Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Texte de l'adoration Eucharistique du 14 septembre 2013

Fête de l'Exaltation de la Croix
XVIII Anniversaire du Premier Miracle Eucharistique (1995)
XIV Anniversaire du début officiel du ministère épiscopal de S.E. Mgr. Claudio Gatti (1999)
XIII Anniversaire de la signature du décret reconnaissant les apparitions de la Mère de l'Eucharistie à la voyante Marisa Rossi, les miracles eucharistiques et les théophanies trinitaires intervenus dans le lieu thaumaturgique (2000)

PREMIER MOMENT DE RÉFLEXION

Jésus et la puissance de la croix

Extrait de l'Evangile selon St. Jean 12, 24-32 : "En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de froment qui tombe en terre ne meurt pas, il demeure seul; mais, s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie, la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde, la conservera pour la vie éternelle. Si quelqu'un me sert, qu'il me suive; et là où je suis, mon serviteur sera aussi. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera. Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je? Père, délivre-moi de cette heure. Mais c'est pour cela que je suis arrivé à cette heure. Père, glorifie ton nom. Alors vint une voix du ciel: Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore. La foule qui était présente, et qui avait entendu, disait que c'était un coup de tonnerre. D'autres disaient: C'est un ange qui lui a parlé. Jésus dit : Ce n'est pas à cause de moi que cette voix s'est fait entendre, mais à cause de vous. Maintenant a lieu le jugement du monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors". " Et moi, quand j'aurai été élevé de terre, j'attirerai tous les hommes à moi".

Vivre la fête de l'Exaltation de la Croix signifie juxtaposer deux sentiments contraires, la souffrance et la joie qui se fondent dans le mystère de la rédemption. Jésus se donne au monde dans sa Passion; Il a attendu ce moment dès le premier instant où Il s'est incarné dans le saint corps de Sa Mère. Nous savons qu'étant Dieu, Il a planifié depuis toujours le parcours qui Le conduirait à rouvrir le Paradis pour tous les hommes. Avec son sacrifice, Jésus répare les péchés commis par les hommes avant et après sa venue; Il nous a donné la grâce, Il nous a donné le pardon, quand repentis, nous nous approchons du sacrement de la Réconciliation. Nous ne devons jamais oublier ce que Jésus a fait pour nous. Chaque fois que nous Le recevons dans l'Eucharistie, quand nous nous trouvons devant Lui, nous devons Le remercier, parce qu'Il est mort sur la croix pour chacun de nous et que chaque fois que la messe est célébrée, Il revit le sacrifice de sa Passion. Avec l'amour, Il a attiré tous les hommes sur son cœur, comme Il le dit lui-même: "Et moi, quand j'aurai été élevé de terre, j'attirerai tous les hommes à moi" (Jean 12,33). Jésus nous attire à Lui, chaque fois que le prêtre élève l'hostie et le calice au ciel et à ce moment là nos yeux et notre cœur sont ravis "par celui qu'ils ont percé" (Zacharie 12,10). Nous ne pouvons pas faire autre chose que de nous agenouiller devant Lui, parce que Son amour est notre salut. Comment pouvons-nous aimer, prier, servir Dieu si nous n'aimons pas la croix? Comment notre cœur peut-il être ravi par l'Epoux si nous oublions la Croix sur laquelle Il a célébré le banquet des noces liant l'Eglise à Lui pour toujours? La croix est la Gloire du Christ, elle est son trophée, elle est le calice qui a recueilli toute sa souffrance et son sang. Si nous aimons Jésus, nous aussi, nous nous détacherons de la Terre et le Père nous emportera à des hauteurs vertigineuses. "Nous T'adorons, O Christ, et Te bénissons, parce que Tu as racheté le Monde par Ta Sainte Croix".


SECOND MOMENT DE RÉFLEXION

14 septembre 1995: Premier miracle eucharistique et début du triomphe de l'Eucharistie

Extrait de la biographie "Tu es prêtre pour l'éternité"

Le 14 septembre 1995, jour de "L'Exaltation de la Croix", immense joie: le premier grand miracle Eucharistique. Une hostie bien visible pour tous ceux qui étaient présents est sortie du côté du Crucifix porté en procession et s'est déposée sur les mains de Marisa. Grande fut la douleur de l'Evêque, de la voyante, de la communauté et surtout de Dieu, par l'énième abus des hommes d'Eglise qui privèrent les fidèles de l'Eucharistie. Sa réaction fut toutefois encore plus grande. Il se mit à nos côtés et au cours des années qui suivirent, Il nous combla de Sa présence en nous envoyant et en apportant parmi nous des myriades d'hosties consacrées.

Le 14 septembre 1995, notre sœur reçut de Dieu le don de pouvoir marcher pour porter la Sainte Hostie en procession. Aucun de ceux qui étaient présents ne pourra jamais oublier ce moment. Nous sommes toujours plus conscients, que Dieu dans sa bonté, nous a fait participer à l'une de ses plus grandes interventions pour le salut des âmes. Le triomphe de l'Eucharistie a débuté en ce jour saint, Dieu a commencé à "rassembler les enfants dispersés" (Jean 11,52) pour les accueillir dans son Cœur Eucharistique. Dix huit ans plus tard, cette image assume un sens très fort pour toute l'Eglise. Don Claudio soutient le Christ sur la Croix. L'humble prêtre qui sera appelé à servir l'Eglise dans la charge épiscopale, soutient la source de tous les Sacrements. Le prêtre qui s'est fait intermédiaire entre nous et Dieu, est embrassé par Jésus. Marisa, l'épouse tant aimée, recueille dans son cœur le bien le plus précieux: l'Eucharistie. Elle se fait tabernacle vivant pour Jésus, victime pour aider l'Evêque à faire avancer sa grande mission, qui redonnera à l'Eglise la face splendide du Christ sur la Croix. Bien des fois, même pendant la période de Noël, l'Enfant Jésus est apparu à Marisa ayant derrière Lui une grande croix lumineuse. La Croix est présente, justement parce qu'elle est la source de vie. L'Evêque et Marisa ont décidé de suivre totalement le Christ trouvant cette force et cette joie qui provient seulement de l'Union avec Lui. La Mère de l'Eucharistie est celle qui a totalement compris la mission de Dieu. Dans le récit de sa vie à Marisa, Elle a dit: "Je m'abandonnais totalement à mon Tout, en étreignant le berceau et la croix". Marie savait que Son Fils était venu au monde pour mourir et apporter le Salut aux hommes. Elle est la pleine de grâce et donc la créature qui aime à la perfection. L'Evêque nous a dit bien des fois "plus on aime, plus on souffre". Remercions Marie pour son "Oui", parce qu'Elle a d'abord aimé la croix, embrassé la croix, accepté les plans de Dieu sur Elle, mais surtout a fait don de Son Fils, Son Enfant. Elle ne s'est pas repliée sur elle-même, mais a aimé Dieu, a levé ses yeux vers le Tout Puissant et ouvert ses bras et son cœur à tous les hommes devenus ses enfants sous la Croix. Nous la voyons ainsi elle aussi sur la croix, mais dans la splendeur de Dieu. Remercions Celle qui est Corédemptrice de notre Salut, remercions-La parce qu'elle a apporté Jésus parmi nous et nous a enseigné à vivre pour Son Fils.


TROISIÈME MOMENT DE RÉFLEXION

14 septembre 1999:Début de la mission épiscopale

Extrait du Chemin de Croix (VII Station)

Après s'être ainsi moqués de lui, ils lui ôtèrent le manteau, lui remirent ses vêtements, et l'emmenèrent pour le crucifier. (Matthieu 27, 31)

Essayons pour un instant de fermer les yeux et d'ouvrir notre coeur pour contempler une scène émouvante: quelques hommes portent une croix, terrible instrument de torture et de mort. Jésus voit cette croix s'approcher; il la regarde et ses yeux se remplissent de larmes d'amour, parce qu'il sait que la mort lui viendra par cette croix et il l'embrasse. Il est entouré des gardes, tortionnaires et bourreaux et aucun d'eux ne comprend le geste d'amour de notre Seigneur embrassant la croix. Seule Marie le comprend. Eprouvons-nous de l'amour pour la croix ? Evidemment, il est naturel que la croix en tant que souffrance nous effraie, mais nous devons toujours avoir présent à l'esprit que si nous voulons sauver ceux que nous aimons, nos enfants et amis, c'est l'unique voie qui s'offre à nous. Pensez-vous que s'il avait été possible de suivre une autre voie que celle de la souffrance sur la croix, le Christ ne l'aurait pas préférée ? S'il l'a choisie c'est que c'était la seule façon sûre et juste pour vaincre le mal et le péché dans le monde. Remercions le Seigneur qui embrasse, aime et serre contre lui sa croix et à partir de maintenant nous serons mieux à même de comprendre ce qu'a dit Saint Paul: "Je prêche le Christ et le Christ crucifié" (1Cor. 2,2), parce que le salut vient uniquement de la croix. Ne nous contentons pas d'avoir une image de la croix dans notre maison, mais regardons la fréquemment et prions devant elle pour qu'elle ne soit pas seulement un symbole, un signe mais une réalité de salut dans notre maison, notre famille et notre communauté.

On ne peut voir le commencement de la mission Episcopale que dans la lumière de la puissance de la croix. Nous ne devons pas oublier que l'Eglise est née du côté transpercé du crucifié et avec elle tous les sacrements. L'efficacité de la mission de l'Evêque est l'œuvre de l'Esprit Saint qui rend actuel chaque jour le sacrifice accompli par Jésus dans son dernier acte d'amour: le don de Sa souffrance pour notre salut, Sa mort pour notre vie. Dans le Chemin de Croix qui a été inspiré à notre Evêque, Jésus nous fait vivre ses émotions. Le Christ, regardant la Croix, pleure et l'embrasse. Combien de fois n'avons-nous pas vu notre Evêque accomplir le même geste en acceptant totalement l'appel de Dieu en union avec sa sœur Marisa. Ils ont accompagné Jésus sur le Golgotha; Jésus qui est Dieu et vit hors du temps a pu compter sur leur appui. Fermons un instant les yeux et regardons Jésus chargé de sa pesante croix, montant sur le Calvaire et l'Evêque et Marisa qui avancent péniblement, résistant sous l'énorme poids afin d'alléger un peu la souffrance de notre Sauveur. Jésus expie nos péchées dans la Montée au Calvaire. Pensons à toutes les fois où l'Evêque et Marisa ont souffert pour notre cause, pour l'ingratitude de ceux qui n'ont reçu d'eux que du bien et surtout pour le refus venant de la hiérarchie ecclésiastique. Demandons pardon à Dieu pour les fois où nous avons entravé sa volonté, pour les fois où devant l'amour de l'Evêque appelé à accomplir une mission plus grande que lui, nous n'avons pas su le comprendre et l'aimer comme il le méritait. Nous savons que le don de l'épiscopat a porté beaucoup de fruits, en premier dans nos vies et d'une façon éclatante dans l'Eglise tout entière. Lorsque nous entendons l'enseignement du Pape François, nous nous rendons compte qu'ils ne sont pas nouveaux pour nous.

Au cours de la veillée de prière pour la paix dans le mode, le Pape a souligné dans sa méditation:

"Dans le silence de la Croix, se tait le bruit des armes et parle le langage de la réconciliation, du pardon, du dialogue, de la paix. Ma foi chrétienne me pousse à regarder la Croix. Comme je voudrais que pendant un moment tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté regardent la Croix. On peut y lire la réponse de Dieu. Là, à la violence on ne répond pas par la violence, à la mort, on ne répond pas par le langage de la mort ".

C'est le don que Dieu a fait à son Eglise, grâce aux sacrifices et à la souffrance de l'Evêque et de Marisa. L'Eglise renaît, le nouveau Pape met en pratique les enseignements donnés à notre communauté par les lettres de Dieu. Toutes les initiatives que l'Evêque nous a transmises comme les adorations eucharistiques, le jeûne, les petits sacrifices, les veillées de prière pour pouvoir arracher à Dieu les grâces dont les hommes ont besoin, sont également proposées aujourd'hui dans l'Eglise par le pape François et toujours plus de communautés chrétiennes et non chrétiennes disent "Oui" à cet appel, dans le monde entier.