Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 2007-08

L'Année de Espérer

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2007

Rome, le 12 septembre 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Fête du saint nom de Marie

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que je suis parmi vous. Je désire adresser mes voeux à tous ceux qui s’appellent Marie, comme moi, même s’ils ont un double prénom, à commencer par Marisella que j’appelle Miriam.

Je dois vous faire un petit reproche: chaque fois que l’Evêque est absent, il y a des choses désagréables et des bavardages dans ce petit cénacle, parce que certains, peu en vérité, veulent commander, être à la première place et ne font pas ce que l’Evêque a dit; ce n'est pas bien. Quand le chef de famille est absent, les enfants doivent de même bien se conduire. Si votre Evêque s’absente pour diverses raisons, vous devez faire ce qu’il a dit de faire et non ce que quelques femmes disent de faire. Si vous ne suivez pas les ordres donnés par l’Evêque, vous lui manquez de respect.

Il faut que je vous le dise, je ne peux pas me taire. De même que je vous adresse des louanges, je dois vous faire des reproches: pourquoi agissez-vous ainsi lorsque l’Evêque est absent? Même lorsqu’il est là, quelqu’un ne se conduit pas bien et ne le respecte pas. Ceci me chagrine, moi, la Maman de tous, comme cela chagrine mon fils Jésus. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: "Aimez votre Evêque et aidez-le". Au contraire en son absence, vous faites des sottises qui ne sont que de petites mesquineries enfantines et pas d’adultes. Ne convoitez pas les premières places, combattez l’orgueil, parce qu’il ne vous pas fait croître dans la vie spirituelle. Je ne dis rien d’autre sur ce point, j’espère que la personne qui a été la cause de ces désagréments aura bien compris ce que j’ai dit.

Je suis revenue parmi vous parce que l’Evêque et Marisella sont rentrés à la maison. Malheureusement Marisella n'est pas bien du tout, sa santé se dégrade toujours plus, c’est pourquoi je vous invite à prier afin que le Seigneur l’aide à aller mieux ou l'emmène le plus vite possible. Je le répète: priez beaucoup Dieu Papa, pour qu’il emporte votre soeur ou la fasse aller un petit peu mieux. Nous tous au Paradis, nous prions pour elle. Sa vie est dure et devient toujours plus dure chaque jour. Elle a été deux mois hors de Rome à cause de la chaleur, qui lui donne beaucoup de problèmes respiratoires et elle est rentrée dans un état pire qu’avant son départ.

Marisa - Excuse-moi, petite Madone, puis-je te demander quelque chose? Au lieu de demander aux femmes de prier beaucoup pour moi, pourquoi ne demandes-tu pas toi même à Dieu de me faire aller un petit peu mieux, je ne demande pas beaucoup, ou bien de m'emporter? Combien de fois Dieu n’a-t-il pas dit que le moment de mon départ approchait et je vais toujours plus mal? Excuse-moi si je te parle ainsi devant tous, mais j’ai un tourment qui me fait aller mal. Je suis heureuse malgré tout que tu sois venue au milieu du petit cénacle.

Aide-nous tous, nous avons beaucoup de malades parmi nous, même des graves et prie pour les petits enfants parce qu’ils ne savent ce qu’est la vie et vers quoi ils vont. Aide l’Evêque, il est très fatigué, très éprouvé. Aide-le, je t’en prie. Prends-moi avec toi dans le Ciel, emmène moi, les autres iraient ainsi aussi bien, parce que je suis une charge pour eux.

La Madone - Mes chers enfants, je vous aime tous et vous le savez. Priez et n’agissez plus comme des enfants. Les enfants peuvent faire des choses qui déplaisent peut-être à leurs parents, mais vous êtes grands. Essayez de vous entraider, de vous aimer et de vous pardonner réciproquement et je serai avec vous.

J’adresse de nouveau tous mes voeux à ceux qui portent le nom de Marie, et à toi Marisella, tous les voeux du Paradis. Sois forte, mon enfant.

Marisa - Je n'en peux plus.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je te recommande ces deux jeunes de tout mon coeur. Merci. Adieu. Aide-moi, je t’en prie, parce que je désire aller un peu mieux pour ne pas être une charge pour les autres. Adieu.

La maman n'est pas venue? Tu la salues de ma part?

La Madone - Que dis-tu Marisella? Voilà ta maman.

Marisa - Maman! Maman, pourquoi ne m’aides-tu pas davantage?

Grand-mère Iolanda - Je dois faire ce que Dieu me dit de faire. Sois tranquille, Marisa.

Marisa - Adieu, maman, adieu.

Grand-mère Iolanda - Donne un baiser à mon Evêque, à l’Excellence.

Marisa - Même l’Evêque dit comme toi: "Je prie, je prie beaucoup et je ne vois jamais rien". Adieu, maman. Oui, je donne un baiser à Yari, à son épouse et aux deux petits enfants qui sont mes joyaux. Adieu.

Ils sont partis. Il y avait aussi Saint Joseph, je n’ai pas vu tout de suite ma maman.

L'évêque - Comment se fait-il que tu ne l’aies pas vue?

Marisa - Elle était peut-être derrière Saint Joseph et il la cachait.

Rome, le 14 septembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Exaltation de la Sainte Croix

Jésus - Je suis votre Jésus sur la Croix, mais de cette Croix vous avez obtenu le salut et la réouverture du Paradis. Il y a 12 ans jour pour jour, le plus grand miracle eucharistique a été accompli et vous pensiez que les puissants de l’Eglise l’accepteraient, mais il n'en pas été ainsi.

L’Exaltation de la Croix est une très grande fête parce que vous savez, que la Croix est vie, résurrection. Je suis mort et ressuscité pour le monde entier. Il y a eu ici, dans le lieu thaumaturgique, la première apparition eucharistique et vous vous en êtes tous réjouis. Cela a été une journée mémorable; vous étiez tous heureux et contents, mais les hommes d’eglise ont tout détruit. Dieu a toujours été avec vous, près de vous comme Je le suis maintenant.

Mes chers enfants, j’ai voulu que votre soeur descende, pour qu’elle puisse jouir aussi un petit peu du plaisir d'être avec vous. Elle ne va pas bien, mais cela ne doit pas vous attrister, ce qui compte c’est de prier, afin qu’elle ait la force d’accepter toutes les souffrances que J’ai et que Je donne à mon épouse.

Vous êtes bons, parce que vous avec beaucoup prié pour elle et pensé: "Nous prions, prions, mais Marisa ne va jamais bien". C’est sa vie, c’est sa route, c’est son "Oui", qu’elle prononce toujours devant Dieu. Vous devez l’aider avec la prière. Est-ce la dernière fois qu’elle descend parmi vous? Nous verrons ce que Dieu Papa, comme l’appelle votre Evêque, a décidé. Vous, soyez heureux, priez et aidez-vous les uns les autres.

Je vois devant toi, Marisella, une croix qui m'est si chère.

Marisa - Oui, il y a le soleil. J’ai dit que Tu es le soleil et la Madone la lune, mais aujourd'hui j’ai dit que ce soleil est Mariasole qui est ici avec Toi. Je te prie de protéger tous ces enfants, du plus grand, Jacopo, dont c’est aujourd'hui l’anniversaire, puisqu’il est né le jour de l’Exaltation de la Croix, au plus petit, Ismaele.

Jésus - d’autres enfants suivront. Cette croix m'est très familière, Nous en avons une semblable au Paradis.

Marisa - Au Paradis?

Jésus - Bien sûr, mais elle a aussi le soleil, parce que Dieu Papa veut que Je sois le soleil et la Maman la lune.

Marisa - Nous aussi, nous avons le soleil et la lune, Selenia est la lune et Mariasole le soleil.

Jésus - Embrasse la croix, Marisella.

Marisa - Elle te plaît beaucoup? Mais ce n'est pas la mienne, tu sais que ce n'est pas la mienne.

Jésus - Aimez, vous aussi, la Croix. Comme je vous l’ai déjà dit, la Croix est vie, salut, résurrection et joie. Quand quelque chose qui ne va pas, ne vous faites pas de soucis et embrassez la Croix. Aidez votre Evêque, comme ma et votre Maman vous l’a dit. Souvenez-vous aujourd'hui, en plus de la première apparition eucharistique, du début officiel du service épiscopal de l’Evêque ordonné par Dieu et du décret qu’il a signé pour reconnaître les apparitions. Je désire vous dire de tout mon coeur que personne n’a sur la Terre un Evêque saint comme le vôtre, respectez-le, aimez-le, priez pour lui et pour chacun de vous, vous avez tous besoin de la prière.

Aidez-vous les uns les autres; faites comme la Maman vous l’a dit il y a quelque temps: priez les uns pour les autres, ne discutez pas et faites ce que l’Evêque vous dit de faire, pas ce que vous voulez faire; tout sera ainsi plus beau et il y aura plus d’amour. Vous savez que l’amour vous emporte au Paradis.

Mes voeux à vous tous ici présents, je vous remercie d'être venus me faire fête. J’aime l’ornement et la fleur qui monte et grimpe sur la croix, c’est très beau. Merci à tous ceux qui ont collaboré pour célébrer ce jour de façon solennelle. Je sais que c’est fatiguant, que vous êtes peu nombreux, mais vous voyez que finalement tout ce que vous avez fait est beau.

Ensemble avec mon saint Evêque, votre Evêque, je vous bénis tous, je bénis tous les enfants et le jeune homme Jacopo.

Marisa - Oui, il est le plus petit par l'âge.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tous ceux qui sont montés avec moi au Paradis étaient présents. Ils étaient tous autour de Jésus.

L’Evêque - Ils étaient 360 millions.

Marisa - Oui, 360 millions.

Rome, le 15 septembre 2007 - 18h00 (Lettre de Dieu)

Notre Dame des Sept Douleurs

(L’apparition a eu lieu en présence de quelques pèlerins d’alto Adige)

La Madone - Marisella, je suis venue pour saluer ceux qui sont venus de loin, en faisant des sacrifices, dans le lieu thaumaturgique.

Marisa - Ils viennent de San Cassiano …

La Madone - Je sais fort bien d'où ils viennent, Marisella. Je suis venus pour leur souhaiter un bon voyage et bien des choses à leur famille.

Marisa - Je reconnais maintenant Maria Winkler, qu’elle est belle! Il y a aussi Don Enrico.

La Madone - Je désire qu’ils gardent un bon souvenir de ces jours passés dans le lieu thaumaturgique. Je prie beaucoup pour eux, mais eux, je le regrette, ne devaient pas faire de comparaisons entre Medjugorje et Rome. Ils ne devaient pas poser de questions sur Medjugorje et tu ne devais pas parler de Medjugorje. Tu m’appartiens, tu appartiens à la Mère de l’Eucharistie qui embrasse tout. Tous ensemble, maintenant, levons les yeux vers le Ciel et invoquons Dieu Papa: Notre Père....

Excellence, lève toi, je sais que tu ne peux pas t’agenouiller.

Je suis venue pour saluer ce petit groupe très pieux. Ne vous faites pas de soucis si vous ne parvenez pas à amener d’autres personnes, le moment viendra pour tous de venir prier ici.

Marisa - Puis-je le dire?

La Madone - Ils sont bons, laissons les choses comme elles sont. Changeons de discours.

Marisa - Maria s'est cachée derrière la Madone, avec ma maman. Il y a aussi Don Enrico et beaucoup d’autres saints.

La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous remercie tous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos parents et vos enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Chantez maintenant un beau cantique en latin, puis allez réciter le Saint Rosaire. Marisella doit rester ici avec l’Evêque.

Rome, le 15 septembre 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Notre Dame des sept Douleurs

Marisa - Tu es venue en tant que Notre Dame des sept douleurs?

La Madone - Oui. Les hommes fêtent Notre Dame des sept douleurs, mais je suis heureuse que mon Fils ait rouvert le Paradis. Oui j’ai souffert; les glaives de la douleur m'ont transpercée, mais je me suis également réjouie de voir le Paradis ouvert et d’avoir beaucoup d'âmes voisines.

La fête de Notre Dame des sept douleurs est une de celles fortement recommandées par les prêtres. Ils m'ont représentée vêtue de violet ou de noir, avec 7 glaives perçant mon coeur, mais la douleur est intérieure et non extérieure, j'étais toujours vêtue, comme tu me vois.

Marisa - Tu es belle, si belle.

La Madone - Je vous aime tous, mes enfants. Vous n'êtes pas nombreux à fêter Notre Dame des sept Douleurs, parce que l’on respecte certaines fêtes et d’autres non, celle-ci est une fête de moindre importance pour les hommes, mais pas pour Nous.

Que vous dire encore? Priez, priez, priez et aimez, aimez, aimez et aimez, ce n'est qu’ainsi que vous atteindrez le Paradis.

"Mère de l’Eucharistie", c’est ainsi que vous devez m’invoquer, c’est mon nom, mon nom unique.

Marisa - Tu es belle et porte de beaux habits, nous essayons, nous aussi, de bien nous vêtir, mais ce n'est pas facile.

La Madone - Courage, Mariasole, la petite Madone t’appelle. Où sont Sara et Emanuele? Je bénis toujours ces enfants quand ils dorment, vont à l'école: ce sont mes enfants et je dois les bénir comme je vous bénis tous.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les malades qui sont si nombreux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella, tu as tant de douleurs aujourd'hui et tu en connais la raison.

Marisa - Oui, mais aide-moi. C’est bon, adieu.

Grand-mère Iolanda - J’ai demandé la permission à la petite Madone de dire quelque chose à Selenia.

Selenia, quand j’allais mal et que tu ne pouvais pas être près de moi, tu m’aidais au moyen du téléphone. Je te vois et je t’aide, même si tu as un bras bandé. Tu dois essayer de ne pas le fatiguer, de le reposer le plus possible si tu veux guérir.

Merci, ma douce Selenia, merci, Lauretta, Yari et tous les membres de ma famille, parce que vous m’aimez.

Marisa - Il y a aussi tes petits enfants d’adoption.

Grand-mère Iolanda - Oui, merci à tous, je suis la grand-maman pour Selenia, je suis sa grand-maman.

Marisa - Tu n’as jamais parlé autant!

Grand-mère Iolanda - Oui. Je vous aime tous, petits et grands, mais mon Evêque vient en premier.

Marisa - Et moi?

Grand-mère Iolanda - Toi aussi, bien sûr, mais il y a d’abord l’Evêque.

Marisa - C’est bien, qui que ce soit qui le touche. Adieu, ma petite maman, adieu.

Grand-mère Iolanda - Adieu, ma douce Selenia. Adieu, tous mes chers petits enfants, petits et grands.

Marisa - Adieu, adieu. Comme tu es belle!

Rome, le 16 septembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es venue encore cette fois, comme tant de fois, parmi nous.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Merci encore à ceux qui sont venus de loin. C’est une grande joie pour moi de vous voir participer à la Sainte Messe célébrée par mon Evêque, dans le lieu thaumaturgique. Beaucoup ne viennent pas ici parce que vous êtes peu nombreux et courent là où il y a foule, mais vous savez que je ne viens qu’ici. Je vous ai dit bien des fois que ma place est ici, même si vous n'êtes que deux ou trois. Je veux vous aider à aller tous au Paradis, je vous désire tous au Paradis, c’est pourquoi j’attends toujours votre conversion totale.

Mais je dois encore une fois vous rappeler des choses qui peuvent paraître bénignes, mais qui ne le sont pas. Si vous avez reçu des instructions disant que les jeunes doivent être devant pour chanter et les adultes derrière, pourquoi les jeunes sont-ils au fond de la basilique ou se mettent-ils au deuxième rang? J’ai également remarqué, et je n’ai rien voulu dire parce que c'était fête, que celle qui joue au petit orgue, Selenia, ne pouvait jouer que de la main gauche. Celle qui pouvait l’aider et vous savez à qui je me réfère, n’a pas bougé pour lui passer au moins les partitions et l’aider. Quand on est enceinte, on peut faire ce genre de choses, car attendre un enfant n'est pas une maladie, mais une joie pour celles dont la grossesse se passe bien. Pourquoi agir en enfant et non en tant que femme? Votre soeur avait raison lorsqu’elle a dit: "Agissez en femme et non en enfant, ne vous faites pas cajoler, vous n'êtes pas les seules à être enceintes". L’aide a manqué ainsi que l’obligeance envers celle qui ne pouvait pas jouer. Pourquoi ce genre de chose arrive-t-il encore? Ce n'est pas bien, qui est vraiment malade se soigne, mais qui n'est pas malade et attend seulement un enfant devrait se réjouir et bien se conduire. Je dois vous demander: si être marié ne vous fait pas du bien? Le fait d’attendre un enfant ne vous rend-il pas joyeuse et sereine?

Cela peut sembler n'être qu’une bagatelle, mais ce ne n'en est pas une, parce que si l’on manque à la charité, on pèche envers celui qui en a besoin. Vous savez que ceux qui manquent à la charité offensent Dieu, en plus du prochain. Il est facile de pratiquer la charité en famille, avec les amis. Mais on doit être charitable envers tous, en particulier envers ceux qui en ont besoin. Pensez à la femme qui avait perdu une drachme et qui après l’avoir retrouvée, respirait la joie par tous les pores de son corps. C’est ainsi que cela doit être pour une future maman: joie, félicité et amour envers tous.

Combien de choses dois-je encore vous enseigner, j’espérais en avoir fini et au contraire j’ai chaque fois quelque chose à vous dire. Mes reproches maternels sont des caresses pour vous. Essayez de vous corriger, de vous améliorer, sinon vous ne vous aidez pas vous mêmes, parce que vous ne grandissez pas.

Bon, en réparation, essayez de bien écouter la Sainte Messe et que ceux qui ont besoin de se confesser se confessent, parce que j’ai déjà dit que manquer à la charité offense Dieu, et offenser Dieu est un péché grave. Vous direz que je suis trop dure? Non, je vous veux bons, mes chers enfants, c’est pourquoi je vous répète souvent: je veux vous conduire tous à la sainteté.

Merci de bien vouloir mettre en pratique cette lettre de Dieu, qui est simple, mais pleine d’amour.

Marisa - Ecoute, petite Madone, je dois te demander si je peux recommencer comme avant à me nourrir seulement de l’Eucharistie, parce que je ne peux pas manger, je ne réussis pas à prendre quelque chose, j’ai mal à l'estomac. Tout comme Dieu le veut, c’est à Dieu de décider, je ferai ce que Dieu voudra. Mais je ne peux plus être toujours mal, du matin au soir.

Merci, merci au nom de tous, parce que tu nous aides toujours à avancer vers le Paradis.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les enfants présents et absents ainsi que les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Alleu dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 20 septembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Ce soir, l’Evêque continuera à vous faire connaître son histoire et celle de la Voyante. Bien sûr, tous n'étaient pas intéressés et tous ne sont pas venus, mais cela ne fait rien, ce qui compte c’est que l’Evêque vous raconte leur histoire. Vous ne pouvez pas comprendre comme c’est important et comme leur histoire est belle, quand vous le comprendrez, il sera probablement trop tard.

Essayez de réciter le Magnificat tous les jours, méditez-le phrase par phrase, chaque ligne doit être méditée et mise en pratique. Vous trouverez beaucoup de beauté dans le Magnificat qui parle de l’amour. Vous le connaissez et le récitez par coeur, mais méditez le; toutes les prières doivent être méditées, cela ne demande pas beaucoup de temps et c’est très, très important. Recitez le Magnificat tous les jours et méditez-le. Quand vous ne comprenez pas quelque chose, demandez des explications à votre Evêque. Il est temps de recommencer avec la direction spirituelle; cela fait maintenant plusieurs années qu’elle ne se fait plus par la faute de personne, mais elle est très importante; elle vous aide à aimer Jésus, à m’aimer, moi la Mère de l’Eucharistie et à vous conduire au Paradis.

Je suis toujours avec vous et tout spécialement quand l’Evêque parle et célèbre la Sainte Messe. Je demande plus de dévotion, plus de prières, plus de silence dans vos coeurs, parce que l’on peut être silencieux extérieurement, mais parler intérieurement. Faites au contraire silence dans vos coeurs et écoutez la voix de l’Evêque qui est la voix de mon Fils Jésus. Quand vous parviendrez à le comprendre, tout sera plus facile et plus beau pour vous, vos enfants et petits-enfants et vous verrez que tout deviendra facile. Quand l’Evêque vous dit: "Puis-je encore parler, puis-je continuer?", vous dites tous oui, mais ce oui part-il de votre coeur? Et s’il part de votre coeur, comment se fait-il qu’aujourd'hui qu’il raconte leur vie, tous ne soient pas venus pour l'écouter? Je suis allée aujourd'hui, tout doucement auprès de beaucoup d’entre vous qui ne s'en sont pas rendus compte et je leur ai fait comprendre l’importance de venir ici dans le lieu thaumaturgique: certains m'ont écoutée et sont venus.

Je vous aime, mes chers enfants, si je ne vous aimais pas, je ne vous parlerais pas ainsi, de cette manière. Mon amour envers vous, envers les enfants et les malades est si grand et je vous aimerai toujours.

Merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit. Si vous écoutez la voix de Jésus, vous ferez toujours un pas en avant. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

La Madone - Marisella, pourquoi ne voulais-tu pas que je vienne?

Marisa - Parce que je ne me sentais pas si bien.

Rome, le 23 septembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Un bonjour et un baiser à la petite Mariasole, qui est bonne et sage.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui un autre dimanche ordinaire. Vous devez surtout continuer à prier; vous vous êtes peut-être fatigués de le faire, c’est pourquoi je vous dis toujours: "Priez, priez, priez", la prière est très importante.

Marisa - Je voulais te dire que cela fait trois nuits que nous ne dormons pas du tout et que nous ne tenons plus debout. Pourquoi n'es-tu pas venue nous aider à nous endormir et à nous faire reposer un petit peu? Nous sommes très, très, très fatigués. Si nous devons faire avancer le travail pour aider l’Eglise, nous devons aller aussi bien. Ne le penses-tu pas? Comme le dit l’Evêque, dis-le à Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Dieu Un et Trois. Nous vous aimons tant et attendons cette grâce. Si je m'en souviens bien, tu avais dit que je serais bien dans les derniers temps et que je jouirais un petit peu, mais je constate au contraire que mon état est pire et que je suis mal, je me sens très mal. Je voulais aussi te demander à quoi est dû ce qui s'est passé hier soir.

La Madone - Cela vient de ton estomac, Marisella. Tu avais trop de problèmes de santé: la fièvre, un taux de glycémie élevé, des douleurs osseuses, des maux d’estomac et des maux de tête; c’est pourquoi je demande toujours que l’on prie pour toi.

Marisa - Oui, mais vous pourriez aussi nous aider, l’Evêque en particulier. Vous savez qu’il doit se préparer le dimanche, qu’il doit parler et s’il n’a pas de force parce qu’il ne parvient à se reposer la nuit, comment faire tout cela? Je te demande cette grâce de tout mon coeur, pas pour moi, mais pour l’Evêque.

La Madone - Mes chers enfants, vous aussi, vous devez priez pour l’Evêque, et comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, priez les uns pour les autres. Comme votre soeur prie pour tous, faites de même vous aussi. Nous aussi, nous attendons la réponse de Dieu Papa, mais il y a certainement quelque chose dans l’air, c’est pourquoi la grâce tant désirée pour votre soeur n’arrive pas.

Mes chers enfants, merci à ceux qui aident cette petite communauté. Priez pour toute la communauté, surtout pour ceux qui sont malades.

Marisa - Merci, petite Madone, envoie un petit baiser à Mariasole.

La Madone - Adieu, Mariasole, la petite Madone t’envoie un baiser.

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 27 septembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est toujours une grande joie pour moi de venir parmi vous, mais c’est un moment fort triste et douloureux pour mes deux chers enfants. Comme vous le savez, la santé de Marisella se détériore toujours plus. Je ne veux pas vous parler de cela, mais vous dire, pour vous tranquilliser, que vous ne pouvez pas non plus vous imaginer combien de personnes vous avez sauvées avec vos prières. Je vous ai déjà dit une autre fois, que Dieu prend toutes vos prières et les répand là où Il croit être opportun de le faire.

Je suis la Mère de l’Eucharistie, je suis la Maman de Jésus. Quand j’entends dire: " Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Dieu Un et Trois", mon coeur se remplit de joie, mais aussi de douleur parce que je connais votre situation. Pourquoi Dieu ne se décide-t-il pas à te prendre, et à t’emporter au Paradis, afin que tout soit plus calme? s’il a décidé que tu dois encore rester sur la Terre, il y a pour cela une raison très grande, très importante.

Je te comprends, je comprends pourquoi tu m’as dit tout cela, mais tu es la seule, qui soit restée à souffrir, tu es la seule voyante, la seule âme qui s'est offerte au Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Dieu Un et Trois. Oh, si les autres avaient également poursuivi leur mission, la situation serait peut être meilleure! Tu as été tentée de tout abandonner, mais tu ne le peux pas mon enfant, tu es trop attachée à ton époux Jésus, au Dieu Tout-puissant, à la Mère de l’Eucharistie, c’est pourquoi je demande toujours des prières pour vous deux, mes chers enfants.

Marisa - Je te demande: ne penses-tu pas que les hommes se soient fatigués de tout cela?

La Madone - Non, parce qu’ils viennent pour prier, écouter, aider ceux qui ne sont pas en état de grâce, ils ne viennent pas pour celle qui a été appelée par Dieu. Je sais que votre vie est dure et difficile, personne n’a souffert autant que toi et que mon saint Evêque.

Marisa - Nous deux. Et lui? Pourquoi doit-il souffrir? Je n’aimerais pas en parler, mais il est jeune et père de famille et tu le connais bien. Pourquoi? J’aimerais que tu me répondes à ce sujet. Je me souviens que tu as dit: "Ne posez pas tant de pourquoi". Il n'est pas facile de répondre aux pourquoi de Dieu, mais aujourd'hui, je te le demande: "Pourquoi?". Si tu es notre Maman, pourquoi toute cette souffrance? Je ne te suffisais pas? Mais j’ai tout donné, je n’ai jamais dit non, j’ai toujours dit oui; j’ai dit non une fois et tu as vu ce qui est arrivé? Oh, comme j’aimerais que tu me répondes, parce que toi, j’en suis certaine, tu sais tout!

Nous deux, nous continuerons à prier la nuit, quand nous ne dormons pas et le jour, quand la maladie me ronge, nous continuerons à prier pour tous ceux qui sont loin de ton Jésus et de toi. Mais sois avec nous Maman, vraiment! Vous avez changé tant de fois vos plans. Je devais mourir il y a deux ans et je suis encore ici à souffrir. Combien de choses nous ont été demandées? Nous avons toujours dit oui, en bronchant parfois, mais nous avons dit oui, et ce "Oui" est devenu grand comme le monde, parce que Dieu a tout pris.

Que dois-je dire? Je remercie Dieu et vous tous pour tout ce que vous nous avez donné.

La Madone - Marisella, courage, mon enfant, courage. Tu sais que tes os seront brisés par la douleur et tu diras oui, parce que tu ne peux pas dire non.

Marisa - E l’Evêque que fait-il, que continue-t-il à faire? Sais-tu à quoi nous ressemblons? A deux prisonniers dans cette chambre, ou mieux, à trois. Je ne vois plus le soleil, les étoiles, la lune, les montages, la mer, je ne vois plus rien, je suis toujours avec mes souffrances. Pardonne-moi si je parle tant de moi, mais je me bats avec mes souffrances et aussi avec celles de l’Evêque, parce que je vois quand il souffre et combien il souffre. Je te demande pardon et je te demande de me bénir et de nous bénir tous.

La Madone - Bien sûr, je suis votre Maman et je vous bénis tous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - C’est bon, adieu. Oui, oui, je fais ce que disent mes neveux, ce que dit l’Evêque, je le fais pour eux, dis-le aussi à ma maman, adieu.

Je ne sais pas si j’ai bien fait ou mal fait.

Rome, le 30 septembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

j’entends parfois des discours qui ne sont pas très beaux; il y en a qui trouvent toujours quelque chose à redire. J’adresse mon discours de ce matin à ceux qui n'ont ni charité ni amour. Combien de fois ne vous ai-je pas parlé de la charité, de l’amour qui vous conduisent au Paradis? Au contraire, cela vient à manquer. Les ex-jeunes n'ont pratiquement plus de relation entre eux; ils se voient pour aller manger une pizza, mais ne se soucient pas des malades, qu’ils soient adultes ou jeunes: chacun ne pense qu'à lui-même et pas aux autres. Beaucoup ont été malades, mais qui s'en est soucié? Ce n'est pas bien.

Vous attendez le triomphe de la part de Dieu, vous attendez qu’il accomplisse ce qu’il a promis, mais vous que faites-vous pour Dieu? Que faites-vous pour le prochain? Que donnez-vous au prochain? Où est l’amour, la charité, le souci pour le frère qui est malade, pour ceux qui ne viennent pas, parce que leur santé ne leur permet pas? Chacun pense à soi, à être bien vêtu, bien coiffé, à avoir tout en ordre, mais ne se soucie pas de ceux qui sont malades; ceci est très grave.

N'oubliez pas que votre soeur a donné sa vie pour vous quand vous alliez mal et continue à la donner pour ceux qui sont malades; c’est elle qui est la plus gravement malade de vous tous mis ensemble. Et pourtant elle ne vous oublie pas, prie pour vous, souffre pour vous et vous qu’avez-vous fait? Combien ont été malades cette année! Beaucoup, aussi bien des adultes que des jeunes. Et pourtant ils n'ont pas reçu de visite, d’affection, peut être quelques coups de téléphone. Non, ce n'est pas ainsi que cela doit être. Un malade a besoin de visites, un coup de téléphone ne suffit pas pour se dire: "Je suis tranquille, j’ai fait mon devoir". Non, ce n'est pas ainsi que cela doit être. Je me répète: vous attendez que Dieu vous aide et qu’il accomplisse tout ce qu’il vous a promis? Mais du Haut des Cieux, Dieu voit que vous n'êtes pas encore comme il faut, que vous n’aimez pas, que vous ne pensez qu'à vous même. Et s’il n'y a pas d’amour envers le prochain, il n'y a pas non plus d’amour envers Dieu. Dieu aime tous les hommes, mais répondez-vous à Son amour? Faites-vous la charité envers le frère qui souffre? Non. Chacun se renferme sur lui même; cela me chagrine. Chaque fois que je vous adresse une louange, que je vous dis que vous êtes bons, que vous avez fait de belles décorations, que vous avez bien décoré l'église, vous vous gonflez et l’orgueil monte. Et l’amour envers le frère? Il faut aimer le frère, quel qu’il soit et quel que soit son âge.

C’est le message que Dieu m’a donné, c’est la lettre que Dieu m’a remise, une lettre très douloureuse, parce que Dieu dit avec justesse: "Ils demandent et se lamentent, parce que je n’accomplis pas tout ce que j’ai promis, mais eux que font-ils?". C’est un message très important. Je répète depuis des années le discours que je vous ai fait. Il y a toujours eu des divisions entre les adultes et les jeunes ou mieux les ex-jeunes. Il semble presque que vous ne pouvez pas vous voir, ce n'est pas bien. Souvenez-vous, chers jeunes gens que l'âge avance aussi pour vous, pas seulement pour les adultes. Aimez-vous, aidez-vous mutuellement.

Merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que Dieu le Père a dit. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur en dépit du grand manque d’amour et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Aimez-vous, mes frères, comme je vous ai aimés. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Chère Marisella, ta croix continue et est très lourde, tu as été brave. Courage.

Marisa - Adieu. Adieu, maman.

Messages d'Octobre 2007

Rome, le 6 octobre 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois. Quelle joie de venir ici parmi vous! Malheureusement, la situation de certains d’entre vous n’arrive pas à se régler, pour une raison ou pour une autre il y a toujours quelque chose qui ne va pas. Je prie pour que tout ceci finisse, pour que la paix et l’amour règnent entre vous, que vous receviez toujours mon Fils Jésus en état de grâce et ne commettiez pas de sacrilèges. Recevez toujours Jésus Christ en état de grâce. Vous avez raison d’attendre des grâces de Dieu, mais Dieu attend aussi quelque chose de vous. Vous débutez bien et puis les discussions commencent et les bêtises arrivent que je ne veux pas nommer, parce qu’elles vous feraient mal ainsi qu'à votre Evêque.

Vous avez souvent prié pour la paix, pour que les guerres cessent, pour les petits enfants qui meurent de faim, vous avez prié pour de nombreuses intentions, priez maintenant pour chacun de vous. Priez, convertissez-vous, aimez-vous et croyez à l’Evangile. Comme je vous l’ai souvent dit, l’amour vous emporte au Paradis, parce que la seule vertu qui existe encore au Paradis est la charité. Pourquoi n'essayez-vous pas de vous aimer comme Jésus vous a aimés? Jésus vous a aimés et vous aime, pourquoi ne l’imitez-vous pas? Pourquoi êtes-vous prompts à vous trouver des excuses quand on vous dit quelque chose et n’acceptez pas les reproches? Les apôtres de Jésus n’agissaient pas ainsi. Ils ronchonnaient et discutaient entre eux, parce que c'étaient des hommes rudes, des hommes de la mer, mais ils levaient ensuite les yeux vers le ciel, invoquaient Dieu le Père et la discussion se terminait. Ici au contraire, c’est tous les jours qu’il y a des histoires, par la faute des ex jeunes ou par celle des adultes; je sais pourtant que vous priez et priez beaucoup. Pourquoi cela arrive-t-il? Pourquoi priez-vous et n’aimez-vous pas? Pourquoi ne vous aimez-vous pas? Aimez-vous comme Jésus vous a aimés.

Priez pour les malades pour qu’ils aillent un petit peu mieux ou montent vers le Père. Vous attendez tous ce moment, mais si vous ne priez pas, si vous n’aimez pas, comment pouvez-vous dire à Dieu: "Mon Dieu, il est temps que tu m'emmènes?". Je vous ai dit au début que mon coeur bat fort pour vous, mais je ne vois pas le grand amour tant désiré par Dieu.

Courage, je suis près de vous. Aimez-vous, aimez votre Evêque, et je peux ajouter, aimez Marisella, qui a tant besoin de votre aide; quand son heure viendra, elle se réjouira et cela vous réjouira aussi.

Mes chers enfants, mettez en pratique ce qui est dit dans la lettre de Dieu et avancez avec amour et sérénité. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 7 octobre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Cela fait longtemps que nous nous sommes rencontrés, pas vrai? Juste hier soir. Je ne suis pas venue aujourd'hui pour vous adresser de petites réprimandes, des reproches maternels. Vous connaissez fort bien la situation maintenant et ce qui s'est passé. Vous devez présenter vos excuses et demander pardon, pas tant à l’Evêque qu'à la personne concernée. Je ne veux plus reprendre ce discours et j’espère que vous avez bien compris l'erreur que vous avez commise.

Mes chers enfants, l’Evêque, la Voyante et les petits enfants se sont rendus cette nuit au Jourdain avec moi, Jésus, Saint Joseph et grand-mère Iolanda. Comme d'habitude, les enfants ont joué en lançant des pierres dans le fleuve et rivalisé à qui les lancerait le plus loin. Le plus espiègle a été Emanuele, qui les a lancées jusqu'à l’autre rive. Il a bien joué avec les petites Sara et Mariasole et les cousins Jacopo et Samuele, mais c’est lui qui a été le plus espiègle. Il s'est même accroché aux vêtements de Jésus et lui a dit: "Joue, toi aussi, et nous verrons si tu lances les pierres plus loin que moi". Jésus l’a caressé, lui a fait un sourire, puis s'est éloigné pour parler à l’Evêque. Ce sont de très belles scènes que j’aimerais que vous pouviez tous voir, mais tant que vos âmes et vos coeurs ne sont pas en ordre à 100 pour cent et que vous ne vivez pas en état de grâce, de telles expériences sont réservées uniquement aux enfants, aux tout-petits. Mariasole s'est esquivée et voulait se jeter dans le fleuve, mais l'eau était froide et elle a commencé à pleurer. Je me suis approchée d’elle et lui ai dit: "Ne pleure pas mon trésor, l'eau est froide. Ne vois-tu pas que nous aussi nous ne mettons pas les pieds dans l'eau?". L'enfant m’a regardé de ses grands yeux doux et beaux et m’a répondu: "C’est bon, je ne vais pas dans l'eau, mais je lance des pierres " et je lui ai recommandé: "Lancez simplement des pierres, mais ne vous jetez pas de pierres". Puis Jésus est sorti du fleuve, les mains pleines de poissons que nous avons cuisinés et mangés. Ce poisson était bon, pas comme ceux que l’on vend en Italie.

Mes chers enfants, c’est mon grand désir et je vous l’ai déjà dit il y a bien des années, que vous me voyez tous, mais tant que la situation ne changera pas et que vous ferez un pas avant et deux en arrière, je ne vous apparaîtrai pas. Quand vous faites un petit pas en avant, continuez à avancer avec le pied droit et puis immédiatement avec le gauche, puis de nouveau avec le droit et puis avec le gauche. Avancez toujours, ne reculez jamais. Ce n'est pas bon signe quand vous reculez. Ne vous demandez pas: "Pourquoi Dieu n’accomplit-il pas ce qu’il a promis?". Seuls l’Evêque et Marisella peuvent se le demander, parce qu’ils souffrent et en dépit de tout aiment tous les hommes et sont charitables. Vous devez tous être charitables, des plus petits aux plus grands.

Marisa - Emanuele, la Madone te donne une caresse.

La Madone - Me vois-tu, Emanuele?

Marisa - Ce n'est pas le moment de te voir, quand l'heure viendra, il te verra de nouveau, parce qu’il t’a vue quand il était petit, mais il ne s'en souvient pas, le pauvre. Même Selenia t’a vue à Tuscolo, quand elle était petite, Jacopo aussi t’a vue. Nous avons même des photos de Jacopo et d’emanuele, documentant qu’ils t’ont vue. Quand te feras-tu voir également des autres?

La Madone - Mes chers enfants, je vous demande de prier beaucoup pour votre soeur, mais encore plus pour l’Evêque. C’est lui qui a le plus besoin de vos prières et de votre aide. Aimez-le, aimez-le, certains ne l’aiment pas malheureusement. Pourquoi ne l’aiment-ils pas? Parce qu’ils n'ont ni l’amour, ni la charité.

Je donne ma bénédiction aux petits enfants, à ceux qui sont dans cette maison et hors de cette maison, à tous les petits enfants: à ceux qui doivent venir au monde, à ceux que vous ne connaissez pas et qui vivent loin d'ici, dans d’autres pays. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

L’Evêque - La Madone a donné un petit baiser à Emanuele, il a de la chance.

Rome, le 12 octobre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

J’attends la vraie conversion des adultes et des ex-jeunes. Je vous ai déjà dit qu’il était inutile de demander à Dieu le Père d'intervenir et de prier, si la vraie conversion, l’amour et la sensibilité vous font défaut. J'insiste toujours sur ce point: Dieu le Père veut la vraie conversion. Vous aussi vous désirez quelque chose, vous l’avez toujours demandé, mais tant qu’il n'y aura pas de vraie conversion, cela n’arrivera pas. Ceux qui souffrent de tout cela sont l’Evêque, votre soeur et ceux qui leur sont proches et qui les aiment vraiment.

Souvenez-vous des premières lettres de Dieu? Elles parlaient toujours d’amour. Mes paroles étaient douces, pleines d’amour, de bonté, de charité; mon amour pour vous était grand. Avec le temps, vous vous êtes habitués aux apparitions et ne faites rien d’autre que de demander: "Devons-nous continuer à prier? Devons-nous continuer à faire l’adoration du Saint Sacrement?". Vous devez savoir s’il faut continuer ou non, il ne faut pas toujours demander aux autres, en particulier à l’Evêque. Voulez-vous prier, voulez-vous faire l’adoration? Il suffit d’avertir la personne concernée, et d’avancer. Le langage des lettres de Dieu était différent avant, les lettres étaient pleines d’amour. Vous attendez une réponse de Dieu, mais cela fait combien d’années que Dieu attend quelque chose de bon de votre part? j’en reviens à répéter: la vraie conversion. Vous pensez trop à vous-mêmes et à votre petit monde. Je peux comprendre que vous pensiez à vos enfants, vos malades, mais il faut également penser aux autres et à tous ceux qui sont dans le besoin. C’est pour ces manquements que Dieu se fait attendre, et votre soeur et l’Evêque en souffrent énormément. Cela fait maintenant des nuits que Marisella ne parvient à fermer l’oeil et est percluse de douleurs. Quelles douleurs avez-vous? Celui d’entre vous qui est malade, se fait opérer et tout se termine, il se fait soigner et il guérit. Et votre soeur? Et votre Evêque qui est écrasé moralement de toute part?

Soyez forts, courageux, arrivez tous, grands et moins grands, à la vraie conversion et vous verrez que Dieu sera avec vous et que je serai avec vous.

Merci, mes chers enfants, de mettre en pratique tout ce que je vous ai dit. Si je vous fais ces reproches maternels, c’est parce que je vous aime. J’ai pour vous un amour immense, plus grand que le ciel, la Terre, la mer, les montagnes, plus grand que tout ce que Dieu a créé. Courage, arrivez à la vraie conversion,

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants et les malades, Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Allez en paix, mes enfants, et convertissez-vous à l’Evangile.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 14 octobre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Combien de fois ne vous ai-je pas dit de vous aimer? Pensez à la parabole du bon samaritain. Un homme avait été blessé par des brigands et un prêtre et un lévite passèrent outre, mais un samaritain qui n'était pas de la région, le secourut, le conduisit dans une auberge, donna des pièces d’argent à l’aubergiste et lui dit "Prends soin de lui et ce que tu auras dépensé en plus, je te le rembourserai, moi à mon retour".

Pour faire oeuvre de charité envers un malheureux, il n'est pas nécessaire d’avoir la même religion, de faire partie du même groupe de prière ou du même cénacle, la charité doit se faire envers tous, sans regarder si la peau est rouge, blanche ou jaune, vous devez aimer tous les hommes.

Comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, il est beau et facile d’aimer ceux qui vous aiment, vos époux, vos épouses, vos enfants, mais cela est difficile quand l’autre n'est pas de la même race ou religion.

Au moyen de nombreuses paraboles, Dieu vous a donné des enseignements élémentaires, parce que compréhensibles pour tous. Jésus n'utilisait pas un langage compliqué lorsqu’il enseignait et les apôtres non plus. Jésus cherchait à se faire comprendre de tous. Je sais qu’un évêque, futur Pape, (Jean Paul Ier) demanda à un simple séminariste (Claudio Gatti) de lire ce qu’il avait écrit, en lui disant: "Si tu le comprends, toi qui es un simple séminariste, les autres pourront également le comprendre". On n’a besoin ni de diplômes ni d'une grande intelligence pour comprendre ce que dit l’Evêque. Si vous suivez avec attention ce qu’il dit, vous verrez que tout sera plus facile et plus beau et que vous serez vous aussi heureux et satisfaits.

Je tiens de nouveau à répéter que Mon Fils ne m’a jamais fait souffrir, ne m’a jamais manqué de respect et ne m’a jamais négligée, mais, qu’après Dieu, il m’a aimée de tout Son Coeur. Jésus était mon fils, comment pouvait-il me négliger? Celui qui a écrit ces choses n'est pas digne d'occuper le poste qu’il occupe, il devrait le quitter et s'en aller. C’est lui qui devrait aller dans un monastère, pas toi, Marisella. De toute façon, ce sont des leçons qui servent à tous; tous doivent aimer et vouloir du bien à tous. Si des personnes vous font souffrir par leur manière d'être, leur caractère, leur bêtise, disons le quand même, vous devez également les aimer. Priez, priez afin que la situation change un petit peu et que la vraie conversion arrive pour tous.

Merci, merci pour tout.

Marisa - Je te dis "merci" au nom de tous.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Si une lettre de Dieu n'est pas complète ou compréhensible, c’est la tâche de l’Evêque de l'expliquer et d’en parler. Apprenez à l'écouter avec amour, avec votre coeur, parce que tout ce qu’il dit, c’est Jésus qui parle à travers lui.

Merci. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Oui, je le dirai à Lauretta. Merci, merci pour tous. Je vous dis merci, parce que vous avez réussi à me faire dormir au moins trois heures; ce soir vous augmenterez d'une heure et nous arriverons finalement à six, pas à celle …

C’est bon. Adieu.

Rome, le 19 octobre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je suis venue pour vous fortifier et vous encourager, pour vous aider à accepter ce que Dieu et ce que la Maman vous disent. Cherchez surtout à être bons, à vous aimer, à être compréhensifs les uns envers les autres. Ni l'âge, ni la culture n'ont d'importance, vous devez les aimer tous.

Vous savez fort bien maintenant que lorsque l’Evêque célèbre la Messe, je suis à ses côtés et parfois également Saint Joseph et grand-mère Iolanda. Jésus est en lui et quand il parle, c’est Jésus qui parle.

Je vous demande d'être forts et courageux, de prier, de vous aimer, vous savez combien je tiens à l’amour.

A toi, petite créature du Ciel, je dis merci pour ce que tu fais pour l’Eglise.

Marisa - Je ne fais vraiment rien, parce que je suis ici, assise dans un fauteuil roulant et j’attends que la nuit vienne pour dormir, je n’ai rien à faire parce que je ne peux rien faire. Je ne peux bouger ni les mains, ni les pieds, ni les jambes, alors je suis ici et j’attends aussi votre appel.

La Madone - Courage, courage.

Marisa - Et qui a du courage? Depuis combien de temps me dites-vous que vous allez venir me prendre et je suis toujours ici? Je dis toujours en plaisantant que j’ai refleuri et que c’est pour cette raison que vous ne me prenez plus? Je n’ai pas refleuri, venez me prendre, je vous en prie, le plus vite possible, je laisserai ainsi pleine liberté à l’Evêque et à ceux qui vivent à mes côtés.

La Madone - Merci, Marisella, pour tout ce que tu fais. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, adieu.

Rome, le 21 octobre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Excellence, je suis heureuse de la prière que tu as récitée, elle est belle, sainte et pleine d’amour. Je veux maintenant parler à ceux qui veulent vraiment faire ce chemin; j’ai dit l’autre fois d’arriver à la vraie conversion. Vous êtes grands maintenant et vous n’avez plus besoin de l’aide de votre Evêque, mais si quelque chose ne va pas, allez le trouver directement, ne discutez pas entre vous, parce que vous vous écroulez avant. Faites une prière pour les deux époux, je veux que leurs petits enfants récitent le soir une prière pour la maman et le papa.

Marisa - Puis nous lirons bien cette présentation et enlèverons ce que tu nous diras.

La Madone - Marisella, ne te fais pas de soucis, tout sera dit un jour, tout sera connu, mais pour l’instant faites comme je vous dis de faire.

Petit cénacle, je vous demande des prières, beaucoup de prières et vous verrez que tôt ou tard nous réussirons à obtenir ce que Dieu vous a promis.

Merci à tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Tu salues la maman que je n’ai pas vue aujourd'hui? Ce n'est pas que je ne veux pas souffrir pendant la nuit, mais seulement un petit peu moins, accordez-moi quelques heures de sommeil, j’ai droit moi aussi au repos, tant que je vis sur la Terre. C’est bon, adieu maman, adieu.

Ils sont partis.

Rome, le 24 octobre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

C’est aujourd'hui ma fête, une grande fête. Je vous demande de prier pour tous ceux qui en ont vraiment besoin. Vous direz: la Maman nous demande toujours des prières? Oui, prier n'est pas un sacrifice. Priez et aidez ceux qui souffrent.

Marisa - Nous sommes beaucoup à souffrir, certains à cause de la maladie, d’autres parce qu’ils sont à l'hôpital et d’autres à cause du moral: nous avons tous besoin de ton aide. Aide-nous, petite Madone, nous avons besoin de ton aide.

La Madone - Merci pour la fête, même si l’un d’entre vous n’a pu célébrer la fête et a raison, je suis heureuse quand même.

Marisa - Je te répète que je t’ai donné toute ma vie et que je te la donne à nouveau, mais aide l’Evêque, aide ce jeune et tous ceux qui l’aiment. C’est aujourd'hui également la fête de ma soeur, aide-la aussi, elle souffre. Aide tous les malades, les petits enfants, nos neveux, aide-nous tous. Nous prions, nous te demandons toujours de l’aide, nous cherchons par tous les moyens à faire ce que tu nous dis, mais dis à Dieu de faire aussi quelque chose pour nous, parce que nous en avons tant besoin.

Merci, petite Madone.

La Madone - Dieu vous a envoyé le Saint Esprit, priez Le, Il est ici avec moi.

Marisa - Oh, il est égal à Jésus! Mais c’en est assez des paroles, nous cherchons de l’aide, nous voulons de l’aide, aidez-nous, je vous en prie. Esprit Saint aide-nous.

L’Evêque - Il est Dieu!

Marisa - Il est Dieu. C’est bon, fais-nous aller mieux et dormir un petit peu.

La Madone - Mes chers enfants, merci pour vos prières, pour la fête, même si vous ne l’avez pas célébrée de façon solennelle, parce que vous n'étiez pas moralement et physiquement en état de le faire, mais je vous en remercie quand même, parce que je sais que vous aimez.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et os objets sacrés Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis tous les enfants.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Petite Madone, je t’adresse de nouveau tous mes voeux. Excuse-nous de ne pas avoir célébré cette fête de façon solennelle, mais nous étions fort éprouvés. Adieu.

Mais c’en assez des paroles, fais-nous voir également quelque chose de concret.

Rome, le 26 octobre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis souvent venue prier avec vous et j’ai vu beaucoup de souffrances dans vos coeurs et beaucoup de malades parmi vous. Vous savez que lorsque la maladie frappe une personne, ce n'est pas parce que Dieu le veut, mais cela tient à la nature humaine. Au contraire dans cette maison, il y a quelqu’un qui souffre parce que Dieu le veut pour le salut des âmes. Moi, en tant que votre Maman, je peux seulement vous dire: "Priez, priez, priez, mes chers enfants, parce que la situation devient toujours plus critique, plus triste et douloureuse dans le monde et dans l’Eglise". Priez, ne vous lassez jamais de prier, parce que le démon tourne autour de vous pour vous faire céder à la tentation. Vous savez fort bien maintenant, votre Evêque vous l’ayant dit bien des fois, que celui qui vit en état de grâce ne doit avoir peur de rien; vivez donc dans la grâce de Dieu et priez.

Marisa - Ecoute, petite Madone, j’aimerais te dire une chose: deux ou trois personnes vont très mal; pourrais-tu les aider à aller mieux un petit peu? Je peux seulement t’en remercier et prier. L’Evêque et moi, nous prions la nuit, nous prions beaucoup.

La Madone - Mes chers enfants, je prie avec vous, ensemble avec vous, pour ce que Marisella a demandé. Je veux maintenant bénir les enfants présents et absents. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Adieu, Marisella.

Rome, le 28 octobre 2007 - 11h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Avant que tu ne commences à parler, j’aimerais te poser une question devant tous: pourquoi quand nous te demandons des grâces qui sont de belles requêtes, n’arrivent-elles jamais et qu’au contraire quand j’accepte de souffrir pour une âme, la souffrance commence aussitôt ou au plus tard le jour suivant? Ce n'est pas que je ne veux pas souffrir, parce que je souffre volontairement pour les miens, pour mon cénacle et pour tous, mais je n’ai encore vu aucune de toutes ces belles promesses se réaliser. Pourquoi Dieu tarde-t-il à réaliser ses belles promesses? Petite Madone, c’est avec toi que je parle maintenant, mais Dieu m'entend et sait ce qu’il y a dans mon coeur.

Tu sais que je suis descendue aujourd'hui par amour d'une personne qui vit avec moi, par amour de l’Evêque, par amour du cénacle et par amour de ceux qui sont venus de loin. J’ai rassemblé toutes mes forces et je suis descendue. Je t’ai posé une question et j’aimerais entendre ta réponse: pourquoi ne nous arrive-t-il pas de belles choses? Nous cherchons pourtant à faire tout ce que Dieu nous demande; pas seulement moi, mais les autres aussi. Pourquoi rien ne nous a-t-il été encore accordé? Pourquoi fais-tu également souffrir ce jeune homme? Il se peut que je meure pour cette souffrance, qui est immense pour moi, parce que je me sens maman. J’aimerais tant connaître la réponse de Dieu, qu’il te la donne et tu me le donneras ensuite. Voilà, c’est cela que je voulais te demander.

Quand on me demande de faire une prière ou des intentions de prières, je n'y parviens pas, parce que je dis ce que j’ai dans le coeur et il vaut mieux parfois ne pas le dire. On m’a appris à être franche, sincère et je ne peux pas dire quelque chose, si ce n'est pas vrai, si je ne le ressens pas. C’est pourquoi je ne parle pas, je ne fais pas d'intentions de prières, je ne dis rien, mais tu sais ce que j’ai dans le coeur.

Cela fait des jours et des jours que ma famille et mes neveux souffrent, et surtout l’Evêque souffre énormément. Nous nous demandons tous: "Que fait Dieu? Pourquoi ne nous vient-il pas aussi en aide?". Vous du Ciel et de la Terre, vous savez pour combien de personnes j’ai prié, pour qu’elles puissent avoir des enfants, pour les aider dans la souffrance ou les aider à l’accepter, parce qu’il est dur parfois de l’accepter. Beaucoup m'on téléphoné et m'ont dit: "J’attends un enfant, je vais mieux, je suis guérie". Ceci me rend heureuse, mes pour les miens? Te souviens-tu combien j’ai prié pour grand-mère Iolanda? Combien de prières j’ai faites? Elle aussi, dans sa simplicité s'est exclamée: "Pourquoi Dieu n'écoute-t-il pas nos prières?". Maintenant, je te demande petite Madone "Pourquoi Dieu n'entend-t-il pas nos cris et nos lamentations?". Je sais qu’il est difficile de comprendre Dieu; tu as dit qu’il était difficile de répondre aux pourquoi de Dieu, mais aujourd'hui je te demande, "Pourquoi, pourquoi?".

J’ai connu beaucoup de voyants, je n’aime pas beaucoup ce terme, ils jouissent quand même de la vie, s'enorgueillissent et ont tout ce qu’ils veulent. Qu’avons-nous, nous? Nous avons un petit groupe qui nous aime. Où sont allés tous ceux pour qui j’ai prié et que Dieu a aidés? Pourquoi ce vide autour de nous, alors que des milliers et des milliers de personnes se rendent auprès des autres, bien qu’il n'y ait plus d’apparitions? Je sais que tu diras dans ton coeur: vous aimez plus, vous donnez plus. Peux-tu répondre au moins à cette question?

Pardonne-moi, excuse-moi, car je ne sais pas si je me suis bien exprimée, parce que si je pense comment on doit parler, je n'ouvrirai plus la bouche. Ce n'est pas facile aussi de parler après Son Excellence, mais je devais faire ces réflexions. Combien de fois t’avons-nous demandé de l’aide pour une personne qui m'est très chère ainsi qu'à quelqu’un d’autre? Tu as promis, mais ensuite? Si tu as quelque chose à me dire, dis-le moi, sinon adresse toi à ces âmes qui t’aiment. Ce devait être une grande fête pour nous, petite Madone, mais pardonne-moi, mon coeur n'est pas en fête, ce n'est pas fête pour moi.

La Madone - Chère Marisella, tu as dit la sacro-sainte vérité. Je sais qu’il est difficile, très difficile de comprendre les pourquoi de Dieu, mais crois-moi, crois-moi mon enfant, nous vous aidons en permanence.

Marisa - Mais nous voulons voir et sentir cet aide. Je ne parle pas de moi, j’ai offert ma vie, par charité, je te l’ai donnée et continue à te la donner, mais tu sais pour qui je parle.

La Madone - Ne t’inquiète pas, même si c’est aujourd'hui ma fête et que tu ne la ressentes pas. Je te remercie d’avoir parlé avec ton coeur, comme tu sais le faire. Te souviens-tu quand je te disais que tu parles à Marisa?

Marisa - Oui, mes ces paroles ne me disent rien maintenant. J’aimerais voir quelque chose pour ceux qui sont malades, en particulier pour les jeunes, mais aussi pour ceux qui sont âgés parce qu’ils t’ont tout donné, t’ont aimé et prient, prient, ils prient tous. Aide-les tous, moi exceptée, cela ne m’intéresse pas. Quand je fais un don, c’est pour toujours, il n'est plus mien. La vie n'est plus mienne, mais je t’en prie, aide qui tu sais que j’aimerais qu’on aide. Aide notre Evêque, il souffre lui aussi énormément. Hier encore je l’ai vu pleuré une fois de plus et cela me tue. Pourquoi Dieu l’a-t-il ordonné Evêque s’il devait ensuite tant souffrir? Il ne lui a pas été demandé de souffrir, il devait se consacrer entièrement aux âmes, aider les âmes, mais où sont-elles? Il vaut mieux que je m’arrête de parler, parce que j’aurais encore tant de choses à te dire, mais nous en parlerons entre nous, peut-être avec l’Evêque.

La Madone - Mes chers enfants, après cette effusion de paroles de votre soeur où elle a démontré son amour pour tous, la Maman ne sait que dire. Je vous dis seulement que je suis proche de vous et que je fais ce que je peux de tout mon coeur.

Je ne peux rien ajouter maintenant, sinon vous donner ma bénédiction avec mon saint Evêque. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Tu es fâchée après moi?

La Madone - Non, Marisella, je suis heureuse que tu aies parlé, que tu aies dit ce que tu avais dans le coeur.

Marisa - Alors, je t’implore de tout mon coeur, d’aider cette personne, tu sais qui c’est, je n’aime pas dire les noms, tu connais de toute façon tous les malades jeunes et adultes.

Pardonne-moi, mais je devais le faire. Petite Madone, si je t’adressais mes voeux, j’aurais l’impression de me moquer de toi. Adieu, adieu.

Elle est partie.

Messages de Novembre 2007

Rome, le 1er novembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Fête de la Toussaint

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Comme vous le savez, les souffrances ne manqueront jamais. Plusieurs personnes sont malades dans la maison de notre cher Evêque, il y en avait d’abord une, puis deux et finalement trois sont tombées malades; quelqu’un tombe malade de temps à autre. Ils sont très éprouvés et je vous demande donc de prier pour eux, car ils ont vraiment besoin de votre aide. De même certaines personnes qui les aidaient ne viennent plus, parce qu’elles sont malades. Le temps n'est pas favorable et beaucoup de choses ne vont pas bien dans la nature. Je suis venue, comme toujours, pour être avec vous.

j’entends encore tes paroles, Marisella. Tu as dit vrai, tu as vraiment laissé parler ton coeur, j’ai senti l’amour véritable que tu éprouves pour tes frères et soeurs. Pourquoi Dieu vous met-il continuellement à l'épreuve et vous fait-il tirer la langue? C’est ainsi qu’on dit?

Marisa - Je n’ai pas étudié, mais l’Evêque dit que oui.

La Madone - Je sais que Dieu vous aime et est près de vous. Ce n'est pas parce que l’un souffre ou que l’autre va mal que Dieu ne l’aime pas; Dieu vous aime tous, sans distinction.

Marisa - Excuse-moi, ne me fais pas répéter ce que je t’ai dit la dernière fois. Si Dieu nous aime, pourquoi ne nous fait-il pas voir au moins quelque chose? Je ne dis pas une guérison complète, mais au moins un changement?

La Madone - Attends, Marisella, tu vas parfois trop vite dans tes discours.

Marisa - Je dis ce que je pense, mais je n’ai jamais rien dit dans ton dos, j’ai toujours parlé sincèrement avec toi et Jésus. Ne voyez-vous pas notre tristesse et nos douleurs? Je ne parle pas pour moi, absolument pas, mais pour les autres. Pourquoi toutes ces souffrances ici chez nous? Avec tant de millions d'hommes, même méchants, pourquoi devons-nous souffrir? J’aurais tant de questions à te poser!

La Madone - Tu peux tout me demander, mais tu ne peux pas dire que Dieu ne vous aime pas, parce que ce n'est pas vrai. Ceux qui le pensent, qui ne réussissent pas à prier, qui passent devant la chapelle et ne parviennent pas à y entrer, se trompent. Toi, Marisella, tu pries et pries, mais ta prière n'est plus joyeuse, elle est faite presque à contrecoeur.

Marisa - C’est vrai.

La Madone - Faites comme Jésus: quand on l’offensait, le maudissait, lui crachait dessus, il continuait tranquillement.

Marisa - Oui, mais il n’avait pas de souffrances. L’Evêque dit qu’il n’a souffert de la méchanceté humaine qu’au cours des années de sa vie publique, mais toi tu as dit qu’il a souffert enfant de l'envie des jeunes et des adultes et de l’incompréhension de ses frères. De toute façon, je n’ai rien d’autre à ajouter, j’attends seulement la guérison ou au moins une amélioration pour tous ceux qui sont malades, en particulier pour les jeunes. Tu les connais, il n'est pas nécessaire que je te chante toujours la même chanson, parce que cela devient ennuyeux. J’attends, j’attends avec angoisse et amour; montrez-le nous, si vous nous aimez vraiment.

La Madone - Oui, nous vous aimons et nous vous le montrons, je te dirai ensuite la raison de toutes ces souffrances.

Marisa - Non, non, je ne veux pas le savoir en privé, ou tu me le dis maintenant devant tous ou tu ne me dis rien, cela ne m’intéresse pas; la vérité doit être dite devant tous.

La Madone - Je vous demande à tous de prier. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: priez les uns pour les autres? Pas pour vous-mêmes, mais pour ceux qui souffrent, ils sont si nombreux. Nous ne parlons pas de ceux du Tiers monde et d’autres pays où les enfants meurent de faim, parce qu’ils n'ont pas de médicaments et ne peuvent se soigner. Moi aussi, en tant que Maman, je m’abandonne à mes enfants.

Marisa - Tu n’as plus rien à nous dire?

La Madone - Non, ma fille, parce que nous attendons tous la Parole de Dieu. Mes voeux à tous, à ceux dont c’est aujourd'hui la fête et à ceux dont ce n'est pas la fête. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Je ne sais que te dire. Si tu vois ma maman, salue-la de ma part et dis lui de penser à nos malades.

Rome, le 2 novembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Fête des morts

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la fête des morts. Les saints et les morts s'unissent pour prier pour tous ceux qui ont besoin d’aide. Je m'unis également à eux avec mon Fils et mon époux bien-aimé, parce que le jour de la fête des morts, les défunts doivent s'unir aux saints, afin que l’union de leurs prières serve aux âmes du Purgatoire, pour qu’elles puissent monter au Paradis. Nous avons fêté hier tous les saints, mais c’est aujourd'hui également une grande fête, parce que les morts et les saints prient pour tous ceux qui demandent des grâces et de l’aide. Bien sûr, ceux-ci n’arrivent pas toujours immédiatement.

Marisa - Vous pouvez aussi faire qu’il en soit ainsi.

La Madone - Je sais que vous priez beaucoup, que vous cherchez par tous les moyens à être unis et que vous faites une chaîne de prières pour ceux qui ont besoin d’aide, mais vous ne pouvez pleinement comprendre l’intensité de la souffrance et des douleurs de ceux qui souffrent. Vous ne le voyez pas, mais moi, qui vois et sais, j’essaie par tous les moyens de les aider. Les souffrances et les maladies sont parfois très longues et douloureuses; c’est pourquoi je vous invite à prier. Vous pensez que la Maman demande toujours de prier. Oui, c’est vrai, je demande tous les jours des prières et des souffrances à mes deux chers petits enfants et je vous le demande également. Je sais que vous continuez à pratiquer le jeûne, à faire de petits sacrifices, des pénitences et le Chemin de Croix pour mourir et ressusciter comme Jésus, qui est mort sur la croix et est ressuscité pour nous tous.

Essayez de vous aider par tous les moyens; un petit sacrifice, une simple pénitence peuvent parfois aider une personne qui souffre. Certains prient même la nuit, quand ils ne peuvent dormir, pour ceux qui ont besoin d’aide. Il y a tant de malades, pas seulement dans cette petite communauté … j’allais dire le mot que votre Evêque emploie souvent, mais dans le monde entier. Il faut prier pour tous. Vous savez combien de crimes sont commis quotidiennement dans le monde, combien d'êtres humains sont tués, torturés et combien d’enfants capturés. Si l’on regardait le monde d’en haut, on se rendrait compte de la souffrance, de la saleté et de la misère qui règnent partout. Je vous demande maintenant: que font ces hommes puissants qui détiennent le pouvoir? Quel aide donnent-ils? Qui prie parmi eux? Qui souffre? Ceux qui prient sont ceux qui souffrent, qui aiment, les pauvres. Et les grands de ce monde? Quand je dis les grands, j’entends les grands prélats et les grands hommes politiques. Qui pense à l'homme créé par Dieu? Peu ou aucun. Je vous le répète: ce sont les pauvres, ceux qui souffrent et les enfants qui réussissent à prier mieux que ceux qui sont puissants.

Mon aide de Maman est pour tous, grands et petits, pauvres et riches, je ne fais pas de distinctions. Je vous répète: aimez-vous, mes enfants, et priez.

Aujourd'hui, jour des morts, les gens courent aux cimetières pour y porter des fleurs et nettoyer les tombes, mais à quoi bon si l’on ne prie pas et ne s’aime pas les uns les autres? Priez, priez, pour ne pas céder à la tentation. Convertissez-vous. J’ai parlé de la vraie conversion, mais celle-ci tarde à arriver. Priez, afin que vous puissiez tous dire: " Oh mon Dieu, me voici, je suis prêt à faire ta volonté ". Merci.

Je veux également vous recommander d'obéir à l’Evêque. Pour l'heure, c’est lui qui commande dans ce lieu, ensuite nous verrons. Moi, la Maman de Jésus, j’aimerais voir plus d'obéissance, même dans les petites choses. Votre Evêque vous a dit de ne pas rester dans la sacristie lorsque vous récitez le Saint Rosaire. L’Eglise est petite, mais il arrive parfois que les chaises soient vides près de mon Fils Jésus. Il y a les adultes, peut-être ceux qui ne peuvent pas marcher, mais où sont les ex-jeunes? Pourquoi courent-ils toujours dans la sacristie? Il ne faut pas tant de personnes pour préparer la Sainte Messe. C’est un acte de désobéissance. Pourquoi en faire à votre tête et ne pas faire ce que l’Evêque dit? Ne pouvez-vous comprendre que l’obéissance est importante et qu’elle aussi vous emmène au Paradis. Apprenez à obéir, vous êtes tous grands maintenant, qu’attendez-vous? C’est là la vraie conversion, la prière pour le frère, l’aide pour ceux qui souffrent.

Merci de bien vouloir répondre à mon appel. Cette lettre de Dieu a parfois un ton très ferme.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et tous les morts. Je vous serre très fort sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Me feras-tu aller un petit peu mieux?

Rome, le 3 novembre 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois de novembre. Les deux ont prié pour les morts et nous avons formé ensemble une chaîne de prières pour les malades si nombreux. Vous priez beaucoup pour une personne malade et nous vous en remercions; nous faisons, nous aussi, tout pour être près d’elle. Il faut beaucoup de force pour accepter certaines douleurs et souffrances. Ils ne sont pas tous comme toi, Marisella, ils n'ont pas tous la force que tu as pour accepter. Tu me demandes encore de souffrir et tu sais que Dieu accepte ce que tu demandes.

Marisa - C’est ce que je veux: qu’il accepte. Nous avons ressenti votre absence, nous avons tant besoin de votre aide: tous les membres de cette famille et tous les malades de notre petit cénacle; nous avons des malades graves et des moins graves. Tu le sais, et je le dis devant tous, que n’avons-nous pas fait pour eux. N'éprouvez-vous pas de la peine à les voir dans cet état? Il est difficile en ce moment d’accepter la lettre de Dieu, je vous demande seulement de me donner toutes les douleurs des malades. Je te le répète, petite Madone, il est très difficile dans ces conditions, d'écouter la lettre de Dieu. Que nous dit Dieu? " Priez, j’attends la vraie conversion"; mais est-ce notre faute si la vraie conversion n’arrive pas? si les hommes ne veulent pas se convertir? Tu sais, petite Madone, à qui je me réfère. Je t’implore de tout mon coeur: aide nos malades. Je me suis également adressée à Saint Padre Pio. Je te remercie de tout mon coeur si ce que je demande est accepté par Dieu.

La Madone - Mes chers enfants, je ne lirai pas la lettre de Dieu, mais je vous demande, moi aussi, de prier pour les malades et d'être unis dans la prière. Vous avez fait un beau geste hier, vous avez offert la Sainte Messe pour eux, continuez à prier, le moment est très dur, très difficile.

Marisa - Je t’en prie. Nous avons fait une chaîne de prières et même organisé une veillée nocturne pour tous ceux qui sont malades. Vous du Ciel, aidez-nous, nous en avons besoin. Pourquoi ma maman n'est-elle pas venue?

La Madone - Marisella, voilà ta maman. Regarde comment elle va?

Marisa - Ne pleure pas maman, demande à Dieu d'intervenir. Non, non, ne pleure pas, demande à Dieu d'intervenir, maman. Maman, as-tu vu combien nous souffrons? Aide-nous, ma petite maman.

Grand-mère Iolanda - Je vous aime tous tellement, mais moi, devant Dieu et la Madone, je ne suis rien.

Marisa - C’est bon, nous acceptons les prières, nous espérons de tout notre coeur recevoir de l’aide, mais fais que ce soit bientôt, fais que ce que tu nous dis corresponde à la vérité. Je t’en prie, pardonne-moi, de te parler ainsi, mais nous avons tous besoin d’aide, surtout les malades. Merci.

La Madone - Je vous donne ma bénédiction, ensemble avec mon et votre Evêque. Je vous serre tous très fort sur mon coeur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, adieu, maman.

Rome, le 4 novembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est moi votre Maman. Marisella a peur de me dire quelque chose, comme elle sait le faire, et moi j’ai peur de dire quelque chose, comme je devrais le faire. C'était une blague, je voulais plaisanter un petit peu avec vous.

Marisa - Attends, ce n'était pas une blague en ce qui me concerne. Je peux te dire que nous, j’entends par là toute la communauté, prions énormément. Nous prions, prions, prions et qu’arrive-t-il? Nos malades ne sont toujours pas bien. Alors toutes ces prières célestes et terrestres, comment dit-on?

L’Evêque - Terriennes.

Marisa - Terriennes. A quoi servent-elles? A les envoyer à d’autres personnes? Mais tu sais que nous prions aussi pour les autres malades. Grand-mère Iolanda prie, mais j’aimerais ne plus la voir dans l'état où je l’ai vue hier. J’ai toujours cru que l’on jouit, se porte bien et ne souffre pas au Paradis; pourquoi pleure-t-elle chaque fois qu’elle vient sur Terre?

La Madone - C’est une grand-mère, Marisella, elle ne pleure pas seulement pour vous, mais aussi pour les petits enfants d’afrique du Sud, du Nigeria et d’autres pays; et tu le sais. Moi, quand je viens parmi vous, que puis-je vous dire d’autre que ce que tu aimerais savoir, que vous aimeriez savoir? Prier, vous aimer et obéir. En accord avec mes deux enfants, cette année sera l’année de l'espérance. L’année de l'humilité s’achèvera le huit décembre et celle de l'espérance commencera.

Marisa - Je voulais ajouter autre chose, mais je suis bonne aujourd'hui, demain je ne sais pas.

La Madone - Je viens parmi vous pour vous aider à prier et mettre en pratique ce que dit Dieu.

Marisa - Dieu a immédiatement réalisé ce que je lui ai demandé hier, mais pas encore les belles promesses.

La Madone - La plus belle promesse: le triomphe de l’Eucharistie, est maintenant réalité. Vous ne pouvez pas vous imaginer dans combien de paroisses on fait aujourd'hui l’adoration devant Jésus Eucharistie, et toute cette ferveur eucharistique part de ce lieu thaumaturgique. Je sais que vous verrez le triomphe et le méritez.

Marisa - Oui, mais nous te demandons maintenant seulement des grâces pour nos malades et rien d’autre. Va trouver le Père, secoue-le. Comment est Dieu? Est-il assis, debout, dort-il, comment est-il?

La Madone - C’est une épreuve très dure, une épreuve qui est donnée aussi aux jeunes. Toi, Marisella, à quel âge as-tu commencé à souffrir?

Je prie pour vous tous, je suis près de vous tous, vous le savez et ne devez pas en douter. Quand l’Evêque parle avec Dieu, je suis toujours près de lui. Je suis surtout près des malades et de ceux qui sont à l'hôpital pour les aider. Tous ne guérissent pas, bien sûr. Priez quand même, mes enfants, ne vous laissez pas aller, soyez forts.

Marisa - C’est bon, je te remercie et j’espère que tous te remercient pour tes paroles. Mais fais quelque chose, sinon nous périssons. Jésus sauve-nous, sinon nous périssons.

La Madone - j’envoie un baiser à Mariasole (Marie Soleil). Le soleil est l’Eucharistie et Marie est mon nom. Adieu. Mariasole, tu envoies un baiser à la petite Madone? C’est bon.

Je vous bénis tous, ensemble avec mon et votre saint Evêque. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 16 novembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Selon l’Evangile de l’Evêque Claudio, c’est aujourd'hui sa fête: cela fait cinq ans qu’il a été réduit à l'état laïc et il a voulu fêter ce jour anniversaire avec Nous et avec vous. Il a voulu embellir la chapelle, décorer l’autel, endosser les habits liturgiques les plus solennels et utiliser les vases sacrés les plus précieux, en dépit de ses nombreuses et grandes souffrances. Nous avons prié pour cette fête, nous avons été très proches de lui.

Ce que votre Evêque a fait aujourd'hui devra obtenir des bénédictions et des grâces du Dieu Tout puissant, parce que Lui qui sait tout, qui fait tout, qui a tout créé, a salué cette initiative.

Je suis la Maman, je ne peux faire plus, mais, croyez-moi, nous avons beaucoup prié pour l’Evêque qui a toujours besoin de prières, parce que selon la logique humaine, il a été, j'ose dire, trompé par les autorités, par les hommes, par tous.

Vous, mon petit troupeau, qui connaissez bien votre Evêque, vous connaissez sa bonté, sa générosité, sa charité, son amour, son humilité, ce sont tous des dons et des vertus que Dieu lui a donnés. Vous vous êtes demandés: pourquoi a-t-il tout cela et doit-il continuer à vivre dans le secret? Alors je vous répète qu’il est difficile de comprendre les raisons de Dieu.

As-tu quelque chose à me dire, Marisella?

Marisa - Oui, je ne voulais pas te déranger, je veux seulement te dire: tu connais la situation de ce jeune, c’est vraiment maintenant à vous de faire ce que vous devez faire, parce qu’il a une famille. Nous voulons seulement penser que ce sera le dernier traitement. Guéris-le, il vous aime tant; un jour, quand il était déjà mal, il m’a dit les larmes aux yeux: " Ne demande pas toujours pour moi, parce que je ne suis pas quelqu’un de spécial, il y a tant de malades ". Ceci nous a émus et il a donné un exemple à tous. Si tu le veux, va dire à Dieu que nous aussi nous sommes sur la Terre et qu’il doit tenir ce qu’il a promis, nous avons besoin de Dieu plus que jamais. Dieu Père Tout-puissant, aide-nous tous!

Oh, mon Dieu, mon Dieu! Es-tu fâché après moi? As-tu entendu ce que j’ai demandé pour ce jeune homme? Nous avons tous besoin de ton aide, nous avons demandé bien des fois la grâce de la guérison, mais nous ne voyons rien venir. C’est un dernier remède; je t’en prie, mon Dieu, je t’en prie, fais qu’il fonctionne. Je t’ai demandé de me faire aller mal et qu’il aille bien et au contraire nous allons mal tous les deux. Tu ne le veux pas, n'est-ce pas, mon Dieu? Tu nous aideras, n'est-ce pas? Réponds-moi, mon Dieu je t’en prie, tu l’aideras?

Dieu le Père - Je l’aiderai, comme je le dois.

Marisa - Qu’est-ce que cela veut dire?

Dieu le Père - Je l’aiderai!

Marisa - Que veut dire comme je le dois? J’ai du mal à parler à une personne invisible, j’aimerais te voir et voir l'expression de ton visage. Tu l’aideras?

Dieu le Père - Je l’aiderai.

Marisa - Tu l’as dit aussi l’autre fois et nous n’avons rien vu venir. Il a deux petits enfants, une épouse, ils t’aiment, te veulent du bien. Pense aux parents, aux soeurs, aux oncles et aux tantes, nous souffrons tous. Les femmes du cénacle prient tous pour lui. Aide-nous, mon Dieu, aide-nous, je t’en prie, aide-nous; prends-moi et renvoie le vite, vite, chez lui.

Dieu le Père - Je l’aiderai. Dieu sait que faire et quand il dit quelque chose, il tient sa parole, mais il attend le moment opportun pour intervenir. Comment a été traité l’Evêque, que j’ai ordonné? L’ai-je voulu? Non.

Marisa - Mais Tu pourrais l’aider un tout petit peu. Pense qu’il a dit lui même: "Cela fait 5 ans que je suis réduit à l'état laïc et je veux faire fête avec mon cénacle, avec ceux qui me sont chers". Cela ne Te dit rien?

Dieu le Père - Oh si, cela me dit beaucoup!

Marisa - Et alors? Je sais, mon Dieu, que je ne devrais pas Te parler ainsi, que je devrais m'humilier, me taire, mais c’est plus fort que moi, je ne parviens pas à me taire avec ces deux croix: l’Evêque et le jeune. Je t’en prie, Tu as pris tout de moi, fais-moi voir quelque chose

Il est parti. Petite Madone, pourquoi Dieu est-il parti?

La Madone - Tu devrais être heureuse qu’il soit venu dire ce qu’il devait vous dire et qu’il soit parti.

Marisa - Mais où va-t-il? Ecoute, si je parle avec toi, est-ce que Dieu m'entend?

La Madone - Bien sûr, Marisella, qu’il t’entend.

Marisa - Tu as entendu qu’il a répété plusieurs fois: je l’aiderai, je l’aiderai, je l’aiderai. Qu’est-ce que cela veut dire?

La Madone - Qu’il l’aidera.

Marisa - Je t’en prie, fais nous vivre tous en paix. Non, ne lie pas dans mon coeur, parce qu’il n'y a pas de belles pensées.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous remercie de tout ce que vous avez fait en ce jour pour préparer cette sainte fête, ainsi que votre Evêque l’a appelée. Tout cela vous semblera étrange, mais ce n'est pas étrange, c’est beau, humble et saint.

Marisa - Maman!

Grand-mère Iolanda - Tous mes voeux, Excellence, mon Excellence, tous mes voeux!

Marisa - Maman, tu penses à prier pour ce jeune homme?

Grand mère Iolanda - Faisons ce que Dieu a dit de faire.

Marisa - Il a dit qu’il le guérira. C’est bon, ma petite maman, adieu.

La Madone - Merci encore, mes chers enfants. Avec mon et votre saint Evêque, plus saint que jamais, je vous bénis, les malades en particulier. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, ne l’oublie pas. Je l’aiderai! Ils ont tous entendu cette promesse de Dieu, vous ne pouvez plus nous décevoir encore. Adieu, adieu.

Grand-mère Iolanda - Marisella, tu n’allais pas bien aujourd'hui également à cause de la respiration.

Marisa - Oui, mais je ne veux pas d’aide pour moi, mais pour les autres.

La Madone - Trésor, je te remercie, mais tu es parfois également aidée, pour ne pas effrayer ceux qui sont à tes côtés.

Marisa - Oui, c’est bon, tout ce que tu veux, mais pense à ce jeune et à l’Evêque, je t’en prie. Pardonne-moi, d’abord à l’Evêque, puis au jeune, par ordre d'âge.

L’Evêque - Non, d’abord le jeune.

Marisa - Non, d’abord le jeune, puis l’Evêque.

C’est bon. Adieu, ma petite maman, adieu.

Grand-mère Iolanda - Adieu, mes petits enfants, adieu, Sara, adieu, Emanuele, petit coquin.

Rome, le 18 novembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis de nouveau avec vous. Pensez combien de fois je suis ici avec vous, pour vous encourager, vous donner l’aide que vous désirez et attendez tous: soit pour votre santé, soit pour le triomphe. Priez, afin que les conflits entre les peuples, entre ceux qui ne s’aiment pas, entre les puissants de l’Eglise et les puissants chefs d’etat cessent et que la paix vienne, sinon plus vous avancerez et plus cela empirera pour tous.

Marisa - Petite Madone, je te remercie pour ce jeune homme. Il a finalement dormi toute la nuit et est plus reposé, mais nous attendons la grâce que tu sais bien et que Dieu sait aussi, parce que je la lui ai demandée. Aide aussi les membres malades du cénacle, beaucoup sont malades, ils attendent tous ton aide.

La Madone - Je suis prête à vous aider tous, mais en respectant toujours la volonté de Dieu. Si Dieu veut quelque chose, ce sera toujours bien et s’il la veut autre que ce que vous demandez, il faut l’accepter. Du reste vous savez fort bien que la mort est vie, et que pour ceux qui se conduisent bien, c’est une vie radieuse, pleine de lumière, de charité et d’amour. Au Paradis, il n'y a plus de guerres, de conflits, mais seulement l’amour. Faites la volonté de Dieu, priez. Prions tous ensemble pour la guérison des malades, puis inclinons la tête et disons: "Mon Dieu, que Ta volonté soit faite".

Marisa - Je sais, petite Madone, mais pour ceux qui vont mal, c’est difficile de l’accepter.

La Madone - Je sais, Marisella, ils ne sont pas tous comme toi.

Marisa - C’est bon. J’ai été mourante deux fois cette semaine: je ne respirais plus vendredi et même le physiothérapeute s'est effrayé et puis hier soir; je vais maintenant un petit peu mieux. Je suis heureuse, parce que je parviens à supporter la souffrance, même si elle est dure, même si elle fait mal. Je ne veux pas être une charge pour l’Evêque, ni pour personne. Ce que je peux faire seule, fais-moi le faire, je t’en prie.

La Madone - Marisella, ta route est tracée maintenant, tu le sais depuis des années; je serai proche de toi. Il n'est pas facile d'obtenir tout ce que tu as demandé; tu connais la volonté de Dieu à ton égard.

Marisa - C’est bon, je ne dis plus rien, même si c’est une médecine amère que je prends comme toutes les autres.

La Madone - Je vous dis courage, mes chers enfants. Assurément, vous le dire en ces heures, peut presque être considéré comme une moquerie à votre égard, mais je vous le dis, parce que je suis avec vous, toujours avec vous. Oh, vous ne savez pas combien de personnes disent me voir, avoir des locutions et des visions, mais ce n'est pas vrai! Quand je suis sur la Terre, je sui seulement chez vous et vous savez tous que je suis près de mon évêque lorsqu’il célèbre la Sainte Messe.

Marisa - Eh oui, ton Evêque! Dieu l’a vraiment … C’est bon, je ne veux rien dire, je veux être bonne, sinon je risque finalement de perdre le Paradis pour moi et d’aller en enfer.

La Madone - Non, Marisella, tu n'iras pas en enfer, sois tranquille, ni au purgatoire.

Marisa - j’en doute un peu, parce que je ne suis pas bonne comme autrefois, je grogne davantage avec vous, même avec Dieu.

La Madone - Souvenez-vous que c’est ma fête le 21, jour de ma présentation au temple.

C’est le 21 novembre 1995, que Marisella a subi tous les examens devant établir si elle était saine d’esprit ou dérangée mentalement. Ils lui ont fait subir tout ce qu’ils font subir à ceux qui ont la joie de me voir, beaucoup de souffrances aussi parce qu’on les traite mal (Pour se défendre de certaines accusations calomnieuses répandues par le Vicariat parlant de "fruit de l’imagination et de pathologie religieuse", Marisa a été soumise à des visites et examens cliniques à l'hôpital de jour de la Clinique des maladies nerveuses et mentales de l’université de Rome La Sapienza le 10 octobre et le 21 novembre 1995. Le rapport médical a dit: pas de pathologie neurologique en cours. N.d.R.). Elle a été mal traitée et cela continue, part des hommes d’eglise ou certaines personnes qui venaient ici.

Si vous voulez vous en aller, faites-le en silence, priez comme vous le voulez ou où vous le voulez, mais ne calomniez pas pour vous défendre. Si un lieu ne vous plaît pas, allez-vous en. s’il est difficile de rester dans ce lieu parce qu’on n'y vient que pour prier, allez-vous en. Quelqu’un pense en lui même: "Aussi pour nettoyer, laver et cuisiner", oui pour cela aussi! Pour aider mes deux enfants. Ce n'est pas ici comme dans les autres lieux, où il y a des jeux, c’est ici un lieu de prière, d’amour et de charité. Je tiens énormément à la charité, à l’amour envers tous les frères. Pour m’aimer, pour aimer Jésus, mon Fils Jésus, vous les avez tous contre vous: parents, amis et surtout les prêtres. Ceux qui auront supporté tout cela, auront le droit d’aller au Paradis et d'y voir Dieu. Je sais que beaucoup de parents ont fait souffrir et continuent à faire souffrir leurs enfants et que des frères jettent de la boue sur leurs frères même avec d’autres qui ne vous connaissent pas. Si quelqu’un est intelligent et vient voir comment sont les choses, il comprendra de lui-même que la vérité est ici. Si l’un écoute seulement pour cancaner, alors tout va mal. Vous, mon petit troupeau, qui êtes ici, vous avez de petites discussions entre vous, de telles discussions sont normales, comme il y en a dans toutes les familles, mais Dieu vous aime. Il aime tous les hommes, surtout les malades, les enfants, en particulier ceux du Tiers et du Quart monde.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers, Je bénis les malades et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, toujours.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 21 novembre 2007 - 18:30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous voyez que peu à peu, Dieu tient ce qu’il a promis, mais vous devez Lui laisser le soin de choisir l'heure.

Marisa - Et ceux qui l'émeuvent! Oui, nous avons beaucoup prié pour tous ceux qui sont malades et tu sais qu’ils sont nombreux!

La Madone - Marisella, tu me vois en ce moment entrer dans le temple avec le petit Jésus et le vieillard Siméon dit: "Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, parce que ses yeux ont vu le Messie". Vous aussi, vous devez vous réjouir quand quelque chose de nouveau arrive qui vous donne de la joie. Frappez et il vous sera ouvert, demandez et il vous sera donné, et vous avez demandé; toi en particulier, Marisella, tu as demandé et Dieu a exaucé ta prière.

Marisa - Oui, mais il pourrait exaucer également mes autres prières… C’est bon.

La Madone - Tu te réjouis aujourd'hui de me voir, avec mon époux bien-aimé et le petit Jésus. Tu vois la prophétesse Anne et le vieillard Siméon, qui se sont réjouis de la présentation de l'enfant Jésus et de ma purification, même si je n'en avais pas besoin. J’ai voulu faire ce geste pour donner témoignage à toutes les mamans de la Terre. C’est beau de réussir à faire quelque chose dont nous n’avons pas besoin, parce que nous le faisons pour donner témoignage aux autres; vous êtes du reste le Mouvement Engagement et Témoignage (Movimento Impegno e Testimonianza) et vous devez donc agir comme moi. Si vous avez quelque chose de beau, allez le dire aux autres, faites en jouir également les autres, faites que tous soient heureux.

Le jeune pour lequel vous avez tant prié, va mieux. Il devra maintenant faire une longue convalescence. Dieu avait promis de l’aider et il a tenu sa promesse, même s’il reste encore beaucoup à faire. Une jeune de la communauté a échappé aujourd'hui à un accident. Combien d’accidents ne sont pas arrivés jusqu'à présent, parce que j’ai été prompte à stopper les automobiles ou à éviter la chute de mobylettes; bien sûr je ne peux pas toujours vous sauver tous, je fais ce que je peux en tant que Maman, en tant que Mère de Dieu, mais vous devez être prudents et faire preuve de responsabilité. Mon amour est si grand pour vous que, bien que vous soyez si peu nombreux, je viens ici et veux être avec vous. Le temps que je passe ici peut vous sembler court, mais cela fait déjà douze heures que je suis avec Marisella.

Marisa - Merci.

La Madone - Faites attention à ceux qui disent du mal, aux mauvaises langues, à la médisance et soyez prudents quand vous servez de guide. Quand vous faites quelque chose de bien, faites-le avec le coeur, aimez tous les hommes et je serai toujours ici avec vous.

Marisa - L’Enfant Jésus, est tout petit.

La Madone - Je vous laisse, mes chers enfants, participez avec amour à la Sainte Messe. Continuez à prier pour les malades de corps et d’esprit. Que Dieu vous aide tous.

Marisa - Il a besoin d'un peu de temps.

La Madone - Soyez heureux, j’adresse mes voeux à tous, en particulier aux mamans.

Marisa - Tu me le diras après.

La Madone - Mes chers enfants, je vous laisse maintenant, je dois m'en aller, j’ai à faire moi aussi, mais quand votre prêtre commencera la Sainte Messe, je serai près de lui pour prier, participer à la Sainte Messe et faire la Sainte Communion. Marisella, je vois que tu as un peu de mal à traduire, parce que tu ne respires pas bien et c’est donc difficile pour toi.

Marisa - Je voulais te demander de m’aider à respirer un petit peu mieux, un petit peu. Je prends toujours des médicaments et de l’oxygène du matin au soir, mais je ne vais pas mieux. Fais-moi aller un petit peu mieux, pas pour moi, mais pour mes proches.

La Madone - Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les malades et les petits enfants. Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Amen.

Marisa - Adieu.

Rome, le 23 novembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que je vous ai vus prier et demander des grâces pour les malades. Dieu décide, Il sait quand intervenir, Il connaît les temps, Il sait tout. Qui êtes-vous pour dire quand Dieu doit intervenir? Je vous remercie de l'engagement que vous avez montré dans votre aide envers les malades. Il y a encore à faire, il faut encore prier pour les malades, parce qu’il y en a tant, surtout dans votre communauté. Si les malades sont guéris, espérons qu’ils ne conduiront pas comme les neufs lépreux qui n'ont pas fait demi-tour pour remercier Jésus. L’amour, la charité envers tous est la plus grande et la plus belle prière qui vous unit à Dieu.

Quand par le passé quelqu’un (N.d.R. l’Evêque) priait Dieu, il ne lui était pas facile de l’invoquer en tant que Papa, Frère et Ami, parce que c'était pour lui un moment fort tragique, mais il a toujours usé de ces noms.

La souffrance ne doit pas vous éloigner de Dieu, mais doit vous en rapprocher, parce que vous vivez sur cette planète Terre où il y aura toujours des souffrances. Comme, malheureusement, il y aura toujours des chauffards qui tuent, des malades à la maison ou à l'hôpital et ceux qui font du mal aux enfants et d’autres choses. C’est pourquoi je vous dis toujours de prier, de ne pas vous lasser de prier. Priez pour les personnes âgées, pour qu’elles acceptent la volonté de Dieu, qu’elles fassent ce que Dieu demande. Il est parfois difficile, dur de vivre, mais si l’on s’attache à la prière, la vie devient plus facile.

Je dois dire qu’il y a eu parmi vous un petit héros de la souffrance, il a été très brave en acceptant tout, même s’il a dû affronter des moments difficiles. Vous devez continuer à prier pour les malades et remercier Dieu s’ils guérissent, parce que c’est Dieu seul qui accorde les grâces et les miracles. Il peut y avoir des intermédiaires, mais c’est Dieu qui fait tout. Priez pour que Dieu vous aide toujours et vous verrez comme tout deviendra plus facile. La fatigue, la faiblesse viennent parfois, tu en sais quelque chose. N'est-ce pas?

Marisa - Je voulais te demander: étant donné que l’avent commence et que c’est pour moi aujourd'hui un vendredi saint, penses-tu que Dieu me donneras quelque chose?

La Madone - Je ne le sais pas, Marisella; je sais que cette vie est ta vie et que c’est celle que tu as acceptée.

Marisa - Oui, mais j’ai également demandé à aller un petit peu mieux, à avoir un peu de voix et au contraire … Je dois dire merci de toute façon, je dis de bonne grâce: "Merci de l’aide que vous m’avez donné".

L’Evêque - Nous avons eu de l’aide, mais l’Evêque en aurait désiré plus.

Marisa - Nous avons eu de l’aide, mais l’Evêque en aurait désiré plus.

La Madone - Oh! Oh! Oh! Excellence. Demandez, frappez, c’est vrai que l’Evangile le dit, que Jésus l’a dit, mais vous ne connaissez pas Dieu et sa manière d’agir.

Marisa - Moi, Marisella, je te remercie, Marie, et tu sais de quoi, je ne cesserai jamais de te remercier. Bien sûr, c’est à Dieu que vont tous mes remerciements. Fais que la vie de ce jeune continue sereine et tranquille. De toute façon, nous te remercions et te promettons de prier pour tous les malades, surtout pour ceux que nous connaissons, qui font partie de la communauté et tous les petits enfants.

L’Evêque - Surtout ceux du Bengladesh.

Marisa - Elle dit qu’elle a entendu.

La Madone - C’est bon, courage, mes enfants, maintenant je pense que vous avez senti ma présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je bénis tous les malades, tous les enfants et tous ceux qui aiment Dieu. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Petits enfants, vous m'envoyez un baiser? Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Merci encore.

Rome, le 25 novembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Notre Seigneur Jésus Christ Roi de l’univers

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Puisque c’est ma fête, c’est moi qui suis venu vous apporter la lettre de Dieu. C’est aujourd'hui la grande fête du Christ Roi. Souvenez-vous, Roi sans couronne, il n’a qu’une couronne d'épines.

Je comprends votre amour, votre enthousiasme en acclamant le Roi Jésus. Personne n'est roi au Paradis, personne n’a la tête couverte. Je suis venu pour vous aider à continuer. Faites ces tous petits pas dont la Maman du Ciel vous a parlé; un pas à la fois et en avant, ne reculez jamais. Je sais que c’est parfois difficile pour celui qui reste à la maison de suivre les offices, la procession, la Sainte Messe et tout ce qui a été préparé pendant des années par quelqu’un qui aujourd'hui ne peut plus le faire. Je le vois, je sens sa douleur et son manque. Des projets sont faits le soir et ne peuvent être réalisés le matin, mais je suis heureux quand même. Je tourne maintenant les yeux et je vous vois tous: bons et moins bons. Je vois les enfants, qui ne comprennent pas encore l’importance de la Sainte Messe, je vois les adultes, je vois les vieux, les malheureux, qui ne sont pas bien et sont pourtant ici présents.

Moi, Jésus, je n’accompagne pas souvent ma et votre Maman, parce qu’elle est la messagère. Je viens pour les grandes fêtes ou quand je décide de dire quelque chose. Mais que puis-je vous dire que je n’ai pas déjà dit? Si vous relisez les messages de 1993 à aujourd'hui, vous y trouverez tant de paroles dites par Dieu, mais ont-elles été mises en pratique? Chaque fois qu’on les lit, les messages sont toujours plus beaux. L’Evêque fait sentir la beauté et l’importance des lettres de Dieu. Il vous enseigne à aimer le Christ, la Madone, les saints et les anges et à vous aimer les uns les autres. Aime ton prochain comme toi-même, et alors tu comprendras que tout est simple, tout est beau.

Priez pour les malades; ceux qui ont fait le tour des hôpitaux avec la Maman du Ciel savent parfaitement ce qu’on y trouve. Le personnel se conduit bien parfois et mal parfois, alors le malade doit être prêt à sourire, pour qu’on ne lui fasse pas la tête ou lui tienne rancoeur. Les hôpitaux sont pleins et tous les malades ne parviennent pas à y trouver une place. Si c’est ainsi en Italie, pensez à ce qu’il en est dans le Tiers monde où les petits enfants meurent de faim et n'ont pas de médicaments? Qu’en est-il d’eux?

Marisa - Je ne le sais pas. Peux-tu faire quelque chose?

Jésus - Je vous invite à prier pour tous ceux qui souffrent, pour les petits enfants et les personnes âgées; les vieux doivent être aidés parce qu’ils redeviennent de petits enfants. C’est vrai qu’il est plus facile d’aider un petit enfant qu’un vieux, cela je le comprends, mais vous pouvez le faire, parce que vous avez beaucoup reçu.

Fête du Christ Roi, le Christ triomphant, le Christ que Dieu vous a donné pour vous rouvrir le Paradis. Je suis Celui qui est.

Courage à tous.

Marisa - Voilà, la Madone qui arrive.

La Madone - n’aie pas peur, Marisella, je n’ai rien d’autre à ajouter, je dis seulement: ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, je bénis tous les malades, les petits enfants, les personnes âgées et les missionnaires. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisella, essaie de te lever.

(Marisa se dirige vers le jeune homme et lui impose les mains sur la tête)

La Madone - Vous êtes frères dans la souffrance, tu es jeune, tu guériras complètement et tu seras comme neuf.

Rome, le 30 novembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est le deuxième jour de la neuvaine à l’immaculée Conception. C’est toujours moi, parce que la Mère de l’Eucharistie englobe tous les titres. Je remercie ceux qui font le sacrifice de venir de loin, parce que Rome est une grande ville et il faut beaucoup de temps pour la parcourir.

Je vous recommande de prier beaucoup pour les malades, les enfants, votre Evêque, surtout pour les malades qui sont seuls à l'hôpital, parce que personne ne va les voir; être seul à l'hôpital est très triste. Quand mon cher Joseph est tombé malade, j’ai toujours été avec lui, je ne l’ai jamais quitté une minute, jusqu'à ce qu’il me laisse. Quand vous avez un malade à la maison, essayez d'être plus doux et plus près de lui.

Essayez de vous aimer et de vous vouloir du bien. Faites la neuvaine en l'honneur de Marie, Mère de l’Eucharistie, pour tous ceux qui sont en difficulté et je serai toujours avec vous.

Mes chers enfants, je vous ai remis tant de lettres de Dieu que je n’ai plus rien à vous dire, sinon vous répéter de prier, de vous aimer, de vous vouloir du bien, d'êtres unis. Je vous étreins tous et je vous aime; cherchez, vous aussi, à vous aimer. Je dois vous faire une recommandation, n'embêtez pas votre Evêque avec des problèmes humain qui ne concernent que vous personnellement. Votre Evêque doit vous aider dans votre chemin spirituel, il peut vous donner des conseils, mais n'oubliez pas qu’il est très pris par son travail et les malades. Essayez de l’aider en priant, n’allez pas toujours pleurer sur son épaule, parce qu’il est bon et prêt à aider tout le monde. n’avez-vous jamais pensé: qui l’aide? Avec qui parle-t-il? A qui peut-il se confier? Quand il en a besoin, j’interviens, Jésus intervient, son bien-aimé Joseph intervient ainsi que grand-mère Iolanda, parce que nous voulons qu’il se confie à nous, qu’il appuie sa tête sur le coeur de Jésus, comme cela est arrivé bien des fois. Quand il y a des situations humaines préoccupantes, aidez-vous mutuellement, aimez-vous.

Bonne et sainte neuvaine à tous, qui ne finit pas, parce que celle pour l’Enfant Jésus commencera ensuite. Combien de prières, la petite Madone ne demande-t-elle pas! 'N'est-ce pas?

Marisa - Oui, mais nous sommes heureux. Puis-je te demander de me faire aller un petit peu mieux?

La Madone - Marisella, tu t’es donnée tout entière à ton époux.

Marisa - C’est bon, puis-je reprendre quelque chose? C’est bon, faites comme vous le voulez, je suis ici.

La Madone - Merci à vous tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, en particulier les malades, les nécessiteux et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Pardonne-moi si …C’est bon. Adieu.

Messages de Décembre 2007

Rome, le 1er décembre 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois. Je vous rappelle constamment que les apparitions ont commencé le premier samedi du mois: le premier samedi du mois est très important.

Je vous demande maintenant: pourquoi ne recommencez-vous pas à lire les messages du premier livre, à raison d'un par jour? Est-ce vous demander de trop? Une page de l’Evangile et un message par jour, est-ce trop? Non, mes chers enfants, vous pouvez le faire, courage. Je le dis surtout aux jeunes, n'est-ce pas, Yari? En nommant Yari, le chef, j’entends tous les jeunes.

Marisa - Il travaille beaucoup sur l’ordinateur pour la publication des messages, mais il les lit aussi.

La Madone - Marisella, ne te fais pas l’avocat de la défense quand je parle de Yari. Tu es friponne.

Marisa - Ecoute. Nous prions pour les malades, nos petits enfants, afin que tous grandissent bien, sains, bons, propres intérieurement et extérieurement. Nous prions aussi pour les autres petits enfants que nous ne connaissons pas, pour ceux du Tiers Monde; tu sais combien nous y sommes attachés.

La Madone - Vous constatez vous-mêmes combien de personnes ont besoin de prières, d’aide et de réconfort. Ne vous lassez jamais de prier. Il n'est pas nécessaire d’avoir son chapelet dans les mains et de s’arrêter pour prier, non; vous pouvez prier en faisant le ménage, en auto, il suffit de dire un Notre Père, un Gloire au Père; honorez la Sainte Trinité. Même les petits et le jeune homme peuvent dire un Je vous salue Marie, un Gloire au Père, un Notre Père. Il n'en faut pas plus, n'est-ce pas, Samuele?

Marisa - Le jeune homme s’appelle Jacopo.

La Madone - Oui, je sais, c’est de lui que j’ai parlé.

Marisa - Nos enfants sont de bons enfants.

La Madone - Oui. Il y a aussi Mauro, Paolo et Davide Maria; les petits sont plus nombreux que les ex-jeunes, j’en remercie Dieu.

Marisa - Voilà, je voulais te rappeler Oriana et Paola.

La Madone - Oui, oui, je sais, Marisella, ne te fais pas de soucis, tu dois aussi penser un peu à toi.

Marisa - Quand je t’ai demandé hier de me faire aller un petit peu mieux, un petit peu, pour être indépendante, tu m’as dit: "Tu es celle qui a tout donné". C’est pourquoi je ne demande rien.

La Madone - Priez, mes chers enfants. C’est aujourd'hui le troisième jour de la neuvaine et le premier samedi du mois. Il y a beaucoup de malades et beaucoup de petits enfants qui ont besoin de tout. Même en Italie, il y a des enfants qui ont besoin d’aide, mais en Afrique, en Asie et dans beaucoup d’autres pays, des enfants meurent de faim, n'ont pas de médicaments, pas de vêtements, n'ont rien. Il y a aussi des petits enfants qui sont aveugles et ont des tumeurs. Il faut beaucoup de prières et je prie toujours avec vous. Quand l’un de vous prie, je suis auprès de lui, très près de lui.

Tu ne me demandes plus rien, Marisella?

Marisa - Non, de toute façon tu me dis toujours que je dois le demander à Dieu. Quand irai-je vers Dieu? Vous m’avez même dit que je dois prier Dieu pour mon départ. Il en est passé du temps.

La Madone - Mes chers enfants, je suis toujours avec vous. Malgré les douleurs dont elle souffre jour et nuit, et de tout le reste, votre soeur parvient quand même à plaisanter avec moi et avec vous et à corriger ceux qui ne se conduisent pas bien.

Marisa - Je suis, moi aussi, réprimandée.

La Madone - C’est bon. Prions maintenant tous ensemble. Etendez les bras et invoquez: Notre Père… Gloire au Père …

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, salue maman, donne-lui un baiser de ma part, de notre part. Quand me l’amèneras-tu de nouveau? Je ne la vois pas depuis un peu de temps.

La Madone - Tu la verras le 8, parce que nous irons au Paradis, mais tu devras revenir sur la Terre.

Marisa - C’est bon, on verra ensuite. C’est bon, adieu.

Nous irons le 8 au Paradis.

Rome, le 8 décembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - C’est aujourd'hui une grande fête: celle de l’immaculée Conception. Moi, Jésus, je suis venue avec la Maman et mon papa bien-aimé. Nous avons écouté les paroles de l’Evêque. Il a formulé une belle prière, sincère et douloureuse, qui a conquis tous les coeurs par sa simplicité et sa profondeur. Moi, Jésus, j’ai été ému; la prière de l’Evêque m’a fortement touché. Nous nous sommes regardés, la Maman et moi, et j’ai vu deux larmes s'échapper de ses yeux, comme des yeux de Saint Joseph, de grand-mère Iolanda et de tous ceux qui m'entourent.

Nous avons beaucoup demandé à quelques âmes et elles ont toutes répondu non, à l'exception de deux: mon Evêque et mon épouse; c’est pourquoi nous nous sommes complètement appuyés sur vous, mes chers enfants. Nous vous avons donné et continuons à vous donner une grande force, même si vous ne le remarquez pas dans les moments de grande souffrance. Je t’ai aidée cette nuit, Marisella. Tu avais les fortes douleurs de la passion et de grandes souffrances naturelles et l’Evêque t’a donné Jésus Eucharistie, c’est-à-dire Moi, et j’ai dit: "Assez de souffrance" et je t’ai fait dormir. C’est triste pour Nous de ne pouvoir compter que sur très peu de personnes pour faire renaître l’Eglise qui est très mal gouvernée. Ses pasteurs cherchent uniquement à se profiler, à se distinguer. Ils disent du mal d’autres nations et ne se rendent pas compte qu’un conflit pourrait finalement éclater, parce que leurs citoyens pourraient se lasser d’entendre formuler des insultes et de lourds jugements à l'égard de leur patrie. J’ai dit: "ôte d’abord la poutre de ton oeil, et alors tu verras clair pour ôter la paille qui est dans l'œil de ton frère". Les pasteurs de l’Eglise doivent ôter la poutre de leur oeil avant d'ôter la paille de l’oeil des simples fidèles qui les suivent.

Les hommes d’eglise n’attirent pas les âmes, c’est pourquoi je dis à l’Evêque Claudio: ne reste plus enfermé dans ta maison, sors, va trouver ceux sur lesquels tu peux compter et n’aie pas peur de rencontrer aussi ceux qui ne t’aiment pas, mais te haïssent, te jalousent et t’envient. Tu ne dois pas en avoir peur, parce que tu es bien devant Dieu et devant les hommes. Celui qui ne croit pas en toi, est un grand pécheur et un blasphémateur.

Marie est fêtée aujourd'hui en tant qu’immaculée Conception, mais elle est toujours la Mère de l’Eucharistie, la Mère de toutes les mères.

Marisa - Tu ne dis plus rien, Jésus?

Jésus - Non. Je suis ému.

Marisa - Si vous êtes émus, si les larmes jaillissent de vos yeux, pourquoi ne donnez-vous pas de l’aide à notre Evêque? Pourquoi n'envoyez-vous pas quelqu’un pour l’aider? Avons-nous commis une erreur en disant toujours oui à tout ce que vous nous avez demandé? J’aurais parfois voulu dire non, mais je n'y suis pas parvenue, c’est plus fort que moi de dire toujours oui, parce qu’il me semblerait vous manquer de respect, vous offenser. Nous avons grogné, mais nous avons toujours tout accepté.

Je t’en prie, Jésus, aide-nous. Vois le peu de personnes qui sont à nos côtés. C’est vrai que nous n’avons pas de grande pelouse pour accueillir beaucoup de monde, mais nous sommes vraiment peu nombreux. A Vous tous du Ciel qui m'écoutez, je demande aide et soutien pour notre Evêque. Je le répète encore: avant que je n’aille au Paradis et avant qu’il ne s'élève à des hauteurs vertigineuses, merveilleuses.

Humainement parlant, on s'est moqué de nous bien des fois. Tu m’as fait tout préparé pour mon départ et je suis encore ici, malade et souffrante. j’essaie de cacher un grand nombre de douleurs, mais je n'y parviens pas toujours, c’est pourquoi moi aussi, je vous demande Votre aide, afin que personne ne s'en rende compte, surtout l’Evêque, qui souffre. La nuit dernière et cette nuit tu as essuyé le sang, mais quelques taches sont restées sur l’oreiller et ils s'en sont rendus compte. Tu m’avais promis que les plaies ne s'ouvriraient plus et que le sang ne coulerait plus et au contraire d’autres ont vu ce que je ne voulais pas qu’ils voient. J’ai offert ma vie pour l’Evêque et je veux souffrir le plus possible pour mon frère, parce que je ne veux pas le voir aussi abattu moralement. Il était brillant, souriant, toujours prompt à aider les autres et il est si déprimé, comme on le dit à Rome.

Jésus - Vous tous ici présents, aidez ce pauvre Evêque, priez, priez, priez pour lui. Il a toujours fait le bien et ne m’a jamais offensé, ni la Madone, ni aucun homme de la Terre, et pourtant on s'est moqué de lui, on l’a offensé, calomnié, et des religieuses lui ont même craché dessus via delle Benedettine (dans la rue des Bénédictins). Notre évêque a baissé la tête et changé de trottoir. Non, ceci ne doit absolument pas se répéter. Pourquoi ceux qui se conduisent mal, les pédophiles, les immoraux, les malhonnêtes, ne sont-ils pas ennuyés, réprimandés? Qu’a fait votre Evêque pour être condamné?

Marisa - J’ai seulement demandé à ce qu’il fasse à nouveau partie du clergé la tête haute, je n’ai pas demandé comme Evêque ou Pape. J’ai demandé que ceux qui l’on injustement condamné se repentent et réalisent qu’ils lui ont fait du mal ainsi qu'à ceux qui l'estiment et l’aiment.

Jésus - Malheureusement ceux qui l’aiment sont peu par rapport à ceux qui le haïssent ou le jalousent et l'envient, mais ils devront eux aussi mourir et iront en enfer.

Souvenez-vous que ceux qui offensent et calomnient un prêtre ou un évêque commettent un péché grave et s’ils célèbrent la Sainte Messe et font la Sainte Communion, ils commettent un sacrilège. C’est pourquoi la Maman vous dit souvent: "Recevez Jésus en état de grâce".

Si vous avez parfois des soucis, qui ne seront jamais aussi grands que ceux de votre Evêque, levez les yeux vers le Ciel et demandez à Dieu de vous aider. Il est vrai que les enfants donnent du travail, mais il vaut mieux que les enfants donnent du travail plutôt que les grands se conduisent mal. Ce ne sont pas les enfants qui pèchent, mais les grands. Demandez ce présent à Marie Immaculée, la Mère de l’Eucharistie: fais que notre Evêque triomphe.

Marisa - Je voulais te demander: "Quelle fin a eu frère Gino?".

Frère Gino - Me voici, Marisella, je suis au Paradis.

Marisa - Je me souvenais de toi, comme étant laid, pardon, pardon. Tu es beau maintenant.

Jésus - Tu as su combien frère Gino a souffert! Mais il jouit maintenant du Paradis. Quand votre heure viendra, vous irez tous au Paradis et y jouirez. Souriez, soyez heureux.

Marisa - N'oubliez pas notre jeune. Je te recommande les enfants, les jeunes, les adultes de notre communauté, mais surtout notre Evêque.

Tous mes voeux, petite Madone, je n’ai rien d’autre à te dire, sinon que je suis très éprouvée. j’essaierai de sourire.

Jésus est partie, la Madone est restée.

La Madone - Je vous remercie de votre participation, mes chers enfants. Je remercie ceux qui sont venus de loin par amour envers l’Evêque.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, les personnes âgées et les missionnaires. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Me feras-tu descendre?

La Madone - Fais ce que l’Evêque te dit de faire, Marisella, obéis. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Les anges ont pris la Madone et l’ont emportée dans le ciel, dans le ciel. Beaucoup de fleurs l'entouraient.

Rome, le 9 décembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Jésus n'est pas là aujourd'hui. Comme vous le savez bien, c’est aujourd'hui le deuxième dimanche de l’avent. Je ne vous ai pas dit cette année de préparer la layette du petit Jésus qui doit naître. Quand une maman attend un enfant, elle prépare ce qui est nécessaire de façon à tout avoir sous la main à sa naissance. Quand le petit Jésus est né, j’avais malheureusement peu de choses, seulement un petit linge dont je me suis servi comme couverture pour le protéger du froid. C’est pourquoi l’on dit que le boeuf et l'âne l’ont réchauffé. Je devais serrer Jésus étroitement sur mon coeur pour le réchauffer. Préparez, comme chaque année, la layette du petit Jésus en faisant des sacrifices, de petites privations et des prières. La prière la plus grande et la plus importante est la Sainte Messe et la Sainte Communion. Il est inutile d’aller à la Messe et de ne pas s’approcher de Jésus Eucharistie ou pire encore de s'en approcher sans être en état de grâce, cela fait souffrir Jésus et moi aussi. Je ne parle pas pour vous, mais pour tout le monde, pour les prêtres et j’entends ici du plus petit au plus grand, pour les religieuses et les laïcs. Combien de personnes, par respect humain, s’approchent de la Sainte Communion en état de péché et commettent des sacrilèges! Et vous voulez ensuite que la paix arrive? Qui font souffrir les petits? Qui font souffrir les pauvres? Les grands, pas en âge naturellement, mais ceux qui se sentent arrivés, qui détiennent le pouvoir. Quand quelqu’un souffre ou n'est pas bien vêtu, on l'écarte. Tu en sais quelque chose, Marisella?

Marisa - Silence. Cela tu ne devais pas le dire.

La Madone - Petit troupeau, que Jésus et moi aimons tant, et sur lequel nous avons posé nos yeux, préparez la layette de l’Enfant Jésus. Je vous fais une recommandation: tout doit passer par l’Evêque. Aucun de vous ne doit se sentir le premier ou prendre des décisions que l’Evêque ne connaît pas: c’est le respect. Vous êtes tous égaux, de Marisella en allant vers le bas. Personne ne doit prendre de responsabilités qui ne sont pas de son ressort, dire quelque chose que l’Evêque n’a pas dit ou changer ce qu’il a dit. Soyez plus forts, plus résolus. Si quelqu’un change arbitrairement les ordres reçus, vous devez être prompts à dire: Non, l’Evêque ne l’a pas dit! Ou: est-ce que l’Evêque le sait? Pour polir une pierre et la rendre lisse, il faut en arrondir tous les angles, arrondissez les angles de votre caractère, cherchez à être humbles. L’Année de l’Espérance commence.

Il y a encore de petits angles à arrondir dans la préparation de l'église et de la basilique. Il est facile de marcher d'un commun accord, quand il y a humilité et confiance mutuelles entre les hommes. Vous pouvez vous tromper parce que vous êtes des hommes, mais vous devez vous reprendre aussitôt.

Noël est proche, l’Enfant Jésus est prêt de naître, préparez sa layette. Faites prier vos enfants. Qu’une petite fille ne mette plus son doigt dans la bouche: c’est un petit sacrifice pour l’Enfant Jésus.

Marisa - Regarde, elle t’entend, parce qu’elle est intelligente.

La Madone - Saretta, veux-tu retirer le doigt de ta bouche? Fais voir comme tu es belle.

Marisa - Il faut être patient.

La Madone - C’est bon, mes chers enfants, je ne dis rien d’autre. Préparez, petits et grands, la layette de Jésus, les petits dans les petites choses, les grands dans les grandes. Une petite fille ne peut pas dire le rosaire, faire pénitence, mais peut dire une petite prière.

Mes chers enfants, c’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous et s’il y a quelque chose à dire, si je dois vous réprimander, je dois le faire. Je répète ce que dit votre Evêque: je dois vous reprendre, parce que je ne veux pas que vous alliez en enfer par votre faute. Comme je suis au Paradis et que je ne vais pas en enfer et que je ne veux pas non plus le voir, faites comme je vous ai dit: reprenez vos frères avec amour et charité et espérez qu’ils changeront.

Quelqu’un pense: la Madone reste longtemps comme l’Evêque! Oui, et je vous veux dire encore une chose: il y en a qui durant la Messe ou lorsqu’on attend l’Evêque pour la Messe, se retournent pour regarder derrière eux, ce n'est pas bien. Quel intérêt y a t-il pour vous de savoir qui entre et qui sort? Regardez toujours l’autel. Quand vous étiez dans la petite chapelle, les têtes se tournaient continuellement. Quand la porte s'ouvrait, vous vous retourniez tous ensemble; non, ce n'est pas bien, cela signifie que vous n'êtes pas en prière. Priez, aimez-vous et espérez toujours dans le Dieu Tout Puissant.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants, les grands et les petits, les malades, les personnes âgées et les missionnaires. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Sara, tu envoies un petit baiser à la petite Madone? Bravo. Emanuele, grand philosophe, envoie un petit baiser à la petite Madone.

Rome, le 14 décembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

C’est avec une grande joie que je suis ici à prier avec vous. Je sais que ces jours sont difficiles sur la Terre à cause de la circulation et du froid, mais faites le sacrifice de venir. Pensez combien de gens vont loin, de ville en ville, de sanctuaire en sanctuaire, c’est quelque chose d’autre que de se rendre d'un quartier de Rome à un autre. Quand je vous vois réunis en prière, je suis émue et j’attends, comme vous, que Dieu le Père vienne dire ce que vous aussi vous attendez.

Mes chers enfants, le Saint Noël est prêt d’arriver et tous sont meilleurs, échangent des voeux et font des dons aux nécessiteux. Malheureusement à cause de la circulation, on abandonne la prière, la Sainte Messe, la Communion; je ne m’adresse pas seulement à vous ici présents, mais à tous. Pendant les grandes fêtes, les hommes pensent uniquement à quoi manger et où aller acheter des cadeaux. Priez le petit Jésus, qui vient chaque année vous tenir compagnie. Vous avez Jésus Eucharistie avec vous, c’est lui le vrai triomphe de votre vie. Il faut être toujours bon et toujours prier, pas seulement quand vous demandez des grâces ou de l’aide. Engagez-vous, afin que Jésus ait sa layette et soit au chaud. Je suis toujours avec vous, je suis la Maman de tous les hommes de la Terre. Quand je vous parle, je vois d’autres villes, d’autres nations, je vois le monde entier que j’aimerais tant secouer, et lui dire: priez, convertissez-vous. Jésus attend la vraie conversion.

Merci, mes chers enfants, merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous dis et vous ai dit dans tant de lettres de Dieu, parce que Dieu vous aime, malgré tout et tous. Marisella, Dieu vous aime.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades, les petits enfants et les personnes âgées. Oh, combien de prières il faudrait dire pour toutes ces intentions, en particulier pour les petits enfants du Tiers Monde.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Bonne et sainte neuvaine, qui commence demain. Je ne comprends pas pourquoi elle commence le 16 dans d’autres églises. Elle doit commencer le 15 parce que le 24 est la veille de Noël et la neuvaine doit être terminée.

L’Evêque - C’est son anniversaire le 23.

La Madone - Si vous comptez les jours, vous le constaterez: 15+9=24.

Marisa - Tu le lui souhaiteras le 23?

La Madone - Nous nous voyons souvent, de toute façon.

Marisa - C’est bon.

La Madone - Participez maintenant avec beaucoup d’amour à la Sainte Messe. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 16 décembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Tu ne t’es pas rendue compte, Marisella, que j'étais déjà là.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui le troisième dimanche de l’avent et Noël approche. Essayez de terminer la layette dont je vous ai parlée. Il fait très froid; j’ai vu des personnes travailler, dont on ne voyait que les yeux, tellement elles étaient couvertes. Il neige partout, la nature est belle sous la neige. Je vous le dis, pour que vous compreniez que je vois tout, sais tout et suis toujours près de vous.

Marisella, c’est encore tôt pour que ce que tu as demandé soit accordé. Oui, je sais combien votre souffrance est grande, celle de l’Evêque et la tienne, mais comme je vous l’ai déjà dit bien des fois, il est difficile de comprendre les pourquoi de Dieu. Avancez avec patience, confiance et espérance. Ne dites pas que Dieu dort, Il sait ce qu’il doit faire. Même Nous, quand nous allons Lui parler, nous formulons beaucoup de pourquoi; il est naturel de demander, mais nous nous agenouillons ensuite, la tête baissée, et prions pour tous ceux qui souffrent.

Des grâces sont arrivées ici aussi, même des miracles, seulement les personnes oublient et s'éloignent une fois qu’elles ont obtenu ce qu’elles avaient demandé. Au contraire, ceux qui continuent à venir, même avec le froid, aiment l’Evêque, mais surtout mon Fils Jésus. Comme je vous l’ai déjà dit, je souffre quand les hommes reçoivent Jésus, alors qu’ils ne sont pas état de grâce. Si vous n'êtes pas en état de grâce, si vous manquez à la charité, vous ne pouvez pas recevoir mon Fils Jésus. Je le répète: je ne le dis pas seulement pour vous ici présents, mais pour tout le monde. Ici aussi quelques uns ne marchent pas droit, n'ont ni amour, ni charité; ce n'est pas bien. Ce n'est pas ce que j’ai enseigné, je vous ai enseigné à aimer Dieu et le prochain. Je le répète, je me répète souvent ce matin, il est facile d’aimer son frère, sa soeur, sa maman et son papa, mais l’amour dont je parle est l’amour envers tous les hommes, surtout envers ceux qui souffrent. On accomplit beaucoup de bonnes actions ces jours ci. Faut-il attendre le Saint Noël, pour aimer, faire des dons, tenir compagnie à un malade? Non, souvenez-vous que pour ceux qui croient, qui aiment Jésus Eucharistie, chaque jour est Noël; on doit tous les jours faire de bonnes actions pour aider le prochain. La charité vient toujours, avant tout.

Quelques uns ne marchent pas droit ici, ils sont très peu heureusement, mais cela fait souffrir parce qu’après tant de lettres de Dieu, tant d’enseignements, tant de reproches maternels, il reste encore des angles à arrondir. Offrez la layette à l’Enfant Jésus: aimez-vous entre vous, aidez-vous les uns les autres, ne soyez pas orgueilleux, vaniteux. Quand vous recevez Jésus Eucharistie, vous devez être dans la grâce de Dieu. C’est grave de manquer à la charité, c’est grave de ne pas aimer le frère. Terminez cette neuvaine en achevant la layette pour le petit Jésus. Il vient, comme toujours, parmi vous et vous comment l’accueillez-vous? A vous d'y répondre, comme dirait l’Evêque! Parce que l’Evêque pose d’abord une question, puis dit, à vous d'y répondre. Je dis de même: à vous d'y répondre.

Marisa - Ecoute: quelqu’un reprend le travail demain. Pourrais-tu l’aider et l’accompagner? Parce que c’est pour nous une immense grâce qu’il recommence à travailler.

La Madone - Vous ai-je peut-être abandonnés? Il vous semble parfois que la Maman vous abandonne, mais ce n'est pas le cas. Votre soeur détient un très grand secret qui la ronge, même si elle ne le montre pas, et concerne justement l’Eglise. C’est un secret et elle ne peut en parler avec personne, je vous demande de prier pour elle.

Les hommes, en particulier ceux qui se sentent grands, ne se convertissent pas, ils ont même encore plus reculé. Votre soeur vous a raconté hier soir, comment ce monsieur a répondu à l’Evêque qui lui avait demandé de réexaminer toute l’affaire après avoir lu toute votre histoire sur internet.

Marisella, c’est un cardinal, pas un évêque.

Marisa - d’accord, mais je préfère dire évêque.

La Madone - Ce monsieur a répondu: "Je n’ai pas accès à Internet et je ne comprends donc pas ces choses". Cette réponse a été faite par un grand personnage à un cardinal. Que signifie je n’ai pas accès? Si un cardinal demande que l’on réexamine une affaire, pourquoi lui répondre ainsi? C’est pourquoi je dis que les grands hommes d’eglise ont reculé et continuent à reculer; ils pensent au pouvoir et à l’argent.

Qu'y a-t-il Excellence?

L’Evêque - J’ai fait un geste et tu en as compris la signification; prenons le balai et nettoyons l’Eglise à fond.

La Madone - Oui, mais peut-être que les balais se sont arrêtés, parce que la sorcière (befana) les a tous pris.

L’Evêque - Mais nous sommes encore là et si et quand Dieu le veut, nous pouvons nettoyer l’Eglise.

La Madone - Tu as raison, je suis avec toi. Malheureusement ces messieurs reculent et continuent à reculer, à commettre, tant et tant de sacrilèges. Du moment que vous êtes ici réunis à prier et vivez en état de grâce, si quelques uns ne marchent pas droit, priez pour eux, il n'est pas nécessaire que je cite leurs noms; vous avez bien compris à qui je me réfère, parce que votre Evêque ne vous cache rien et vous dit tout.

Bonne continuation pour la neuvaine. j’envoie un baiser à tous les enfants: laissez-les crier, laissez-les faire, laissez-les jouer, ne soyez pas des parents trop tyranniques.

Marisa - Tu parles bien, parce que l’Enfant Jésus était bon.

La Madone - Il faisait ses caprices, lui aussi, ne te fais pas de soucis.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je dis saint Evêque parce qu’il l'est vraiment. Pour Dieu, il n'est pas besoin qu’une personne meure, aille au Paradis et que le voile tombe pour être considéré saint, il est déjà saint. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisella, peux-tu te lever et aller vers les enfants?

Marisa - Je ne sais pas où ils sont.

La Madone - Viens avec moi.

Marisa - Tu me fais me lever, parce que je te dis que c’est de la gymnastique?

La Madone - Viens avec moi.

Marisa - Allons-y.

La petite Madone vous envoie ce baiser. d’accord?

Les enfants - Oui, oui.

L’Evêque - Envoyez un petit baiser à la petite Madone. Bravo.

Marisa - Ils ne sont que trois. Samuele et Jacopo ne sont pas venus.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Tous mes voeux et bonne Sainte Messe à tous. Priez, priez, priez, je n’ai rien d’autre à dire.

Marisa - J’aurais beaucoup de choses à dire. C’est bon, c’est bon. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il. Adieu. Merci. Protège les enfants et fais en naître d’autres, tu m’as compris.

Adieu, petite Madone, j’espère ne jamais offenser Dieu. Adieu.

Ils ont disparu. As-tu vu comment ils font?

L’Evêque - Non, je n’ai pas vu.

Marisa - Ils ont disparu comme …

L’Evêque - Un nuage?

Marisa - Un nuage.

Rome, le 21 décembre 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Nous sommes arrivés au septième jour de la neuvaine. Je sais qu’il est difficile et fatiguant pour beaucoup d’entre vous de venir dans le lieu thaumaturgique en raison de la distance et de la circulation, mais il n'y a pas de circulation au Paradis. Je voulais plaisanter, mes chers enfants, et vous dire de prier pendant la neuvaine qui est faite avec beaucoup de sacrifices. Pensez aux pauvres, aux petits enfants qui meurent, aidez votre Evêque en tout et pour tout.

Je sais que certains vivent des moments difficiles à cause de la santé et pour d’autres raisons. Mettez tout dans le coeur de l’Enfant Jésus, quand il viendra parmi vous la nuit de Noël. Priez plus que jamais. Ne croyez pas que l’italie se porte bien, non, elle ne va pas bien. Ni les grands personnages de l’Eglise et de l’Etat se conduisent bien. Il y en a beaucoup qui n'ont confiance ni dans l’Etat ni dans l’Eglise. Priez, continuez la sainte neuvaine et attendez avec amour le petit Jésus.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, ainsi que vos êtres chers, tous les petits enfants, les malades et les personnes âgées. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 23 décembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Je suis venue avec une grande joie, parce que le petit Jésus va naître dans très peu de temps. Je sais que bon nombre d’entre vous ont préparé sa layette. Ta layette, comme celle de l’Evêque, est très grande et est pour beaucoup de petits enfants pauvres et pour tous ceux qui souffrent.

Marisa - Ecoute, petite Madone, pourrais-tu me donner au moins un peu de voix pour que je puisse parler?

La Madone - Oui. Maintenant, vous devez seulement continuer à prier. Vous avez eu une grande grâce dans la famille, merci à Dieu, mais aussi à toi, Marisella, et à tous ceux qui ont offert des prières et des sacrifices. C’est aujourd'hui l’anniversaire d'une personne qui m'est chère: tous nos veux de Nous tous du Paradis.

Grand-mère Iolanda - Tous nos voeux, Yari, c’est ta grand-mère.

Marisa - Oh maman! Cela fait longtemps que je ne t’ai pas entendue

La Madone - Je suis seulement venue vous donner à tous ma bénédiction, ensemble avec mon Evêque, parce que je ne veux pas trop fatiguer Marisella.

Marisa - Au lieu de ne pas me fatiguer, ne pourrais-tu pas me faire aller un petit peu mieux? Je t’ai seulement demandé un petit peu, plus pour les autres, ceux qui sont à mes côtés, que pour moi.

La Madone - Je te dis seulement: courage, Marisella.

Marisa - Je n'en peux plus! Non, je n'en peux plus! Attends une minute.

L’Evêque - Nous n'en pouvons plus!

Marisa - Nous n'en pouvons plus. Nous sommes très fatigués. Pourquoi nous dis-tu: "Allez vous reposer"? Quand, comment?

La Madone - Il ne reste plus qu’un jour, Marisella, et l’Enfant Jésus viendra parmi vous. Courage à tous. Que ceux qui le peuvent viennent à la Sainte Messe de Minuit, la nuit du 24. Faites-le, je vous attends tous.

Ensemble avec mon et votre Evêque…

Marisa - Tu dis toujours Saint Evêque.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Merci pour les prières que vous faites dans la journée et surtout la nuit.

Marisa - Si tu nous fais reposer la nuit, nous te dirons un grand merci. d’accord.

Adieu, maman, les petits-neveux sont là. Je sais que tu es la dernière roue du carrosse mais ne peux-tu rien faire pour nous?

Grand-mère Iolanda - C’est Dieu qui fait tout.

Marisa - d’accord, adieu, maman, adieu trésor.

Ils sont tous partis.

Rome, le 24 décembre 2007 - 23h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu as déjà le petit Jésus dans les bras?

La Madone - J’ai suivi avec vous la prière, j’ai prié avec vous et le petit Jésus a dit: "Maman, ils chantent, essayons de faire quelque chose pour ces enfants".

Marisa - Je vois qu’il bouge les lèvres.

La Madone - Mes chers enfants, tous mes voeux de paix, de bonheur et surtout de sainteté à tous. Cette année a été dure et difficile non seulement pour vous, mais pour tous les hommes de ce monde. Dieu a créé le monde beau, propre, sain et les hommes l’ont détruit et souillé. J’aimerais que vous continuiez à répéter devant le petit Jésus: "Enfant Jésus, Dieu d’amour, viens naître dans nos coeurs et dans le coeur de tous les hommes". Vous devez arriver à la vraie conversion. Avez-vous constaté que quand il y a une fête, vous êtes bien ensemble pendant longtemps? Parce que la prière diminue, ralentit. La prière est importante, il est important de prier pour les malades qui sont si nombreux et les petits enfants du Tiers Monde. Le petit Jésus survole en ce moment les différentes villes et nations pour y donner la paix aux hommes de bonne volonté et aux enfants Vous aussi, faites vivre vos enfants dans la paix, je vous demande surtout de ne pas les battre.

Marisa - Quelques fessées sont nécessaires. N'est-ce pas, Enfant Jésus? Tu es revenu? C’est Joseph qui le porte maintenant dans ses bras.

La Madone - Je te félicite, Marisella, parce que tu étais au milieu de tes proches, alors que tu souffrais tant. Mais tu es heureuse, tu t’es réjouie avec eux, autant que tu le pouvais et personne ne s'est rendu compte de ton état.

Marisa - Dis-le seulement à moi, parce que je suis gênée.

La Madone - Oui, tu es trop timide.

Je vous demande, mes chers enfants, de prier aussi pour ceux qui en ce moment sont encore bien assis à table et ne font pas le sacrifice de venir voir l’Enfant Jésus. C’est fête partout, il y a partout des lumières. Les étoiles, la lune, le soleil, tout ce que tu as vu aujourd'hui, c’est le Paradis.

Marisa - Quand m'emmèneras-tu? Ce serait un bien pour tous, parce que je donne beaucoup de travail. Ecoute, si je viens à faire ce que tu sais, ne t’offense pas.

La Madone - Sois tranquille, ne t’occupe pas de ces choses. Ceux qui ne comprennent pas, sont ceux qui ne veulent pas comprendre. Même les voyants le font. N'oublie pas que tu es une femme comme les autres. Sois forte, meilleure envers ton Epoux Jésus qui continue à te demander des souffrances. L’Enfant Jésus te fera aller un petit mieux aujourd'hui.

Marisa - Ecoute, petite Madone, puis-je te dire de parler aux autres personnes qui sont présentes et non à moi, parce que cela me gène?

Oui, donne-le moi! Il est petit, petit, petit, petit; tendre, tendre, tendre. Tu le laisses avec moi cette nuit?

La Madone - Non, Marisella, il doit venir avec nous, mais je te l’amènerai de nouveau quand tu seras seule, tu l'embrasseras fort, fort et tu le serreras contre toi.

Marisa - Fais-moi aller un petit peu mieux, Jésus? Seulement un petit peu, pour ne pas être un poids pour les autres, je t’en prie. As-tu vu combien de petits enfants souffrent?

Va vers le Père. Adieu, petit Jésus, adieu.

La Madone - Mes chers enfants, je vous adresse de nouveau tous mes voeux et un bon et saint Noël. Ce devrait être Noël tous les jours et pas seulement le 24 et le 25. C’est toujours Noël pour un bon chrétien; vous devez prier et faire chaque jour de petits sacrifices. Tu restes avec nous.

Marisa - Qu’est-ce que cela veut dire? Tu m'emmènes au ciel? Non, je ne veux pas venir, parce que vous me renvoyez ensuite sur la terre et j’ai mal. d’accord, comme vous le voulez.

La Madone - Participez à cette Sainte Messe. Le petit Jésus, mon époux bien-aimé et moi, nous serons auprès de l’Evêque et nous l’aiderons, parce qu’il est très fatigué et éprouvé. Nous resterons auprès de notre cher et saint Evêque. j’embrasse tous les petits enfants: Mariasole, Sara, Emanuele, Samuele et Jacopo qui est le plus grand d’entre eux. Sara et Mariasole, vous avez bien chanté, c’est bien, vous avez donné beaucoup de joie au petit Jésus.

Tous mes voeux à tous, ainsi qu'à vos parents, proches, amis et tous ceux qui n'ont pas la joie de venir à la Messe; beaucoup aimeraient venir, mais ne le peuvent pas.

Ensemble avec mon époux bien-aimé et le petit Jésus qui vous bénit déjà, je vous serre très fort sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Viens, Mariasole, la petite Madone t’envoie un petit baiser, trésor. Et les autres?

La Madone - Tu devrais monter à nouveau les escaliers pour les rejoindre. Et Sara?

Marisa - C’est bon, adieu. Sois près de nos jeunes, en particulier de nos neveux et petits neveux, mais surtout du saint Evêque, comme tu l’appelles.

Adieu, maman, adieu. Prie pour nous, maman je t’en prie.

La Madone - Ne pleure pas, Marisella.

Marisa - Je ne pleure pas, mais j’aimerais aller au Paradis.

La Madone - Courage, Marisella, il se fait tard.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman. Adieu petit Jésus.

J’aimerais tant aller au Paradis.

L’Evêque - Tu es fatiguée d'être sur la Terre?

Marisa - Très fatiguée. Quand j’ai vu ma maman, j’ai été encore plus émue.

Rome, le 30 décembre 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui la fête de la Sainte Famille et toutes les familles devraient la fêter, parce que Noël est mieux adapté aux petits enfants et la Sainte Famille aux adultes. Nous avons vécu au milieu des souffrances, calomnies et diffamations, même de la part des parents, mais nos rapports familiaux étaient très bons, parce que lorsque nous fermions la porte, nous restions seuls à prier, et avions le petit Jésus avec nous.

Marisella, la prière jaculatoire que tu dis est très belle: "Enfant Jésus, Dieu d’amour, reste toujours dans nos coeurs" parce que Jésus est maintenant né et doit rester dans vos coeurs.

La Fête de la Sainte Famille, fête de toutes les familles, est une fête religieuse, sacerdotale et laïque. Quand vous récitez le verset: "Gloire au plus haut des Cieux et joie sur la Terre" tu me dis toujours que vous ne ressentez pas de joie. Vous devez au contraire en ressentir, parce que d'une manière ou d'une autre, vous avez tous joie et souffrance.

Marisella, tu ne fais pas autorité.

Toi, saint Evêque, tu as pris la situation trop de front, parce que tu répètes tous les jours les mêmes lamentations, mais la foi et la confiance ne te font pas défaut, même si tu viens à les perdre, pas envers Dieu, mais envers les grands hommes d’eglise, du pouvoir, et envers ceux qui vivent avec vous dans la maison et qui au lieu de s'en réjouir, vous font beaucoup souffrir. Tu dis -avec justesse - que chacun se bat avec ses propres armes, mais vous n’avez pas choisi ces armes. Je ne dis rien d’autres. Toi qui as toujours été avec Dieu, aie foi et confiance en Dieu. Moi, la Mère de l’Eucharistie, qui suis toujours auprès de toi quand tu travailles, pries, dors, célèbres la Sainte Messe, je t’aiderai à ne jamais manquer de confiance envers Dieu, parce que nous t’aimons tous. Tu penses: montrez-nous votre amour.

Marisa - Je n’aimerais pas être la faute de tout, parce que je ne vais pas bien.

La Madone - Non, Marisella, la cause éventuellement, pas la faute. Souviens-toi que Dieu t’a appelée et que tu as dit oui. Ta maman disait: "Je veux aller au Paradis, mais je suis aussi bien sur la Terre" parce que vous l’aimiez, qu’elle était aimée de presque tous ses enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants. Le petit Emanuele lui donnait à manger, parce qu’elle ne mangeait pas, mais avec lui oui.

Assieds-toi, Anna Maria, trésor, tu ne peux pas rester à genoux, obéis à la Maman.

Marisa - Elle aussi ne va pas très bien.

La Madone - La Sainte Famille bénit toutes les familles, même la petite Mariasole qui est capricieuse, mais très bonne. j’embrasse, comme toujours, tous les petits enfants.

Marisa - J’ai dit à Anna de rester assise.

La Madone - Elle doit rester assise, à moins que Dieu ne soit présent, mais même là elle doit s’asseoir après un peu de temps; L’Evêque doit faire de même.

Fêtez la Sainte Famille, c’est aujourd'hui la fête des papas et des mamans, parce que les enfants ont fêté Noël et fêteront ensuite l’Epiphanie, où ils recevront d’autres cadeaux. Mariasole, tu apprendras un jour comment s'est passée ta naissance. Tu me regardes, Mariasole? Tu parles, trésor.

Marisa - Elle ne peut pas comprendre que tu lui parles.

La Madone - J’aimerais que vous fêtiez tous la Sainte Famille, malheureusement vous n'êtes pas nombreux à cause des vacances et de maladies. Vous qui êtes ici présents, fêtez cette journée, que ce soit votre Noël. Voilà ta maman!

Marisa - Maman, maman, aide l’Evêque et tes enfants? Annarella est ici, tu te souviens que tu l’appelais toujours ainsi? Elle est maintenant Annona. Maman, c’est vrai que tu nous aides et que tu es près de nous? Nous avons tant besoin de toi.

Grand-mère Iolanda - Je suis toujours près de vous; quand la petite Madone est là, je le suis toujours, moi aussi.

Marisa - Et nous t’en remercions.

La Madone - Fêtez la Sainte Famille, comme nous l’avons fait. Aimez-vous toujours, respectez-vous mutuellement. Je serai toujours avec toutes les saintes familles, même quand vous êtes tristes et quand il y a des mésententes. Cherchez à aider les malades, parce que vous devez voir en eux, mon Fils Jésus.

Marisa - C’est vrai que tu nous aides, maman? Dis à Dieu de m'emporter rapidement, parce que je n'en peux plus et que je fais aussi souffrir l’Evêque et tous ceux qui m’aiment. Donne le balai à l’Evêque, pour qu’il puisse balayer tous ceux qui le font souffrir.

La Madone - Marisella, ne parle pas ainsi, ce n'est pas ta façon de parler, tu n'employais pas ce genre de paroles autrefois.

Marisa - Avant j'étais une enfant, je suis âgée maintenant et c’est ainsi que je parle. Que dois-je faire?

La Madone - Je vous souhaite à tous d’avoir une bonne et sainte famille.

Ensemble avec mon et saint Evêque, qui attend la réponse de Dieu, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis tous les enfants et les malades, en particulier ceux du Tiers Monde. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Adieu.

Mariasole, tu m'envoies un baiser?

Marisa - Tu dois la comprendre, la pauvrette, elle pensait avoir la compagnie des cousins et elle n’a que des vieux auprès d’elle.

Adieu. Envoie l’Enfant Jésus noir. Envoie-lui un petit baiser.

Merci, adieu. Adieu, maman.

Grand-mère Iolanda - Adieu, Annarella, adieu, Excellence. L’Excellence n'est jamais seul, nous sommes toujours près de lui.

Marisa - On ne dit pas l’Excellence, on dit Excellence.

Grand-mère Iolanda - Il est toujours pour moi l’Excellence.

Marisa - Adieu, maman, adieu.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Maman, tu t’en vas en dernier pour te faire voir? Tu as changé de vêtements, il était vert d’eau avant et il est maintenant jaune clair.

Grand-mère Iolanda - Nous aussi, nous changeons de vêtements.

Marisa - Adieu, amour, adieu. Dis à Dieu de me faire aller un petit peu mieux, un tout petit peu, et de me faire dormir la nuit, parce que je ne peux dormir qu’une ou deux heures et je ne ferme pas l’oeil de toute la journée. C’est bon, comme vous le voulez, de toute façon depuis que j’ai prononcé ce oui, je suis entre vos mains.

Adieu.

Messages de Janvier 2008

Rome, le 5 janvier 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Que le petit Jésus soit toujours avec vous, tous les jours de votre vie. C’est demain l’Epiphanie; Les Mages arrivent auprès de Jésus. Considérez que vous êtes tous des Rois Mages et allez auprès de Jésus. Recevez-le et serrez-le toujours très fort dans votre coeur..

Marisa - Je récite toujours cette prière jaculatoire: "Enfant Jésus, Dieu d’amour, reste toujours dans mon coeur".

La Madone - Essayez de vivre en bonne harmonie ce dernier jour des fêtes de Noël, en priant et en faisant des sacrifices et privations. J’ai entendu dire que les fêtes se terminent avec l’Epiphanie.

Marisa - Nous devons donc manger toutes les douceurs que nous avons, parce qu’on ne doit plus les manger après.

La Madone - Et la prière? Pourquoi la prière doit-elle toujours venir en second?

Marisa - Parce que nous sommes des hommes. Mais nous prions, chacun prie à sa façon, même les petits enfants prient, Mariasole, Sara et Emanuele prient aussi.

La Madone - Je vous ai toujours dit que ce doit être Noël tous les jours. Noel est la fête des enfants et pas des grands, parce que pour vous ce doit être tous les jours Noël. L’Epiphanie (la fête des rois) complète Noël et clôt toutes les fêtes, parce que Jésus vit chaque jour dans la Sainte Messe, la Passion, la Mort et la Résurrection.

Je ne veux pas me référer au long discours que Dieu a fait à mes enfants, mais je vous rappelle qu’il attend vos prières.

Marisa - Quand m'emporterez-vous? Si je m'en vais, tout le monde ira mieux, surtout l’Evêque qui pourra se reposer, faire sa vie etde son balai balayer tous ceux qui … (allusion à un tableau fait par un membre de la Communauté)

La Madone - Sois bonne, Marisella, n'oublie pas que tu parles devant tous!

Marisa - Qu’ai-je dit de mal?

L’Evêque - Rien.

Marisa - Tu dis que je n’ai rien dit de mal, mais elle m’a reprise?

L’Evêque - Seulement parce que ce n'était pas le bon moment de parler ainsi devant tous.

Marisa - L’Evêque a dit que ce n'était pas le bon moment.

C’est bon. Nous continuons à prier: nous prions aussi quand nous ne dormons pas et souffrons. Nous avons toujours le Saint Rosaire dans la main, parce que cela plaît à Dieu et te plaît.

La Madone - Mes chers enfants, mes voeux à tous. J’aimerais vous dire "bonne Befana" (bonne fête des Rois), parce qu’il y a ici des béfanas (vieilles sorcières).

Marisa - Toi aussi tu es une Befana, puisque tu es morte à 84 ans. Quel âge as-tu maintenant?

L’Evêque - Plus de 2000 ans.

Marisa - Tu as plus de 2000 ans, tu es vieille, vieille, vieille! Aideras-tu l’Evêque? Promets-moi de l’aider toujours.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Mariasole.

Marisa - Adieu, maman, Mariasole t’envoie un baiser. Elle doit se rétablir.

Ils sont tous partis.

Rome, le 10 janvier 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête: c’est l’anniversaire de l’annonce du triomphe de l’Eucharistie. Six années se sont maintenant écoulées. Je reprends les mots de grand-mère Iolanda, qui est maintenant ici près de moi: "Moi aussi, j’ai prié et souffert pour le triomphe de l’Eucharistie". Vous avez tous collaboré à la réalisation de ce triomphe, les uns d'une façon, les autres d'une autre. L’amour envers Jésus Eucharistie, qui est parti de ce petit quartier de Rome, de ce lieu déclaré saint et thaumaturgique par Dieu, s'est répandu dans le monde entier. Pourquoi n’a-t-on jamais pensé à Rome et dans le monde entier à passer des heures devant Jésus Eucharistie? L’amour envers l’Eucharistie s'est maintenant répandu partout, même dans les pays étrangers, c’est pourquoi je vous dis: "Ne vous effondrez pas, pensez au bien que vous avez fait avec vos prières, vos souffrances, et quelqu’un surtout avec ses sacrifices et privations".

Je sais que vous attendez depuis longtemps et puisque vous avez beaucoup donné, vous recevrez beaucoup, soyez tranquilles. Ne vous demandez pas continuellement comment et quand; ce ne sont pas des demandes à adresser à Dieu et ce ne sont pas des paroles que doivent prononcer des âmes qui aiment Jésus Eucharistie, comme vous l’aimez. Informez-vous, demandez, lisez, documentez-vous sur les lieux où l’on pratique aujourd'hui l’adoration de l’Eucharistie et d'où est parti tout cet amour envers l’Eucharistie. Il est parti d'ici, de ce petit lieu saint que Dieu a déclaré thaumaturgique. Dieu veut que ceux qui le fréquentent soient saints. Que ceux qui ne se sentent pas capables de suivre ce chemin si difficile, mais doux également, se retirent en silence, sans calomnier. Le fait d’avoir Dieu, Jésus, Marie, la Mère de l’Eucharistie, Joseph et tout le Paradis à vos côtés, doit vous procurer une grande joie.

Oui, vous avez des souffrances, mais elles ne sont pas grandes, elles ne sont pas insupportables, comme le sont celles de l’Evêque et de la Voyante. Les souffrances contribuent à convertir les hommes. Jésus a dit: "Convertissez-vous et croyez en l’Evangile". Ce n'est pas difficile de croire en l’Evangile, il suffit de lire et de mettre en pratique tout ce qu’il dit et vous verrez alors que tout deviendra plus facile et que vous aurez la force de tout supporter et tout accepter. Ceci vaut surtout pour celle qui souffre la Passion de Jésus et pour l’Evêque de Dieu.

Marisa - Pardon, que veut dire l’Evêque de Dieu?

La Madone - Marisella, je t’ai dit de ne pas m’interrompre et de ne pas me poser de questions.

Marisa - Pardonne-moi, je ne demande plus rien.

La Madone - Quand vous êtes découragés, tournez vos regards vers le tabernacle et regardez Jésus Eucharistie. Ne regardez pas qui entre ou sort de l’Eglise, qui est assis ou debout; non, cela vous ne devez pas le faire. Je sais que certaines personnes ne peuvent pas rester à genoux, c’est bon, qu’elles restent assises ou debout. Mais on ne doit pas rester assis pendant la consécration, qui est l’acte le plus grand de la Sainte Messe. Dieu n'en demandera pas compte à ceux qui sont malades et ne s’agenouillent pas, Dieu jugera votre coeur, l’amour que vous avez envers tous.

C’est aujourd'hui une grande fête pour vous: c’est l’anniversaire de l’annonce du triomphe de l’Eucharistie. Je ne sais pas jusqu'à quel point vous ressentez cet anniversaire, mais beaucoup d’entre vous ont fait le sacrifice de venir, en dépit de l'heure tardive, du froid et de la fatigue. Dieu ne peut rester insensible à ce que vous avez fait, parce qu’il est Amour. Même vous, vous devez vous aimer les uns les autres, comme Dieu vous aime. Aimez Dieu comme Il vous aime.

Avancez toujours, ne retournez jamais en arrière. Vous souvenez-vous quand je vous ai dit: faites un pas à la fois, pour pouvoir avancer. Je suis toujours avec vous; vous ne remarquez probablement pas toujours que je suis près de vous. Je le répète: "Aimez Dieu, aimez les hommes, aimez ceux qui veulent changer, qui veulent devenir bons et ceux qui vous font souffrir". Priez pour tous ceux qui souffrent; surtout pour les pauvres; parce que les riches vont toujours bien. Ce sera difficile pour les riches, en particulier pour ceux qui portent des vêtements ecclésiastiques, d’entrer au Ciel.

Grand-mère Iolanda, dis quelque chose à ces enfants.

Grand-mère Iolanda - Oui. Je suis la plus vieille grand-mère. Moi aussi, je me suis envolée au ciel, je prie pour vous tous, et en tant que maman, je prie d’abord pour l’Excellence, mes enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants, afin qu’ils grandissent bien et aiment toujours le Dieu Tout Puissant.

Un baiser à tous de la part de votre grand-mère.

Adieu, Excellence, sois fort, ne te décourage pas, Nous, au Paradis, nous sommes tous avec toi.

Marisa - Adieu, maman. Tu portes des vêtements de fête, as-tu changé la couleur de ton habit ?

Grand-mère Iolanda - Oui, je t’en prie, Marisella, quand tu parles à Dieu, n'oublie pas qu’il est le Père Tout Puissant et Omniscient. Dieu peut faire tout ce qu’il veut et nous les hommes nous ne pouvons faire autre chose que de l’aimer.

Marisa - C’est bon.

La Madone - Merci, mes chers enfants, bonne fête. Participez à cette Sainte Messe, priez encore pour le triomphe de l’Eucharistie, afin qu’il s'étende toujours plus dans le monde entier. Nous sommes tous avec vous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis ceux qui ont dû rester à la maison pour des motifs graves et pour des raisons de santé. Je bénis ceux qui vont aider le Tiers Monde, mais n'oubliez pas que le Tiers Monde existe dans tous les pays, même dans votre cité et dans votre belle Italie. Aidez donc aussi les pauvres qui vivent en Italie. Je me répète: le Tiers monde existe dans tous les pays.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Attends un moment. Excellence, dois-je demander quelque chose dont je ne me souviens plus?

Adieu, maman. Adieu à tous.

Ils sont tous venus, tout le Paradis est descendu.

Rome, le 13 janvier 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, tu vois en ce moment Jésus, immergé dans l'eau du Jourdain, alors qu’il reçoit le Saint Baptême. Le Saint Esprit est descendu sur Lui sous la forme d'une colombe et le Père a dit: "Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le". Quand vous recevez Jésus Eucharistie, vous recevez toute la Trinité. La Très Sainte Trinité est maintenant ici présente.

Ne te fais pas de soucis pour me parler ou me demander quelque chose, je lis bien tout dans ton coeur.

Vous devez prier plus souvent mon cher Jésus, parce que la majorité des hommes prie Saint Antoine, Sainte Rita, Saint Padre Pio. N'est-ce pas, Marisella? Ils invoquent les saints, mais pas Jésus. Dites-lui: "Jésus viens moi en aide, aide-moi à tout accepter, à tout supporter et fais nous triompher comme tu l’as promis". Apprenez à parler, à converser avec Jésus. C’est beau de faire la veillée, ne lisez pas dans les livres, mais conversez avec Jésus. Quand vous êtes à la maison avec votre conjoint, vos enfants, que faites-vous? Est-ce que vous vous metttez à lire ou à regarder la télévision? Dialoguez, parlez. Ceci vous devez le faire avec Jésus, votre amour envers Jésus vous revient, parce que Dieu est amour. Dieu vous aime. Pensez au Baptême de Jésus. Vous qui ne le voyez pas, vous pouvez vous le représenter, comme dans un beau et grand tableau, immergé dans l'eau, les pieds touchant le sol. Jésus, recevant le Baptême, incline la tête et l’Esprit Saint descend sur Lui. Invoquez l’Esprit Saint, invoquez la Sainte Trinité, les Trois Personnes Divines viennent avant les saints.

Je ne me fatiguerai jamais de vous dire de prier, mais vous devez d’abord vous aimer les uns les autres et puis prier. Aimez aussi ceux qui vous sont antipathiques. Vous n’aimez pas leur façon de parler? Cela peut arriver, mais ce n'est pas une raison pour ne pas les aimer, chacun a son caractère, sa façon de parler; vous n'êtes pas tous pareils. Quand j’ai commencé à parler à Marisella de choses sérieuses, importantes, elle était encore petite et pendant que je lui parlais elle me regardait et comprenait ce que je lui disais. Elle ne pensait pas alors à aller jouer avec les autres enfants, mais elle m'écoutait. Je lui ai enseigné à aimer aussi ces enfants qui lui faisaient parfois des ennuis. C’est ainsi que naît l’amour vrai, le grand amour envers tous.

Marisa - Excepté ces messieurs …

La Madone - J’ai dit de les aimer tous, c’est vous qui faites des distinctions.

Oui, je sais ce que tu veux me demander, Marisella, je sais que vous attendez tous ce jour saint, nous l’attendons nous aussi.

Marisa - j’espère que je ne dois pas encore souffrir pour ce jour saint. Je pense que j’ai suffisamment souffert, il est temps maintenant que je parte.

La Madone - As-tu préparé ta valise?

Marisa - Tu te moques de moi?

La Madone - Non, je ne me moque pas de toi, je plaisante. Je peux moi aussi plaisanter en tant que Madone, Maman, soeur, amie.

Marisa - Oui, mais aide-nous, parce que nous nous effondrons, toujours plus, toujours plus. Nous plaisantons et rions parfois, afin de cacher combien notre situation est difficile.

La Madone - Je remercie, au nom de Marisella, tous ceux qui ont fait la veillée. Vous avez été vraiment héroïques. Continuez ainsi, priez les uns pour les autres. C’est si beau! Il n'est pas nécessaire de veiller toute la nuit, le font ceux qui le peuvent, ceux qui sont résistants. Courage et en avant, toujours la tête haute.

Marisa - Oui. Si tu me dis quelque chose que tu veux que je communique à l’Evêque, fais-moi m'en souvenir, parce que je ne retiens pas bien les choses. d’accord.

La Madone - Voulons-nous réciter tous ensemble le Notre Père? Notre Père...

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, en particulier ceux du Tiers Monde. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu el Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, papa. Adieu.

Il n’a rien dit, il n’a pas parlé.

Rome, le 18 janvier 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je vous souhaite à tous de vivre toujours dans la grâce de Dieu. Vivez dans la grâce et connaissez bien Dieu. Ce n'est pas facile de le connaître ou de le comprendre, ce qui importe c’est de faire Sa volonté. C’est seulement en faisant la volonté de Dieu que vous parviendrez à faire quelque chose de beau, parce que Dieu est amour. Vous le savez maintenant, depuis des années je vous parle de l’amour. Dieu est amour et vous êtes ses enfants et vous vous réunissez souvent pour écouter Sa parole. Je vous souhaite de pouvoir bien suivre la rencontre biblique. Oh, si tous pouvaient participer à la rencontre biblique que fait votre Evêque, tout serait plus simple, il y aurait davantage de conversions et moins de péchés! Vous êtes des privilégiés de Dieu, de l’Evêque et des hommes; il est vrai que vous êtes peu nombreux, mais ce que vous recevez, vous devez le répandre dans vos maisons, vos églises et partout où vous vous trouvez. Je sais que c’est difficile, surtout de parler avec les prêtres, avec ceux qui ne viennent à l'église que pour se faire voir, qui prient seulement pour se faire remarquer. Oh, comme il est beau de vivre en état de grâce, d’aimer Dieu et tous ceux qui sont avec Dieu! C’est un sacrifice de venir à la rencontre biblique, parce que vous habitez loin, mais vous pouvez y recevoir tant et tant que vous ne pouvez recevoir nulle part ailleurs.

Dieu a révélé hier un secret à l’Evêque et à votre soeur et en parlé avec beaucoup de souffrance, parce qu’il n'y a pas que de beaux secrets, mais il y a également des secrets horribles qui font beaucoup souffrir. Vous vous demandez, comment Dieu peut-il souffrir? Dieu souffre pour les hommes, parce qu’il voit qu’ils n’aiment pas. Le monde est devenu un ramassis d'ordures et les hommes rivalisent à qui sera le plus brutal envers ses frères. On parle, parle, mais sans amour. Ni les chefs d’eglise, ni les chefs d’etat savent aimer; ils bavardent, ne font pas leur devoir et ignorent la réalité. C’est pourquoi Dieu continue à appeler votre soeur et à lui confier cette tâche si difficile et si dure qu’elle fait avancer depuis des années. Moi, la Maman, je remercie tous ceux qui prient et ont compris combien l’amour de Dieu est grand. Je remercie surtout l’Evêque, qui se prépare chaque fois avant de vous rencontrer, même si parfois il ne va pas bien. Il dit: "Je dois respecter les âmes et je dois me préparer", même s’il reçoit beaucoup d’aide du Paradis. Nous le soutenons pour qu’il ne tombe pas.

Je vous remercie parce que vous priez beaucoup, mais faites aussi de l’apostolat, donnez témoignage, vous ne devez pas avoir peur de ce que disent les gens à qui vous vous adressez. Vous ne devez pas penser: "Qui sait ce qu’il me dira, qui sait comment il me traitera". Parlez par amour de Dieu et des hommes, et je serai avec vous, parce que je vous accompagnerai, je ne vous laisserai pas seuls, comme je ne laisse pas seul l’Evêque et la Voyante, même si elle souffre. Sa souffrance continue, du matin au soir et du soir au matin; elle est très forte et il est très difficile de l’accepter, mais elle l’accepte, même si elle pleure parfois. Elle a été choisie parmi beaucoup d'hommes. Dieu l’a appelée et elle lui a dit oui. Elle pourrait avoir aujourd'hui un peu de regrets d’avoir dit ce oui, grand comme le monde entier, parce que sa souffrance est immense, mais si vous l’aidez de vos prières, comme vous le faites déjà, Dieu vous en récompensera tous.

Merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Tous mes voeux, mes chers enfants.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu.

Rome, le 20 janvier 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est avec une grande joie que je viens parmi vous. Comme je vous l’ai toujours dit, essayez de vous aimer, de vous aider mutuellement de toutes les façons possibles. Les petits ne comprennent pas tout et les parents semblent parfois sévères, mais ils agissent ainsi pour leur bien, pour qu’ils grandissent bien. Vous souvenez-vous quand je vous ai dit que vous étiez arrivés à l’université?

Marisa - J’ai mal à la gorge.

L’Evêque - Donnez-lui un peu d’eau, s’il vous plaît.

La Madone - Vous l’avez terminée maintenant. Faites un peu les comptes, faites un examen de conscience et réfléchissez, qu’avons-nous donné et qu’avons-nous reçu au cours de l’année écoulée.

Marisa - Pardon, petite Madone, je ne parviens pas à parler, ma langue est sèche.

L’Evêque - Bois, bois de l'eau.

Marisa - Je ne demande rien pour moi, tu sais bien ce que je te demanderais. Fais qu’ils grandissent tous bien, surtout en sainteté.

La Madone - Beaucoup pensent qu’il est difficile d’arriver à la sainteté, qu’il est impossible d'y arriver. Ce n'est pas vrai, tous peuvent y arriver. Arriver à la sainteté signifie prier et aimer. Quand c’est la fête de la Sainte Famille, tous les couples ayant des petits enfants doivent la fêter et quand c’est la fête d'un petit enfant, comme Mariasole et Emanule, c’est également la fête de leurs parents. Donc tous mes voeux à leurs parents.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - d’accord.

Messages de Février 2008

Rome, le 11 février 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Que de monde!

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec beaucoup de joie que je suis venue ici parmi vous après trois semaines de silence, car votre soeur n’allait pas bien du tout et je ne voulais pas la fatiguer. Je suis heureuse d'être aujourd'hui au milieu de vous, petit groupe qui aime mon Fils Jésus, l’Eucharistie, notre Evêque: la Maman vous en remercie.

C’est aujourd'hui une fête très importante: La fête de Notre Dame de Lourdes, et toi, Marisella, tu as beaucoup prié Notre Dame de Lourdes. Même si vous ne pouvez pas aller à Lourdes, priez pour ceux qui sont malades, dans leur âme, ou dans leur corps et je serai avec vous.

Bernadette et Marisella sont ici à côté de moi et prient pour vous tous. Avez-vous ressenti l’absence de votre Maman? Mais j'étais auprès de mon Evêque, en particulier pendant la Sainte Messe.

Priez, mes chers enfants, convertissez-vous et croyez en l’Evangile. Vous savez comment est la situation dans ce monde que Dieu a créé avec tant d’amour. La prière ne doit pas vous fatiguer, récitez le Saint Rosaire, même si c’est une prière fort longue et qui se répète, car elle aide beaucoup tous les hommes.

Alors que je vous parle, je dis à Marisella d'étendre les bras, en signe de la bénédiction que je vous donne, un par un, parce que je veux vous aider à devenir vraiment saints. Vous avez maintenant terminé l’université, montrez-le à vous mêmes et aux autres. Je suis venue, bien que Marisella ait encore beaucoup de mal à parler. Son état de santé est très, très critique, très grave, mais quand je lui ai dit que je viendrai, elle en a été heureuse pour vous.

Vous avez tous quelque chose à offrir à Jésus, la souffrance, la prière et cet amour que vous désirez tous avoir et qui vient parfois à manquer. Quand, il y a cent cinquante ans, je suis apparue à la petite Bernadette, tout était plus facile; il n'y avait pas beaucoup d’apparitions dans le monde.

Aujourd'hui, beaucoup disent qu’ils me voient, mais ce n'est pas vrai, et c’est votre soeur qui en paie les conséquences. Oui, elle souffre pour vous et tous les hommes, parce que son amour est immense, comme l’amour de mon Fils Jésus est immense et mon amour pour tous. Je vous ai donné ma bénédiction, en particulier pour la guérison spirituelle et matérielle, essayez d’en faire un trésor. Quand je n’apparais pas, c’est parque votre soeur ne va pas bien. Nous lui donnons maintenant une force particulière pour vous.

Mon enfant, lève-toi maintenant, viens imposer les mains sur ces enfants.

Marisa - Devons-nous descendre?

La Madone - Non, non, sur ceux qui sont ici.

(La Madone se tourne vers l’Evêque) Sois fort comme l’a été Jésus, même dans la souffrance, courage.

(La Madone se tourne vers Sara) Grandis bien, mon enfant, aime ton papa et ta maman, ton petit frère et tous.

(La Madone se tourne vers Laura) Courage, ma fille, je sais que tu souffres pour tes parents, mais tu as des personnes à tes côtés qui t’aiment vraiment.

(La Madone se tourne vers Emanuele) Sois brave et fort, tu dois aimer ton papa, ta maman, ta petite soeur, tes grands-parents, tes oncles et tantes. Tu dois bien grandir et te porter bien sans avoir mal au ventre.

Je bénis Selenia, Laura, leurs maris et leurs enfants, parce qu’ils ne sont pas présents. Laura, je bénis naturellement ton mari qui se trouve à l'étranger pour son travail. Courage. Sois la femme forte de l’Evangile, il ne semble pas qu’il en soit ainsi, mais tu l'es.

Maintenant que tu as imposé les mains sur ceux qui sont ici présents, lève-les sur tous ceux qui sont en bas à prier et invoquer mon aide, celui de Jésus et de Bernadette. Soyez heureux, mes enfants, et acceptez ce long calvaire, pas tant pour vous que pour votre soeur et l’Evêque, car ils le vivent depuis bon nombre d’années. Ne regardez pas le sanctuaire de Lourdes où se rendent tant de personnes, cent cinquante années se sont écoulées depuis que j'y suis apparue. Ici aussi, beaucoup de grâces particulières ont été accordées, je ne comprends pas pourquoi aucun ne s'est encore décidé à écrire ce qu’il a reçu.

Marisa - Puis-je te demander d’aider et de protéger Yari qui se trouve aux Etats-Unis pour son travail?

La Madone - Bien sûr.

Marisa - Aide tous les jeunes, leurs enfants, la petite Mariselle, Oriana, Chiara et Antonella. Aide tous les petits enfants du monde entier, en particulier ceux du Tiers Monde. Merci.

La Madone - Il s’agit d'un message simple, mes chers enfants, mais il part du coeur et du grand amour que la Maman a pour vous. Je bénis tous vos enfants, qui peut-être ne croient pas. Je bénis vos petits-enfants et tous ceux qui ont besoin d’aide.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Participez à cette Sainte Messe; c’est très important, priez et surtout chantez bien. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Tu t’en vas tout de suite?

La Madone - Je reviendrai après, Marisella, et comme toujours je serai auprès de l’Evêque pendant la Sainte Messe.

Marisa - Merci. Adieu, petite Madone, adieu, Bernadette. Petite Madone, viendras-tu ensuite nous apporter les douceurs que tu avais promises l’autre fois? d’accord. Adieu, maman, adieu.

Rome, le 17 février 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je suis venue, mes chers enfants, pour être avec vous.

Malheureusement, votre soeur est très mal. Je n’apporterai les lettres de Dieu que le dimanche, parce que son état est très grave et elle a beaucoup de mal à parler. Priez, croyez en l’Evangile, convertissez-vous. L’Evangile est toujours une joyeuse proclamation pour ceux qui croient. Faites un peu d’apostolat, faites comprendre ce qu’est le Saint Evangile. Vous savez combien de protestants et de témoins de Jéhovah sont actifs et font du porte à porte pour faire connaître le Saint Evangile, qui n'est pas ce qu’ils disent. Vous devez bien connaître le Saint Evangile. Croyez en l’Evangile, mes chers enfants, croyez dans les apôtres: Jacques, Jean, Pierre et tous les autres.

Quand le grand Paul écrit à ses amis, à Timothée, il leur dit: "Apprenez à souffrir". Tous les chrétiens, d'une façon ou d'une autre, subissent de petites souffrances. Dieu n’a besoin de personne, mais il appelle des âmes à collaborer avec Lui pour convertir les hommes. Même vous, combien d'âmes vous pourriez sauver! Vous ne devez pas uniquement penser à votre famille, mais étendez vos regards, ouvrez les bras et aidez tous ceux qui sont dans le besoin.

Je viendrai seulement le dimanche, tant que votre soeur n'ira pas un petit peu mieux, ou que Dieu ne décidera pas ce que tous attendent: son départ pour le Paradis. Je suis toujours avec vous, spécialement pendant la Sainte Messe célébrée par votre Evêque. Je suis auprès de lui, je prie avec lui, je vous vois et vous aide tous.

Marisa - Petite Madone, j’aimerais te recommander une bambine et un bambin.

La Madone - Qui est le garçon, Marisella?

Marisa - Tu le connais. Je te recommande tous les malades et Mariselle d'une façon particulière. Aide toutes nos familles. Il y a tant de malades dans notre communauté, aide-les tous, montre-nous que tu nous aimes vraiment et nous continuerons à prier nuit et jour, comme tu nous l’as enseigné; prenons le chapelet dans nos mains et récitons le Saint Rosaire.

Je te remercie au nom de tous d'être venue nous faire cette annonce, je te remercie au nom de ceux qui viennent avec tant d’amour et de sacrifice parce qu’ils t’aiment.

La Madone - Essaie maintenant, Marisella, de te reposer, sinon ton fil de voix risque aussi de disparaître.

Marisa - Je me souviens qu’une fois je n’avais plus de voix et Dieu m’a fait parler, puis il me l’a retirée à nouveau.

La Madone - Je sais, mais Dieu veut maintenant bien autre chose de toi.

Marisa - Oui, d’accord. Je plaisante, laisse-moi plaisanter, parce que sinon j’ai envie de pleurer. J’aurais dû aujourd'hui te présenter Mariselle, va toi à l'hôpital voir la maman et aider la petite fille, je t’en prie. Aide tous les malades et leurs familles, parce qu’elles souffrent elles aussi. Merci, sois vraiment une Maman. Aide l’Evêque, cela fait deux ou trois jours qu’il est mieux. Sois plus près de lui. Qu’est-ce que cela te coûte?

La Madone - Tu es vraiment sympathique.

Marisa - C’est fou? C’est bon, je me le dis toute seule. Nous verrons-nous encore? Dois-je attendre jusqu'à dimanche?

La Madone - Non, non, tu sais que je suis tous les jours avec vous.

C’est bien, mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, les malades et les petits enfants; je bénis tous ceux qui souffrent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. C’est bon. Nous en parlerons après calmement.

Rome, le 24 février 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, comme tu es très faible, l’Evêque va t’aider à te mettre debout.

Marisa - Silence, maintenant (tournée vers les enfants).

Voilà une nouvelle créature et quand elle recevra le Saint Baptême, elle deviendra une nouvelle chrétienne.

La Madone - Fais ce que je te dis.

Marisa - Tu lui donnes un baiser sur le front?

La Madone - Je te bénis, Mariselle, comme je bénis tous les petits enfants. Tu es une enfant particulière compte tenu de tout ce que ta maman a souffert pour toi. Ma toute petite, j’essaierai par tous les moyens d'être proche de toi, tu es une enfant si délicate, si belle, si fragile. Laissez les petits enfants venir à moi.

Marisa - La Madone a béni la petite Mariselle. Donnez-lui un baiser ici sur le front. C’est bien, Sara. C’est bien, Mariasole. C’est bien, Emanuele. Vous aussi, vous avez été petits, aussi petits qu’elle.

(On récite le Notre Père)

Marisa - J’ai envie de pleurer.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est un moment très beau et plein de joie pour Mariselle et Marisella. Marisella et Mariselle sont deux noms presque identiques, la première est très proche du Ciel, l’autre est proche de la Terre. Mes chers enfants, priez pour cette nouvelle créature, qui dès ses premiers jours a commencé à souffrir. Elle va mieux maintenant grâce à vos prières, aux prières de tous. Aujourd'hui et demain, priez surtout pour les confrères de votre Evêque.

Je veux vous remercier de tout ce que vous faites: de vos prières, sacrifices, privations et jeûnes. Tout ceci fait plaisir au Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, comme le dit votre Evêque.

C’est une grande grâce de m’avoir souvent parmi vous, même si vous ne me voyez pas, mais je suis sûre que vous sentez ma présence, naturellment ceux qui sont dans la grâce. La petite Mariselle sent en ce moment que je suis près d’elle, parce que les enfants parlent avec les anges et naturellement aussi avec moi. Je suis heureuse comme Marisella est heureuse. Tenir ainsi une créature dans ses bras est une grande joie pour elle, qui a tant, tant souffert pour la faire naître.

Marisa - Tu ne devais pas le dire.

La Madone - Ne penses-tu pas que Dieu te garde encore dans ce but, pour aider le prochain, les enfants qui naissent et ceux qui souffrent?

Marisa - Non, non, je n’ai maintenant envie de prier que pour ceux qui méritent d'être aidés.

La Madone - Je suis d’accord avec toi.

Continuez à prier pour cette enfant et ses parents.

Marisa - Et pour les grands parents, il faut également prier pour les grands parents. Tu n’as pas été grand-mère, moi non plus, je n'en suis pas une.

La Madone - Je vous remercie de vos prières et de toutes les tâches que vous accomplissez dans ce petit Lourdes, cette petite Jérusalem.

Avec mon et votre Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis les enfants, les malades et les personnes âgées. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit

Marisa - Adieu, pardonne moi …

La Madone - Non, non, c’est bien, Marisella. La priorité va aux petits et aux malades, comme le dit ton Evêque.

Marisa - Il me semble avoir tout donné pour l’Excellence.

Messages de Mars 2008

Rome, le 1er mars 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Etes-vous heureux que la Maman soit venue vous rendre visite aujourd'hui, premier samedi du mois? Je vous demande d’aider ceux qui souffrent et de prier pour qu’ils fassent la volonté de Dieu, ce qui est difficile parfois, en particulier pour l’Evêque. Si vous priez pour obtenir des conversions et n’avez pas peur de venir dans ce lieu saint, tout deviendra plus facile pour tous. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien ont peur de venir dans ce lieu, rendu thaumaturgique par Dieu!

Dieu a appelé le prêtre Claudio Gatti et l’a nommé Evêque; ce qui a fortement dérangé ses confrères. Vous qui êtes près de lui, qui l’aimez et priez pour lui, vous pouvez le comprendre mieux que tous les autres qui ne savent que parler, et ne savent pas mettre en pratique le Saint Evangile. C’est pourquoi, Dieu, le grand Jésus et moi, nous vous répétons souvent: "Convertissez-vous et croyez en l’Evangile", mais ces conversions n’arrivent pas pour les prêtres, les laïcs, les jeunes et tout le monde.

Lors de la création, Dieu a voulu que ce monde soit beau et propre, mais aujourd'hui il est laid et sale. Il ne l’a pas créé pour le voir réduit à cet état. C'était beau d’admirer le soleil, la lune, les étoiles, la mer, les montagnes, les fleuves et l'homme qu’il a créé à Son image et ressemblance. Dieu veut qu’au moins la moitié des hommes se convertisse. Nous en étions arrivés à trois milliards et demi, mais nous en sommes restés là, il n'y pas eu d’autres conversions .

J’avais dit à l’Evêque que lorsque Dieu le déciderait, il devrait ordonner évêques des prêtres italiens, mais ces derniers ont reculé spirituellement et ne seront plus ordonnés, il ne consacrera que ces étrangers.

Marisa - Nous ne savons pas qui ils sont.

La Madone - Oui, c’est vrai. Dieu attend comme vous le moment opportun.

Que font les jeunes ou les ex-jeunes? Ils ne sont plus auprès de l’Evêque à cause de leurs enfants, de leur travail et d’autres raisons; certains pourraient venir. Qu’ont-ils fait de la prière du matin et du soir? De même que vous courrez pour être à l'heure au travail, pour pointer à l'heure, consacrez aussi du temps à Dieu. Si la réunion de prière commence ici à six heures, je m’adresse aux jeunes ou ex-jeunes, pourquoi arrivez-vous à six heures cinq ou six heures dix? Si elle commence à six heures trente, pourquoi arrivez-vous plus tard? Pourquoi êtes-vous en retard? C’est aujourd'hui le premier samedi du mois et personne ne travaille, où sont les autres? Il est juste et bon de se distraire, mais le devoir envers Dieu vient avant tout. Jésus souffre beaucoup; quand il regarde autour de lui, il ne voit personne.

Je n’ai nullement l’intention de vous décourager, c’est la Maman qui vous parle.

Excellence, ce que tu as dit ce matin à Marisella est très beau. Tu dois le mettre par écrit et l'envoyer à qui tu penses et à qui je te dirai.

Mes chers enfants, la Maman vous remercie d'être ici à prier, à tenir compagnie à Jésus et à votre Evêque. Vous les adultes, vous avez montré en cette période que vous aimiez l’Evêque; vous avez beaucoup prié pour lui. Je n’ai pas de mots pour vous en remercier. Je sais que certains se privent, jeûnent et font des sacrifices; je me réfère aux adultes. La Maman peut seulement vous dire merci et vous inviter à attendre que Dieu décide une fois pour toute, de faire ce qu’il a promis. Mais Il désire d’abord la conversion des prêtres et des laïcs, même de ceux qui vont à l’Eglise tous les dimanches ou tous les jours et sont sans amour, ne savent pas aimer et ne reçoivent pas mon Jésus en état de grâce. C’est un sacrilège de recevoir Jésus en état de péché mortel; je vous l’ai déjà dit et je vous le répète toujours. Ne recevez pas la Sainte Communion si vous n'êtes pas en état de grâce, si vous n'êtes pas en paix avec Dieu.

Dans les premiers temps, beaucoup venaient ici le premier samedi du mois, puis Monsieur Ruini a mené une méchante campagne contre ce lieu. Où sont-ils aujourd'hui, même ceux qui ont reçu des grâces? Ils ne sont pas ici.

Comme vous le faites déjà, continuez à prier pour votre Evêque et faites de l’apostolat, même si c’est dur et difficile. Les prêtres ne croient pas à l’Enfer et disent: "Dieu est miséricordieux et sera finalement miséricordieux avec nous". Non! Non, ce n'est pas ainsi, mes chers enfants. Dieu est miséricordieux avec ceux qui s'engagent à vivre dans la grâce ou se confessent après avoir péché et reçoivent l’Eucharistie en état de grâce. Il ne peut pas être miséricordieux avec ceux qui font ce qui bon leur semble jusqu'à leur mort et invoquent ensuite la miséricorde de Dieu. Non, non ce n'est pas ainsi. Dieu est miséricordieux avec ceux qui sont miséricordieux. Si Monsieur Ruini avait vraiment eu le don de la charité, de l’amour, il aurait appelé son confrère, Mons. Claudio Gatti et se serait entretenu avec lui. De plus, des parents, amis, prêtres, soeurs et laïcs continuent à dire du mal de votre Evêque, parce qu’ils sont mus par la jalousie et l'envie. Vous savez que la jalousie et l'envie conduisent à la médisance et à la calomnie.

Je vous en prie, mes chers enfants, écoutez de nouveau ce message et relisez les autres, ne vous contentez pas seulement de les entendre quand Dieu en personne, Jésus et la Maman vous parlent. Lisez les messages et le Saint Evangile, pour qu’ils vous conduisent à la sainteté.

Vous savez que c’est dimanche l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque. Faites cercle autour de lui, soyez près de lui, ne trouvez pas d’excuses ou de raisons pour ne pas venir, parce que l’Evêque est très intelligent et Dieu parle à son coeur. Il sait qui ne vient pas pour de justes raisons, parce qu’il est malade ou à cause d’autres obligations inéluctables. Faites attention aux mensonges, quelqu’un même d'un certain âge continue à en dire, parce qu’il ne s'en rend même plus compte maintenant.

Aimez l’Evêque, aimez-vous les uns les autres et aidez-vous mutuellement. Finie la jalousie et l'envie, parce que si votre Evêque se trouve dans cette triste et douloureuse situation, c’est uniquement à cause de la jalousie et de l'envie de ses confrères à son égard.

Je vous remercie de m’avoir écoutée.

Moi, votre Maman, je vous couvre toujours de mon manteau maternel. Je vous serre tous sur mon coeur et je bénis tous ceux qui connaissent ce lieu saint et ne peuvent y venir pour des raisons sérieuses. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Courage, Marisella, je sais que ta vie est dure, courage.

Marisa - Oui, mais aide l’Evêque. Je suis prête à tout, pourvu que je le voie s'épanouir. Je t’en prie, petite Madone, parle à ceux qui sont là-haut.

La Madone - Je suis maintenant ici avec vous.

Marisa -d’accord, quand tu retourneras au Paradis.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus.

Louez Jésus, louez Dieu. Souvenez-vous de la fête de votre Evêque; il ne veut rien, seulement des prières, prières et prières. Merci.

Tous mes voeux à tous, adieu à tous. Tous mes voeux à ceux qui sont nouveaux ici. j’envoie un baiser aux petits enfants que la Maman aime tant.

Adieu, Marisella, adieu Excellence.

L’Evêque - Adieu, Maman.

Rome, le 2 mars 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous savez, et si vous ne le savez pas je vous le dis, que le Saint Evangile parle aujourd'hui de l’aveugle de naissance. Pour Jésus ce n'était pas difficile de le guérir, même sans faire de la boue et de la mettre sur les yeux de l’aveugle; il a agi ainsi, pour démontrer qu’il pouvait faire ce qu’il voulait. Ce miracle n’a pas été accepté par tous, même si le Saint Evangile n'en parle pas, certains en vinrent à calomnier et diffamer mon Fils, parce qu’il avait guéri l’aveugle et d’autres reconnurent qu’il était le Messie qu’ils attendaient. La même chose se répète encore aujourd'hui, en 2008: si quelqu’un accomplit une bonne action, il est diffamé et calomnié. Savez-vous pourquoi? Par envie et jalousie. Il est difficile que quelqu’un accomplissant un beau geste devant Dieu, soit pris comme exemple. Au lieu de dire: "Je veux suivre son exemple, je veux faire comme mon frère ", on le critique et le calomnie. C’est pourquoi la majorité des gens, je parle en général naturellement, ont presque peur de faire quelque chose de bien et disent: "Que peuvent dire les autres? Que peuvent-ils en penser?". Je vais vous raconter un fait véridique. Une personne ne s’approchait pas de la Sainte Communion, parce qu’elle avait peur que son patron ne dise: "Elle va communier pour que je la voie, pour que je lui donne un emploi sûr ". C’est du respect humain. Ceux qui communient pour faire voir qu’ils sont en ordre avec Dieu alors qu’ils ne sont pas dans la grâce de Dieu et ceux qui ne communient pas, parce qu’ils redoutent la réaction des autres, sont dans l'erreur. Je dois dire qu’ils n'ont pas compris Dieu. Quand j’entends dire: "Pourquoi Dieu ne fait-il pas ce que je lui demande?" je pense: "Pourquoi ne faites-vous pas ce que Dieu enseigne, ce que la Maman enseigne à tous?" J’ajoute: "Pourquoi être à l'église pour critiquer comment les autres marchent, s’agenouillent, restent debout, sont vêtus?".

Je vous ai dit bien des fois que pendant la Sainte Messe vous ne devez pas être distraits par ceux qui entrent dans l'église, pour voir comment ils sont vêtus. Oh non, ce n'est pas ainsi qu’on prie! Il y a en encore ici, peu heureusement, qui tournent encore la tête quand la porte s'ouvre. Pourquoi? Pourquoi regarder qui entre ou sort? Regardez le tabernacle et parlez avec Dieu. Quand vous attendez l’Evêque, qui est en retard pour de bonnes raisons, que vous ne pouvez comprendre, priez, vous avez beaucoup d'intentions pour lesquelles vous pouvez prier. Certains se mettent au fond de l’Eglise pour regarder ceux qui entrent et s’avancent juste avant que ne commence la Sainte Messe. Ce n'est pas bien. Certains ne participent plus à la rencontre biblique, parce qu’il n'y a plus d’apparition: si vous ne venez ici que pour l’apparition, je dois vous dire, mes enfants, que vous n’avez rien compris. Vous devez venir pour mon Fils Jésus. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que l’apparition vient en dernier et que la Sainte Messe, la Sainte Communion et la rencontre biblique viennent avant? L’apparition vient directement après le Saint Rosaire. Il est vrai que c’est un grand don de Dieu, mais vous ne devez pas venir pour l’apparition. Quelqu’un a dit une fois à Marisella: "Je ne viens pas pour toi, je viens pour Jésus ", et elle lui a répondu: "Je suis heureuse que tu aies compris qu’il faille venir ici pour Jésus, parce que c’est un lieu saint". Vous ne devez pas venir pour la Voyante, Marisella est une personne comme vous, elle n'est pas parfaite. Elle a ses défauts et ses imperfections. Ne voyez pas la Voyante comme une sainte, les voyants qui se sentent des saints ne sont pas des voyants. Les voyants sont au même niveau que vous, ils peuvent même être encore au-dessous, je parle des voyants en général, parce qu’il n'y en a plus aujourd'hui.

Marisa - C’est bon. Je dis toujours que je suis comme eux, même encore moins qu’eux, je ne suis pas parfaite, j’ai tant de défauts.

La Madone -Vous devez d’abord venir pour mon Fils Jésus, pour Le recevoir dans la grâce. Si vous n'êtes pas en état de grâce et faites la Sainte Communion par respect humain, vous commettez un péché grave, un sacrilège. Ceux qui manquent de charité envers leur prochain doivent absolument lui demander pardon, puis faire la Sainte Confession et la Sainte Communion. Vous ne pouvez pas faire souffrir un frère et puis aller vous confesser et faire la Sainte Communion. Et le frère que vous avez fait souffrir volontairement? Ne faites pas la Sainte Communion par habitude, pensez que la Très Sainte Trinité entre en vous. Si votre Evêque n’avait pas ajouté ces prières que Jésus et moi lui avons dictées, après la Communion, à la fin de la Messe, vous vous échapperiez. Si l’on agit ainsi dans les autres églises, ce n'est pas la faute des laïcs, mais des prêtres, parce qu’ils sont les premiers à sortir, à parler, à converser avec ceux qui se trouvent dans l'église. Non. Sortez de l'église, et puis parlez si vous le voulez; mais pas dans l'église, l'église est la maison de Dieu, la maison de Jésus, c’est votre maison, respectez-la, aimez-la et faites silence! Ne tournez pas la tête pour voir qui entre et sort, mais recueillez-vous en prière.

Faites de l’apostolat, si vous le voulez même avec une simple parole, la prière seulement. Saluez les gens, même s’ils vous sont antipathiques. Si vous saviez combien j’en ai rencontrés qui parlaient ensuite dans mon dos, me disaient tant de choses qui n'étaient pas belles, mais je les saluais quand je les rencontrais.

Mes chers enfants, j’ai voulu vous donner ces caresses maternelles, qui ne sont pas des réprimandes, car je veux vous conduire à la sainteté, je veux que vous deveniez des exemples pour toutes les églises. Est-ce trop demander? Non, parce que vous êtes très braves, vous êtes plus braves que bien des gens; si vous le voulez, vous pouvez faire bien plus. J’adresse du fond coeur un grand merci aux adultes pour tout ce qu’ils font pour leur Evêque. Ex-jeunes, la Maman vous aime profondément, elle vous aime ainsi que vos enfants, mais faites quelque chose de plus. Merci.

Je dois te dire quelque chose, Marisella, même si tous l'entendent, cela ne fait rien. Je t’en prie, ne fais plus d’analyses, pourquoi te faire souffrir? Tu sais pourquoi le docteur te l’a demandé. Ne fais plus d’analyses, il n'y a plus rien à faire de toute façon.

Marisa - L’Evêque me l’a dit aussi et ma doctoresse infirmière, comme mon frère l’appelle. Le docteur me les a demandées et je les ai faites.

La Madone - Comment te sens-tu maintenant? Tu es mal. Tu essaies de le cacher, mais tu souffres. Cela suffit avec les analyses et les prescriptions médicales, fais ce que Dieu te dit de faire et c’est tout. Ecoutons ce que dit l’Evêque?

L’Evêque - Je suis d’accord.

Marisa - Il a parlé. L’as-tu entendu?

La Madone - Bien sûr, je ne suis pas sourde.

Voilà, je ne te demande que cela. Ne te fais pas de soucis, si, comme tu le dis, tu ne fais rien, tu es une charge. Tu fais bien plus que tous ceux qui sont près de toi. Penses-tu que ce ne soit rien que de rester dans un fauteuil roulant le jour, et, parfois même la nuit? Tu ne peux pas t’imaginer tout ce que tu donnes à Dieu.

Marisa - Oui, mais Lui que me donne-t-il? Je ne l’ai pas avalé.

La Madone - Tu as toujours obéi, continue à obéir.

Marisa - Dieu est venu, Il m’a parlé et j’ai fait ce qu’il a dit.

La Madone -Tu as vu quel cimetière sont les analyses.

Marisa - Oui, mais je dois de toute façon aller au cimetière.

La Madone - Ne plaisante pas, Marisella, je parle sérieusement. Tu es une personne comme les autres, mais tu ne dois pas faire les analyses et les traitements que Dieu ne te dit pas de faire. Me suis-je bien expliquée?

Marisa - Oui, oui. Mais par charité, n'élève pas la voix. d’accord.

La Madone - Vous, mes chers enfants, essayez de mettre en pratique tout ce que la Maman vous dit. Ce sont les lettres de Dieu, essayez de les observer toutes. Vous parviendrez peu à peu à devenir comme Dieu le veut.

Merci, de mettre en pratique tout ce que je vous ai dit.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants lointains et proches, en particulier les malades, les enfants malades et les personnes âgées. Soyez des amis des personnes âgées, tenez leur compagnie, si vous le pouvez.

Cela suffit ainsi, Marisella, parce que tu as en toi un flot de paroles, il n'y a pas que l’Evêque.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Fais maintenant un beau signe de croix.

Marisa - Cela a été pire que de chasser les mouches.

La Madone - Je sais.

Marisa - La douleur dans ce bras doit passer. Comment je fais? Je parle à Jésus et il y met un peu de boue. Adieu.

La Madone - Non, tu dois m'embrasser avec la droite.

Marisa - Adieu, maman, adieu.

Rome, le 9 mars 2008 - 11h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Par peur de l’oublier, je te présente tout de suite la lettre que Jésus nous a demandé d’envoyer à ceux que tu nous indiquerais. Cette lettre, écrite par ton Evêque, a été inspirée par vous. Pouvons-nous maintenant expédier ces lettres? Elles sont signées par l’Evêque, et susciteront encore de l'envie et de la jalousie à son égard, comme toujours. Toi, Mère de l’Eucharistie, tu nous a dit, au nom de Dieu, de le faire et nous l’avons fait. L’Evêque se définit comme humble secrétaire de Dieu et toi comme messagère de Dieu, afin de nous faire comprendre que Dieu seul fait ce qu’il veut. Merci.

La Madone -Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que je vois votre soeur parmi vous, mais elle et moi, nous vous avons toujours vu prier, prier, prier pour votre Evêque, et surtout pour l’Eglise. C’est aujourd'hui l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque, mais il a voulu que vous priiez pour tous les prêtres, parce qu’ils ont en tant besoin. Oui, mes chers enfants, vous ne pouvez pas vous imaginer comme il est nécessaire d’avoir dans l’Eglise, des prêtres, évêques et cardinaux saints, mais il n'y en a pas malheureusement. Vous connaissez le monde. Moi, Marie, Mère de l’Eucharistie, j’ai entendu dire un enfant: "Ce monde ne me plaît pas, parce qu’il est sale et qu’on y dit tant de gros mots, ce monde n'est pas beau". Cet enfant a sept ans et a déjà réalisé que ce monde ne lui plaît pas, n'est pas pour lui. Oui, c’est vrai que ce monde, que Dieu a créé, est déplaisant; il y a trop de scandales, de médisances et de calomnies; c’est pourquoi votre Evêque ne va pas bien, prie et souffre. Il est détruit par la faute de tous ces prêtres qui font ce qui bon leur semble, et ménagent la chèvre et le chou: ils veulent être prêtres et avoir une femme à leurs côtés. Et alors des enfants naissent. De qui sont ces enfants ballottés de droite à gauche? C’est l’Eglise qui en souffre, l’Eglise du Christ, pas l'église de pierre; ce n'est pas beau. Il n'est pas nécessaire que je vous parle des prêtres pécheurs, pédophiles, qui aspirent au pouvoir, cachent leur argent, n’aiment pas. C’est facile pour ceux qui possèdent des milliards de jouer les bienfaiteurs; c’est difficile de faire des dons pour ceux qui ont peu d’argent ou d’euros, mais votre Evêque l’a fait avec générosité.

J’avais dit à votre Evêque de garder la collecte d’euros faite lors de sa fête pour subvenir à ses besoins, parce qu’il a charge de famille et de personnes qui ont besoin de soins permanents et de beaucoup de médicaments. Mais qu’a-t-il fait? Il a tout donné aux oeuvres de bienfaisance. Ce sont des preuves d’amour, un témoignage merveilleux qu’il vous donne ainsi qu'à tous. Et que se passe-t-il Ces hommes qui n’aiment pas, sont prêts à juger et dire: "Mais qui sait combien d’argent il a mis de côté".

Marisa - Oui, sous son oreiller, il y en a beaucoup.

La Madone - Assez parlé de ces prêtres, parlons de notre cher Evêque. Je ne sais pas si tous ont bien compris, la bonté, l’amour et la générosité qu’il a pour tous. Ce n'est pas compris malheureusement. s’il élève un peu la voix, on parle dans son dos; heureusement peu le font. s’il est gentil, on lui manque de respect et c’est encore pire. Mes enfants, l’Evêque et la Voyante ne sont pas maîtres dans leur propre maison, mais sont les serviteurs.

Marisa - Nous sommes en bonne compagnie. Tu as dit que tu es la servante de Dieu et nous sommes les serviteurs de Dieu.

La Madone - C’est aujourd'hui une grande fête au Paradis pour votre prêtre, qui a été ordonné Evêque par Dieu, mais ce n'est pas encore la fête que vous attendez tous anxieusement. Ne désespérez pas, ayez confiance et espérez, l'espérance est certitude, c’est croire en Dieu, qui est un papa qui se fait entendre. Quand Marisella lui parle, elle le fait comme si elle parlait à un papa terrestre, on ne peut que sourire et se réjouir de l'entendre. Dieu n'est pas isolé dans le haut des cieux, mais c’est un papa auquel Marisella parle librement, c’est un bon papa à qui elle continue de demander des grâces pour tous ceux qui en ont besoin, y compris Simone, un jeune de 19 ans.

Jésus me dit souvent: "Maman, c’est mon épouse!"

Marisa - Qui est ton épouse, Jésus?

Jésus - C’est toi!

Marisa - Pourquoi me donnes-tu tant de souffrances? Je suis heureuse malgré tout de faire quelque chose pour l’Eglise, les prêtres, ceux qui ne croient pas et surtout pour ceux qui souffrent, mes petits enfants, tous mes petits enfants du plus petit au plus grand. Aide les mamans qui ont des problèmes de grossesse, il y en a tant dans le monde. Tous ont besoin d’aide, de certitude, d’espérance, nous avons tous besoin de cette force humaine pour t’aimer, travailler, aimer la famille et les enfants. Nos jeunes de 30 ans sont fatigués. Même notre Evêque est fatigué et pourtant il travaille, travaille, travaille. Quand il a un peu de temps, parce que quelqu’un qui lui est cher a continuellement besoin de son aide, il descend dans son bureau pour y travailler. Il fait tout ce que Dieu lui demande de faire.

La Madone - Et alors comment ne pas aimer ce fils, cet Evêque ordonné par Dieu? Comment ne pas faire de sacrifices pour lui? Beaucoup le font, spécialement ceux qui n'habitent pas Rome. Vous ne venez pas dès qu’il y a un petit problème, Dieu passe en second et parfois même à la troisième place.

Mes chers enfants, je vous remercie d'être venus participer à la Sainte Messe de votre Evêque. Quand il célèbre la Sainte Messe, Nous du Ciel, nous sommes tous présents autour de lui. Il y aura le nuage blanc, il y aura vous, les ex-jeunes et les enfants, s’ils le veulent, parce qu’ils ne peuvent pas comprendre beaucoup de choses. Un grand enfant pourrait comprendre et comprend parce qu’il est intelligent. C’est un peu difficile, mais il s’adaptera quand même lui aussi peu a peu.

Ecoutez cette Sainte Messe pour tous les prêtres, et surtout pour votre Evêque. Nous du Ciel, nous bénissons notre Evêque et étendons notre bénédiction à tous ceux qui n'ont pu venir pour des raisons sérieuses. Ne vous préoccupez pas de ceux qui ne croient pas, parce qu’ils croiront peu à peu, ils n'ont entendu que calomnies et diffamations, personne ne leur a dit du bien de l’Evêque, c’est donc plus difficile pour eux de croire.

Merci à tous, tous nos voeux à notre Evêque. Je vous donne la permission d’applaudir dans l'église, ce que votre Evêque n’aime pas.

Tous mes voeux, Excellence.

L’Evêque - Merci.

Jésus - Moi et la Mère de l’Eucharistie, ensemble avec notre saint Evêque, nous vous bénissons, vos êtres chers, tous les prêtres qui croient dans l’Eucharistie, tous les petits enfants, tous les enfants présents, vos enfants et ceux absents, ainsi que les petits enfants du Tiers monde; priez pour eux.

La Madone -Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Vous devez aussi venir quand Marisella ne peut pas descendre.

Pensez qu’elle pense toujours à vous. Si quelqu’un veut monter voir Marisella, qu’il le demande, mais seulement une personne à la fois, deux au maximum, pas plus, parce qu’elle ne peut pas avoir beaucoup de monde dans sa chambre. Demandez quand cela lui convient, parce qu’elle ne mène pas une vie normale. Elle vous acceptera et vous écoutera.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, maman, adieu.

Grand-mère Iolanda - Tous mes voeux, Excellence!

Marisa - Maman t’adresse ses voeux.

Il n'y a plus personne, ils sont tous partis.

L’Evêque - Ils reviendront pour la Sainte Messe.

Rome, le 16 mars 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus, je te demande de me faire aller un petit peu mieux, si c’est Ta volonté.

Oui, maman, c'était hier l’anniversaire de Sara.

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis votre Jésus qui est entré triomphant à Jérusalem. Tous criaient: "Hosanna au Fils de David", mais je savais dans mon coeur qu’ils me tueraient. Je ressentais beaucoup de souffrance pour ces hommes qui ne comprenaient pas ce qu’ils faisaient. J’ai toujours essayé de tout leur expliquer, comme l’Excellence le fait avec vous, ainsi que l’appelle grand-mère Iolanda, lui qui fait un poème de chaque parole du Saint Evangile.

Moi, Jésus, je l’admire parce qu’il suit mes traces.

Marisa - Jésus, ne le dit pas, parce que l’Evêque est timide et cela le gêne.

Jésus - Je veux remercier tous ceux qui prient pour l’Eglise et ceux qui n’aiment pas l’Eglise. Croyez-moi, mes chers enfants, il y en a beaucoup. Moi aussi, je viens parfois à penser que je suis mort en vain, que je me suis laissé crucifié en vain, parce que la situation se détériore toujours plus dans le monde et il recule toujours plus. Les riches se portent bien et les pauvres sont laissés à eux-mêmes. Vous qui avez parcouru un beau chemin dans le lieu thaumaturgique, vous vous demandez: "Pourquoi tant de rancoeur et tant de haine contre notre Evêque?".

On a peur de parler en sa faveur, de reconnaître publiquement qu’il est dans la vérité, à commencer par les grands chefs de l’Eglise. Moi, Jésus, je peux parler de tous les hommes de la Terre, du plus petit au plus grand et ceux qui nient ce que J’ai dit, sont en dehors de l’Eglise, sont excommuniés ipso facto.

Vous qui venez ici, vous êtes convaincus des choix qui ont été faits, vous priez et m’aimez. Soyez toujours prêts à participer au nettoyage et à la décoration de la Basilique. La Maman et Moi, nous avons vu que vous avez pris soin de chaque détail et rangé tous les coins pour m’accueillir, Moi, Jésus et satisfaire votre Evêque, qui tient beaucoup à cette Basilique, que vous voyez petite et modeste et que Je vois grande et belle. A l’intérieur, les anges y volent, les saints vous regardent et vous aident pour autant que cela soit possible. Tous les hommes ne peuvent pas être bien portants, sinon les hôpitaux devraient fermer leurs portes et les docteurs, infirmières et brancardiers seraient sans travail. J’ai voulu plaisanter, comme je le faisais quand je plaisantais autrefois avec mes jeunes amis, puis avec les apôtres. Les maladies existent malheureusement, plus graves pour certains et moins graves pour d’autres. Il faut savoir se moquer de la maladie, n'est-ce pas, Marisella? Toute maladie doit être quand même soignée, parce que l’on peut en guérir. Ce n'est pas la tâche de Dieu de dire si l’un peut ou ne peut en guérir.

Il n'est pas aisé de comprendre la volonté de Dieu, Il pose les yeux sur une créature, la fait sienne et lui demande de souffrir, à d’autres il fait le don de la guérison. Votre soeur fait un grand effort, parce qu’elle doit traduire de l’araméen; elle a parfois des difficultés et commet de petites erreurs en traduisant, mais elles ne sont pas graves et Je les laisse passer, parce que l’on en comprend quand même le sens.

Revenons à mon entrée à Jérusalem. Ils avaient étendu leurs manteaux et des rameaux d'olivier sur la route et criaient: "Hosanna au Fils de David", parce que d’abord ils m’aimaient et je leur avais beaucoup donné, mais ils m'ont ensuite abandonné.

La même chose arrive à ceux qui sont bons: ils aiment, on vient à se moquer d’eux et à les humilier.

Même à l'égard des malades, il y a beaucoup de personnes qui profitent de leurs maladies pour faire comme bon leur semble, comme personne ne peut les voir et éventuellement les reprendre.

Marisella est contrainte à l’immobilité, mais réagit et fait beaucoup de choses pour passer la journée.

L'homme est ainsi; il te glorifie, puis il te démolit.

On dit retomber du ciel sur la terre et vous, mes deux chers petits enfants, c’est plus d'une fois que l’on vous a fait retomber du ciel sur la terre.

Dieu le Père qui a créé l'homme à Son image et ressemblance, veut encore sauver beaucoup de ses enfants, en particulier les prêtres, j’entends ainsi aussi les évêques et cardinaux. Pourquoi pas aussi le Pape? Il est prêtre lui aussi et commet des erreurs.

Je vous invite à prier pour mes prêtres. l’un de vous pense: "Jésus nous a d’abord dit de ne plus penser aux prêtres et il nous dit maintenant de prier pour eux". Oui, je l’ai dit, mais vous ne pouvez pas voir la situation des prêtres comme Nous la voyons du ciel. Je vous dis de prier pour les prêtres, naturellement si vous le voulez, personne ne vous y oblige. Faites ce que votre coeur vous suggère de faire.

Je bénis vos petits enfants. Après les ex-jeunes, il y a le jeune adolescent Jacopo, Samuele, Emanuele et les autres petits enfants, jusqu'à Mariselle. Puis viendront Adrian, le petit bouton, et bien d’autres encore.

Priez pour ces petits enfants, eux aussi ont besoin de vos prières.

Aimez-les, mais ne les couvrez pas de baisers et de caresses, n'insistez pas pour les toucher, parce que je ne crois pas qu’ils aiment ce genre de choses.

Je suis allé de ci de là avec mon discours comme l'ânon, parce qu’en vous parlant, j'écoutais ce que disait Mariselle et lui répondais dans son coeur.

Marisa - Sais-tu Jésus, que je voulais louer un ânon pour y faire monter l’Evêque? Pourquoi ris-tu? Comme je ne sais pas où on peut en louer, je voulais en faire un en carton.

Jésus - Marisella, oublies-tu que tes mains ne fonctionnent pas? Même tes jambes ne marchent pas, que veux-tu faire?

Marisa - C’est bon. Cette idée m'est venue, mettons-la maintenant de côté. Comme je suis déjà ici, je peux continuer à converser avec toi. Il vaut peut-être mieux pas, parce que beaucoup ont mal aux jambes de rester agenouillés.

Jésus - Et se lèvent.

Marisa - Quand j’ai été très malade, plusieurs docteurs sont venus. l’un a dit: "Elle en a pour un mois ", un autre: "pour trois mois", le troisième: "pour six mois ". Deux années se sont maintenant écoulées et je suis encore ici à fatiguer ceux qui m’aident. De plus, les rares fois où je descends dans la Basilique, les jeunes doivent se sacrifier pour me faire descendre. Aujourd'hui aussi, je voulais descendre.

Jésus - Tu es descendue, Marisella, tu es avec moi.

Maintenant, mes chers enfants, Jésus continue sur son ânon à parcourir les rues, entouré de beaucoup de personnes qui crient: "Hosanna, Hosanna au Fils de David".

Marisa - Jésus, tu es beau, si beau. Les tableaux ne parviennent pas à te représenter comme tu es. Ils t’enlaidissent.

Jésus - Tous mes voeux à tous et joyeuse fête. Faites quelques sacrifices au cours de la semaine, ceux que vous voulez, c’est à vous de décider. Le Jeudi Saint est consacré au Sacerdoce, c’est la fête des prêtres. Je meurs sur la croix le Vendredi Saint. parce que je vous ai rouvert le Paradis.

Marisa - Jésus s'est détourné et s'en est allé.

La Madone - Oui, Marisella, c’est moi la Mère de l’Eucharistie. Jésus est parti et était très heureux et ému. Il est heureux de ce que tu lui dis et comment tu le lui dis.

Marisa - Oui, moi aussi.

La Madone - La présence de Jésus est déjà une bénédiction; et moi, votre Maman, je vous bénis avec l’Evêque. Courage, Excellence. Même grand-mère Iolanda continue à dire: "Courage, Excellence, courage, Excellence".

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je remercie ceux qui font de très belles choses pour décorer l'église. Je donne un baiser à tous les enfants, nés pas encore nés. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Donne un baiser de ma part à Jésus. Il m'en a donné un, mais j'étais si émue que je ne le lui ai pas rendu.

La Madone - Marisella, tu dois allonger tes jambes.

Adieu à tous, mes enfants.

Marisa - Dites adieu à la Madone.

Excellence, as-tu dit adieu à la Madone?

L’Evêque - Adieu, adieu, je la salue tous les jours.

Rome, le 23 mars 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Mes chers enfants, c’est moi Marisa et je vous parle avant que la Madone ou Jésus ne nous donnent le message. J’avais l’intention de descendre parmi vous, mais le mauvais temps ne me l’a pas permis. Je pense à vous tous dans mes pauvres prières, en particulier aux malades et aux petits enfants. Je prie Dieu qu’il nous écoute tous et nous donne paix et tranquillité.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est moi votre Maman, celle qui aime tant ses enfants. C’est la Pâque de Résurrection aujourd'hui et mon Fils Jésus viendra parmi vous, accompagné des anges et des saints. Je vous donnerai avec Lui ma bénédiction et surtout je vous couvrirai de mon manteau maternel.

Jésus - Bonjour, mes frères, c’est moi votre Jésus Ressuscité. Savez-vous que tous ne croient pas en ma Résurrection? Beaucoup n'y croient pas, en particulier ceux qui ont fait des études de théologie et, sachant comment sont les choses, ils devraient y croire davantage. Ce sont les simples, les laïcs qui croient en ma Résurrection, croient que j’ai ouvert le Paradis à toutes les âmes de bonne volonté. Je vous le répète: "Convertissez-vous et croyez dans le Saint Evangile". Les paroles du Saint Evangile sont simples et compréhensibles pour tous. Aimez-vous comme je vous ai aimés. Si moi, Jésus, je vous aime, aimez-vous vous aussi et aimez votre prochain. Il est facile d’aimer son mari, sa femme, ses enfants, ses frères, il est difficile d’aimer ceux qui ne sont pas vos parents; c’est la beauté du Saint Evangile. Soyez bons, respectez les commandements qui ne sont plus proclamés par les prêtres, mais par Dieu. Beaucoup transgressent le sixième commandement. Le troisième et le quatrième ne sont plus respectés: on va à la Messe par habitude ou selon le temps. Vous êtes toujours fidèles à tous les commandements.

Je suis ressuscité pour tous, pour toi, Excellence, afin que se réalise tout ce qui a été dit par le Dieu Tout Puissant, par Moi, Dieu le Fils et par le Saint Esprit.

Criez: alléluia, alléluia, alléluia, le Christ est ressuscité pour nous. J’aurais pu aussi ne pas mourir, les quelques gouttes de sang versées le jour de ma circoncision auraient suffi, mais j’ai voulu souffrir pour les hommes, pour sauver le monde que Dieu a créé; c’est malheureusement très, très difficile, parce que beaucoup s'éloignent de Moi. Le sixième commandement n'est plus respecté, ni par les prêtres, ni par les laïcs. Vous êtes le pivot, c’est pourquoi je vous ai dit que vous étiez les piliers de cet Evêque simple et humble, en dépit de vos défauts et de votre caractère; chacun de vous a ses défauts et son caractère, vous n'êtes pas tous pareils. N'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui, moi aussi je perds un peu la boussole.

Jésus - Il est juste de le dire quand vous remarquez quelque chose, car c’est faire preuve de charité. Ne pas reprendre le frère qui se trompe est un péché. Ceci vaut pour tous: quand quelqu’un se trompe, on doit le reprendre avec beaucoup de charité et de douceur, vous le faites peu à peu.

Tous chantent Alléluia. Jésus est ressuscité. Je suis votre Jésus, le Jésus de toujours, qui vous aime d'un immense amour. Quand quelqu’un (l’Evêque) prie le matin et invoque Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, il lui dit tout ce qu’il a dans le coeur, et tout est vrai, précis et juste. Dieu l'écoute et on voit cette belle fleur apparaître au centre et la voix divine en sortir. Une fois que Dieu a parlé, il s'en va avec les anges et les saints.

Réjouissez-vous, vous qui le pouvez, mes chers enfants. Je ne vous dis pas de prier pour votre soeur, sa passion a pris fin à minuit.

Marisa - Je sais mais elle continuera.

Jésus - Les douleurs naturelles demeurent, et elle parvient à les supporter, du fait aussi que quelqu’un l’aide courageusement (l’Evêque), et Nous l’aidons, nous aussi. Mes chers enfants, même si vous êtes peu nombreux, même si certains sont partis, ne sont pas venus à cause de la pluie, je vous adresse tous mes voeux, aux petits comme aux grands. J’adresse des voeux particuliers à Simone, Mario, Paolo, Valente et aux autres malades.

La Madone - Je désire adresser tous mes voeux à toutes celles qui désirent devenir maman, je prie avec vous dans cette intention.

Jésus - Ensemble avec la petite Madone, mon papa bien-aimé Joseph, l’Evêque ordonné par Dieu, je vous bénis tous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Tous mes voeux, mes chers enfants, du plus profond du coeur.

Marisa - A moi, tu ne dis rien, Jésus? Adieu. C’est bon.

Ils sont tous partis, la maman aussi.

Rome, le 30 mars 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui l’octave de Pâques. Une semaine s'est écoulée depuis Pâques et j’espère que vous avez continué à prier, à vous priver et faire des sacrifices pendant cette semaine, parce qu’il est inutile de vous dire que le monde ne va pas bien, que beaucoup de personnes se conduisent mal, en commençant par les grands jusqu’aux petits. Que voulez-vous que mes deux petits enfants fassent pour eux? Ils prient, souffrent et continuent.

Nous choisissons des évêques, je ne dis pas très braves, mais braves, afin qu’ils puissent collaborer demain avec le nouveau Pape. Notre tâche est très difficile, parce que ce Pape ne quitte pas son trône. Il délègue tout à ses collaborateurs, ne fait rien, ou mieux passe son temps à lire. Vous devez prier, parce qu’il partira bientôt pour les Etats Unis, puis se rendra en Australie pour la journée mondiale de la jeunesse. Que peut-on donner aux jeunes, sans prière, sans sacrifice? Si l’on commence à parler sans faire le signe de croix, sans dire un Notre Père, un Gloire au Père, un Je vous salue Marie, qu'y a-t-il? On ne fait que parler, manger et se reposer. Est-ce que c’est ce que Dieu attend? Non, ce ne l'est pas. Dieu désire bien plus, beaucoup plus, et on ne l’a pas encore compris.

Petit troupeau, j’attache beaucoup d'importance à ce que vous donniez l'exemple et donniez témoignage. Vous devez parler si vous remarquez quelque chose d’erroné, vous ne devez avoir peur de personne, parce qu’on ne peut rien vous faire, simplement vous répondre de travers: "En quoi ma conduite t’intéresse-t-il?"; mais devant Dieu, vous aurez fait que vous deviez faire.

La Pâques est passée, Jésus a été crucifié et est ressuscité pour nous sauver tous ainsi que ceux qui ne le connaissent pas, car beaucoup d'hommes ne connaissent pas Jésus, ne connaissent pas le S. Evangile, et on peut les comprendre. Mais ceux qui connaissent le Saint Evangile, qui ont fait des études de théologie, savent fort bien où est la vérité. Et la vérité se trouve dans les bons, les simples, les humbles.

C’est l’année de l’Espérance, de la certitude et elle doit donner à tous le courage d’avancer, en serrant les dents, les poings et en regardant Jésus dans le tabernacle. Comme je l’ai dit une fois à l’Evêque: "Accroche-toi au tabernacle", je vous dis maintenant: "Accrochez-vous au tabernacle ", parce que Jésus a soif, très soif d'âmes bonnes et saintes. Vous savez que si vous marchez sur les traces de Jésus, vous arriverez à la sainteté.

Courage, mes chers enfants, la Maman est toujours avec vous, Jésus, même s’il ne vous parle pas parfois, écoute et est toujours avec vous, comme le sont tous les anges et les saints, en commençant par Saint Joseph., l’ami de notre Evêque.

Je vous dis, courage, je sais que vous menez un dur combat à tous les poins de vue: au travail et à l'école, avec vos parents et vos amis. C’est toujours une lutte parce qu’il y a toujours de l'envie et de la jalousie; essayez de surmonter cela aussi. Si quelqu’un vous dit quelque chose qui n'est pas juste, détournez votre regard et continuez votre chemin.

Courage, mes chers enfants, courage à tous, aux grands, aux petits et aux malades.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Messages d’avril 2008

Rome, le 1er avril 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous souvenez-vous quand il y a dix ans votre Evêque est sorti du Vicariat en souriant et que vous avez tous dit: "Il sourit, la rencontre avec l’Evêque s'est bien passée"? Mais Marisella, qui le connaît bien, a dit: "Ce n'est pas un sourire de joie", ce n'en était pas un en effet. Mais cela a été beau de le fêter en agitant les banderoles, vous l’aimiez beaucoup et vous étiez proches de lui. Cela fait dix ans qu’il souffre d’avoir été suspendu a divinis et cinq ans d’avoir été réduit à l'état laïc.

Marisa - Chaque fois que nous pensons à ces condamnations invalides et illicites, nous souffrons beaucoup et essayons d'être très proches de lui. Nous cherchons par tous les moyens à être pour lui un fils, un frère, un ami, il est tout pour nous. Nous célébrons également ta fête aujourd'hui, c’est ce qu’ils m'ont dit, parce que moi, petite Madone, je suis un peu déphasée et ne me souviens plus de rien.

La Madone - Essayez d’aider l’Evêque du mieux que vous le pouvez. J’ai choisi six piliers pour le soutenir et vous vous êtes tous demandés: que doivent-ils faire?

Marisa - Je ne le sais pas non plus, mais soyez lui proches autant que vous le pouvez, aidez-le en tout et pour tout. Bien sûr, ceux qui vivent avec lui dans la maison sont plus privilégiés parce qu’ils sont toujours ici.

Je t’implore pour nos petits enfants: Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara, Mariasole et les autres petits neveux que je ne réussis pas à voir malheureusement. Il y a aussi les tous petits de nos jeunes.

La Madone - Prions tous les uns pour les autres, mais surtout pour notre saint Evêque. Quand la foule a proclamé Jean Paul II: "Saint immédiat", je pensais à l’Evêque; oui, toi, Excellence, tu es déjà saint pour Nous. Accepte cette proclamation de sainteté, ne soit pas gêné, tu dois être heureux d’avoir donné tant d’amour à tous; continue comme tu l’as toujours fait, comme lorsque tu parles du Saint Evangile dont tu fais de chaque ligne un poème.

C’est vrai que tu es éprouvé, transpercé, tu ne veux pas que je parle de ceux qui te persécutent et je n'en parlerai pas, mais tu sais qui te poignarde. Il y a malgré tout beaucoup de personnes qui t’aiment.

Lumen Christi, Deo gratias! (Lumière du Christ! Nous rendons grâce à Dieu!) Alléluia, Saint Claude, alléluia pour toujours!

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ceux qui ont été appelés à le soutenir et à être proches de lui.

L’Evêque - Marisella ne se sent pas bien.

Marisa - Je ne me sens pas bien, mais je fais tout pour essayer de cacher mes douleurs, mais je vois que je n'y parviens pas.

La Madone - Nous avons fêté aujourd'hui la dixième année de la suspense a divinis de l’Evêque ordonné par Dieu. Vous savez que ceux qui le persécutent vivent dans le péché, ne sont pas en état de grâce et commettent des sacrilèges, parce qu’ils l’ont calomnié et l’ont fait chanté en lui ordonnant de jeter Jésus Eucharistie.

Mon cher fils, tu sais comme leur sommeil est agité, qu’ils dorment peu ou mal, parce qu’ils ont des cauchemars. Ils font semblant d'être heureux et lorsqu’ils mourront, ils seront malheureux pour toute l'éternité.

Courage. Nous du Ciel, avec le saint Evêque, nous vous donnons à tous notre bénédiction. Nous vous bénissons au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Mes voeux à tous, en particulier au plus grand et au plus petit. Merci.

Marisa - Adieu.

Rome, 5 avril 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois, auquel Nous du ciel, nous tenons beaucoup. Vivez-le dans la prière, en faisant des sacrifices et en vous privant. C’est beau de fêter le premier samedi du mois, parce que les apparitions ont commencé le premier samedi du mois.

Marisa - C’est difficile pour moi de vous parler et de répéter ce que la petite Madone me dit, elle vous aime tous et vous considère comme ses enfants, frères, soeurs, amis et est toujours avec vous.

La Madone - Je n’ai rien d’autre à vous dire que de prier, prier et encore prier. Vous souvenez-vous quand Jésus a dit: "J’ai soif, j’ai soif, j’ai soif"? N'oubliez pas ces paroles et ayez soif de Jésus. Approchez-vous chaque jour du sacrement de l’Eucharistie et vous verrez comme tout sera beau et facile. Le monde se laisse aller, mais nous aimons Dieu et Dieu nous aime, il aime en particulier ceux qui souffrent.

Marisa - Je suis très, très heureuse d’aimer Dieu, Marie, la Mère de l’Eucharistie, et tous les anges et les saints. Quand je me trouve dans une situation menaçante, je me tourne vers Dieu et je lui dis "Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnée? Je sens le besoin d'être en contact avec Toi". Nous devons tous ressentir le besoin d'être en contact avec Dieu.

Je ne peux m'étendre davantage, parce que ma santé laisse à désirer, mais vous qui le pouvez, priez, unissez-vous toujours dans la prière à Dieu, à Jésus, à Marie et ayez la force d’avancer.

La Madone - Je souhaite un bon voyage à ceux qui doivent partir et bien des choses aux petits enfants, à ceux qui doivent naître et à ceux qui sont nés. Que Dieu vous protège tous toujours.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. C’est fatigant.

Rome, le 6 avril 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Continuez à parler du Magnificat, à le méditer, parce que c’est une prière très importante, elle renferme l’amour qui embrasse tous.

Quand Jésus marchait le long des routes, il cheminait avec deux apôtres à ses côtés. Il leur parlait de Lui-même et comment ils devaient se conduire en face du peuple qui leur était hostile. Pierre était près de lui la plupart du temps, parce que c'était lui qui devait donner force et courage à tous, Jésus s'en réjouissait et parlait, parlait le plus qu’il pouvait et racontait tout de Sa vie, comme le fait votre Evêque, qui a toujours tant à raconter.

Marisa - En ce moment, cher Jésus, j’aimerais te demander de donner un peu de force à tous, parce que nous sommes tous très fatigués et éprouvés. A Toi, cela ne coûte rien de dire à l’Evêque: "Courage, Je suis avec toi et je t’aiderai". La même chose vaut pour Marisella, Selenia, Yari, Laura et pour tous. Nous avons tous besoin d’aide dans la maison, et Toi, si Tu le veux, Tu peux nous le donner.

Si tu nous dis de réciter le Magnificat et de le méditer, cela veut dire qu’il renferme quelque chose d'important. Mon âme exalte le Seigneur. Pourquoi doit-elle exalter le Seigneur? Il renverse les puissants de leurs trônes et élève les humbles. Pourquoi ne renverses-tu pas les hommes qui ne sont pas bons et n'élèves-tu pas les humbles? Nous serions alors tous heureux, nous nous aiderions mutuellement et nous avancerions. Cette vie est insipide, ce monde est sale, mais les méchants progressent. Ils ne dormiront pas la nuit, ne seront pas heureux le jour, mais ils occupent des postes très importants.

La Madone - Vous n'occupez pas de poste important, mais vous avez le Paradis! Si vous voulez aller au Paradis, mettez de côté toutes ces choses qui font souffrir, soyez forts, forts et avancez. Faites comme Jésus: appelez vos amis deux par deux et parlez leur.

Marisa - Je sais que les piliers ne sont pas à la hauteur que tu aimerais qu’ils soient, mais je crois qu’ils mettront tout en oeuvre et feront tout leur possible pour nous aider.

Jésus, aide celui qui doit partir aujourd'hui, tu dois être très proche de lui; aide celle qui doit faire ce que Tu sais, tu dois être très proche d’elle. Mais plus que tout c’est l’Evêque qui a besoin de ton aide, il doit être aidé parce qu’il est seul, seul, seul, il n’a personne, tu le vois Toi-même. Nous ne parvenons plus à sourire, à parler, nous sommes finis. Je t’en prie, Jésus, mon époux bien-aimé, aide-nous tous, parce que nous avons tous besoin de ton aide et nous te dirons un grand merci, grand comme le monde, mais un monde propre, pas sale avec des guerres, des associations criminelles et tant de choses horribles. Aide ces femmes qui sont en bas à prier, elles t’aiment tant et nous aident tant. Aide-nous, je t’en prie, nous avons tant besoin d’aide, l’un d'une façon et l’autre d'une autre. Merci de nous aider. L’Evêque et moi, nous adressons tous les matins des prières à Dieu le Père, mais depuis quelques matins il ne nous répond pas. Pourquoi? Nous n’avons rien fait de mal. Si Dieu nous répond, nous serons plus forts.

La Madone - C’est bon. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les petits enfants et tous les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Fais que le Saint Esprit descende sur nous.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Cela a été très fatigant de parler.

Rome, le 13 avril 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’aimerais que notre âme glorifie tous les jours le Seigneur.

Chère Maman, je ne m’adresse pas à toi ce matin, mais au Dieu Tout-Puissant, comme nous le faisons tous les matins quand nous élevons nos prières vers Lui. Tout ce qu’a dit notre Evêque est grand, beau, vrai. Nous sommes tous prêts à faire quelque chose pour que la vérité triomphe, nous voulons tous faire des sacrifices, privations et le jeûne pour ceux qui le peuvent, nous désirons tous arriver au but que nous attendons depuis très longtemps. Je n’ai rien d’autre à te dire sinon que nous voulons aimer Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Madone, Saint Joseph, grand-mère Iolanda et Vous tous du Paradis.

Mon Dieu, aide ceux qui en ce moment ont besoin de ton aide. Toi, Dieu, Tu le peux, Tu peux les aider tous aisément, car il Te suffit de lever un doigt pour mettre tout en ordre. Nous ne regardons pas ce que font les puissants, cela ne m’intéresse pas, parce que, malheureusement, ils continuent à se tromper, à se moquer les uns des autres et à nous traiter mal. Nous nous adressons à Toi, mon Dieu, à toi, Marie. Vous êtes nos amours et nous sommes vos amours. Aimez-nous même si nous rouspétons parfois, parce que nous aimerions voir quelque chose se réaliser, une brèche se fermer, peu à peu; nous avons tant attendu, mais nous pouvons encore attendre.

Mon Dieu, nous nous adressons à Toi avec tout l’amour qu’une créature peut avoir envers le Créateur du Ciel. Aide-nous, et surtout aide celui que j’ai dans le coeur. Aide nos enfants, aide leurs parents, aide tous ceux qui ont vraiment besoin de Toi.

Si je continue à parler, j’ai peur de gâcher ce que l’Evêque a dit, c'était beau et émouvant, je l’aurais écouté jusqu’au soit. Il parle bien, il sait dire ce qu’il a dans le coeur. Je ne peux pas parler comme lui, mais, je réussis également à dire ce que j’ai dans le coeur. Je t’en prie, aide-nous tous, parce que nous avons tous besoin de Toi.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants. Je bénis la petite statue de Saint Joseph qui nous regarde. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, adieu.

Rome, le 20 avril 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, quand le Christ désire une âme entièrement pour Lui, il l’appelle et lui demande: "Veux-tu être ma fille, mon épouse?". Et l'âme qui aime vraiment Dieu, lui dit oui. Toutes les âmes qui sont appelées peuvent dire oui, et Dieu ne les appelle pas pour le plaisir, mais pour l’immolation. Regardez ceux qu’il appelle, si la souffrance les habite, cela veut dire qu’ils ont beaucoup d’amour pour Dieu et les frères. Vous devez toujours prier le Dieu Tout-Puissant, croire en ce qu’il dit, écouter Sa Parole; quand il fait une promesse, c’en est une et il n'en change pas, même s’il laisse passer beaucoup de temps.

Je suis désolée de vous dire que la santé de votre soeur décline toujours plus chaque jour, je vous le dis pour que vous puissiez comprendre la souffrance de votre Evêque et de votre soeur.

Apprenez, vous aussi, à dire oui à Dieu. Sa Parole est vraie, juste, même si vous avez parfois le sentiment d'être leurrés, mais ce n'est pas ainsi. Dieu vous aime. C’est pour une raison très importante et très grave que votre soeur a beaucoup de souffrances qui la font souvent pleurer et invoquer la maman. Sa vie est très dure, mais quand toutes ses souffrances finiront, vous comprendrez pourquoi Dieu les a voulues.

Même les enfants, petits et grands le comprendront. N'est-ce pas, Emanuele, Sara et Mariasole? En plus d’eux, il y en a d’autres dans la basilique qui attendent la venue et l’aide de la Maman Céleste.

Je suis prête, avec le Dieu Tout-Puissant, à vous aider tous. Marisella, je suis désolée que tu n’aies plus de voix, mais c’est ce que Dieu a voulu. Dieu t’a beaucoup demandé et continue à te demander beaucoup, mais tu aimes vraiment Dieu, même si parfois tu ronchonnes et te lamentes; Dieu est Père. Quelqu’un pense: s’il est Père, pourquoi fait-il autant souffrir? Dieu ne demande pas la souffrance pour Lui, mais pour les hommes de ce monde qui va toujours plus mal. C’est un monde corrompu, sale, où il y a des guerres, conflits, meurtres et injustices. Je vous invite, petits et grands, à prier, pour que tout ceci finisse et que vous puissiez tous monter dans la gloire avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Merci.

Moi, votre Maman, ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Pardonne-moi si je n’ai pu te donner plus. Je dois maintenant me reposer un peu, je suis finie. Adieu, maman.

Rome, 27 avril 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous pour prier avec vous. Bien sûr, mes apparitions inattendues sont plus belles, mais c’est aujourd'hui la journée dédiée à la communauté, je viens pour la communauté et pour tous ceux qui aiment mon fils Jésus et le reçoivent en état de grâce.

Je sais que tu n'es pas bien, Marisella, ta santé décline malheureusement, comme je te l’ai déjà dit, mais je vois que tu as beaucoup de force et de courage pour continuer et prier pour ceux qui ont besoin d’aide, les malades, tous les petits enfants; ceci te fait honneur. Tu réussis à t’oublier et à prier pour les autres. Le monde continue à aller mal et vous priez, vous faites même des sacrifices; j’en sais également la raison, je sais tout et je me suis unie à vous, unie à l’Evêque, aux jeunes et aux adultes.

Ma fête approche et tu ne veux pas la célébrer. Ce que je désire célébrer c’est la fête de l’Evêque, le 29 juin, une grande fête. Ta fête est une grande fête, mais c’est celle d'une laïc, d'une âme qui a fait ses voeux à Jésus alors que celle de l’Evêque et des prêtres est toujours plus grande. Cette nuit quand vous avez prié et récité la prière: "Je veux prier pour tous les prêtres, spécialement pour don Claudio", j’ai été émue parce que je suis une maman, je vous aime et je souffre.

Cette longue attente vous fait mûrir, elle vous rend meilleurs, plus braves, vous fait mieux comprendre ceux qui souffrent, ceux qui ne vont pas bien du tout et qui malgré tout parviennent à plaisanter, sourire, parler avec tous et pardonner: la tâche la plus difficile est de pardonner. Je vous demande de pardonner comme Jésus a pardonné à beaucoup de ses disciples. Oh combien l’ont trahi, mal traité, lui ont mal répondu et l’ont quitté! Voyez-vous comme l'histoire se répète? Vous aussi vous étiez nombreux, mais vous avez été trahis et abandonnés. Qui ne vous a jamais abandonnés? Jésus et la Maman. Vous savez, que bien que vous ayez parfois ronchonné, nous ne vous avons jamais abandonnés, nous vous avons toujours aidés, et aider ne veut pas dire que tout doit se réaliser, tout doit arriver immédiatement pour votre tranquillité. Ce qui doit arriver, arrivera quand Dieu le décidera, et Dieu est parfois un peu lent et se fait attendre.

Marisa - C’est toi qui as dit qu’il est un peu lent, parce qu’aujourd'hui je n’ai pas parlé de Dieu, sinon je finirai par être excommuniée. Je suis toutefois un peu fâchée, pourquoi ne devrais-je pas le dire? Je le suis aussi avec toi.

La Madone - Le bien, l’amour reste toujours, comme entre deux fiancés, entre mari et femme. Même si l’on se dispute, ce n'est pas pour cela qu’on ne se veut pas du bien, qu’on ne s’aime pas. Il y a toujours des querelles entre ceux qui s’aiment, en particulier si l’on est vif de caractère. Alors on réussit à se chamailler, pardonner, s’aimer; c’est cela qui est beau. Quand vous vous disputez, venez en immédiatement à pardonner. Que signifie faire la tête, ne pas parler, continuer, juger?

Marisa - Moi, Marisella, j’aimerais aller un petit peu mieux, non pas pour moi, mais pour l’Evêque et pour ceux à mes côtés, parce que si je vais un petit peu mieux, ils vont également mieux. Parler me fatigue énormément aujourd'hui, parce que j’ai de grandes douleurs, mais je parle, plaisante et ris aussi avec toi qui es ma Maman. Te souviens-tu quand Padre Pio a pris le tableau te représentant et l’a retourné contre le mur? et qu’il a dit: tu n'es pas une maman, tu es une marâtre.

La Madone - Et pourtant, il est devenu saint.

L’Evêque - Nous l’avons fait, nous aussi.

Marisa - Oui je sais. Je l’ai fait plus d'une fois. J’ai dit: j’en ai vraiment marre et je l’ai retourné. Je l’ai fait aussi avec Jésus. Ces deux cadres je les ai retournés en colère. Puis tout s'est passé.

La Madone - C’est ainsi que doit être la vie, se chamailler et aimer. Quand une maman se chamaille avec son propre fils, cela ne veut pas dire qu’elle ne l’aime pas. Se chamailler, pardonner et aimer, c’est la vie. Le petit sacrifice que vous faites pour le 13 mai plaît beaucoup à Dieu.

Marisa - En ce qui concerne le petit sacrifice, l’un dit une chose et l’autre une autre.

La Madone - Je te donne un conseil, écoute seulement l’Evêque, tu ne dois pas écouter les autres, parce qu’ils se trompent.

Marisa - J’ai demandé à l’Evêque si je pouvais faire un petit sacrifice et il m’a répondu que j’en fais déjà beaucoup. Je ne sais pas lesquels. Ils ont tous répondu à l’Evêque, et cela me rend heureuse, parce que cela veut dire qu’ils aiment l’Evêque et la pauvre Voyante qui ne comprend plus rien.

La Madone - Mes chers enfants, je vous souhaite de faire ces petits sacrifices de tout votre coeur, avec tout l’amour que vous pouvez donner à ceux qui vous sont chers.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants, ceux qui sont ici présents et tous ceux …

L’Evêque - Qui sont au bord de la mer.

Marisa - C’est lui qui le dit.

La Madone -Je bénis les quatre mousquetaires: Samuele, Emanuele, Sara et Mariasole. Puis le chef de la bande, Jacopo. C’est un bon enfant, un enfant qui a besoin d’affection maternelle et paternelle, mais également besoin d’avoir près de lui des êtres propres qui l’aiment.

Marisa - Tu aimes beaucoup, beaucoup Jacopo? Il a été notre premier tout petit, aide-le, je t’en prie, il est à un âge un peu critique, mais si tu le veux, tu peux l’aider.

La Madone - C’est bon. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Pardon, pardon, sais-tu qui j’aimerais que tu salues! Adorno, ce rouspéteur, ce tas de haricots. Salue aussi Adorno, qui est si bon, quand on ne le touche pas. Aide-le, parce que si lui est bon, ils sont tous bons.

d’accord. Aide tous ceux qui ont besoin d’aide. Emporte-nous vite au Paradis. Pas eux, ils sont jeunes. Vous faites une faveur à l’Evêque, si vous l'emmenez.

L’Evêque - Nous partirons ensemble.

Marisa - Nous partirons ensemble.

Adieu. Salue ma maman, dis lui que je l’aime tant, mais elle ne doit pas me réveiller le matin en criant, parce qu’ensuite je suis mal.

La Madone - Ce n'était pas ta maman, c'était l’Evêque.

Marisa - Non, l’Evêque est arrivé après.

La Madone - Tu veux savoir mieux que moi?

Marisa - O.K., comme tu le veux, cela ne fait rien. Je te remercie de ces deux jours que j’ai passé en compagnie des jeunes.

Que devons-nous faire avec cette personne?

La Madone - Laissez passer maintenant un peu de temps, voyons comment elle se comportera, puis nous verrons et étudierons le cas.

Marisa - d’accord. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Adieu, adieu.

La Madone - Je donne ma bénédiction à tous ceux ici présents et tous ceux qui sont au bord de la mer.

Marisa - Quand je vois les quatre mousquetaires courir, aller et venir de ci et de là, j’ai envie de rire, puis ils rentrent à la maison, mangent et s'échappent de nouveau.

La Madone - A cet âge, mais quand ils seront plus grands?

Marisa - Hier, nous sommes allés tous ensemble voir où étaient allés les petits mômes.

La Madone - On ne dit pas les petits mômes.

Marisa - Pardon. Excellence, tu me conseilles toujours mal.

Adieu. Ecoute, je dois te demander une faveur: fais-moi écouter la S. Messe, ne me fais pas dormir, je t’en prie, parce que j’ai sommeil.

La Madone - Si tu dors, la Messe vaut également pour toi.

Marisa - Comme c’est beau. Adieu, Souviens-toi de ceux que je t’ai recommandés. L’Evêque est le premier d’entre eux. Prends-le sous ton bras. Puis il y a les tous petits.

C’est bon, nous attendons beaucoup de grâces. C’est bon. Adieu. Je serai bonne. Jésus, si je m'endors, cela ne fait rien.

Messages de Mai 2008

Rome, le 1er mai 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier mai; tout le mois de mai m'est consacré.

Je ne viendrai pas tous les jours, non tant pour moi, que pour votre soeur dont l'état de santé est toujours plus précaire. Je vous invite à réciter tous les jours le Saint Rosaire, à participer à la Sainte Messe et à faire la Sainte Communion et, pour ceux qui le veulent, qui en ressentent le désir, à venir prier dans la petite chapelle qui a été déclarée un lieu saint. Venez y et priez. En tant que Maman, je remercie ceux qui viennent aider et les remercie aussi parce qu’ils ne jouissent pas tous d'une bonne santé et travaillent avec amour, parce qu’ils aiment Jésus, m’aiment, aiment l’Evêque et tiennent à que tout soit bien en ordre. Merci, mes chers enfants, je sais que vous faites le petit sacrifice que vous a suggéré l’Evêque et je vous en remercie, mais je ne sais toujours pas ce que Dieu a décidé pour votre soeur. Priez et aimez.

Aimez-les tous sans faire de distinction, même ceux qui ne méritent pas d'être aimés, je parle des laïcs, puis si vous le voulez, aimez également les prêtres. Dieu vous laisse libres de les aimer ou de ne pas les aimer, et si vous ne les aimez pas, ce n'est pas un péché, parce qu’il y a un motif très grave pour cela. Ne pas aimer ne veut pas dire haïr, éprouver de la rancoeur, du ressentiment envers les prêtres; l’Evêque vous en expliquera la juste signification.

Je le répète, faites ce mois de mai avec beaucoup d’amour, même si vous êtes au travail, faites vos courses ou êtes en route pour quelques autres raisons. Selenia, toi qui travailles à l'hôpital, aime tes malades, aide-les, ils ont besoin de toi, de ton sourire, besoin d'une doctoresse comme toi. Ne regarde pas ce qu’ils te donnent, sinon l'envie vient de ne rien faire, vois le Christ dans chacun d’eux. Vous aussi, quand vous avez un frère à vos côtés, pensez que c’est le Christ qui est près de vous. Quand vous êtes avec l’Evêque, vous avez vraiment Jésus à vos côtés, parce qu’il parle à travers lui. L’Evêque a beaucoup de beaux préceptes à vous donner et vous en avez fait l'expérience. Quand il parle de Jésus, de Dieu, de la Madone, de Saint Joseph, de Saint Paul, il est plein, plein de saintes paroles. Essayez de voir le Christ dans tous les hommes. Bon mois de mai à ceux qui ont compris ce qu’ils doivent faire et courage, à toi, Marisella.

Marisa - Je ne demande qu'à aller un petit peu mieux, à me reposer la nuit, et à ce que l’Evêque se repose aussi la nuit. Nous sommes deux à être ballottés de droite et de gauche, pire qu’un ballon. Je peux dire comme un ballon? (Marisa se tourne vers l’Evêque). Il a dit que je peux le dire. Je te remercie de toute façon pour cette nuit et j’aimerais te remercier chaque jour de me faire reposer la nuit. Aide tous les malades, en particulier les enfants qui sont malades. Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants, en particulier ceux du tiers monde. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, salue maman, s’il te plaît?

La Madone - Bien sûr, la voici.

Marisa - Adieu, maman, fais-moi aller un petit peu mieux, dis-le à Dieu.

Grand-mère Iolanda - j’envoie un baiser à mon Evêque, à l’Excellence.

Rome, le 3 mai 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je t’ai écouté, Marisella, et j’ai également écouté son Excellence, mais tu sais que je suis venue aujourd'hui pour ceux qui m’attendent, tous ceux qui souffrent. Le nouvel an a commencé et vous avez souffert, le mois de mai a commencé et vous avez souffert, et nous ne sommes aujourd'hui que le trois mai. Vous souffrez énormément, mais ne pensez-vous pas que cette souffrance soit pour le bien de beaucoup d'âmes? Marisella, je ne viendrai pas pour te contenter. Quand tu le voudras, je serai avec toi; mais c’est maintenant mon devoir d'être parmi ceux qui prient en permanence. Priez Dieu, afin qu’il réalise ce qu’il a promis, sans changer. Priez aussi pour Marisella, et dites: "Dieu, aide cette âme de la Terre et emporte la vite avec Toi au Paradis".

Marisa - J’attends de partir, mais quand viendra ce jour? Nous souffrons tous, l’Evêque souffre, alors Vous du Ciel, en union avec nous de la Terre, priez pour nous.

La Madone - Continuez à faire le mois de mai, je sais que c’est difficile pour bon nombre d’entre vous à cause de la distance et de la circulation, mais Dieu vous aidera si vous faites ce grand sacrifice. La Maman vous salue tous et te salue également, Marisella. Sache, que même si tu ne me vois pas, je suis toujours à tes côtés.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 4 mai 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

C’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous, mais mon coeur est aujourd'hui très triste pour diverses raisons et par la faute d'un grand nombre de personnes. J’ai dit de ne plus penser aux prêtres, aux évêques, aux laïcs engagés et aux religieuses, mais c’est difficile parce qu’ils continuent à prendre en cible mes deux petits enfants. d’accord, le Paradis les attend, mais pour le peu de temps qu’il leur reste sur la Terre, ils pourraient aussi être bien. Je sais que vous priez beaucoup pour l’Evêque et la Voyante, et j’en suis heureuse, comme Jésus en est heureux. Je vous recommande de recevoir Jésus en état de grâce, aimez-le comme Il vous aime. Je sais que vous auriez beaucoup de choses à me dire, beaucoup de demandes à m’adresser, mais je ne peux rien dire de plus. Je suis toujours avec vous, je prie avec vous et j’attends avec vous le jour fatidique. Aimez-vous, mes chers enfants. Quand vous vous trompez et que l’on vous reprend, acceptez-le, tout est fait dans une bonne intention. On dit parfois des choses que l’on ne pense pas, c’est la nature humaine, c’est la vie sur terre, mais souvenez-vous que tout sera beau et joyeux sur la Terre quand Dieu le voudra. Vous pensez: "Que faisons-nous entre-temps?". Que puis-je vous dire? Priez et aimez. Je n’ai rien d’autre à dire et je ne veux pas voir quelqu’un pleurer en permanence, cela me fait mourir, me fait souffrir. Cela fait deux jours que grand-mère Iolanda pleure de voir ses deux enfants réduits à cet état.

Marisa - Alors, essaie toi de faire quelque chose.

La Madone - Mais maintenant réunissez-vous pour prier, écoutez la Sainte Messe, recevez mon Fils Jésus en état de grâce, parce que même si vous ne nous croyez pas, je suis toujours avec vous, surtout avec toi, Marisella.

Marisa - C’est bon, merci.

La Madone - Toute cette grande souffrance finira et vous direz alors: "Dieu a tenu parole". Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que tous les petits enfants, les ex-jeunes, les adultes, je vous bénis tous. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Adieu, frère évêque. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 11 mai 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête: la Fête de la Pentecôte. Méditez le troisième mystère glorieux: l’Esprit saint descendant sur Marie et les apôtres réunis dans le Cénacle. Quand vous récitez le troisième mystère glorieux, restez un peu à méditer et invoquez le Saint Esprit, la Troisième Personne de la Très Sainte Trinité. Priez-le ardemment, comme le fait votre soeur qui s'est attachée à l’Esprit Saint et Il essaiera par tous les moyens d’aider ceux qui sont dans le besoin, ne vont pas bien, sont abattus moralement, ne croient pas dans la Très Sainte Trinité et encore moins en l’Esprit Saint. Les hommes invoquent aujourd'hui les saints, puis la Madone et pour finir Jésus. Au contraire c’est Dieu le Père, Jésus Eucharistie et le Saint Esprit qui devraient venir en premier. Vous devez toujours les invoquer, ne vous lassez jamais d'invoquer ces noms. Pour tout ce qui peut arriver, pour la souffrance et bien d’autres raisons, invoquez l’Esprit Saint. Je suis la Maman de vous tous.

Marisa - C’est pourquoi je voulais t’adresser mes voeux.

La Madone - Marisella, tu as vu cette nuit le Saint Esprit, sous la forme d'une colombe. Les apôtres et moi, nous avons prié sans interruption alors que nous attendions l’Esprit Saint.

Marisa - Je voulais te présenter Adrian, parce que les petits enfants se fatiguent plus que les grands: celui-ci baille.

La Madone - Oui, Marisella, c’est mieux maintenant, parce que l’Esprit Saint est présent. C’est aujourd'hui une grande fête pour tous.

Marisa - Pour moi aussi?

La Madone - Oui, mais ne me pose pas cette question, car je ne peux y répondre.

Marisa - Comme tu le veux. Le petit pleure maintenant; il s’appelle Adrian.

La Madone - Je le sais, Marisella.

Marisa - Si le petit pleure, tu dois le bénir quand même.

La Madone - Les tous petits sont des tous petits.

Marisa - Celui-ci a faim.

La Madone - Il sera pleinement chrétien quand il recevra le Saint Baptême. Alors j’amènerai sa grand-mère, Adriana, avec moi.

Marisa - Vraiment? Amour, regarde, regarde, (Marisa se tourne vers Adrian qui pleure), vois-tu la petite Madone?

La Madone - Les tout-petits sont ainsi, Marisella, ils pleurent, rient, baillent, font tout comme les grands, c’est à vous les grands d’avoir beaucoup de patience.

Marisa - A nous les grands? A la maman et au papa!

La Madone - Recommandez-vous à l’Esprit Saint, invoquez-le tous les jours. Quelqu’un dira: mais la Maman nous dit toujours de prier et de faire toujours des prières.

Marisa - Oui, il y en a beaucoup, moi y comprise. Nous avons énormément prié. J’aimerais te remercier de l’immense aide que j’ai reçu. Fais que cela continue ainsi, je ne veux pas tout, il me suffit d'un peu.

La Madone - Tous mes voeux à toutes les mamans et également de la part du Saint Esprit, de Jésus, de Saint Joseph et de tous ceux qui me sont chers. Tous mes voeux à tous et aimez-vous. Ayez un maximum de patience avec les enfants.

Marisa - Tu es vêtue aujourd'hui d'une façon particulière.

La Madone - Toi aussi, Marisella.

Marisa - Tu m’as dit avant de ne rien te demander, mais j’aimerais te demander si je peux descendre pour la Sainte Messe. Tu ne m’as pas non plus laissé finir de parler. C’est bon, c’est bon, je suis de toute façon le modèle de la femme obéissante.

La Madone - Continue à faire ces travaux qui me plaisent tant et qui plaisent tant aux saintes femmes qui m’accompagnent.

Marisa - Tu n’as pas vu que je dévore tout? Cela ne fait rien. Je te promets, au nom de tous, de prier le Saint Esprit. Je le fais depuis longtemps, tous le feront maintenant. Ce n'est pas difficile de dire: "Viens, Esprit Saint, Esprit d’amour, illumine mon esprit, enflamme mon coeur, fortifie ma volonté". Cette prière est courte, comme celles de notre Evêque … mais belles!

La Madone - Ce sont de très belles prières, nous les récitons tous au Paradis.

Marisa - Attends une minute. Elle a dit que tous récitent tes prières. Peuvent-ils le faire?

L’Evêque - Ils peuvent tout faire.

Marisa - Ont-ils besoin de prier au Paradis?

L’Evêque - Bien sûr, ils prient pour nous.

Marisa - Je devrai donc continuer à prier?

L’Evêque - Bien sûr, pas pour toi, mais pour nous.

Marisa - C’est bon. Quand je te parle de l’Evêque, tu le défends toujours et tu es de son côté, comme une autre personne que tu connais bien; je ne te dis rien d’autre, mais elle le sait, elle sent dans son coeur que c’est elle:"Qu’on ne touche pas à l’Evêque, par charité". Je te remercie pour Adrian, les parents et grands parents. Tu as promis de faire descendre Adriana pour le Baptême d’adrian, ce sera une grande joie pour tous, même s’ils ne la voient pas. Merci. Ton amour et ta gentillesse sont infinis et tu te soucies de tout et de tous. Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, naturellement tous les petits enfants de cette communauté, en particulier ceux qui sont de vrais ouragans; nous avons aussi des enfants turbulents. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu à tous, à toi aussi, ma petite maman. Je ne sais pas quand nous ferons le Baptême.

La Madone - Comme tu ne le sais pas, il sera célébré le 31 mai.

Marisa - Je n’ai pas très confiance dans les dates. Arriverai-je au 31? " "Tu le peux".

Peut-on lui dire "Tu le peux? ". Dans le sens: "Pourquoi ne me le dis tu pas? ".

L’Evêque - Parce qu’elle ne peut pas te le dire.

Marisa - Ne me regarde pas ainsi, parce que tu es toujours avec lui. Adieu à tous.

Rome, le 13 mai 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui l’anniversaire de la profession des vœux de Marisella, qui les a toujours respectés et mis en pratique. J’aimerais que tous ceux qui ont prononcé des vœux, les mettent quotidiennement en pratique; je me réfère surtout aux moines et religieuses. Tous ne les mettent pas en pratique. La pauvreté ne veut pas dire indigence, ne signifie pas être mal vêtu, vous devez avoir toujours un aspect soigné, en particulier devant Jésus Eucharistie. Mon Jésus est enfermé en ce moment dans tous les tabernacles, mais beaucoup ne ressentent pas la nécessité et le besoin de rester devant Lui, de Lui parler et de Lui dire: "Jésus, je t’aime, aide-moi à devenir meilleur". Mes deux chers petits enfants vivent de plus en plus souvent des moments très durs et difficiles, mais parviennent, malgré tout, à mettre en pratique ce que Jésus a dit: "Tous mes enfants doivent aimer, du plus petit enfant à l’adulte le plus grand".

On fait aujourd'hui une grande fête au Paradis pour votre soeur et toutes les âmes religieuses qui mettent leurs voeux en pratique. Vous savez tous que votre soeur a des difficultés et de très grands problèmes pour vivre, continuer à parcourir ce chemin, et quand aujourd'hui, Dieu le Père s'est manifesté et a dit: "Le moment viendra où je dirai, ça suffit!", elle a essayé de lui demander, mais quand? Quel jour? Il a dit: "Je ne vous décevrai pas, J’ai dit que le moment viendra, je prononcerai le mot que vous attendez tous: ça suffit". Je n’ai pas de mots pour vous remercier tous de tout ce que vous avez fait pour les prêtres, l’Evêque et votre soeur.

Vous avez beaucoup prié, fait de petits et grands sacrifices et quelqu’un s'est amusé à passer du café sous le nez de quelqu’un…

Marisa - C’est moi.

La Madone - C’est bien de jouer, même dans certaines situations. Quand on fait des sacrifices il faut toujours être gai, sourire, tout accepter, même si c’est parfois difficile, comme il est difficile de vivre comme Dieu le demande. Quelqu’un a pensé: "Dieu n’a pas tenu sa parole, il dit une chose et puis en fait une autre". Mais comment pouvez-vous le penser? Comment pouvez-vous le dire? Dieu est Amour envers tous, spécialement envers ceux qui souffrent.

La souffrance est très forte, très grande pour quelques uns (NdlR. L’Evêque et la Voyante) que Dieu lui-même a appelés à suivre une route difficile, pour sauver ce monde si corrompu, qui effraie et qu’il est difficile d’aimer. Savez-vous ce que désiraient votre soeur et l’Evêque? Quitter ce monde avec la petite Madone, cesser d'être sur cette Terre si abjecte, si immonde et aller au Paradis. Dieu a dit: "Oui, je dirai, ça suffit, mais je ne vous dis pas le jour où je le dirai". Vous direz: "Dieu s’amuse à contrarier?".Non, Dieu sait ce qu’il fait et a ses raisons pour parler ainsi. Regardez cette petite Madone qui regarde cette enfant à genoux (NdlR. sculpture) et lui donne des messages. Combien de messages, de paroles, d’enseignements et de conseils ne vous a-t-elle pas donnés. Regardez la beauté de cette sculpture; merci à celle qui l’a faite. Mais mes remerciements s’adressent surtout à ceux qui ont collaboré à la préparation de cette fête, petite pour les hommes, mais grande pour Dieu. Je sais que vous avez dû faire face à de grandes difficultés, parce que certaines personnes n'on rien compris, ne savent pas qui est Dieu, ne savent pas qui je suis, ne savent pas qui est ce saint Evêque qui est seul et maltraité par tous, pas par vous bien sûr, qui êtes ici présents.

l’un d’entre vous manque facilement de respect à l’Evêque et à la Voyante. Votre Evêque a dit fort justement: "Vous devez respecter votre soeur parce qu’elle est malade, et non parce qu’elle est voyante". Elle est comme vous, mais elle est malade, et doit être respectée, cela n’a pas été le cas, cela a été une souffrance continue, tous les jours, deux, trois, quatre fois par jour, et seuls ceux qui ont vécu même un seul jour dans cette maison peuvent s'en rendre compte. Ne t’inquiète pas, Excellence, je ne dirai rien d’autre, sois tranquille. Tu sais que l’amour de Dieu et mon amour pour toi sont grands. Tu sais que grand-mère Iolanda t’aime immensément, "Aidez l’Excellence", nous dit-elle de temps à autre, comme elle t’appelait souvent. Mes chers enfants, je suis très heureuse de vous voir ici présents pour fêter Dieu, la Petite Madone, l’Evêque, la Voyante, tous les ex-jeunes, les adultes, les tous petits, qui sont des anges devant Dieu.

Marisa - Ecoute, petite Madone, je dois te demander quelque chose, je ne sais pas si je l’ai déjà fait, parce que j’ai très mal à la tête. Obtiendrons-nous, qui sommes si fatigués, de bonnes réponses aux lettres qui sont parties?

Nous vivons très mal sur cette planète Terre parce qu’elle est immonde, nous détruit et nous fait souffrir. Je dis souvent: "Emportez-moi, emportez-moi! ", et je constate au contraire, mon cher Jésus, que je suis encore ici. Mon Dieu, quand diras-Tu ce "ça suffit", que nous attendons tous? L’Evêque est fatigué et a besoin de repos.

La Madone - Tu as raison, ma fille. Les autres se portent bien, travaillent, mangent, dorment, se promènent, font des pique-niques, vont en vacances, mais vous, mes deux pauvres enfants, cela fait des années que vous vivez comme des prisonniers, comme le répète votre Evêque.

Marisa - Oui, nous nous sentons seuls et parfois nous nous accrochons l’un à l’autre et parfois nous nous chamaillons. Je ne dis pas qu’on doit avoir de la compassion pour moi, car je n’attends que ce "ça suffit", mais pour l’Evêque. Donnez-lui la force qui vient à lui manquer tous les jours, aidez-le, vous l’avez promis, vous l’avez dit tant de fois. Tous ont besoin d’aide, même les chères femmes qui s'empressent de nous aider. Même les ex-jeunes consentent à nous aider, même s’ils ne font pas tous leur devoir.

La Madone - J’aurais tant de choses à dire, mais Dieu les a déjà dites ce matin. Il y a eu une très longue Théophanie et mes deux enfants ont parlé avec Dieu. Son œil qui vous regarde et vous sourit est au centre de cette fleur. Aucun de vous ne le voit, ne l’a vu, et ne le verra qu’au Paradis.

Marisa - Je voulais te demander, combien de temps pourra durer cette attente de ce "ça suffit", que Dieu a promis de prononcer? Une grossesse dure neuf mois, mais pour le "ça suffit" de Dieu, combien de mois devrons-nous attendre? Cela fait des années que nous attendons. Va toi, petite Madone, vers Dieu, emmène derrière toi Jésus, maman, grand-mère, tous les saints et les anges, allez trouver Dieu pour lui demander quand ce "ça suffit" viendra.

L’Evêque - Elle le sait, parce que Dieu lui a parlé.

Marisa - L’Evêque a dit que tu le sais, parce que Dieu t’en a parlé.

La Madone - Vous êtes un peu coquins ce soir.

Marisa - Eh bien, nous devons aussi nous remonter le moral.

La Madone - Je ne veux pas voir les jeunes ou les ex-jeunes, tristes, comme vous le voulez. Je veux voir un sourire sur leurs lèvres, un sourire d’amour envers Dieu et envers les hommes. Alors, moi aussi, la Mère de l’Eucharistie, je me sentirai heureuse.

Retenez ce que je vous dis maintenant et ne l’oubliez pas. Quand on dit du mal de ce lieu, on s’adresse à vous, mais on n'en a pas après vous. Comme ils ne peuvent rouspéter après Dieu, ils rouspètent après vous, mais c’est après nous qu’ils en ont. Croyez-moi, mes enfants, ils en ont après Dieu, ils en ont après la Mère de l’Eucharistie, ils en ont après tous ceux qui aiment ce petit lieu, ce lieu thaumaturgique, ce lieu tant aimé de Dieu. Je ne m'étends pas davantage. Je t’adresse tous mes vœux, Marisella, au nom de tout le Paradis. Moi, ta maman, présente ici, ta grand-mère et nous tous, nous t’adressons tous nos vœux de sainteté, de force et de courage pour accepter encore ce que Dieu veut. Si ce "ça suffit" s’attarde, c’est qu’il y a une grave raison pour cela. Donc, courage, reprenez courage, appuyez-vous sur cette force qui vient de Dieu. Je dis à ceux qui font souffrir Marisa: respectez-la en tant que personne qui est très gravement malade. Elle ne parvient jamais à suivre un traitement comme il se doit, parce qu’elle est gravement malade. Ne la maltraitez pas comme vous l’avez fait jusqu'à ce jour. Elle se tait, mais souffre intérieurement, ne maltraitez pas ses enfants qui vivent avec elle et l’Evêque. Pourquoi agissez-vous ainsi? Qui êtes-vous pour vous conduire ainsi? Les petits enfants se conduisent bien, aiment leur tante, leur oncle, veulent du bien à tous, pourquoi devez-vous les faire souffrir? Pourquoi manquer de respect aussi facilement? Ce sont des personnes qui ont désormais un âge avancé. Marisella, si tu es mal, ils font voir deux larmes, puis ils te traitent mal et te manquent de respect. J’aimerais voir un sourire sur les lèvres de Laura, de son mari, d’emanuele, de Sara, de Mariasole… et des autres. Vous ne devez pas souffrir quand vous voyez Marisella immergée dans la douleur. C’est la volonté de Dieu.

Marisa - "Hourra!", a dit Mariasole ce matin, quand elle a su que j’allais mieux. Voilà Emanuele et Sara, il manque Mariasole, Samuele et Jacopo, qui est un jeune homme. Puis il y a Mariselle, Adrian, Miriam, Ismaele et tous les autres petits enfants. Le nombre des anciens et des petits enfants augmente.

La Madone - Vous m'envoyez un baiser, petits enfants?

Marisa - Oui, aide ces enfants, ils ont tous besoin de ton aide; nous les deux grands, nous avons également besoin de ton aide. Dois-je dire cette autre chose?

L’Evêque - Cela suffit.

Marisa - L’Evêque a dit que cela suffit. J’aime plaisanter avec toi. Je ne sais pas si tous comprennent ma façon de te parler, mais je suis faite ainsi. C’est bon.

La Madone - Notre Père … Gloire au Père… Disons un Je vous salue Marie aussi pour toi. Je vous salue Marie ….

Marisa - Petite Madone, j’aimerais te remercier pour Simone et pour tous ceux que tu as aidés. Aide tous les autres enfants, sois proche de leurs parents, parce que nous avons tous besoin de ton aide et tu es la Maman de tous.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, proches et lointains. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu à tous, adieu, maman.

Rome, le 18 mai 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Mon âme magnifie le Seigneur. J’aimerais que vous aussi, vous magnifiez le Seigneur, notre Dieu, qui semble vous donner des soucis et ne dit jamais "ça suffit". Il sait quand et comment dire ce mot qui semble si petit mais qui est si grand, parce que qui vous savez (NdlR. la Voyante) ira vers le Père. Je suis venue avant les Trois Jésus et me retire maintenant, parce que Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, les Trois Jésus, comme les appelle Marisella, sont venus pour vous bénir, vous aider, vous donner ces grâces dont vous avez besoin.

Vous ne devez pas vous inquiéter si votre sœur n'est pas bien. Elle ne peut pas descendre malheureusement, elle ne doit pas descendre, c’est un cas particulier aujourd'hui parce que sa santé décline toujours plus. Cela ne lui enlève pas sa joie de sourire et de plaisanter avec tous. Je vous confie l’Evêque, mes chers enfants proches et lointains, soyez à ses côtés, aidez-le et ne dites pas ces phrases qui Nous font aussi souffrir. Si Dieu n’a pas encore dit "ça suffit", c’est qu’il a ses raisons, ce n'est pas à nous de les découvrir et de lui adresser tant de pourquoi. Je vous ai toujours dit qu’il est difficile de répondre aux pourquoi de Dieu. Vous ne pouvez pas toujours vous demander: "Pourquoi Dieu ne fait-il pas encore ce qu’il a promis? ". Dieu fera ce qu’il doit faire et vous serez heureux. Vous avez formulé de très belles prières. Nous, qui sommes tous ici présents avec l'héroïne de la fête, nous sommes heureux, contents, même si je constate parfois qu’elle n'est pas bien traitée. Alors, elle se retire et pleure ou sourit et plaisante. Vous devriez faire vous aussi. Quand j’ai dit: "Ne faites pas cette tête, souriez", je l’ai dit sérieusement, parce que ce n'est pas en faisant la tête ou en disant des choses qui ne sont pas belles que vous résoudrez quelque chose. Dieu a décidé "ce quelque chose", mais Lui seul sait quand. s’il a encore laissé votre sœur en vie, Lui sait quand il l’appellera: ayez la force, l’amour, la charité de l’aider pour le peu que vous pouvez faire. Elle est heureuse de voir l’autel décoré, les fleurs bien arrangées et le ménage fait avec diligence. C’est ce que font ces femmes simples qui viennent toujours en courant pour aider mes deux enfants. J’aimerais dire leurs noms mais elles sont nombreuses et chacun de vous sait de qui je parle. Fêtez aujourd'hui votre sœur, mais surtout la Très Sainte Trinité, les Trois Jésus, comme les appelle Marisella. La première fois qu’ils se sont manifestés, elle a reconnu Jésus Eucharistie à ses stigmates et le Saint Esprit à la colombe et elle en a conclu: "Alors celui au milieu doit être Dieu le Père". Personne n’a jamais vu Dieu et personne ne le verra jamais sur la Terre. Soyez heureux, mes chers enfants, la vie est très dure, spécialement pour mes deux enfants et pour ceux qui sont á leurs côtés. Mais vous avez, vous aussi des problèmes, certains avec les enfants, d’autres avec le mari, l'épouse, la belle-fille, la belle-mère. Je suis la belle-mère de Marisella.

Marisa - Ne te qualifie pas de belle-mère, cela ne me plaît pas, tu es ma Maman.

La Madone - Je plaisantais, Marisella, je plaisante moi aussi.

Marisa - Oui.

La Madone - J’aimerais que cette Sainte Messe soit célébrée en l'honneur de la Très Sainte Trinité, pour l’Evêque, pour votre sœur, pour vous tous ici présents et pour ceux qui voulaient venir mais ne l’ont pas pu. Faites cette campagne de prières, aidez-vous les uns les autres et les choses s’arrangeront.

Cette basilique est si belle, elle n'est pas comparable à ces grandes basiliques pleines de statues, de dorures et de stucs. l’un d’entre vous se vante parfois, se fatigue et se lamente, non, soyez toujours heureux.

Ma chère fille, je te dis merci de la part de tout le Paradis pour ce que tu as fait et continues de faire pour l’Eglise. Continue ainsi, mais sois plus sereine, si quelqu’un te fait souffrir, et il y en a beaucoup, fais-lui un beau sourire, dis-lui adieu ou appelle le trésor par téléphone comme tu sais le faire et tout sera plus facile pour tous.

Marisa - Ecoute, j’aimerais savoir si ces lettres sont arrivées.

La Madone - Oui, elles sont arrivées et ont été lues et relues. Quelqu’un en a agité les feuilles et a dit: "Qu’est-ce que je fais maintenant?" (Marisa mime le geste et agite plusieurs fois une feuille devant son visage.)

Marisa - Ce que lui dit sa conscience. N'est-ce pas, petite Madone?

La Madone - Oui, Marisella, mon ange, créature du Ciel. Chacun de vous a son caractère et Marisella aussi a le sien. Elle ne peut pas être toujours sereine, souriante, plaisanter, elle pleure parfois, se retire parfois tellement elle souffre, se tourne dans son lit pour qu’on ne voit pas qu’elle souffre et pleure. Mais son sourire revient aussi facilement. L’amour qu’elle a surtout envers les enfants est immense, si grand, son chagrin est de ne pouvoir les tenir dans ses bras, parce qu’elle se fatigue facilement.

Mes chers enfants, la Maman et tout le Paradis vous remercient de votre présence. Priez les uns pour les autres et pensez à cette personne qui agite la lettre de l’Evêque ne sachant que faire. Merci.

Marisa - Tu sais qui c’est, moi aussi je l’ai compris et l’Evêque aussi, parce qu’il a la vue longue. Merci, petite Madone. Restez avec nous pendant toute la durée de la Sainte Messe. J’aimerais demander que la Sainte Messe soit un peu plus courte, parce que je suis très fatiguée. (Marisa sourit). Sais-tu qu’une fois j’ai dit à l’Evêque: "Pourquoi ne commences-tu pas la Sainte Messe à l’offertoire? ". Ou faisons …

L’Evêque - …seulement la consécration.

Marisa - "Seulement la consécration et puis c’est fini". De temps à autre j’en dis une des miennes.

La Madone - La Messe est la Messe et on l'écoute très volontiers, en particulier quand elle est célébrée par un saint Evêque.

Merci encore, mes chers enfants. Ensemble avec tout le Paradis et mon et votre saint Evêque, je bénis Marisella, tous les petits enfants, le petit Gioele aussi. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ecoute, attends, ne t’en va pas. Donne-moi au moins un peu de voix pour chanter un cantique? Dois-tu toujours me faire pleurer? C’est bon, adieu.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, maman, tous tes petits- et arrière-petits-enfants ne sont pas présents.

Je sais que tous ne répondent pas à l’appel.

Rome, le 25 mai 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus, es-tu venu parce que c’est aujourd'hui Ta fête?

Jésus - Oui, mais ne dis rien d’autre, Marisella. J’ai entendu tant de belles paroles, j’ai écouté tant de belles prières. Vous aussi, vous pouvez vous rendre compte qu’il y a beaucoup d'âmes tristes dans votre communauté. C’est la vie de ceux qui ont dit oui à Dieu et suivent Ma route.

Marisa - Jésus, je voulais te rappeler que j’ai dit oui à la mission de la souffrance, mais que l’Evêque a dit oui à d’autres tâches.

Jésus - J’ai souffert en tant qu'homme et ne peux pas souffrir en tant que Dieu.

Je vous comprends, mais comme je l’ai dit hier à mes deux enfants, vous ne pouvez pas tout obtenir et immédiatement. Vous ne pouvez pas non plus penser que lorsque je fais une promesse, elle va se réaliser immédiatement.

Dieu le Père aussi a Ses temps et ils doivent être respectés. Je n’ai rien à vous reprocher, je suis heureux que vous ayez ouvert vos coeurs, il vaut mieux ouvrir son coeur plutôt que de tout garder à l’intérieur et de nourrir de mauvaises pensées. C’est humain d’avoir parfois des mots durs, mais vous ne parvenez pas non plus à vous imaginer toutes les grandes choses qui arrivent dans ce petit lieu.

Ne voulez-vous plus accepter de faire la volonté de Dieu? Ceci me fait mal.

Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, ne viennent pas dans le lieu thaumaturgique pour vous faire souffrir. L’immolation et la souffrance totale n'ont été demandées qu'à une seule personne (NdlR. la Voyante). Bien sûr, celui qui vit à ses côtés (NdlR. L’Evêque) souffre beaucoup et c’est juste, parce que quand on voit souffrir un frère ou une soeur, on participe à sa souffrance. Mais la vraie souffrance n'est supportée que par une seule personne que vous aidez de vos prières et sacrifices; j’en suis touché et vous en remercie.

C’est aujourd'hui la Fête Dieu. Je vous en prie, cet appel s’adresse à tous les hommes, ne vous approchez pas du Sacrement de l’Eucharistie si vous n'êtes pas en état de grâce, ne faites pas la Sainte Communion par respect humain, pour faire voir aux autres que vous êtes en ordre avec Dieu.

Je sais qui vit en état de grâce et qui vit dans le péché. C’est pour Moi, Jésus, Dieu Papa, comme l’appelle votre Evêque, et Dieu le Saint Esprit, une grande souffrance de voir tant d'hommes recevoir Mon Corps en état de péché. Nous, les Trois Personnes Divines, égales et distinctes, nous sommes maintenant ici, et c’est Moi, la Deuxième personne de la Trinité, qui parle, parce que c’est Ma fête. Je suis vrai Homme et vrai Dieu, et comme homme je souffre avec vous.

Ce que vous avez dit, est juste, mais quand vous priez, ne soyez pas durs, essayez de vous exprimer avec la douceur que Nous avons quand Nous vous reprenons.

Je sais que votre épreuve est dure, mais Je vous demande d’avoir la force et le courage de continuer à aimer et à prier, parce qu’avec vos prières, peut être que cela ne vous intéresse pas, vous ne pouvez vous imaginer combien d'âmes vous avez sauvées, combien d’enfants qui ne devaient pas naître sont nés, combien de couples en perdition se sont repris.

Pensez-vous que vos prières et vos souffrances se perdent dans le vent? Non! Elles servent beaucoup.

Pour votre soeur, Nous sommes là, Nous pensons à elle, parce que Nous savons ce qu’il faut faire et comment se comporter même si, étant une créature humaine, elle souffre beaucoup.

Moi, Jésus, je n’ai pas souffert autant qu’elle. Marisella a été gratifiée par Dieu du don de la souffrance. Certaines vérités sont difficiles à comprendre, mais elle, à sa façon, les a comprises. Elle souffre et pleure, pas pour elle-même, mais pour l’Evêque et vous ici présents, parce qu’elle a un grand amour pour tous.

Après tout ce que vous avez dit dans vos prières, je peux seulement vous dire que le "ça suffit" que vous attendez est inscrit dans le livre de Dieu et que je vous aime et vous comprends.

Vous ne devez pas vous détruire en attendant que Dieu dise "ça suffit", mais vous devez être forts pour votre Evêque, pour vous-mêmes et pour ceux à vos côtés. Je vous en prie: ne vous approchez pas de l’Eucharistie si vous êtes en état de péché mortel, parce que vous commettriez un sacrilège et avoir des personnes sacrilèges dans la communauté empêche de grandir.

Essayez de faire silence dans votre coeur pour entendre et comprendre si vous êtes en état de grâce ou de péché.

J’aiderai l’Evêque et vous devez le soutenir avec amour et sacrifice.

Priez pour votre soeur, afin qu’elle ait la force d’accepter tout ce que Dieu décide pour elle.

Quand on dit de prier pour une personne, pour que le Seigneur la prenne avec lui, c’est seulement pour le bien de tous, il vaut mieux qu’une personne monte au Paradis plutôt qu’elle vive sur la terre.

Mes enfants, essayez d'être heureux et de vous aimer, enseignez à vos enfants le véritable amour, la vraie pureté du coeur et de l'âme.

Adieu, je vous donne ma bénédiction. La Madone est arrivée parce qu’elle veut vous bénir elle aussi.

Marisa - Jésus, tu dois nous aider, sinon nous n’arrivons plus à avancer.

Jésus - Marisella, qu’est-ce que Dieu a dit hier à l’Evêque qui voulait fermer ce petit havre de paix qu’il a rendu thaumaturgique? "Non, jamais!".

Les lieux où il n'y a plus d’apparitions, où il n'y a plus rien sont ouverts et beaucoup de personnes s'y rendent. Et l’Evêque voulait fermer ce lieu saint, où viennent la Trinité, la Madone, les anges et les saints et où vivent l’unique Evêque ordonné par Dieu depuis les apôtres et la Voyante la plus importante de toute l'Histoire de l’Eglise.

Mettez-le vous bien dans la tête: Dieu a dit à l’Evêque: "Non, jamais!".

Marisa - Alors tu dois nous promettre de nous aider.

Jésus - Marisella, tu me fais sourire parfois. Bien sûr que je dois vous aider, c’est ma tâche, c’est mon devoir.

Marisa - Puis-je être sincère? Nous ne ressentons pas cet aide. Dieu est-il offensé parce que je l’ai dit?

Jésus - Non, ce sont les péchés qui offensent Dieu, pas de telles affirmations, faites en particulier par toi qui es toujours la même, qui n’as pas changé, qui es restée une enfant extérieurement et intérieurement.

Marisa - Extérieurement franchement non.

Jésus - Reste ainsi, ne change pas, sois proche de ton Evêque, aide-le, si tu le peux.

Marisa - Je peux l’aider, si vous me faites dissimuler combien je suis mal, personne ne doit se rendre compte combien je suis mal. Si l’Evêque se rend compte que je ne suis pas bien, comment fais-je pour l’aider?

Jésus - Nous y pensons, Nous.

Marisa - Cette phrase: "Nous y pensons, Nous" a été prononcée bien des fois …

Jésus - C’est bien Marisella, je retourne maintenant ver le Père.

Marisa - Voilà la Mère de l’Eucharistie, accompagnée des anges; peut-être a-t-elle peur de venir seule.

La Madone - Marisella, je n’ai pas peur de venir seule, les anges m’accompagnent parce que je veux vous faire comprendre que le Paradis est avec vous. Je suis seulement venue pour vous inviter à faire ce que Jésus a dit: "Recevez-le en état de grâce", je ne dis rien d’autre.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis tous, en particulier ceux qui sont dans une crise, qui sont à terre, mais surtout vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Nous attendons votre aide, je ne dis pas que je veux guérir, je ne l’ai jamais demandé, mais je veux cacher à l’Evêque combien je suis mal.

La Madone - Non, l’Evêque doit le savoir.

Marisa - Voilà, tu vois, que nous ne sommes pas d’accord. C’est bon. Adieu.

Rome, le 31 mai 2008 - 17h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec joie que je suis venue parmi vous, avant tout pour les deux petits enfants qui vont recevoir aujourd'hui le sacrement du Baptême et devenir chrétiens. C’est aujourd'hui le dernier jour du mois de mai. Tous n'ont pu malheureusement bien le célébrer jusqu'à la fin, pour des raisons de santé, à cause du travail ou d’autres motifs sérieux. C’est aujourd'hui la fête de ma Visitation à Elisabeth ma cousine, qui attendait elle aussi un enfant. Quand elle me vit, le petit Jean tressaillit dans son sein et commença à parler au petit Jésus. L’immense joie que je ressentais d’avoir le petit Jésus dans mon sein peut être comprise et partagée par celles qui sont mamans. Remerciez Dieu d’avoir parmi vous une petite fille qui est un miracle vivant.

Merci de toutes vos prières et surtout des souffrances d'une personne qui s'est donnée tout entière pour toutes les autres créatures, mais surtout pour cette petite fille. Chers parents, en vous levant chaque matin, tournez vos yeux vers le ciel et remerciez Dieu de ce don. Même toi, Marisella, réjouis-toi et remercie Dieu, en dépit de tout ce que tu souffres, tout ce qui t’arrive, et du peu d’attention que te réservent souvent ceux qui te servent.

Vous ici présents, vous devez prier pour Mariselle, Adrian Maria et tous les petits enfants qui font partie de cette petite communauté, tant aimée de Dieu. Marisella, ne prends pas ces médicaments, tu passeras des nuits blanches, mais ces médicaments te détruiraient plus tard. Quand les deux enfants recevront le sacrement du Baptême, chantez, réjouissez-vous et priez, parce que, comme vous le savez, le monde ne va pas bien. Il y a des hommes et des femmes qui tuent les enfants et font tant de choses horribles. Ces petits enfants, y compris les autres ici présents, vont vers un avenir pas très rose, si la situation ne change pas. Cela semblait être sur le point de changer, puis tout a reculé et empiré. C’est pourquoi je vous invite à prier davantage, vous le faites et je vous en remercie.

Je vous remercie par ailleurs des prières que vous avez faites pour cette petite communauté et pour l’Evêque. Priez, mes enfants, l’Evêque est très fatigué et parfois très déçu par les hommes qui le blessent et le font souffrir. Cela fait des jours, des jours et des jours que mes chers enfants ne réussissent pas à dormir, dernièrement ils n'ont reposé qu’une seule nuit. Vous ne pouvez pas vous imaginer ce que cela signifie de ne pouvoir se reposer pendant un temps aussi long. Pendant les nuits d'insomnie, ce sont toutes les pensées tristes et les horribles souvenirs qui viennent à l'esprit et l’on souffre encore plus. C’est très dur de passer tant de nuits sans pouvoir fermer l’oeil. Malgré le manque de repos, l’Evêque fait les rencontres bibliques, célèbre la Sainte Messe, vous dit des choses si belles et si profondes, que je n’ai entendues dire par aucun autre prêtre ou évêque. Lors de la Fête-Dieu, il vous a fait lire et goûter toute la séquence de la Fête Dieu (lauda sion) et vous en a fait un commentaire merveilleux. Dans toute l’Eglise, aucun prêtre, évêque ou cardinal ne l’a fait lire intégralement et commentée. Ils n'y pensent pas et lisent des homélies préparées par d’autres. Lui se prépare, même si, comme vous le savez, il est aidé par Jésus. Votre Evêque dit: "Je dois respecter les âmes qui viennent et dois me préparer, si Jésus m’inspire ensuite autre chose, c’est bon, c’est bienvenu".

Récitons maintenant tous ensemble le Notre Père, en levant les yeux vers le Ciel, pour ces deux petits enfants et pour tous les petits enfants de la communauté, Priez mes enfants avec moi: "Notre Père…".

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il. Mes voeux à tous, en particulier aux parents, parce que les petits enfants ne comprennent pas encore. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Je viendrai te voir ce soir, Marisella, ne te fais pas de soucis.

Marisa - Merci.

Messages de Juin 2008

Rome, le 1er juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je me retire et laisse la place à mon Fils Jésus que peu d'hommes aiment, mais ceux qui l’aiment vraiment, l’aiment totalement.

Jésus - Moi, Jésus, j’ai beaucoup ri hier de ce que les femmes d'un certain âge, comme le dit votre Evêque, ont dit. Ce fut une belle journée et vous vous êtes tous bien conduits. C’est le véritable Amour: l’union entre les frères.

Deux petits enfants sont entrés par le Baptême dans la communauté des chrétiens. Ils sont petits, beaux; priez pour eux. Je vous confie une autre mission: priez pour tous les petits enfants.

Moi, Jésus, je vous demande un autre sacrifice pour le mois consacré à mon Sacré Coeur. C’est toujours ma Maman qui demande, mais cette fois c’est moi qui le fais. Je ne vous demande pas un grand sacrifice, mais une prière pour ceux qui n’aiment pas, qui ne savent pas aimer. Souvenez-vous de la phrase que je vous ai dite il y a des années: "Apprenez à aimer, puis priez" ? Si vous ne faites que prier, comment pouvez-vous dire que vous aimez? Aimez d’abord et puis priez, la charité en premier, puis la prière. Beaucoup négligent le mois dédié à mon Coeur, et pourtant ils peuvent obtenir beaucoup de grâces. Je vous aiderai comme je vous ai toujours aidés, même si certains n'en sont pas conscients. N'est-ce pas?

Marisa - Oui, mais l’Evêque plaisante.

Jésus - Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et notre chère grand-mère Iolanda, si précieuse pour Nous, vous ont toujours aidés. Priez pour un enfant très bon qui a grandi dans une famille très bonne. Vous savez que lorsque les petits enfants étaient grondés, parce qu’ils créaient du désordre, je les défendais: "Laissez les enfants venir à Moi". Les petits enfants sont une chose, les jeunes une autre et les adultes encore une autre. Ceux qui veulent donner vie à la Maison Paradis (pour les personnes âgées) sont présents. Si vous vous conduisez bien comme hier, nous ferons cette Maison Paradis avec votre Evêque à sa tête.

Marisa - Qu’est-ce que cela signifie? Qu’il doit mourir lui aussi? Il m’importe peu de mourir, car je sais déjà où j’irai. Jésus, Tu es mon époux, "j’entends mon bien-aimé, le voici, il vient bondissant sur les montagnes"; j’aime mon bien-aimé.

J’aimerais savoir quand tu me diras les deux chiffres (Ndlr: la date de la mort de Marisa).

Jésus - Tu sais que le mot "ça suffit" est déjà écrit dans le livre de Dieu, mais je ne te dirai jamais beaucoup à l’avance le jour de ton départ.

Marisa - Je peindrai seule mon cercueil.

Jésus - Comment le peindras-tu, si tu es morte?

Marisa - Avant de mourir, j’achèterai mon cercueil, je le porterai dans la mansarde et je le peindrai.

Jésus - Que dis-tu, Marisella? Il n'y a qu'à moi que tu peux dire ces choses, tu ne peux pas les dire devant cette petite et grande communauté. L’Evêque devra expliquer ce que signifie petite et grande communauté. Adressez-vous à Moi en ce mois qui M'est consacré, mais n'oubliez jamais la Mère de l’Eucharistie et grand-mère Iolanda qui cette nuit, au nom de Dieu, a réussi à sauver trois personnes d'une mort certaine, un homme, une femme et un enfant.

Marisa - Maman, pourquoi ne nous sauves-tu pas nous aussi?

Grand-mère Iolanda - Je dois faire ce que Dieu me dit de faire.

Marisa - Tu es si belle, je meurs d’envie d’aller au Paradis avec toi!

Jésus - Mes enfants, je vous ai demandé des prières en ce saint mois consacré à mon Coeur. Priez où que vous trouviez, même en camping, en voiture et au travail. Préparez la sauce et priez, faites le ménage et priez, coiffez-vous, les femmes en particulier, et priez.

Marisa - Seigneur, je n'y avais jamais pensé!

Jésus - La prière est importante, mais souvenez-vous: "Apprenez à aimer, puis priez".

Marisa - Tu t’en vas Jésus, où vas-tu?

Jésus - La tâche de ma Maman commence maintenant.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous demande elle aussi de prier pour une petite créature, qui nous est très chère. Votre soeur prie chaque nuit, mais cette nuit elle a dormi et n’a pas prié.

Marisa - J’ai prié après.

La Madone - Merci à tous pour la journée d'hier, vous devez toujours être gais, même quand vous souffrez; essayez de cacher vos souffrances et d'être gais.

Marisa - Mais c’est parfois difficile, petite Madone, de cacher ses souffrances. Cela dépend des cas.

La Madone - J’ai été émue par tous les petits enfants présents, même s’ils ont créé du désordre, ils ont été sages. Vous attendez trop de vos enfants, ils sont petits, le turbulent Emanuele est petit. Avez-vous entendu comme il a lu? Il a fait son devoir de petit homme. Il y avait plusieurs petits enfants en plus des deux qui ont reçu le sacrement du Baptême. Tout a été beau!

Le petit enfant doit se comporter comme un enfant tant qu’il n’a que quelques années, puis il change quand il grandit. Ce serait maintenant le moment de changer pour Samuele et Emanuele, en particulier lors de la Sainte Messe, peut-être pour celle qui est courte, pas pour celle qui est longue.

Marisa - d’accord. Je te remercie de ces conseils, car nous ne savons pas parfois comment nous conduire avec les enfants … nous les grondons souvent, parce que nous voulons qu’ils soient sages, mais ce n'est pas facile de les faire rester tranquilles. Emanuele est sage, Sara est sage, Mariasole est sage, Samuele est sage, Jacopo est sage. Puis il y a Mauro, Pavel et Miriam ainsi qu’ismaele qui n'est pas présent maintenant et bien d’autres.

La Madone - Faites ce que mon Fils a dit: "Apprenez à aimer et puis priez".

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur, petits et grands, et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Une seconde, petite Madone. Je te remercie de nous avoir fait reposer la nuit, nous l’avons mérité.

La Madone - Oui, c’est vrai; Je m'étais allongée avec toi.

Marisa - Toi aussi? Ok, adieu.

La Madone - Bonne Sainte Messe à tous. Au nom du Père du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Ainsi soit-il.

Marisa - N'oublie pas la promesse. Adieu, maman. Je n’ai pas embrassé mon époux Jésus, et il est parti. Adieu.

 

Rome, le 7 juin 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je vois tant de beaux enfants! Je vois aussi un petit garçon et je suis heureuse de le voir. Bravo et compliments, mon enfant. Il y a aussi la petite Mariselle, Samuele, Emanuele et Mariasole la bavarde. Je vous bénis, mes petits enfants: je suis heureuse de vous voir ici.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois de juin, mois consacré au Sacré Coeur de Jésus. Je vous invite tous à prier mon Fils Jésus pour les intentions que vous connaissez.

Toi, ma fille, essaie de ne plus vivre d’autres drames, sinon tu ne pourras atteindre l'heure fixée par Dieu. Quand certaines situations éclatent par la faute des hommes, je ne parviens pas à les excuser. Quand je vois qu’ils reçoivent mon Fils Jésus, mon coeur tremble et souffre. Par contre quand c’est Dieu qui demande quelque chose, c’est tout autre chose, parce qu’il donne aussi la force d’accepter et d’endurer. Ce que tu as souffert par la faute de ces personnes a été dur, très dur, mais tu as été forte et tu as essayé par tous les moyens de ne pas inquiéter l’Evêque, mais malheureusement ceux qui nous sont proches souffrent.

Marisa - C’est bon. J’aimerais ne pas entendre ces discours, parce qu’il est bon que nous n'en parlions que lorsque nous sommes seuls: toi, l’Evêque et moi.

La Madone - Oui, mais ces drames se répètent souvent. Les hommes, quand je dis les hommes, j’entends également les femmes, font souffrir ou volontairement ou par paresse ou par envie. Cela me fait mal de voir ma fille autant souffrir par la faute d'êtres humains; tu sais de qui il s’agit. Je me répète sans cesse: quand je les vois recevoir mon Fils Jésus et qu’ils ne sont pas en ordre avec Dieu, ne sont pas en état de grâce, j’en souffre énormément. C’est pourquoi, je dis toujours: mes enfants, recevez mon Fils Jésus en état de grâce. Soyez compréhensifs et bons, aimez vos êtres chers, parce qu’ils vous aiment et s’ils sont un peu fermes, durs quelquefois, c’est seulement pour votre bien. N'est-ce pas, Emanuele?

Emanuele - Oui.

La Madone - Samuele.

Samuele - Oui.

La Madone - Mariasole.

Mariasole - Oui.

La Madone - Bravo, tu as dit un beau oui.

Emanuele - Moi aussi.

La Madone - Quelqu’un manque: Sara.

Marisa - Elle est allée à une petite fête. Quand vous étiez petits, vous ne faisiez pas ce genre de fêtes, nous non plus en vérité.

La Madone - Je vous invite à vivre ce mois consacré à mon Fils Jésus en état de grâce et avec amour. Quand quelque chose ne va pas, levez les yeux vers le Ciel, appelez Jésus: "Jésus aide-moi, je n'en peux plus, je t’en prie". L’amour doit d’abord être envers Jésus, puis envers moi, la Mère de l’Eucharistie. Aimez votre Evêque, aimez vos enfants qui doivent aimer leurs parents. On doit aimer tous les hommes, petits et grands. N'est-ce pas?

Emanuele - Oui.

La Madone - N'est-ce pas, Mariasole?

Mariasole - Oui.

La Madone - N'est-ce pas, Samuele?

Samuele - Oui.

La Madone - N'est-ce pas, Jacopino?

Jacopo - Oui.

La Madone - Tu sais que ta tante prie chaque nuit pour toi, afin que tu deviennes un beau et bon jeune homme. Elle prie pour vous tous, même pour ceux qui sont absents, ceux qui sont dans la basilique et pour la future "Maison Paradis". Vous êtes jeunes et il vous reste encore beaucoup de temps à vivre, je vous aiderai et serai avec vous.

Courage, mes chers enfants, je vous laisse à votre Sainte Messe, je vous laisse non parce que je le veux, mais parce que Marisella n'est pas bien; ce soir par la faute de personne. Les hommes parfois, peuvent détruire, sont très méchants, mais pardonnez-leur.

Marisa - C’est très difficile, mais si tu le veux, j’essaierai de le faire.

La Madone - Merci à tous. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, j’envoie un baiser à ces enfants et à ceux qui sont absents. Je vous bénis tous, je vous serre tous sur mon coeur et vous recouvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Adieu, petits enfants, soyez sages. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu.

 

Rome, le 8 juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu - 1ère partie)

Marisa - Tu ne dis rien pour nous réconforter?

La Madone - Je suis heureuse du grand courage que vous montrez pour continuer et de votre confiance en Dieu.

Marisa - Ecoute, je peux te le dire maintenant: ma confiance en Dieu a chancelé. Croire en Dieu oui, mais comment faire pour avoir la confiance que tu demandes? Il nous a trop chamboulés, il disait une chose et en faisait une autre. Ce matin par exemple, tu as vu comment j’allais? J'étais convaincue que je m'en allais et au contraire je suis encore ici.

La Madone - Oui, ma fille, parce que Dieu seul connaît l'heure qu’il a fixée. Quand elle viendra, Il te le dira. Tu t'y prépareras, parce que tu ne peux partir à l’improviste.

Marisa - Je suis mal, j'étais très mal ce matin. La peur me prend ainsi que l’Evêque. Nous avons eu peur.

La Madone - C’est bon. Je vous invite entre-temps à être forts, courageux, confiants et à espérer en Dieu. Vous le savez et je le répète: vous avez souffert tous les deux plus que tous les saints au Paradis. Pourquoi Dieu l’a-t-il voulu? Vous le saurez au Paradis.

Marisa - Okay.

La Madone - Unissons-nous maintenant à ceux qui sont en bas, comme le dit votre Evêque, à la "Maison ".

Marisa - Nous sommes à la "Maison enfer".

La Madone - Marisella, je n’aime pas la façon dont tu parles ce matin, sois un peu …

Marisa - Je suis un peu ….

L’Evêque - (A voix basse) amère.

Marisa - Tu en connais la raison.

 

Rome, le 8 juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu - 2ème partie)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous. J’aimerais tant vous dire quelque chose de grand, de sublime, mais ce n'est pas encore l'heure. Dieu décide de tout et vous devez avoir confiance en Lui. Votre âme repose seulement en Dieu et je vous demande donc de prier et d’avoir encore plus confiance en Dieu. Je sais que beaucoup d’entre vous ont confiance en Dieu, vous devez toujours avoir cette confiance, ne jamais manquer de confiance envers Celui qui nous a créés, sinon quand arrivera ce que Dieu a promis, vous direz: " 'ai manqué de confiance en Dieu et Dieu ne m’a pas déçu! ". Soyez courageux et forts, continuez, ne vous arrêtez pas et souvenez-vous une fois pour toutes, que Dieu ne déçoit pas, Il sait ce qu’il doit faire et ce qui est le mieux pour tous, Je vous remercie de ne jamais manquer de confiance envers Dieu.

Marisa - Nous ne manquons pas de confiance, mais l'épreuve est si longue et si dure pour tous.

La Madone - Continuez à prier; ce que Dieu a promis arrivera, arrivera, arrivera. Ensemble avec l’Evêque, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Es-tu pressée? Dieu t’attend-il? Dis-lui quelque chose en notre nom. Elle était pressée.

L’Evêque - Elle avait peut-être rendez-vous avec Dieu.

Marisa - J'y ai pensé, moi aussi.

 

Rome, le 15 juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Nous sommes pratiquement arrivés au dernier dimanche du mois de juin consacré au Coeur de mon Fils Jésus. Vous priez énormément pour votre soeur; je vous explique encore une fois que personne ne peut dire quelque chose au sujet de la souffrance demandée par Dieu, mais quand les hommes font volontairement souffrir, tout devient plus grave. Les souffrances demandées par Dieu sont une chose et celles causées par les hommes en sont une autre. Il ne me reste qu'à vous répéter: "Convertissez-vous! Croyez en l’Evangile". Ce n'est pas facile de mettre en pratique l’Evangile, parce qu’il demande de pardonner à ceux qui vous ont offensés, trahis et fait souffrir: tout ceci est très, très difficile. Mais si vous vivez en état de grâce et si vous vous approchez de mon Fils Jésus, vous vous sentirez plus forts pour affronter les difficultés de la vie. Un jeune a bien parlé en suppliant Jésus de déchirer dans son livre les feuillets précédant la page où "ça suffit" est inscrit, afin d’avancer la promesse qu’il vous a faite.

Nous parlons de vous au Paradis, de ce que vous avez fait mercredi, des prières et des intentions que vous avez formulées. Cela a été une très belle et très émouvante cérémonie au cours de laquelle, moi, la Maman, j’ai versé des larmes de souffrance et de joie. Mon époux bien-aimé Joseph, grand-mère Iolanda, les anges et les saints ont pleuré avec moi, parce qu’ils étaient émus. Souvenez-vous que chacun de vous a un ange gardien qui vous aide quand les souffrances viennent, si l'homme désire être aidé. Je vous invite à continuer à prier. Merci pour la veillée et les prières que vous dites pendant la nuit. Quand l'homme est méchant, il fait souffrir. Il est inutile de vous cacher que votre soeur a été très mal par la faute d'une femme, et pas par la faute de Dieu. Dieu a aidé votre Evêque et votre soeur.

La nuit a été très dure et très douloureuse pour mes deux chers enfants. Aujourd'hui encore, chère Marisella, tu souffriras beaucoup par la faute de cette femme. J'irai voir Dieu et lui dirai de mettre fin aux souffrances que les hommes t’ont données. Excellence et vous, bonnes et chères âmes qui venez dans le lieu thaumaturgique et avez confiance en Dieu et en votre Evêque, continuez à prier sans jamais vous lasser. Vous avez beaucoup donné et je vous en remercie au nom de Dieu, mais souvenez-vous et ne l’oubliez jamais que seul l’amour vous emmènera au Paradis, où je vous attends tous. Aimez-les tous et priez pour ceux qui se conduisent mal et font souffrir volontairement. Si vous avez de la charité et de l’amour envers tous, le Paradis sera vôtre.

Marisa - (à voix basse) Quand m'en irai-je, moi? Je sais que la date comprend deux chiffres, je ne sais rien d’autre.

La Madone - Je vous laisse maintenant, mes enfants, non parce que je suis pressée de m'en aller, mais parce que vous avez déjà reçu des milliers de paroles de Dieu et si vous relisez et méditez ses messages, un par un, vous y trouverez tout ce qui vous aidera à grandir dans la vie spirituelle.

Ensemble avec mon cher Evêque, saint Evêque, je vous bénis tous, vos êtres chers, vos petits enfants et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa -Adieu.

Grand-mère Iolanda - Adieu, Evêque.

 

Rome, le 20 juin 2008 - 21h00 (Lettre de Dieu)

Jésus - Tout ce qu’a dit l’Evêque est juste et vrai. Il a fait une très belle homélie en s’inspirant de Saint Paul. Marisella, la souffrance te consumera jusqu'à la fin, tu auras quelques jours de joie, mais tel est ton chemin, ta mission. Tu n'étais pas mal ce matin, puis, dans l’après-midi, tu as été très mal, non par Notre volonté, mais à cause de la nature humaine et par la faute des hommes. Ton calme et ta douceur quand tu parles me font sourire. Je vois dans ton coeur tant de patience et de joie et surtout tant d’amour envers tous, même envers ceux qui t’ont fait souffrir et te font souffrir. Mais ton coeur bat le plus fort pour les petits enfants.

Souvenez-vous tous que c’est seulement avec l’amour que vous pourrez entrer au Paradis. Vous êtes encore pris par les choses terrestres, humaines, vous courrez sans arrêt vers tout et quand il vous reste du temps vers Moi. Je suis Jésus et je ne veux pas être la dernière de vos pensées. Vous cherchez par tous les moyens à être à l'heure au travail, à bien faire votre devoir et c’est bien, et puis s’il reste du temps, il y a Moi. Votre soeur n’a jamais agi ainsi, J’ai toujours été le premier pour elle, et après tout le reste: ceci est le véritable amour envers Moi, envers Dieu le Père, envers l’Esprit Saint. Mes frères, aimez-vous toujours, même si quelqu’un ne vous est pas sympathique, aimez-le quand même et priez pour lui. Il est difficile de pardonner à ceux qui ont essayé de tuer par tous les moyens. Mais, moi, j’ai pardonné sur la croix.

Marisella, il est difficile pour toi de pardonner, c’est difficile, trop dur. Beaucoup de méchanceté humaine s'est déchaînée contre toi. La méchanceté n'est pas dans ceux qui n'ont rien reçu, mais dans ceux qui ont beaucoup reçu, ont pu étudier, sont allés à l'église, ont fait le catéchisme, parce qu’ils n'ont aimé qu’eux-mêmes. Attention à l’orgueil, aux mensonges, à l'envie, ce sont tous de graves défauts.

Aimez l’Evêque, je le dis à tous d'une manière générale, ceci s’adresse à tous. L’Evêque vous a fait grandir d'une façon propre et belle. Vous ne viviez pas ainsi auparavant, vous avez changé maintenant, continuez à aimer, mais ne me mettez jamais à la dernière place, parce que Je suis Jésus, Je suis Dieu. Vous devez chercher par tous les moyens à me mettre à la première place, comme l’a fait votre soeur. Elle aussi a travaillé, a eu un patron, qui l’a prise pour cible et elle a souffert de beaucoup d'incompréhensions. Ses souffrances ont été nombreuses et elle a même reçu des coups de couteau pour défendre sa vertu. Elle n’a jamais eu peur de rien.

Aujourd'hui elle est très fatiguée, très éprouvée et j’essaie par tous les moyens de l’aider, mais son état physique empire toujours plus. J’ai dit à mes deux chers enfants, comme l’a dit la Mère de l’Eucharistie, que je vous aiderai, et comme vous le voyez, nous tenons parole, au moins la nuit, parce que dans la journée, le physique ne va pas et celui qui est méchant frappe. Je devrais punir trop d'hommes, trop de personnes, mais Je suis Dieu, je ne le peux pas. Même toi, Marisella, tu n’as jamais réussi à être dure et méchante envers ceux qui t’ont fait souffrir. Il est permis de rouspéter, de dire la vérité quand les choses ne vont pas, mais je ne t’ai jamais entendu dire un mot dur contre ceux qui t’ont fait tant de mal. Sois prête, prépare-toi, parce que tous les jours sont bons pour Dieu pour t’appeler.

Tous mes voeux, Marisella, tous les voeux de ton époux, tous mes voeux, Excellence, mais Nous voulons que vous célébriez le 29 d'une façon plus solennelle, parce que c’est Nous qui avons indiqué la date du 29, fête de Pierre et Paul, pour fêter l’Evêque ordonné par Dieu. Tous mes voeux à ceux qui savent aimer. Je vous en prie, si vos enfants sont turbulents, ne les frappez pas, donnez leur seulement une fessée. Je vous aime, mes enfants, et vous embrasse tous. Une étreinte affectueuse pour toi, Marisella, et courage, courage, courage. Je sais que Dieu t’a prise entièrement, Il te veut toute à Lui.

Marisa - Oui, c’est vrai, parce que je n’ai plus de force, je suis si fatiguée. Tu sais que je n’aime pas que ceux qui me sont chers voient que je suis mal. Ce n'est pas bien, j’aimerais le cacher, j’aimerais souffrir en silence, sans faire remarquer aux autres ma grande souffrance.

Jésus - C’est impossible, ma fille, impossible. Je vous étreins tous, surtout les enfants, en allant du petit Giole, qui doit encore naître, à Jacopo, parce que Jacopo est pour nous encore un enfant.

Adieu, Marisella, à plus tard.

La Madone - Marisella, bien des voeux de la part de la petite Madone, de ta maman, de grand-mère Speranza, de mon cher Saint Joseph et tous mes voeux à tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Tous mes voeux, Marisella, tous mes voeux, ma fille. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, maman, adieu à tous.

 

Rome, le 22 juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Le beau temps est arrivé, les gens commencent à sortir et il y a moins de monde ici, mais vous qui êtes présents, priez aussi pour eux. Vous savez qu’adam et Eve commirent le premier péché, qui même s’il est enlevé par le Baptême, a rendu l'homme faible et pécheur. Bien sûr, c’est à vous de ne pas pécher, de ne pas laisser le démon entrer en vous. N'oubliez pas que le démon est l’ange qui s'est rebellé contre Dieu et il devait être fort pour se rebeller contre Dieu. Le démon peut à tout moment vous faire tomber dans le péché. Il n'y parviendra pas si vous vivez toujours en état de grâce. Accrochez-vous à Jésus Eucharistie et avancez. Priez toujours, non seulement pour vous et vos êtres chers, mais aussi pour la communauté. Que chacun prie pour l’autre, intensifie la prière, je ne dis pas les sacrifices, les privations, le jeûne et les veillées nocturnes. Souvenez-vous que lorsque l’Evêque et Marisella ne seront plus ici, je continuerai à y être avec vous et je vous aiderai, mais je dois avant tout être avec eux. Quand la "Maison Paradis" sera créée, ainsi que l’a appelée votre Evêque qui trouve toutes les solutions, vous serez toutes heureuses.

Je vous demande de prier pour les jeunes qui ne connaissent pas encore le Christ, pas par leur faute, car ils ont malheureusement grandi sans formation chrétienne, la Sainte Messe, l’Eucharistie. Comment ces jeunes auraient-ils pu grandir? Je les entends parfois dire du mal, jurer, mais qui les a éduqués? les prêtres? les paroisses? Non. Les paroisses essaient seulement de les faire jouer, s’amuser, parce qu’ils ont tout ce qu’on peut avoir, en particulier les salésiens: ce n'est pas bien. Essayez de prier pour les jeunes, surtout pour ceux qui se rendront en Australie.

Marisa - Où?

L’Evêque - Avec Benoît XVI en Australie, où sera célébrée La journée mondiale de la Jeunesse.

Marisa - Nous la ferons à la mer, si tu viens avec nous. d’accord.

La Madone - Mes chers enfants, priez pour ceux qui sont déjà partis en vacance et pour ces jeunes qui n'ont pu venir pour des raisons sérieuses et de famille.

Priez pour les malades, il y en a tant, spécialement en été quand il fait plus chaud. Je me répète: intensifiez la prière, aimez vos enfants, ne les maltraitez pas, ne criez pas après eux.

Marisa - Je sais après qui tu en as, mais il est fort et intelligent.

La Madone - Bien sûr qu’il est intelligent avec tout le sel que l’Evêque lui a donné à son Baptême. Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

N'oubliez pas le 29, fêtez votre Evêque.

Marisa - Adieu.

 

Rome, le 29 juin 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

C’est moi votre Jésus. C’est aujourd'hui la fête de mon frère Evêque. Je suis venu lui adresser tous mes voeux ainsi qu’aux ministres extraordinaires de l’Eucharistie voulus par Moi. La souffrance que supportent mes deux enfants est grande, c’est pourquoi je suis présent ou je leur envoie la Maman afin de les aider. Vous avez prié, formulé de belles intentions et de très belles prières, c’est pourquoi c’est peu difficile pour Moi, Jésus, et la Mère de l’Eucharistie de vous parler après ce que vous avez dit. Mais je dois vous faire une remarque: vous êtes beaucoup et comment se fait-il que seulement quelques uns d’entre vous aient parlé?

Marisa - Dois-je te répondre? Parce que tous ne parviennent pas à parler en public, cela me gêne moi aussi et je ne parle pas; tu le sais.

Jésus - Oui; tu parles seulement avec Moi. Je suis venu avec Saint Pierre et Saint Paul, parce que ces deux grands saints seront au côté de celui qui s'élèvera à des hauteurs prodigieuses (NdlR: L’Evêque ordonné par Dieu), l’un à sa droite et l’autre à sa gauche, afin de l’aider et de veiller par tous les moyens à ce que personne n'ose lui faire du mal. Vous savez bien que le Saint Père Paul VI a dit que la fumée de satan était entrée dans les rangs de l’Eglise et du Vatican; ceci continue. Pourquoi demandons-nous des prières, des prières et encore des prières? Il y en a qui ont donné leur vie pour l’Eglise. Moi aussi, Jésus, je souffre de cette situation. Les grands personnages ne sont présents aux célébrations eucharistiques que pour faire bonne impression et quand les caméras de télévision tournent, mais ils ne célèbrent pas la Sainte Messe tous les jours. Vous avez appris par un message de ma Maman que l’Eucharistie avait versé du sang alors qu’un haut prélat célébrait la Sainte Messe, mais ce dernier s'en est débarrassé et l’a remplacée par une autre hostie blanche. Pourquoi ont-ils si peur de mon sang? J’ai versé mon sang et j’ai également demandé à des âmes de verser le leur et elles l’ont fait. Moi, Jésus, Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, Saint Pierre et Saint Paul sont avec vous et vous aiment pour vos sacrifices, vos souffrances et vos prières. Cela ne coûte pas tant de prier, ne l’oubliez jamais. Le matin quand vous vous levez, tournez les yeux vers Dieu le Père, Dieu Papa, comme l’appelle votre Evêque. Tournez les yeux vers Dieu et remerciez-le de la nuit que vous avez passée et de la nouvelle journée qui commence. Restez unis. Je donne maintenant la parole à Saint Pierre, le Pape de l’Eglise …

Saint Pierre - Je suis Pierre, j’ai beaucoup souffert, j’en ai vu de toutes les couleurs. Mes amis et mes ennemis m'ont infligé beaucoup de souffrances, mais je me suis battu et j’ai gagné. Bats-toi, Excellence, même si tu as déjà remporté la victoire. Ne regarde pas la foule qui court ici et là, mais ton petit cénacle. Je suis avec toi.

Saint Paul - Moi aussi, Paul, après avoir tourmenté le Christ et les chrétiens, j’ai été maltraité à mon tour, comme Pierre, par les amis et les ennemis, mais Jésus était avec moi. Nous sommes avec toi et tu le sais. Quand tu parles aux âmes et te prépares, parce que tu les respectes, notre Jésus parle en toi. Tu formules des paroles si grandes qu’elles ressemblent infiniment à celles que Jésus te dit lors de vos colloques sur le Jourdain.

Jésus - Moi, Jésus, je te dis: courage, Claudio, courage, Excellence. Tu voulais entendre un petit mot qui soit proche de "ça suffit"? Le voilà: "bientôt"!

Je suis avec vous et prie avec vous. Il vous faut beaucoup prier parce que vous avez des malades parmi vous. Priez pour les malades, mais surtout pour ceux qui le sont en esprit. Quelqu’un a dit à Marisella: "On ne dirait pas que tu es gravement malade". C’est vrai, parce que son âme est belle, qu’elle est proche de Nous et qu’elle essaie par tous les moyens de surmonter ses grandes douleurs. Elle souffre de maladies très graves. Elle prie, pleure aussi, s'écroule aussi, puis se reprend et est toujours plus belle. Mes amis, mes frères, c’est mon épouse, ne l’oubliez pas!

Marisa - Jésus, cela suffit, n’ajoute rien d’autre …

Jésus - Tu es gênée, Marisella?

Marisa - Oui, parce que je suis née pour rester cachée et tu me sors toujours de ma cachette et me mets sous le feu des projecteurs.

Jésus - Courage, mon épouse "j’entends mon bien-aimé. Le voici, bondissant sur les montagnes". Tu te souviens de ce cantique? Courage, tu m’as donné tant d’années de ta vie: 52 années de voeux perpétuels et tu les as toujours tous observés. Souvenez-vous que ne vont au Paradis que ceux qui aiment, ceux qui sont charitables et éprouvent de l’amour envers tous. Les hommes essaient d’abolir certains commandements, continuez et ne vous préoccupez de rien. Attention aux mensonges, au manque de sincérité, parce que si vous avez ces défauts, vous ne parviendrez pas aimer, on ne peut pas aimer en mentant et en manquant de sincérité. Soyez naturels, frais, beaux, vous aussi vous resplendirez au Paradis. Le péché défigure l'homme. La Communauté marche très bien maintenant, mais je veux encore plus, plus, ne ris pas, Excellence, je veux plus.

Marisa - Attends un moment, que puis-je te dire encore, je ne sais pas.

Jésus - Marisella, tu es toute mienne, tu es de Dieu, tu n'es pas des hommes. Excellence, je t’adresse mes voeux les plus sincères de force et de courage et si parfois tu te sens abattu, regarde la croix et relève-toi, relevez-vous tous en regardant la croix. Tous mes voeux à tous, surtout aux petits enfants qui seront demain les piliers de l’Eglise.

Marisa - Les piliers que tu as donnés à l’Evêque ne se portent pas très bien. Alors nous prendrons les petits.

Jésus - Merci à tous de votre présence. Moi, Jésus, je vous donne ma bénédiction ensemble avec tout le Paradis qui est ici avec vous et avec votre Evêque. Lève-toi, Excellence, ne sois pas timide. (I'Evêque se lève et donne la bénédiction avec Jésus).

Jésus - Que le Seigneur soit avec vous.

Jésus et L’Evêque - Que soit béni le nom du Seigneur. Notre aide est au nom du Seigneur. Que le Dieu Tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint Esprit.

Jésus - Battez tout simplement des mains, même si l’Evêque n’aime pas beaucoup cela (Ceux qui sont présents applaudissent).

Marisa - Tu as vu comme Jésus était beau.

L’Evêque - Non, je ne l’ai pas vu, mais je sais qu’il est magnifique.

Lettres de Dieu: été 2008

PRÉFACE

L’Evêque et la Voyante nous ont fait à nouveau un grand cadeau: ils ont voulu nous faire participer à l’affection, la tendresse, l’amitié et l’intimité qu’ils ont partagées avec Dieu le Père, Jésus et la Mère de l’Eucharistie au cours de l'été 2008.

Des théophanies et des apparitions de la Madone ont eu lieu à maintes reprises alors que Mons. Claudio et Marisa se baignaient dans la mer, étaient en voiture, dans des centres commerciaux, au restaurant ou admiraient de merveilleux spectacles de la nature.

Ces deux enfants de Dieu ont dialogué en toute liberté, intimité et sincérité avec le surnaturel et Dieu en est venu à plaisanter amicalement avec eux.

Les graves et délicats problèmes de l’Eglise ont fait l’objet de certains dialogues, mais la Madone a demandé que l’on garde le secret le plus absolu sur la majorité d’entre eux. Seuls les hypocrites, les faux prophètes et les mercenaires ne reconnaîtront pas l’authenticité et la véracité de ces révélations privées surnaturelles.


Silvi Marina (TE), le 6 juillet 2008 - 12h55 (Lettre de Dieu)

La Madone - As-tu fini de te préparer, Marisella?

Pour commencer, j’aimerais vous remercier de votre présence. Ces deux enfants ont bien travaillé, Marisella.

Marisa - d’accord, mais dis-le tout bas, les autres ne doivent pas le savoir. Ecoute, je voulais te recommander Paola et Marco. Vois à caser aussi ces deux là, puis nous avons aussi Giorgetto.

La Madone - Ces deux là veulent trop, ils n’acceptent pas facilement les remarques de Dieu. On ne peut pas satisfaire tout le monde, mais laissons de côté les plaisanteries. Je veux vous inviter à prier pour la situation très critique qui se crée en Italie. Vous pouvez prier n'importe quand; même celle qui est enceinte peut prier avec son petit Gioele. Vous devez tous prier pour votre belle Italie. Je vous l’ai dit déjà d’autres fois, mais je vous le dis cette fois ouvertement: priez pour votre belle Italie.

Je vous invite à mettre en pratique ce que votre Evêque vous a dit. Aucun homme, depuis que Dieu a créé le monde, n’a parlé comme lui avec autant de courage et d’amour. Mettez en pratique ses enseignements. Soyez simples, purs, honnêtes, sincères, généreux, charitables. Vous devez tous aimer. Là où il y a charité il y a amour, il y a Dieu; je veux vous conduire à Dieu.

Aimez-vous, je ne voulais que vous dire ceci, parce que mon Fils Jésus, l’Epoux de Marisella arrive.

Marisa - Comme tu es beau! Tu es le plus beau de tous! Ecoute, Jésus, comment fais-Tu pour être aussi beau? Tu es le Fils de Dieu, Tu es Dieu, Tu es la deuxième personne de la Très Sainte Trinité, Tu es tout et je ne suis rien. Suis-je belle? Je suis sûre que Tu diras que non.

Jésus - Je ne t’aurais pas choisie, si tu n'étais pas belle; tu es belle intérieurement. Vous devez être tous beaux intérieurement, la lumière, la joie, l’amour doivent rayonner en votre âme. J’aime énormément Marisella.

Marisa - Alors pourquoi me fais-Tu souffrir et fais-Tu souffrir l’Evêque que Tu appelles "Fils", "Frère". Tu l’appelles de bien des noms et Tu le fais souffrir. Merci quand même, parce que j’ai pu me reposer cette nuit. Oui, je me suis contentée de me reposer quelques heures, je ne suis pas comme Marco qui désire dormir longtemps. L'histoire sur les papillons est stupide, n'est-ce pas, Jésus?

Jésus - Oui, l’amour vrai est celui dont vous parlera votre Evêque, aucun homme, je parle des prêtres, psychologues, psychiatres et autres experts n’a parlé de cet amour. Pourquoi personne n’a-t-il parlé de cet amour à deux jeunes qui veulent affronter la vie ensemble? Vous l'êtes-vous demandés? J’ai parlé de cet amour avec votre Evêque sur le Jourdain et je lui ai communiqué ces enseignements pour tous ceux qui avancent dans cette communauté. J’aimerais maintenant que vous écoutiez la Sainte Messe, avant tout comme la Maman l’a dit: pour votre belle Italie, pour ces deux jeunes, pour celle qui attend le petit Gioele, pour la signora Iolanda, pour les jeunes présents et ceux qui sont loin. Priez pour toutes ces personnes, pour les petits enfants, pour la petite Mariselle, afin qu’elle n’ait plus d’autres problèmes de santé et que ses parents ne soient plus obligés de courir à l'hôpital.

Marisa - Ecoute, Jésus, je peux te le dire maintenant, je ne vois pas de différences entre Mariselle et moi. J’ai commencé à souffrir quand j'étais petite et regarde-moi maintenant, je partirai d'ici peu et je suis toujours malade.

Jésus - Je sais, ma fille, Dieu t’a donné des maladies pour le salut des autres.

Marisa - Dois-je toujours être mal? Mon estomac ne pourrait-il aller un petit peu mieux aujourd'hui? Si tu le veux, je ne mangerai rien.

Jésus - Tu dois faire ces discours quand tu es seule avec Moi, quand nous sommes seuls toi et Moi. Ne sommes-nous pas des époux?

Marisa - Si, si.

Jésus - Mes chers enfants, votre Jésus vous souhaite une longue vie ensemble, aimez-vous tous. Vous qui êtes présents, soyez tous amis, même plus qu’amis, parce que vous vous aimez et Jésus vous remercie de tout ce que vous avez fait pour ces deux enfants, l’Evêque et la Voyante, sans vous ils n’auraient pas pu partir en vacances.

Marisa - Jésus, nous avons une maréchale qui nous fait tous marcher droit! C’est la maman de Gioele.

Jésus - Oui, elle est bonne.

Marisa - Elle est devenue bonne parce qu’elle a été sermonnée bien des fois.

Jésus - Elle est très bonne, son mari devrait être un petit peu plus vif. De toute façon, je vous remercie tous, continuez à vous aimer. Merci, Excellence, de l’amour que tu donnes à tous. Oui, Je t’aime, Excellence.

Marisa - Eh bien si tu nous aimes, fais-nous aller un petit peu mieux, fais en sorte que je ne sois une charge pour personne, surtout pour l’Evêque. La journée avait bien commencé, puis quand j’ai mangé tout est allé mal.

Jésus - Je sais.

Marisa - Si tu voulais, tu pourrais faire quelque chose.

Jésus - Oui, mais c’est Dieu le Père qui décide de tout.

Marisa - Ne dis pas cela, parce que je vais me disputer avec lui.

Jésus - Marisella, on ne parle pas ainsi à Dieu.

Marisa - d’accord, j’aime plaisanter, mais on ne plaisante pas avec les choses sérieuses. Dieu est non seulement Saint, Suprême, mais il est Tout. L’Evêque aussi est saint: ce matin il dormait comme un saint, comme un ange. Jésus, maintenant, je te parle sérieusement, fais qu’ils puissent tous aller bien et moi un petit peu mieux, parce que je ne veux être une charge pour personne. L’Excellence, comme l’appelle Grand-mère Iolanda, se fait du souci et souffre quand je suis mal. Ce n'était pas ainsi autrefois, il était fort, mais il s'écroule maintenant quand je ne suis pas bien. Cela fera trente sept ans le 15 juillet, qu’il me supporte, dit-il, mais je le supporte aussi, nous nous supportons mutuellement.

Jésus - Et je vous supporte tous les deux.

Marisa - L’Evêque est bon, est saint, lui aussi devrait être rapidement canonisé. Mais cela ne signifierait-il pas qu’il doit mourir bientôt? Dieu soit loué, il s'en ira ainsi avec moi. Cela me peine de m'en aller et de le laisser sur la Terre à se battre contre ces messieurs.

Jésus - Marisella, tu veux encore rester sur la Terre?

Marisa - Non, non, ne nous ne comprenons pas de travers, j’ai dit que cela me faisait de la peine de le laisser, mais je ne veux pas rester encore sur la Terre, "j’en ai assez!". Jésus, ne plaisante pas sur ce sujet. Pourquoi ris-Tu? Quand m'en irai-je? Dites-moi au moins la date? Allons Jésus, dis-moi la date, je t’en prie, dis-la tout bas, tout bas. Tu ne peux même pas me la dire à moi? Veux-tu la dire à l’Evêque?

Jésus - C’est Dieu qui doit parler.

Marisa - Pourquoi, n'es-Tu pas Dieu?

Jésus - Si, je suis Dieu le Fils.

Marisa - C’est bon. Nous Te promettons de bien nous conduire pour autant que nous en soyons capables, parce que nous sommes des êtres humains, nous sommes faibles, la chair est faible mais l'esprit est fort.

Jésus - Moi, Jésus, je vous remercie, chers jeunes, de tout ce que vous avez fait …

Marisa - … Tu l’as déjà dit et ils ne sont plus jeunes, parce que la plus jeune ici est celle qui attend un enfant!

Jésus - Nous voulons tourner nos yeux vers Dieu et réciter ensemble: Notre Père …

Marisa - Jésus, me fais-tu passer un peu cette douleur à l'estomac? Je voulais te dire que je n’ai pas réussi à parler à cette femme, je ne me suis pas non plus sentie capable de la voir, mais cela me peine, parce que je ne suis pas ainsi.

Jésus - Marisella, tu ne pouvais ni la voir ni parler avec elle, elle t’a trop bouleversée, elle vous a bien détruit, toi en particulier, parce qu’elle était très jalouse de toi et de votre affection mutuelle. Elle a été très jalouse, elle t’a souhaité du mal et t’en a fait. Ne te fais pas de soucis, tu as bien agi. Souviens-toi que l’Evêque sait ce qu’il fait. Excellence, voulons-nous bénir ensemble ces enfants?

L’Evêque - Avec joie.

Jésus - Est-ce que cela te dérange de te lever?

L’Evêque - Me voici.

Jésus - Très bien.

L’Evêque - Que le Seigneur soit avec vous.

Tous - Et avec votre esprit

L’Evêque - Que soit béni le nom du Seigneur.

Tous - Maintenant et à jamais.

L’Evêque - Notre aide est au nom du Seigneur.

Tous - Qui a fait les Cieux et la Terre.

L’Evêque - Et que le Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint Esprit.

Tous - Amen.

L’Evêque - Loué soit Jésus Christ.

Tous - à jamais.

Marisa - Adieu, mon Epoux, adieu à tous, Adieu, ma petite maman.

Grand-mère Iolanda - Excellence, c’est moi grand-mère Iolanda et je t’envoie un baiser. Merci pour tout ce que tu fais pour ma fille.

Marisa - Maman, aide-moi toi aussi, parce que j’en ai besoin, adieu, ma petite maman.

L’Evêque - Sont-ils tous partis?

Marisa - Ils sont partis tous ensemble comme un nuage …

Silvi Marina (TE), le 7 juillet 2008 - 20h25 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Marisella, aie confiance en nous.

Marisa - Quelles sont ces lumières que je vois?

Dieu le Père - Ce sont les lumières du Paradis, ma fille. Nous ne pouvons pas t’emporter maintenant, parce que ceux qui t’aiment en souffriraient. L’Evêque n'est nullement responsable de ce qui est arrivé, parce qu’il a agi avec amour. Il aime les hommes comme je les aime, mais les hommes ne répondent pas.

Combien de fois avons-nous dit: "Ton moule a été jeté, Excellence, mon frère, mon fils". La même chose vaut pour Chiara. Il n'y a pas d’autre Chiara, son moule a été jeté. Quand Marisella lui a dit: "Ne pouvais-tu pas encore attendre? ", elle parlait sérieusement, parce qu’elle a besoin d’elle, puis elle s'en est repentie et a admis qu’il est juste que Gioele vienne au monde au milieu de personnes qui l’aiment. Dites à mes enfants, à mes prêtres bien-aimés que ceux qui ne savent pas aimer, vont en enfer, parce que seul l’amour, comme vous l’avez entendu hier de votre Evêque, conduit au Paradis.

Courage, ma fille, tu as des douleurs de la tête aux pieds, tu es éprouvée à cent pour cent. Nous vous avons aidés, mais comment aider quand il y a parmi vous des personnes égoïstes? Ces personnes ne savent pas aimer. Ceux qui n’aiment qu’eux-mêmes, ne peuvent venir en ma présence. Courage, Marisella, courage, ma fille, tu es très, très éprouvée. Tu auras des douleurs pires que celles de la Passion, mais nous t’aiderons. Ne te soucie pas des lumières que tu vois, ce sont les anges du Ciel qui veillent sur l’Evêque, sur toi et sur Chiara. Les autres sont mauvais, ne sont pas bons. Cette femme, cette personne, a même avant causé beaucoup de dommages et continuera à en causer.

Marisa - Mon Dieu, que devons-nous faire? Une a déjà été renvoyée.

Dieu le Père - Elle est orgueilleuse, hautaine, vaniteuse. Vous devez la reprendre à chaque fois; si elle se corrige, c’est bon, sinon, comme beaucoup d’autres personnes, l'enfer l’attend. L'enfer existe, il est plein de papes, de cardinaux, d'évêques, de prêtres, de religieuses et de laïcs qui se croyaient bons chrétiens. Ne pensez pas que Jésus sera finalement miséricordieux, non, à la fin, Moi, Dieu, je serai juste. Ceux qui ont mérité l'enfer, parce qu’ils n'ont pas su aimer ou n'ont aimé qu’eux-mêmes, iront en enfer. Vous viendrez jouir du Paradis. C’est dommage que tous ne soient pas présent pour entendre combien il est important d’aimer avec un grand A. Aimez. Merci, Chiara, de ce que tu essaies de faire par tous les moyens pour mes enfants. Je te bénis ma fille.

Ma fille, épouse adorée de Jésus, courage, tu es très éprouvée, tu l'es plus que Jésus sur la croix. Marie, quand elle assistait Saint Joseph, et tous les saints du Paradis, n'ont pas enduré ce que toi et ton frère endurent et souffrent. Je veux que ce soient des vacances pour vous deux. Malheureusement, celle qui peut vous aider, ne reste que quelques jours, elle doit rentrer à la maison parce qu’elle attend son bébé.

Marisa - Dieu, tu l’aideras? Ne la fais pas souffrir. Fais croître cet enfant comme Tu le veux.

Dieu le Père - Oui, Marisella, essaie maintenant de te reposer, de ne pas penser à autre chose. Ne pense pas que tu ne sais pas pardonner, que tu as péché. Comment peux-tu dire ces choses?

Marisa - J’ai maintenant un peu de rancœur en moi, je ne réussis pas à pardonner et je pense alors que je manque à la charité.

Dieu le Père - Non, ma fille, Moi, Dieu, j’aurais fait pire. Courage, sois bonne et aiment ceux qui aiment et savent aimer.

Marisa - Mon Dieu, tu m’as donné deux filles: Oriana et Chiara et puis il y a Mariselle.

Dieu le Père - Bien sûr, il y a Marisella et Mariselle.

Marisa - Tu l’aides?

Dieu le Père - Oui. Maintenant, Marisella, Dieu doit partir. Tu ne me vois pas, ma fille, mais je te vois et je vois ce que vous souffrez toi et l’Evêque, qui avec tant d’amour voulait te porter pour que tu puisses te baigner. C'était une de ses joies et une des tiennes. Malheureusement, cela a mal tourné par la faute des hommes. Patience, vous le referez, essaie maintenant de te reposer. Je veillerai à ce que les anges veillent sur vous, ton ange Ismaele et Gioele, celui de l’Evêque.

Marisa - Adieu, mon Dieu.

Silvi Marina (TE), le 10 juillet 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

Marisa - Je suis si heureuse en dépit des douleurs, celles passées, celles que j’ai actuellement et celles que vous me donnerez pour qu’il n'y ait pas de guerre civile. Mais quelle est ma faute si la guerre civile se déclare?

La Madone - Sois plus douce dans tes paroles, Marisella. Courage, courage. Merci, mes chers enfants, pour ce que vous faites avec amour, simplicité et sacrifice pour Marisa. Courage, Marisella, l'heure est proche. Combien de temps pourras-tu vivre encore?

Marisa - Vous vous moquez de moi avec cette histoire. Va auprès de Dieu et demande Lui de nous emporter tous au Paradis.

La Madone - Marisa, même ta maman ne m’a pas demandé ces choses.

Marisa - Mais je suis Marisa, et pas ma mère. Ecoute, petite Madone, j’ai invité aujourd'hui cette personne à venir manger avec nous, mais je l’ai regretté, parce que dès que tu lui demandes quelque chose, elle te répond par un mensonge. Que dois-je faire?

La Madone - Le Paradis est ouvert à tous, l’Enfer est ouvert à ceux qui n’aiment pas.

Silvi Marina (TE), le 12 juillet 2008 - 14h52 (Lettre de Dieu)

La Madone - Accepte la souffrance avec amour, ma fille, épouse bien-aimée de Jésus, tu m’aideras ainsi pour le voyage du St Père et de tous les jeunes qui iront en Australie, malheureusement seulement pour se divertir, parce qu’ils savent qu’ils ne paieront pas et pourront s’amuser pendant plusieurs jours. Quand nous faisions de longs voyages à pied ou à dos d'âne, nous n’avions rien. Mais quand les grands personnages de l’Eglise voyagent, ils ont tout à leur disposition: docteurs, spécialistes, journalistes et sont attendus par beaucoup de jeunes … Vous souvenez-vous quand à Tor Vergata (Rome) ils n'ont même pas fait de signe de croix et récité un Notre Père? Toi, Excellence, tu te contentes de voir des nuages en forme d’anges. Oui, tu en as vu beaucoup autour de Jésus, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, Grand-mère Iolanda et Marisella était là aussi. Tu regardais et cela t’enivrait; c'était Nous qui te protégions, nous étions près de toi. Cette fois-là, tu as fini par raconter ta vision: "J’ai vu des anges, il y avait des nuages en forme d’anges". C'était Nous du Paradis qui t’entourions. Les souffrances de votre sœur sont voulues par Dieu. Vous vous demandez: "Est-ce que Dieu a besoin d’elle?" Spirituellement parlant, non, humainement parlant, oui. Il a besoin de créatures terrestres qui l’aident, mais Marisella mise à part, il n'y en a pas d’autres. Elle souffre, se lamente, pleure, mais est heureuse de Nous offrir ses souffrances à Nous du Paradis ainsi qu'à ceux de la Terre. Combien d'homme se conduisent mal! Vous ne pouvez comprendre la haine qu’il y a dans le monde et comme les hommes se haïssent. C’est pour cette raison que votre sœur a voulu souffrir aujourd'hui la passion et que je l’ai soufferte moi aussi. Maintenant qu’elle est terminée, elle souffre de ses douleurs naturelles à l'estomac, aux jambes, aux bras, à la tête, aux yeux et à la bouche. Elle est heureuse de donner son aide, comme elle l’a donné à chacun de vous; vous devriez la remercier nuit et jour pour l’aide qu’elle vous a donné. Même si vous ne vous en êtes pas rendus compte, je vous dis qu’elle vous a tous aidés, elle ne s'est épargnée pour personne, elle vous a tous pris; il en manque un, mais nous le prendrons aussi.

Marisa - Il y a trois jeunes à caser. J’ai Paola, Giorgio et Marco; ils sont tous l’un plus dur que l’autre. Que devons-nous faire? Vois un peu ce que tu peux faire.

La Madone -Oui, mais je veux qu’ils prient pour toi tous les jours, pas seulement quand tu vas mal ou quand ils s'en souviennent; ils doivent réciter tous les jours une prière pour toi, tu le mérites, Marisella. Si Nous prions pour toi, ils peuvent eux aussi prier pour toi. Nous du Paradis, nous te remercions de ce que tu fais, souffres et offres. A qui offres-tu? En premier à Dieu, puis aux hommes que tu essaies par tous les moyens de conduire à Dieu. Merci. Marisella, récitons maintenant ensemble la prière de Jésus: Notre Père...

Marisa - Chère Madone, je voulais te demander quelque chose: que dois-je faire pour cette femme? Elle est méfiante, elle ne croit jamais à rien. Que devons-nous faire?

La Madone - Tu l’aimes, Marisella, je le sais; tu dis que tu ne l’aimes pas, mais tu l’aimes beaucoup. Tu es faite ainsi: tu dois dire ce que tu as dans le coeur, mais tu les aimes tous.

Marisa - C’est bon, mais tu ne m’as pas répondu; que dois-je faire? Tu le lui dis?

La Madone - Non, tu ne peux le dire qu'à l’Evêque.

Avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis maintenant ainsi que vos êtres chers et vos neveux, Iolanda, ses petits-enfants et son fils. Je vous serre tous sur mon cœur, quand je dis sur mon cœur, je vous serre vraiment sur mon coeur. Je vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu à tous. Le Paradis est immense! Adieu, c’est bon.

Silvi Marina (TE), le 15 juillet 2008 - à midi (Lettre de Dieu)

La Madone - Je sais que vous attendez fébrilement ma venue sur la Terre et me voici ici parmi vous; je suis seule pour l’instant, mais le Paradis viendra ensuite. J’aimerais reprendre le discours qui fera sans doute souffrir quelqu’un, mais ce que ces femmes ont fait est très grave.

Ce n'est pas seulement très grave du fait que plusieurs personnes auraient pu en mourir, mais grave aussi parce que la petite Mariselle, les époux et vous qui êtes leurs parents en auriez beaucoup souffert. Cela a été un moment dur, difficile; ceux qui restent souffrent toujours plus. Le Dieu tout puissant vous a tous sauvés, mais mes deux enfants ont énormément souffert et s'en ressentent encore. Que serait-il arrivé si notre Dieu Papa, comme l’appelle votre Evêque, n'était pas intervenu? Les responsables de tout ce qui est arrivé ne l’ont pas bien compris, n'ont pas compris la gravité de leur acte. Votre Evêque a eu la force et le courage de les appeler et de les confesser. Mais à quoi tout cela a-t-il servi? Avant de partir, votre Evêque avait tant prié et supplié les deux: "Je vous en prie, faites que tout aille bien, nous ne sommes pas nombreux et nous devons nous aimer" et avait répété la belle phrase de Jésus: "Apprenez à aimer et puis priez". Il est inutile de prier, d’entrer dans la pièce où se trouve Jésus Eucharistie, d’embrasser le sol et ne de pas aimer son prochain. Il est inutile d’aimer les animaux, de les embrasser, de leur donner à manger et de ne pas apporter à manger à son prochain. Je peux vous dire maintenant que votre Evêque a beaucoup jeûné, parce que par méchanceté on lui apportait chaque jour la même nourriture. Je vous le dis pour que vous puissiez comprendre que dans un moment d’abattement et de découragement, il pourrait élever la voix, même avec vous, non parce qu’il le veut, mais parce qu’il est fatigué et éprouvé en tout. Je répète les paroles de Dieu: "C’est sacro-saint, quand les souffrances viennent d’en haut, mais c’est très grave quand ce sont les hommes qui font volontairement souffrir. "

Ces personnes ont malgré tout eu l’audace de s’approcher de la Sainte Communion le jour même où tout ceci est arrivé. Une autre tragédie a eu lieu lundi après-midi: une personne a provoqué de nombreuses contusions sur le corps de votre sœur, contusions qui la font encore souffrir et lui ont enlevé leu peu de force qu’elle avait. Quand je vous ai dit que le monde n’allait pas bien, je ne me référais pas à ceux qui sont loin, mais à ceux qui sont proches. Les personnes qui sont proches d'un saint évêque n’aiment pas. Elles ont tout fait par méchanceté, pour faire souffrir, par jalousie envers votre sœur; elles en sont arrivées à regretter de ne pas être mal, parce qu’elles voulaient attirer sur elles l’attention de l’Evêque.

Ce qui s'est passé lundi et samedi est très grave, extrêmement grave et je crois que mes deux enfants en resteront marqués pour toujours. Dieu est intervenu pour sauver ce qui pouvait encore être sauvé et aujourd'hui vous êtes ici réunis pour prier avec moi. Oui, Mariselle, et la douce petite créature qui est encore dans le ventre de sa maman, souvenez-vous que vous êtes deux miracles vivants. Ce sont l’Evêque et la Voyante qui en font les frais, mais Dieu les aidera aussi.

Marisa - Ecoute, petite Madone, l’aide de Dieu serait-il que je ne m'en aille pas encore? Je n’arrive plus à cacher, dissimuler, sourire et faire comme si rien n'était, c’est plus fort que moi et je dois lutter chaque nuit pour une raison ou pour une autre. Je suis heureuse malgré tout, parce que sur dix jours, j’ai dormi cinq nuits, même si ce n'étaient pas des nuits complètes. Ce que je te demande, et tu le demanderas à Dieu, c’est d’aider l’Evêque. Il a besoin d’aide, de l’aide véritable de Dieu. Dépêchez-vous, dépêchez-vous, l'heure de mon départ semble s'éloigner, dépêchez-vous de venir me chercher, je vous en prie. Je veux m'en aller, je veux m'en aller, parce que je dois protéger l’Evêque, et ses jeunes, en particulier ceux qui l’aiment, ses neveux, petits-neveux, les petits enfants. Aide-nous tous, demande à Dieu qu’il se dépêche autant que possible, il ne peut pas m’amener au seuil de la mort et puis me faire ressusciter. Je ne veux pas ressusciter, je veux m'en aller, je veux rejoindre ma maman qui m’a dit que je serai plus belle qu’elle au Paradis, mais ce n'est pas vrai, parce que maman est trop belle, si belle, mais elle pleure souvent quand elle vient sur la Terre avec toi. Pourquoi doit-elle pleurer? Pourquoi doit-elle encore souffrir?

La Madone - Marisella, quand nous venons sur Terre, nous souffrons comme vous et plus que vous, mais quand nous retournons au Paradis, nous y trouvons joie, lumière, paix, chants et tant d’amour et de charité. Ceux qui sont encore dans le Paradis "rugueux", comme tu l’appelles, ne jouissent pas de la présence de Dieu. Il n'est pas facile de jouir de Dieu, si l’on n'est pas pur, saint, plein d’amour et de charité. Ton heure approche, ne vous faites pas de soucis à ce sujet. Quand elle viendra, ceux qui aiment vraiment l’Evêque devront être alors très proches de lui. Puis peu à peu, il s'élèvera à des hauteurs vertigineuses et devra trouver des êtres bons et saints qui l’aideront. Il devra nettoyer l’Eglise, parce qu’elle est sale comme le monde entier est sale et continue à courir à sa ruine et les hommes continuent à mourir de faim. Beaucoup de petits enfants meurent parce qu’ils n'ont rien à manger, pas de médicaments, n'ont rien; vous avez encore de la chance. Priez pour eux.

Marisa - Jésus, mon époux bien-aimé, comme je t’ai désiré dans les moments tristes, sombres, de grande souffrance pour moi et mes êtres chers. Tu es venu pour me dire...

Jésus - Courage, Marisella, Dieu les sauvera. Tu n’as plus de force, mais cela ne fait rien, d’autant que tu dois partir. Nous devons au contraire prier pour le saint Evêque, pour qu’il retrouve des forces; cela fait trois jours qu’il n’arrive plus non plus à marcher et qu’il dit la Messe assis. Un Evêque comme lui, plein d’amour, en est arrivé à dire la Messe assis, parce qu’il ne tient plus sur ses pieds, c’est très grave. Il mange peu et toujours la même chose, on lui a apporté du fromage quatre soirs de suite. Ceci est-il possible? On ne peut pas manger toujours la même chose. Sur le Jourdain, mes deux enfants ont mangé du poisson.

Marisa - Jésus, je ne sais pas si j’ai commis une faute, parce que je suis allée au restaurant commander le déjeuner, nous avons au moins mangé un peu mieux.

Jésus - Marisella, tu ne manges pas.

Marisa - Cela ne fait rien, je m'offre volontiers pour les autres, petits et grands. Reste avec nous aujourd'hui, Jésus, tiens-nous compagnie en ce jour aussi triste, aussi sombre, où nous fêtons trente sept années de longue souffrance, pas tant dans les premières années que dans les dernières. Aide l’Evêque, je t’en prie, aide l’Evêque, les mamans, les papas, les petits enfants, fais que j’arrive à me donner tout entière pour les autres, parce que je suis si fatiguée. Jésus, Tu es mon époux, mais parfois je ne sens pas que tu es près de moi. Ne ressens-tu pas le désir de m'emporter pour que je sois toujours avec Toi?

Jésus - Marisella, puis-je faire un compliment à Mariselle et Mariasole? Mariasole est très belle avec ses lunettes, sa montre et son petit téléphone, elle a l’air d'une doctoresse. Mariselle est aussi le soleil, elle sourit. Oh quel grand don vous avez reçu, mamans et papas!

Marisa - Ecoute… Tu nous aides?

Jésus - Nous en parlerons ensuite toi et Moi, Marisella.

Marisa - La maman de Mariselle a peur de mettre au monde un autre enfant et elle a raison après tout ce qui est arrivé, une autre jeune femme a peur également, parce que les docteurs sont plus peureux que les malades.

Marisa - Aide Luca qui est loin, aide nos neveux qui n'ont pu venir, mais c’est mieux qu’il n'y en ait qu’un peu à la fois. Aide ma soeur; maman l’appelait Annarella. Tu te souviens, maman, quand tu l’appelais Annarella?

Nous avons maintenant ici trois petits enfants: Mariasole, Mariselle et Gioele dans le ventre de sa maman. Merci, merci, merci de ce grand miracle que vous avez fait pour nous.

Jésus - Excellence, tu attendais peut-être quelque chose de plus grand, n'est-ce pas?

L’Evêque - Oui.

Jésus - Mais tu sais que ce n'est pas aujourd'hui le jour choisi par Dieu.

L’Evêque - Oui, je le sais.

Jésus - Essaie de me comprendre. Je dois maintenant penser à vous, spécialement à toi, Marisella.

Marisa - Marisella moi ou Marisella elle?

Jésus - Excellence, tu dois être calme, parce que Marisella te laissera, mais elle veut tout mettre en ordre avant, tu le sais.

L’Evêque - Merci.

Marisa - Maman, tu ne dis rien?

Grand-mère Iolanda - Si, je voulais saluer ma petite Selenia, Mariselle et Mariasole.

Je n’ai pas connu Mariasole, mais je l’ai vue dans le ventre de sa maman.

Marisa - Et puis il y a Gioele. Sa maman a dit que tu dois l’accompagner dans la salle d’accouchement.

Grand-mère Iolanda - Moi, en tant que Maman de vous tous, je vous adresse mes vœux, en particulier à l’Excellence et à toi, Marisella.

Marisa - Maman, sais-tu que je mets ta chemise de nuit pour dormir?

Grand-mère Iolanda - Je sais tout, Marisella, ce n'est pas nécessaire que tu te donnes la peine de me le rappeler.

Marisa - Aide nos neveux, petits-neveux et cette petite friponne. As-tu vu comme elle est belle?

Grand-mère Iolanda - Tous les petits enfants sont beaux. Courage, Excellence, je suis toujours près de toi, comme tu le sais.

Marisa - Adieu.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, les petits enfants au loin, les neveux au loin, tous ceux qui n'ont pu venir, du fait aussi que cette maison est petite, elle semble être une maison de poupées. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Silvi Marina (TE), le 16 juillet 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

Marisa - C’est toi qui es venu, Jésus?

Jésus - Certaines personnes autour de toi ne t’aiment pas.

Marisa - Comment? Je te recommande ceux qui sont présents, mes amis, mes neveux, tous les jeunes et les adultes de la communauté.

Jésus - Aide-moi à boire mon calice amer. J’ai soif, j’ai soif d'âmes. Aide-moi.

Marisa - Je t’aide, Jésus.

Jésus - Tu es mon Epouse bien-aimée. s’ils ne t’aiment pas, toi qu’ils voient, ils ne peuvent pas m’aimer, Moi qu’ils ne voient pas. Je ne suis pas aimé, beaucoup de personnes ne m’aiment pas. Tous doivent se convertir, même le Pape.

La mouette que vous avez vue voler était le Saint Esprit.

Marisella, nous attendons que tu viennes au Paradis.

Silvi Marina (TE), le 19 juillet 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

Marisa - Tu te fais entendre aussi des autres? Je souffre que les autres ne puissent pas t’entendre.

La Madone - Marisa, je fais toujours ce que Dieu me dit de faire.

Marisa - Donne leur une autre chance.

La Madone - Pourquoi devraient-ils avoir une autre chance et les autres non? Ils ont tant reçu. Ceux qui font la Communion en n'étant pas en état de grâce me font particulièrement souffrir. Ils sont dans l'erreur et continuent à l'être. Ecoutez ce que vous dit votre Evêque, il parle dans une bonne intention. Si Dieu n'était pas intervenu, l’Evêque aurait fini à l'hôpital et toi, Marisella, tu serais morte déshydratée. Il y a de l'envie, de la jalousie et de l'égoïsme. Vois-tu ce nuage? Dieu s'y trouve. Il peut apparaître sous n'importe quelle forme.

Dieu le Père - Je ne serais pas ici si nous ne vous aimions pas infiniment. Maintenant vient la question habituelle.

Marisa - Quand m'emporteras-Tu?

Dieu le Père - La dernière phase de ta vie devait être meilleure, mais à cause des nombreux péchés dans le monde, Dieu t’a demandé l’immolation. Le monde ne va pas bien, les hommes d’eglise et les politiciens ne se conduisent pas bien. Reste toujours une petite fille, Marisella, ne change jamais.

Marisa - Mais je suis vieille. On m’appelle Marisella, parfois, cela m'embarrasse, parfois, cela me fait plaisir.

Dieu le Père - Moi aussi je suis vieux, mais je suis toujours Dieu.

La Madone - Continuez maintenant à réciter le Saint Rosaire.

Silvi Marina (TE), le 20 juillet 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

La Madone - Aujourd'hui, ce n'est pas Dieu le Père, mais moi et le Saint Esprit.

Il est inutile de se fâcher avec ceux qui ne vivent pas en état de grâce. s’ils n'ont pas écouté Jésus qui leur a dit qu’ils seraient sauvés s’ils se convertissaient, comment peuvent-ils vous écouter? C’est un perpétuel enchevêtrement de mensonges. Aimez mes deux petits enfants, aidez-les.

Tu n'es pas bien aujourd'hui, Marisa, et tu en connais la raison. Toi, Marisella, tu plaisantes et fais des blagues pour remonter le moral de tes amis, mais tu n'es pas bien.

l’un court de ci de là pour manger et pense à un lit pour dormir. Au Paradis on ne dort ni ne mange. Comment ferez-vous, si vous venez au Paradis?

Silvi Marina, (TE), le 21 juillet 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

Marisa - Tu ne venais pas parce que nous devions terminer le rosaire?

La Madone - Non, ce n'est pas pour cette raison. Je souffre beaucoup de voir tant de jeunes qui ne vivent pas en état de grâce et se conduisent mal. Ils font du mal, se masturbent; toi, Marisella, tu ne sais pas ce que cela veut dire, bien que l’Evêque te l’ait expliqué, mais cela ne fait rien. Les péchés les plus graves sont ceux commis contre l’amour et la charité et ceux contre le sixième commandement. Ce sont des péchés graves et ils offensent Dieu.

Marisa - Je vois que tu souffres.

La Madone - Oui, je souffre beaucoup. Je suis venue te demander de souffrir pour les jeunes qui courent derrière ce Pape qui ne donne pas de bon exemple. Ces jeunes se rendent dans ces lieux de rencontre et pèchent.

Marisa - Oui, j’accepte, mais vous devez m’aider parce que je suis faible et petite.

La Madone - Priez pour ces jeunes qui sont très orgueilleux, eux aussi ont besoin de vos prières. Cela faisait longtemps que je voulais te demander de souffrir pour les jeunes.

Marisa - Tu sais que je dis toujours oui.

La Madone - Vous, les jeunes, restez toujours bons et charitables. Marco, écoute l’Evêque, ce qu’il te dit est pour ton bien, il t’aime beaucoup. Fais ce qu’il te dit sans te préoccuper s’il n'y a pas de réponse de l’autre côté, tu auras fait ton devoir. Sortez ce soir et en vous promenant écoutez ce que disent les gens, suivez leurs discours. Approchez-vous maintenant, je veux vous bénir ensemble avec l’Evêque. Je vous en prie, faites que lorsque je viens, il n'y ait personne qui ne soit pas état de grâce.

Silvi Marina (TE), le 23 juillet 2008 - 20h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pense à toi, Paoletta, tu dois penser à ta vie. Que veux-tu faire? Décide-toi, ma fille, décide-toi à faire ce pas qui te semble si difficile, mais qui est si beau; crois moi. Je te laisse choisir: ou tu fais ce pas ou tu viens avec moi; il vaudrait mieux que tu fasses ce pas, parce qu’on souffre avec moi. Seigneur, écoute ma voix; j’ai tant besoin de Toi, parce que je suis si faible et si malade. Si Tu le veux, Tu peux m’aider à tout supporter. J’ai dit oui et j’aiderai la petite Madone à sauver nos enfants, nos jeunes et tous les jeunes du monde entier. Jésus, mon bien-aimé, je m'offre à Toi, même si je suis faible et malade. Seigneur, j’ai dit à Paola ce qu’elle devait faire. Jésus, ai-je bien fait de lui donner ces conseils?

Jésus - Bien sûr, ma fille, quand tu donnes un conseil, il est toujours bon. Il ne reste à Paola, qu'à obéir à Jésus, à l’Evêque et à toi. Elle doit penser à elle. Répète-lui simplement ce que tu as dit.

Marisa - Chère Paoletta, il est temps que tu penses à toi. Les années passent, quand te décideras-tu à penser à toi? Obéis à l’Evêque, mets en pratique ses paroles qui sont toujours dictées par un grand amour, comme l’a fait Chiara, Oriana, Antonella, Giulia et d’autres. Elles ont toutes obéi à Dieu. Mais maintenant, Jésus, je Te demande: devons-nous faire une prière pour une bonne et sainte mort de Marisa? Parce que je suis si fatiguée et je fais se fatiguer aussi les autres. Je ne veux pas qu’ils se fatiguent ou soient mal à cause de moi. Excellence, disons-nous une prière pour une bonne mort de Marisella?

L’Evêque - Oh Seigneur, notre Dieu, Un et trois, Tu nous as permis de nous adresser à Toi en t’appelant des noms affectueux de Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami. Je m’incline et m’agenouille devant Toi et Te reconnais comme mon Dieu et Seigneur. Tu sais, qu’au cours de ces 37 ans que j’ai vécus jour après jour avec ma soeur, je l’ai toujours vue gémir sous les coups de la Passion et souffrir de la soif sur la Croix. Les jours où je l’ai vue gémir sont plus nombreux que ceux où je l’ai vue heureuse, mais même quand je la voyais sourire, je savais que son corps était martyrisé et son âme lacérée. Elle m’a demandé de prier pour avoir une sainte et bonne mort et je l’ai contentée, bien que je sache qu’elle l’aura certainement, parce que lorsque celle-ci viendra, elle sera assistée par les personnes les plus saintes du Paradis, la Madone, Saint Joseph et sa maman qui la conduiront au Paradis où Toi, Jésus, son époux, Tu l’accueilleras et la présenteras à tout le Paradis comme l'épouse la plus fidèle, celle qui t’a été la plus proche, qui a pris sur elle Tes souffrances et les a faites siennes. Le Paradis t’adressera, mon Dieu, des hymnes, des cantiques et des psaumes. Mais maintenant que sa vie semble approcher de sa fin, elle rencontre des souffrances permanentes et des douleurs horribles. J'étais présent lorsque la Madone lui a demandé de remplir la dernière mission que Tu veux qu’elle accomplisse: souffrir et s’immoler pour la conversion des jeunes, qui sont comme des brebis sans pasteurs; ou, s’ils ont des pasteurs, ce sont des mercenaires parce qu’ils n'enseignent pas Tes commandements, n'ont pas Ton amour dans le coeur, Ta grâce dans leur âme. Tu as choisi encore une fois un être humble et simple, condamné par le monde, exalté par le Ciel pour cette dernière mission. Si Tu le permets, mon Dieu, je m'engage moi-même ainsi que toute la communauté à partager les souffrances de Marisa et à la soutenir de nos prières, jeûnes, privations et pénitences, afin qu’elle puisse avoir, comme Tu l’avais décidé initialement, une fin plus sereine et plus tranquille. La voir souffrir comme ces derniers jours et surtout cette nuit m’a fait très mal, infiniment mal. Mon Dieu accorde-nous un peu de paix et de sérénité. Je dois Te remercier de tout l’aide que Tu nous as donné, pour les personnes que Tu as sauvées de la mort ou de l'hôpital; nous sommes moi et elle parmi les personnes sauvées. Je Te remercie, mon Dieu, parce que Tu lui permets de jouir de la mer, une mer chaude, réchauffée par Ton amour, dont nous nous réjouissons et dans laquelle nous nageons sereins et joyeux comme de petits enfants. Quand nous nageons, la Maman vient, l’Esprit Saint vient et Toi aussi, Dieu Papa Tu es venu: la Trinité est venue pour de petites créatures. Qui sommes nous par rapport au Dieu Tout-puissant? Tu as dit: "Je viens parce que je vous aime tant, mes enfants", et c’est sur Ton amour que je compte et Te dis: Mon Dieu, si c’est Ta volonté, allège ses souffrances et accepte l'engagement pris par ma communauté, afin de rendre à Marisa ces jours plus sereins et heureux. Elle m’a demandé de dire une prière afin d’avoir une bonne et sainte mort, mais Tu l’as déjà déclarée sainte, et si on est saint, la mort sera sainte. Je me permets de dire, ne la fais pas mourir maintenant, comme elle l’aimerait, parce que sa mort serait traumatique en ce moment, dans ces conditions, dans cette situation. Je sais que Tu écoutes mes pauvres paroles. Jésus, je sais que tu es près de Ton épouse. Esprit Saint je sais que tu aides celle à qui tu as donné tant de dons et de charismes. Mère de l’Eucharistie, tu as appuyé la tête de Marisa sur ton sein, comme tu l’as fait avec la tête de Jésus mort et descendu de la croix. Grand-mère Iolanda, notre maman de la Terre, toi qui as vécu avec nous les dernières années de ta vie que nous avons essayé de rendre, pour autant que possible, plus sereines, moins difficiles, moins dures, moins douloureuses, fais de même maintenant pour ta fille: toi, qui es si chère à Dieu, toi qui es si puissante auprès de Dieu, demande Lui, insiste auprès de Lui pour qu’il dise bientôt "cela suffit". Mon Dieu, rend l’ultime période de sa vie plus sereine et plus tranquille, parce que nous aimerions nous souvenir d’elle heureuse, sereine, pas brisée, dévastée par la souffrance qui a déjà donné lieu à tant de conversions. Une mission commencée il y a quelques jours, note sur Ton cahier la conversion de centaines de jeunes. Merci, mon Dieu, de m’avoir écouté. A Toi seul, honneur, gloire, Hosanna, Alléluia, pour tous les siècles des siècles. Amen.

Silvi Marina (TE), le 25 juillet 2008 - 2h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Vous m’avez prise au mot. J’ai dit oui pour aider les jeunes, j’ai demandé aux adultes et à nos jeunes de m’aider et quelqu’un a déjà répondu par l’affirmative. Mais mon oui n'était pas lié à la souffrance de l’Evêque, mais uniquement à la mienne, et pas d'une façon aussi atroce, mais calme. J'étais toute en feu, je ne peux pas le supporter de cette manière. C’est vrai que nous avons passé de bonnes journées et des moins bonnes et que ce n'est pas Jésus qui est responsable de la majeure partie de ces dernières, mais les hommes. Toi, petite Madone ainsi que Jésus, vous nous avez beaucoup aidés, mais j’ai énormément souffert ces derniers jours. Je ne retirerai jamais mon oui, mais essayez de le prendre avec bienveillance et douceur. Aidez-moi, parce que tout mon corps brûle et le pauvre Evêque souffre. Vous avez dit que nous irions mieux, qu’il serait bien, mais ce n'est pas parce qu’il va se promener le matin que vous avez tenu vos promesses. L’Evêque doit vivre plus tranquillement et ne pas souffrir autant quand je vais mal. Vous savez que je ne dirai jamais non à Dieu, même si parfois je me lamente, crie et dis même que mon Evêque est méchant parce qu’il ne m’a pas emmenée à l'hôpital.

La Madone - Mais l’Evêque a bien fait, Marisella, il ne devait pas t’emmener à l'hôpital.

Marisa - Je le sais, mais quand les douleurs sont très fortes, on ne comprend plus ce qu’on dit. Je te le répète, je ne retirerai jamais mon oui, mais vous devez nous aider, vous devez nous donner Votre aide, parce que nous le méritons. Cela fait très longtemps que vous nous faites souffrir. Que Ta volonté soit faite, mais aide-nous. Nous veillons jusqu'à quatre heures du matin, si je n’avais des douleurs aussi fortes, je le ferai plus volontiers pour ceux qui doivent se convertir. Mais si vous me faites veiller avec toutes ses douleurs, comment puis-je continuer. Je suis très fatiguée et l’Evêque est encore plus fatigué que moi parce que ces douloureuses situations le minent, il n’arrive plus à les supporter. C’est vrai que nous avons passé de bonnes journées et de bonnes nuits, mais c’est peu pour nous qui avons souffert pendant tant d’années.

L’Evêque - Trop d’années.

Marisa - Tu as entendu? Alors, est-ce que cela vous coûte beaucoup de nous faire aller un petit peu mieux? Si je suis un petit peu mieux, l’Evêque sera aussi mieux. Mais si je suis très mal, à qui m’adresser? Je suis forcée de faire appel à lui, je n’ai personne. Alors j’ai recours à vous et je vous dis: aidez-nous. Faites que tout ceci n’ait été que temporaire et qu'à partir d’aujourd'hui nous allions un petit peu mieux. Sois tranquille, je ne retirerai pas mon oui; me voici pour tous les jeunes du monde entier, je suis prête, mais pas à souffrir de façon aussi atroce et à sentir mon corps brûler. Je t’en prie, Sainte petite Madone, ne me fais pas toujours voir maman pleurer, aide-nous parce que nous en avons besoin (on récite un Notre Père, un Gloria et un Je vous salue Marie). Petite Madone, nous attendons anxieusement Ton aide. Si tu veux nous aider, un merci sortira du plus profond de notre coeur et je crois que nous le méritons. C’est à vous maintenant, je ne sais plus que dire et que faire. Si l’Evêque a quelque chose à vous dire, il parlera, je n’ai plus de mots.

La Madone - Veux-tu dire quelque chose, Excellence?

L’Evêque - Je suis assommé.

La Madone - Non, tu ne dois pas être assommé.

L’Evêque - Si, je suis assommé et n’ai rien d’autre à ajouter, parce que beaucoup d’amertume jaillerait de mon coeur. Est-il juste pour nous de dire que nous sommes dans l’amertume la plus totale?

La Madone - Oui.

L’Evêque - Et pourquoi continuez-vous à nous faire vivre ainsi? Vous ne m’avez pas même pas demandé mon avis, vous ne l’avez demandé qu'à elle. Où est ma part dans tout cela?

La Madone - Aide ta soeur, elle peut souffrir.

L’Evêque - Pas à ce point.

Marisa - Tu as entendu, pas à ce point.

La Madone - Quand ta soeur se lève, parce qu’elle ne peut pas dormir, laisse-la faire. Elle va peindre calmement et en silence et est heureuse ainsi. Quand le sommeil viendra, tu verras qu’elle dormira elle aussi. Ne te fais pas de soucis, si elle ne dort pas, nous l’aidons.

Marisa - Mais ce soir ce n'était pas seulement impossible de dormir, j'étais en feu.

La Madone - Et alors nous t’avons aidée.

Marisa - C’est douloureux de souffrir autant et si longtemps avant de recevoir de l’aide.

L’Evêque - Je vous avais demandé de ne plus assister à ces scènes horribles, de ne plus voir ces scènes douloureuses, parce qu’elles me détruisent. Permettez-moi de faire une comparaison: si tu étais à ma place et que Saint Joseph soit à la place de Marisa, comment aurais-tu réagi après tant d’années de souffrances, en tenant compte du fait que Marisa a souffert plus que Jésus.

La Madone - J’aurais réagi comme Marisella. Je n’accepte pas que tu doives souffrir pour elle, cela non. Mon fils, comment allons-nous sauver tous ces jeunes?

L’Evêque - De cette façon?

Marisa - Mais sans brûler. Quand je ne dors pas, je travaille et gagne même des sous, tu as vu! Je ris pour ne pas pleurer.

L’Evêque - Je désirerai un petit peu de paix, de sérénité.

La Madone - Tu as raison.

L’Evêque - Ce n'est pas vrai que nous avons eu des jours sereins.

La Madone - Si, vous avez eu des jours sereins.

L’Evêque - … Et des nuits horribles.

La Madone - Mes enfants, allez maintenant vous reposer, je veillerai sur votre sommeil.

Silvi Marina (TE), le 26 juillet 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

(Apparition au bord de la mer)

Marisa - Tu es venue? Je pensais que tu ne viendrais pas.

La Madone - Je viens seulement quand il y a des personnes en état de grâce.

Marisa - Aide-moi à aller un peu mieux. Maman!

Grand-mère Iolanda - Bonjour, ma fille. Nous ne voyons pas l'heure de ta venue au Paradis qui arrivera bientôt, mais tu sais que le bientôt de Dieu n'est pas celui des hommes.

Marisa - Je ne la vois pas non plus, mais je suis fatiguée d'être sur la Terre.

Grand-mère Iolanda - Je remercie l’Excellence de tout ce qu’il fait pour toi et je lui envoie un baiser. Je remercie aussi les jeunes qui viennent t’aider.

Marisa - Merci, maman, adieu.

La Madone - Merci, Excellence, pour tout ce que tu fais, tu es un homme fort. L’Evêque est plus fort que Saint Joseph, parce qu’il a affronté et affronte depuis longtemps des situations très difficiles. L’Evêque est saint, tu es sainte.

(Marisa prend les mains de Marco et Paola)

Ce que vous avez fait aujourd'hui était très bien. Il ne faut pas toujours attendre des paroles douces, il faut parfois aussi discuter, ceci signifie s’aimer. Soyez toujours sincères entre vous. Dieu a voulu votre union. Si vous vous disputez, n’aller pas dormir avant d’avoir fait la paix.

Marisa - Etait-ce le feu que j’ai ressenti l’autre nuit? Tout mon corps était en feu.

La Madone - Tu as ressenti la souffrance de brûler dans les flammes comme beaucoup de martyrs l’ont ressentie.

Marisa - Cela a été terrible, j’ai éprouvé une immense souffrance, je te prie de ne plus me la faire ressentir.

La Madone - Tu sentais le feu et Dieu t’a ainsi permis de sauver cinq cent jeunes, Cela en fait maintenant sept cent.

Marisa - Je t’en conjure, ne me donne plus ce genre de souffrances, c’est trop pour moi, je ne peux plus le supporter.

La Madone - Sois tranquille, tu n'en auras plus. Mais tu souffriras d'une autre façon, parce que c’est ta mission de souffrir.

Marisa - Et mes problèmes d'intestin?

La Madone - Il s’agissait d'une occlusion intestinale dont nous t’avons sauvé. Tu aurais pu mourir, mais ce n'était pas encore l'heure et Dieu le Père est intervenu.

Silvi Marina (TE), le 26 juillet 2008 - 20h18 (Entretien entre Jésus et Marisa)

Marisa - Quels beaux yeux tu as, Jésus.

Jésus - … Tu accomplis la mission la plus difficile.

Marisa - Pourquoi me les as-Tu toutes données?

Jésus - Parce que ton coeur est grand et que ceux qui ont un grand coeur sont prêts à tout.

Marisa - Je suis grosse.

Jésus - Dieu ne regarde pas si on est gros, il regarde dans les coeurs.

Marisa - Quand maman est venue aujourd'hui avec la Madone et qu’elle a parlé de l’Evêque, de l’Excellence, j’ai éprouvé une grande joie, parce que l’Evêque a voulu beaucoup de bien à maman, il l’a traitée comme une reine.

Jésus - Comme une maman.

Marisa - Oui, comme une maman. Jésus, cela me fait plaisir quand tu viens, je t’aime tant, mais je ne réussis pas à être bonne.

Jésus - Que t’a dit aujourd'hui la Maman du Ciel, la Mère de l’Eucharistie?

Marisa - Ta Maman!

Jésus - Qu’il ne faut pas dire que tu n'es pas bonne, tu ne dois pas le dire.

Marisa - Cela m'est venu spontanément.

Jésus - Et elle a ajouté: "Tu es sainte".

Marisa - Moi?

Jésus - Oui. As-tu envie de rire?

Marisa - Oui, j’ai envie de rire, parce que je suis si méchante!

Jésus - Si tout le monde était comme toi, il serait plus beau que le Paradis terrestre.

Marisa - Jésus… , je ne réussis pas à pardonner ces derniers temps.

Jésus - Le pardon vient du coeur. Beaucoup de gens qui sont l’objet d'offenses, de méchancetés, de calomnies disent, pour se faire bien voir des autres: "J’ai pardonné à celui qui m’a offensé", mais il n'y a ni pardon, ni amour dans leur coeur. Dans ton coeur au contraire, il a y amour et pardon.

Marisa - … Il y est, parce que je n’aime pas ne pas pardonner. Jésus, j’ai éprouvé aujourd'hui une grande joie et nous espérons qu’elle durera. Sais-tu ce que disait maman? "Sandura".

Jésus - Souviens-toi, que Dieu donne des grâces et que l'homme doit y répondre. Dieu ne se substitue ni à l'homme, ni à sa volonté. Dieu donne toutes les grâces, toutes les aides, puis dit: " Voilà, j’ai mis dans tes mains la force dont tu as besoin et si tu le veux, c’est à toi d’en faire usage, mais tu peux aussi la refuser", telles sont les paroles d'un grand théologien, Saint Augustin, dont l’Evêque a parlé quelques fois …

Marisa - Jésus, Tu as dit une fois qu’il n'y a pas de théologiens ou de mariologues qui parlent comme l’Excellence. Comme tu es beau, Jésus, te regarder m'ensorcelle.

Jésus - Tu es belle toi aussi.

Marisa - Non, je suis une femme de la Terre.

Jésus - Tu sais que tous ceux du Ciel, quand ils viennent rendre visite à un être de la Terre pour lui parler, lui donner des messages, lui confier des missions au nom de Dieu, voient son âme si elle est belle, parfumée de vertus, remplie d’amour, désireuse de s’immoler. Même si tu rouspètes parfois, Dieu ne s'en offense pas. Si tu savais combien de fois l’Evêque rouspète.

Marisa - Parce qu’il souffre trop. Jésus, Tu le sais.

Jésus - Je le sais, le sais.

Marisa - Lui et moi, nous en voyons de toutes les couleurs.

Jésus - C’est vrai.

Marisa - J’ai achevé une mission et tu m'en donnes une autre.

Jésus - Il n'y a malheureusement personne dans le monde qui veuille vivre l’immolation dans le secret. Ils veulent tous apparaître et parler à la télévision, que l’on parle d’eux dans les journaux. Quand ils lisent les journaux, qu’ils payent même souvent pour que les journalistes écrivent bien sur eux, ils se pavanent comme des paons. Leur responsabilité augmente devant Dieu, parce que si la sincérité fait défaut, l’amour manque aussi. Les êtres humains, même ceux qui vivent avec toi, n'ont pas compris l’importance, la nécessité d'être sincères, et continuent malheureusement à mentir.

Marisa - Je les ai aidés, que puis-je faire de plus?

Jésus - Je sais, même l’Evêque les a aidés et tu sais qu’il se fait du souci, quand il comprend que la sincérité fait défaut.

Marisa - Marisella aussi.

Jésus - Il devient dur et sévère en face du mensonge, mais il ne l’a jamais été autant que Jésus avec les apôtres et les autres.

Marisa - Tous les apôtres sont devenus saints.

Jésus - Un des douze m’a trahi.

Marisa - Tu ne dois donc pas te lamenter. Claudio dit souvent: "Je sens avoir échoué, je suis un raté ". Mais ce n'est pas vrai, l’Evêque n'est pas un raté, parce qu’il a fait tout ce qu’il a pu, si quelqu’un ensuite ne répond pas, tant pis pour lui.

Jésus - Te souviens-tu de la parabole de l’Enfant prodigue?

Marisa - Oui, c’est celle que je préfère. Le soir nous jouons à poser des questions sur l’Evangile. Quel désastre, Jésus!

Jésus - Si tu savais comme nous rions tous et nous réjouissons au Paradis, quand vous jouez à l’Evangile. Tu m’a vu, tu as vu la Madone, Saint Joseph, grand-mère Iolanda et beaucoup d’autres saints.

Marisa - … Et vous riiez, riiez, riiez.

Jésus - Parce que nous savons les questions que va poser ce finaud d’evêque, avant qu’il ne les dise.

Marisa - L’Evêque m’a dit que ma mémoire n'est plus ce qu’elle était, ma vue ne l'est plus non plus, ni mon ouie.

Jésus - Ta santé n'est plus ce qu’elle était avant. Sais-tu que ta santé a continué à se détériorer au cours de ces derniers vingt jours?

Marisa - Pourtant je me sens …

Jésus - Ne le dis pas, ce serait un mensonge.

Marisa - J’ai beaucoup de problèmes avec l'estomac, mais les douleurs dans les jambes disparaissent quand je vais dans l'eau.

Jésus - Combien de temps restes-tu dans l'eau?

Marisa - Près d'une heure, je n'en sortirais jamais.

Jésus - Combien d'heures y a-t-il dans un jour?

Marisa - Vingt quatre.

Jésus - Alors, tu es bien pendant une heure et tu souffres pendant vingt trois.

Marisa - C’est déjà beaucoup; ceux qui sont à l'hôpital ne sont même pas bien pendant une heure.

Jésus - Mais aucun des malades ne souffre autant que toi.

Marisa - Je le sais, pourquoi me fais-tu souffrir?

Jésus - Je te l’ai dit avant, il n'y a pas d’autres âmes qui m’aident à porter la croix. Il n'y en a pas, parce qu’elles veulent toutes se profiler. Sais-tu pourquoi il n'y a plus de voyants? Parce qu’ils veulent tous devenir des "Stars", ils prétendent tous que leurs apparitions sont les plus grandes et les plus importantes.

Marisa - Je ne suis pas ainsi, je ne veux pas être ainsi.

Jésus - Et ils ont commencé à dire mensonges sur mensonges: " La Madone m’a dit, la Madone m’a annoncé", et rien n'est vrai. Tu le sais.

Marisa - Oui, malheureusement.

Jésus - Te souviens-tu de ce qu’a dit l’Evêque? Quels sont les trois grands maux de l’Eglise?

Marisa - Les prêtres, les soeurs et les voyants.

Jésus - Il a raison.

Marisa - En fais-je partie?

Jésus - Non. Tous les prêtres ne sont pas des Judas, toutes les soeurs ne sont pas sacrilèges, et tous les voyants ne sont pas des traîtres et mercenaires. Tu sais qu’ils possèdent de riches comptes en banque, qu’ils se sont achetés des bijoux, des maisons confortables, des voitures, et même quand ils voyagent, parce qu’ils disent devoir apporter la bonne nouvelle, le message au monde, et ce n'est pas vrai, ils ont dans leur entourage, comme le Pape, même un docteur. Ce n'est pas ce que Dieu veut. Te souviens-tu de ce que la Madone a dit à Don Claudio: "Quand tu commenceras à voyager, tu devras d’abord te rendre dans les pays pauvres"?

Marisa - Oui, j’ai déjà commencé dans les pays pauvres.

Jésus - Oui, mais c’est une chose de le faire en bilocation et une autre de s'y rendre normalement.

Marisa - Mais on souffre également en bilocation.

Jésus - Oui, oui, c’est vrai. Où ont lieu les journées mondiales de la jeunesse? Dans les pays riches.

Marisa - Bien sûr, il y a davantage de place.

Jésus - Mais quand l’Evêque voyagera, il devra se rendre d’abord dans les pays pauvres.

Marisa - L’Evêque entend-il tout ce que Tu dis?

Jésus - Bien sûr. Ce n'est pas important qu’il y ait des tapis précieux, des fanfares, des ministres sur leur trente et un pour l’accueillir.

Marisa - Jésus, tu connais aussi l'expression "être sur son trente et un"?

Jésus - Bien sûr.

Marisa - Ecoute, Jésus, je te dis une dernière chose, parce que nous mangeons à huit heures et demie.

Jésus - Si tu regardes ta montre, tu verras que tu as dépassé l'heure.

Marisa - Jésus, nous aimerions acheter une maison à Frontignano, pour avoir un pied à terre auprès du lieu thaumaturgique …

Jésus - Et une maison du Mouvement qui devra conserver le souvenir de ce qui s'est passé dans cette région.

Marisa - Pouvons-nous le faire, Jésus?

Jésus - Tu me demandes de l’argent?

Marisa - Cela aussi. Jésus, j’ai pensé demander une offrande à tous les membres de la communauté, surtout aux jeunes, parce qu’ils gagnent plus que beaucoup de femmes.

Ils doivent tous participer, peut-être avec un euro. C’est peu un euro?

Jésus - Pas seulement ceux de Rome, mais ceux hors de Rome doivent également y participer.

Marisa - Bien sûr. C’est peu un euro? Alors disons dix euros.

Jésus - d’accord.

Marisa - Et ceux qui peuvent donner plus, donneront plus, ceux qui ne le peuvent pas, ne donneront rien. Je dois demander de l’argent à l’Evêque pour faire mon offrande.

Jésus - Je sais, je sais.

Marisa - Ce radin ne me donne pas une lire.

Jésus - L’Evêque est avare?

Marisa - Non, j’ai dit une bêtise, mais j’aimerais avoir quelques sous quand je sors.

Jésus - Mais tu les perds. Combien de fois ne t’a-t-il pas donné de l’argent et tu ne te souvenais plus où tu l’avais mis?

Marisa - Je n'en veux plus maintenant, puisque je suis en fauteuil roulant, qu’est-ce que je pourrais acheter?

Jésus - Mais quand tu allais bien, tu te souviens qu’il te donnait tout l’argent du ménage pour les dépenses?

Marisa - Et je le perdais, parce que je n'étais pas habituée à avoir de l’argent. Qui a jamais eu de l’argent? Je dois boire, Jésus, me permets-tu de boire? J’ai la bouche sèche.

Jésus - Bien sûr. Apportez-lui une tasse de thé.

Marisa - J’aimerais maintenant, Jésus, puisque nous devons manger, que Tu bénisses la nourriture. (Marisa appelle l’Evêque) Excellence! Où est-il parti ? Appelez l’Evêque et dites-lui que Jésus est là.

Jésus - Tu le verras après la bénédiction. Il reprendra sa place. n’as-tu pas encore compris que si l’un est là, l’autre est au Paradis?

Marisa - Jésus descend et Don Claudio monte.

Jésus - Exactement. Je vous bénis maintenant.

Silvi Marina (TE), le 29 juillet 2008 - 21h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - …Je remercie l’Evêque de sa générosité envers vous. Marisella, tu te laissais aller en silence, et ton époux m’a dit: "Maman, aide Marisella, je t’en prie" et même pour moi cela a été dur de t’aider. Vous ne devez pas la forcer à manger, elle ne peut pas manger beaucoup, son estomac est réduit à sa plus simple expression. Le cancer avance, progresse, ronge et continue à la ronger. Vous devez être plus sensibles, plus doux, plus compréhensifs à l'égard de votre soeur; Nous du Ciel nous l’aidons énormément. Je te remercie, cher Evêque, d’avoir dit que tu as senti notre aide pour Marisella et surtout pour toi, parce que tu as pu faire un mois de sport pour remettre ta jambe en état. Pour Marisella, le séjour à la mer a été plein de souffrances. Malheureusement, elle est encore appelée par Dieu pour d’autres missions, il y en a tant, mais quand elle quittera ce monde si corrompu, elle vous manquera beaucoup. Vous ressentirez beaucoup l’absence d'une personne, qui même dans la souffrance, fait rire, sait plaisanter pour remonter le moral des autres. Elle a beaucoup souffert ces derniers jours pour une personne qui ne le mérite pas, mais vous connaissez sa sensibilité, son amour pour tous. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous remercie. Priez et restez en contact avec Marisella, parce qu’elle vous amène en contact avec Jésus et moi. Courage. Merci, Marco, pour ce que tu fais pour mes enfants, merci à vous qui êtes ici avec Marisella.

Marisa - Ecoute, petite Madone, sais-tu que je m’appelle Alma?

La Madone - Oui, je le sais. Le nom d’alma te plaît? Veux-tu que je t’appelle Alma?

Marisa - Comme tu veux, d’accord.

L’Evêque - Pouvons-nous passer la nuit en prière pour Marisella?

La Madone - Pardonne-moi, Excellence, mais je ne suis pas d’accord sur ce point, parce que si tu t'écroules aussi, Marisella ne pourra pas t’aider.

L’Evêque - Je ferai deux heures et les autres deux heures aussi.

La Madone - Faites selon ce que vous vous sentez capables de faire.

L’Evêque - Merci.

La Madone - Je ne stopperai pas vos intentions, mais pensez-y bien.

Marisa - Comment fera Marco pour prier pendant deux heures s’il dort comme un loir.

La Madone - C’est bien, Marisella, tu fais de l'esprit, cela me plaît. Ma fille, ta souffrance est immense, tu le sais, j’ai également dit qu’elle est plus grande que celle de quelqu’un qui m'est très cher. Quand Marisella ne peut dormir, laissez-la aller peindre, laissez la faire quelque chose, parce que quand elle est dans son lit et ne dort pas, tant de pensées et de soucis lui viennent à l'esprit. Elle essaie de peindre jusqu'à deux, trois ou quatre heures, puis elle n'en peut plus et doit prendre des médicaments pour pouvoir dormir, c’est aussi pour cette raison que son estomac ne marche pas bien, parce qu’elle prend trop de médicaments. De toute façon, l’Evêque est aussi un bon docteur.

Adieu, mes chers enfants, j’envoie un baiser à chacun de vous. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos neveux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Adieu.

Marisa - Adieu, Maman, Maman, seras-tu près de moi? Tu n'es pas venue ce matin quand j’avais besoin de toi.

Grand-mère Iolanda - J’avais à faire avec Dieu, Marisella, ma fille adorée, courage.

Marisa - Salue mon époux. Adieu.

Grand-mère Iolanda - Adieu à tous.

Silvi Marina (TE), le 30 juillet 2008 - 19h50 (Lettre de Dieu)

(Apparition à la mer)

La Madone - Bonjour, Marie Alma.

Marisa - Tu sais ce que cela signifie?

La Madone - Bien sûr, Marisella, je sais tout.

Marisa - J’ai appris cette parole en jouant à l’Evangile.

La Madone - Priez beaucoup pour votre soeur, aidez-la.

Marisa - J’ai aujourd'hui un peu de problèmes à garder l'équilibre dans l'eau.

La Madone - Une personne qui souffre et doit mourir, rit, plaisante et remonte le moral des autres. Tu as bien fait rire tout le Paradis, ils rient encore maintenant de tes plaisanteries. On n’a jamais vu sur Terre une créature qui, malgré tous ses problèmes et toutes ses douleurs, fasse autant rire. Tout ce que tu as dit était bien, mais ne répète jamais ce mot.

Marisa - Je ne le dis jamais, c'était la première fois, mais j’avais une boule dans l'estomac et cela est sorti de mon coeur.

La Madone - Marisella, tu n'es jamais seule, tu as l’Evêque et Nous du Ciel. Priez pour Marisa, vous qui êtes près d’elle et qui la connaissez, afin qu’elle ait la force de faire jusqu'à la fin la volonté de Dieu.

Frontignano (MC), le 1er août 2008 - 23h27 (Lettre de Dieu)

(Marisa est mal)

Marisa - Petite Madone, si tu ne peux rien faire, aide-moi au moins à supporter cette grande douleur, je n'en peux plus. Cela fait tant d’années que je souffre et je n'y arrive plus maintenant, je n'en peux plus. Je t’en prie, fais quelque chose, aide-moi à supporter cette grande douleur. Je ne te dis pas de me l'enlever, mais de m’aider à la supporter. Aide-moi à supporter cette grande douleur, qui est immense, j’ai l’impression que tout ce qui est en moi explose, je n'en peux plus.

La Madone - Marisella, je sais que tu souffres énormément, mais tu as dit oui à Dieu et tu dois continuer à sauver les jeunes de ce monde.

Marisa - Oui, je suis d’accord, mais fais-moi ressentir moins de douleurs, je ne peux plus les supporter. Cela fait maintenant des années et des années que je souffre, je n'en peux plus, je me sens si épuisée, faites-le au moins pour mon frère l’Evêque.

La Madone - Marisella, je t’aiderai comme je le peux. Respire profondément, mais je ne peux pas t’enlever les douleurs.

L’Evêque - Au moins un petit peu, sainte Maman du Ciel.

Marisa - Fais-moi seulement aller un petit peu mieux.

L’Evêque - Si tu lui enlèves un petit peu de ses douleurs, je passerai toute la nuit en prière, mais ne me fais pas voir qu’elle souffre autant.

Marisa - As-tu entendu?

La Madone - C’est Dieu qui décide.

L’Evêque - Je me suis également adressé à Lui.

Marisa - J’ai dit oui, parce que je les aime tous, mais je ne pensais pas devoir souffrir encore autant. Je pensais que les derniers moments de ma vie seraient plus heureux, plus beaux avec les jeunes et mon Evêque, mon frère, mon père, tout. Tu nous détruit tous les deux, vous nous détruisez.

La Madone - Ne parle pas ainsi, Marisella, ce n'est pas ainsi, crois-moi. Chère Alma, Marie Alma, étoile du Ciel, créature du Ciel, perle de Dieu, ce n'est pas ainsi, mais quand on dit oui à Dieu...

Marisa - Alors je ne lui dirai plus oui, parce que je suis trop mal et je fais mal aussi à ceux qui sont près de moi. Faites-moi au moins aller un tout petit peu mieux, seulement un tout petit peu.

La Madone - Tu vas déjà un tout petit peu mieux, parce que tu ne sais pas ce qu’il y a.

L’Evêque - C’est la tumeur? C’est la tumeur?

Marisa - Je sens des fourmis partout. Pourquoi dois-je vivre ainsi? Ne pourrai-je jamais jouir de la vie? Pourquoi dois-je souffrir autant?

La Madone - Plus tu aimes et plus tu souffres, ma fille.

Marisa - Alors je veux aimer moins et je ne dis plus oui. Puis-je reprendre mon oui?

L’Evêque - Oui, tu peux le reprendre.

Marisa - Puis-je le reprendre?

La Madone - Marisella, dis-tu non à Dieu?

Marisa - Mais que dois-je faire?

La Madone - Marisella, ne te rends-tu pas compte que tu vas un petit peu mieux, même si la souffrance est forte et que tu as d’atroces douleurs.

L’Evêque - Me permets-tu de te dire deux mots? Comment pouvons-nous vivre ainsi?

La Madone - Comme vous l’avez fait jusqu'à présent. Dieu vous donne la force.

Marisa - Je ne la sens pas.

La Madone - Je dirai à Dieu que tu es prête à renoncer.

Marisa - Non, pas cela, mais fais-moi aller un petit peu mieux.

La Madone - Courage, Marisella, je suis près de toi, je suis à tes côtés, comme ton frère l’Evêque est à tes côtés.

Marisa - Mais il souffre, il va mal. Ne voyez-vous pas qu’il va mal? Même les jeunes qui m’aiment, vont mal.

La Madone - Oui, je sais. Courage, sois forte. Je te donne ma bénédiction avec l’Evêque: au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

L’Evêque - Ma Marisella, comment te sens-tu maintenant?

Marisa - Un petit peu mieux, un petit peu.

Frontignano (MC), le 1er août 2008 - 23h56 (Lettre de Dieu)

(Marisa est mal)

Dieu le Père - Marisella, penses-tu que je sois un Dieu méchant?

Marisa - Non, je ne l’ai jamais pensé, j’aimerais seulement aller un petit peu mieux. Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnée?

Dieu le Père - Ma fille, créature du Ciel, créature de Dieu, amour de Dieu, je ne t’ai pas abandonnée, je t’ai demandé de souffrir et tu as dit oui.

Marisa - Je ne pensais pas souffrir autant, parce que mon corps a été rongé par la souffrance.

Dieu le Père - Ma fille adorée, Je suis ton Dieu. Je demande, frappe à votre porte et accepte selon la réponse que l’on me donne, mais Je t’aiderai à aller mieux.

Marisa - Quand? Quand? Je me sens mourir. Maman, ne pleure pas, maman, je suis heureuse malgré tout, je n’ai seulement pas la force de supporter toutes ces souffrances. Ce sont d’abord les stigmates qui me font souffrir et puis j’ai beaucoup de douleurs naturelles. Tu les as eues toi aussi, ma petite Maman, parle avec Dieu. Dieu, mon Dieu! Je me sens abandonnée, mais je veux faire Ta volonté! Je suis une misérable créature terrestre, je suis une grande pécheresse.

Dieu le Père - Que dis-tu là, Marisella? Toi une grande pécheresse? Si tous les pécheurs faisaient comme toi, le Paradis serait plein, plein, plein.

Marisa - Quand je souffre autant, je me sens une grande pécheresse, parce que je dis: "Dieu me fait souffrir parce que je suis une grande pécheresse".

Dieu le Père - Ce n'est pas ainsi, tu n'es pas une grande pécheresse. Je serai près de toi, avec la Mère de l’Eucharistie, ta maman, et ton Epoux Jésus.

Marisa - Faites-moi aller un petit peu mieux, faites-le pour l’Excellence, faites-le pour les jeunes, faites-le pour Gioele, Mariselle, Adrian, Ismaele, Miriam, Mariasole, Sara, Emanuele, Samuele, Jacopo, faites-le pour eux, pour mes neveux. Je vous en prie, faites-le surtout pour l’Excellence. Il ne peut pas continuer à vivre et souffrir pour toujours.

Dieu le Père - Tu verras, Marisella, ton Dieu t’aidera.

Marisa - Quand? Quand? Dieu, tu ne nous fais même pas dire la Sainte Messe, est-ce que c’est de l’aide?

Dieu le Père - Tu souffrais tellement que j’ai préféré te faire évanouir, pour que tes douleurs se calment un peu.

Marisa - Mon Dieu, pardonne-moi, j’ai peut-être douté de Toi, de Ton amour, je ne sais pas. J’ai l’impression de les aimer tous et puis je me rends compte que je suis au contraire une pécheresse. Puis-je le demander à mon confesseur?

Dieu le Père - Oui, demande simplement.

Marisa - Suis-je une grande pécheresse?

L’Evêque - Non, tu ne l'es pas.

Marisa - Et que suis-je alors?

L’Evêque - Une âme qui s’immole jour et nuit, en permanence, dans la souffrance la plus totale. Ton corps est broyé par la souffrance, comme les grains de blé par la meule du moulin.

Marisa - Je t’emporterai aussi avec moi. Crois-moi. Je ne veux pas que tu souffres pour moi et je vois au contraire que tu souffres. Mon Dieu, me permets-tu de boire un peu d’eau? (Tous ensemble). Notre père... Mon Dieu, fais-le pour l’Excellence et fais-le pour mes enfants.

Dieu le Père - Vois-tu, Marisella, comme ton amour est grand? Tu te soucies toujours des autres, c’est beau, cela te rend riche en amour.

Marisa - Vraiment? Tu me feras aller un petit peu mieux?

Dieu le Père - Oui, mon ange, trésor de Dieu.

Marisa - Adieu, mon Dieu, adieu, merci. Adieu, ma petite maman, ne pleure pas, sinon je n’arriverai pas à tout supporter. Sois heureuse pour toi et pour moi et prie pour l’Excellence. Adieu, maman.

Frontignano (MC), le 3 août 2008 - 20h47 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est avec joie que je suis venue ici, dans ce lieu, où vous avez été effrayés par le démon en 97. Il a essayé de vous pousser pour vous faire tomber dans le précipice, mais je suis arrivée, puis Jésus, et tous les deux, nous vous avons sauvés. Le démon a essayé maintes fois de vous tuer, mais vous êtes encore ici, parce que je suis avec vous, Jésus est avec vous et Dieu est avec vous.

Marisa - Oh mon Dieu, merci d'être venu.

Dieu le Père - Je sais que tu souffres, Marisella, parce que les deux autres personnes ne sont pas présentes ici, mais Je ne peux pas envoyer Jésus Eucharistie et sa mère, votre mère, au milieu de personnes qui ne vivent pas comme il faut. Je veux que vous viviez dans la grâce, toujours, je vous veux simples, humbles comme le petit Gioele qui bouge dans le sein maternel. Je suis Dieu, Je commande, Je peux faire ce que Je veux.

Marisa - Fais-nous également trouver de la truite.

Dieu le Père - Je vous ferai également trouver de la truite. Cinq mille jeunes se sont convertis aujourd'hui grâce à la grande souffrance de votre soeur, mais ils doivent persévérer, ils ne peuvent pas se convertir et puis faire marche arrière. Vous savez qu’il y a des millions et des millions de jeunes qui doivent être convertis dans le monde. Quand nous envoyons la souffrance à votre soeur, c’est parce qu’elle a dit oui. Aidez-la à porter cette charge si lourde.

Marisa - Il est parti, je ne vois plus la lumière, je ne t’entends plus, mon Dieu.

La Madone - Marisella, c’est moi, la Maman, qui te remercie au nom du Paradis et remercie aussi tous ceux qui t’aident à porter ce fardeau, comme Dieu l’a dit. Priez et aimez-vous comme Jésus vous a tous aimés. Je me retire maintenant, parce que toi aussi, Marisella, tu dois rentrer à la maison pour ne pas tomber malade. Tu sens un petit vent frais envoyé par Dieu et tu vois des anges voler autour de moi. Courage à tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Courage. Marisella, rentre dans la voiture.

Marisa - C’est si beau de te voir. J’ai dit d’abord des paroles un peu fortes, mais quand il le faut, il le faut. Merci. Es-tu d’accord avec moi qu’ils ne doivent pas raconter chaque bêtise à l’Evêque?

La Madone - Certainement, mais rentre maintenant dans la voiture parce qu’il fait froid.

Frontignano (MC), le 4 août 2008 - 20h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’ai mal à l'estomac, la tumeur progresse et me ronge à l’intérieur.

La Madone - Mais je suis toujours avec vous. Les deux hommes ne doivent pas manger autant et les deux femmes doivent manger un petit peu plus, Paola en particulier, elle n’a pas mal à l'estomac.

Marisella, je suis venue te tenir compagnie et te montrer que je suis toujours près de toi.

Marisa - J’aimerais savoir quelles sont vos intentions pour cette nuit. Voulez-vous me faire passer une autre nuit blanche?

La Madone - Tu as dit que tu es prisonnière de Dieu.

Marisa - Et alors?

La Madone - Mange quelque chose maintenant, puis nous verrons. Bon appétit, mes enfants.

Tous - Merci.

La Madone - Tous mes voeux au nouveau couple. Conduisez-vous bien, aimez-vous bien et soyez sincères l’un envers l’autre. Dites-vous tout, ne vous cachez rien, comme l’ont toujours faits mes deux grands enfants.

Marisa - d’accord; j’essaierai de manger un peu.

Frontignano (MC), le 4 août 2008 - 21h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je voulais aller peindre pour ne pas créer de problèmes, mais je n’ai pas réussi à bouger, parce que j'étais trop mal. Est-ce que tu l’as vu? Je ne réussis pas toujours à cacher mes souffrances. Petite Madone, aide-nous tous les deux, aide tes enfants, fais que la si belle rencontre de ces deux jeunes se poursuive jusqu'à la fin de leur vie, pas comme la nôtre, parce que nous avons beaucoup souffert et continuons à souffrir. Je ne crois pas te demander beaucoup si je te demande de me faire dormir ou de ne pas avoir de douleurs en restant éveillée, pour que l’Excellence puisse dormir.

La Madone - Marisella, chère Marisella, ange de Dieu, perle de Dieu, créature du Ciel, nous devons tous faire la volonté de Dieu.

Marisa - Pardon, quelle serait la volonté de Dieu? Que je passe cette nuit comme la dernière?

La Madone - j’espère que non, je suis près de toi, mais Dieu aussi t’aime à la folie.

Marisa - s’il aime tous ceux qu’il aime, comme il m’aime, la folie est mienne, parce que je deviens folle.

La Madone - Courage, Marisella, courage, l'heure approche et tous se souviendront combien tu as souffert, réagi, souri et diverti les gens. Je ne suis pas surprise en fait par ce que tu me dis: c’est si bon de rire, de faire rire les autres, de leur remonter le moral et tu possèdes ce don. Tu es une personne si charmante. Les autres ont raison, Chiara en particulier quand elle dit: "Quand tu es abattue, c’est là où tu souris, que tu es la plus joyeuse et fais tout pour ne pas chuter".

Marisa - Oui, mais je n’ai fait que pleurer cette nuit.

La Madone - Oui, je sais. J'étais près de toi et je t’ai pris dans mes bras, mais tu n’as pas senti ma présence; cela m’a chagriné, parce que j'étais avec toi.

Marisa - Mais si tu es avec moi, pourquoi ne m’aides-tu pas?

La Madone - Vous avez eu de l’aide, croyez-moi mes enfants, ne dites plus que nous ne vous aidons pas, si ce n'était pas le cas, tu serais maintenant dans ton lit à te tourmenter et à te convulser sous des douleurs atroces jamais ressenties par un être sur la Terre. Courage et continuez. Vous deux, mes chers enfants, aimez vos parents, pas ceux qui vous ont donné le jour, mais ceux qui ont essayé de vous aider fortement. Ne les faites pas souffrir, vous au moins. Soyez bons, soyez capables d’aimer et d’aider. Merci au nom de tout le Paradis.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Que de lumière, mon Dieu.

La Madone - Oui, cette lumière s'en va maintenant, Marisella. Courage, rentrez à la maison.

L’Evêque et les jeunes présents - Adieu, adieu.

Marisa - Salue Maman.

La Madone - Voilà ta Maman.

Marisa - Bonjour, Maman. Pardonne-moi si je t’appelle de temps à autre et te fais encore souffrir, parce que je vois que tu pleures toujours quand tu viens et que je suis mal. Mais que puis-je faire?

Grand-mère Iolanda - Dieu, Jésus et la Mère de l’Eucharistie disent: "Reste une enfant, ma fille, ne grandis jamais".

Marisa - J’ai grandi en long et en large. d’accord. Adieu, Maman, adieu.

L’Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.

Grand-mère Iolanda - Donne un baiser à l’Excellence de ma part.

Marisa - Marco et Paola sont là, je ne sais pas si tu les as connus. Ils nous aiment.

Grand-mère Iolanda - Ils doivent vous aimer, parce que vous le méritez. Quand quelque chose ne va pas, l’Excellence doit reprendre tout le monde, sans faire de distinction d'âge.

Marisa - d’accord. Adieu, cela suffit. Bisous.

Frontignano (MC), le 5 août 2008 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - J’aimerais beaucoup que vous priiez pour Paul VI, c’est demain l’anniversaire de sa mort et de celle de grand-père Aladino. C’est également la fête de la Transfiguration. Réunissez-vous pour prier.

Quand vous désirez que je vienne, demandez-le, comme tu l’as fait, Paola, et je viendrai, parce que j’aime être avec vous, mais sans en profiter …, juste une fois.

L’Evêque - Par jour.

La Madone - Je vous laisse, mes chers enfants. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Frontignano (MC), le 6 août 2008 - minuit (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, tu n’as pas pu participer à beaucoup de rencontres bibliques et elles te manquent.

Marisa - Oui cela me manque, parce que c’est une chose d'être dans la chapelle, d'écouter et de comprendre ce que dit l’Evêque et une autre d'être dans sa chambre et d’entendre parler l’Evêque à la télévision, alors que les petits enfants jouent, crient et sautent sur mon lit. Dis à ton fils bien-aimé de nous poser des questions franches, sans pièges, parce que quelqu’un comme moi qui ne suit plus les rencontres bibliques depuis des années, tombe dans ces pièges. Je suis ignorante, je suis une voyante ignorante.

L’Evêque - Ce matin tu as très bien parlé à deux jeunes. Ils t’ont écoutée émerveillés, heureux, la bouche ouverte. J'écoutais derrière la porte et je n’ai pas bougé de peur que ma présence ne te paralyse.

Marisa - Mais c’est différent; j’ai raconté les expériences que j’ai vécues au Paradis. Le Paradis est maintenant ici avec moi, parce que je suis dans la grâce, parce que j’ai reçu Jésus Eucharistie. L’Evêque pose des questions à pièges, cela je ne l’avale pas, parce qu’il doit me poser des questions claires. N'est-ce pas, petite Madone, dis oui.

La Madone - Tu as raison, ma fille.

Marisa - L’Evêque me dit que je suis intelligente, mais je n'en ai pas l’impression.

La Madone - Marisella, Alma de mon coeur, tu offenses Dieu ainsi.

Marisa - J'offense Dieu maintenant. Mais que dois-je dire alors?

L’Evêque - Que tu n’as pas de mémoire.

Marisa - Je n’ai pas de mémoire. Si j’entends une chose aujourd'hui et qu’on me la répète le lendemain, j’ai du mal à m'en souvenir. Quand les autres répondent ensuite, je sens que je le savais, mais je ne m'en souvenais pas. Est-ce un péché?

La Madone - Mais que dis-tu là! Ecoute, Marisella je voulais te dire... (Silence)

Marisa - Vraiment? C’est ce que l’Evêque a dit sur la route! (Silence)

Oh, j’en suis heureuse, je le suis surtout pour l’Evêque.

La Madone - Votre amour est semblable au mien et à celui de Saint Joseph. Il suffit de vous regarder, quand vous essayez d’aider les gens. Qui peut comprendre la grandeur de votre amour?

Marisa - Je suis faite ainsi.

La Madone - Ange du Ciel, Trésor du Ciel, Victime d’amour, Trésor de Dieu. Oh si les autres voyants étaient comme toi!

Marisa - Puis-je le dire à l’Evêque?

La Madone - Oui, cette nuit.

Marisa - Attends! Il est minuit cinq.

La Madone - Nous n’avons pas de montre, il n'y a pas d'heure pour nous. Vous devez arriver à ce qu’il fasse toujours jour dans votre âme et votre coeur, qu’il y ait toujours la lumière.

Marisa - Puis-je te poser une question?

La Madone - Je sais déjà ce que tu veúx me demander, Marisella. Ceci est dans les plans de Dieu.

Marisa - Vous me faites faire dodo? Vous dites que je suis une enfant, alors faites-moi faire dodo pendant la nuit.

La Madone - Tout est dans les plans de Dieu. Tu connais ta mission, tu sais ce que Dieu attend de toi.

Marisa - Je ne le dis pas pour moi, mais faites-le pour l’Evêque. (Silence)

La Madone - Bon, je vous donne ma bénédiction, mes chers enfants, et comme vous le savez fort bien, je suis toujours près de vous et je vous serre tous sur mon coeur.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Salue ma maman.

Frontignano (MC), le 6 août 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

L’Evêque - Dieu, Un et Trois, Dieu Notre Papa, Dieu Notre Frère, Dieu Notre Ami, à Toi gloire et honneur dans les siècles des siècles.

Mon Dieu, moi, L’Evêque ordonné par Toi, je Te remercie, ainsi qu’au nom de ceux qui sont présents, d’avoir voulu que nous participions à un moment aussi beau, aussi grandiose et aussi solennel du Paradis: deux Papes, que Marisa et moi avons beaucoup aimés: Paul VI et Jean Paul Ier vont venir devant Toi, en Ta présence, y jouiront de la vision béatifique et seront enivrés de Ton amour.

Dieu le Père - Mon Fils, Je suis Dieu et aujourd'hui, en ce jour de Fête de la Transfiguration de mon Fils Jésus, les anges vont aller prendre ces deux saints papes et les conduire devant Moi.

Marisa - Mon Dieu, je suis émue …

Dieu le Père - Voilà le grand Paul VI et le grand Jean Paul Ier.

Du Paradis d’attente, les anges les conduisent devant Moi. Ils me voient maintenant, Je les ai rendu saints. Un homme au fond regarde les larmes aux yeux, tu sais que c’est aujourd'hui l’anniversaire du décès de ton papa …

Marisa - Comment décrire tout cela pour faire comprendre aux hommes ce qu’est le Paradis?

Dieu le Père - j’en ai décidé ainsi et il en est ainsi. Tous les hommes d’eglise, surtout ceux qui ont connu ces deux saints, doivent savoir qu’ils sont devant Moi et me voient, même si je suis un très pur Esprit.

Marisa - Mon Dieu, je ne Te vois pas, je t’entends seulement. Je vois Paul VI, Jean Paul Ier et beaucoup d’autres saints devant Toi. Mon Dieu, aide-nous à comprendre ces grandes choses, même si nous ne Te voyons pas. Tu fais des choses grandioses. Comme Ton amour est grand pour tous les hommes!

Dieu le Père - J’ai fait les hommes à mon image et ressemblance, malheureusement ils l’ont oublié, Alma Marie, tu le sais.

C’est aujourd'hui une grande fête, la Transfiguration de Mon Fils Jésus, mais c’est une chose encore plus grande d’avoir pris ces deux saints Papes et de les avoir amenés devant Moi. Jésus transfiguré est ici.

Marisa - Jésus!

Dieu le Père - Tu as bien dit, Marisella, ses vêtements resplendissent, ils sont d'une blancheur absolue. Tu les vois aussi blancs que la neige. Ne pense à rien d’autre, pense un petit peu à ta santé, pour encore un petit peu de temps.

Excellence, as-tu foi en Moi!

L’Evêque -Une très grande, mon Dieu.

Dieu le Père - Continue de l’avoir même après la mort de ta soeur, parce que tu auras beaucoup, beaucoup à faire pour l’Eglise, Malheureusement les hommes, quand je dis les hommes, j’entends aussi naturellement les femmes, n'ont pas encore compris l’amour de Dieu envers eux et ne changent pas, ne se convertissent pas. Je ne veux rien dire d’autre, sinon je ruinerai la fête.

Mes enfants, mes jeunes, aimez-vous comme Je vous aime et respectez-vous. Comme le dit votre Evêque, qui donne tant de beaux enseignements, il peut y avoir de petites disputes ou discussions, mais demandez-vous pardon, avant d’aller vous coucher, donnez-vous un baiser et recommencez; ceci est l’amour véritable et la charité véritable envers tous.

Je vous invite à aimer mes deux chers enfants.

Paul VI - Excellence, je suis Paul VI, Giovanni Battista Montini. Merci de l’amour que tu as montré à mon égard.

Jean Paul Ier - Tu l’as également montré envers moi. Je suis Jean Paul Ier, Albino Luciani.

Dieu le Père - Merci, Excellence, de l’amour que tu as envers les prêtres qui malheureusement ne t’ont pas respecté, mais Moi, Dieu, je te respecterai jusqu'à la fin! Quand tu viendras jouir ici avec Moi, tu seras le plus heureux de tous!

Courage, Marisella, ta tâche est dure, je le sais, elle est très dure! Ton corps est torturé, couvert de plaies visibles et invisibles et tu souffres aussi la passion, mais vois combien de personnes sont entrées au Paradis d’attente grâce à ton amour et à tes souffrances. Beaucoup de jeunes viendront ici vers Moi grâce à ton mérite. Courage, aimez-vous. Vous les jeunes présents et absents, aidez l’Evêque du plus que vous le pouvez, aidez Marisella, Alma Marie, à accepter et supporter toutes ses souffrances avec amour et courage.

Excellence!

L’Evêque - Me voici, mon Dieu.

Dieu le Père - m’aimes-tu plus que tous les hommes qui sont sur la Terre et surtout plus que ceux qui ont été appelés fils bien-aimés, mais n'ont pas répondu à l’appel? m’aimes-tu plus qu’eux?

L’Evêque - Mon Dieu, je te réponds comme Pierre a répondu à Jésus: "Seigneur, Tu sais que je t’aime".

Dieu le Père - Tu devras changer mon Eglise et ce sera très dur! Courage à tous. Participez maintenant à la Sainte Messe, fêtez la Transfiguration de Jésus Eucharistie, avec Paul VI, Jean Paul Ier et tous ceux qui sont dans le Paradis d’attente, y compris ton papa dont c’est aujourd'hui l’anniversaire de sa mort. Marisella, sois tranquille, jouis de tout ce que tu vois.

Marisa - Mais comment faire pour tout voir, j’ai de mauvais yeux.

Dieu le Père - Allons, ma petite, mon ange, créature du Ciel, Victime d’amour.

Jésus - Viens, viens, ma bien-aimée, vers Ton Epoux Jésus!

Dieu le Père - Ensemble avec l’Excellence, Paul VI, Jean Paul Ier et la Maman du Ciel, je bénis tous les hommes de la Terre. Lève-toi, Excellence et bénis avec ton Dieu.

Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Amen.

Marisa - Je ne sais qui embrasser. Adieu à tous!

Comme ce lieu est petit en comparaison du Paradis!

L’Evêque - Tu dois maintenant raconter ce que tu as vu.

Marisa - Quand le Paradis s'est ouvert, j’ai vu qu’il était énorme, immense, décoré de fleurs et de lumières de toutes les couleurs comme l’arc en ciel. Marie, la Mère de l’Eucharistie, entourée d'une foule d’anges, trônait au milieu de ceux qui se trouvaient dans le Paradis d’attente.

Paul VI, Jean Baptiste Montini, et Jean Paul Ier, Albino Luciani, étaient auprès d’elle. J’ai subitement entendu un grand coup de tonnerre, j’ai vu une lumière merveilleuse. Dieu était là, mais je ne le voyais pas, je voyais seulement quelque chose qui se déplaçait. On m’a dit que Dieu avait ouvert ses immenses bras blancs, je ne le voyais pas, ne l’oubliez pas.

J’ai vu les deux Papes s’avancer la tête baissée et les mains jointes. Ils avançaient lentement, lentement et arrivés devant Dieu se sont agenouillés. Tous les anges faisaient fête et chantaient: "Alléluia, alléluia, alléluia". Dieu parlait à ces deux grands Papes, tandis que les anges continuaient à tourbillonner et chanter, et malgré la puissance de leur chant, j’entendais la voix de Dieu. Entre eux et Dieu, il y avait Jésus dont j’ai vu la Transfiguration.

L’Evêque - Tu as vu Jésus monter au ciel.

Marisa - Jésus oui, mais pas Dieu.

L’Evêque - Tant que tu vivras sur Terre, tu ne pourras pas voir Dieu.

Marisa - Puis j’ai vu papa au fond, qui était dans le Paradis d’attente et pleurait.

L’Evêque - Son heure viendra de monter au Paradis de la Vision Béatifique.

Marisa - C’est aujourd'hui son anniversaire. C’est tout. Je me perds quand je dois raconter des évènements aussi grands!

L’Evêque - Ce que tu as dit est très clair.

Marisa - Je me perds, parce qu’il est difficile de tout décrire et de faire comprendre aux hommes, en particulier à ceux de l’Eglise, qui est Dieu, qui sont ceux dans le Paradis d’attente et ceux dans le Paradis de la Vision Béatifique.

Les hommes d’eglise n'ont rien compris au Paradis, ils pensent que Jésus est Miséricordieux, qu’ils peuvent faire maintenant ce qu’ils veulent, parce que Jésus sera finalement miséricordieux et les emportera au Paradis, mais ce n'est pas ainsi. Non, nous devons aimer et être bons jusqu'à la fin. Seuls ceux qui n'ont pas reçu ce que nous avons reçu, jouiront de la miséricorde de Dieu, mais pour ceux qui auront beaucoup reçu, il n'y aura pas de miséricorde, mais la justice de Dieu. Ceci est important. Il faut dire à tous que Dieu sera miséricordieux avec ceux qui n’auront pas reçu d’aide. Mais pour ceux qui auront reçu de l’aide, ce sera le jugement, la justice de Dieu et elle sera terrible.

L’Evêque - Nous sommes heureux de ce que nous avons entendu de Dieu, et même confus, parce que qui sommes-nous pour être témoins d'un évènement aussi grand célébré par tout le Paradis?

Marisa - Et qui sommes nous pour souffrir autant, alors que les autres jouissent?

L’Evêque - Oui, c’est vrai aussi. Mais nous devons avoir reconnaissance et gratitude envers Dieu de nous avoir fait participer à cet évènement grandiose. Tu l’as vu, nous avons, si l’on peut dire, assisté avec notre âme à cet évènement et j’aimerais le crier à toute l’Eglise; je le ferai certainement un jour.

Marisa - Les anges n’avaient pas d’ailes.

L’Evêque - Je sais, je sais

Marisa - Il y avait parmi eux, maman, grand-mère Speranza, tante Anna, Fatina, Stefanuccio et beaucoup d’autres petits enfants.

L’Evêque - Il y avait Nicolas, Simon Pietro.

Marisa - Paolo.

L’Evêque - Miriam et tant d’autres.

Marisa - Jeunes gens, essayons d'être bons avec tous et si quelqu’un nous fait souffrir, demandons-lui pourquoi il nous fait souffrir, pourquoi il agit ainsi, mais l’amour doit être donné à tous.

Respectez vos parents, mais les respecter ne veut pas dire que vous devez vous soumettre à leurs idées, si elles diffèrent des vôtres. Je respecte mes parents, mais ils doivent me respecter en tant que leur fils ou fille. Si ce respect n'existe pas, il est logique que moi, en tant que leur enfant, je m’abandonne à Dieu et que je fasse ce qu’il me demande. Je ne sais pas si je me suis bien expliquée.

L’Evêque - Message reçu.

Marisa - Je ne sais pas bien parler.

L’Evêque - Tu as été très claire. Ces expériences surnaturelles seront racontées, prêchées; nous seront prêts quand l'heure viendra, d’abord la tienne puis la mienne.

Marisa - Participons maintenant à la Sainte Messe.

Frontignano (MC), le 7 août 2008 - 22h53 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, tu dois penser que les jeunes t’aiment, en dépit de leurs défauts. Je t’en prie, mange ce que tu peux, parce que c’est difficile pour toi de manger, mais mange avec courage. Je suis avec toi.

Marisa - Je te remercie, petite Madone, j’ai besoin de ton aide, mais aide surtout Claudio, aide mon frère, cela fait trente sept ans qu’il se bat avec moi. Aide-le et fais qu’avec ma mort il puisse renaître comme le Christ.

La Madone - Cette parole "comme le Christ" m’a beaucoup plu. Je te bénis, ma fille et je bénis ceux qui sont avec toi. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu. Claudio.

L’Evêque - Oui? Dis-moi tout.

Frontignano (MC), le 8 août 2008 - 15h34 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Dieu a toujours existé depuis le commencement du monde.

L’Evêque - De toute éternité.

Dieu le Père - Veux-tu aussi corriger Dieu, par hasard?

L’Evêque - Non, par charité.

Dieu le Père - Alors sois bon. Excellence, je sais que tu es prêt, je sais que tu sais tout, mais laisse-moi parler. Ne veux-tu même pas me laisser parler? Veux-tu corriger les prières, l’offertoire, le C.I.C.? Tu dois avant tout corriger les âmes de la Terre qui ne comprennent rien.

L’Evêque - Comment faire, mon Dieu?

Dieu le Père - Est-ce difficile?

L’Evêque - Comment faire?

Dieu le Père - Souviens-toi que c’est difficile lorsque l’amour fait défaut et que l’orgueil prend le dessus. Quand l’orgueil domine, l’amour disparaît; tu dois le leur faire comprendre.

L’Evêque - Alors que dois-je faire?

Dieu le Père - Tous ne peuvent pas le comprendre, parce que tous n’aiment pas Dieu comme Dieu aime tous les hommes. Aimez-vous comme Je vous ai aimés et pardonnez à certains.

L’Evêque - Oui, mais une fois, deux fois, dix fois, vingt fois. Combien de fois?

Dieu le Père - Eh bien, jusqu'à cinquante fois.

L’Evêque - Où en suis-je arrivé, selon toi?

Dieu le Père - A trois cent.

L’Evêque - Alors j’ai dépassé les cinquante.

Dieu le Père - Oui, mais étant donné que tu as encore 41 années, tu peux même arriver à plus que … Sache que Dieu t’aime. Quand Marisella ou Alma Marie te demande de jouer à l’Evangile, tu dois le faire, parce que cela lui fait du bien. Elle n’a pas la même mémoire que toi; elle sait les choses, mais elle les oublie.

L’Evêque - Parce qu’elle est fatiguée et malade.

Dieu le Père - Parce qu’elle est fatiguée et malade. Ceux qui ne veulent pas le comprendre, cela ne fait rien, mais toi tu le sais.

L’Evêque - Ecoute, mon Dieu, puis-je Te poser une question?

Dieu le Père - Oui, avec douceur.

L’Evêque - Suis-je doux, mon Dieu?

Dieu le Père - Oui, comme le sucre que tu as trouvé aujourd'hui dans la sauce!

L’Evêque - Quand je dois défendre Marisa je deviens fort et dur.

Dieu le Père - Oui, et c’est juste, mais quand Marisella se tait et ne dit rien, tu dois aussi te taire, tu ne résoudrais rien ainsi.

L’Evêque - C’est triste.

Dieu le Père - C’est triste et cela fait souffrir.

L’Evêque - Beaucoup.

Dieu le Père - Alors abandonne. Lève les yeux vers le ciel et regarde moi. Tu ne vois rien, mais Je te vois. Et quand ta soeur ne réussit pas à dormir, ne l’oblige pas à rester au lit, parce qu’elle souffre encore plus. Toi, va te coucher, tu dois dormir. Tu vois qu’elle, même si elle n’a pas dormi ou peu, est prête à plaisanter, à rire, à jouer, tu ne dois pas te faire de soucis pour elle, Je suis là.

L’Evêque - Je le sais et j’en suis heureux, mais…

Dieu le Père - … C’est plus fort que toi de l’aider.

L’Evêque - Exactement, mon Dieu.

Dieu le Père - Je le comprends fort bien.

L’Evêque - C’est Toi qui m’a enseigné ce mode de vie.

Dieu le Père - Oui, garde le.

L’Evêque - Si je pouvais faire quelque chose, Tu sais que je le ferai très volontiers.

Dieu le Père - Oui, mais on ne peut pas faire quelque chose avec tous; le monde est ainsi malheureusement, la société est ainsi faite et les hommes sont ainsi. Pourquoi ai-je donné la mission à Marisella?

L’Evêque - A propos de mission…

Dieu le Père - Si tu savais comme elle est dure!

L’Evêque - Je dis à tous qu’elle est aussi difficile que de convertir les prêtres. Puis-je te poser une autre question?

Dieu le Père - Oui. Les questions que tu poses sont toutes rugueuses.

L’Evêque - A propos, est-ce beau de dire "Paradis d’attente"?

Dieu le Père - Oui, c’est très beau.

L’Evêque - Tu l’approuves, alors?

Dieu le Père - Bien sûr, merci d’avoir aidé ta soeur. Pour elle, enfant comme elle est, c’est plus beau de l’appeler le paradis rugueux, mais pour les hommes qui doivent comprendre., c’est plus beau de l’appeler comme tu le fais.

L’Evêque - Où en sommes-nous arrivés avec la conversion des jeunes?

Dieu le Père - Nous en sommes encore à 5000, trésor.

L’Evêque - Oh, mon Dieu.

Dieu le Père - … Trésor de Dieu. La mission n’avance pas.

L’Evêque - Avec toutes ses souffrances?

Dieu le Père - Et Marisella en a accepté, beaucoup, beaucoup, beaucoup.

L’Evêque - Nos prières y sont-elles aussi comprises?

Dieu le Père - Bien sûr.

L’Evêque - Nous sommes ainsi en retard.

Dieu le Père - Oui. Les prêtres convertis à l'époque sont devenus très peu.

L’Evêque - Mais comment l'expliquer, mon Dieu?

Dieu le Père - Cela s'explique parce qu’il n'y a pas d’amour en eux, ils ne croient pas en Dieu, ne croient pas à l’au delà. Parce que s’ils croyaient en Dieu, en toutes les lettres que Je vous ai envoyées, ils seraient déjà tous saints. Combien de lettres n’ai-je pas envoyées par l’intermédiaire de la Mère de l’Eucharistie, combien de corrections et de réprimandes n’ai-Je pas faites! Tu as vu que votre santé se rétablit.

L’Evêque - Oui.

Dieu le Père - Les créatures humaines sont ainsi. Ce n'est pas ce que Je voulais, Je voulais l'homme à mon image et ressemblance, mais l'homme a détruit ce que Je voulais.

L’Evêque - Et on ne peut rien faire d’autre?

Dieu le Père - Priez, priez, priez.

L’Evêque - As-tu vu, mon Dieu, comme c’est beau de prier quand nous sommes en voiture? La voiture devient une église ambulante.

Dieu le Père - Continuez à prier.

L’Evêque - Nous l’appelons adoration ambulante, nous le ferons aussi aujourd'hui.

Dieu le Père - Courage, mon fils, il est bon que Je retourne maintenant à ma place.

L’Evêque - Mon Dieu Papa. Je Te remercie d'être venu.

Dieu le Père - Je te remercie de ce que tu fais pour Marisella.

L’Evêque - Je le fais volontiers.

Dieu le Père - Je vous bénis, mes chers enfants, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Amen.

Frontignano (MC), le 8 août 2008 - 15h49 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Quand tu me verras, Excellence, tu comprendras qui je suis, ta soeur ne me voit pas non plus maintenant.

L’Evêque - Je sais.

Dieu le Père - Quand je lui parle, elle voir une fleur ou une étoile qui bouge.

L’Evêque - Mais elle…

Dieu le Père - Mais elle?

L’Evêque - Aura la joie de te voir avant moi.

Dieu le Père - Mais sa souffrance est aussi bien plus grande.

L’Evêque - Plus grande que la mienne, bien sûr.

Dieu le Père - Et elle a une tâche qui n'est pas facile.

L’Evêque - Oui, je le sais.

Dieu le Père - Elle détient divers secrets.

L’Evêque - Doivent-ils tous se réaliser?

Dieu le Père - Tes yeux sont magnifiques, Excellence, lumineux.

L’Evêque - Parce que je t’aime, mon Dieu.

Dieu le Père - j’en suis heureux, tu dois m’aimer.

L’Evêque - Si je ne t’aimais pas, je ne Te suivrais pas

Dieu le Père - Est-ce que tu pleures?

L’Evêque - Je suis ému, parce que parler à Dieu est un privilège que beaucoup n'ont pas. Merci, Dieu Papa.

Dieu le Père - Ne me fais pas descendre de nouveau l'escalier!

L’Evêque - Non, mon Dieu.

Marisa - Quand la Madone est-elle venue trois fois dans un court laps de temps?

L’Evêque - Quand nous étions en voiture, mais la Madone est une chose et Dieu une autre.

Frontignano (MC), le 9 août 2008 - 19h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Essayez d'être toujours avec les personnes qui vous aiment, et toi, Marisella, Alma Maria, Miriam, n’aie pas peur, cette maison est la tienne et celle de l’Evêque.

Je suis descendue du Ciel pour être avec vous, j’ai écouté la Sainte Messe auprès de l’Evêque et j’ai beaucoup prié.

Miriam, petite créature, grandis bien, grandis sainte, et toi, Marisella, Alma Maria, Miriam, pense combien de noms tu as, tu es toujours dans nos pensées. Nous réfléchissons comment t’appeler.

Je sais que tu souffres beaucoup, qu’il te reste peu de temps, d’après ce que Dieu a dit hier.

Ma fille, sois heureuse, abandonne ces personnes qui ne sont pas honnêtes.

Marisa - Petite Madone, je n'y parviens pas, c’est plus fort que moi.

La Madone - Vous croyez qu’elles ne mangent pas? Vous ne devez pas vous faire de soucis parce qu’elles mangent. Quand vous êtes sortis, elles mangent, se lavent et se reposent. Quand vous êtes à la maison, il semble que tout le travail pèse sur leurs épaules.

Vous qui venez de la mer, soyez heureux dans ces montagnes. Je me trouve ici et je suis descendue du ciel pour vous.

Viens, Miriam, je dois lui donner un baiser.

Marisa - Oui, mais elle est très timide. La petite Madone te donne un baiser, tu dois grandir bonne, bonne, bonne.

Miriam - Non.

Federica - Comment non, oui!

La Madone - Elle est encore petite. Ce baiser va à tous vos petits enfants: du petit Adrian au grand Jacopo. Marisella, quand tu récites les cinq chapelets le soir, nous nous unissons à toi et prions avec toi. Il était trois heures cette nuit et tu devais réciter encore les cinq chapelets; tu étais préoccupée et tu as commencé à les réciter, mais je t’ai retiré le chapelet, je les ai dits et tu t’es endormie.

Marisa - Ecoute, pourquoi ne le fais-tu pas tous les soirs? L’autre jour je suis allée me coucher à sept heures, je n’ai dormi que trois nuit pendant toute cette période.

Montre-nous que tu nous aimes.

La Madone - Comment ne puis-je vous aimer vous tous qui priez tant?

Miriam - Petite Madone!

Marisa - La voici…

Miriam - Petite Madone!

La Madone - Je vous aime. Quand votre soeur s'envolera vers le Ciel, vous pleurerez sûrement, mais vous devrez vous réjouir, parce que notre créature du Ciel, la Victime d’amour, la Perle de Dieu, l’amour de Dieu ira enfin jouir du Ciel. Excellence…

L’Evêque - Me voici.

La Madone - Je n’ai pas de mots pour te remercier de tout ce que tu as fait autrefois pour grand-mère Iolanda, puis pour Marisella. Ne t’attriste pas tant, oublie ces personnes. Sois supérieur, parce que tu leur es supérieur. Elles ne sont pas sincères, elles sont fausses. Nous les avons beaucoup aidées pour essayer de les faire bouger, mais comme tu le vois, nous n'y sommes également pas parvenus.

Miriam - La lumière!

La Madone - Oui, Miriam, il y a beaucoup de lumière, beaucoup, beaucoup de lumière! Courage, mes chers enfants, maintenant en rentrant à la maison, dites le Saint Rosaire à la façon de l’Evêque.

Marisa - Mais pas ses prières, parce qu’elles durent quarante cinq minutes. Il parle bien, tu le dis toujours. Chacun dira une petite pensée.

Pense qu’après chaque dizaine de Je vous salue Marie, il parle pendant quarante cinq minutes.

La Madone - Miriam, tu dois apporter un baiser à tous les petits enfants du camping. d’accord? Tu dois donner un baiser, envoyé par la petite Madone, à tous les petits enfants du camping.

Marisa - Comme tu es bonne! Tu montres vraiment que tu nous aimes.

La Madone - C’est surtout pour toi que Je suis venue, Marisella, parce que la souffrance te consume.

Marisa - Mais je ne maigris pas d'un gramme. Penses-tu que ce soit bien? Ils me voient tous grosse et disent: "Elle est bien, elle est belle, grosse, florissante!". Mais quelle floraison!

La Madone - Miriam, regarde moi, je suis ici. Vois-tu beaucoup de lumière, trésor?

Miriam - Lumière!

La Madone - Oui, beaucoup de lumière!

Marisa - Petite Madone, voit-elle beaucoup de lumière?

La Madone - Oui, Marisella.

Marisa - Alors elle te voit!

La Madone - Non, mais elle voit beaucoup de lumière.

Je vais maintenant vers le Père, comme tu le sais, et ta maman, sainte grand-mère Iolanda m’accompagne.

Marisa - Nous disons vénérable, parce que nous avons peur que les gens disent que nous sommes fous.

La Madone - Ils vous le diront de toute façon, donc ne vous en faites pas. Vous ne devez pas vous faire de soucis à ce sujet, ils ont pris Jésus pour un fou, et tu veux qu’ils ne vous prennent pas pour des fous?

Ensemble avec mon Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre très fort sur mon coeur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit qui est passé doucement au-dessus de vous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu. Il me semble que tu t’en vas à cheval.

La Madone - Non, Marisella, je suis à pied.

Marisa - Et je suis en fauteuil roulant.

La Madone - Tu vois, tu as plus de chance que moi.

Marisa - Oui, beaucoup. Adieu, maman.

Grand-mère Iolanda - Adieu, Excellence.

L’Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.

Frontignano (MC), le 10 août 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je t’en prie, oh sainte petite Madone, écoute les paroles de l’Evêque, écoute les paroles de ton fils, aide-nous à nous reposer, à aller un petit peu mieux. J’ai honte de le dire, mais j’ai besoin de ton aide.

La Madone - Marisella, Alma Maria, si tu savais combien je t’ai aidée cette nuit! Tout le Paradis était recueilli en prière pour toi, parce que ce n'était pas ton heure, mais tu étais sur le point de t’en aller. Dieu ne l’a pas voulu. Tu as beaucoup souffert, ma fille, mais tu sais comment est le monde. Tu l’as vu, tu as vu, tous les pays, toutes les villes, toutes les nations.

Tu as dit "oui", Marisella, ne l’oublie pas.

Marisa - J’ai dit "oui", mais je ne savais pas que la souffrance pouvait être aussi atroce. Je n'en peux plus; si tu veux me faire aller un petit peu mieux, fais-le pour ton Evêque.

Tu es toujours avec nous et tu nous aides. Je ne me sens pas capable de vous remercier parce que vous m’avez aidée à ne pas mourir. Je voulais mourir! Je m'en allais, pourquoi ne m’avez vous pas laissée partir? Je n'en peux plus, je n'en peux plus de vivre! Faites-moi reposer au moins un petit peu cette nuit, même un soubresaut, comme l’a dit l’Evêque, mais épargnez-moi ces grandes douleurs, elles sont trop fortes. Au lieu de désenfler, j’enfle de partout et je suis mal, parce que ce gonflement me gêne pour respirer. Est-ce que cela vous coûte tant de me faire aller un petit peu mieux?

La Madone - Non, Marisella, cela ne coûte rien, mais c’est la mission que tu as acceptée. Tu as parlé avec Dieu et tu l’as acceptée. Nous ne t’abandonnerons pas et t’aiderons, nous t’avons toujours aidée, ma fille.

Marisa - Chaque fois que tu viens, je vois maman pleurer. L’avez-vous emportée au Paradis pour la faire souffrir, pour lui faire voir combien sa fille souffre? Je ne veux pas voir ma maman pleurer, je veux la voir heureuse, ces derniers temps je la vois toujours pleurer.

La Madone - C’est vrai, tu as raison. Moi aussi je pleure, je pleure pour ce monde si corrompu, qui va à sa ruine, à sa destruction. Dieu t’a choisie, Héroïne de la souffrance, Perle de Dieu, Créature de Dieu, Victime d’amour de Dieu.

Courage, Giovanni, essaie d'être proche de mes deux enfants; aide-les comme tu peux, le plus que tu le peux. Sois leur ami, leur frère jusqu’au bout.

Marco a beaucoup aidé et beaucoup changé; Tous ceux qui côtoient mes enfants peuvent changer s’ils le veulent.

Marisa - Aide l’Evêque, je t’en prie.

La Madone - Oui. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis.

Marisa - Adieu. Maman, ne pleure pas, trésor. Claudio!

L’Evêque - Me voici.

Marisa - La Madone est venue.

Frontignano (MC), le 15 août 2008 - 12h00 (Lettre de Dieu)

Assomption de la Sainte Vierge Marie

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous savez qu’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous. C’est aujourd'hui la fête de l’assomption, mais c’est surtout la fête de la Mère de l’Eucharistie. Comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, on m’a donné beaucoup de noms, même étranges parfois, mais mon nom est celui de Mère de l’Eucharistie. Priez, priez pour la conversion des jeunes. Pensez, qu’après tant de souffrances de Marisella, nous en sommes encore à 5000. Quand les jeunes du monde entier se convertiront-ils?

Je suis avec vous, je vous ai énormément aidés, mes chers enfants, j’ai toujours été à vos côtés quand vous aviez besoin d’aide, dans les moments difficiles. Marisella mourra, j’espère bientôt, comme l’a dit Dieu le Père, mais vous devez continuer à l’aider de vos prières et de vos petites souffrances. Il faut penser aux autres, aimer les autres. Aimez-vous, comme je vous ai aimés. Vous ne devez pas vous inquiéter de faire à manger; cela peut être une chose très belle, mais n'exagérez pas. Nous mangions du poisson et de la salade et nous étions heureux. Aujourd'hui vous et tous ceux dans le monde se soucient de bien manger, mais qui a prié ce matin? Je veux que vos prières soient fortes pour la conversion des jeunes. Que ceux qui ont de petits enfants se souviennent qu’ils seront un jour des jeunes. Si le monde change maintenant, tout sera plus facile pour eux, mais s’il ne change pas maintenant, tout sera plus difficile pour eux. Je suis sur la Terre avec vous et porte des vêtements de fête, parce que Dieu le Père veut que pour la célébration des grandes fêtes, Nous du Paradis, nous soyons aussi en vêtements de fête.

Bravo, Ismaele Maria, bravo, trésor, prie toi aussi.

Votre soeur n'est vraiment pas bien, elle n’a pas fermé l’oeil de toute la nuit. J'étais avec elle, près d’elle, mais elle ne réussissait pas à dormir parce que ses douleurs étaient fortes, elles la rongeaient totalement de l’intérieur. Soyez patients si vous ne voyez pas Marisella aujourd'hui avec le sourire et la volonté de plaisanter, elle ne le peut pas, c’est plus fort qu’elle, mais vous devez sourire; n’attendez pas que ce soit toujours elle qui vous encourage à sourire et plaisanter. Chaque fois qu’elle plaisante, vous riez de joie; ceci est de l’amour, si elle le fait, faites-le vous aussi. Aimez-vous, mes chers enfants, aimez-vous. Si l’Evêque agit d'une certaine façon avec les gens, c’est moi derrière lui qui l’invite à agir ainsi, Jésus l’inspire à se conduire ainsi. Si vous êtes avec Dieu, continuez à aimer.

Assomption de Marie au Ciel avec son corps et son âme. Oui, mais je suis la Mère de l’Eucharistie.

Priez pour vos enfants et petits-enfants, il faut tant de prières.

Merci à tous et pardonnez-moi si je ne m’attarde pas plus longtemps, puisque la santé de Marisella laisse beaucoup à désirer.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, les petits enfants, Ismaele ici présent, ceux qui sont loin, qui sont seuls, abandonnés et jetés dans les poubelles. Je vous bénis tous. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Quand votre soeur partira pour le Paradis, beaucoup de choses changeront pour l’Evêque et pour vous.

Tous mes voeux.

Marisa - Adieu à tous.

La Madone - Va, Marisa, va où tu dois aller, va te reposer.

Marisa - Adieu.

Frontignano (MC), le 17 août 2008 - midi (Lettre de Dieu)

La Madone - As-tu fini de parler à Emanuele et Sara, Marisella?

Marisa - Oui. Tu nous as enseigné que nous ne devons pas nous interrompre quand nous parlons avec de petits enfants.

La Madone - Oui, mais ne vois-tu pas maintenant ceux du Ciel qui sont venus pour être près de toi et de vous tous? J’aimerais pour commencer remercier Emanuele et Sara qui sont ici présents: Emanuele fait l’assistant régisseur et Sara sourit de sa belle petite bouche.

Marisa - Elle a son doigt dans sa bouche.

La Madone -Elle ne le mettra plus, peu à peu.

Loué soit Jésus Christ.

Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence ici, dans les montagnes. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de fois Jésus, Moi et tous les saints, nous sommes venus parmi vous. Souvenez-vous quand le démon a essayé de vous jeter au bas de la montagne et que nous sommes intervenus pour vous sauver? Le démon a été si fourbe qu’il a fait sonner le téléphone et contraint Giovanni à s'éloigner de vous. Il en a profité pour essayer de vous jeter en bas, mais il n'y est pas parvenu; ceci doit vous faire comprendre que nous sommes toujours présents quand vous avez besoin d’aide. Je vous ai dit que Dieu appellera bientôt votre soeur, mais le "bientôt" de Dieu n'est bien sûr pas le vôtre, de toute façon une grande préparation est en cours et il y a beaucoup à faire pour l’accueillir au Paradis.

Le 14 septembre, le Pape Pie XII sera appelé devant Dieu et un autre Pape, Pie XI, entrera avec lui dans le Paradis de la Vision Béatifique. Vous devez prier pour Jean Paul II. Souvenez-vous, comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois que la charité et l’amour vous font jouir de Dieu. s’il n'y a pas d’amour, la halte dans le Paradis d’attente peut être d'un jour, d'un an, de dix ans ou plus. Apprenez donc à aimer comme je vous l’ai toujours dit. L’amour est la vertu qui demeure pour toute l'éternité.

Marisa - Quelle est cette lumière jaune que je vois? Petite Madone, c’est difficile d’aimer ceux qui font du mal et font volontairement souffrir. J’ai beaucoup de difficultés à ce sujet..

La Madone - Je sais, Marisella, que ce n'est pas facile, mais tu dois les aimer; si tu ne peux pas les aimer, prie, prie beaucoup pour leur conversion. Tous doivent se convertir. La conversion des jeunes est très lente: nous sommes arrivés à 7000 et c’est peu, très peu; combien de ces 7000 persévèreront jusqu'à la fin? C’est pourquoi je te dis, Emanuele, petit Emanuele, sois toujours bon. Tu dois aimer tes amis, mais surtout ton papa, ta maman, ta petite soeur et tes oncles et tantes; tu dois prier pour eux. Tu as maintenant appris le Notre Père et tu le dis bien, tu as appris la prière que l’on dit avant le repas, et tu la dis bien; Sara aussi prie bien et dit tout bien, mais elle suce son petit doigt …

Marisa - Est-ce vrai qu’elle perdra peu à peu cette mauvaise habitude?

La Madone - Oui, mais cela ne me préoccupe pas. Je désire que les petits enfants grandissent sains, forts, obéissants et pleins d’amour et de charité envers les autres. Leurs parents devront le leur enseigner lorsque l’Evêque ne sera plus ici et que la Voyante s'envolera vers le Paradis. J’attends des parents qu’ils apprennent à leurs enfants à aimer tous les hommes.

Je vous demande de faire trois jours de triduum pour la venue de Pie XII devant Dieu.

Marisella, Pie XII est ton Pape, celui avec lequel tu es allée préparer les morts devant être enterrés au cimetière du quartier San Lorenzo à Rome. Tu t’en souviens?

Marisa - Bien sûr que je m'en souviens. Ecoute, je voulais te dire une chose: tu m'envoies toujours ramasser les morts, tu m'envoies en Afrique où les petits enfants meurent et tu m’as envoyée en Yougoslavie où tant de petits enfants sont morts, envoie-moi aussi auprès de ceux qui sont vivants. Je ne vais plus en Géorgie?

La Madone - Non, trésor, tu n'iras plus en Géorgie, mais priez pour la Russie, la Géorgie et pour que les guerres finissent dans le monde. Ceux qui vont bien, continuent à se bien porter, alors que les pauvres sont toujours les perdants.

Marisa - Ecoute, je vais peut-être dire une bêtise, mais Dieu ne pourrait-il pas faire le tour de tous ces endroits?

La Madone - Marisella, calme-toi, Dieu est partout, il est donc aussi dans ces lieux et tu le sais.

Marisa - Je sais, mais je ne l’ai jamais vu.

La Madone - Je vous invite à prier pour tous, surtout pour votre Evêque, parce qu’il doit devenir … et changer l’Eglise. Sa tâche sera très difficile et il souffrira beaucoup. Beaucoup le critiqueront et le haïront, mais il doit sauver l’Eglise. Vous les jeunes, Yari et Laura, vous devez l’aider, même avec votre travail et la famille.

Marisa - Mais quand l’Evêque sera là-bas, comment pourront-ils l’aider? Sais-tu que je lui ai peint trois draps de lit pour un lit à la française (à une place et demie) quand il sera là-bas?

La Madone - O.K., Marisella, recueillons-nous maintenant en prière. Comme je vous l’ai enseigné, ouvrez les bras, levez les yeux vers le Ciel et dites: Notre Père…

Je veux envoyer ma bénédiction à tous ceux qui sont loin, parents et enfants. j’envoie un baiser à Emanuele et Sara, soyez bons, jouez, mais sans vous disputer et sans vous pousser.

Marisa - Tu vois tout.

La Madone - Giovanni et Iolanda, la petite Madone n’a pas de mots pour vous remercier de ce que vous faites pour mes enfants. Dieu vous bénit ainsi que vos êtres chers. Priez pour la conversion de vos enfants; même Marisella y coopérera.

Marisa - Mais sans souffrance.

La Madone - Avec mon saint Evêque, je vous bénis maintenant ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Excellence, j’ai vu tant de couleurs, beaucoup plus nombreuses et plus belles que celles de l’arc en ciel.

L’Evêque - C’est la lumière de Dieu.

Marisa - Oui, il y avait beaucoup de couleurs: jaune, vert, bleu pâle, rose et tant d’autres.

L’Evêque - Ce sont les mêmes que celles que nous avons vues ce jour là sur la route quand nous rentrions à Rome. Tu te souviens?

Emanuele - Ma tante, pourquoi la petite Madone a-t-elle dit que tu n'iras plus en Géorgie?

Marisa - Parce que je suis fatiguée et malade.

Emanuele - Pourquoi devais-tu y aller?

Marisa - Parce qu’il y a la guerre et que je dois aider les petits enfants. Tu comprends?

Emanuele - Pourquoi n'y vas-tu plus pour les aider?

L’Evêque - Parce que ta tante est très fatiguée de voir tant de choses horribles, des petits enfants et des personnes âgées blessées, des mamans qui pleurent, parce qu’elles n'ont rien à donner à leurs enfants. d’accord?

Frontignano (MC), le 20 août 2008 - 19h42 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci d'être venue en ce lieu si beau pour nous, pour moi en particulier, et si calme. C’est vrai que j’ai beaucoup de souffrances, je les accepte parfois et parfois je me rebelle, parce que je suis si fatiguée.

La Madone - Je sais, Marisella, tu ne dois pas te faire de soucis à ce sujet, n'importe qui à ta place ferait de même, je dois même te dire que tu es trop bonne à te battre avec certaines personnes.

Marisa - Ecoute, petite Madone, je veux me battre, mais je ne veux pas que d’autres souffrent pour moi. L’Excellence souffre, Iolanda souffre, Giovanni souffre. Les neveux et les jeunes souffrent, quand ils viennent. Pourquoi doivent-ils tous souffrir pour moi? Je suis d’accord pour qu’ils m’aiment, mais donne-moi la force d’accepter tout ce qu’ils font pour moi, me disent. Iolanda va maintenant s'en aller et que ferons-nous jusqu’au 7 septembre? Nous aideras-tu?

La Madone - Je ferai en sorte que vous ayez de l’argent pour aller manger au restaurant, vous n'êtes pas seuls, vous avez Giovanni et Iolanda qui peuvent vous aider, du reste si Iolanda est encore en vie, c’est grâce à toi, Marisella.

Marisa - Ne dis pas cela, ne le dis pas, je n'y suis pour rien.

La Madone - Si beaucoup de personnes sont encore en vie, c’est grâce à toi, Marisella. Si cette petite fille a été guérie par Dieu il y a trois ans dans le lieu thaumaturgique, c’est grâce à toi, Marisella. Elle a maintenant huit ans, c’est une belle enfant qui va toujours à l’Eglise et remercie toujours Dieu et Marisella.

Marisa - Je ne le savais pas.

La Madone -Tu ne dois pas te faire de soucis quand Iolanda partira parce qu’elle a son travail, vous ne resterez pas seuls et vous serez aidés de même. Si tu t’en souviens bien, Marco et Paola ont fait aussi leur part. Quand ils allaient faire les courses pour manger et payaient, je leur faisais trouver de l’argent dans leur bourse; ils ne le savaient pas et ils ne doivent pas le savoir pour le moment, parce que c’est mon aide silencieuse pour tous. Tu as tant donné, tu as donné toute ta vie pour les autres, pourquoi les autres ne devraient-ils pas faire quelque chose pour toi et l’Excellence?

Marisa - Pourquoi l’appelles-tu l’Excellence comme maman?

La Madone - Parce que nous préférons dire l’Excellence.

Beaucoup de personnes sont enterrées dans ce cimetière, c’est une façon de parler parce que c’est un petit village. Quand vous direz la Sainte Messe, priez aussi pour elles, afin qu’elles puissent monter au Paradis d’attente. N'oubliez pas de faire fête quand Pie XI et Pie XII monteront du Paradis d’attente au Paradis de la Vision Béatifique.

Marisa - Pourquoi devrons-nous les fêter aussi quand nous ferons la fête de la Sainte Croix? Jacopo fera aussi la fête; d’accord ce n'est pas la même chose, mais … d’accord, d’accord. ouvre ton grand et beau manteau maternel. Maman, tu ne dis rien?

Grand-mère Iolanda - Je veux moi aussi remercier Giovanni et Iolanda de ce qu’ils ont fait pour vous. Merci, mes enfants, Dieu vous bénit.

Marisa - Adieu, maman.

L’Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.

Grand-mère Iolanda - Je vous envoie un baiser à tous les quatre, et toi, ma fille, je te serre sur mon coeur. Je sais que tu souffres beaucoup, beaucoup, pas même l’Excellence est pleinement conscient de ce que tu souffres.

La Madone - Merci pour les prières, merci des cinq chapelets que tu dis, Marisella, merci du Saint Rosaire, de la Sainte Messe, merci à vous tous. Bon, mes enfants, dites votre Sainte Messe parce que vous devez aller manger.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Frontignano (MC), le 22 août 2008 - 23h06 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la fête de la Reine du Ciel et de la Terre; donnez-moi votre amour. Si les autres ne se conduisent pas bien, ce n'est pas à vous d'intervenir, mais aux prêtres de les reprendre. C’est aujourd'hui ma fête, Reine du Ciel et de la Terre, et aussi la tienne, Marisella, parce que nous nous préparons tous à te recevoir.

Je vous donne mon grand amour. Même quand vous êtes au restaurant, je suis toujours avec vous, mais votre soeur a honte de le dire, il n'y pas de honte à avoir, je peux moi aussi être parmi vous.

Priez, priez pour ceux qui ne savent pas aimer, qui ne connaissent pas la signification du mot amour et ne savent pas prier. Il sont bons seulement à remplir les tâches terrestres et humaines et se retirent à l'heure de la prière. Je suis toujours avec vous et je vous aide. Que dois-je vous dire de Marisella, d’alma Maria? Elle n'est pas bien du tout, elle est très mal, elle ne se repose la nuit que si je la tiens serrée dans mes bras; elle souffre beaucoup, elle a des douleurs atroces. Elle offre tout pour les jeunes, les prêtres, la conversion de tous les hommes; aidez-la et accompagnez-la toujours. Merci, merci de votre aide, Dieu vous bénit du haut des Cieux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella, je sais, il faut avoir beaucoup, beaucoup, beaucoup de courage. Comme Jésus a crié: "Mon Père, ne m’abandonne pas", toi aussi, tu as dit quelques fois: "Mon Père, ne m’abandonne pas". Dieu te donne la force de tout accepter. Adieu, Marisella.

Marisa - Adieu, salue ma maman.

La Madone - Rentrez à la maison, mes enfants, parce que vous êtes très fatigués, surtout celui qui conduit (Giovanni, NDLR.) et celui qui souffre avec Marisella (L’Evêque, NDLR.) et dort peu pour l’aider. Marisella souffre énormément pour tous. Continuez, courage, rentrez dans votre maison et si vous remarquez quelque chose, taisez-vous, taisez-vous je vous en prie, parce que la santé de Marisella s'en ressentirait.

L’Evêque - Merci d'être venue.

Marisa - Merci. C’est ici qu’a eu lieu ma première rencontre avec Don Claudio, j'étais là-bas et il arrivait entouré de beaucoup de jeunes.

L’Evêque - Oui, je m'en souviens fort bien.

Marisa - Tu te souviens, petite Madone, quand je lui ai dit, timidement, timidement: "Je suis Marisa" et qu’il m’a répondu: "Et alors? ". Il m’a dit une chose une fois et je lui ai répondu: " Et alors? ".

La Madone - Bravo, Marisella, tu t’en souviens? Sois heureuse et souriante, tu souris un peu moins en ce moment, tu souris par force, courage à tous les trois. Adieu.

Marisa - Adieu.

Frontignano (MC), le 24 août 2008 - 19h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est votre Maman qui vous parle. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien j’ai été près de vous aujourd'hui. Quand tu étais couchée, Marisella, et que tu t’es sentie mal, je t’ai dit: "Appelle l’Evêque", mais tu n’as pas voulu le faire afin de ne pas créer de problèmes. C’est beau, mais quant tu te sens mal, tu dois l’appeler, tu ne peux pas rester seule.

Marisa - Tu étais là.

La Madone - Oui, mais l’Evêque est toujours nécessaire. J’aimerais tant qu’en ces derniers jours que vous passez dans cette vallée, dans ces montages si belles, vous ayez du bon temps et puissiez sourire et vous réjouir un peu. Si ces personnes se conduisent mal, ne dites plus rien, laissez-les faire, tant pis pour elles, mais on sait maintenant où elles finiront.

Marisa - Ma santé empire toujours plus, jusqu'à ce que ce soit la fin, puis moi aussi je rejoindrai le Père Céleste qui est dans les cieux.

La Madone - Oui, Marisella, toi aussi tu le rejoindras, parce qu’il n'y a pas même parmi les saints, d'âme aussi belle, aussi candide, aussi pure, aussi pleine d’amour et de charité; tu t’envoleras bientôt vers le Père.

Marisa - Et l’Evêque?

La Madone - Il a sa tâche à accomplir, tu as la tienne, pense une fois à toi.

Marisa - C’est parce que je l’aime.

La Madone - Priez, mes enfants, ne vous lassez jamais de prier, faites quelques prières, même des petites, mais priez; après avoir mangé, on peut aussi prier et remercier Dieu. Je te laisse, Marisella, je viendrai te voir ce soir.

Cher Evêque ordonné par Dieu, Dieu t’a fait un grand don, mais les hommes n'ont pas voulu l’accepter. Pourquoi ne l’ont-ils pas accepté? Uniquement par envie et jalousie, parce qu’ils savent pertinemment bien que Dieu peut faire ce qu’il veut. Soyez donc patients et continuez avec amour et charité.

Je vous bénis, mes chers enfants, en vous serrant fortement sur mon coeur.

Marisa - Petite Madone, je suis très fatiguée.

La Madone - Va, va tranquillement, ma fille.

Marisa - Adieu.

Frontignano (MC), le 31 août 2008 - 12h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Merci, Mariasole, d'être venue devant moi. Sois une brave petite fille. Je t’aime tant, tu es un don de Dieu.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui le dernier dimanche du mois d’août. Les conversions des jeunes se font lentement, elles sont toujours de dix mille. Ils ne sont pas coupables d'être loin de Dieu, la faute, je n’aime pas le dire, en revient aux prêtres et aux parents. Ils n'ont pas su éduqué les jeunes, en particulier ceux qui font partie de la Congrégation Salésienne. Ils pensent seulement à attirer les jeunes avec des distractions et les poussent à devenir prêtres, mais ce n'est pas la bonne méthode. Combien de fois Jésus n’a-t-il pas dit: "Peu de prêtres, mais saints"! Ce n'est pas facile, en particulier dans le monde où vous vivez actuellement, d'êtres de bons chrétiens. Vous ne vous en rendez pas compte non plus, parce que vous vivez dans la grâce, vous êtes sereins, mais Nous du Ciel nous voyons tant de choses horribles et cela afflige le coeur de mon Fils Jésus. Je vous demande des prières, des prières et encore des prières. Comment puis-je emmener Marisella, avec moi au Paradis, quand le monde court à sa ruine? Quand personne n’a accepté la mission de souffrir? Mais l'heure viendra également pour elle et vous continuerez à prier pour ces personnes. Aimez-vous toujours, aimez les petits enfants et les petits enfants doivent aimer leurs parents. N'est-ce pas Mariasole?

Mariasole - Oui.

La Madone - Mariasole est une petite fille très bonne et un miracle vivant.

Marisa - Merci, petite Madone, nous attendons un autre miracle, essaie de nous aider, nous avons tous besoin de ton aide. Fais que ces époux soient heureux et accordent leur ce qu’ils désirent. Demande-le à Dieu le Père, demande-le-lui doucement, peu à peu, sinon il pourrait …

La Madone - Non, Marisella, Dieu le Père n'est nullement irrité par ce genre de choses. Il est toujours affable, toujours doux, toujours bon, je dirai même plus: quand il a pu plaisanter avec vous, il l’a fait de tout son coeur et j’en ai été témoin. Allez en paix, mes chers enfants, donnez la paix à vos neveux, vos cousins, à tous les enfants que vous connaissez, à vos oncles et tantes et aimez-vous. Mariasole, quand tu retourneras au camping, donne un baiser à tes cousins et dis leur: c’est la petite Madone qui vous l'envoie. d’accord?

Mariasole - Oui.

La Madone - Merci, mes chers enfants, ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Frontignano (MC), le 4 septembre 2008 - 23h20 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Je suis content qu’en dépit de ta grave maladie, tu réussisses à sourire et faire rire; cela me plaît. Mais ne riez pas de la façon dont on Me représente sur les images saintes, parce que j’ai envie de pleurer quand je les vois.

Marisa - Ils te représentent comme ils pensent que Tu es.

Dieu le Père - Et toi comment penses-tu que je sois?

Marisa - Beau, rayonnant, lumineux comme cette étoile d'où viennent Tes paroles, mais je ne Te vois pas.

Dieu le Père - Moi, Dieu le Père, je remercie Jacopo pour le soin qu’il met à suivre ce que dit l’Evêque et le petit Samuele, parce qu’il réussit à se souvenir de ce qu’il entend de l’Evêque. Les grands sont oublieux. Je suis grand mais je ne suis pas oublieux.

Marisa - Attends une seconde, Toi, Dieu, peux-Tu être oublieux?

Dieu le Père - Je ne suis pas oublieux, je suis Dieu, je suis Celui qui vous aime et vous a donné Son Fils Jésus pour vous rouvrir le Paradis. Excellence, le 14, pour la fête de la Sainte Croix, deux Papes et un laïc monteront au Paradis où ils Me verront. Puis d’autres laïcs viendront devant Moi et quand ils Me verront, ils resteront émerveillés et feront une comparaison avec les images pieuses comme tu l’as fait. Je sais que tu es très mal, Marisella, nous t’aidons, mais tes douleurs sont fortes, terribles. Tu sens quelque chose qui te ronge et te mange de l’intérieur et malgré tout, tu parviens à sourire, à faire rire et tu t’efforces de manger un peu. Les globules rouges ont augmenté un petit peu et les blancs sont élevés. Les douleurs sont fortes, mais qui peut comprendre ce que tu souffres, petite créature, amour de Dieu? De même qui peut comprendre qui Je suis? Ils ne me connaissent pas et profitent de Moi à cause de cela. Les hommes ne te connaissent pas, ne connaissent pas ton état, parce que tu parviens à cacher, dissimuler ta souffrance et tes pleurs, c’est juste qu’il en soit ainsi. Malgré tout, la plupart du temps, en particulier quand des personnes sont présentes, tu parviens à rire, à sourire et à faire rire. Continue cette grande et dure mission que tu fais avancer depuis des années.

Marisa - Ecoute, mon Dieu, même si je ne Te vois pas, puis-je Te demander de me faire voir Gioele?

Dieu le Père - Mais tu l’as déjà vu.

Marisa - Et puis-je te demander d’aider la maman à être forte pour l’accouchement?

Dieu le Père - Elle sera forte, parce que grand-mère Iolanda y sera et toi aussi, Marisella, tu y seras. Tu dois aussi être forte, parce que ton mal empire rapidement.

Marisa - Quand m'emporteras-Tu? Quand me feras-Tu mourir?

Dieu le Père - Bientôt.

Marisa - Tu dis toujours bientôt, le temps passe malgré tout et je ne sais pas si j’arriverai encore à continuer.

Dieu le Père - Tu as deux beaux coeurs sur ton coeur.

Marisa - Coeurs? Ah oui, ce bijou?

Dieu le Père - Il n'y a pas ce genre de choses au Paradis.

Marisa - Cela ne m’intéresse pas, il me suffit que l’on m'emporte au Paradis. Est-ce que j’irai directement dans le Paradis de la Vision Béatifique ou dans le Paradis d’attente?

Dieu le Père - Comment peux-tu dire cela, ma fille. Tu viendras directement devant Moi, avec le vêtement que tu sais. Je vous remercie, vous qui êtes ici présents d'être venus tenir compagnie à ces deux enfants. Vous devrez aider l’Evêque, parce que ce qu’il devra faire après la mort de Marisella sera très dur pour lui; il devra se battre avec ces personnes que vous connaissez bien et ce ne sera pas facile (Les ennemis de Dieu, NDRL.).

Marisa - Mais Tu l’aideras.

Dieu le Père - Oui, pour ce que je dois faire. Je ne peux pas faire tout, je ne dois pas faire tout, l'homme doit essayer de faire tout seul, prier et avoir des âmes qui prient pour lui.

Marisa - Lui enverras-Tu grand-mère Iolanda pour faire la cuisine?

Dieu le Père - Non, trésor de Dieu. Grand-mère Iolanda ne peut pas venir faire la cuisine pour l’Evêque.

Marisa - Alors pourquoi ne fais-tu pas que mes jambes aillent mieux, afin que je puisse aller faire à manger à l’Evêque, parce qu’ils ne nous respectent pas, nous traitent comme tu sais. La petite Madone a dit une fois que nous sommes les serviteurs et eux les patrons.

Dieu le Père - Ne te fais pas de soucis maintenant, continue à penser à donner les réponses sur le Saint Evangile. Merci, Excellence, de la peine que tu te donnes chaque soir avec mes enfants. Je sais que c’est fatigant, surtout quand Marisella ne se souvient plus de ce que tu as dit.

Marisa - J’ai une mauvaise mémoire, ne peux-tu pas m'en donner un peu plus?

Dieu le Père - En attendant, je vous donne maintenant ma bénédiction, ensemble avec le saint Evêque. (Dieu le Père donne sa bénédiction avec l’Evêque).

Marisa - Puis-je dire adieu, mon Dieu?

Dieu le Père - Bien sûr.

Marisa - Adieu

Dieu le Père - Adieu, Créature du Ciel, Victime de l’Eucharistie, Amour de Dieu, Trésor de Dieu.

Marisa - Adieu. N'oublie pas de m'emporter, merci.