux Jésus, la Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, tante Anna et grand-mère Speranza.

Courage, aies confiance et sois forte. Adieu, Marisella.

La Madone - Dieu est parti et a donné de bonnes nouvelles à votre soeur. Ensemble avec votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés et toutes ces âmes liées les unes aux autres comme des fleurs pour monter au Paradis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils, et Dieu le Saint Esprit.

Louré soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 14 août 2006 - 14h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - J'écoute ce que vous dites.

La Madone - Je te remercie de tous les sacrifices et privations que tu as faits, de l'amour que tu as montré envers les hommes: ton directeur spirituel, Monseigneur Claudio Gatti, tes neveux et petits-neveux et les deux femmes qui sont ici pour vous aider. Ne pense plus à ce qui s'est passé. Ne te laisse pas troubler par ce triste souvenir.

Marisa - Oui, mais quand je mange, je sens encore tant ce goût amer. Je ne devrais pas le dire, mais j'éprouve de la répugnance et je ne parviens pas à manger parce que je sens ce goût amer dans ma bouche. De toute façon, je vous remercie, surtout parce que vous m'avez fait dormir. J'aimerais maintenant vous poser une question, que j'adresse à Jésus, à mon époux: du moment que je ne réussis pas à manger, parce que je sens toujours le goût amer de ce jour, puis-je manger des haricots verts?

Jésus - Bien sûr, c'est toujours une salade pour Nous.

Marisa - Tu m'as dit non hier.

Jésus - Nous voulions voir jusqu'où irait ton sacrifice. Tu as fait aussi le sacrifice, même si tu n'as pas mangé la salade. Donc sois tranquille, vis tranquillement, autrement nous ne parviendrons pas à te dire les noms des autres personnes qui monteront avec toi au Paradis. Sois heureuse, ma fille, c'est demain la fête de l'Assomption de Marie. Dites une belle Sainte Messe, même si vous êtes peu nombreux. Priez pour ceux qui sont loin et ceux qui vous ont occasionné tant de douleurs et de souffrances. Tu seras au déjeuner avec eux et tu mangeras avec eux, ce soir je te dirai ce que tu pourras manger.

Maintenant, je vous bénis et ceux qui sont au-dessus, spécialement les enfants. J'aimerais que vous sortiez prendre l'air. Sortez, essayer de faire marcher votre soeur parce que ses jambes ne tiennent plus; essayez quand même toujours de la faire marcher.

Marisa - Ce ne sont pas eux qui ne veulent pas essayer, c'est moi qui n'arrive pas à marcher.

Jésus - Bien, essayez, d'abord une minute, puis une autre minute, jusqu'à arriver à 5 minutes. Cher Monseigneur, tu fois faire un cadeau à ta soeur.

L'Evêque - Cela ne vaut pas pour les lettres?

Jésus - Qui sait si vous l'aurez à temps. Toi, de toute façon, fais lui un cadeau personnellement.

L'Evêque - Je le fais volontiers, tu le sais.

Marisa - Il n'y pas de magasins.

L'Evêque - Je ne sais pas où le faire.

Marisa - Tu dois rester tranquille, parce qu'il n'y a pas d'argent à dépenser. Nous devons payer cette maison, l'autre et la maison de Rome. Ecoute, Jésus, je voulais te demander si tu m'aimes vraiment? Parce que tu me fais tant souffrir, tant, tant et tant? Je sais que les souffrances sont nécessaires pour sauver les âmes, pour faire triompher la paix, pour le futur Pape et pour la renaissance de l'Eglise, mais je suis très fatiguée, très, mais je ne dirai jamais non, je ne me retirerai jamais, sois tranquille. Jésus, je serai toujours ton épouse bien-aimée et Toi mon époux bien-aimé. Merci.

Jésus - Moi, Jésus, je vous bénis et vous emporte avec joie dans mon Coeur. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 14 août 2006 - 23h30 (Lettre de Dieu)

Saint Joseph - Quand Dieu le Père, Jésus et mon épouse bien-aimée sont présents, que puis-je vous dire? Seulement que je vous aime. Aimez-vous tous. Je ne peux rien dire d'autre, sinon de vous aimer.

La Madone - Avec mon époux bien-aimé, Saint Joseph, je vous bénis vous tous ici présent au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Villetta Barrea (AQ), le 15 août 2006 - 12h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es en vêtements de fête!

La Madone - Comme vous, j'ai fait aujourd'hui de mon mieux pour être belle.

Marisa - Tes vêtements sont magnifiques.

La Madone - Avant de monter au Ciel et après nous être arrêtés au Jourdain, nous sommes allés au Gethsémani et y avons prié. C'était très émouvant de voir les petits enfants prier, la tête baissée jusqu'à terre et de réciter le Notre Père, le Gloria, le Je vous salue Marie en hébreux. Les petits enfants n'ont pas bougé, jusqu'à ce que nous finissions de prier; même nous, nous avions la tête inclinée jusqu'à terre. Tous les anges nous entouraient et attendaient mon assomption au Ciel. Après un peu de temps, j'ai entendu mon Tout qui m'appelait: "Marie, viens", et je suis de nouveau montée au Ciel. Quand je suis morte, j'ai été immédiatement transfigurée et je suis montée avec mon âme et mon corps au Paradis, où je me suis énormément réjouie en y voyant tous ceux qui m'étaient chers, comme je me réjouis aujourd'hui de vous voir, vous qui m'êtes chers.

C'était très beau quand nous sommes partis du Jourdain et sommes allés prier au Gethsémani, où nous avons vu les enfants, qui priaient, priaient, priaient à genoux, la tête contre terre. Ils ne prient pas maintenant, parce qu'ils jouent, mais faites-les venir à la Sainte Messe; ils sont petits, mais l'un d'eux a fait sa Première Communion et l'autre, s'il le veut, peut suivre son frère. C'est aujourd'hui une grande fête au Paradis et vous devez aussi faire une grande fête. Quelqu'un m'a demandé un cadeau pour Marisella, et m'a dit: "Je lui ai fait un cadeau et toi? Tu m'as dit de lui faire un cadeau et je suis allé lui en faire un. Je désire que vous lui fassiez le cadeau de la faire aller un petit peu mieux". En effet, elle est mieux aujourd'hui et s'est reposée, même s'il y a la maladie et qu'elle soit grave, elle réussit à surmonter cela aussi en faisant le clown et la rigolote.

Marisa - Pourquoi me dis-tu cela? J'aime plaisanter et quand je vais mal si je me décourage c'est pire. Au contraire, je plaisante avec toi, avec Jésus et les autres du Paradis. Puis nous en parlons avec ceux de la Terre.

La Madone - J'aimerais qu'en ce jour de fête de mon Assomption au Ciel, vous priiez encore plus. Allez faire une promenade et quand vous serez en auto récitez doucement le Saint Rosaire de tout votre coeur.

Priez pour tous ceux qui se préparent à monter du Purgatoire au Paradis avec Marisella. Réjouissez-vous de cette joie.

Excellence, tu n'es pas heureux que toutes ces âmes aillent jouir du Paradis?

L'Evêque - Très heureux.

La Madone - Il y a beaucoup de prêtres parmi elles.

L'Evêque - C'est une grande joie.

La Madone -Il s'y trouve également des évêques et des cardinaux.

L'Evêque - Comment s'appelle l'Evêque d'Aquila dont je ne me souviens plus du nom de famille?

La Madone - Tu veux que je te dise les noms de famille de tous les prêtres et évêques?

L'Evêque - C'est un de ceux peu nombreux qui nous ont aimés.

La Madone - Je sais. Regarde sur ton agenda, tu y trouveras son nom. Vous écrivez chaque jour le nom de centaines de personnes, tu dois être heureux.

L'Evêque - Je le suis.

La Madone - Doucement, doucement. Ils ne peuvent pas écrire les noms de 3.540 personnes, tous ensemble, c'est une immense fatigue. Tu veilles à ce que Marisella n'ait pas mal à la tête quand je te dis les noms? Faites doucement, doucement. Vous, aidez-les de vos prières et si vous connaissez un bon prêtre décédé, une bonne personne décédée, dites-le à votre Evêque. Je te dis maintenant Anna, la grand-mère de Giacomo.

Marisa - Oui, je l'ai connue. Elle vient avec moi?

La Madone - Bien sûr.

Marisa - Quand je le dirai à Franco, il sera très heureux et ému. Aide-nous à emporter d'autres âmes, et c'est logique, nos parents en particulier.

La Madone - Aujourd'hui, j'aimerais entendre parler l'Evêque. N'as-tu rien à dire à ta Maman?

L'Evêque - J'aimerais avant tout te remercier. Je suis celui qui a dit: "Je lui ai fait un cadeau, faites-lui en un maintenant", parce que quand Marisa va un petit peu mieux, je me régénère. Pardonne-moi d'oser faire une comparaison qui ne veut pas être irrespectueuse. Je me comporte comme Dieu quand il se manifeste à Marisella sous la forme d'une fleur: quand Il lui donne de bonnes nouvelles, elle rayonne de lumière et de joie quand Il lui donne de mauvaises nouvelles elle dépérit. Je réagis de même avec Marisella: quand elle va un petit peu mieux je rayonne de joie et quand je la vois souffrir je dépéris; j'ai donc quelque chose en commun avec notre Papa.

Je me réjouis énormément actuellement, parce que les noms de parents et de prêtres que nous avons connus figurent sur la liste de ceux qui iront au Paradis. C'est une immense joie pour moi, parce que nous serons en bonne compagnie au Paradis. Je te demande maintenant de tenir sous ton manteau les prêtres que je devrai ordonner évêques et les évêques et cardinaux qui devront m'aider. Je commence à penser à eux depuis un certain temps. Je pense maintenant à l'avenir de l'Eglise et à mon avenir. Je désire d'une part que cela s'active pour que le bien triomphe et d'autre part j'ai très peur, puis je pense que ce seront toi, Marisella et grand-mère Iolanda qui m'aiderez et alors je me tranquillise. Merci de toute façon. Je te demande de bénir tous les membres de la communauté qui nous ont été proches dans les moments douloureux et de placer ta main surtout sur les petits enfants. Fais-les croître sains spirituellement et physiquement, éloigne le mal de leurs âmes, pour qu'ils soient vraiment des enfants de la Mère de l'Eucharistie.

Merci de m'avoir écouté.

La Madone - Merci à vous tous.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés Je bénis tous les enfants et les malades. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 20 août 2006 - 15h15 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, ta souffrance est grande parce que les âmes qui doivent être sauvées sont si nombreuses. Regarde, combien d'âmes tu emporteras derrière toi quand tu iras vers le Père Céleste. N'en es-tu pas heureuse?

Marisa - Si, j'en suis heureuse, mais je n'en peux plus. Nous sommes deux à souffrir, nous sommes deux à être exténués, parce que nous n'avons personne qui nous aide, qui soit près de nous. Nous n'avons personne, nous ne sommes que deux.

La Madone - Vous deux et Nous cinq, cela fait sept personnes.

Marisa - Oui, mais Vous êtes là-haut et nous sommes ici bas; c'est terrible. La planète Terre me fait si peur, je ne veux plus rester sur la Terre. Je t'en prie, aide-nous. J'ai mangé un petit peu aujourd'hui, fais que j'aille un peu mieux, que je n'ai pas de douleurs si terribles qui me font crier et me sentir mal. Aidez-nous.

La Madone - Nous vous aidons.

Marisa - Vous le dites toujours, mais nous ne sentons pas votre aide.

La Madone - Nous vous aidons, Marisella, mais nous ne pouvons pas faire plus parce que ta tâche est d'emmener beaucoup d'âmes au Paradis; c'est pourquoi les douleurs qui te font tant souffrir sont si grandes de temps à autre, mais tu verras qu'ensuite tout sera beau et que tu te réjouiras avec ta maman.

Marisa - J'aimerais que tu m'emportes avec toi au Paradis, et l'Evêque aussi. Qu'a-t-il à faire ici? Il ne fait rien d'autre que souffrir, souffrir et souffrir. Cela fait un temps que je le vois toujours pleurer, il n'est pas possible qu'un homme, que Dieu a ordonné Evêque, doive toujours pleurer et souffrir. Je n'en peux plus de le voir dans cet état. Essaie de me comprendre, petite Madone, je t'en prie, emporte-le avec moi, emporte-nous ensemble.

La Madone - C'est une décision que doit prendre Dieu le Père.

Marisa - Dieu le Père doit décider de tout, mais en un mot, nous sommes fatigués, si fatigués. Nous avons donné à tous: aux hommes, aux prêtres et à l'Eglise; c'en est assez maintenant, nous n'en pouvons plus. Tu dois nous aider, je t'en prie, tu dois nous aider.

La Madone - Bien sûr que je dois vous aider, je suis la Maman, mais ta tâche, Marisella, demeure.

Marisa - Encore? Ne me fais pas souffrir comme cette nuit, je t'en prie. Je n'en peux plus de souffrir comme cette nuit. Je t'en prie, Petite Madone, je t'implore de tout mon coeur, emporte-nous et si tu ne veux pas nous emporter tous les deux, emporte-moi et envoie-le là où Dieu le Père veut qu'il aille.

La Madone - Souviens-toi, Marisa, que devenir Pape signifie vivre de grandes souffrances et affronter de grands sacrifices.

Marisa - Tu l'aideras. Quel type de maman serais-tu autrement?

La Madone - J'aime quand tu parles ainsi. Maintenant au nom de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, je vous couvre de mon manteau maternel, je vous serre tous sur mon coeur, comme je serre sur mon coeur la petite Miriam, et je vous emporte avec moi.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Adieu, maman.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Elle était vraiment maman.

Villetta Barrea (AQ), le 20 août 2006 - 23h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de ce que vous avez décidé de faire: renoncer au sommeil pour prier pour Marisella. Si vous avez des difficultés, ne vous inquiétez pas, allez vous coucher, mais si vous pouvez faire ce sacrifice pour votre soeur, faites-le et Dieu en sera heureux comme je le serai. Même grand-mère Iolanda en sera heureuse. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme mon amour est grand quand je vous vois ainsi les uns près des autres et que vous vous aidez, quand vous parlez de Jésus, de Marie, quand votre Evêque commence à faire le catéchisme qui, entre parenthèses, ne finit jamais. Cela vous plaît et vous êtes heureux, nous le sommes aussi. Je ne devais pas venir ce soir, mais Dieu m'a dit: "Va, Marie, douce Maman, va voir mes petits enfants, aide-les, fais leur comprendre que nous sommes près d'eux, même si la grande souffrance règne, parce que c'est la mission de Marisella". Les autres missions lui ont été retirées, mais celle de souffrir pour les hommes, de faire que les hommes se convertissent, est sienne, et vous devez être heureux.

Marisa - Je voulais seulement te dire de me faire dormir un petit peu cette nuit, parce que les douleurs sont fortes et ma fatigue est grande. Si tu le veux, va trouver Dieu, mets-toi à genoux devant Lui, comme le faisait Jésus au Gethsémani, avec la tête contre terre, et dis-Lui: "Dieu, Père Tout-puissant, aide ces enfants qui sont miens, fais-les se reposer", tu verras qu'Il ne dira pas non, parce que Dieu nous aime à sa façon; c'est nous qui parfois ne comprenons pas son amour.

La Madone - Merci, merci à vous ici réunis. Deux brebis sont même revenues, les autres sont encore par monts et par vaux, mais tous les jeunes feront la pénitence de ne pas dormir et de prier. Je vous remercie et ensemble avec mon saint Evêque et martyr, je vous bénis, vos êtres chers, les jeunes qui sont avec vous et tous ceux qui sont loin et ont une famille. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman, ne fais pas comme cette nuit, viens si j'en ai besoin; malicieuse je le dis à la maman et pas à la Madone.

Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2006 - 20h15 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je suis la Reine du Ciel, mais je n'ai pas de couronne et tu le sais. Regarde tous les anges et les Saints qui sont autour de moi, regarde grand-mère Iolanda comme elle est plongée dans la prière. Je vous aime en tant que Mère et que Reine. Vous ne m'attendiez pas parce que nous deux, nous nous sommes déjà entretenues aujourd'hui.

Marisa - Oui, mais je croyais qu'eux aussi avaient entendu mais ils n'ont rien entendu.

La Madone - Nous avons parlé de Son Excellence, Monseigneur Claudio, et nous en avons dit du bien. Dieu attend la conversion de ses enfants, surtout des prêtres. Cette épreuve si dure qui semble ne jamais finir, se terminera parce que l'Evêque ne peut plus vivre ainsi et ne peut pas toujours se battre contre les pasteurs indignes. Vous devez dans la souffrance être proches de l'Evêque, vous devez prier pour lui, ne vous fâchez pas pour des bêtises. Dieu veut l'amour et vous devez vous aimer, mes chers enfants. Vous devez vous aimer tous et si quelqu'un ne se conduit pas bien, il ne doit pas être présent à mon apparition et quand Dieu se manifeste. Il ne doit pas participer à la Sainte Messe s'il ne peut pas faire la Sainte Communion. Si vous ne faites pas la Communion que venez-vous faire à la Messe? Priez pour tous les pécheurs. As-tu vu, Marisella, combien d'âmes iront au Paradis avec toi? Je suis heureuse qu'il y ait parmi elles des parents de Monseigneur Claudio et des parents à toi: vous le méritez. Quand Dieu le décidera, cette ascension au Paradis sera une grande fête pour tous et toi, ma fille, tu te réjouiras comme Son Excellence se réjouira parce qu'il est temps que vous ayez finalement vous aussi une grande joie. Priez Marie Reine, priez, parce qu'étant reine, elle peut avoir la force de vous aider. Essayez de ne pas pleurer, ce n'est pas en pleurant que les situations se règlent, mais en priant.

L'Evêque - Mais je prie beaucoup.

La Madone - Et tu pleures beaucoup. Courage, Monseigneur Claudio, mon frère, mon fils, courage. Mes chers enfants, vous vivez une épreuve qu'aucun homme n'a jamais vécue dans le monde. Quand vous dites: "Ceux qui sont méchants jouissent et sont heureux, alors que les bons souffrent toujours" c'est vrai, du point de vue humain c'est ainsi; mais Dieu vous donnera quelque chose de plus grand, le Paradis pour l'éternité. Combien de temps aimeriez- vous vivre encore? Vous jouirez ensuite du Paradis pour toujours. Merci de votre présence.

Monseigneur Claudio, je veux te voir serein et lumineux; je sais que c'est difficile, mais tu peux y arriver. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je n'aime pas, Marisella, que tu aies tant de souffrances et que les hommes ne réussissent pas à la comprendre, mais je vois que tu es sereine et vis avec joie. Je t'en remercie.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, belle Reine, sans couronne, seras-tu aussi avec nous pendant la Sainte Messe? Seras-tu auprès de l'Evêque?

La Madone - Oui, comme toujours, et j'amènerai aussi grand-mère Iolanda et Saint Joseph.

Marisa - Soyez près de lui, étreignez le bien.

Marisa - Saint Joseph et grand-mère Iolanda viendront aussi après, pendant la Sainte Messe.

L'Evêque - Oui, j'ai entendu, cette fois j'ai entendu, nous avons tous entendu. Nous espérons que le moment de joie arrivera bientôt; Dieu le prépare.

Marisa - C'est ce qu'Il a dit.

Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2006 - 23h52 (Lettre de Dieu)

Marisa - Il est si difficile de supporter les souffrances et l'adversité, mon Dieu, Père Tout-puissant, Créateur de toutes les créatures. Toi qui nous as aimés jusqu'à nous donner Ton Fils, aide-moi, je t'en prie, fais que j'aille un petit peu mieux. Ne vois-Tu pas que la Maman pleure? Tu dois le faire surtout pour Monseigneur, il ne peut pas passer des nuits blanches à m'assister, parce que je suis torturée par les douleurs. Je Te l'ai demandé, cela ne T'engage pas. Si Tu le veux, aide-moi, j'ai besoin de Ton aide, si Tu ne peux pas m'aider, parce que Tu as d'autres plans, que Ta volonté soit faite.

Mon Dieu, aies pitié de moi si je ne suis pas capable de souffrir comme Tu le veux, pardonne-moi si quelquefois je T'appelle comme si Tu étais mon frère. Aies pitié de moi, mon Dieu, aies pitié de moi. Pardonne-moi, mon Dieu, pardonne moi la franchise avec laquelle je Te parle. Fais que les douleurs cessent un petit peu, peu, peu, je ne demande pas beaucoup. Je Te demande seulement de pouvoir me reposer, dormir, j'ai besoin de dormir. Vois-Tu que même le jour je ne peux plus rien faire du tout et que je finis par m'endormir à n'importe quelle heure? Dieu le Père, aide-moi, aide-nous: nous n'en pouvons plus. Nous T'avons toujours dit oui et nous continuerons à Te le dire, mais Tu dois nous aider, comme Tu nous l'as si souvent promis.

Dieu le Père - Je suis Dieu. Quand vient le moment de vous aider, je suis toujours présent. Quelquefois, des personnes ne méritant pas d'être en ma présence étaient présentes, Je me suis alors retiré et j'ai envoyé la Maman qui a parlé en mon nom. Marisella, douce créature du Ciel, sois forte. Monseigneur Claudio, mon fils, sois fort. Je vous aiderai, comme je l'ai toujours fait, même si vous pensez le contraire, mais votre route est épineuse et hérissée d'obstacles. Tu t'en souviens, Claudio? Nous traînerons notre chair pauvre et misérable sans prononcer de parole amère de révolte. Tu t'en souviens mon fils Claudio?

L'Evêque - Je m'en souviens.

Marisa - Oui, mon Dieu, mais aide-nous

Dieu le Père - Je vous donne ma sainte bénédiction, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Mon Dieu, merci. Fais-nous aller un petit peu mieux, je T'en prie, parce que nous n'arrivons plus à vivre ainsi.

Dieu le Père - Tu me défies encore, tu n'as pas encore confiance en moi? Je suis toujours prêt à vous aider, ce sont les hommes qui me repoussent.

Marisa - Pas moi.

Dieu le Père - Oh non, ma fille, petite Marisella! Tu as toujours souffert depuis ta naissance, ce n'est pas toi qui me repousses. Adieu, ma petite. Un baiser aussi au petit et grand Evêque que j'ai ordonné. Les hommes qui en disent du mal, qui ne croient pas que je l'ai ordonné Evêque, iront en enfer.

Je suis le maître du Ciel et de la Terre, et je peux faire ce que Je veux. Gare à ceux qui se sont permis de dire du mal, de calomnier mon Evêque! Ta soeur, Claudio, a bien parlé: "Nous pouvons vivre jusqu'à cent ans sur Terre, mais au Paradis nous jouissons pour toute l'Eternité ". Alors regardez le Paradis et ne pensez pas à ce temps que vous devez vivre sur la Terre. Priez avec Marie, la Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph, la maman de Marisella, que moi aussi, Dieu, j'appelle grand-mère Iolanda, et soyez unis à Moi. Priez, priez et priez.

Marisa - Adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 23 août 2006 - 22h20 (Lettre de Dieu)

La Madone - C'est l'heure de la grande prière au Paradis.

Marisa - Et alors, pourquoi es-tu en train de parler avec moi?

La Madone - Marisella, comment oses-tu?

Marisa - Tu sais que je plaisante. Quand demanderas-tu à Dieu le Père ce qui me tient tant à coeur?

La Madone - Parle d'abord avec ton directeur spirituel et demande lui: "Veux-tu venir au Paradis avec moi?".

Marisa - Il veut venir au Paradis avec moi.

La Madone - C'est bon. Tu le lui demandes et je parlerai ensuite au Dieu Tout-puissant, D'accord?

Marisa - Tu sais que cela me fatigue de parler et de respirer? … Oui, j'ai compris. Adieu. Je vais maintenant essayer de manger quelque chose. J'aimerais sentir que les autres m'aiment un peu, un peu. Tu te demandes pourquoi, mais je ressens ce besoin, sentir que les autres m'aiment, me donne du courage.

Tu m'emmènes avec Monseigneur? Emporte-nous, je t'en prie, je ne me sens pas capable de le laisser ici sur la Terre!

L'Evêque - Mais je t'accompagnerai.

Marisa - Non, reste avec moi au Paradis.

L'Evêque - Je dois retourner sur la terre, j'ai à faire, je ne peux pas abandonner la communauté. Souviens-toi de ce qu'a écrit Saint Paul.

Villetta Barrea (AQ), le 24 août 2006 - 23h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je t'en prie, ne parle plus comme ce soir. Tu as vu quelle journée nous avons eue tous les deux. Quand tu dois venir, avertis-nous, si tu veux, mais ne nous fais pas attendre si longtemps. Nous souffrons énormément. Dieu se fait entendre pour me dire que je dois faire Sa volonté. Toi, quand tu viens, tu es une douce maman, mais tu ne nous dis rien sur ce qui doit arriver. Nous avons écrit les noms de ceux que je dois emmener au Paradis, mais comment et quand cela arrivera-t-il? Demande à Dieu qu'il nous aide un petit peu.

Nous vivons dans des conditions désastreuses, mais nous t'aimons tant et nous aimons Dieu, mais nous sommes sur la terre. Nous souffrons comme aucun homme de la Terre n'a jamais souffert, personne ne peut comprendre notre souffrance. Viens, Maman, viens plus souvent! Nous avons besoin de toi. Ne vois-tu pas à quel point nous sommes détruits? C'est depuis 1999 que nous avons l'impression que l'on se moque de nous: "Cela arrivera, cela arrivera", mais jusqu'à présent rien n'est arrivé. La souffrance est toujours plus grande, mais je ne réussis plus à la supporter. Nous essayons de sourire, de parler à ceux qui viennent nous voir, mais notre coeur est en morceaux. Peux-tu nous aider, Maman?

Dis-nous, je t'en prie, ce que nous devons faire? Je pensais être arrivée, je vais plus mal qu'avant et je suis encore sur cette planète Terre. Dieu m'a appelé "créature du Ciel ". Quel ciel? Qu'est ce qui est en haut ou qu'est-ce qui est en bas? Je ne me sens pas comme une créature du Ciel. Ne me regarde pas, regarde notre Evêque, que tu aimes tant et que tu dis qu'il est ton fils. Tu l'aimes, mais que fais-tu pour lui? Depuis qu'il a été ordonné Evêque par Dieu, qu'a-t-il eu? Souffrance, souffrance et toujours souffrance; nous sommes fatigués. Devons-nous continuer à vivre ainsi? Nous avons l'intention de tout abandonner, de tout arrêter et de nous enfermer dans la maison, peut-être pour travailler et écrire. J'aimerais tant que l'Evêque arrête tout. Il pense toujours à la communauté, mais au fond, même s'ils sont bons, que peuvent-ils faire pour nous? Ils iront dans leurs églises et finiront eux aussi de souffrir. Pourquoi Dieu ne se décide-t-il pas à nous emporter?

La Madone - Marisella, je ne t'ai jamais entendu parler ainsi. On voit qu'il y a une grande souffrance dans ton coeur et dans celui de l'Evêque. J'ai beaucoup prié avec la maman et tu sais combien de fois nous sommes allées nous agenouiller devant Dieu et l'avons prié pour vous la tête baissée. Dieu a ses plans. Faites Sa volonté, ne faites pas souffrir la Maman et vous verrez que tout ira pour le mieux.

Marisa - Maman, ma petite maman, ce n'est pas une belle nuit qui m'attend, viens près de moi pour m'aider, parce que je suis si fatiguée. Viens, ma petite maman!

Grand-mère Iolanda - Je veillerai à ce que tu puisses te reposer, mon trésor, même si tu as beaucoup de douleurs, mon enfant. Je ne t'ai jamais vu souffrir autant et tu veux que la maman ne pleure pas à cause de cela?

Marisa - Je dis seulement: aide-nous, nous avons besoin de votre aide.

La Madone - C'est bon, ce soir nous parlerons de nouveau à Dieu le Père, nous prierons à genoux avec tous les anges et les Saints. Nous lui demanderons ce que tu as dit, Marisella, et nous verrons ce qu'Il dira. S'Il dit encore que vous devez faire sa volonté, choisissez: ou vous continuez à faire sa volonté ou vous vous retirez comme tu l'as dit.

Marisa - Oui, mais ceci n'est pas beau; devoir se retirer après tant d'années de souffrance ne me semble pas beau.

La Madone - Marisella, je le dis pour toi, pour l'Evêque, même si vous vous retirez, vous n'offenserez pas Dieu. Faites la volonté de Dieu et Dieu vous fera comprendre ce qu'il veut. Tu n'es pas bien, Marisella, la maladie progresse et les douleurs augmentent. Ne prends plus rien sur toi, laisse les autres aussi travailler pour l'Eglise.

Ensemble avec mon et grand saint Evêque, Monseigneur Claudio, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman.

Grand-mère Iolanda - Donne un baiser de ma part à mon Evêque.

Marisa - Oui, mais priez pour nous, nous n'en pouvons plus.

L'Evêque - Tu as été brave.

Marisa - J'ai dit ce que j'avais dans le coeur.

L'Evêque - C'est ce que j'aurais dit aussi.

Marisa - Mais je ne comprends plus rien du tout.

Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2006 - 0h10 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - C'est moi Dieu, Marisella, tu ne me vois pas, mais tu vois la fleur; sa beauté est la beauté de ton âme.

Oui, tu peux prendre l'Eucharistie quand tu le veux et si après tu as encore faim, essaie de manger quelque chose. Nous nous étions déjà mis d'accord ainsi, mais il me semble que toi et l'Evêque vous ne m'avez pas bien compris. J'avais déjà dit que tu devais prendre l'Eucharistie et que si cela ne suffisait pas, tu pouvais manger un petit peu, un peu; ce peu n'est pas entré dans ta tête. N'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui, mon Dieu, Tu as raison. Qui est venu te le dire, la Madone et maman?

Dieu le Père - Oui. Elles sont venues toutes les deux préoccupées et se sont agenouillées, la tête baissée, comme le font maintenant tes êtres chers. Excellence, je te prie de te lever, tu es déjà assez martyr.

Marisa - Et eux?

Dieu le Père - Non, ils peuvent rester agenouillés.

Marisa - Ecoute, mon Dieu, c'est bien ainsi?

Dieu le Père - Oui, mais, Marisella, fais attention quand tu parles, mon enfant, mon trésor, parce que je te comprends, créature du Ciel, mais tous ne peuvent pas comprendre quand tu parles d'une certaine manière. Levez-vous, mes enfants pour recevoir ma bénédiction. Je vous bénis tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit il.

Marisa - Puis-je te dire adieu, mon Dieu?

Dieu le Père -Bien sûr.

Marisa - Je te dis aussi merci, mon Dieu, parce que Tu es toujours près de nous. Je ne désire plus rien pour moi, Tu peux me prendre quand Tu veux, mais je te recommande Son Excellence Monseigneur Claudio. Tu l'as ordonné Evêque et Tu dois penser à lui. N'est-ce pas mon Dieu, que Tu le feras?

Dieu le Père - Si tu me le dis de cette manière.

Marisa - Aide-le, je T'en prie, même quand il restera seul, parce que je ne serai plus là, aide-le, m'enverras-Tu sur la Terre pour l'aider?

Dieu le Père - Oui, sois tranquille, créature du Ciel.

Marisa - Dieu est parti. Bonjour, maman, bonjour, petite Madone, merci d'avoir prié Dieu de venir nous parler. Il est parti maintenant, parce que la fleur n'est plus là, elle est si belle. Oh, combien paierais-je pour la trouver!

La Madone - Un jour quand tu iras un petit peu mieux, nous la dessinerons ensemble.

Marisa - Mais quand?

La Madone - Nous nous assiérons à la petite table et nous dessinerons la fleur et l'étoile de Dieu. Adieu, créature du Ciel, adieu.

Marisa - Adieu, maman, adieu.

La Madone - Donne un baiser à Son Excellence.

Grand-mère Iolanda - L'Excellence est plus beau.

Marisa - D'accord. Adieu, adieu, maman.

Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2006 - 23h05 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pardonne-moi, si je ne suis pas digne de te recevoir comme je suis, mais tu es venue à l'improviste. Je me déplace difficilement et tu le sais, accepte moi comme je suis.

La Madone - Mes chers enfants, je suis ici pour ceux qui sont venus vous voir pour la première fois depuis que vous êtes à la montagne, pour la petite Mariasole, pour Anna, parce que sa maman est avec moi et pour vous tous ici présents. Nous prions énormément pour connaître la réponse de Dieu, mais il n'est pas facile de l'obtenir cette réponse, comme vous l'aimeriez. Si Dieu venait et disait: "Oui, nous ferons demain tout ce que je vous ai promis", vous seriez tous heureux, mais Dieu veut encore sauver des âmes, au moins celles qui ne connaissent pas bien la religion. Avez-vous vu combien d'âmes sont prêtes à monter au Paradis? Et il y en aura encore.

Je veux vous aider à accepter la volonté de Dieu. Vous ne pouvez pas dire tous les jours: "Mon Dieu, mon Dieu, que fais-Tu? Que dis-Tu? Quand viens-Tu? Nous attendons Ta réponse". Non, on ne parle pas ainsi à Dieu. A Dieu, on dit: "Mon Dieu, nous attendons Ta réponse, mais que Ta volonté soit faite". Vous êtes dans la grâce de Dieu. Les pécheurs doivent se faire du souci, ceux qui ne sont pas en état de grâce.

Grand-mère Iolanda rayonne, depuis qu'elle est montée au Paradis elle est une autre personne. Elle les aime tous, elle m'accompagne souvent chez les petits enfants, les pauvres, les malades et quand elle a fini son travail, elle s'agenouille avec moi devant Dieu et lui demande des grâces pour vous. Elle sait comment sont les choses. Ce que Dieu vous a promis arrivera. Vous avez raison, cela fait maintenant des années que vous attendez que vienne la parole sainte de Dieu; elle viendra, mais nous devons aider d'autres personnes à monter au Ciel. Pensez que sur les 3.540 personnes, les noms de 1 600 ont déjà été écrits; n'est ce pas une joie pour vous? Vous devez en être heureux.

Saint Claudio, Monseigneur, Evêque ordonné par Dieu, sois bon, sois compréhensif, écoute et accepte la volonté de Dieu. Je suis heureuse que tu pries pendant la nuit, mais ta première tâche est de dormir. Vous devez tous dormir, pour pouvoir travailler le jour suivant. Que puis-je te dire, à toi Marisella? Tu es maintenant toute à Dieu, tu es une créature du Ciel. Je te dis seulement de prier pour les âmes qui sont bonnes, mais qui n'ont personne qui leur enseigne les Commandements et tout ce que Dieu veut. Sois donc patiente, ma fille, je sais que l'attente est longue et que tu devrais déjà être montée au Paradis depuis bien des mois. Tu y monteras, ne te fais pas de soucis parce que tu n'es plus bonne à rien. Tu ris, plaisantes, chantes et parles, mais ta santé s'en va et toutes ces âmes du Purgatoire viendront avec toi. Parmi elles, il y a des parents à toi et à l'Evêque ordonné par Dieu. Grand-mère Iolanda m'accompagnera et avec toi nous guiderons toutes ces âmes vers le Paradis. Il n'y a pas de réponse de Dieu; c'est triste, humainement parlant, mais ce n'est pas ainsi, parce que la réponse de Dieu viendra; soyez plus dociles, ayez plus de confiance et d'amour envers Dieu, parce que Dieu est amour et vous aime immensément. Grand-mère Iolanda, dis quelque chose à ces enfants.

Grand-mère Iolanda - Bonjour, Anna, c'est moi ta maman et je suis très heureuse, sois heureuse toi aussi. Bonjour, Selenia, ma petite-fille qui a tant aimé sa grand-mère. Nous avons tant souffert ensemble, mais je suis heureuse aujourd'hui. Tu as ton mari, la petite Mariasole et il y a ici aussi les autres enfants que tu sais. Aimez-vous bien tous.

Marisa - Maman, puis-je dire à la Madone d'aider tous mes neveux et petits-neveux afin qu'ils aillent bien? Maman, tu m'envoies un baiser?

Grand-mère Iolanda - Pas seulement à toi, j'en envoie un également à Anna, Selenia, Mariasole et Angelo. Mariasole, envoie un petit baiser à ta grand-mère et aussi à la petite Madone. Mois aussi, je prie Dieu pour toi, Monseigneur, l'Excellence, celui qui était prêt à tout pour m'aider et qui lorsqu'il me voyait seule, venait parler avec moi. Comme il a été doux, cet homme, ce Monseigneur, cet Evêque.

Marisa - Merci, maman, merci.

La Madone - Moi, la petite Madone, avec grand-mère Iolanda et mon saint Evêque, je vous bénis, je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre tous très fort sur mon coeur. Alleu dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Souvenez-vous que je ne devais pas venir aujourd'hui, mais que je suis venue pour vous, mes chéris.

Marisa - Adieu, maman. Ils sont partis.

L'Evêque -Remercions Dieu qu'il nous ait envoyé la Madone et grand-mère Iolanda.

Villetta Barrea (AQ), le 27 août 2006 - 16h15 (Lettre de Dieu)

Marisa - Est-ce vrai que tu as un faible pour Don Claudio?

La Madone - J'ai un faible pour toutes les âmes qui aiment mon Fils Jésus et vivent en grâce avec Dieu.

Marisa - Ecoute, puis-je te poser une question? Où est Dieu?

Dieu le Père - Je suis ici!

Marisa - Tu viens aujourd'hui comme une étoile. Comme elle est belle et grande, grande, grande! Tu as vu, mon Dieu, qu'aujourd'hui aussi les choses n'ont pas bien marché? Nous prions, cherchons à tout faire et puis quelque chose d'imprévu arrive, mais ce n'est la faute de personne. J'ai mal à l'estomac, mais je suis heureuse ne de pas avoir créé de problèmes. Il faut calmer un petit peu Don Claudio, il a raison, toutes les raisons du monde. Il s'afflige beaucoup quand il voit que l'on manque de sensibilité envers ceux qui souffrent.

L'Esprit Saint est venu également. Les trois Jésus sont maintenant présents. Mon Dieu, veux-Tu nous pardonner à tous tant que nous sommes? Nous sommes un peu faibles, nous avons de petites imperfections.

Dieu le Père - Marisella, tu ne dois te préoccuper de rien.

Marisa -Tu nous aimes bien quand même, de toute façon. Je m'incline et adore Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit. Pourquoi Jésus est-il ici et là?

Jésus - Parce que je suis Dieu et que je peux être partout.

Marisa - Jésus, Tu es doux, même trop. Nous aimerions faire une promenade, tu nous envoies un croissant de soleil?

Dieu le Père - Même s'il ne devait pas y avoir de croissant de soleil, vous pouvez quand même sortir. Que faites-vous enfermés dans la maison? Tu auras le temps d'être recluse.

Marisa - Ecoute, y aura t il de l'air au Paradis? A moi, il me manque.

Dieu le Père - Souviens-toi que tu dois dessiner la fleur et l'étoile avec la petite Madone. Tu verras que tout s'arrangera peu à peu.

Marisa - Il y a maintenant les trois Jésus égaux et distincts, le Père, le Fils et le Saint Esprit. Le Père a l'étoile, le Fils les stigmates, le Saint Esprit la colombe.

Adieu à tous, adieu, petite Madone. Adieu, maman, merci de m'avoir aidée avant. Don Claudio…

L'Evêque - Dis moi.

Marisa - Les trois Jésus sont venus.

L'Evêque - Je m'en suis aperçu, même si je ne les ai pas vus.

Marisa - J'ai parlé à Jésus.

L'Evêque - Oui.

Marisa - Et j'ai également essayé de parler à Dieu.

L'Evêque -Tu as parlé à Dieu.

Marisa - Ce n'est pas facile de parler à Dieu.

L'Evêque - Mais te rends-tu compte que la Très Sainte Trinité est descendue parler avec toi?

Marisa - Et qui suis-je?

L'Evêque - Tu es importante pour Dieu.

Marisa - Il est parti maintenant, sinon je le lui demanderais.

L'Evêque - Il n'est pas nécessaire qu'il revienne, il l'a dit Lui-même: "Pour Moi, Dieu, tu es la personne la plus important sur la Terre ".

Marisa - Je veux la belle fleur maintenant, où la trouver?

L'Evêque - Je te donne un conseil, prends une feuille de papier.

Marisa - Et je copie un dessin.

L'Evêque - Prends une plume ou un crayon, puis dis à la Madone: "Pose ta main sur la mienne et guide-la pour dessiner ". As-tu compris? C'est ainsi que tu dessineras la fleur et l'étoile.

Marisa - Je me demande: Dieu devait-il venir sous l'aspect d'une étoile ou d'une fleur? Ne serait-ce pas plus facile pour moi s'il venait sous une forme humaine?

L'Evêque - Il est aussi venu sous l'aspect de Jésus. Dans l'Ancien Testament, Dieu s'est manifesté sous la forme du feu ou d'un nuage, il s'est montré à Moise sous la forme d'un buisson ardent.

Marisa - A moi sous la forme d'une étoile et d'une fleur.

L'Evêque - C'est plus beau.

Villetta Barrea (AQ), le 29 août 2006 - 23h00

Entretien de Marisa avec Jésus

Marisa - Pourquoi es-Tu triste, Jésus? Qu'avons-nous fait pour te mettre dans cet état?

Jésus - Vous n'avez rien fait du tout.

Marisa - Penses-Tu aux prêtres?

Jésus - J'y pense toujours.

Marisa - Tu m'as dit de ne plus y penser, même de ne plus prier pour eux, et Toi?

Jésus - Tu ne dois pas y penser.

Marisa - Et Toi, Jésus. Tu dois y penser?

Jésus - J'ai institué le sacerdoce, le sacrement de l'Ordination et les prêtres l'ont souillé.

Marisa - C'est pour cela que Tu pleures, Jésus? Je T'en prie, ne pleure plus.

Jésus - Il est normal que je pleure pour mes prêtres. Beaucoup se conduisent mal.

Marisa - Puis-je essuyer Tes larmes?

Jésus - Tu le peux.

Marisa - Ne pleure pas, Jésus, c'est moi, si Tu le veux, je recommence à souffrir et à prier pour tous les prêtres.

Jésus - Non, non, non.

Marisa - Ne fais pas cela. Regarde toutes ces larmes qui coulent sur Ton visage.

Jésus - Où est Claudio?

Marisa - Je ne sais pas, je ne sais pas, il était maintenant ici, veux-Tu que je l'appelle?

Jésus - Quand Jésus vient, où va Don Claudio?

Marisa - En haut, au Paradis et il se porte mieux que moi.

Jésus - La Maman est arrivée.

Marisa - Maman, O Mère de l'Eucharistie, viens consoler ton Fils qui pleure. Je ne suis bonne à rien. Je veux souffrir à nouveau pour les prêtres, mais Jésus ne le veut pas.

Jésus - Cela jamais. Je ne le veux pas.

Marisa - Et j'obéis.

Jésus - C'est bien.

Marisa - Mais je ne veux pas Te voir ainsi, Jésus. Nous avons fait tant en parlant ensemble.

Jésus - Essaie de parler avec la maman.

Marisa - Que dois-je lui dire?

Jésus - Ce que tu veux.

Marisa - La seule chose que je peux lui dire est de T'aider, Tu es son Fils. Pourquoi ne l'aidez-vous pas? Vous aidez même l'Evêque et moi. La fin des vacances est arrivée. Avons-nous été en vacances? Nous n'avons eu que des souffrances, souffrances et souffrances. Pourquoi permettez-vous tout ceci? J'aimerais le comprendre. J'ai toujours fait ce que Dieu m'a demandé, j'ai toujours dit oui, mais je ne pensais pas voir Jésus pleurer autant; il va se rendre malade.

Jésus - Jésus ne se rend pas malade, il souffre seulement.

Marisa - Petite Madone, ne pourrais-tu pas venir près de Lui? C'est ton Fils. Il a dit qu'Il ne tombera pas malade, qu'Il souffre seulement, mais la souffrance est dure aussi, je le sais parce que j'y suis passée et je la vis encore. Maintenant je vais mieux que Jésus.

La Madone - Marisella, qu'est-ce que tu dis.

Marisa - Que je vais mieux que Jésus. Il est au Gethsémani et pleure. Je veux être près de Lui et pleurer avec Lui. Viens toi aussi et maman pleurer au Gethsémani, nous le transformerons ainsi en un lacrymatoire. La seule chose qui m'intéresse c'est que tu viennes aider Jésus, tu aideras après Don Claudio. Tu sais ce que Don Claudio subit, il est fort.

La Madone - Il est fort, mais il s'est écroulé aujourd'hui.

Marisa - Il s'est écroulé et je ne m'en suis pas rendue compte. Je l'ai vu courir, aller acheter un cadeau pour quelqu'un et j'ai pensé qu'il était joyeux (Marisa pleure). Je ne pensais pas… je ne pensais pas qu'il s'était écroulé, qu'il allait mal. Comment ai-je fait pour ne pas m'en apercevoir?

Jésus - Ne pleure pas.

Marisa - Mais Tu pleures Toi même, Jésus.

Jésus - Je ne pleure plus.

Marisa - Je vois Tes yeux, ils sont rouges et pleins de larmes. Tu es rouge, Tu n'es pas bien.

Jésus - Mais si, je sui bien.

Marisa - Comme Ton visage brûle!

Jésus - C'est l'amour qui l'enflamme.

Marisa - Qui Te ruine.

Jésus - Es-tu mal, Marisella? Ne pleure pas.

Marisa - Non, je ne suis pas mal.

Jésus - Ne pleure pas, Marisella.

Marisa - Nous ne devions pas finir la journée ainsi. (Marisa pleure) J'ai tout fait pour me tenir debout et je ne me suis pas aperçue que Don Claudia était si abattu.

Jésus - Marisa, Marisa! Maintenant c'est moi qui te de dis de ne pas pleurer.

Marisa - Et comment dois-je faire pour ne pas pleurer?

Jésus - Je te le dis, ne pleure plus, cela suffit.

Marisa - Petite Madone, veux-tu nous aider? Oublie-moi, ne t'intéresse pas à moi, de toute façon, comme Dieu l'a dit, je m'en irai bientôt. Par contre l'Evêque a toujours été calomnié, humilié, ridiculisé; on lui a manqué de respect et on l'a détruit. Essaie maintenant de nous aider, je t'en prie, nous sommes seuls, nous vous avons, vous du Ciel, mais vous êtes en haut dans le ciel et nous sommes encore sur la Terre à nous battre. Je te demande pardon de ne pas m'être rendue compte que Tu étais toi aussi déprimé.

Jésus - Ne le dis plus.

Marica - Non, je dois remarquer quand Tu es déprimé et dans le besoin. Toi, mon Jésus, mon époux. Même l'Evêque est très déprimé.

Jésus - L'Evêque est déprimé, Jésus est déprimé, l'épouse de Jésus est déprimée et la maman?

Marisa - Elle tient debout.

Jésus - Tu vois que je réussis même à sourire? Continue à parler à la maman, elle te comprend.

Marisa - Non, personne ne me comprend.

Jésus - Parle avec la maman.

Marisa - Que dois-je lui dire? Je ne sais pas quoi lui dire.

Jésus - Grand-mère Iolanda pleure.

Marisa - Oui. Je ne sais ce que je dois lui dire.

Jésus - Parle avec grand-mère Iolanda, tu verras qu'elle te répondra, Dieu lui en donné la permission.

Marisa - Maman, maman, ne pleure pas, trésor, tu sais que bientôt, si Dieu tient parole, j'irai au Paradis? Ne pleure pas.

Grand-mère Iolanda - Nous prions tant pour l'Evêque, l'Excellence. Ma fille, tu ne peux pas t'imaginer combien de fois nous courrons à genoux devant Dieu, prier pour l'Excellence. Vous me semblez être deux petits oiseaux en cage, seuls, abandonnés, mais Nous sommes avec vous, Dieu, la Mère de l'Eucharistie, Saint Joseph et tant de personnes vous aiment ici au Paradis. Il est plus difficile d'en trouver sur la Terre qui vous aiment, parce qu'il y a la jalousie, l'envie, la médisance, tant de méchancetés. Marisella, voulons-nous prier tous ensemble, avec Son Excellence, en tournant nos yeux vers Dieu?

Notre Père... Gloire à Dieu... Je vous Salue Marie...

La Madone - Courage, mes enfants, votre victoire viendra, il faut encore attendre, mais elle viendra. Nous ne vous laissons pas seuls, nous sommes avec vous et si les hommes de la Terre vous font souffrir, faites comme disait Dante: "Ne parlons pas d'eux, mais regarde et passe". Aidez l'Excellence, comme le dit grand-mère Iolanda, aidez Marisella.

Marisa - Quand viendra l'heure de mon départ de cette Terre? Ce sera alors aussi mieux pour l'Excellence et j'espère beaucoup que vous l'aiderez.

Marisa - Je te salue Marie, salue Jésus de ma part, je t'attends à l'heure de ma mort. Adieu, merci, adieu, ma petite maman. Claudio?

L'Evêque - Me voici.

Marisa - Où étais-tu jusqu'à présent, au Gethsémani ou au Paradis?

L'Evêque - Au Gethsémani.

Marisa - Avec Jésus?

L'Evêque - Oui.

Marisa - J'y étais, mais je ne t'ai pas vu.

L'Evêque - Don Claudio y était aussi, Jésus et Don Claudio n'étaient qu'un à ce moment là.

Marisa - Et moi qu'est-ce que j'étais.

L'Evêque - Tu étais une avec la Madone, la souffrance de l'une était la souffrance de l'autre.

Marisa - Vas-tu un peu mieux?

L'Evêque - Oui.

Marisa - Sûr?

L'Evêque - Tu ne le vois pas?

Marisa - Non, je ne le vois pas.

L'Evêque - Tu ne vois pas bien?

Marisa - Avant d'aller te coucher, nous prendrons ta tension. Je dois obéir à Jésus et à la Madone.

L'Evêque - Ils veulent que je prenne ma tension?

Marisa - Bien sûr. Tant que tu vivras sur cette terre, il faudra te soigner.

Villetta Barrea (AQ), le 1er septembre 2006 - 0h25 (Lettre de Dieu)

Marisa - Bonjour, bonjour. J'ai eu très peur, parce que j'avais peur que tu ne viennes pas. Maman et Saint Joseph sont également venus. Petite Madone, je n'ai pas été très bonne aujourd'hui.

La Madone - Marisella, ne dis pas cela. Tu es plus que bonne, si l'on tient compte de tout ce qui t'arrive. Ce sont les autres qui doivent t'aider et te comprendre. Tu as gardé pour toi tant de choses affreuses, afin de ne pas faire souffrir ton frère et mon fils, l'Excellence. Tu ne dois pas les tenir cachés longtemps. (quintes de toux)

Marisa - Excuse-moi, je tousse un peu.

La Madone - Disons un peu. Tu ne dois pas garder longtemps pour toi les choses désagréables que tu peux dire à ton frère, à ton directeur spirituel, sinon ton foie et surtout ton estomac te rendront encore plus malade. Tu n'as pas été méchante, sois tranquille, tu as été plus que bonne. Quand l'amour est grand, le conflit arrive aussi. Pourquoi? Ceci arrive parce que vous vous aimez, vous aimez Dieu et aussi les hommes, cherchez à les aider tous. Vous n'avez jamais réussi à faire souffrir une fois Jésus et moi, jamais. Vous ne nous avez jamais fait souffrir, alors que des milliers de personnes nous font souffrir par leur façon de parler et leur comportement. C'est pourquoi nous vous aimons tant et si je ne me suis pas fait voir jusqu'à maintenant, je t'en dirai les raisons cette nuit, quand je viendrai te faire dormir.

Marisa - Tu vas me faire dormir rapidement, parce que je suis très fatiguée?

La Madone - Oui, oui. Voyons maintenant ce qu'il y à faire, parce que nous sommes tous réunis devant Dieu, à prier à genoux. Je me suis éloignée et j'ai amené avec moi ta chère maman et mon époux bien-aimé, nous devons y retourner après. Il y a de longues soirées de prière. Tu sais que chez Nous il n'y a ni soir, ni matin, ni nuit, ni jour; je te parle ainsi pour te faire comprendre que ce sont de longs moments de prière, de chants, de psaumes, d'hymnes, nous devons être tous présents devant Dieu et prions pour vous, mes chers et doux enfants. Créature du Ciel, accepte que je t'appelle ainsi, parce que c'est la vérité.

Marisa - Mais quand les gens entendent cette expression, je suis gênée. Je n'aime pas être appelée ainsi, parce que je me sens comme une créature de la Terre, regarde comme je suis! Je suis une bonne à rien.

La Madone - Non, laisse dire. Comment Dieu, Notre Père, t'a t'il appelée? Joyau de Dieu, Trésor de Dieu, Amour de Dieu, la même chose vaut aussi pour Son Excellence: je vois qu'il sourit. Tu réussis mieux à dissimuler, à cacher ta grande souffrance. Ce que tu as fait hier soir a été une scène fort agréable, nous avons beaucoup ri. Son Excellence est plus réservé et on remarque davantage sa souffrance. Le geste que vous avez fait de téléphoner à ce prêtre a été très beau. Nous espérons que sa conversion se poursuivra et qu'il pourra vous rejoindre au Paradis. Attendez maintenant, voyons comment la situation va évoluer pour lui et puis, probablement, il viendra de nouveau parmi vous.

Marisa - Oui, mais moi, excuse moi si j'ose, j'aimerais savoir quand je vais partir. Quand allez-vous m'emmener? Je n'en peux plus ainsi, je suis aussi une charge pour son Excellence.

La Madone - Oui, je le sais, Marisella, mais c'est Dieu qui décide de tout. Il y a maintenant d'autres soucis et d'autres priorités, tu verras ensuite qui t'emmèneras, ne t'inquiète pas.

Marisa - Oui, mais quand, combien de mois dois-je encore attendre? Attends un instant, ne bouge pas. Il y a une petite image de la Mère de l'Eucharistie.

L'Evêque - Prends-la, Jean.

Marisa - Attends, petite Madone.

Marisa - Tu m'as dicté cette prière le 13 mai 1989, il y est écrit: "Je veux venir avec Toi au Paradis et pour l'instant remplis mon coeur de cette nostalgie". La Madone m'a dicté cette prière en 1989 et je t'en ai lu la fin. Depuis 1989, se sont écoulées …

L'Evêque - Dix sept années.

Marisa - Cela fait dix sept ans que je ressens la nostalgie du Paradis. Je devais partir à Noël, puis à Pâques, au mois de mars, et je suis encore ici. Je suis mal, je suis mourante, je sens la mort, puis je renais comme les fleurs.

L'Evêque - Je refleuris.

Marisa - Je refleuris, je renais. Son Excellence m'a suggéré comment m'exprimer: refleuris. Alors quand irai-je au Paradis? Dites-moi au moins une date approximative, je ne demande pas beaucoup. Quand tu viens, tu me parles de l'Eglise, des prêtres, des petits enfants et des mamans qui souffrent, de la guerre et de bien d'autres choses graves. Nous deux aussi, nous souffrons, parce que ma présence sur la Terre gêne les autres et donne des soucis à l'Excellence, qui après ma mort sera libre de voler. Tu as dit qu'il devait partir se reposer après ma mort.

La Madone - Tu es en colère, Marisella?

Marisa - Oui, je me suis mise en colère toute seule. Dis à Dieu que je suis fatiguée d'être ici sur la Terre. Tu dois nous envoyer quelqu'un de bon, parce que nous n'y arrivons plus seuls.

La Madone - J'aimerais dire quelque chose. Comment se fait-il que quand grand-mère Iolanda était là, elle faisait tout toute seule? Le ménage, le repassage, les repas, les courses? Parce que grand-mère Iolanda faisait toutes ces choses avec amour. Elle priait beaucoup et pendant que vous vous reposiez, elle allait à la chapelle pour la nettoyer, en silence, elle et Jésus étaient seuls. Pourquoi avez-vous maintenant besoin de tant de personnes autour de vous?

Marisa - Je ne le sais pas, mais nous avons aussi deux jeunes et deux petits enfants.

La Madone - Oui, oui, je sais combien vous êtes. Je sais qui vous êtes et que vous vous sentez seuls.

Marisa - Nous nous sentons seuls, parce que nos neveux et petits-neveux nous aiment, mais ont leurs familles. Dis-le que nous sommes seuls.

L'Evêque - Nous sommes seuls. Je n'ai pas non plus de prêtre après tant d'années.

Marisa - Après tant d'années. On pourrait peut-être dire qu'il en a eu un qui avait quatre vingt un ans. Cela te paraît beau? Pourquoi doit-il être seul? Pourquoi Dieu l'a-t-il ordonné Evêque?

La Madone - Marisella, comment te permets-tu de me poser toutes ces questions et de m'adresser tous ces pourquoi? Relis la Lettre de Dieu, il est inutile de se poser tant de pourquoi, il n'y aura jamais de réponse.

Marisa - Alors je dois me taire et l'Evêque doit vivre tout seul? Si Dieu l'a ordonné Evêque, il doit lui donner aussi la possibilité d'exercer son épiscopat. S'il était resté un simple prêtre, tant de choses ne seraient pas arrivées qui sont arrivées et sont toutes vilaines.

La Madone - C'est pour cela, Marisella, que tu dois prier. Tu dois aider à convertir ces personnes.

Marisa - Toutes ces personnes qui ont dit du mal? Et moi, quand vais-je mourir? Oh, mon Seigneur! Mais moi quand vais-je mourir, quand vais-je m'en aller?

La Madone - Ne t'inquiète pas, bientôt.

Marisa - "Je veux venir avec toi au Paradis et pour l'instant remplis mon coeur de cette nostalgie ", cette prière est datée du 13 mai 1989, cela fait dix sept ans que je récite cette prière. Il y a ton fils ici.

La Madone - Marisella, ne demande pas tant de pourquoi. Dieu ne trahit pas et sait ce qu'Il fait. Tu t'es entièrement donnée à Lui, tu Lui as dit ton "Oui", tu as embrassé la croix, maintenant accepte-la. Quand tu partiras, tu verras que Son Excellence aura plus de force, plus de vigueur et que beaucoup de personnes seront auprès de lui.

Marisa - Mais aide-le, ne le laissez pas seul. Il n'a personne maintenant. Voulez-vous l'aider?

La Madone - Marisella, tu me reprends.

Marisa - Oh Mon Dieu, Don Claudio, je la reprends?

L'Evêque - La Madone plaisante.

Marisa - De toute façon je ne suis pas d'humeur à plaisanter, parce que je suis un peu fâchée. Protège nos jeunes, nos neveux, les petits enfants.

La Madone - Je te donne maintenant une information qui ne va peut-être pas te plaire. Nous partirons dimanche pour le Jourdain.

Marisa - Non, cela me fait plaisir, mais ce que je voulais entendre est quand je quitterai ce monde. Ecoute, je peux partir dans du papier d'argent sans faire de dépenses pour le cercueil?

La Madone - Marisella, tu dois faire comme tous les autres.

Marisa - Excuse-moi, mais pourquoi dois-je faire dépenser de l'argent à Son Excellence? J'achète deux rouleaux de papier d'argent, je m'en enveloppe toute seule, je me fais un noeud ici, me prépare à une bonne mort et puis nous montons au ciel. Je ne suis pas belle, mais cela ne fait rien.

La Madone - Marisella, finis de plaisanter maintenant.

Marisa - Non, non, ce n'était pas une plaisanterie, alors nous ne nous sommes pas compris. Je n'ai pas plaisanté. Je veux quitter cette Terre, je suis fatiguée. Je dois toujours souffrir, souffrir, souffrir, parce que vous venez me dire qu'il faut sauver cette et cette autre personne.

C'est bon, prions. Quand je parle avec toi, ou avec Jésus, Dieu, Saint Joseph, ma maman et l'Excellence, Vous avez toujours raison. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il. Notre Père …Gloire à Dieu … Je vous salue Marie …

Marisa - Adieu, maman, donne le bonjour également à mes tantes Anna, Gina, Gianna, Silvana et Enza.

Grand-mère Iolanda - Tu sais que tu dois donner mon baiser à l'Excellence.

Marisa - D'accord, maman, dis à Dieu de me faire monter au ciel, je t'en prie. D'accord?

La Madone - Tu ne veux pas non plus la bénédiction, Marisella?

Marisa - Si, d'accord, l'Excellence me la donnera de toute façon. Cela m'a échappé, tu sais que je suis ainsi.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis vous ici présents, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu, n'oublie pas, va trouver Dieu pour lui dire que je suis prête. Il n'y a pas besoin de cercueil, je m'enveloppe dans du papier d'argent et je m'en vais. Adieu. Ils sont partis. Elle croyait que je plaisantais, mais je parlais sérieusement.

L'Evêque - La Madone a parlé ainsi pour te remonter le moral et dédramatiser la situation.

Marisa - En vérité, regarde comme elle m'a remonté le moral.

L'Evêque - On verra après et vous poursuivrez l'entretien.

Villetta Barrea (AQ), le 3 septembre 2006 - 0h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci d'être venue, petite Madone, nous avons souffert de ton absence.

La Madone - Mes chers enfants, cette apparition vaut aussi pour demain. Il est plus de minuit. Vous êtes très fatigués, vous devez faire vos bagages et rentrer à Rome. C'est triste pour toi, Marisella, de rentrer à Rome?

Marisa - Oui. Si je marchais ce serait mieux pour moi, parce que je pouvais sortir de la maison, comme tous les autres, mais je dois maintenant rentrer à Rome et m'enfermer dans cette chambre sans pouvoir descendre et sortir dans le jardin, cela me coûte. J'avais ici la possibilité de sortir dans le jardin et quelqu'un m'emmenait en voiture dans la montagne.

La Madone - Oui, Marisella, cette joie est finie.

Marisa - Nous avons passé des mois de vacances, mais des mois de dures épreuves, de souffrances, de sacrifices et j'ai très peur maintenant que je rentre à Rome. Si tu m'aides et que tu es près de moi, j'aurai la force d'être calme et d'accepter n'importe quelle souffrance.

La Madone - Nous partirons demain pour le Jourdain et tu y seras heureuse, parce que c'est pour toi comme un coin de Paradis.

Mes chers enfants, je suis très heureuse quand vous donnez la sérénade à la Mère de l'Eucharistie ou à Jésus. Tout cela me fait plaisir, mais j'aimerais vous voir plus unis. Vous devez montrer plus d'amour, de compréhension, de sensibilité, les uns envers les autres; Dieu le veut de tous: de vous qui êtes ici présents et de ceux qui sont loin. Ne créez pas de problèmes à nos deux enfants, ils en ont déjà tant, mais donnez leur votre aide, votre amour et votre compréhension. C'est vrai, Son Excellence a raison quand il dit que nous n'avons pas souffert comme eux quand nous vivions à Nazareth. Nous aussi nous avons été l'objet de moqueries et de calomnies, mais le monde était alors différent.

Vous vivez maintenant dans un monde où les hommes sont nombreux et ne savent pas aimer, y compris mes prêtres. Les hommes sont pris par leurs propres problèmes et ne pensent pas à ceux qui souffrent. Combien de fois j'aimerais venir et dire: "Vous faites souffrir vos frères", mais Dieu me dit: "Marie, laisse, il y en a tant qui ne comprendraient pas, même si Moi, Dieu, j'apparaissais sur la Terre, ils auraient toujours quelque chose à dire ". Vous au moins, que je suis depuis beaucoup d'années, vous essayez de vous aimer, de vous aider.

Vous avez été braves, chaque fois que votre directeur spirituel vous a demandé d'aider Marisella. Continuez ainsi, c'est beau de s'aimer, c'est beau de s'entraider.

Marisa - Ecoute, petite Madone, me feras-tu dormir cette nuit? Je suis si fatiguée d'être sur cette Terre, si fatiguée de ne pas dormir et si fatiguée d'avoir des douleurs, douleurs et toujours des douleurs. J'essaie de les cacher, je fais tout mon possible, mais ce n'est pas facile, c'est parfois très difficile.

La Madone - Marisella, nous sommes venus trois fois la nuit dernière pour t'aider, mais ton corps est crucifié de toutes parts par les douleurs.

Marisa - Oui, je comprends, mais si je me ne repose pas, l'Evêque non plus ne se repose pas, il doit se reposer, il est très fatigué. Tu le vois? Regarde bien le visage de ton fils bien-aimé. Vois-tu comme il est fatigué? Si je dors, il dort.

Je n'ose pas te demander autre chose, même si j'ai toujours des difficultés à manger. Je continue jour après jour et quand je ne pourrai plus manger, j'espère que viendra le moment de mon départ. Emporte-moi au ciel, emporte-moi, je vous en prie, je suis si fatiguée et souffrante, emporte-moi, ne me fais plus attendre.

Petite Madone, petite Madone, ma mère, Marie, je t'en prie, emporte-moi, si tu m'emportes, l'Evêque aussi se reposera.

La Madone - Mes chers enfants, je veux que vous alliez rapidement vous reposer. Ne traînez pas, parce que vous fatiguez et vous n'aurez pas la force de faire ce que vous devez faire. Je vous remercie de ce que vous avez fait, de l'aide que vous avez donné à mon Evêque et à Marisella.

Giovanni, merci de ce qu tu as fait pour mes deux enfants. La Maman te remercie et t'adresse tous ses voeux. Merci, mes chers enfants, ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et ceux qui souffrent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous coure de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman, fais-moi reposer, je t'en prie, je suis si fatiguée, je n'ai plus une seule partie du corps qui ne souffre pas. C'est ainsi qu'on dit?

L'Evêque - Oui.

Marisa - Tu vois, je me cache, je plaisante, je ris, j'en fais voir de toutes les couleurs, mais je suis fatiguée. Adieu, maman, reste avec moi cette nuit, restez avec moi, je vous en prie. Soyez près de moi quand ma dernière nuit, mon dernier jour arriveront, restez surtout près de l'Evêque, il aura besoin de votre présence. Adieu, adieu, maman.

La Madone - Donne un baiser à l'Evêque de ma part.

Marisa - Ils sont partis.

L'Evêque - Force, courage.

Marisa - J'essaie de tout donner

L'Evêque - Tu fais de ton mieux.

Marisa - Mais s'ils m'emportent, ce sera mieux pour tous.

L'Evêque - Prions tous pour que ton juste désir se réalise bientôt.

Marisa - Oui, aussi parce que je me trouve mal sur cette Terre, je ne parviens plus à y vivre. Beaucoup me font souffrir, je suis sensible et je souffre.

L'Evêque - Tu te sens prisonnière du monde?

Marisa - Oui, je me sens littéralement prisonnière.