Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 2008-09

L'Année de Foi

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2008

Frontignano (MC), le 6 septembre 2008 - 18h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis venue parce que c’est le premier samedi du mois, pour le très beau pèlerinage que vous avez fait et pour adresser mes voeux à ces deux jeunes: Marco et Paola, qui se font aujourd'hui la promesse de s'épouser. Comme Dieu a été bon avec vous mes jeunes! Dieu aime tous les hommes et essaie de les aider tous. Vous devez être heureux pour ces jeunes qui se font la promesse de s'épouser et se dirigent vers le Sacrement du Mariage. Si vous priez, vivez dans la grâce de Dieu comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, vous réjouirez mon coeur, celui de votre Evêque et de tous ceux qui vous aiment, et surtout le coeur de vos parents. Soyez heureux, aimez-vous, si vous vous disputez quelquefois, faites aussitôt la paix. Je vous couvre de mon manteau et me retire, parce que Dieu veut venir parmi vous …

Marisa - Mon Dieu, aide-nous, aide ceux qui ont le plus besoin de ton aide, ceux qui souffrent moralement et physiquement.

Dieu le Père -Je vous aide et tu sais, Alma Maria, combien tu as été aidée pendant ces deux mois. Combien de fois suis-je descendu pour vous aider. Je suis heureux de voir ici réunie en prière la petite communauté que J’ai fondée; la prière est très importante. Souvenez-vous de mon Fils Jésus, quand Il se retirait en prière, appuyait sa tête sur son bâton et priait pour tous? Que la paix soit toujours avec vous.

Moi, Dieu, qui vous ai créés, je serai toujours avec vous. Par contre ceux qui ne font pas ma volonté, qui ne respectent pas l’Evêque, ceux qui le calomnient uniquement parce qu’il a été ordonné par Moi, auront beaucoup de mal à se sauver. En quoi cela les intéresse-t-il que J’ai ordonné un Evêque? Qui a ordonné Saint Paul? Quelle différence y a-t-il entre Saint Paul et Claudio? Le nom. Je suis Dieu, je suis Celui qui peut tout faire et portera très haut votre Evêque ordonné par Moi. Aimez-le, aimez-vous tous, vous devez aimer tous les hommes, pas seulement les amis ou les parents. Il faut aimer tous les hommes, même ceux qui parfois vous font souffrir, vous donnent de petites souffrances, pas de ces souffrances très grandes que certains infligent à mes deux enfants.

Regardez le ciel, vous ne voyez pas qu’il est beau et serein, mais Nous le voyons beau, céleste, avec le soleil, la lune et les étoiles, tandis que les anges tournent autour en cercle, comme le cercle que vous avez vu ce matin. J'y suis là au milieu ainsi que Jésus, Marie, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, grand-mère Speranza et d’autres. Assieds-toi, Excellence, tu ne peux pas rester à genoux. Tous les anges et les saints sont là immergés dans une lumière merveilleuse. Vous n’avez vu que le cercle, car ce n'est pas encore l'heure de voir autre chose, mais c'était une vision splendide, que personne n’a jamais vue, vous êtes les seuls en avoir joui, parce que vous êtes privilégiés.

Marisa - Pardon, mon Dieu, quels sont nos privilèges? Quand je ne sais pas répéter ce que tu dis, je vais vers mon Evêque.

Dieu le Père - C’est ton confesseur. Te souviens-tu quand tu m’as demandé de te confesser et que Je t’ai dit: "Va voir ton confesseur"?

Marisa - Je suis heureuse parce que tu aimes tous les hommes, petits et grands, savants et ignorants, riches et pauvres et que Tu veux du bien à tous.

Dieu le Père - Surtout aux petits enfants, à la petite Miriam, à Adrian et aux autres petits enfants qui sont venus avec leurs parents trouver l’Evêque et la Voyante, mais ne sont pas là aujourd'hui. Il y a mes jeunes, mes perles: les femmes pieuses que j’appelle mes perles. Priez, mes chères perles, priez mes très chers jeunes, vivez toujours dans la grâce.

Les petits enfants seront ceux qui soutiendront cette dure mission, pas au même niveau qu’alma Maria, pas comme Alma Maria, elle seule peut faire avancer cette mission si dure et si difficile, mais Je l’ai choisie elle et elle a dit oui.

Mes chers enfants, perles de Dieu, jeunes de Dieu, petits enfants, mais surtout mon cher Evêque et ma douce créature du Paradis, continuez, sans peur, la vie est dure et difficile, je sais qu’il y a des problèmes, même de grands problèmes, mais quelqu’un les résoudra, d'une manière ou d'une autre. Adieu à tous, mes petits, un baiser de Dieu et une étreinte de Nous tous du Paradis pour ceux qui sont présents et les absents qui n'ont pu venir pour de justes raisons.

Marisa - Adieu, adieu. Oh mon Dieu, il est parti. Qui vient maintenant?

La Madone - Moi, Marisella.

Marisa - Dieu m’a appelée Alma Maria, m’appelles-tu Marisella?

La Madone - Oui. Ne sois jamais fatiguée de nous voir et de parler avec Nous.

Regarde le cercle qui se forme à nouveau, je m'y trouve. Je vous remercie de votre présence, mes chers enfants, et surtout du pèlerinage.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Frontignano (MC), le 7 septembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis venue parce que c’est aujourd'hui dimanche et que Dieu le Père m’a dit: "Marie, va voir mes enfants et rappelle leur ma lettre d'hier, il n'y a rien d’autre à y ajouter, sinon d’aimer: aimer son prochain, s’aimer soi-même, aimer ceux qui ne se conduisent pas bien". Il y a beaucoup de souffrance dans mes deux petits enfants qui retournent à Rome. Ils auront encore beaucoup de difficultés à surmonter, et auront besoin de personnes; cela semble étrange que la Maman vous dise cela. Ils n'ont personne à leurs côtés qui les aiment et leur veuillent du bien. Comme l’amour passe avant tout, essayez de les aimer, de faire quelque chose avec vos petits moyens. n’aimez pas seulement vos enfants, vos parents, vos amis, mais aimez les tous; l’amour est si beau.

J’ai été très émue hier soir quand après le Saint Rosaire, et il était tard, minuit et demi, quatre d’entre vous sont restés avec Marisa qui racontait ses aventures ou mésaventures; ils sont restés à écouter, comme les apôtres, lorsqu’ils écoutaient Jésus, ou les disciples quand Saint Paul parlait. Les quatre étaient pris par ce que disait Marisella et l’un d’eux a dit: "ces récits me plaisent, je resterai debout toute la nuit" et Marisella a répliqué: "Non, mon cher, je vais dormir". Oui, c’est beau, quand vous vous réunissez et essayez de parler de beaux évènements intervenus, des lettres de Dieu, de l’amour mutuel.

L’amour envers les enfants est plus facile, l’amour envers les adultes est plus difficile, parce qu’il faut comprendre le caractère des personnes. Si une personne parle avec véhémence, bruyamment, ce n'est pas qu’elle n’aime pas, au contraire elle aime encore plus. Ne jugez jamais, mais aidez ceux qui doivent être aidés. Si ensuite ils n’acceptent pas votre aide, cela suffit, restez en là. Cela peut vous sembler n'être qu’une bagatelle, mais Nous avons éprouvé hier soit une grande joie et la Maman vous en remercie. Merci à ceux qui ont aidé mes enfants. Ecoutez maintenant la Sainte Messe selon les intentions que vous connaissez, en particulier pour la conversion des jeunes et des prêtres; priez pour votre saint Evêque.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu me donnes un peu plus de voix? C’est bon, merci, salue maman de ma part.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, c’est bon. Quand m'emmèneras-tu?

La Madone - Tu répètes toujours cette phrase, Marisella, tu termines toujours la lettre de Dieu par cette phrase.

Marisa - Dieu a écrit la date, qui est composée de deux chiffres. Je le répète: "Quand m'emmèneras-tu?". Il n'y a pas de réponse, peut-être qu’elle s'est perdue dans le vent, qui sait.

Elle est partie.

Rome, le 14 septembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - La Maman a étendu son manteau pour vous permettre de faire la procession, la pluie n'est tombée qu’après. Cela a été bien ainsi pour beaucoup de raisons. Moi, Jésus, J’ai reçu dans le Paradis de la Vision Béatifique, puisque l’on y jouit de Dieu, Pie XI, Pie XII et un laïc, grand-père Aladino, dont les enfants, petits-enfants et arrière-petits enfants sont présents; il y a rejoint son épouse. C'était une scène merveilleuse de voir ces personnes entrer dans le Paradis où l’on voit Dieu. Moi, Jésus, je suis aller les prendre du Paradis d’attente pour les amener devant Dieu le Père. Vous devez vous aussi vivre cette grande joie que Nous vivons au Paradis et prier pour que d’autres du Paradis d’attente, aillent au Paradis de la Vision Béatifique, pour y jouir de Dieu pour toujours.

C’est aujourd'hui une grande fête, l’Exaltation de la Croix, et toi, Marisella, tu la vis mieux que tous, puisque tu es sur la croix. C’est également aujourd'hui l’anniversaire du premier grand miracle eucharistique; il a été très émouvant. Vous aviez pensé ce jour là que les hommes d’eglise accepteraient ce grand miracle que Dieu avait accompli, par l’intermédiaire de son Fils Jésus, qui Je suis, et qu’alors déjà tout changerait. Mais treize années se sont écoulées depuis et vous qui avez entendu l'histoire de mes deux petits enfants, avaient appris combien leurs souffrances ont été dures et combien ils en auront encore. Dieu a cherché par tous les moyens à faire émerger votre prêtre, aussi bien avec les autres miracles eucharistiques, qu’en lui donnant l'épiscopat, en lui ordonnant de signer le décret reconnaissant l’origine surnaturelle des apparitions et des miracles eucharistiques intervenus dans ce lieu.

Vous savez que Dieu laisse l'homme libre de faire le bien ou le mal et mes deux chers petits enfants se sont souvent trouvés à subir le mal. Je ne veux plus parler de ces tristes choses, parce que Nous aussi nous en souffrons au Ciel, mais quand tout sera mis en ordre et que ceux qui ne vivent pas dans la grâce, qui commettent des sacrilèges seront chassés, alors l’Eglise renaîtra et changera.

L’Eglise est de Dieu et doit être respectée et aimée; vous le faites, parce que vous avez eu un Evêque qui vous a donné beaucoup d’enseignements, et surtout, que ma et votre Maman vous a fait beaucoup de remarques maternelles. Certains les ont écoutées et sont partis, mais cela ne fait rien. Vous savez fort bien que Moi et ma Maman sommes toujours avec vous; les âmes qui sont entrées aujourd'hui au Paradis de la vision Béatifique et tous ceux qui aiment sont aussi avec vous.

Aimer demande toujours beaucoup de sacrifice. Mes deux petits enfants ont beaucoup souffert, fait beaucoup de sacrifices et la souffrance n’a pas encore diminué pour eux. Ceci devra arriver dès que possible, parce qu’ils sont tous les deux épuisés, finis. L’Eglise renaîtra, mais le début du changement sera très dur pour celui qui devra la faire renaître (L’Evêque ordonné par Dieu, N.d.R.). Vous devez l’aider en priant, en vous privant, en faisant des sacrifices et moi, Jésus, je serai heureux si vous faites tout cela. J’ai un grand amour pour vous.

Je suis ici en ce moment, la Maman, Mère de l’Eucharistie est ici, Saint Joseph, tous les anges et les saints sont ici, dans ce petit lieu que Dieu a choisi et rendu thaumaturgique. Ne parlez pas entre vous de choses qui ne sont pas belles, priez toujours et répétez ce que dit la Maman: quand vous avez une question, posez la directement à l’Evêque, pas à ceux qui travaillent dans la maison, ils ne savent rien, seul l’Evêque peut vous répondre avec justesse et exactitude. Marisella, non plus, ne peut vous donner ces réponses; laissez-la tranquille, elle a tant de souffrances et Je suis avec elle. Vivez cette grande fête, même s’il pleut, parce que la pluie fait du bien à la terre et aux hommes également, parce qu’ils restent en famille. Si vous avez pu faire la procession, c’est grâce à ma et votre maman, qui a ouvert son manteau, la soeur pluie n'est tombée qu’après la procession. Moi, Jésus, j’adresse mes voeux à mon saint Evêque et à vous tous ici présents.

Priez pour ceux qui sont encore dans le Paradis d’attente. Ils sont heureux, mais ne voient pas Dieu, peu à peu, quand Dieu le décidera, ils viendront devant Lui. Souvenez-vous que même les personnes âgées seront belles et jeunes au Paradis.

Dieu a créé le Ciel, la Terre et l'Homme et il est le Dieu des hommes qui sont bons, des hommes qui l’aiment et des hommes qui le prient. Priez Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi, Dieu le Fils, priez la Mère de l’Eucharistie et souvenez-vous qu’ici l'eau a été bénie par Dieu, profitez en donc; mais ce n'est pas pour toi, Marisella, ce don n'est pas pour toi.

Marisa - Je n’ai rien demandé et je suis heureuse. Mais si tu es mon époux, tu dois m’aider un petit peu à être toujours souriante et joyeuse même si la souffrance me tenaille.

Jésus, bénis notre Evêque, bénis ces enfants, ils sont petits, ils ne peuvent pas comprendre. Bénis aussi celui qui fête aujourd'hui ses treize ans ainsi que ses parents. Bénis nous tous, Jésus, nous en avons besoin.

Jésus - Bien sûr. Ma seule présence est une bénédiction pour tous.

Marisa - Tu t’en vas, Jésus? Oh, je les vois bien maintenant: Pie XI, Pie XII et ce laïc que j’aime tant (Le père de Marisa, N.d.R.).

La Madone - Mes chers enfants, je suis votre Maman et ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que les petits enfants qui crient, parlent et jouent. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. J’ai ouvert mon manteau quand la pluie était prête à tomber, j’ai dit: "Non. La pluie ne doit pas tomber en ce moment parce que c’est la procession eucharistique, c’est mon Fils Jésus qui triomphe".

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 15 septembre 2008 - 19h02 (Lettre de Dieu)

La Madone - J’aimerais voir les petits enfants, Emanuele et Sara, qui habitent dans cette maison parce que j’aimerais les bénir. Quand vous portez l'eau à votre tante pour qu’elle guérisse, vous devez aussi prier, mes petits enfants. Sara, Emanuele vous devez dire à tous vos cousins: "La petite Madone vous envoie un baiser".

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui une autre de mes fêtes, la fête de Notre Dame des sept douleurs, mais je suis toujours la Mère de l’Eucharistie. J’aime venir parmi vous et rester avec vous. Marisella, je te dirai quelque chose entre les lignes. J’ai demandé que l’on prie, mais c’est surtout mon fils Jésus qui l’a demandé. Je vous demande aujourd'hui de prier pour le monde entier et surtout pour votre belle Italie. Vous voyez comme les choses ne vont pas bien par la faute des puissants et de ceux qui se sentent arrivés. Si vous ne priez pas pour votre belle Italie, les choses iront toujours en s’aggravant, empireront toujours plus; ce que disent les mass-médias n'est rien en comparaison de ce qui se passe réellement. Même les petits enfants doivent apprendre à prier, les petits enfants sont bons, sages et doivent aussi prier.

Quand le vieillard Siméon m’a dit: "Un glaive transpercera ton coeur", je savais déjà ce qui arriverait à mon fils Jésus, mais je savais également que la porte du Paradis serait rouverte avec sa mort et sa résurrection. Attention: le Paradis n’a pas de porte, c’est une façon de parler, essayez de comprendre quand la Maman vous parle. Je vous ai répété hier qu’il n'était pas difficile d’aller au Paradis, il suffit d’aimer: les parents, les amis, les petits enfants, tous les hommes. Le Paradis attend tous les hommes, Dieu veut les sauver tous et vous pouvez arriver au but. Je suis triste qu’il n'y ait pas beaucoup de monde, parce que j’avais aujourd'hui une bénédiction particulière à donner à ceux qui sont présents, au nom de mon Fils Jésus. Pourquoi ne répondent-ils pas tous à l’appel de Dieu? Combien aimeraient participer à l’apparition, avoir la petite Madone au milieu d’eux!

Fêtez aujourd'hui Notre Dame des sept douleurs, j’ai souffert de la mort de mon Fils et je me suis réjouie de sa résurrection. Il y a actuellement quelqu’un sur Terre qui souffre énormément, considérablement, beaucoup plus; Dieu continue à demander et cette personne répond toujours oui, un grand oui, plein d’amour. Priez, mes enfants, priez pour que le monde change et que les hommes se convertissent. Dieu n’a pas créé le monde ainsi corrompu et sale. Ceci je vous l’ai déjà dit, mais je dois le répéter, parce que les hommes ne comprennent toujours pas.

Je suis avec vous, je viens avec plaisir parmi vous. Ce devrait être ici un lieu rempli de monde venant pour écouter les lettres de Dieu, mais ce ne l'est pas et Dieu est toujours mis à la dernière place. Courage, apprenez à mettre Dieu à la première place et tout sera plus facile, mais pas pour toi, Marisella. Courage, je suis près de vous, près des enfants, des parents et grands-parents, de tous ceux qui aiment mon Fils Jésus, qui reçoivent Jésus en état de grâce. Je suis toujours avec vous et suis toujours prête à vous aider quand quelque chose ne va pas: il peut arriver un accident de voiture, la chute d'un enfant, tant de malheurs peuvent arriver dans ce monde, mais je ne vous abandonne pas et je suis avec vous. Je fais ce que Dieu me dit de faire. Je suis toujours prête à accorder une grâce, sauver une personne, faire naître un enfant, mais Dieu doit me le dire, Il doit parler. Je vous remercie vous qui avez répondu à cet appel. Courage, mes chers enfants, ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis tous. Quand parviendrez-vous à comprendre que vous avez un saint Evêque? Respectez-le, aimez-le. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ecoute: Dieu a-t-il dit quand il m'emportera? Parce que je suis fatiguée d’attendre, je n'en peux plus de supporter tant de douleurs.

La Madone - Courage, Marisella.

Marisa - Adieu. Tu ne me le dis pas, je veux m'en aller, je suis fatiguée.

Rome, le 21 septembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Jésus est venu hier avec une grande joie parler à mes deux petits enfants et leur a dit que les jeunes qui se sont convertis sont maintenant de vingt mille. Oui, c’est vrai, on avance lentement, mais des dix mille, où nous étions restés pendant beaucoup de temps, nous en sommes maintenant à vingt mille et c’est le fruit des souffrances de mes deux petits enfants et de vos prières.

La Maman est heureuse, mais plus que tous c’est Dieu qui est heureux. Dieu est Amour Infini, comme vous le savez bien, et il aime tous les hommes. Quand des souffrances arrivent à quelqu’un, ce n'est pas parce que Dieu ne l’aime pas. Quelqu’un a fait remarqué avec justesse: "Il pourrait faire aller mieux ceux qui vont si mal". Vous ne pouvez pas vous élever contre Dieu, la meilleure chose à faire est de faire la volonté de Dieu.

Je suis ici et vous savez que je suis souvent parmi vous et que Dieu n’a jamais privilégié les groupements importants où vont beaucoup de personnes. Dieu a choisi ce petit endroit et l’a rendu thaumaturgique. Quand vous marchez sur cette terre, quand vous posez les pieds sur ce sol, quand vous travaillez dans ce petit lieu, vous devez penser qu’ici tout est thaumaturgique, saint. L’amour de Dieu s'est montré grand à votre égard et il vous bénit chaque fois, bénit ses enfants, mais surtout les petits enfants. Les enfants jouent et il semble qu’ils ne suivent pas mes discours, mais ils les écoutent au contraire avec attention. Beaucoup de jeunes sont absents aujourd'hui, car ils sont occupés ailleurs, mais je peux vous dire que de loin ils prient pour vous tous. Bien sûr, arriver à la conversion de vingt mille jeunes après tant de prières et de souffrances, ce n'est pas beaucoup, mais mieux que rien. N'est-ce pas? Ne le pensez-vous pas? Nous espérons encore progresser. Bien sûr, quelqu’un souffre beaucoup pour ces jeunes (Marisa, N.d.R.), mais la récompense éternelle viendra ensuite.

Je sais que c’est dur, très dur et tu me comprends bien, Marisella. Ta vie n'est que souffrance, ton corps est lacéré de la tête aux pieds, et malgré les larmes, les cris de douleur, tu as continué à faire la volonté de Dieu. Vous aussi, avec vos petits moyens, faites toujours la volonté de Dieu et Il sera toujours avec vous. Vous attendez le jour fatidique, mais vous ne pouvez pas non plus vous imaginer combien mes deux enfants l’attendent. Faire la volonté de Dieu n'est pas si facile, il est plus facile de comprendre que le Dieu Tout-puissant est Amour. Vous qui aimez ce lieu, continuez à prier. Souvenez-vous quand je vous ai dit de prier pour votre belle Italie? Vous n’avez pas tous cru que l’italie allait à la ruine; maintenant vous vous êtes rendus compte par vous-mêmes combien la situation est difficile, c’est pourquoi je vous demande de prier. Quelqu’un pense dans son cœur, "mais Dieu pourrait tout renverser". Dieu peut tout faire, mais il laisse l'homme libre de faire le bien ou le mal. Ce ne sont pas les petits qui causent des dommages, ce sont les puissants qui ruinent toujours tout. Et ce sont toujours les pauvres qui en paient les conséquences.

Il y a une grande similitude entre la vie de Saint Pierre et celle de votre Evêque qu’il devrait vous dire lui-même. Ils se ressemblent en tout et ont marché comme Dieu l’a voulu. Priez, mes chers enfants, ne vous lassez jamais de prier. Je me répète, je vous faire toujours les mêmes recommandations parce que je veux vous conduire à la sainteté. Petite Mariasole, vas-tu porter un baiser à tes cousins et à tes petits amis de la part de la petite Madone? Regarde-moi, je suis là-haut. Tu ne me vois pas?

Marisa - Ecoute, est-ce que l'histoire qu’elle a racontée à sa maman est vraie ?

La Madone - C’est la sacro-sainte vérité.

Marisa - Pourquoi ne fais-tu pas venir qui tu sais pour nous aider?

La Madone - Toi aussi, Marisella, tu as été aidée hier soir. Tu n'es pas bien aujourd'hui, mais c'était pire hier.

Marisa - Je ne suis pas bien et j’ai si mal aux jambes et à l'estomac.

La Madone - Courage à tous, mes enfants. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, proches et au loin et vos petits enfants qui sont si chers à mon coeur. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Oui, c’est vrai, tu as raison, on nomme peu Joseph, mon époux bien-aimé, merci de l’avoir rappelé.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et de Saint Joseph.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, je suis très, très fatiguée et très souffrante. Je cherche à dissimuler mes douleurs comme je le faisais autrefois mais je vois que je n'y arrive plus. Je ne veux pas que les autres remarquent mon état, mais c’est plus fort que moi, je n'en peux plus. Saluez maman et papa de ma part. Adieu.

La Madone - Adieu, Mariasole, donne un baiser à la petite Madone, Mariasole, petite étoile.

Marisa - Elle s'est franchement enfuie.

L’Evêque - Elle s'est enfuie. Elle reviendra ensuite pour la Sainte Messe.

Rome, le 28 septembre 2008, 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est avec une grande joie que je vous donne la nouvelle que vingt mille autres jeunes se sont convertis dernièrement et que nous en sommes arrivés à quarante mille, merci à vous tous. C’est beau de voir ces jeunes changer de vie, revenir vers le Christ et ceci est arrivé parce que vous avez prié et que quelqu’un (Marisa, N.d.R.) a beaucoup souffert pour eux. Marisella, je sais que tu attends une réponse, mais je ne l’ai pas, Dieu ne me l’a pas encore donnée.

Marisa - Alors, excuse-moi, dis à Dieu que je ne veux plus entendre parler de missions, moi aussi je dis cela suffit. Je suis fatiguée et très malade; vous l’avez dit, vous aussi, que je suis très malade et je n’ai plus la force de pouvoir souffrir encore. Je l’ai pour prier, faire des privations et des veillées la nuit, mais pour le reste, non.

La Madone - Je comprends, Marisella, ce que tu veux dire, mais tu sais que Dieu attend encore beaucoup de toi.

Marisa - Oh non, non, non, je n'en peux plus.

La Madone - Mes chers enfants, je m’adresse à vous, même si vous n'êtes qu’un petit groupe, et comme toujours, je vous dis de prier pour chacune de mes intentions: pour les époux qui ne peuvent avoir d’enfants et les mamans qui souffrent; une épouse et un époux doivent avoir des enfants et avancer dans la vie conjugale. Priez pour ces mamans, ces petits enfants, parce que dans les temps dans lesquels nous vivons, nous ne savons pas où cela finira, si les choses continuent ainsi. Vous pensez: Dieu peut tout faire; oui, c’est vrai, mais vous savez aussi que Dieu ne forcera jamais les hommes.

Marisa - Mais à moi seulement il demande sans consentement.

La Madone - C’est pourquoi je vous invite à la prière permanente, intensive et je serai avec vous. Souvenez-vous que vous verrez Dieu après votre mort. Vous savez que le départ des âmes arrive par maladie, vieillesse ou d’autres raisons. Quand une personne meurt, parce qu’elle est malade, ce n'est pas parce que Dieu n’aime pas. Vous vivrez tant que Dieu le voudra. Vous savez fort bien que Dieu est le Tout-puissant, le Suprême, l’omniscient, Celui qui peut tout faire, mais comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, et je me répète encore aujourd'hui, Il ne forcera jamais les hommes. Il a accordé tant de grâces et fait beaucoup de miracles dont même vous n’avez pas connaissance. Qui a remercié Dieu? Certains sont même partis après avoir obtenu le miracle, la grâce.

Marisa - Alors je me permets de te dire de donner des grâces à ceux qui sont présents, viennent ici et aiment Jésus. Il y a tant de couples qui espèrent avoir des enfants et rien n’arrive, faites qu’eux aussi puissent en avoir. Je te recommande Maddalena, petite créature; vous savez ce qui est le mieux pour cette enfant ainsi que pour quelques autres malades; qu’ils meurent ou vivent. Nous voulons te remercier pour ceux qui ont été reconnaissants envers Dieu, mais ils sont peu, très peu.

La Madone - Je le sais, et c’est pourquoi je vous invite à prier: parce que ceux qui obtiennent des miracles, des grâces doivent être reconnaissants envers Dieu, pas envers soi-même et envers les docteurs. Les docteurs sont braves, très braves, mais ils peuvent eux aussi se tromper. Pas tous les malades qui sont soignés, guérissent, alors, priez pour les docteurs, parce que c’est très difficile pour ceux qui accomplissent leur tâche avec amour, avec le cœur, la charité. Pensez pour combien d'intentions vous devez prier: pour les docteurs, les infirmiers, les supérieurs, les chefs d’etat, les chefs de l’Eglise. Mais je t’ai déjà dit, Marisella, que tu ne devais plus rien faire pour les prêtres. J’attends impatiemment vos prières pour tous ceux qui souffrent.

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre Evêque,je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, ceux qui sont nés, ceux qui doivent naître et les enfants plus grands. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - J’attendais une réponse de Dieu, j’espérais qu’il aurait dit quelque chose pour moi. J’ai tant forcé la main hier soir, mais je vois que c’est sans succès.

La Madone - Courage, Marisella, tu verras que tu sauras bientôt ce que tu as demandé.

Marisa - C’est bon, adieu.

Messages d'Octobre 2008

Rome, le 4 octobre 2008 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je ne suis pas celle qui commence une apparition en faisant un reproche. Cela me déplaît, mais depuis quelque temps il n'y a plus d'ordre dans les prières. Quand vous commencez le Saint Rosaire, vous devez le terminer. Il faut réciter le Salve Regina et les Litanies. Si vous ne faites pas ce que l’Evêque vous dit de faire, vous resterez toujours à la traîne. Le Rosaire doit commencer à 6 heures, et s’il n'est pas terminé à six heures et demie, non seulement vous l’interrompez, mais vous vous tournez même pour relancer la personne qui doit entonner le Magnificat. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que je vous attends? Il n'y a pas d'ordre ainsi, vous ne priez pas en union avec Dieu, avec Jésus, avec moi. Vous devez prier avec amour.

Ce n'est pas bien que vous priez seulement pour prier ou que quelqu’un entonne un chant seulement pour l'entonner. Il me semble que l’Evêque a chargé des personnes d’entonner les cantiques, pourquoi ne le font-elles plus? Il faut être également obéissant en ces choses, ceci signifie aimer Dieu. Il arrive souvent que vous ne compreniez pas ce que votre Evêque vous dit. Pourquoi avez-vous commencé à 18h et quart? Ne saviez-vous pas qu’on devait commencer à 18 heures? Ce n'est pas bien. Vous étiez autrefois plus unis et plus exacts que ce soit pour la prière et l’apparition, pour tout. Vous avez commencé à vous laissez aller un petit peu.

Ce ne sont pas les personnes qui commandent, mais l’Evêque, mettez-le vous bien dans la tête. L’Evêque, même s’il est éprouvé, amer, s’il souffre, a été ordonné par Dieu. Quel homme depuis saint Pierre et les Apôtres, a été ordonné par Dieu? Uniquement Monseigneur Claudio. Respectez donc ses ordres, ne commandez pas vous, c’est lui qui commande, à moins qu’il ne donne l’ordre à quelqu’un de dire ou de faire quelque chose. j’espère que vous avez compris mon reproche. Si quelqu’un ne l’a pas compris, qu’il demande des explications à l’Evêque, à lui seulement, Merci et excusez cette intervention de ma part.

Dieu m’a envoyé ici parmi vous, pour vous dire que mes deux petits enfants souffrent énormément et que la souffrance les use, les consume vraiment. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme ils sont tristes quand ils sont seuls. L’Evêque n’a aucun prêtre, aucune religieuse, aucun laïc engagé qui l’aide vraiment. Il a à ses côtés une créature qui souffre, ne peut pas marcher, ne réussit à faire quoi que soit. l’un d’entre vous s'est avancé pour l’aider, mais ce qui lui manque c’est un prêtre qui l’aide. l’un d’entre vous pense: "Pourquoi nous le dis-tu, petite Madone? Dieu ne peut-il l’aider?" Si, vous avez raison, Dieu peut le faire, mais puisqu’il s’adresse à vous, qu’il vous le demande, cela signifie qu’il attend vos prières. Combien? Beaucoup. Il faut toujours prier. Avez-vous vu que le nombre de jeunes qui se sont convertis est arrivé à soixante mille grâce aux prières, souffrance, privations et sacrifices? N'est-ce pas une joie pour vous tous? Vous attendez tous que quelque chose bouge, que votre sœur s'en aille bientôt, elle et l’Evêque aussi, pour que les choses changent. Votre Evêque devra remettre de l’ordre dans l’Eglise, la débarrasser des francs maçons, des voleurs, des immoraux; je ne veux pas vous énumérer tout. Il aura alors encore plus besoin de vos prières. Oui, Marisella, j’ai compris ce que tu veux me demander.

Marisa - Je voulais te dire que les deux chiffres sont passés et repassés. Quand ce Calvaire finira-t-il? Il me semble être toujours sur le Calvaire. Quand finira-t-il? La souffrance aide les autres, mais j’ai dit c’est assez à Dieu.

Je n'en peux plus, il est impossible de continuer ainsi. Je le dis avec amertume, parce que cela me chagrine, mais je n’ai plus de force, je n’ai plus rien. Je ne sais rien faire et ne peux rien faire. C’est moi qui demande maintenant le "C’est assez" de Dieu. Moi seulement peux le demander, parce que je sais ce que cela veut dire terminer cette vie et aller jouir de l’autre, celle de Jésus, de Marie et rejoindre les miens. Mais Dieu, quand je le Lui demande, s'enferme dans le plus profond silence et ne me parle pas. Quand je Lui demande: "Quand me feras-tu mourir?", Il se tait, ne dit plus rien. J’ai dit à Dieu: c’est assez, je suis épuisée, finie, je peux prier comme les autres, faire le jeûne, je le fais toujours de toute façon, et de petits sacrifices. Je suis très, très inquiète pour ne pas dire tourmentée. Vous, aidez-moi à surmonter tout cela. Que peuvent faire ces pauvres gens: ils prient et nous suivent, mais certains sont partis, parce qu’ils ont vu que rien n’arrivait. Veux-tu que l’Evêque et moi nous restions seuls, comme tu l’as dit en 1973? j’espère que non, j’espère que tu nous aimes vraiment.

La Madone - Moi, la Maman, je vous dis encore, courage, mes chers enfants, le but est proche.

Marisa - (à voix basse) Quel but est proche?

La Madone - Allons, Marisella, sois bonne, essaie de nous comprendre.

Marisa - Je dois vous comprendre? Mais vous devez me comprendre. N'est-ce pas juste?

L’Evêque - C’est juste.

Marisa - L’Evêque a dit que c’est juste. Comprenez-nous, parce que nous nous écroulons vraiment tous les deux. Il nous semble couler et nous ne voyons pas la main de Jésus qui nous sauve. Pardonne-moi de parler ainsi, mais je suis tellement opprimée intérieurement que je ne sais plus que dire.

La Madone - C’est bon, Marisella, nous en parlerons quand nous serons seules.

Marisa - Et non, quand nous sommes seules je ne parviens pas à parler, au contraire quand mes frères sont présents, je me sens plus forte.

La Madone - Courage, courage, courage. Priez, priez, priez. Ne vous lassez jamais de prier. Je vois que vous courrez pour tout et que vous vous éreintez pour les enfants, l'école, la piscine, la danse et le tennis, vous courrez toujours du matin au soir. Et pour la prière à Dieu? Vous avez très peu de temps, quelques minutes.

Marisa - Nous ferons maintenant plus de minutes de prière.

La Madone - Pas toi, pas toi, tu pries déjà beaucoup jour et nuit.

Marisa - C’est bon.

La Madone - Je bénis vos êtres chers, les petits enfants au loin, ceux qui ne peuvent venir et ceux qui ne veulent pas venir …

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je ne dis pas saint, parce qu’il ne veut pas que je le dise, je vous bénis ainsi que vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Souviens-toi de moi, souviens toi de nous. Adieu. (Marisa envoie un baiser à la Madone).

Rome, le 5 octobre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui dimanche une fête d'obligation, et je suis ici parmi vous. Les remarques que je vous ai faites ont été mises en pratique, mais attention, ne les oubliez jamais, parce qu’elles sont simples à observer. Je suis votre Maman et quand quelque chose ne va pas, que fait une maman avec ses enfants? Elle les corrige, les reprend; je fais de même avec vous. Quand quelque chose ne va pas, je vous adresse un reproche maternel et n'offense personne, parce que je sais que vous priez et aimez tous. Si une petite chose ne va pas, la Maman doit vous le faire remarquer et vous devez progresser en tenant compte de ce qu’elle vous dit.

Bien souvent on vient me demander une chose, à laquelle, croyez-moi, je ne peux répondre, parce que c’est Dieu qui peut tout et fait tout. Il essaie par tous les moyens de faciliter la tâche de Marisella, de lui donner la possibilité d’aider ceux qui ont besoin d’aide, pour les amener à Jésus. Il vous semble que Dieu dit une chose et puis en fait une autre. Dieu désire convertir le plus grand nombre d'âmes possible et quand des choses terribles arrivent dans le monde, Dieu appelle son âme de prédilection et lui demande de l’aide. Il n’a pas besoin de son aide, et d’aucun autre aide, mais il veut que quelques personnes de la Terre aident aussi. Il n'y en a pas beaucoup, croyez-moi, il y en a peu. s’il y avait dans chaque nation trois ou quatre personnes qui fassent ce que font votre sœur et votre Evêque, les choses iraient beaucoup mieux. Il en faudrait au Vatican, au Vicariat, dans les paroisses, les diocèses, les pays, partout. Vous vous demandez pourquoi votre sœur souffre-t-elle toujours? Réponds, Marisella, pourquoi souffres-tu toujours?

Marisa - Je ne sais pas. Vous m’avez appelée et j’ai dit oui: "Oui, me voici". Mais dimanche j’ai dit c’est assez, et je le répète aujourd'hui: "c’est assez". Je ne crois pas que Dieu s'en offense, s’il est un Père il doit aussi écouter ses enfants.

La Madone - Tu as raison, Marisella, mais j’aimerais que ceux qui viennent prier le dimanche, le mardi et le vendredi prient davantage. Je ne leur demande ni la souffrance physique, ni morale, mais seulement la prière, le jeune et les petits sacrifices; c’est facile de faire de petits sacrifices. Alors vous verrez que Dieu sera content et vous aidera tous. Du reste, la conversion de soixante mille jeunes dans le monde entier n'est pas une chose insignifiante. Vous savez qu’il est difficile de convertir les jeunes, mais quand ils le sont, il est rare qu’ils fassent marche arrière. J’ai confié cette mission à Marisella. Qui est mieux placée qu’elle pour prier et souffrir pour la conversion des jeunes? Je vous demande votre aide, je demande des prières à tous, petits et grands, parce que les petits aussi peuvent prier et je sais qu’ils prient. Vous avez tant reçu de votre Evêque, faites, vous aussi, avancer cette mission.

Merci, merci surtout de votre présence. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Ne vous mettez pas maintenant à parler, mais priez et quand la Messe sera finie et que Jésus aura été emporté, ne parlez pas, parce que vous pourriez déranger ceux qui prient. Essayez au moins de parler bas; c’est toujours un lieu saint, même si Jésus n'est plus présent. Merci. Adieu à tous.

Rome, le 7 octobre 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est beau de voir l'église pleine.

Marisa - Parce qu’elle est petite.

La Madone - Cela me fait plaisir que vous répondiez quand l’Evêque dit: "J’ai quelque chose d'important à vous dire". Alors la curiosité augmente et c’est bien que vous veniez pour l'écouter. Je vous invite, comme toujours, à prier; vous savez l’importance des prières. Ma venue parmi vous doit également vous inciter à prier. Sara, Emanuele, si vous me regardiez …

Emanuele - Nous le pouvons?

La Madone - Oui.

Marisa - (A voix basse) Fais-toi voir des petits.

La Madone - Je sais qu’il difficile pour toi, Marisella, d'écouter à cause de tout ce que tu souffres. Souviens-toi que l’amour de Dieu ne t’a jamais fait défaut. Quand tu dis quelque chose à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, Nous sommes toujours à l'écoute, à toute heure, à tout moment, même la nuit quand tu essaies par tous les moyens de cacher tes douleurs et d'étouffer tes lamentations pour ne déranger personne. Je vais près des malades qui sont seuls et souffrent beaucoup pour les aider. Faites le vous aussi. Tous les malades n'ont pas besoin d’aide, mais ceux qui souffrent du matin au soir en ont besoin. Je vous invite à prier pour la première intention que vous savez: le départ de Marisella pour le Paradis.

Marisa - Je voulais te dire quelque chose. Puisque cela fait deux fois que j’ai dit c’est assez, je ne veux plus penser aux missions, j’ai tant souffert pour beaucoup de missions, mais maintenant mon état physique est tellement bas et éprouvé. Laissez-moi seulement la mission de la conversion des jeunes, pour les autres, c’est fini, et transmettez les secrets à l’Evêque.

La Madone - Penses-tu, Marisella, que l’Evêque se porte mieux que toi?

Marisa - Non, mais lui étant un prêtre plein d’amour et de charité, il réussit mieux que moi qui ne suis plus bonne. Je n'y arrive plus. Tu t’es battue pendant huit ans, pendant la maladie de Saint Joseph et nous en sommes arrivés à trente sept ans, sans compter celles qui les ont précédées. Pour le présent je te demande seulement de faire en sorte que les prières qui me sont adressées aillent aux jeunes, à tous les jeunes. Je peux rester dans l'état où je suis réduite et attendre le grand moment que Dieu m’a promis tant de fois, mais qui n’arrive pas encore.

La Madone - Oui, c’est vrai, mais il est juste que je demande des prières à tous: petits et grands. Il y a tant de grands malades et il faut prier pour eux. Il y a tant de jeunes désaxés dans le monde et il faut prier pour eux. Vous savez de plus, comment la situation est dans votre belle Italie et puisque vous ne pouvez rien faire, avec vos petits moyens, priez au moins tous ensemble. C’est Dieu qui doit vous aider, j’ai dit: "Doit".

Marisa - Mais quand?

La Madone - Je vous laisse dans le Cœur de Jésus. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, en particulier tous les petits enfants présents et absents. Je bénis tous ceux qui sont loin de Jésus. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu te souviens du premier point: prier pour mon départ? Merci.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu (Marisa envoie un baiser à la Madone). Tu te fais voir quelques fois des enfants? Ils désirent tant te voir.

La Madone - Je les vois bien. Il faut qu’ils soient plus sages à l'école, moins distraits et ne fassent pas tant d'histoires quand ils doivent manger.

Emanuele - Comment devons-nous être?

La Madone - Bons. Eh bien, Emanuele, bons et tu le sais. Adieu à tous, une étreinte à tous.

Marisa - Adieu.

Rome, le 12 octobre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous avez finalement compris comment prier. Il faut toujours quelqu’un qui vous secoue un petit peu pour vous enseigner à prier. Je vous invite à intensifier la prière, si cela vous est possible. n’abandonnez jamais votre Evêque, même si certains se sont retirés en raison de leur âge avancé, pour des raisons de santé ou parce qu’ils sont fatigués d’attendre les interventions que Dieu a promises.

Moi aussi je suis avec vous et je vous remercie parce que vous essayez par tous les moyens à embellir la Basilique; ce qui fait plaisir à Jésus qui après la consécration est réellement présent parmi vous avec son Corps, son Sang, son Ame et sa Divinité.

Courage, mes chers enfants. Avancez et ne vous posez pas tant de pourquoi. Il est difficile de répondre aux pourquoi de Dieu.

La Maman, ensemble avec le saint Evêque, vous bénit et vous couvre de son manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Courage, petits enfants.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 19 octobre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis venue parmi vous avec le cœur plein de souffrance pour tout ce qui ne va pas, mais surtout pour ce qui doit arriver et se fait attendre. Je vous remercie de vos prières, mais essayez d'être plus rigoureux; quand vous commencez une prière vous devez la terminer, ne l’interrompez pas, on ne peut pas interrompre une prière pour en commencer une autre. Quand vous priez, recueillez-vous et adressez-vous au Dieu Tout-puissant, à Jésus, à la Mère de l’Eucharistie afin qu’ils vous donnent la force et le courage de tout supporter, tout accepter. Vous savez que la vie est difficile pour tous, c’est pourquoi Dieu veut que je vienne parmi vous pour vous donner force et courage. Je sais que vous attendez le jour fatidique, mais ce jour viendra quand Dieu le décidera.

Dieu a parlé, fait beaucoup de promesses, mais il n’a pas encore dit "oui", ou mieux "certainement", c’est pourquoi l’Evêque ne veut pas que l’on dise "oui", mais "certainement". Quand Dieu dira "certainement" tout arrivera pour ceux qui ont su attendre. Vous ressentirez l’absence non pas tant de la Voyante que de l’Evêque. Quand il vous quittera, quand il ira là où Dieu le Père veut qu’il aille, vous ressentirez très vivement l’absence de ces deux enfants. Le "certainement" de Dieu viendra, viendra, attendez-le, ne parlez pas, ne dites pas ces choses que j’ai entendues: Que fait Dieu? Pourquoi n'intervient-il pas? Quand Dieu m’a appelée pour que je devienne la maman de Jésus, je n’ai pas dit "pourquoi", "comment", "quand", j’ai seulement dit que je connaissais pas d'homme, mais je savais fort bien ce que je devais faire.

Marisa - Oui, mais tu es la maman, tu es une grande créature, nous sommes petits et nous n’avons pas compris ce que Dieu veut faire ou ne veut pas faire et quand il dira "certainement". J’ai seulement demandé à ce que Dieu me prenne maintenant, parce que je commence à devenir pesante pour ces pauvres gens.

La Madone - Que veux-tu dire par pesante?

Marisa - Ne commence pas à te moquer de moi, toi aussi.

La Madone - Non. Vous ne devez jamais, jamais dire: "Pourquoi Dieu dit-il une chose et puis en fait une autre?". Certainement que Dieu peut faire ce qu’il veut et quand ce "oui" arrivera, comme tu le dis, Marisella, plein comme le soleil, la Terre et tout ce qui l'entoure, alors tu partiras pour le Paradis et monteras très haut.

Marisa - J’ai demandé à aller un petit peu mieux, pas beaucoup, un petit peu pour ne pas être une telle charge pour les autres. Je n’ai demandé que cela, je n’ai pas demandé la guérison, mais je ne peux pas continuer à vivre ainsi. Je te pose maintenant une question: Chère petite Madone, que ferais-tu, toi, à ma place?

La Madone - Ce que tu fais, simplement grogner.

Marisa - Merci.

La Madone - Mais je n’ai jamais grogner contre Dieu, Dieu sait ce qu’il veut, Dieu sait ce qu’il doit faire.

Marisa - Il ne devait pas alors me dire tous ces secrets.

La Madone - Mes chers enfants, il est difficile de comprendre les pourquoi de Dieu, Dieu sait ce qu’il doit faire et ceux qui aiment vraiment Dieu, doivent accepter, doivent dire "certainement", comme tu le fais, Marisella.

Marisa - En vérité c’est l’Evêque qui m’a dit de dire "certainement" et de ne plus dire "oui". Quand même faites-le au moins pour ceux qui viennent prier avec tant de sacrifices. Ils ont recommencé à faire l'heure d’adoration, pour quelle raison?

La Madone - C’est Dieu qui veut que ce soit ainsi et qui es-tu pour te demander pourquoi?

Marisa - Je ne demande plus rien, par charité. Attends une minute. (Elle se tourne vers l’Evêque) Elle a dit qu’il ne faut pas demander de pourquoi à Dieu, mais il faut lui dire "certainement".

L’Evêque - Nous n’avons jamais, jamais perdu confiance en Dieu, mais puisque nous sommes éprouvés et épuisés, je crois qu’il nous est permis de le dire.

La Madone - Certainement.

Marisa - Ecoute, petite Madone, d’accord, je ne dis ni "oui" ni "certainement", j’en reste à ce que j’ai dit dimanche que je ne prendrais plus aucune responsabilité pour ceux qui savent quand il y a péché et non péché, je pourrais le faire pour ceux qui n'ont rien reçu, ni de leurs parents, ni des prêtres; pour ceux qui ne connaissent pas Jésus, pas l’Eucharistie, pour ceux-là je peux seulement prier, comprends moi bien, pas souffrir, parce que je ne le peux plus.

La Madone - Mes chers enfants, tout en écoutant ce dialogue si véhément, dans le bon sens du terme naturellement, priez. Je vous ai dit bien des fois: si vous ne comprenez pas quelque chose, n'en parlez pas entre vous, parce que vous ne comprendriez rien, parlez-en à l’Evêque. Si vous voulez savoir quelque chose d'une personne que vous ne connaissez même pas, parlez-en à l’Evêque, mais ne lui parlez pas de choses insignifiantes, il n’a pas de temps à perdre avec ces choses; beaucoup de travail s’accumule sur son écritoire en or. Priez tous les uns pour les autres sans parler. Ceci n'est pas beau, ce n'est pas ce que Dieu veut. Vous aimez Dieu? Faites comme Il vous dit de faire.

Merci, de bien vouloir mettre en pratique toutes les lettres de Dieu; ce n'est pas facile, je le comprends fort bien, parce que vous êtes des hommes; mais vous pouvez faire quelque chose.

Je vous remercie de nouveau et ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Alleu dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit il.

Rome, le 24 octobre 2008 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous n’avez peut-être pas encore compris l’importance de la présence de Dieu dans votre vie. Dieu est amour: je sais que c’est difficile de le comprendre pour les hommes qui vivent sur la Terre. Quand avez-vous jamais entendu qu’un homme de la Terre se soit entretenu avec Dieu et que Dieu lui ait dit ce qu’il devait faire et ne pas faire? En me référant à l'entretien ayant eu lien ce matin entre Dieu, l’Evêque et la Voyante, je veux vous expliquer ce que Dieu attend de vous: plus de solidarité avec l’Evêque.

Il n'est pas facile de comprendre Dieu, mais si vous réussissiez au moins à le comprendre quand il parle par mon intermédiaire, tout serait plus facile. Vous fêtez aujourd'hui la Mère de l’Eucharistie: je suis la Mère de l’Eucharistie. Vous ferez dimanche la grande fête, mais c’est aujourd'hui le jour qui m'est dédié. Vous ne connaissez pas les entretiens que Dieu a eus avec moi, Mère de l’Eucharistie, j'étais moi aussi parfois perplexe et me demandait: "Que dois-je faire? Qu’attend Dieu de moi?". Certains saints aussi ont souvent répété: "Pourquoi Dieu m’a-t-il choisi? Pour quoi faire? Pour que j’aille mal? Pour que je marche avec des béquilles? Pour que je reste assis dans un fauteuil roulant? Pourquoi m’a-t-il choisi si je ne peux rien faire?". Ces paroles je les également entendues de Jean Paul II. Pourquoi Dieu l’avait-il choisi s’il arrivait ensuite de temps à autre quelque chose, s’il devait marcher avec une canne et être malade et avoir des douleurs? d’autres âmes bonnes et saintes le disent aussi aujourd'hui.

Vous voyez mes chers enfants, si vous baissiez la tête, en signe d'humilité, vous parviendriez peut-être à comprendre quelque chose. Dieu a essayé ce matin de vous donner des chocolats pour vous faire avancer. Comme on fait avec les petits enfants, quand la maman dit: "Si tu es sage je te donnerai un bonbon" et ainsi le petit continue et croît; Dieu a fait de même avec vous. Il vous a dit quelque chose pour vous donner du courage, pour continuer. Soyez tranquilles, tout se réalisera. Quelque chose d’autre a fortement blessé mon coeur. J’ai demandé plusieurs fois à ce que vous soyez solidaires de l’Evêque, ne le fuyez pas, car fuir l’Evêque veut dire fuir Dieu. Restez à ses côtés, soyez solidaires. Il y a des personnes qui viennent de loin pour montrer leur solidarité envers l’Evêque et vous au contraire vous vous enfuyez. Ceci n'est pas de l’amour, mes chers enfants, c’est se replier sur soi-même. Si vous aimez une personne, faites tout pour être près d’elle, pour l’aider. Qui aide l’Evêque en cette période si douloureuse et si triste? Très peu de jeunes, il y a quelqu’un parmi les adultes qui donne plus. J’ai mis les jeunes comme piliers pour aider l’Evêque. Où sont-ils? Ils ne l’aident pas, parce qu’ils ont un enfant? On peut aider l’Evêque même avec un enfant, on peut être solidaire même avec un enfant. Aimez Dieu, aimez l’Evêque. Lui vous aime, il est inutile de vous répéter qu’il souffre énormément et est très fatigué. Il est si fatigué qu’il ne parvient plus à faire la direction spirituelle et beaucoup en ont besoin.

Marisa - Pardonne-moi, petite Madone, puis-je te dire quelque chose? Alors pourquoi ne demandes-tu pas à Dieu de lui donner la force qui lui manque pour aider aussi les autres? Seul Dieu peut donner la force qui manque, les hommes font ce qu’ils peuvent faire. Nous attendons la force et l’aide de Dieu. As-tu entendu comment les petits parlent de Jésus?

La Madone - Il semble parfois que vous les grands, vous fuyez Jésus; en Le fuyant, vous fuyez également l’Evêque, c’est pourquoi je vous répète: aimez-le, aimez-le, aimez-le. Quand quelqu’un meurt, même s’il a été méchant ou pas très bon pendant sa vie terrestre, il est considéré comme un saint. On dit de lui: il était bon, il faisait la charité. Ce n'est pas ainsi, il faut être saint sur la Terre, il faut aimer pendant sa vie. La Mère de l’Eucharistie vous remercie de votre présence. Beaucoup ne viennent pas parce qu’il n’arrive jamais rien. C’est une erreur, cela veut dire qu’ils n'ont rien compris. Je vous ai dit d'être solidaires de l’Evêque, d’aimer Dieu, comme Il vous aime.

Marisella, qu’as-tu sur le visage?

Marisa - Ne te moque pas de moi, toi aussi, je t’en prie?

La Madone - Oui, je l’ai dit pour te voir sourire. Tu as vu qu'hier la doctoresse a dit que tu as un beau sourire et que tu es belle?

Marisa - Eh bien, elle ne voit pas bien. Petite Madone, nous essaierons de faire tout notre possible, mais mets-toi à ma place. Si je vois l’Evêque dans un tel état, comment pourrais-je faire comme s’il n'y avait rien? j’essaie de plaisanter, de rire, mais je reçois chaque fois un coup, puis un autre et nous restons ensemble embrassés, ce n'est pas qu’il y ait quelqu’un qui s'en aille, non, non ils restent tous.

La Madone - Marisella, parfois il n'y a que l’Evêque et moi pour pouvoir comprendre ce que tu dis. Beaucoup ne le peuvent pas. Ils te disent: "Vois, comme tu es bien!" et toi dans le même moment tu te sens très mal, tu es bien plus malade qu’ils ne le pensent.

Marisa - Je ne veux pas parler de moi, je désire seulement de l’aide pour l’Evêque. Si tu l’aides et qu’il remonte la pente, les jeunes et les adultes le feront aussi. Fais-nous cette grâce. Est-ce que cela te coûte beaucoup? Dis-nous le prix et nous paierons.

La Madone - Tu es toujours drôle et espiègle, Marisella.

Marisa - Et que dois-je faire?J’ai parfois tellement envie de pleurer, comme m’a dit une personne. Essaie de nous aider. J’ai dit non à la souffrance et j’en reste au non.

La Madone - Même pour les jeunes?

Marisa - Certainement.

La Madone - d’accord, faisons maintenant comme tu veux, Marisella, puis nous verrons.

Marisella - Je changerai quand je verrai l’Evêque redevenir billant, souriant et joyeux.

La Madone - C’est bon, Dieu le Père a entendu ce que tu as dit et Il fera certainement quelque chose pour lui, mais tu ne pourras pas ensuite te lamenter.

Marisa - Non, non. Je serai heureuse, très heureuse si Dieu fait quelque chose pour lui. Je te recommande mes petits enfants. Je ne suis pas maman, mais j’ai l’impression qu’ils sont tous les miens. Aide ces petits à grandir et les grands à changer, parce qu’il y a tant de confusion, on ne comprend rien. Tous parlent et tous ont raison, petits et grands; aide-nous tous, je t’en prie.

La Madone - Oui, Marisella, souviens-toi de la grande grâce que Dieu t’a faite vendredi.

Marisa - Mais je ne veux pas de grâce, je veux mourir, il ne doit pas me faire de grâce, il doit en faire une à l’Evêque! O.K. (On récite le Notre Père...)

La Madone - Je voue en prie, mes enfants, soyez solidaires de votre Evêque, aidez-le comme vous le pouvez, et je serai toujours avec vous.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les petits enfants présents et absents et tous ceux qui n'ont pu venir. Je vous bénis tous. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 26 octobre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - C’est moi Jésus. Je suis venu adresser mes vœux à ma et votre Maman ainsi qu'à vous tous. Vous fêtez aujourd'hui la Mère de l’Eucharistie. Ma Maman est la Mère de l’Eucharistie. On lui a donné beaucoup de noms, mais elle est la Mère de l’Eucharistie et apparaît depuis de nombreuses années à la petite Marisella et continue à lui apparaître jour et nuit en fonction des besoins.

Moi, votre Jésus, je suis toujours présent. Tout ce que votre Evêque a dit est la sacro-sainte vérité: ses paroles viennent du cœur et ce sont des paroles d’espérance et de douleur. Vous, petite communauté, vous avez été appelés par Dieu, qui a rendu ce lieu thaumaturgique. Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi nous avons érigé et privilégié ce lieu, mais les gens ne m'ont pas écouté. Ceux qui continuent encore à venir auront une très grande récompense. C’est vrai: notre "bientôt" n'est pas le vôtre. On pense et agit différemment au Paradis. Vous êtes fatigués et éprouvés, mais ce n'est pas Dieu qui le veut. La Mère de l’Eucharistie vous a transmis beaucoup d’enseignements, elle vous a enseigné à aimer, à se donner, à souffrir et à offrir à Dieu. Elle vous a enseigné à faire la volonté de Dieu, Je sais, que ce n'est pas facile. Moi, Jésus, je m’incline devant Lui, le Saint Esprit s’incline devant Lui, parce que Nous sommes un.

Vous aussi, vous devez être toujours unis dans la prière, le travail et surtout dans l’amour. Moi, Jésus, je n’ai pas de mots pour vous remercier de ce que vous faites; vous mettez tout votre cœur pour que tout soit beau. La préparation est belle, les ornements sont beaux, tout ce que vous avez fait est beau, mais je veux que votre âme soit belle. Vous devez avoir plus de sensibilité, d’amour envers tous parce que Dieu est Amour et si Dieu est Amour, Il ne peut vous décevoir. Nous ne pouvons pas vous décevoir. Vous ne pouvez pas comprendre la différence qu’il y a entre le Paradis et la Terre. C’est pourquoi vous demandez, implorez, priez, tout ceci est très beau. Vous êtes-vous jamais demandés: "Comment se fait-il que la petite Madone, la Mère de l’Eucharistie vienne dans ce petit lieu, où il n'y a qu’un petit groupe et n’aille pas dans les grands lieux où il y a tant de monde? Pourquoi a-t-elle justement choisi ce lieu?". Vous l'êtes-vous demandés? Parce qu’elle veut que vous soyez saints, même avec vos petites imperfections. Cela ne fait rien, vous êtes des hommes et la nature humaine peut aussi se rebeller, chuter un peu. Nous sommes prêts à pardonner. Je vous dis maintenant quelque chose pour vous faire sourire: pardonnez-Nous aussi. Nous agissons d'une manière et vous d'une autre, Nous pensons d'une façon et vous d'une autre.

Marisa - J’aurais tant de choses à te demander, mais je ne le peux pas.

Jésus - Essayez de comprendre quelle grande fête il y a autour de la Mère de l’Eucharistie, combien d'âmes ne sont plus dans le Paradis d’attente et sont allées dans le Paradis de la Vision Béatifique. Il y a les papes: Léon XIII, Pie XI, Pie XII, Paul VI, Jean Paul I, tu en as connus quelques uns, Marisella. Et bien ils sont tous avec Moi. Il y a aussi beaucoup de laïcs, d'hommes et de femmes et tant de petits enfants. Il est plus facile pour les petits enfants d’entrer au Paradis, c’est plus difficile pour les grands. Je veux que vous soyez simples, humbles, ne jugiez pas, ne regardiez pas les autres lieux, ne parliez pas d’autres choses. C’est le lieu saint que Dieu a voulu; vous devez en être heureux. Je ne vous dis pas ce que souffre votre sœur, parce que vous seriez tristes, ni ce que souffre votre Evêque parce que vous l’avez maintenant fort bien compris.

Je vous fais une petite recommandation: quand votre Evêque parle, écoutez-le, ne pensez à rien d’autre, sinon vous ne comprenez pas et faites des erreurs. Si quelqu’un d'important parle, il faut l'écouter, il ne faut pas dormir, même si Je vous ai dit que vous pouviez aussi dormir devant Jésus. Mais est-ce que vous dormez quand Jésus parle? Quand Je vous parle pour vous faire comprendre quelque chose, vous êtes attentifs, vous essayez de comprendre chaque petit mot. Il doit en être de même quand votre Evêque parle. Parfois quand il a fini de parler, quelqu’un qui n’a pas compris demande à son voisin, ceci ne doit pas arriver. Combien de fois la Maman ne vous a-t-elle pas dit: "s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, demandez-le à l’Evêque, ne parlez pas entre vous, vous ruinez la beauté de ses paroles". Voilà ma Mère, voilà votre Mère, elle est en fête et tous les petits enfants, les saints, les papes et ta maman sont autour d’elle, Marisella.

Marisa - Oui, je la vois.

Jésus - Vous devez être heureux, parce que Dieu vous a choisis et vous devez être solidaires de l’Evêque. Ne dites pas vous aussi: je n'y vais plus parce que rien n’arrive. Il y en a beaucoup qui disent qu’ils se sont retirés pour cette raison, mais ce n'est pas la raison, c’est que selon eux il faut faire trop de choses. Est-ce que cela demande trop de temps de faire la rencontre biblique le vendredi, l'heure d’adoration le mardi et de participer à la Sainte Messe et à l’apparition le dimanche? Comment se fait-il que vous fassiez huit heures, dix heures au travail et que vous soyez aussi mal payés? N'est-ce pas aussi une tâche? Pourquoi le faites-vous et pas pour Dieu? Aimez du même amour que Dieu vous aime et aimez-vous. Mes vœux à tous.

La Madone - Je suis votre Maman et je vous remercie des prières et de tout ce que vous avez fait pour ma fête. Je suis heureuse car aujourd'hui beaucoup d'âmes sont entrées dans le Paradis de la Vision béatifique; ceci me donne de la joie. Je veux que vous aussi, quand votre heure viendra, vous entriez au Paradis. Je suis toujours avec vous et ce que Dieu a promis, le c’est assez de Dieu arrivera. Dieu ne peut pas trahir, il fera ce qu’il a promis. Quand? Attendez avec patience, vous en avez tant. Pas vrai, Excellence?

L’Evêque - Ils me donneront l’oscar de la patience.

Marisa - Tu as compris? Ils lui donneront l’oscar ainsi qu'à moi.

La Madone - Tu es bonne.

Marisa - Essaie de nous venir en aide et de nous aider.

La Madone - Je vous aide, mais vous n'y croyez pas. La Très Sainte Trinité vous aide, mais vous en doutez.

Marisa - Ce n'est pas que nous en doutions, mais nous sommes des êtres humains et nous nous posons beaucoup de pourquoi.

La Madone - Oui, c’est vrai, mais je vous ai également enseigné à ne pas poser tant de pourquoi en ce qui concerne Dieu. Moi, la Mère de l'eucharistie, je vous remercie tous, un par un. Je vous aime, mes chers enfants, je vous aime. Aimez-vous bien vous aussi. Quand une personne souffre, aidez-la, allez lui rendre visite à l'hôpital ou à la maison, entrez avec un sourire et parlez de choses qui sont belles, pas de celles qui font souffrir.

Marisa - Donnerez-vous l’oscar à l’Evêque? Je l’ai demandé parce que je pensais que je devais le demander.

La Madone - Mes chers enfants, je suis totalement votre Maman et je vous aime. Merci pour la fête, je sais que vous ne ferez pas d’agapes, comme dit votre Evêque, parce qu’il n’a demandé que des prières, qu’un engagement spirituel. On fait la fête pour manger? On fait la fête pour prier.

Marisa - Oui, mais n'oublie pas que nous vivons sur la Terre.

La Madone - C’est bon, mes chers enfants, je vous remercie tous, je vous aime. Ensemble avec le Paradis et notre saint Evêque, je vous bénis, je vous embrasse tous et vous serre tous sur mon coeur. Je ne peux pas dire que "je vous couvre de mon manteau maternel", parce que Marisella savait déjà hier soir qu’il ne pleuvrait pas aujourd'hui car je l’avais déployer au-dessus de vous pour qu’il ne pleuve pas.

Marisa - Je le savais. Me feras-tu aller un petit peu mieux?

La Madone - Tu devais obéir à Yari, Marisella. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, maman.

Rome, le 31 octobre 2008 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est votre Maman qui vous parle. Je vous ai dit bien des fois: lorsque vous entrez dans une église, allez près de Jésus, approchez-vous du tabernacle, Il est là. Pourquoi restez-vous toujours au fond et il faut que quelqu’un vous le rappelle? Vous exigez de Dieu qu’il vous réponde, mais si vous ne faites pas ce qu’il vous dit de faire par mon intermédiaire, comment pouvez-vous l'exiger? Je vous l’ai dit: accrochez-vous au tabernacle, approchez-vous de Jésus, montrez votre amour envers Jésus, soyez près de lui. Vous souvenez-vous de la femme qui souffrait de pertes de sang? Comme elle savait qu’elle serait guérie si elle touchait simplement son vêtement, elle a tout fait pour avancer, s’approcher de lui et le toucher et vous au contraire, vous vous en éloigner. Pourquoi ceci arrive-t-il encore? Parfois ce sont justement ceux qui fréquentent depuis plusieurs années qui agissent ainsi. Mes chers enfants, mon amour de Maman me suggère ce que je dois vous dire et je vous le dis. Mes remarques sont maternelles, elles sont les mêmes que celles qu’une maman ou un papa ferait à son propre enfant, mais j’ai dit, si vous vous en souvenez, que vous êtes désormais arrivés à l’université. Pourquoi vous conduire encore comme de petits enfants? Pourquoi ne mettez-vous pas en pratique les petits conseils, qui sont en fait de grands conseils, parce qu’ils concernent Jésus, mon Fils Jésus qui est mort pour chacun de vous? C’est pourquoi je vous répète: aimez, aimez, aimez; aimez d’abord et puis priez, apprenez d’abord à aimer et puis priez. C’est une réprimande faite avec amour par la Maman du Ciel et de la Terre. Mes chers enfants, je suis fort triste à cause de tout ce qui arrive sur la Terre. Vous ne savez pas tout, mais il y a beaucoup de personnes qui meurent de faim, il y a des personnes qui ne parviennent pas à avancer, à vivre tranquilles parce que leurs enfants ont faim. Ceux qui sont bien économiquement continuent à être bien et ceux qui sont mal continuent à aller plus mal. Le monde va très mal et, si vous vous en souvenez, je vous ai dit il y a déjà un certain temps de prier pour votre belle Italie. Malheureusement cela ne va pas bien dans le monde entier. Cela ne va pas bien également en Italie.

Les riches deviennent toujours plus riches et les pauvres s'écroulent. Je vous demande, ensemble avec le Paradis, de prier pour ceux qui n'ont pas à manger. Moi du Ciel je vois tout et vous pouvez vous imaginer ce que je vois. Moi, la Maman du Ciel et de la Terre, je souffre avec vous et je pleure, parce que je vois beaucoup de personnes qui ont faim. Il y a des prêtres qui sont riches et d’autres qui pleurent, parce qu’ils n'ont pas à manger et n’arrivent pas à la fin du mois. Il y a des laïcs qui se portent bien, avancent et des pauvres qui vont mal et n'en peuvent plus. Je vois des enfants qui ont faim et qui s’agrippent au vêtement de leur maman et disent: "Maman j’ai faim". Les mamans n'ont rien à leur donner, ou se privent de manger pour leur donner quelque chose. C’est l’italie, c’est le monde entier. Que devrait faire Dieu, selon vous? Faire mourir tous ceux qui sont responsables de cet état de choses? Non ce sont des hommes eux aussi. Mais ils vont toujours bien, c’est pourquoi je vous invite à prier pour ceux qui souffrent. Pensez à ces lieux où je suis apparue et où je n’apparais plus aujourd'hui et qui se sont enrichis et ont reçu beaucoup d’argent. Pour qui sont les offrandes? Le pauvre, le retraité, la veuve. Non mes chers enfants, ceci n'est pas bien. Vous êtes généreux, braves, vous avez fait de belles offrandes, mais il y a tant et tant de personnes qui ne font rien pour aider les pauvres. On aide les pays étrangers, les nations pauvres, mais qui pense à l’italie, à votre Italie? Si tous les personnages importants pensaient à leur propre nation, les choses iraient mieux. Cette lettre de Dieu m’a été donnée juste au dernier moment pour que je vous en parle. Que puis-je vous dire? Priez. Il y en a parmi vous qui souffrent à cause de leur état de santé mais qui remercient Dieu de jouir d'une certaine tranquillité économique. Priez pour les pauvres, les vieux qui sont abandonnés de tous, les petits enfants qui ont faim. Oh combien, combien il y en a dans le monde entier!C’est pourquoi je demande à quelqu’un, toujours au nom de Dieu de souffrir pour aider les frères à vivre avec plus de tranquillité. Mais je ne me lasserai jamais de vous dire que vous devez vivre dans la grâce, recevoir Jésus, mort sur la croix pour chacun de vous, en état de grâce. Si vous n'êtes pas en ordre avec Dieu, n’allez pas recevoir la Sainte Communion, je vous en prie, parce que mon cœur en souffre. Unissez-vous d’abord à Dieu par la Confession et puis recevez Jésus le cœur ouvert, plein d’amour, de paix et de sérénité. Continuez à demander à Dieu et Il se fera entendre. Ce sont des épreuves qu’il envoie aux hommes qui ne sont pas en ordre avec Dieu et vous savez qui ils sont. Vous vous demandez: "Est-ce que les petits enfants, les vieux et les pauvres doivent payer pour cela?". Non, mais plus on est pauvre, plus on souffre. Courage à vous tous, vous n'êtes malheureusement pas nombreux, parce que tous n'ont pas répondu à l’appel de Dieu. Certains ne viennent pas parce que la Voyante ne descend pas parmi eux, d’autres parce qu’il n'y a pas beaucoup de monde, d’autres par paresse; d’autres aimeraient venir, mais leur état de santé ne leur permet pas. De nombreuses grâces ont été données, Dieu a aidé maintes fois des personnes. Alors courage aussi à vous, aidez, aidez-vous et aimez-vous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Courage, Marisella. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Oui, je sais, mais que pouvons-nous faire? Nous n’avons pas les revenus de ces personnes.

La Madone - Vous faites même trop, Marisella.

Marisa - Adieu.

Messages de Novembre 2008

Rome, le 1er novembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je veux espérer que vous avez médité le message d'hier et essaierez de le mettre en pratique, ce n'est pas difficile, il suffit d’aimer pour pouvoir faire ce que Dieu a demandé.

Je suis avec vous et vous aide en tout, pour les petites comme pour les grandes choses, même si parfois vous ne le remarquez pas et ne sentez pas que je vous aide, ou mieux, que nous vous aidons. La Maman est toujours avec vous. Essayez d’aider comme vous le pouvez, ceux qui sont sans ressources, parce que, comme je vous l’ai dit hier, le monde ne va pas bien. Même votre belle Italie ne va pas bien. Combien de fois vous ai-je dit: priez pour votre belle Italie, parce qu’elle ne va pas bien. Les riches deviennent toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres; ce sont toujours les pauvres qui paient pour tous. Je sais à quoi tu penses, Marisella: quand Dieu vous demande quelque chose vous dites immédiatement oui et quand vous demandez quelque chose à Dieu, les temps s’allongent: les temps de Dieu ne sont pas les vôtres.

Marisa - Nous en parlerons tous les trois. (La Madone, l’Evêque et la Voyante, NDLR)

La Madone - Nous en parlerons après. Présente-moi maintenant cet enfant, le petit Gioele, grand petit homme. Prends-le, Marisa, prends-le, n’aies pas peur... tu n’as pas besoin de te lever...

Marisa - Le voilà, lui aussi est notre créature. Tu as dis qu’il grandira sain et bon.

La Madone - Marisella, je fais grandir tous les petits enfants sains et bons, mais cela dépend aussi des parents. Je vous dis à vous, parents, comme je l’ai dit également à d’autres: si l'enfant a besoin d'être grondé, ne criez pas, n'élevez pas la voix, ne lui donnez pas de fessée, punissez-le...

Marisa - Je te donne aussi maintenant une punition...

La Madone - Donnez-lui une punition, privez-le de quelque chose, mais ne lui donnez pas de fessée, à moins qu’il n’ait commis quelque chose de grave. Les enfants reflètent la nervosité de leurs parents.

(Gioele pleure)

Marisa - Est-ce que Jésus était ainsi quand il était tout petit? Je le redonne à sa maman. Donne un petit baiser au petit... il a faim?... Merci, petite Madone, d’aider ces petits enfants.

La Madone -Mariasole est là aussi aujourd'hui. Mariasole est celle qui reçoit le plus de fessées, elle a son petit caractère; pensez que son père est si doux et sa maman .. un peu moins. Courage, faites grandir vos enfants sains, bons et respectueux. Quand vient le temps d’aller à la Sainte Messe, ils doivent y aller. Ils doivent être préparés pour la Sainte Communion. Marisella, tu dois toi aussi faire ta part.

Marisa - Les tantes servent à faire des cadeaux, et pas à autre chose, parce que si elles se permettent de gronder, les enfants leur disent: tu n'es pas ma mère. Alors que faire?

La Madone - Cela ne fait rien, tu continues. Tu n’auras pas peur d'un enfant ou d'une enfant.

Marisa - Non.

La Madone - C’est une apparition extraordinaire pour le petit Gioele, qui fera partie des chrétiens dimanche prochain et deviendra une créature nouvelle venant s’ajouter aux autres. Gioele sera également son ange, en plus de celui de l’Evêque. Je vous invite encore à prier pour ce que je vous ai dit hier soir. Soyez unis, vous êtes un peu dispersés.

Marisa - Sais-tu que tu parles un peu romain comme nous? Dispersés. Je ne sais pas si c’est romain ou pas.

La Madone - Courage, Marisa, dans peu de temps tu retrouveras un peu de voix pour parler un petit peu mieux. Sois heureuse.

Marisa - Comment faire pour être heureuse? L’Evêque?

L’Evêque - Comment faire pour être heureux?

La Madone - Je vous comprends et ne vous juge pas, parce que vous avez raison, mais vous savez que le bonheur n'est pas de ce monde.

Marisa - Je m'en suis rendue compte.

La Madone - Vous serez heureux quand vous irez jouir du Paradis.

Marisa - Mais quand? C’est en 1989 que tu m’as dicté cette prière parlant de la nostalgie du Paradis. C’est bon.

La Madone - Chers parents, je vous prie de bien faire grandir cet enfant. Il a besoin d’amour et d’affection, maintenant qu’il a à peine un mois et plus tard, quand il sera plus grand. Les papas qui dorment peu, parce que les petits enfants pleurent, ne doivent pas se plaindre. Ne le savaient-ils pas avant? Tu l’as dit, Marisella, de faire l'expérience avant, parce que quand l'enfant naît, c’est plus difficile. Je vous remercie tous et vous adresse à tous mes vœux, je les adresse en particulier à ceux qui n'ont pas de Saint au Paradis.

Ensemble avec l’Evêque, je vous bénis, ainsi que tous les petits enfants et les malades. Je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre très fort contre moi. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Tous mes vœux aux parents, grands-parents, sœurs, frères, mais surtout à l’Evêque et à Marisella qui sont...

Marisa - On ne peut pas le dire. C’est bon, merci.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 2 novembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Comme vous le savez bien, c’est une grande joie pour moi de venir dans ce lieu thaumaturgique, parce que je suis certaine que Dieu est avec vous, qu’il est toujours avec vous, même s’il ne dit rien. J’aimerais beaucoup que cette journée soit consacrée à ceux qui souffrent, aux petits enfants et aux personnes âgées qui meurent de faim. Comme je vous l’ai déjà dit, si les Chefs d’etat, les gros bonnets, donnaient quelque chose d’approprié à leur propre pays, tout irait mieux. Mais que se passe-t-il? Les italiens envoient en Afrique, l’afrique envoie dans un autre continent et ce dernier dans d’autres et c’est ainsi que les villes se ruinent, parce qu’actuellement vous avez tous besoin d’aide, même votre "belle Italie". Combien de fois vous ai-je dit de prier pour votre "belle Italie", les choses ne vont pas bien, le monde court à sa ruine. Vous ne croyez peut-être pas qu’il en soit vraiment ainsi, quand la Maman vous le dit. Puis quand les choses éclatent, quelqu’un dit alors: "La Petite Madone l’avait dit, elle avait raison". Est-ce qu’il vous semble que je vous dise des choses qui ne soient pas vraies? Quand vous attendez quelque chose de Dieu, ne continuez pas à répéter les mêmes lamentations: Dieu peut, Dieu ne peut pas, Dieu… Dieu. Au moment où vous non plus ne vous y attendrez pas, Dieu fera ce qu’il a dit: Il doit le faire, parce que Dieu est Dieu, Il n'est pas un homme quelconque. Si Lui aussi ne tenait pas ses promesses, n'est-ce pas, Marisella, comment ferions-nous?

Marisa - Je ne sais pas. Je sais seulement que nous sommes fatigués d’attendre ce oui et tu le sais. Quand? Quand? Je te le répète encore: Quand Dieu fera-t-il ce qu’il a promis de faire? Nous attendons, il nous arrive de grogner, de rester silencieux, d’avoir les larmes aux yeux, mais nous continuons à attendre. Oui, il y a aussi un peu de découragement, de déception, d’amertume: nous sommes des hommes, de chair et d'os. De temps à autre nous tombons, cédons à la tentation et nous demandons: "Pourquoi Dieu ne fait-il pas aussi quelque chose pour nous?".

Il nous aime, il a choisi ce lieu thaumaturgique, il nous a accordé beaucoup de grâces et puis? Nous nous sentons comme abandonnés, c’est pourquoi hier soir, petite Madone, quand tu es venue à l’improviste, je t’ai dit: "Si vous ne voulez pas le faire pour nous, faites-le au moins pour l’Evêque, décidez-vous pour lui"; nettement pour lui, parce que nous venons après. Nous attendons donc, nous attendons anxieusement. Je n’ai pas honte de te dire que je suis très fatiguée et éprouvée tous les jours et les nuits en plus, mais cela ne fait rien. Je peux dire que je suis contente, même si j’ai parfois les larmes aux yeux. Je pleure, ris, plaisante avec les jeunes quand ils viennent, j’essaie de faire sourire aussi l’Evêque, mais ce n'est pas facile. Il est tellement abattu moralement et physiquement. Aide-nous, je t’en prie, toi qui es la maman de tous les hommes, montre-le nous.

La Madone - Et toi, Marisella, montre-moi que tu es ma fille. Tu as parfois des mots un peu durs, il semble que tu en aies après Dieu.

Marisa - Je n'en veux à personne, je veux seulement voir triompher l’Evêque, seulement cela et puis ce sera ce que Dieu voudra. Je sais qu’il ira dans la tanière des loups et le nid de vipères, mais peu à peu ces loups et ces vipères mourront ou seront rendus inoffensifs. Aide-nous tous, nous avons tous besoin de ton aide, dis-le aussi à Dieu, si tu le veux ou je le lui dirai.

La Madone - Marisella, Dieu a déjà tout entendu.

Marisa - C’est bon. Tu veux la prière et nous prierons, tu veux des sacrifices et nous en ferons, tu veux la souffrance de Marisa et tu l’auras, mais une atténuée (à demi voix) si Dieu aussi peut la donner. Non?

La Madone - Eh bien, oui, je vous demande à tous de prier. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants, les malades, les personnes âgées et tous ceux qui en ont besoin. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il.

Rome, le 7 novembre 2008 - 20h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je viens toujours parmi vous avec beaucoup de joie. La Maman voit toutes vos déceptions, difficultés et maladies; je réussis à tout voir et j’aimerais vous aider tous. Malheureusement, comme je l’ai déjà dit d’autres fois, rien ne va dans aucune partie du monde. Les hommes se détestent, surtout ceux qui occupent des postes de responsabilité. Vous devez vous aimer, comme je vous l’ai toujours dit. Je serai toujours avec vous, j’aiderai ceux qui ont en le plus besoin, naturellement l’Evêque, la Voyante et tout ma petite communauté que Dieu aime tant. Je vous aime, mes chers enfants, mais je sais que vous vivez un moment difficile, en particulier celui qui est à la tête de cette petite communauté.

Votre heure viendra et tout sera plus facile, même si le début de la renaissance de l’Eglise demandera beaucoup de souffrances, c’est pourquoi je vous invite à prier.

Quand vous avez de petites discussions en famille, faites la paix avant d’aller vous coucher. Que la paix soit toujours avec vous. Je sais, Marisella, ce n'est pas nécessaire que tu me dises quelque chose.

Marisa - Je ne te dis rien.

La Madone - Je sais ce que tu veux me dire.

Marisa - Je voulais seulement te dire que je suis très éprouvée, très fatiguée et tu sais ce que j’aimerais, ils le savent tous. Ils seront plus heureux sans quelqu’un comme moi à leurs côtés.

La Madone - Ne parle pas ainsi, Marisella, ils ne seront pas heureux, ils auront du chagrin, mais, pour ton bien, tu dois aller au Paradis.

Marisa - Mais quand?

La Madone - Mon estime, ma foi, mon amour pour vous est si grand que vous ne pouvez pas vous l’imaginer. Quand vous parlez, essayez de le faire plus doucement, même si c’est dit au pluriel, cela ne veut pas dire que cela s’adresse à tous. Il arrive parfois, quand quelqu’un est fatigué et éprouvé qu’il parle durement; je ne veux pas que vous agissiez ainsi.

Quand je reverrai l'église pleine comme elle était auparavant, quand les gens comprendront qu’en s´éloignant de ce lieu thaumaturgique ils se sont éloignés de Jésus et de moi, il y aura de bonnes nouvelles pour tous. Pourquoi se sont-ils fatigués de prier? Pourtant la communauté n'exige pas beaucoup de vous. Elle demande à ce que vous soyez présents le vendredi, le premier samedi du mois, le dimanche et les jours de fêtes d'obligation. Je ne crois pas que ce soit une tâche écrasante. Je vous ai dit que vous pouviez prier à la maison, en faisant vos courses, à n'importe quel moment, mais les jours que je vous ai énumérés, c’est votre devoir de venir ici. Dites-le aussi aux autres, n’ayez pas peur de parler, parce que Dieu est avec vous, moi, la Mère de l'eucharistie, je suis avec vous. Merci.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, les malades, les personnes âgées et en particulier les petits enfants qui souffrent beaucoup de la faim. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Oui, j’ai compris, mais tu dois venir, si tu le promets et que tu ne viennes pas, nous sommes mal.

L’Evêque - Très mal.

Rome, le 9 novembre 2008 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui une grande fête. Le petit Gioele Maria va entrer dans la famille des chrétiens. C’est un petit enfant qui est aimé de ses parents, ses proches, son parrain, sa marraine et de tous. Dieu a posé ses yeux sur lui et aide à le faire grandir bon et obéissant envers ses parents, grands-parents, envers tous. C’est avec une grande joie que je le vois dormir dans les bras de son papa. La Maman adresse ses vœux à tous, aux grands-parents, aux parents et au petit Gioele Maria.

Marisa - Et au parrain et à la marraine?

La Madone - A eux également, Marisella, sois bonne. J'invite les adultes à prier pour les petits enfants, soyez toujours près d’eux. Je vous en prie: ne leur donnez pas de fessées, ne les frappez pas, ne les tirez pas fortement par le bras pour les faire rester sages, punissez-les. Il ne faut absolument pas toucher aux petits enfants. Le petit enfant a besoin de tout, un jour ce sera différent. Oui, petit, pleure, c’est bon pour les poumons. Ceux qui sont dans la basilique ne voient rien malheureusement, mais vous savez fort bien comment votre Evêque baptise les petits enfants. Gioele, l’ange de l’Evêque, qui sera aussi l’ange du petit Gioele, et tous les autres anges descendent maintenant du ciel pour fêter le petit Gioele Maria. Sont naturellement présents mon Jésus, la petite Madone, Saint Joseph, grand-mère Iolanda et les âmes saintes qui ont servi Dieu avec beaucoup d’amour.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisella, embrasse le petit Gioele; tu l’as vu quand il était encore dans le ventre de sa maman.

Rome, le 14 novembre 2008 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis ici avec vous, j’attends fiévreusement ce jour pour vous voir, vous aider et surtout aider ceux qui souffrent. Je vous ai demandé maintes fois de prier pour les petits enfants malades, abandonnés et vous avez répondu à mon appel. Il y a tant de personnes qui souffrent par la faute d’autres hommes et cela me fait mal, à moi, la Maman. Je dis à ce jeune, courage, continue, ne te démoralise pas trop, cela n'en vaut pas la peine. Je te demande pardon si cette indication est arrivée du haut des cieux. Dieu vous dit ce que vous devez faire et si vous n'y répondez pas ensuite, c’est vous qui en payez les conséquences. Ne vous faites pas de soucis, obéissez toujours à Dieu, courage et continuez. Je suis votre Maman et, comme je l’ai dit hier matin à votre soeur, Dieu est toujours près de vous, je suis toujours près de vous, en particulier près de ceux qui souffrent, des enfants qui sont loin et proches.

Courage à tous. Courage aussi à toi, Marisella.

Marisa - J’aimerais aller un petit peu mieux, un petit peu, petit peu.

La Madone - Petits enfants, aimez la petite Madone, envoyez-moi un baiser. Emanuele, tu m'envoies un baiser, trésor? Donne-le aussi à ta petite sœur et puis, dimanche à tes cousins en leur disant: "La Madone, la Mère de l’Eucharistie vous envoie ce baiser".

Je salue et envoie un baiser à tous les petits enfants qui font partie de cette communauté ainsi qu'à ceux qui n'en font pas partie.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Adieu, Sara, envoie un baiser à la petite Madone.

Marisa - (Tournée vers l’Evê que) La Madone n’a pas continué, parce que je suis trop mal. Je n’arrive plus à traduire et à répéter ce qu’elle dit.

Rome, le 16 novembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je sais que c’est un moment très difficile pour vous, mais vous devez être plus confiants, plus calmes et supporter ceux qui ne sont pas comme vous aimeriez qu’ils soient. (La Madone se tourne vers l’Evêque et la Voyante, NDLR)

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La prière vous conduit à Jésus et Il a dit: "Apprenez à aimer et puis priez", n'oubliez pas cette phrase. Beaucoup d'êtres humains qui agissaient mal, faisaient souffrir leur prochain, juraient, se sont convertis parce qu’ils ont appris à aimer. Vous ne les connaissez pas, mais il y en a beaucoup au Paradis, ils sont montés au Ciel uniquement pour avoir accompli un acte d’amour. J’aimerais que vous accomplissiez des actes d’amour, que vous vous aimiez, que vous vous supportiez mutuellement. Il peut y avoir des moments durs, difficiles, mais vous ne devez pas vous laisser abattre pour cela, vous devez être toujours prêts à tout supporter, à être courageux, et je serai parmi vous. l’un d’entre vous pense qu’il est difficile d’arriver à la sainteté. Oh non, ce ne l'est pas. Si vous réussissez à aimer votre prochain, votre frère, votre sœur, vos amis et accomplissez des gestes d’amour et de paix, vous irez rapidement au Paradis. J’aimerais tant que vous vous aimiez, vous devez aimer aussi ceux qui ne participent pas à la Sainte Messe, ne viennent pas dans le lieu béni par Dieu. C’est un lieu thaumaturgique, Dieu l’a voulu, vous en saurez demain la raison. Il y a eu ici des conversions et des guérisons; c’est très important. Faites attention parce que Dieu fait les guérisons, aide et appelle, mais si l’on ne fait pas ce qu’il demande, il n'y a pas d’amour, il n'y a rien. Je vous le répète: aimez Dieu, croyez en Dieu et quand Il vous dit quelque chose, faites-le, sinon vous vous mettez contre Lui. J’aimerais tant que vous enseigniez à vos enfants combien il est important d’aimer Dieu. Dieu est un seul Dieu, personne ne l’a jamais vu, mais Il voit tous les hommes et les aime tous, l’un d'une manière et l’autre d'une autre et Il sait à qui demander plus ou moins de souffrances. Priez afin que Dieu vous accorde le don d'une grande foi en Lui.

Mes chers jeunes, divertissez-vous aussi, j’ai éprouvé une grande joie hier, en vous voyant tous ensemble à faire une petite fête. Ne pensez-vous pas que ce soit beau? Je ne vous dis pas que vous devriez toujours le faire, parce que vous êtes fort pris par vos obligations familiales, mais de temps à autre, faites-le. n’ayez pas honte de faire une petite prière et si vous ne pouvez pas faire le signe de croix, parce que beaucoup vous regardent, faites un petit signe de croix avec le pouce sur votre cœur, et, vous serez alors unis avec moi et je serai avec vous. Courage, mes enfants, je vous aime, Dieu vous aime et le Paradis vous aime. Il faut savoir bien prier. C’est beau de dire une prière avant de commencer à manger, c’est beau que ce soient les enfants qui la disent. Ce sont les enfants qui vous rappellent de prier. La petite Madone vous en remercie, parce que le mérite en revient aux parents si les petits enfants se conduisent ainsi. Ils devraient être un peu plus sages.

Marisa - Ils sont petits. Je ne sais pas où ils sont.

La Madone - Comment tu ne le sais pas? l’un d’eux est avec toi.

Marisa - Lui (tournée vers le petit Emanuele) c’est l'homme de la prière, quand il le veut.

La Madone - Cher Emanuele, prie, mon trésor, prie pour ton papa et ta maman, tes oncles et tantes, tes cousins. Prie pour les âmes qui souffrent, les petits enfants qui ont faim, qui n'ont rien à manger, n'ont pas de médicaments pour se soigner. Vous, au contraire, petits enfants, vous avez tout, vous ne manquez de rien. N'est-ce pas, Emanuele? Essayez d'être sages, bons, et d'obéir surtout à vos parents. Tu te souviens du quatrième commandement? Tu honoreras ton père et ta mère. Emanuele, que veut dire honorer son père et sa mère?

Emanuele - Obéir à ses parents.

La Madone - Oh, si tous les enfants étaient ainsi!

Marisa - Petite Madone, aide nous aussi les grands un petit peu, afin que nous soyons plus forts et meilleurs, parce que il est difficile d'être bon quand on souffre. Cela me surprend que malgré tout, qu’en dépit de toutes les souffrances et douleurs, nous réussissions à prier.

La Madone - Beaucoup prient dans les hôpitaux et beaucoup ont un chapelet en main. Le Saint Rosaire est une longue prière, je le comprends et beaucoup se fatiguent, s'endorment en la récitant. Si vous méditez bien les mystères, il vous sera difficile de vous endormir, mais c’est plus difficile pour les petits.

Je vous remercie de votre présence. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les petits enfants, spécialement ceux qui sont malades et ceux qui n'ont rien à manger. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Emanuele, tu m'envoies un petit baiser?

Merci, mon petit.

Rome, le 21 novembre 2008 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est une joie de vous voir ici participer en premier lieu à la Sainte Messe, toujours dans la grâce de Dieu, et assister à la rencontre biblique. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme c’est important de connaître la Parole de Dieu. Je suis venue de très loin, même si venir ici est pour moi comme faire un saut et me trouver dans ce lieu. Nous étions, Marisella et moi, au Burundi et nous sommes maintenant ici. Je suis ici parmi vous pour vous apporter un peu de joie et de paix. Je sais que vous vivez un moment très dur, en raison des hommes de la terre, ou …

Marisa - …. de ceux du Ciel. Je le dis, si tu as peur de le dire.

La Madone - Je n’ai pas peur de le dire, mais j’aimerais vous faire comprendre que l’amour de Dieu et mon amour sont immenses pour vous et les petits enfants. Oh, combien de petits enfants continuent à mourir de faim, parce qu’ils ne reçoivent pas les soins nécessaires pour guérir! Votre sœur sait fort bien ce qu’il en est. Vous, les enfants, petites fleurs, et vous les adultes, grandes fleurs, vous ne pouvez pas vous imaginer comment est la situation dans les autres pays. Vous avez finalement compris qu’ici aussi, dans votre belle Italie, les choses ne vont pas bien. Je vous demande de prier beaucoup, je demande aux enfants de prier pour les autres enfants qui ne peuvent pas jouer, parce que la misère, la faim et la maladie les accablent et de temps à autre, l’un s'envole vers Dieu. S'envoler vers Dieu est la chose la plus belle qui puisse arriver, aussi bien aux grands qu’aux petits. Quelqu’un attend de partir depuis longtemps (Marisa, NDLR), mais doit encore attendre, un peu, très peu, parce que sa santé décline toujours plus. Priez, priez pour tous les petits enfants du monde entier; vous êtes grands-parents, oncles, tantes, mamans et papas, vous avez tous de petits enfants. Priez surtout pour ceux qui sont malades et ceux qui n'ont rien à manger. Depuis quelques jours je vais les voir avec Marisella, leur situation est fort triste.

Que puis-je te dire à toi, Marisella? Courage. Et à toi, mon cher saint Evêque, courage, ne t'écroule pas quand tu vois que ta sœur n'est pas bien, tu ne résous rien et tu vas mal toi aussi.

Vous devez vous aimer tous, en dépit de la souffrance, des épreuves, de ceux qui vous font souffrir et qui sont si nombreux. Aimez-vous tous. Les petits enfants doivent respecter leurs parents et les parents doivent avoir un peu plus de patience avec leurs enfants et tout sera plus beau. Mon salut s’adresse à ceux qui sont loin, en voyage et à ceux qui sont malades. Merci.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Rome, le 23 novembre 2008 - 11h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui la fête du Christ Roi, mais toi, Marisella, tu sais fort bien que le Christ est un Roi sans couronne; les Rois du Ciel n'ont pas de couronne.

Marisa - J’aimerais te remercier pour cette nuit, même s’il était quatre heures, disons du matin, j’ai réussi à me reposer un peu. Mais les douleurs intolérables recommencent maintenant, et alors, Jésus, je te demande de tout mon cœur de me faire surmonter cette crise.

Jésus - Si les petits enfants réussissent à prier, Je serai avec eux et je les aiderai toujours. Marisella, je dois leur dire aussi quelque chose, sinon ils se lassent. Je dois maintenant aller vers le Père et je te laisse la Maman.

La Madone - Mariasole, tu ne veux pas être avec la petite Madone? Et toi, Sara? Emanuele, tu as bien fait ce que tu devais faire, mais il y a encore beaucoup à faire, notamment obéir à ses parents. Quand ils t’appellent, accours tout de suite, dépèche toi et dis: "Papa, me voilà, maman, me voilà", on voit ainsi l’amour que tu as pour tes parents.

Marisella, nous sommes venus cette nuit pour t’aider et tu sais que si nous n'étions pas venus tu aurais été torturée. Oui, tout était fini à quatre heures et tout recommence maintenant. Tu sais ce que Dieu t’a dit. Ce n'est pas moi, la Maman, qui fais ces demandes, c’est Dieu qui parle et qui demande tout ce qu’il veut.

Marisa - Il pourrait me faire aller un petit peu mieux? Je n’ai pas demandé hier soir à guérir, j’ai demandé à aller mieux, pas pour moi, mais pour l’Evêque, Yari et Laura qui vivent ici avec moi. Je demande à aller mieux, seulement ce peu qui me sert à sourire et parler avec les miens.

La Madone - Revenons à la fête du Christ Roi. Mon Fils, ton Epoux est le Christ Roi. Le Roi plus grand que tous ceux de la Terre; Il est Roi sans couronne. Combien de couronnes me met-on également, mais il n'en est pas ainsi. Le Paradis est joie et amour, sans faste inutile. Je demande à tous de prier, je le demande aussi à Mariasole, Sara, Emanuele, Jacopo, le grand jeune homme, et à Samuele, même s’il fait un peu de caprices.

Il y a eu lors de cette fête le miracle eucharistique tant critiqué, pour lequel vous avez beaucoup souffert. Pourquoi offenser l’Eucharistie? Pourquoi dire: "Jette ce morceau de pain"? Pourquoi ne pas croire en l’Eucharistie de laquelle est sorti du sang dans les mains de votre Evêque? Souvenez-vous: ceux qui ne croient pas en l’Eucharistie auront des comptes très tristes à régler avec Dieu. Vous, au contraire, vous avez cru à tout. Vous, les adultes, continuez à prier, je sais que vous priez beaucoup. Les jeunes prient aussi, nous continuons à les appeler les jeunes; les petits enfants prient aussi. Dieu devra changer d’avis.

Je sais que dans la vie il y en a qui jouissent et d’autres qui souffrent. Marisella, elle, souffre et offre ses souffrances pour tous les petits enfants pauvres, délaissés, les missionnaires, les malades si nombreux; même les docteurs tombent malades et il faut aussi les aider comme il faut aussi aider les infirmières.

Marisa - Petite Madone, tu ries en parlant, mais nous souffrons énormément. Je t’en prie fais que l'histoire d'hier ne se renouvelle pas.

La Madone - Mes chers enfants, petits et grands, la Maman vous aime, Jésus vous aime, Dieu aime tous les hommes. Je suis toujours avec vous. Il semblait à Marisella que la grâce ne devait pas arrivée pour elle, puis elle est venue, tard, mais elle est venue. Je veux vous porter tous dans mon cœur, les enfants en particulier. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Quand m'emporterez-vous? Les deux dates sont passées depuis longtemps.

La Madone - Tu as raison. Je vous laisse, mes chers enfants, il y a la Sainte Messe. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Aide-moi, je t’en prie. Salue ma maman, ne la faites pas pleurer.

Rome, le 28 novembre 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Comme toujours, c’est une joie pour moi de venir parmi vous. Je regrette que certaines personnes ne viennent pas parce que la voyante n'est pas présente, ne descend pas dans l'église. Vous ne pouvez pas comprendre combien elle souffre et comme elle est mal aussi pour vous. Cela veut dire que ceux qui se conduisent ainsi n'ont pas encore compris l’importance de participer à la Sainte Messe, de faire la Sainte Communion, d’aller se confesser, de vivre dans la grâce et de réciter le Saint Rosaire. La Voyante vient en dernier et ne vaut que pour le peu de temps où je suis avec elle. Pourquoi n'obéissez-vous pas et ne mettez-vous pas en pratique les lettres de Dieu? Pourquoi continuez-vous à parler à voix haute dans l’Eglise quand la Sainte Messe est finie? Pourquoi vous retournez-vous souvent pour voir qui entre ou sort? Dieu a dit: "Quand vous priez, approchez-vous du tabernacle, regardez le tabernacle, ne vous retournez pas pour regarder, saluer, sourire à qui entre ou sort". Ce sont peut-être pour vous de petites recommandations, mais elles sont importantes pour Dieu. Quand vous êtes devant Jésus, devant le tabernacle, il y a Lui et c’est tout, il n'y a pas les autres, il y a Jésus et vous.

Beaucoup de personnes ne vont pas au Paradis par manque d’amour. L’amour et la charité conduisent au Paradis, même si la vie qu’on a menée n'était ni bonne ni belle. Je sais que vous priez beaucoup, mais la prière ne suffit pas. Jésus a dit: "Apprenez à aimer, puis priez", parce que l’amour est la plus belle et la plus grande vertu qui vous rapproche de Dieu, parce que Dieu est amour.

Attention, Marisella, parce que je lis ce que tu penses intérieurement. Oui, je sais, qu'humainement parlant je pourrais vous dire que vous avez raison, mais spirituellement parlant, non. Anna, petite Anna, mets-toi debout et assieds-toi, ne restez pas à genoux, parce vous êtes encore plus mal après. Vous savez tous combien de fois je vous ai dit: "Que ceux qui ne peuvent pas s’agenouiller se mettent debout et que ceux qui ne peuvent pas non plus rester debout restent assis ". Qu'y a-t-il de plus beau que d'être à l’aise et de prier Jésus en fixant le tabernacle, parce que mon Fils s'y trouve?

C’est dimanche le premier dimanche de l’avent. Votre Evêque doit décider de faire une neuvaine ou un triduum. De toute façon je suis toujours avec vous, à n'importe quel moment et n'importe où que vous soyez vous êtes.

Marisa - Soyez ou êtes, c’est bon, c’est la même chose. Excuse-moi, mais mon italien n'est pas toujours correct.

La Madone - Parles-tu mieux français, Marisella?

Marisa - Non.

La Madone - Je vous remercie de votre présence, mes chers enfants. Mettez en pratique tout ce qui était exposé dans la lettre de Dieu, mettez en pratique mes remarques maternelles.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Je t’en prie, aide-moi. Adieu. Ma maman n'est pas là ce soir? Pourquoi? Tu la salues de ma part et tu lui donnes un baiser?

Rome, le 30 novembre 2008 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci d'être venue nous rendre visite. Nous sommes très tristes et tu le sais.

La Madone - Je suis venue pour vous dire de prier, je n’ai pas beaucoup de choses à vous dire parce que la lettre de Dieu est très courte. Il y est seulement écrit: "Dis à mes enfants de prier, mais ils doivent apprendre avant à aimer". La croix et la souffrance doivent s’atténuer, même si pour quelqu’un (pour Marisa, NDLR) elles persisteront jusqu'à la fin. Il me semblerait me moquer de vous si je vous disais courage et je vous dis seulement soyez forts, ayez foi et croyez en Dieu. Dieu est amour et vous devez l’aimer, en dépit de toutes les difficultés de la vie. Seulement très peu de personnes, deux, souffrent beaucoup. Courage, ayez foi. Vous voulez célébrer l’année de la réalisation des promesses. L’Année de la Foi serait mieux appropriée, mais c’est à notre Evêque de décider.

J’ai envie de vous dire courage, courage, courage, mais j’ai l’impression de me moquer de vous. Nous vous aimons tant, même si une grande souffrance est présente, mais n'oubliez pas que Dieu Amour est avec vous. Merci. Mettez en pratique tout ce que Dieu a dit jusqu'à présent dans ses messages. Quand vous réussirez à mettre en pratique les remarques de Dieu et mes remarques maternelles, alors tout changera.

Merci encore, mes chers enfants, de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous, vous êtes héroïques d'être venus ici malgré la tempête. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Adieu.

Marisa - Aidez-nous au moins à affronter cette grande épreuve, donne-nous en la force surtout à l’Evêque. Merci.

Messages de Décembre 2008

Rome, le 5 décembre 2008 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Ce que tu as dit est vrai, Marisella.

Marisa - Attends une seconde. Elle est venue, bien que le Saint Sacrement soit exposé. Qu’est-ce que cela veut dire?

L’Evêque - Que les instructions ont changé.

Marisa - Elles changent toujours?

L’Evêque - Exactement!

Marisa - Alors c’est bien.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Vous savez que je suis toujours présente lors de la rencontre biblique; Le Saint Sacrement (Jésus Eucharistie) est exposé aujourd'hui, mais Dieu le Père m’a également envoyée avec grand-mère Iolanda pour aider tous ceux qui souffrent. Il faut savoir accepter la souffrance, même si celle-ci est parfois dure et forte. Si vous n’agissez pas comme vous devez le faire, vous souffrez encore plus. Je suis venue par obéissance à Dieu le Père. Mes enfants, priez, aimez, acceptez au moins les petites souffrances et recommencez à sourire, même si le monde court à sa ruine. Pas rire, mais sourire, être brillants comme vous l'étiez autrefois. Vulcano et Mascotte, vous souvenez-vous quelle vitalité vous aviez? Yari faisait toujours des plaisanteries et faisait rire tout le monde, mais le plus brillant de tous c'était votre Evêque. Ne plus le voir comme il était autrefois, me fait mal, mais Dieu veut qu’il en soit ainsi, en a décidé ainsi.

Marisa - Ainsi comment?

La Madone - Ne pose pas de questions, Marisella.

Marisa - J’ai été assez bien pendant quelques jours, parce que maman est venue m’aider; elle est allée vers Dieu le Père. J’ai été très mal aujourd'hui et tu as vu comment est l’Evêque? Il n'en peut plus de me voir souffrir et il a raison. Si tu as toutefois de bonnes nouvelles pour nous, dis-nous les, si c’est toujours tabou, nous continuerons à prier, à serrer les dents, pour ceux qui en ont, et à continuer. Nous somme parfois tentés de tout abandonner, de tout arrêter et de ne plus rien faire, puis quand vient l'heure de l’apparition et surtout de la Sainte Messe et de la Sainte Communion, nous nous reprenons et continuons. Pour combien de temps encore? Combien de temps doit-il encore s'écouler? J’ai vu bien souvent ma maman pleurer. Pourquoi doit-elle pleurer, si elle est au Paradis? Pourquoi ne peut-elle pas se réjouir comme tout le monde du Paradis? Elle me voit souffrir ainsi que l’Evêque et tous ceux qui nous entourent et nous aiment. Quand je vois maman, mon cœur se remplit de joie. Aujourd'hui encore, je l’ai suppliée de me faire aller un petit peu mieux. Je me suis adressée à ma maman de la terre et elle m’a aidée.

La Madone - Marisella, ils t’ont arraché le microphone.

Marisa - C'étaient les enfants.

La Madone - Vous devez être très patients avec vos enfants, comme Dieu l'est avec vous.

Marisa - Nous avons décidé de faire l’année de la Foi. Le jour de ta fête, qui était autrefois aussi la nôtre, je te présenterai le livre de notre vie. L’Evêque en a retiré beaucoup de pages, parce qu’elles étaient douloureuses et faisaient souffrir.

La Madone - Marisella, je l’ai déjà lue en entier, mais je suis heureuse, que tu me la présentes. Mettez Jésus Doux Maître et la Mère de l’Eucharistie en page de titre.

Marisa - C’est bon, c’est bon, merci.

La Madone - Marisella, je n’aime pas quand tu es ainsi.

Marisa - C’est parce que j’aime l’Evêque.

La Madone - Vous avez un grand amour réciproque et envers tous. Vous avez vécu beaucoup de moments dans la tristesse, je vous ai vu tristes bien des fois et j’aimerais ne plus le voir. Recommencez à sourire, pas à rire, pour la fête de l’immaculée Conception. Nous verrons qui de vous est capable de le faire, y compris les enfants, présents et absents. Je sais que les enfants récitent une petite prière le soir, le matin et avant le repas. C’est très beau. Je vous le répète encore: soyez patients avec vos enfants, comme Dieu l'est avec vous.

Marisa - Oh non, nous sommes patients avec Dieu! Je ne sais pas si j’irai au Paradis. Tu lis dans les cœurs et tu sais que nous aimons Dieu et tous ceux qui sont au Paradis. Dernièrement je me suis attachée à Paul VI qui est entré le 6 août dans le Paradis de la vision béatifique. Jean Paul Ier y est entré avec lui, puis Pie XII, Pie XI et Léon XIII y sont entrés aussi.

La Madone -Mes chers enfants, vous me faites bien sourire, tous les deux.

Marisa - Dieu soit loué, nous faisons au moins quelque chose de bon.

La Madone - Eh bien, mes enfants, la Maman vous remercie tous de votre présence. Comme toujours, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. j’envoie un baiser aux enfants, à ceux qui sont absents aussi.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 6 décembre 2008 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui, en plus du premier jour du triduum pour l’immaculée Conception, le premier samedi du mois et je suis de nouveau parmi vous. Je dois vous faire une recommandation. Quand vous rencontrez des personnes qui vous disent voir La Madone ou Jésus, répondez leur: "C’est bien, merci. Priez pour moi". Ne discutez pas avec elles, ne dites rien d’autre, parce que vous n'êtes pas tous préparés à les affronter et à leur répondre; seul l’Evêque y est préparé et peut leur répondre. Sa tâche est dure et difficile, parce que si ces personnes sont fâchées et si quelqu’un leur dit en face: "Je suis désolé, ce n'est pas vrai", parce qu’elles disent des hérésies, elles deviennent mauvaises et menaçantes et la haine luit dans leurs yeux. Vous savez maintenant qui me voit, qui voit Jésus et ne voit pas Dieu, mais l'entend. N'écoutez personne, n'écoutez pas ceux qui parlent de la venue de l’antéchrist. Dites aimablement et gentiment: "C’est bon, merci. Priez pour moi", sans ajouter autre chose. C’est ce que j’ai suggéré à votre sœur il y a bien des années. Souvent, quand elle descendait et rencontrait ces personnes, elle leur disait simplement:"Priez pour moi ". C’est bien d’agir ainsi, parce que ces personnes deviennent méchantes si on leur dit en face: "Je ne te crois pas". Ne le faites pas, vous, parce que seul l’Evêque ou un prêtre bien préparé, peut leur répondre avec justesse. Je vous dis seulement de prier, parce que ce sont justement ces personnes qui ruinent le peu de bien qu’il y a dans l’Eglise, parce qu’elles disent des hérésies; soyez obéissants, pensez à prier.

Je suis venue aujourd'hui avec les Saints qui sont entrés dans le Paradis de la Vision béatifique et se trouvent devant Dieu. Je vous demande de prier pour ceux qui sont encore dans le Paradis d’attente et sont si nombreux. Priez aussi pour ceux qui sont au Purgatoire, faites qu’ils puissent aussi monter au Paradis d’attente. Ils ne voient pas Dieu, mais joie, amour, chants, prières, tout est en eux. Ceci je le demande aux petits comme aux grands, aux adultes comme aux jeunes, disons les ex-jeunes, parce qu’ils sont jeunes par rapport aux adultes: priez parce que je veux vous voir tous dans le Paradis d’attente et puis peu à peu vous arriverez au but suprême du Paradis de la Vision Béatifique.

Ce qui m’a le plus ému aujourd'hui, c’est de voir ceux qui sont venus de très loin pour entendre la Maman, entendre ce que je dis, et je ne dis rien de nouveau, je dis seulement de prier pour tous, surtout pour ceux qui souffrent, qui n'ont rien à manger, pas d’eau, rien et meurent. J’ai demandé aujourd'hui à un petit enfant, par l’intermédiaire de Marisa, s’il voulait avoir des sous en échange de sa petite dent de lait ou s’il voulait les donner aux enfants, aux petits aveugles, et lui les yeux brillants et avec un beau sourire a dit: "Aux petits enfants, aux aveugles". La joie de donner de cet enfant m’a fortement émue. Le pauvre a renoncé à son argent et c’est déjà la seconde fois qu’il fait cet acte de générosité. Je ne vous demande jamais de grands sacrifices, je ne demande qu'à ceux qui le peuvent, sans qu’ils n'en rendent compte à personne, d’aider ces pauvres petits enfants. Marisella tu sais combien il y en a et combien ils souffrent. Vous, grâce au Dieu Tout Puissant, vous allez encore bien. La pauvreté et la misère règnent aussi en Italie, mais quand on voit des petits enfants mourir, parce qu’ils n'ont rien à manger, pas d’eau, de médicaments pour se soigner, le cœur se serre, s'étreint toujours plus.

Marisa - Petite Madone, puis-je te poser une question? Dieu ne pourrait-il faire quelque chose de plus pour ces petits enfants? Je ne dis pas de leur envoyer de l’argent, parce que Vous là haut, Vous n'en avez pas. N'est-ce pas? (tournée vers l’Evêque). Vous n’avez pas d’argent, mais Dieu pourrait les aider d'une autre façon: envoyer des personnes pour les aider, parce qu’il est important que nous aidions ces petits enfants ainsi que les adultes qui souffrent eux aussi. Je vois que tu souris, petite Madone. Mère de l’Eucharistie, Mère de Jésus et notre Mère, aide tous ceux qui sont dans le besoin, aide les malades, il y en a tant, les hôpitaux sont pleins et ils ne savent plus où les mettre.

La Madone - Quand ce jour que tu attends fébrilement arrivera, je t’aiderai, mais sans argent, parce qu’il n'y en pas au Paradis; je t’aiderai à faire quelque chose de beau pour tous les hommes.

Marisa - Quand m'emmèneras-tu?... J’ai des douleurs partout et parfois je dois les taire, les cacher, parce quelqu’un (NDLR, l’Evêque) souffre plus que moi et je ne le veux pas. Petite Madone, écoute-moi bien: quand vous allez tous ensemble vers Dieu le Père, que lui dites-vous? Dites-lui d’aider ces personnes qui sont sur la Terre, il y en a tant, et aide moi aussi un petit peu.

La Madone - Tu connais ton chemin, Marisella.

Marisa - Oui, mais ne le dis pas, ne le répète pas, je le sais et cela suffit.

La Madone - Je vous remercie du triduum que vous faites de tout votre cœur et de vos prières. C’est demain le dernier jour du triduum. Vous faisiez autre fois une grande fête. J’aimerais vous voir encore vous réjouir et célébrer une grande fête.

Marisa - Mais les forces nous manquent, petite Madone. Aide-nous, parce que nous sommes fatigués et démoralisés.

La Madone - Marisella, sais-tu ce que je vais te dire? Que depuis un peu de temps, pour parler…

Marisa - …tu dois demander à Dieu le Père ce que tu dois dire.

La Madone - Tu es une coquine.

Marisa - Je suis une coquine. J’ai un poids ici sur le cœur.

La Madone - Mes chers enfants, priez le plus que vous le pouvez. Je le répète encore: soyez plus patients avec vos enfants. Ils grandissent et changent de langage, de comportement, d'opinion. Patience. C’est l’année de la Foi, mais je dis aux parents: faites aussi l’année de la Patience.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, ainsi que vos êtres chers, les petits enfants, les malades et les missionnaires. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 7 décembre 2008 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, tu n’as pas besoin de lunettes pour me voir. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le dernier jour du triduum. l’un de vous pense que la Maman se répète. C’est vrai; je me répète pour vous inviter à prier, à recevoir Jésus en état de grâce et à aimer tous les hommes; du reste les mamans se répètent avec leurs petits enfants. J’ai dit aux mamans: patience, patience et aujourd'hui je vous dis d'être patients avec votre Maman du Ciel qui se trouve sur la Terre parmi vous depuis que l’Evêque a repris le récit de sa vie et de celle de Marisella. Leur vie a été une vie de souffrances et ils l’ont acceptée avec amour.

Je suis ici pour vous dire de prier pour les malades. C’est demain la grande fête et vous devez tous y participer. Je serai avec vous avec toute la Cour Céleste, parce que Dieu m’a dit: "Vas-y Marie et emmène avec toi tous les saints du Paradis". Je suis heureuse de venir, d'être avec vous, de participer avec vous à la Sainte Messe, ce soir et demain, parce que c’est beau pour moi d'être avec vous et surtout avec ceux qui souffrent, parce qu’ils ont encore plus besoin de la Maman. Je veux tous vous remercier, en particulier ceux qui sont venus de loin. Je suis désolée que celle qui a été choisie par Dieu ne puisse être parmi vous, parce que sa santé décline de jour en jour, mais elle vous voit comme je vous vois, elle voit chacun de vous. Je lis dans vos cœurs, vos pensées, vos soucis, vos ennuis. Je vous demande d’aimer surtout ceux qui souffrent, les petits enfants, les malades et je serai toujours avec vous. J’aime vous voir parler avec l’Evêque, lui demander des choses, sourire à ses mots d’esprits, qui ne sont pas aussi fréquents qu’autrefois, mais il parvient malgré tout à être spirituel. Quand son heure viendra, il sera heureux au Paradis et aidera ceux qui seront encore en vie.

Marisa - Mais je…

La Madone - Oui, Marisella, tu partiras la première, ne te fais pas de soucis. Quand la belle âme que Dieu a choisie montera au Paradis, elle pourra aider ceux qui resteront sur la Terre, en particulier les enfants qui deviendront grands.

Je suis l’immaculée Conception, la Mère de l’Eucharistie et demain, deux Madones seront avec vous avec Bernadette et Marisa et prieront pour vous. Même cette nuit nous ferons une très longue veillée et prierons pour tous ceux qui ont besoin d’aide; toi aussi, Marisella, tu as besoin de beaucoup d’aide, mais ne te fais pas de soucis, reste comme tu es; tu réussis à avoir un peu d'humour et je vois que bien souvent tu fais même rire les jeunes qui viennent t’aider. C’est beau et cela Nous plaît beaucoup.

Marisa - Je suis maintenant en haut, au Paradis, avec toi, que c’est beau, quelle fête, quelle lumière! n’as-tu pas dit que tu venais sur la Terre?

La Madone - Oui, pour t’emmener et te faire jouir du Paradis.

Marisa - Mais tu me renvoies ensuite sur terre et je recommence à zéro. Que c’est beau, je vois maman, grand-mère et beaucoup de personne que je connais et dont je ne me souviens plus des noms. Il y a Fatina. Petite Madone, quelle grande grâce tu m’as faite!

La Madone - Marisella, prions maintenant avec les créatures de la Terre, parce que je vois que tu est très fatiguée.

Marisa - Mais pas ici, je ne suis pas fatiguée au Paradis.

La Madone - Invoquez, mes chers enfants, l’immaculée Conception, la Mère de l’Eucharistie. Pensez que lorsque votre sœur invoque l’immaculée Conception, elle récite tous les soirs et toutes les nuits, sept chapelets et demande des grâces pour chacun de vous, pour les enfants, les malades et surtout pour l’Evêque et pour un de ses neveux qui a besoin d’aide. Merci de votre présence, mes chers enfants, merci encore à ceux qui sont venus de loin.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés ainsi que tous les petits enfants du monde entier. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Adieu, Marisella, je t’emmènerai encore au ciel avec moi.

Marisa - Adieu.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Excellence, je n’avais pas réalisé que j'étais au Paradis. Il y avait beaucoup de lumière, j’ai vu beaucoup de personnes, tout était lumineux, tout était en fête, Elle est venue sur Terre et puis nous sommes montées au Paradis.

L’Evêque - Que c’est beau!

Marisa - Mais si elle ne me l’avait pas dit, je me réjouissais de cette expérience mais je ne savais pas que …

L’Evêque - Tu ne te rendais pas compte que tu étais au Paradis.

Marisa - Non, parce que je ne me rends plus compte de rien, je suis une nullité.

L’Evêque - Non, non, ne dis pas ça.

Marisa - C’est que je suis très mal.

L’Evêque - Très mal.

Rome, le 8 décembre 2008 - 11h00 (Lettre de Dieu)

Fête de l’immaculée Conception et de la Bienheureuse Vierge Marie

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête, la fête de l’immaculée Conception. Je suis la Mère de l’Eucharistie. Je sais que vous voulez me présenter le récit de votre vie de 1971 à 1993, je l’ai déjà lu; il est très, très beau. La Maman est contente de vous tous. Pour quelqu’un, la souffrance ne prendra jamais fin, et hier, vous pouvez bien dire que vous avez été fortement aidés, parce que quelque chose de grave aurait pu arriver et ce n’aurait pas été juste. Je suis toujours avec vous, je suis votre Maman, la Maman du Ciel et de la Terre. Je vous adresse à tous mes meilleurs vœux, comme vous me les avez adressés. J’adresse bien des vœux aux deux jeunes ministres qui se sont fort bien conduits; l’un d’eux est fatigué de temps à autre, mais il a été très brave. Je sais que la prière et les longs offices peuvent fatiguer, mais cela peut aider les petits comme les grands à devenir plus forts et à offrir au moins ces petits sacrifices à Jésus.

Vous devez intensifier la prière en famille avec vos êtres chers et quand vous êtes seuls, faites au moins une petite prière. Vous souvenez-vous quand je vous ai demandé dans les premiers messages de dire une petite prière? Si vous regardez votre montre, et vous l’avez tous fait, vous voyez qu’il faut à peine une minute pour dire un Notre Père, un Je vous Salue Marie et un Gloire au Père. Pourquoi ne pas donner une minute à Dieu avant de vous coucher? Le matin quand vous vous levez, faite un beau signe de Croix et dites: "Merci, Jésus, de me donner cette nouvelle journée". Il n'est pas besoin de faire de longues prières, parce beaucoup d’entre vous doivent aller à l'école ou au travail. La majeure partie d’entre vous prie en voiture et quand vous attendez, levez un petit moment les yeux vers le Ciel et dites: "Merci, mon Dieu, de cette nouvelle journée". Ou bien: "Aide-moi, mon Dieu à être brave et bon", ceci vaut pour tous, pour les petits comme pour les grands.

Cela aurait dû être aujourd'hui une grande fête, mais la santé laisse beaucoup à désirer. Quand quelqu’un quittera cette Terre, vous ferez de nouveau de grandes fêtes. Je remercie le saint Evêque de la façon dont il a fait avancer cette petite communauté, en lui enseignant tout, du Signe de Croix jusqu'à recevoir Jésus en état de grâce. Quand vous faites la Sainte Communion, vous devez être toujours dans la grâce de Dieu; ne vous approchez pas du Sacrement de la Communion si vous n'êtes pas en état de grâce, allez vous confesser. Ne regardez pas celui qui confesse, mais pensez que c’est Jésus qui à ce moment vous écoute et vous pardonne.

Marisa -l’immaculée Conception est maintenant présente et Bernadette est à genoux.

La Madone - Oui, nous voulons faire fête ensemble, mais la Maman ne t’a pas apporté cette année ce qu’elle t’avait promis, mais cela viendra.

Marisa - Pardon, petite Madone, mais cela ne m’intéresse pas, ce qui m’importe c’est que tu m'emmènes.

La Madone - Allons, allons, Marisella.

Marisa - Je suis toujours mal.

La Madone - Etant donné que l’office et la procession sont très longs aujourd'hui, je ne veux pas vous fatiguer davantage. j’espère que vous deux, jeunes ministres, lorsqu’on fera appel à vous pour les grandes fêtes, vous direz aussitôt: "Oui, Excellence, nous sommes prêts". Moi, je viens quand quelqu’un est dans le besoin et m’appelle. Même si vous ne me voyez pas, sachez que je suis avec vous. Vous ne pouvez pas vous imaginer ce qui aurait pu arriver hier soir à cette créature.

Je suis venue hier avec grand-mère Iolanda, que tout le monde appelle "Grand-mère", pour sauver Marisella. Je vous ai dit de faire de petites prières, des invocations jaculatoires à Jésus: "Sacré Cœur de Jésus, j’ai confiance en Toi. Aide-moi à être brave, bon et à aider mon prochain". Les enfants ne doivent pas se disputer entre eux, les frères et sœurs en particulier, et doivent obéir à leurs parents. J’ai dit que les parents doivent être patients, patients, patients, mais les enfants ne doivent pas en profiter. j’espère que quelqu’un sourit à mes paroles. L’année de la Foi a commencé, mais je ne sais quoi te dire d’autre, Marisella.

Marisa - Oui, mais moi je te le dis. Quand il me semble mourir, vous venez pour m’aider à être bien. J’ai dit que je ne voulais pas de cette aide, parce que je pense être prête pour le départ.

La Madone - Oui, bien sûr, quand Dieu dira: "Allez la chercher", Nous viendrons te chercher et ton Evêque t’accompagnera au Paradis.

Marisa - Quand? Quand? Tu as vu le livre de notre vie? Tu l’as lu? Tu as vu les souffrances et les douleurs que les prêtres, les laïcs et ceux qui se sont éloignés nous ont infligées? Ils ont dit tant de mensonges, ils nous ont maltraités, calomniés et diffamés. Nous en avons vu de toutes les couleurs. Vous nous dites: "Courage!". Je dis à Dieu: "Courage, mon Père, courage! Fais une seule fois ma volonté!".

Dieu le Père - Moi, Dieu, je sais quand je t’emporterai. Je t’aime. Penses-tu que Dieu ne t’aime pas parce que tu souffres? Non, c’est faux. J’aime, parce que Dieu est amour, uniquement amour.

Marisa - Oui, mon Dieu, mais c’est ma façon de parler.

Dieu le Père - Oui, je le sais, Marisella, et j’aime ta façon de parler, parce que tu dis franchement ce que tu as sur le coeur. Je t’aime, comme ton époux Jésus t’aime et comme le Saint Esprit t’aime. Courage à tous, tous nos voeux à tous. Marisella, je sais que tu es privée de tout. Tu te réjouissais de distribuer la Sainte Communion, il ne t'était resté que cela. Tu aimais chanter. Tu n’as plus rien, c’est vrai, tout t’a été enlevé, mais ton âme est magnifique, même si parfois tu t’emportes ou te fâches pour ce qui est juste. Ton âme et ton cœur ont été pris par Dieu, j’aimerais faire de même avec vous tous.

La Madone - La Maman vous adresse à nouveau tous ses voeux. Bonne et sainte fête. Essayez au cours de la journée de prier, de tourner vos yeux vers Dieu et de lui dire: "Dieu je t’aime". C’est la prière la plus belle et la plus courte.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, les deux nouveaux jeunes ministres, tous les petits enfants présents et absents, tous ceux qui n'ont pu venir pour des raisons de santé, les missionnaires et en particulier les petits enfants qui souffrent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Rome, le 12 décembre 2008 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je voulais te dire qu’il est temps maintenant que tu nous fasses nous reposer. Nous sommes épuisés et avons besoin de repos. J’ai eu une attaque au cours de la journée que je ne souhaite à personne; tu as très bien vu combien ce moment a été dur et difficile. Cela fait maintenant des jours que je ne peux plus me reposer, que je reste dans ce fauteuil et que je n’arrête pas de tousser. Je suis d’accord que je dois souffrir, mais pour ces derniers temps qui me restent, tu devrais me faire aller mieux, au moins pour ceux avec lesquels je vis. Je te le demande par obéissance à l’Evêque, car moi je ne t’aurais rien demandé. Tu sais comment je vais, comment cette nuit s'est passée, elle ne s'est pas bien passée du tout, je n’ai pas fermé l'œil; je suis moi aussi de chair et d'os comme tout le monde. Tu dormais quand Saint Joseph allait mal, vous dormiez tous. Je parle pour moi, mais tu sais que ce je dis vaut aussi pour l’Evêque: nous sommes éreintés, épuisés, fatigués de tout. Si je commence à parler alors …

L’Evêque - Continue, continue.

Marisa - Nous avons demandé bien des fois à aller un petit peu mieux, non pas tant pour moi que pour l’Evêque et ceux qui habitent ici, surtout pour ces deux créatures. Je pensais que nous formions une famille joyeuse et sereine, malgré les souffrances, puisqu’elles sont partout, mais à nous deux tu as vraiment pris …

Pourquoi ne viens-tu pas comme avant? As-tu peur? Je ne peux pas te dire plus que ce que je pense, que je suis déçue de tout ce que tu m’as fait subir au cours de ma vie, de la façon dont vous avez traité l’Evêque. Si maintenant, vous ne voulez pas me dire le jour de ma mort, me faire aller un petit peu mieux, faites comme vous voulez, je n’ai plus rien à dire, à demander, je ne sais même plus quoi demander, et j’ai honte d’adresser toujours les mêmes prières. Si tu mettais fin aux apparitions, j’en serais heureuse, parce que même la communauté, même s’ils sont peu nombreux, est fatiguée, nous sommes tous épuisés.

Nous avons prié, l’Evêque leur a enseigné à prier, à souffrir et à accepter la souffrance, mais ce n'est pas de la souffrance c’est un vrai martyre. Nous l’appelions autrefois martyre d’amour, nous l’appelons maintenant martyre de quoi?

L’Evêque - De colère.

Marisa - De colère. Vois si vous voulez nous faire reposer cette nuit. Je reste même volontiers dans ce fauteuil, pourvu qu’en appuyant ma tête et en allongeant mes jambes je puisse dormir un petit peu. J’ai passé toute la nuit à regarder la télévision, cela te parait beau? Il y avait une belle émission, qui m’a plu, mais j'étais mal, très mal.

Maintenant, je n’ai pas de mots pour vous remercier de ce que vous nous faites subir. Si ceci signifie amour de Dieu, je ne comprends plus rien, je ne sais rien. Après avoir obéi de ma naissance jusqu'à ce jour, je pense avoir fait tout de travers, j’aurais dû vivre comme les autres et ne pas accepter toutes ces choses, qui ne m'ont rien donné. Au contraire, au lieu d'être meilleure, je suis plus méchante.

Elle n'est pas là. Elle a entendu, elle n'est pas sourde.

L’Evêque - Bien sûr.

Marisa - Elle est enfin venue.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Je sais, mes chers enfants, que vous êtes peu nombreux. Pour la première fois après bien des années, la purification est arrivée aussi en Italie et en particulier dans la cité éternelle: Rome. Quand je vous ai parlé de la purification, vous n'y avez peut être pas vraiment cru, parce que vous n'étiez pas touchés, mais je peux dire aujourd'hui qu'à cause des nombreux péchés commis par les hommes, la purification est arrivée aussi à Rome, où se trouve le Saint Père. Que peut dire une Maman qui voit du Ciel cette calamité? La pluie continue à tomber et ceux qui sont touchés continuent à fuir. Pensiez-vous que vous ne seriez pas touchés? Dieu est le même pour tous. Il n’a pas pris que l’italie, mais également d’autres nations où sévissent la guerre, la disette, le paludisme et où les souffrances sont grandes: c’est la purification. Il ne me reste qu'à vous dire de prier. Priez, accrochez-vous à la prière. Vous souvenez-vous quand je vous ai dit: "Les hommes se traîneront à genoux devant l’autel pour demander grâce"? Vous avez été bien cajolés jusqu'à présent. La purification est terrible, Dieu ne le désire pas, mais elle arrive par la faute des hommes qui ne croient pas et continuent à commettre des sacrilèges. Il est très, très difficile de convertir l'homme créé par Dieu. Je vous dis seulement de prier. Aucun de vous ne pensait que la purification arriverait et elle est terrible. Je vous avais avertis que lorsque la purification viendrait, elle serait terrible pour tous. Moi, la Maman, si vous me voulez encore pour Maman, je vous dis seulement de prier le plus que vous le pouvez et de faire prier vos enfants, parce que leur prière est puissante. Vous qui êtes ici présents, en petit nombre, parce que le mauvais temps a empêché les autres de sortir de chez eux, parce que c'était très dangereux, essayez d’avertir tous les autres par téléphone et de leur dire de prier, prier et encore prier. Je ne dis rien d’autre.

Ma fille, c’est Dieu qui t’a demandé le martyre, pas moi.

Marisa - Mais j’ai seulement demandé à me reposer la nuit.

La Madone - La Maman vous aime, mes chers enfants. Ceux qui subissent des épreuves, doivent les supporter aussi pour les autres. Merci et bonne prière à vous qui êtes réunis dans la petite chapelle.

Marisa - Oui, mais si vous ne me dites pas quelque chose je ne...Je vous demande maintenant seulement de nous faire reposer, nous sommes si fatigués et éprouvés.

La Madone - Merci à vous qui avez pu venir et priez pour ceux qui n'ont pu venir. Certains prennent des risques, parce que l'eau monte. Priez pour que le Tibre baisse.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, les enfants, tous ceux qui ont dû être évacués, ceux qui sont en guerre et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Ecoute, puis-je te dire une chose? Est-ce que je te demande trop si je te dis de nous aider aussi? Je ne demande pas à aller bien, je sais que c’est difficile, parce que j’ai trop de maladies, mais fais-nous reposer comme tous les hommes. Même les petits prient pour moi, disent des petites prières. Je m’adresse à toi, Maman, je t’appelle Maman après bien longtemps, aide-nous, nous avons besoin de toi. Merci.

La Madone - Petits enfants, envoyez-vous au moins un baiser à la petite Madone?

Marisa - Les petits enfants sont bons et nous donnent de la joie.

La Madone - Oui, il y a le philosophe et la philosophe.

Marisa - Ce sont mes joyaux. Adieu. Ai-je dit tout ce que je devais dire?

L’Evêque - Tu as été brave.

Marisa - Merci.

Rome, le 14 décembre 2008 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous vous êtes rendus compte que la purification est arrivée et n'est pas terminée. Qui est allé prier? Qui a prié Dieu de mettre fin à ce moment si difficile? Les familles pauvres se sont agenouillées pour prier, mais ceux qui auraient dû donner l'exemple, ne l’ont pas fait: ni les prêtres, ni les religieuses, ni ceux qui se disent chrétiens engagés. Vous n’avez, peut-être, pas compris totalement ce qu’est la purification. Il y aura d’autres pluies, mais j’essaierai d’arrêter la main de Dieu comme je l’ai fait ces jours-ci, sinon cela aurait été une catastrophe et comme toujours les pauvres auraient payé. C’est pourquoi je vous demande de prier. Je ne vous demande pas de souffrir, je vous demande seulement de prier Dieu et de pardonner à ceux qui continuent à l’offenser en recevant l’Eucharistie sans être en état de grâce.

Je vous le répète: faites prier vos petits enfants, afin que la pluie cesse, que tous les hommes reviennent vers Dieu. Toutes ces inondations, ces guerres, ces disettes, ces maladies, tous ces tremblements de terre peuvent donner à penser que la fin du monde est arrivée. Non, ce n'est pas la fin du monde, mais il y a beaucoup de souffrances pour tous les malheurs qui arrivent sur la Terre. Je ne m’adresse pas à seulement à vous, mais à tous, parce que les lettres de Dieu s’adressent à tous; tous les hommes doivent savoir ce qui se passe dans le monde. Il faut prier et ne jamais se lasser de prier.

Marisella, je suis venue t’aider cette nuit, mais tu souffrais tellement que tu n’as pas réussi à le comprendre et tu priais beaucoup pour ceux qui souffrent de la pluie, les réfugiés, les enfants qui pleurent et s’agrippent à leurs mamans. Ce que vous voyez à la télévision n'est rien en comparaison de ce que j’ai vu. Je vous en prie, n’abandonnez pas la prière, soyez compréhensifs, vous l’avez toujours été, continuez de l'être, parce que le moment terrible n'est pas encore arrivé, s’il arrive, je vous aiderai et je protègerai ceux qui ont vraiment aimé mon Fils Jésus.

Combien de fois vous ai-je dit, même les larmes aux yeux: "Ne recevez pas Jésus si vous n'êtes pas en état de grâce", tant de malheurs arrivent dans le monde à cause de ces sacrilèges. Seuls comptent aujourd'hui le sexe, les plaisirs, se faire souffrir les uns les autres et bien d’autres choses horribles. La prière fatigue, la prière laisse à désirer. Je vous en prie encore: priez, priez, priez. Souvenez-vous de ce qu’a dit mon Fils Jésus: "J’ai soif d'âmes?". Donnez à boire à Jésus.

Merci de votre présence, mes chers enfants.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que tous les enfants présents et absents. Je bénis tous ceux qui n'ont pu venir à cause de leur travail, et surtout ces pauvres gens qui souffrent des pluies continuelles. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci.

Rome, le 21 décembre 2008 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Votre sœur se fatigue beaucoup en parlant, mais elle m’a dit: "Je suis prête, parce que ceux qui t’aiment t’attendent" et me voici ici. Votre maman vous invite toujours à avoir beaucoup de courage et de force et à toujours prier. La prière est très importante. Quand vous recevez Jésus en état de grâce, ne ressentez-vous pas une grande joie dans votre coeur? Apprenez à remercier en pensant que vous avez Jésus dans votre coeur. Vous ne vous en êtes peut-être pas rendus compte, mais je suis toujours avec vous, pendant la Sainte Messe, la rencontre biblique et à la maison pour aider mes deux enfants. Vous devez être très forts, très courageux et aimez beaucoup.

Dieu vous aime, je vous aime et tout le Paradis vous aime. Dieu a choisi ce petit troupeau parce que, malgré tout, vous avez réussi à donner plus que ce que donnent les autres qui vont là où je n’apparais pas, prient peu, et se rendent de sanctuaires en sanctuaires en voyageant pendant quatre à cinq jours. Dieu a vu que vous étiez prêts et a dit: "Pourquoi ne pas les appeler eux?" et moi, sur l’ordre de Dieu, je vous ai appelés, mon petit troupeau, parce que je vous aime tous. Courage. Je sais que vous avez préparé le trousseau du petit Jésus; vous savez que son trousseau consiste en prières, sacrifices et privations. l’un de vous a fait le sacrifice de ne pas manger de friandises. Ce sacrifice devait durer jusqu’au 24 décembre; mais je suis une maman et je comprends. Mon petit troupeau, notre amour envers vous est très grand. Je vous le répète, vous avez été choisis et vous êtes maintenant ici. Ensemble avec mon saint Evêque ordonné par Dieu, je vous bénis tous, petits et grands.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Rome, le 24 décembre 2008 - 23h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Puisque tu es venue avec Saint Joseph, tenant l’Enfant Jésus dans tes bras et le serrant fortement sur ton cœur, j’aimerais, au nom de tous, te demander de nous aider. Je ne demande rien pour moi, je te demande que l’Evêque se porte bien, parce qu’il est très fatigué, éprouvé. Tu dois aider ceux qui viennent ici avec beaucoup d’amour et de sacrifices. Tu dois aider les enfants à bien grandir, à être bons, sages et obéissants.

La Madone - Tu ne demandes rien pour toi, Marisella?

Marisa - J’aimerais seulement dormir dans mon lit et non dans mon fauteuil, parce que je suis très fatiguée, de toute façon faites comme Vous voulez, je m'en remets à la volonté de Dieu, car que je dise oui ou non, c’est toujours à Lui de décider et je dois baisser la tête; qui suis-je au fond?

Jésus -Souviens-toi, Marisella, que tu es mon épouse.

Dieu le Père - Et je suis Dieu. Je vous ai donné mon fils Jésus pour vous racheter et vous rouvrir le Paradis. Ce petit enfant est Dieu, est Jésus. Ce que tu as demandé est juste: la paix et l’aide aux enfants pauvres et aux malades. J’ai entendu cette fois que, finalement, tu as aussi demandé quelque chose pour toi.

Marisa - Dieu, mon Dieu, Toi qui es amour, aide-nous tous à faire Ta volonté, à être forts, courageux, donne-nous cet aide que nous désirons et attendons tant. J’aimerais Te dire, mon Dieu, même si je ne Te vois pas, mais t’entends, que je suis prête, emporte-moi, emporte-moi vers Toi.

Dieu le Père - Je sais, Marisella, que tu attends cela. Moi seul sait quand viendra ton heure, celle qui est juste pour tous.

Marisa - Que signifie celle qui est juste pour tous? Mon Dieu, ne t’en va pas, ne me laisse pas ainsi, je t’en prie.

Dieu le Père - Je te laisse le petit Jésus, Marie, Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, ta maman et tous les anges et les saints. Tends les bras, prends le petit Jésus et serre-le bien fort sur ton coeur.

Marisa - Que tu es beau! Que tu es tendre, mont tout-petit! Puis-je le tenir encore un peu?

La Madone - Oui. Je suis la Maman, la Mère de l’Eucharistie. Le petit Jésus que tu serres maintenant dans tes bras t’a aidée à supporter les nombreuses crises que tu as eues cette nuit. Je dis à tous: priez et ne cédez pas à la tentation, parce que quand vous êtes faibles, le démon tourne autour de vous pour vous faire chuter. Dieu est avec toi et avec vous tous. Que la paix soit avec vous tous.

Marisella, ta souffrance est forte, grande et aucun saint n’a souffert comme toi. Si Dieu l’a demandée, c’est qu’il a ses raisons, il ne s’amuse pas à demander la souffrance. Dis ce que tu penses, Marisella, dis le tout simplement.

Marisa - Je voulais dire: puisque nous sommes si nombreux sur la Terre, pourquoi n’a-t-il pas pris davantage de créatures, l’Evêque irait beaucoup mieux et moi un petit peu. Petit Emanuele, qui me regarde avec tant d’amour, veux-tu dire quelque chose à la petite Madone?

La Madone - Veux-tu me dire quelque chose?

Emanuele - Non.

La Madone - Non? Et toi, Sara?

Emanuele - Rien ne me vient à l'esprit.

Sara - Je ne sais pas.

La Madone - Tu ne veux rien dire à la petite Madone?

Emanuele - Rien ne me vient à l'esprit.

La Madone - Aimes-tu Jésus?

Emanuele - Oui.

La Madone - Tous les enfants aiment le petit Jésus.

Marisa - Saint Joseph, ne le fais pas tomber, il est tout petit. Moi, Marisella, Marisa, ou Mariselle, appelle-moi comme tu veux, j’attendais qu’une grande chose arrive cette nuit, partir, monter au Paradis, parce que lorsqu’on est gravement malade, il est très difficile d'être bon et de toujours accepter la volonté de Dieu. On peut se révolter parfois et alors qu’en est-il du Paradis?

La Madone - Oh, le Paradis est pour toi et pour vous tous. Vous savez que l’Enfant Jésus n'est pas né le 25 décembre. N'est-ce pas, Emanuele? Quand Jésus est-il né?

Emanuele - En mars, avril.

La Madone - Au printemps, bravo. Il ne faisait pas aussi froid que maintenant, mais vous serez tous réchauffés par mon amour et l’amour du petit Jésus; vous lui avez préparé son trousseau.

Marisa -Tu ne me fais pas même aujourd'hui non plus, le cadeau d’apprendre quelque chose de plus sur mon départ? Alors si tu le peux, fais que je puisse m’allonger dans mon lit, parce que cela fait dix huit nuits que je passe dans ce fauteuil et je suis très fatiguée, Peux-tu me dire quelque chose?

La Madone - Oui, je dis quelque chose à vous tous ici présents: merci d'être venus en dépit du froid et de la distance, parce que je suis ici avec vous, avec mon petit Jésus et Saint Joseph. Ta maman est présente elle aussi, Marisella. Regarde combien de personnes sont ici à genoux à prier pour l’Evêque.

Courage, c’est le moment le plus dur de l'épreuve morale que vous subissez, mais vous la surmonterez, parce que je suis avec vous. Merci de votre présence. La Maman et son petit Jésus vous adressent tous leurs vœux. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix et dans la joie.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu. j’espère que tu me diras le jour. Faites comme Vous voulez. Adieu, adieu, maman.

Emanuele - Ma tante, puis-je poser une question?

Marisa - A moi?

Emanuele - Oui.

Marisa - A la petite Madone?

Emanuele - Non, à toi. Est-ce que tu étais émue quand la petite Madone t’a donné Jésus?

Marisa - Oui. L’Enfant Jésus est tout petit, doux, tendre. Je l’ai serré sur mon cœur comme je te serrais toi et Sara quand vous étiez petits.

Rome, le 25 décembre 2008 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Noël

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Tous les ans, l’Enfant Jésus descend du Ciel et vient sur Terre pour être avec vous. Jouissez-en et profitez-en pour lui demander tout ce dont vous avez besoin. Il vous regarde, vous bénit de sa petite main douce et lit dans vos cœurs. Demandez, implorez, frappez et Jésus, l’Enfant Dieu vous donnera tôt ou tard les grâces dont vous avez besoin.

Marisa - Tôt ou plutôt tard … Ecoute, est-ce que je parle à Dieu?

La Madone - Tu parles à Jésus Dieu, au petit Enfant dans les bras de sa maman et de son papa. Tous les petits enfants doivent regarder l’Enfant Jésus et être bons et sages comme Lui. L’Enfant Jésus était sage: il tournait son petit doigt fin dans mes cheveux. Il vient sur la Terre pour vous aider tous. Vous savez que la purification a eu lieu et que Moi, la Mère de l’Eucharistie, j’ai retenu le bras de Dieu, parce que c'était un moment très difficile et je l’ai arrêté. Vous ne pouvez pas non plus vous imaginer vers quelle catastrophe vous seriez tous aller, à commencer par ceux vivant dans de grandes maisons jusqu'à ceux habitant dans de petits logements. L’Enfant Jésus est ici aujourd'hui parmi vous pour vous aider. As-tu vu hier soir, Marisella, ce qu’il a fait quand tu as demandé à dormir dans ton lit? Il t’a souri et tu as dormi dans ton lit.

Marisa - Je sens que je devrais dire merci, mais j’ai peur de dire des choses qui ne soient pas belles.

L’Evêque - Dis ce que tu ressens.

Marisa - Je devrais dire merci, mais je n’ai pas le cœur à le dire, parce que j’ai passé dix huit nuits blanches.

L’Evêque - C’est juste

Marisa - Aide-moi (tournée vers l’Evêque)

La Madone - Tu n’as pas besoin de demander de l’aide à l’Evêque, je suis ici, ta Maman.

Marisa - Oui. Cela me donne de la joie de te voir ainsi que tous les autres. Je t’ai demandé deux choses cette nuit, peut-être qu’elles concernaient trop ma personne, et Tu sais lesquelles. Je suis très fatiguée, j’aime rire et sourire, surtout quand il y a du monde avec moi, mais ma vie est dure, très dure. Puis je t’ai demandé d’aider l’Evêque à aller mieux, fais lui passer ces douleurs qui l'empêchent de travailler. Nous avons tous, d'une manière ou d'une autre des douleurs externes ou internes; l’Evêque les a toutes.

La Madone - Je t’ai dit hier soir: "Pense cette fois aussi à toi, Marisella et demande quelque chose aussi pour toi".

Marisa - Si je ne demande rien, il y a ceux qui ont demandé pour moi bien des fois. Je t’ai également demandé cette nuit: "Quand m'emporteras-tu?". Et je t’ai aussi chanté: "Ecoute mon ami, écoute dans le vent, écoute, la réponse dans le vent". Tu ne dois pas rire, parce que l'envie me prend aussi de rire (Marisa tousse). Voilà, tu vois ces choses n’arrivaient pas avant, parce que j'étais toujours bien pendant les apparitions. Maintenant au contraire, tout ce qui doit arriver arrive aussi pendant les plus beaux moments de l’apparition.

Tu ne me donnes pas l’Enfant Jésus? Je ne suis pas contagieuse, je l’ai demandé aussi à mon docteur qui m’a dit que ce sont les autres qui peuvent me contaminer, pas inversement. Alors tu me donnes l’Enfant Jésus?

La Madone - Prends-le.

Marisa - Il est petit, tendre et velouté. Saint Joseph, prends-le toi, aide-moi. Ne le fais pas tomber, sinon qui nous bénira après.

La Madone - Mes chers enfants, continuez à prier que Notre Jésus Sauveur apporte la paix à tous, en particulier à ceux qui sont en guerre, meurent de faim, de soif et de maladie. L’Enfant Jésus donne la paix à tous; à toi, je ne peux dire que: "Courage, Marisella".

Marisa - Si tu me dis que le but est proche, je serai plus heureuse.

La Madone - Marisella, je te laisse; tu sais que nous nous voyons souvent.

Marisa - Oui, mais apporte-moi la bonne nouvelle. Je te recommande tous nos malades, même ceux de nos proches qui sont malades: ma sœur, mon frère, Nicola, Agata. Les petits enfants vont tous bien, mais ils doivent toujours être aidés, l’Evêque surtout doit aller bien, et puis il y a un autre neveu, tu sais de qui il s’agit.

La Madone - Oui, j’ai compris, Marisella.

Le baiser et la paix de l’Enfant Jésus sont pour vous tous. Continuez à le prier, pas seulement le jour de sa venue sur la Terre, mais toujours.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous. Je vous serre tous sur mon cœur, comme Joseph et moi serrons en ce moment l’Enfant Jésus sur notre coeur. Je vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Tous mes vœux à tous.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu, petit Jésus.

Rome, le 28 décembre 2008 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la fête de la Sainte Famille: Joseph, Marie et le petit Jésus. Vous savez qu’une multitude de petits enfants a été massacrée. Certains pères ont même tué leurs propres enfants pour se sauver eux-mêmes et avoir de l’argent. Vous fêtez aujourd'hui la Sainte Famille: papa, maman et enfant. Leur vie n’a pas été facile, mais très difficile, pleine d'in- compréhensions. Nous étions pauvres et quelques voisins nous apportaient à manger, parce que nous n’avions rien. Aujourd'hui aussi, beaucoup de bonnes familles souffrent, n'ont rien à manger et sont en mauvaise santé. Remercions Dieu que vos enfants parviennent à vivre dans un monde plus heureux. N'est-ce pas, Mariasole?

Mariasole - Non.

Marisa - Elle est un peu drôle, mais très bonne et fait partie d'une famille sainte.

La Madone - Marisella, toutes les familles qui suivent notre exemple, qui s’aiment, sont comme notre petite famille de Nazareth. L’amour vainc tout, l’amour rend saint et emporte au Paradis. Marisella, je ne veux pas que tu me remercies.

Marisa - Emporte-moi, je ne te le demanderais plus si je connaissais la date; tout bouge encore autour de moi et je ne parviens pas à comprendre.

La Madone - Je prie pour les familles vertueuses, les familles saintes et toi aussi, Marisella, prie pour les familles jeunes et moins jeunes, les familles qui réussissent encore à s’aimer, à se vouloir du bien. Cela n'empêche pas qu’il puisse y avoir de petites contrariétés, mais elles font partie de la vie et cela dépend du caractère de chacun de vous. J’aimerais vous inviter à prier les enfants qui sont au Paradis, ils sont si nombreux et il en meurt chaque jour de nouveaux. Priez pour les familles, les enfants, pour tous.

Marisa - Nous sommes une famille privilégiée? C’est la réponse que je voulais entendre. (Marisa se tourne vers l’Evêque) Tu as compris?

L’Evêque - Qu’a-t-elle dit?

Marisa - Que nous sommes privilégiés.

La Madone - Marisella, vous êtes privilégiés parce que Dieu vous a choisis tous les deux parmi beaucoup d'hommes. Pourquoi justement vous deux?

Marisa - Je ne sais pas, ne parlons plus de cela. J’ai non seulement des catarrhes pulmonaires mais bien d’autres choses dans mon intérieur que je ne dis pas, parce que je ne sais pas bien m'exprimer. Je n’ai pas fait d'études, je n’ai pas de diplômes, je parle comme je mange. Je continuerai à prier, j’ai beaucoup de familles pour lesquelles je dois prier. Je te remercie pour cette maman qui a finalement eu un bébé. Elle a eu un enfant prénommé Mattia après que tu m’aies dit de toucher son ventre. Je te remercie des grâces que tu donnes aux autres. Je reçois de temps à autre des coups de téléphone m’apprenant: la Madone m’a fait cette grâce, je t’en remercie. Mais à nous?

La Madone - Mes chers enfants, je ne veux pas m’attarder davantage, parce que vous êtes encore en fête et avez beaucoup à faire. Priez, et je ne me lasserai jamais de vous le répéter, pour les familles, les enfants, ainsi que pour les communautés religieuses où la situation est très difficile.

Marisa - C’est bon, c’est bon. Si parfois quelques expression romaines m'échappent, accepte-les parce que je suis née à Rome. Tu me pardonnes, n'est-ce pas?

La Madone - Si Dieu t’a pardonné, je te pardonne aussi.

Marisa -Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - A moi, naturellement, tu ne dis rien. Quand partirai-je?

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Quelle année nouvelle?

La Madone - Celle-ci.

Marisa - Je n’ai pas vu ma maman, pourquoi?

La Madone - Comment tu ne la vois pas, mais elle est là près de moi.

Marisa - Maman, tu as vu que Franco est venu hier, tu étais heureuse.

Grand-mère Iolanda - Tu étais émue, après quatre ans.

Marisa - Si je dois attendre encore quatre ans, je préfère mourir tout de suite. Adieu,.

Grand-mère Iolanda - Adieu. Merci de tout, essaie d’aimer ceux qui me sont chers, de les aimer tous ainsi que les enfants.

Marisa - Oui, oui je sais, mais je ne peux pas parler. Adieu

Grand-mère Iolanda - Adieu, Mariasole.

Messages de Janvier 2009

Rome, le 1er janvier 2009 - minuit une minute (Lettre de Dieu)

La Madone - Me voici avec vous, mes chers enfants. Vous célébrez la fin de l’année et le début de la nouvelle. C’est moi votre Maman et je suis seulement venue vous adresser mes vœux; je me mettrai ensuite à l'écoute comme vous.

Marisa - Dieu, mon Dieu. Je vois la rose qui bouge. Puis-je te parler comme je parle avec la Maman? Nous attendons tous Ton "Cela suffit" afin de nettoyer l’Eglise et de faire triompher celui que Tu as choisi. Dieu, mon Dieu, pardonne-moi, si je t’ai quelques fois parlé d'un ton un peu impétueux. (Gioele fait des vers) L’as-tu entendu? Il t’appelle, lui aussi.

Dieu le Père - Mes enfants bien-aimés, je suis Dieu, votre Dieu, votre Tout. Vous ne devez pas parler comme si vous vouliez me suggérer ce que je dois faire. C’est vrai; Justement afin d’aplanir la situation, j’ai dit que j’interviendrai rapidement et j’ai fait d’autres promesses. Je sais quand ce sera le moment d'intervenir et quand il viendra je le dirai à votre Evêque, ce peut être demain ou un autre jour; cela ne doit faire pour vous aucune différence. Je ne vous demanderai pas de permission pour emmener votre sœur. J’ai été plus que généreux en vous révélant certaines choses, je l’ai fait afin de vous procurer un peu de joie. Mais pourquoi Moi, qui suis Dieu, dois-je faire cela? Vous m’avez adressé tant de fois les mêmes demandes et Moi, simplement pour vous contenter, j'y ai répondu: ce sera bientôt, je viendrai bientôt, je l'emmènerai bientôt. Moi seul, sais le moment, l'heure et le jour. Etes-vous fatigués d’avoir votre sœur avec vous?

Marisa - Oui, oui, je te réponds pour nous tous. Je suis fatiguée, l’Evêque est fatigué, nous sommes tous fatigués. C’est moi maintenant qui Te demande de me faire aller un petit peu mieux, afin de ne pas être une charge pour l’Evêque ou qui que ce soit.

Dieu le Père - Je suis Dieu et je vous aime d'un amour si grand qu’aucun de vous ne peut comprendre. Je sais quand, comment et pourquoi j’interviendrai. C’est vrai que j’ai fait préparer tout ce qui est nécessaire, tout est prêt, mais pourquoi Dieu devrait-il faire ce que vous demandez alors que vous ne faites pas ce que Je vous demande ?

Marisa - Excuse-moi, mon Dieu, me permets-Tu de Te dire une toute petite chose? J’ai demandé et eux l’ont également pensé, à rejoindre ma maman. Je désire vivre sereine et tranquille, parce que je suis très fatiguée. Je suis contrainte parfois de jouer la comédie, de plaisanter alors qu’au même moment j’ai une grande envie de pleurer et j’essaie de sourire, de plaisanter pour ne pas dire de bêtises, vu mon intelligence.

Dieu le Père - Attention, Marisella, Je t’ai donné l’intelligence et je suis Dieu.

Marisa - Oh mon Dieu, qu’ai-je dit de grave? Tu vois que nous sommes tous réunis ici parce que nous t’aimons et attendons ce que Tu as promis, à commencer par l’Evêque et moi, puis tous les autres, y compris les petits, même Gioele ronchonne et veut savoir quand Tu m'emporteras. Mon Dieu, je t’en prie, ne me fais pas attendre encore longtemps, ou bien fais que j’aille un petit peu mieux.

Dieu le Père - Je t’aide à aller un petit peu mieux, mais c’est ton état: tu es très gravement malade, pas gravement, et nous t’aidons. Qui t’a veillée cette nuit? N'était-ce pas un ange qui t’a sauvée quand tu étais prête à t’envoler? Ne suis-je pas celui qui envoie de l’aide à tous, pas seulement à toi, mais aussi aux jeunes et surtout aux enfants?

Marisa - Que dois-je faire, mon Dieu? Dis-le moi Toi, parce que quand je parle, je me trompe; c’est sûr. Que veux-Tu encore de moi? Je t’ai tout donné, ou mieux, Tu m’as tout pris.

Dieu le Père - Voilà, ces boutades me plaisent, Marisella.

Marisa - Oui, c’est bon, je les fais pour garder le moral, mais Tu m’as tout pris.

Dieu le Père - Regarde, regarde comme tes parents, les anges et les saints, la Mère de l’Eucharistie et Saint Joseph sont heureux; ils te regardent tous avec un sourire céleste.

Marisa - Il se peut que je n’arrive pas à me faire comprendre.

Dieu le Père - J’ai fort bien compris, j’ai fort bien compris. Tu attendais que je te dise cette nuit: je t’emporterai demain: Je peux aussi t’emporter, cela ne Me coûte rien.

Marisa - C’est bon, si Tu veux.

Dieu le Père - Pourquoi ne pas m’aider encore un peu? Tu es l'épouse de Jésus. J’ai envoyé mon Fils Jésus mourir pour vous et tu veux lui être inférieure?

Marisa - Attends un instant, mon Dieu. J’ai pensé … (elle se tourne vers l’Evêque)

Dieu le Père - Dois-tu demander quelque chose à l’Evêque?

(Marisa parle à voix basse à l’Evêque, mais on ne comprend pas ce qu’ils disent)

Marisa - L’Evêque aussi est très fatigué et n'en peut plus. L’Evêque ne fait pas l’Evêque. Que fait l’Evêque ordonné par Dieu? Il sert de garde-malade. C’est bon, excuse-moi, mais je suis émue, je ne sais plus que dire, que demander, parce qu’une fois que Tu seras retourné sur ton trône, je devrai me nourrir de toutes leurs critiques, de toute façon je t’ai dit ce que je devais Te dire. Je Te répète que l’Evêque est très fatigué.

Dieu le Père - Ne fais pas cette tête, Marisella, ce n'est pas toi quand tu es ainsi.

Marisa - Et quelle tête dois-je faire? L’Evêque peut-il parler?

Dieu le Père - Bien sûr.

(L’Evêque, qui était assis pour les raisons que l’on connaît, s’agenouille)

L’Evêque - Mon Dieu, je me mets à genoux pour Te montrer, qu’en dépit de tout, nous t’aimons et Te respectons. En disant nous, j’entends exclusivement Marisa et moi. Tu vois comment nous passons nos journées, Tu vois le nombre de nuits blanches que nous avons passées. Tu vois, malheureusement, comme je m'énerve par la faute de personnes qui m'exaspèrent vraiment, ce qui n’arrivait pas par le passé. Fais la somme de tout cela et nous avons un Evêque très fatigué, un Evêque désireux, non pas de voir les triomphes parce qu’ils arriveront quand Tu l’as fixé, maís de ne plus mener la vie que nous menons Marisa et moi depuis des années. Voilà ce que je Te demande et ton aide à ce sujet. Aide-nous à vivre un petit peu mieux, aide-nous à aller mieux un petit peu.

Tu m’as donné l'épiscopat, mais fais que je l'exerce aussi, mon Dieu. Dois-je attendre encore? Cela fait neuf ans que je suis Evêque. En ce qui concerne le discours concernant le départ de Marisa, je suis d’accord avec elle, parce que je désire qu’elle soit finalement heureuse. Je m’assieds maintenant, mon Dieu, un peu de patience. J’aimerais la voir heureuse, je la vois tous les jours pleurer et répéter: "Mon Dieu, emporte-moi, emporte-moi ". Que peut désirer de mieux pour elle celui qui vit à ses côtés? Bien sûr: cela arrivera quand Tu l’auras décidé, mais vous nous avez dit de prier pour son départ et nous le faisons. Je reviens au premier thème, mon Dieu: ne nous fais plus vivre comme nous l’avons fait dernièrement. Je me détruis, je n'étais pas ainsi, je suis maintenant tendu, nerveux, je m'énerve facilement, je n’ai jamais un moment de paix. N'éprouves-Tu pas un petit peu de pitié et de compassion pour nous? Je sais que Tu nous aimes, je sais que Tu attends encore nos souffrances, mais combien ne t’en avons-nous pas données jusqu'à présent ? Je suis ton fils et je parle au Dieu Papa, puisque Tu le permets. Aucune créature n’a parlé aussi librement avec Dieu, j’en suis conscient et je t’en rend grâce. J’achève mon discours, peut-être un peu confus, mon Dieu, mais telle est notre situation. Nous ne disposons pas d’aide effective dans la maison, je n’ai pas de prêtre sur lequel m’appuyer, je n’ai personne de compétent pour m’aider.

Marisa - Dieu, écoute ton Evêque.

L’Evêque - Mon Dieu: est-ce que cette attente d'une vie différente, et je ne parle pas du triomphe, sera brève?

Dieu le Père - Elle sera brève en ce qui Nous concerne, mon fils, mon fils bien-aimé. Tu as tout dit de la meilleure façon qui soit, mais vous ne devez pas toujours dire à Dieu: "Dépêche-Toi, réalise ce que Tu as promis, Tu ne nous aimes pas" et d’autres choses, parce que même si je ne m'en offense pas, je souffre de l'entendre. Je ne vous vois plus souriants. Si Marisella est mal, pourquoi ne pas sourire? Elle va mal, elle a ses problèmes de santé, mais Nous l’aidons; mettez-le vous bien dans la tête, Nous aidons Marisella, parce que si ce n'était pas le cas, elle agoniserait sur son lit, mais ne serait pas mourante. Ses douleurs et ses souffrances servent pour beaucoup de missions et grâce à Moi, Dieu, elle a des hauts et des bas et quand elle se reprend, elle est une autre personne.

Marisa - Ecoute, pourquoi ai-je maintenant mal à l'estomac?

Dieu le Père - Marisella, parce que tu es très faible et souffrante. J’aimerais vous voir jouer, sourire, peut-être que je vous demande trop, mais j’aimerais vous entendre chanter et rire. Ne parle pas à voix basse à l’Evêque, Marisella, parce que j’entends de même.

Marisa - Je parle de ce que tu as dit, je ne dis pas de secrets. De toute façon, je me permets de te dire, que les bavardages sont à zéro et que j’aimerais que Toi, en tant que Dieu, père, époux, Tu fasses quelque chose de plus concret. d’accord? (Tournée vers l’Evêque) L’Evêque a dit que c’est bien.

Dieu le Père - Marisella, même si tu te trompes en parlant, je te comprends fort bien. Vous vous êtes laissés aller, et je ne m'y attendais pas. Laura, Yari, vous devez aider, ne faites pas voir que vous n’avez pas le moral, ceci vaut pour tous, mais surtout pour les neveux.

Marisa - Ils souffrent parce qu’ils nous aiment, s’ils ne nous aimaient pas ils ne souffriraient pas, ne le penses-tu pas?

Dieu le Père - Ce n'est pas ainsi que l’on doit montrer son amour à quelqu’un qui souffre. L’Eglise sera nettoyée.

Marisa - Je l’ai compris, mais quand?

Dieu le Père - L’Eglise sera nettoyée et il y aura beaucoup, beaucoup à faire. Ne voyez-vous pas que les hommes sont pleins de haine, se tuent, se font la guerre et tuent surtout les petits enfants? Ceci ne vous dit rien?

Marisa - Si, mais que pouvons-nous faire? Je suis allée aussi trois fois dans la bande de Gaza et cela ne me réjouit pas, parce que je souffre beaucoup lorsque que je vois certaines scènes.

Dieu le Père - C’est bon, mes enfants, voulons-nous commencer cette nouvelle année en santé et sainteté pour vous, sainteté et santé pour l’Evêque, sainteté pour Marisella? La santé de Marisella est plus que précaire, son état est très grave, mais quand elle arrive à surmonter la crise, vous constatez vous-mêmes qu’elle sait plaisanter et rire. Peut-être n’avez-vous pas encore compris qui est Marisella.

Marisa - Mon Dieu, je te recommande Mariselle et Domenico qui ne vont pas bien. Même parmi ceux qui sont présents, certains ne vont pas bien. Il y a ici une doctoresse avec quelques problèmes, c’est une qui sourit, qui est forte, un volcan, comme dit la Madone. Je te demande de protéger mes petits-neveux, Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara, Mariasole, ainsi que les autres petits enfants et les jeunes. Je te recommande également les enfants de Manolo, qui ont besoin de ton aide et si Tu le veux, mes frères aussi qui sont tous les deux malades, et surtout ma sœur Anna; Mon Dieu, je Te la recommande de tout mon coeur, donne-moi ses douleurs, fais-la aller bien, je t’en prie.

Dieu le Père - En somme je devrais faire en sorte que tout le monde aille bien.

Marisa - Je te le demande, puis Tu fais ce que tu veux.

Dieu le Père - Bien, mes enfants, je vous souhaite à tous une bonne année; que ce soit une année de paix, de prière et d’amour envers tous.

Marisa - Il est parti, la rose n'est plus là.

La Madone - Oui. Je suis là, Marisella.

Marisa - Merci, petite Madone. Ecoute, je ne sais pas si j’ai bien compris ce que Dieu a dit.

La Madone - Tu as parfaitement compris: tu as même fort bien parlé et Dieu t’a écoutée. Moi aussi avec grand-mère Iolanda, qui serre sur son cœur ses petits-enfants et arrière petits-enfants et avec mon saint Evêque, je vous souhaite une bonne année et vous donne à tous ma bénédiction, en vous serrant sur mon cœur. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Adieu, maman, tous mes voeux.

Grand-mère Iolanda - Tous mes vœux à toi, ma fille, à Franco, Roberto et Anna.

Marisa - Aide Anna, maman. Annarella, la toute-petite, tu te souviens? Adieu, petite maman. Un baiser à l’Evêque de la part de grand-mère Iolanda. Ils sont tous partis.

Rome, le 3 janvier 2009 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants,

Vous n’avez pas entendu la lettre que Dieu a donnée dans la nuit du Nouvel An: c’est une très belle lettre qui j’espère sera lue ou entendue par tous. Dieu a été proche de tous, même de celle qui a quitté la terre et s'est envolée; Marisella en a souffert, parce qu’elle voulait partir, et au contraire non. J’aimerais tant que vous ayez plus d’amour et de foi envers Dieu, quand quelque chose ne va pas, ne vous en prenez pas à Lui, pas aux hommes, à personne, le monde est ainsi fait, l'homme est ainsi fait, il y a les maladies, les guerres, les ouragans et autres catastrophes. Pourquoi se lamenter? Il ne vous reste qu'à prier Dieu, qui met fin à tout cela pour vous et tous. C’est avec une grande joie que j’ai commencé la nouvelle année avec le premier samedi du mois. Nous recommençons maintenant les premiers samedis du mois, je vous verrai ici chaque mois à côté de moi. Je peux maintenant également comprendre qu’il n'y ait pas ici beaucoup de monde, puisque certains sont sortis et que d’autres sont malades. Commencez ce premier samedi du mois comme vous le faisiez autrefois. Venez m'écouter et priez pour tous ceux qui en ont besoin. Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, vos objets sacrés, vos enfants et vos malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit..

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Rome, le 4 janvier 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants,

La Lettre de Dieu est courte parce qu’il veut, que lorsque vous aurez en main ce qu’il a dit dans la nuit entre la fin de 2008 et le début de 2009, vous le méditiez fort patiemment et calmement. Priez toujours et aimez. Que chacun de vous embrasse sa croix, parce que si vous vous regardez autour de vous, vous verrez que celle de votre ami est toujours plus lourde que la vôtre. Prenez votre croix, embrassez-la, parce qu’elle est vie et résurrection et vous emporte au Paradis. Aimez et priez en permanence, sans vous lasser. Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Soyez heureux, vous au moins et allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Un baiser à tous les enfants et à tous ceux qui souffrent.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Rome, le 6 janvier 2009 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Maintenant je veux te regarder bien, bien.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants,

C’est aujourd'hui la grande fête de l’Epiphanie. L’Epiphanie veut dire Manifestation: manifestation de Jésus sur la Terre, pour que tous les hommes deviennent bons et se respectent mutuellement. Quand vous entendez quelque chose qui trouble votre cœur, ce n'est pas moi qui parle, mais le démon qui essaie de déformer mes paroles et de vous tromper. La Maman parle toujours bien de ses enfants, elle peut faire des reproches maternels, corriger, mais pas parler avec méchanceté. C’est vrai que Dieu permet parfois des épreuves afin de vous faire grandir dans la sainteté, mais ce sont mes deux enfants, l’Evêque et Marisella qui ne m’a pas reconnue parce qu’elle n’allait pas bien, qu’il a mis plus que tous à l'épreuve. Tu me regardes maintenant avec stupeur, tu le vois que c’est moi, Marisella.

Marisa - Oui, oui. Je le vois.

La Madone - Essayez de comprendre cette manifestation de Dieu sur la Terre, dans le monde entier, essayez de ne jamais vous lasser de prier, les petits enfants en particulier doivent prier. Même si vous ne me voyez pas encore, chers petits, priez quand même, parce que je vous vois et je suis toujours avec vous.

Beaucoup disent: "L’Epiphanie emporte avec elle toutes les fêtes". Oh non, vous savez que chaque jour est fête pour ceux qui reçoivent Jésus en état de grâce. Ceux qui vivent en état de grâce et reçoivent Jésus en état de grâce vivent chaque jour un coin de Paradis. Il ne faut pas attendre le Saint Noël, la Sainte Pâque, l’Epiphanie, le Nouvel An pour dire: "C’est fête, c’est fête". Ce doit être fête tous les jours pour vous chrétiens, pour aimer Jésus et le recevoir en état de grâce. On abandonne parfois Jésus pour aller passer peut être une meilleure soirée. Il peut en être ainsi humainement parlant, mais recevez avant Jésus en état de grâce; approchez-vous de Lui avec tout l’amour dont vous êtes capables. Je me permets devant tous de demander humblement pardon à l’Evêque, mais j’ai obéi à Dieu et Dieu aime l’Evêque. Mes deux enfants sont parfois mis à dure épreuve pour sauver quelqu’un, quelque chose, une ville, une région, mais Dieu les aime et vous aime. Restez toujours dans l’amour de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Je suis votre Maman, et vous devez croire à tout ce que je vous dis. Aimez et priez. Qu’a dit Jésus? Apprenez à aimer et puis priez. Si vous priez et n’aimez pas, vous perdez votre temps. Mettez en pratique ce que dit Jésus, ce que dit Dieu, ce que dit votre Maman.

Tous mes vœux à tous et bonne Fête des Rois (Befana), aux enfants en particulier.

Marisa - Et aux grands?

La Madone - Ensemble avec mon saint Evêque, mon Jésus, Saint Joseph et tous les anges du Paradis, je vous bénis. Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je sais que tu souffres, Marisella, quand tu parles.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit..

Loué soit Jésus Christ. Tu vis une grande souffrance. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 9 janvier 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je veux seulement vous dire, mes chers enfants, que vous êtes héroïques, pour tout ce que vous avez enduré et ce qui est arrivé avec Lucifer. Vous devez essayer d’aimer encore plus et de vous aimer encore plus, vous faites encore de petites fautes qui seront corrigées. Je vous invite à prier et à parler entre vous, ceci est l’amour véritable.

C’est pour moi une grande joie que vous fassiez le triduum pour célébrer l’anniversaire de la victoire de votre Evêque ordonné par Dieu. Il a triomphé; vous dites que non, il aussi dit que non, mais je suis votre Maman et je sais qu’il a triomphé. Bien sûr, on ne triomphe pas avec la fausseté, le mensonge, le vol. C’est votre triomphe, le triomphe de votre Evêque. Je continue à vous apporter de petits messages, de petites lettres de Dieu, parce que tout vous a été donné et répété aussi bien des fois. Vous marchez maintenant assez bien, mais quelqu’un se conduit un peu en jeune maître et ce n'est pas bien, comme ce qui se passe dans cette maison, où les serviteurs sont les patrons et mes deux chers enfants les serviteurs. Si vous n’avez pas le courage de changer, je dirai à Marisella de parler.

Marisa - Non, parle leur, je t’en prie.

La Madone - De toute façon vous êtes héroïques, vous êtes bons et vous devez reconnaître vos imperfections: personne n'est parfait, souvenez-vous en bien, seul Dieu est parfait.

Marisa - Puis-je demander à Dieu, de pouvoir prendre l’Eucharistie à la place de nourriture, quand mes maux d’estomac sont si violents que je me sens rongée de l’intérieur?

La Madone - Mais je t’avais déjà dit, Marisella, que tu pouvais faire l’un ou l’autre: quand tu ne peux pas manger, prends l’Eucharistie et quand tu peux manger quelque chose, mange quelque chose.

Marisa - Attends une seconde. (Tournée vers l’Evêque) Elle l’avait déjà dit?

L’Evêque - Je ne m'en souviens pas, elle nous a dit tant de choses. C’est bon, sois heureuse de toute façon …

Marisa - Elle le demandera, mais on sait que Dieu ne dira pas non.

L’Evêque - A-t-elle dit que tu peux déjà commencer à le faire?

Marisa - Oui, oui… Parce que c’est plus facile pour moi de recevoir Jésus que de manger.

La Madone - Mais je veux que tu prennes aussi des protéines, quand tu te sens capable de manger, mange, quand cela ne va pas, quand la journée est dure à cause de tes maux d’estomac, prends l’Eucharistie.

Marisa - d’accord, je le fais volontiers. Ecoute, n’avais-tu rien d’autre à me dire de la part de Dieu?

La Madone - Je sais ce que tu veux savoir, Marisella.

Marisa - Que je t’explique. Je recule toujours plus chaque jour et la situation devient toujours plus pesante pour l’Evêque, parce qu’en fin de compte c’est lui qui lutte avec moi; c’est pourquoi j’attendais ce oui. Si tu le peux, demande à Dieu comme tu sais le faire, je ne dis pas aujourd'hui, demain, après-demain, je dis seulement qu’on se décide, parce que s’il attend que les guerres finissent, j’arriverai à 200 ans et je ne serai pas belle du tout à 200 ans. Je serai laide. Ai-je tout dit? J’ai tout dit.

La Madone - J'irai vers Dieu, ne t’inquiète pas. Je suis maintenant ici avec vous et j’irai ensuite vers Dieu et renouvellerai la demande que tu m’as faite.

Marisa - Mais tu dois pleurer, tu dois le supplier. Maintenant j’ai toujours envie de dormir alors que je dois veiller, sinon je perds beaucoup de temps et ne fais plus rien.

La Madone - d’accord, Marisella, je demanderai à Dieu tout ce que tu veux, mais tu sais que tu peux faire la Sainte Communion quand ton estomac ne va pas bien

Rome, le 10 janvier 2009 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je suis venue adresser mes vœux à l’Evêque ordonné par Dieu. Tu es quelqu’un d'important, même si tu ne parviens pas à t’en convaincre. Tu fêtes aujourd'hui le septième anniversaire du Triomphe de l’Eucharistie et tu penses: "Mais qu’est-ce que je fête? Je ne vois encore rien venir". Si je suis venue, moi la Maman, et si Dieu viendra dans très peu de temps pour t’adresser ses voeux, c’est parce que tu es quelqu’un d'important, de très important.

Ce que je n’accepte pas c’est la familiarité et le manque de respect qu’il y a parfois à ton égard; ce n'est pas bien. Ils doivent t’aimer comme nous t’aimons et comme grand-mère Iolanda t’aime.

Marisa - Voilà Dieu!

Dieu le Père - Tous mes vœux, mon fils, mon frère, tous mes voeux. Je t’ai ordonné Evêque. C’est moi, Dieu, qui t’ai ordonné Evêque. Ne te fais pas de soucis si les autres ne le comprennent et ne l’acceptent pas. Je suis venu aujourd'hui pour toi, mon fils. Tu ne dois pas penser que tu es inutile, tu es quelqu’un de très important. Si ce n'est pas accepté jusqu'à présent sur la terre, c’est parce que les hommes sont méchants, mais au ciel tu es le grand Evêque, plus que l’Evêque, tu es …

Moi, Dieu, je t’adresse tous mes vœux les plus chers et les plus sincères. Je t’aime, Evêque. Je t’aime, petit Claudio; depuis tout petit tu as commencé à trottiner pour arriver au sacerdoce avec amour et souffrance. Tu sais mieux que Moi que l'homme est jaloux. Malheureusement, ta manière d'être, si désinvolte, si généreuse, si sincère a suscité beaucoup de jalousie de la part de certains hommes. Sois toujours ainsi, reste ainsi, ne change pas, mon fils et sais que Nous sommes tous avec toi. Quand viendra l'heure du départ de ta sœur, tu commenceras à voler toi aussi et tu auras près de toi tes jeunes ou ex-jeunes; leur devoir sera alors de t’aider. Tu ne seras pas seul, Je serai là, mais il y aura surtout la Maman Céleste et grand-mère Iolanda pour t’aider. j’enverrai de plus aussi Marisella pour t’aider.

Courage, mon fils, courage, courage.

Moi, Dieu, je t’aime immensément et je te bénis au nom, du Père, du Fils et du Saint Esprit. Adieu, mon fils.

L’Evêque - Adieu, Dieu Papa.

Marisa - Le ciel s'est illuminé, les étoiles brillent, les anges et les saints, et surtout ton Pape Paul VI, prient pour toi.

La Madone - La Maman te dit: courage, mon fils, continue, ne t’arrête pour toutes les petites choses qui arrivent. Ne regarde pas si Marisella va plus ou moins bien, ne te fais pas de soucis, si tu le peux, aide-la comme tu le fais déjà, c’est son chemin.

Marisa - Je t’ai demandé hier de me faire aller un petit peu mieux, l’Evêque aurait ainsi moins à faire. Donne-moi la possibilité d'être un peu indépendante, que je fasse ainsi moi aussi ma part. Je veux l’aider. Tu te souviens quand je l’aidais à écrire ta vie et les lettres de Dieu? Je ne fais plus rien à présent. Remercie Dieu de m’avoir permis de faire la Sainte Communion au lieu de manger, j’en suis très heureuse.

Adieu, petite Madone, adieu, ma belle.

La Madone - Moi, la Maman, je vous serre toujours sur mon coeur. Excellence, je te recouvre ainsi que tes fils et les fils de tes fils, de mon manteau maternel.

Je voulais te dire une chose, mon fils: Dieu aime tous les hommes, mais son amour pour toi est bien, bien plus grand.

Adieu, mon fils.

L’Evêque - Merci d'être venue et remercie Dieu Papa en mon nom. j’espérais que tu viendrais, mais je ne pensais absolument pas que Dieu quitterait son trône, comme dit Marisa, pour venir m’adresser ses vœux.

La Madone - Dieu est un papa.

L’Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.

Grand-mère Iolanda - Adieu, mon fils.

Rome, le 11 janvier 2009 - 11h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants,

Vous fêtez encore votre Evêque pour sa victoire et cela me fait plaisir. Nous aussi, nous continuons à le fêter et nous le fêterons toujours, tant qu’il ne montera pas à des hauteurs stupéfiantes.

Vous avez récité de très belles prières. Relisez les messages, parce qu’ils sont pleins d’amour, de paix et de sérénité. Je suis venue en premier pour préparer la voie au Dieu Tout-puissant. Nous du Paradis, nous sommes prêts ici à l’accueillir. Les anges et les saint, qui sont tous présents, attendent que le Dieu Tout-puissant, le Roi du Ciel et de la Terre, descende jusqu'à vous pour vous adresser ses vœux et vous saluer.

Dieu le Père - Oui, mes chers enfants, Moi, Dieu, je suis venu aussi aujourd'hui pour adresser mes vœux les plus sincères et les plus forts à mon Evêque, à votre Evêque. Il pense qu’il ne fait pas l’Evêque, il pense qu’il ne fait rien, mais ce n'est pas vrai; parce que même dans le silence et le secret on peut tout donner à Dieu et aux hommes. J’ai voulu qu’il devienne Evêque, Je l’ai ordonné Evêque. J’ai voulu le triomphe de l’Eucharistie. Si aujourd'hui dans beaucoup d'églises, et cela augmente toujours plus, on fait l’adoration et prie devant le Saint Sacrement, c’est à toi, Excellence, qu’on le doit. Tu as réalisé le Triomphe de l’Eucharistie avec tes écrits, tes homélies et catéchismes que l’on te dérobe, mais que ceci soit bienvenu si c’est pour le bien. Si l’on fait l’adoration du Saint Sacrement, les veillées nocturnes, c’est parce que tu l’as commencé dans ta petite église, que la Maman appelle: "mon petit joyau".

Tout ce qui transforme l’Eglise est sorti de cette petit église, surtout l’amour de l’Eucharistie, le don le plus beau, le plus important, parce qu’il vous fait gagner le Paradis, si vous vivez toujours dans la grâce. Moi, Dieu, je ne peux que te remercier de ce que tu as fait et je remercie également tous ceux qui viennent ici prier; il y en a parmi vous qui prient beaucoup. Je remercie ceux qui prient sur leurs lieux de travail, en voyage, en marchant ou en voiture. A qui dois-je tout cela? A toi, Excellence. Et tu dis que tu n’as rien fait, tu as tout fait; On adore aujourd'hui mon Jésus dans le monde entier, beaucoup font l’adoration et les veillées nocturnes grâce à toi, et j’en suis heureux. Je suis heureux, très heureux de ce qu tu as fait pour le monde entier, pas seulement pour l’Eglise. L’Eglise sera nettoyée. Il y a ceux qui font l’adoration parce que les caméras de télévision filment, c’est du fanatisme, de l'hypocrisie. Mais il y aussi ceux qui font l’adoration dans le silence, le secret, c’est alors de l’amour véritable envers Moi, envers Dieu, envers votre Père. Tous mes vœux à tous.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous très fort sur mon cœur, toi en particulier, Excellence. Je vous couvre de mon manteau maternel, allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit..

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je voulais te dire une chose, mon Dieu et je me permets de te la dire. Quand de petits accidents arrivent, ne sois pas trop fâché et l’Evêque ne doit pas non plus trop se fâcher, ce sont des choses qui arrivent, parce que nous sommes de pauvres hommes.

La Madone - C’est bon. On ne peut pas être totalement parfait.

Marisa - Tu nous as fait un grand cadeau! Adieu. Adieu, petite Madone, adieu, Maman, adieu à tous.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 16 janvier 2009 - 20h37 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants, Aujourd'hui, vendredi, c’est le jour de la rencontre biblique et il est important que vous y participiez, mais la maman doit d’abord vous adresser quelques reproches maternels. Je dois vous demander avant tout: pourquoi les mystères du rosaire que votre Evêque a composés avec tant d’amour, n'ont-ils pas été récités ce soir? Pourquoi n’avez-vous pas récité les mystères que Dieu aime entendre? Pourquoi plus personne n’a-t-il lu les mystères? Pourquoi quand vous entrez dans l'église, n’allez-vous pas devant le tabernacle et ne vous agenouillez-vous pas, au lieu de regarder s’il y a de la place derrière? Pourquoi ne pas obéir à ce que l’on vous dit? Dieu tient compte de tout cela. Je ne crois pas qu’il soit difficile d'obéir à Dieu. Je vous donne un exemple. Regardez votre Evêque et votre soeur: ils ont obéi à Dieu, ils continuent à lui obéir et souffrent beaucoup. A vous au fond, on ne demande que de petits sacrifices. Pourquoi ne pas les faire? Essayez de vous passer le livre, tous doivent participer à la lecture de ces Saints mystères; ils sont beaux et plaisent beaucoup à Dieu le Père. Pourquoi ne pas y faire participer les autres? C’est vrai que l’un dit qu’il ne voit pas ou n’a pas ses lunettes, mais il y en d’autres qui savent lire et voient bien; vous devez tous participer à la prière. Ce sont des remarques maternelles et je les fais parce que je vous aime, parce que je vous veux du bien et que je sais que Dieu le veut. Apprenez à obéir, à faire ce qu’on vous demande. Ce ne doit pas être toujours à l’Evêque de vous reprendre. Je lis la Lettre de Dieu et je vous informe ce qu’il dit. Je vous reprends avec amour, douceur et charité. Pourquoi désobéissez-vous, pourquoi ne faites-vous pas ce que je vous dis? Pourquoi courrez-vous immédiatement dans la sacristie quand vous entrez dans la chapelle? Vous voulez obtenir des grâces? Faites en sorte de les mériter. j’espère que mon langage n'offense personne. Vous savez que j’ai toujours fait des reproches maternels à tous; petits et grands. Essayez donc de faire ce que vous devez faire, sans attendre que ce soit à l’Evêque d'intervenir. Votre Evêque est très fatigué, très éprouvé et si vous l’aimez vraiment, faites comme il a dit, mais faites surtout comme Dieu a dit.

Marisa - Puis-je te demander une chose?

La Madone - Ne me demande pas quand tu iras au Paradis.

Marisa - Non, non, non, je n'y pense pas du tout. Donne-nous un peu de force et de courage pour continuer, surtout à l’Evêque ordonné par Dieu. Nous te remercions aussi pour ton aide pas grand, petit, nous parvenons ainsi à nous reposer un petit peu plus, mais la fatigue est grande.

La Madone - Je vous remercie tous ici présents. Acceptez ce reproche maternel. C’est Dieu qui vous parle, je ne fais rien d’autre que rapporter ce qu’il dit. Merci et pardonnez moi si j’ai osé vous dire ces choses, vous faire ces reproches. Je veux que ce soit moi qui vous les adresse, pas l’Evêque, il doit faire l’Evêque, je pense moi aux réprimandes. Courage, mes enfants, avancez avec foi, confiance et espérance. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, vos objets sacrés et tous les petits enfants du monde entier. Je vous demande de prier pour que les guerres cessent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 18 janvier 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Mes chers enfants, c’est moi votre Maman, Marie, Mère de l’Eucharistie. Je viens souvent parmi vous pour vous aider à résoudre tous les problèmes que la vie vous pose, si c’est la volonté de Dieu.

Marisa - Petite Madone, je te recommande Debora et la petite Eleonora.

La Madone - Les grâces n’arrivent pas toujours. Vous devez comprendre que si tous les malades recevaient des grâces, il n'y en aurait plus. C’est toujours bien de prier, recommandez-moi ceux qui ont besoin d’aide et j’irai au pas de course trouver le Père pour lui demander de vous donner ces grâces.

Marisa - Je te recommande ceux qui meurent à cause de la guerre, les petits enfants qui ont faim et n'ont rien à manger. Nos enfants ont de la chance, mais j’aimerais que tous les autres soient comme eux.

La Madone - Malheureusement une guerre se termine et trois autres commencent, il y a tellement de guerres dans le monde. Elles ne finissent jamais et s'étendent par l’amour de l’argent et du pouvoir. La même roue tourne toujours que ce soit au Vatican, au Vicariat ou dans les Etats. C’est bien de prier pour ses êtres chers, mais c’est aussi beau de prier pour tous.

Marisa - Puis-je me permettre de te demander d’aider beaucoup, beaucoup l’Evêque et mon petit parent que tu connais bien? Plus je continue à parler avec toi et plus je ressens le besoin de te demander, te demander.

La Madone - Marisella, tu dois demander pour tous, pour ceux qui souffrent, il y en a aussi parmi ceux qui sont dans la petite chapelle. Marisella, tu ne le sais pas, mais quand je vais vers Dieu, je fais la liste parce qu’il y en a tant à lui recommander. Tu sais que je n’apparais que dans ce petit lieu, mais que je dois embrasser aussi les autres malades et les autres familles. Les époux continuent à se séparer et à vivre hors du mariage. Beaucoup se séparent, se remettent ensemble et se séparent à nouveau. C’est la belle vie pour eux, mais ils n'ont pas la grâce du sacrement du mariage, parce que vous savez que les sacrements augmentent la grâce. Je sais chez qui aller et qui je dois recommander. Je suis toujours avec vous comme quand tu as souffert cette nuit de cette toux qui te gênait pour respirer. J'étais avec toi et je t’aidais.

Marisa - Fais passer cette douleur que j’ai à la gorge, parce que je ne peux pas parler, pas avaler, même si je dois dire que je suis bien mieux qu'hier. Merci d'être venue, merci de nous recommander tous quand tu vas vers Dieu, parce que nous en avons tous besoin. Merci .

La Madone - Merci à vous de m’avoir écoutée. j’espère que vous mettrez en pratique tout ce que je vous ai dit vendredi lors de la rencontre biblique. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu (Marisa envoie un baiser à la Madone). Adieu, grand-mère Iolanda, adieu, maman.

Rome, le 23 janvier 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

La Maman vous remercie d’avoir obéi quand, il y a j´huit jours, je vous ai fait de doux reproches. Ce sont des caresses données par une maman à ses enfants quand ils ne se conduisent pas bien, et uniquement parce qu’elle les aime. Je vous invite toujours à prier pour tous ceux qui en ont besoin, surtout pour les jeunes qui sont malades. Il est possible que vous ne compreniez pas tous l’importance de la rencontre biblique, mais que ceux qui sont attentifs, je vous dis maintenant quelque chose pour vous faire rire, essayent de ne pas dormir, écoutent bien ce que dit et raconte votre Evêque. Que ceux qui ne réussissent pas à rester éveillés, ne se mettent pas dans les premiers rangs, mais aillent au fond et y fassent un beau petit somme dans les bras de Jésus. C’est beau de dormir dans les bras de Jésus. N'y avez-vous jamais pensé? Et pourtant il me semble vous l’avoir dit, comme l'enfant dort tranquille dans les bras de sa maman, vous le faites vous aussi, tranquilles dans les bras de Jésus. C’est très important d'écouter la rencontre biblique. Je vous ai dit d’autres fois que tous les prêtres n'expliquent pas la Parole de Dieu comme le fait votre Evêque. Retenez le plus que vous le pouvez, parce que vous pourrez ainsi répondre aussi aux prêtres, aux laïcs engagés, à n'importe qui, mais si vous n'êtes pas préparés, n'écoutez pas l’Evêque, comment pourrez-vous répondre à ceux qui essaient parfois de vous faire tomber? Allez, courage à tous. Je dis à votre Evêque et à Marisella d’avoir beaucoup de courage pour affronter le dur combat qui se présente chaque jour pour une raison ou une autre, s’il y a une chose, il y a l’autre.

Si ce n'est pas une chose, il y a l’autre, Marisella, sois attentive.

Marisa - d’accord, tu te mets maintenant toi aussi à me corriger? Quoi qu’il en soit, je te remercie au nom de tous de l’aide que tu nous donnes, de l’amour que tu nous montres, parce que tes reproches maternels sont également dictés par ton grand amour envers tous. Petite Madone, dis à Dieu de nous bénir tous, de bénir les petits enfants, les personnes âgées, les malades et tout particulièrement les petits enfants du tiers et du quart monde. Il y a dans le monde des choses bien tristes et préoccupantes et tu le sais. Moi aussi, je prie beaucoup, énormément, mais tu dois nous aider à avoir la force et le courage de continuer. Quand Dieu se décidera à prendre cette sainte décision que je n'ose pas le dire, je serai prête. Pour l’instant je veux toujours vivre dans la grâce de Dieu, comme tu nous l’as enseigné.

La Madone - Vous aussi, mes chers enfants, vivez toujours dans la grâce. Attention: qui parle trop, peut tôt ou tard se bloquer et dire des choses qui ne sont pas belles. Faites silence autour de vous et écoutez Dieu. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Petite Madone, tu nous aideras pour la rencontre de demain?

La Madone - Oui, mais tu devras rester en silence dans ta chambre.

Marisa - Oui, Seigneur.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Je lui ai dit oui, Seigneur. Elle m’a dit que je dois rester enfermée en silence dans ma chambre.

L’Evêque - Comme je l’ai dit.

Rome, 25 janvier 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu étais là depuis longtemps à écouter nos prières.

La Madone - Tu sais que je suis toujours présente: vous ne me voyez pas, mais je suis avec vous à prier, à écouter l’Evêque et à participer à la Sainte Messe, c’est très important de recevoir Jésus en état de grâce.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants,

C’est toujours avec joie que je viens parmi vous. Je repense à la rencontre d'hier qui a donné de nombreux fruits, mais n’attendez pas trop longtemps avant d’en faire une autre. Les jeunes sont tous grands, mais ont encore besoin du papa. Je suggère, si c’est possible et si l’Evêque en a le temps, d'organiser également une retraite pour les adultes. Faites-en une courte, d'une demi-journée et terminez-la par la Sainte Messe. C’est très important que vous voyiez et parliez pour corriger vos défauts. Tous ont besoin de faire une retraite, les petits comme les grands. Je vous invite tous à nouveau à prier pour le monde, je n’ai pas honte de le répéter, qui va très mal et pour ceux qui sont sans travail. C’est uniquement par la prière adressée à Dieu que l’on peut tout obtenir. Priez et pensez à ces pauvres êtres sans travail, à ces enfants qui ont besoin de manger, de se nourrir, de se vêtir, d’aller à l'école et de tout le reste, cela n'existe malheureusement pas dans les autres mondes, en dépit de la bonne volonté d'un grand nombre de bénévoles. Sachez que tous les aides n’arrivent pas à destination et alors que peut-on faire? Priez et faites prier vos enfants, leur prière est très importante et écoutée de Dieu. Courage à vous les jeunes, la rencontre d'hier a vraiment porté des fruits pour tous. Essayez de retenir et de mettre en pratique tout ce que votre Evêque vous a dit au nom de Dieu: j'étais moi aussi avec vous. Courage et persévérez toujours. Si vous regardez par la fenêtre, vous voyez comment est le monde; essayez de l’aider en priant, en faisant des sacrifices, en aimant. Ne vous sentez jamais arrivés. Travaillez toujours, avancez avec tous les autres et aidez les tous.

Merci, Dieu doit vous donner la réponse que vous attendez.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, les petits enfants de toutes races, toutes nations et toutes religions et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu.

Rome, le 30 janvier 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est avec une grand joie que je viens vers vous quand Dieu me dit: "Marie, va chez mes enfants". Il y a malheureusement beaucoup de malades et la grippe en a frappé beaucoup, mais cela ne doit pas vous désorienter. Ne faites pas attention au nombre, souciez-vous que celui qui prie soit dans la grâce de Dieu et reçoive Jésus en état de grâce. Ce qui concerne votre sœur n'est pas important pour vous, mais pour elle. Quand Dieu le décidera, il réalisera ce qu’il a promis de faire. Ne posez pas de questions, priez et je prierai avec vous, et avec les enfants qui prient très bien.

Marisa - Lui a été mal, le pauvret.

La Madone - Je sais, Marisella, que tu es prête à donner ta vie pour tous.

Marisa - Pour ceux qui en ont besoin et ceux qui sont malades, je sui prête à tout. Quand ce jour viendra, je serai très heureuse, j’irai ainsi d'un côté et lui de l’autre et nous nous séparerons. Qui prendra la place de l’Evêque?

Emanuele - Je ne sais pas.

Marisa - Emanuele ne le sait pas.

La Madone - Mes enfants, priez beaucoup pour vous-mêmes, vos familles, vos enfants, petits-enfants, arrière petits-enfants, priez pour tous. Que Dieu vous accompagne toujours tous vers la félicité du Paradis. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Messages de Février 2008

Rome, le 1er février 2009 - 10h38 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Cela me déplaît, mes chers enfants, mais je dois vous dire quelque chose sur ce qui s'est passé hier. On fait une retraite pour grandir spirituellement et non pour parler de bêtises, dites de l’un à l’autre. Avez-vous grandi spirituellement? Peut-être lorsque vous avez prié ensemble dans l'église, mais la retraite a été misérable, chacun accusant l’autre afin de pour défendre.

Vous faite encore de petits groupes et cela fait des années que je vous dis: "Ne faites pas de petits groupes, conduisez-vous de la même façon avec tout le monde". On doit pardonner aux pécheurs et aider ceux qui sont imparfaits. Ceux qui le peuvent doivent le faire. Si quelqu’un n’a pas la manière pour le faire, cela n’a pas d'importance; vous devez comprendre si ce qu’il dit correspond à la vérité. Vous attendez que Dieu réalise ce qu’il a promis, vous attendez le Paradis, mais que donnez-vous à Dieu? Que donnez-vous à l’Evêque? Que donnez-vous à votre groupe? Vous agissez parfois comme de petits enfants, qui se fâchent à l´école parce que l’un a marché sur les pieds de l’autre et discutent. La vie spirituelle n'est pas ainsi. Vous auriez dû grandir hier et au contraire, humainement parlant, cela a été un fiasco.

Quand Dieu voudra que vous fassiez une autre retraite, si vous êtes prêts à la faire comme on le doit, acceptez, sinon non. Cela n’a pas été une retraite, cela me déplaît de devoir vous le dire. Moi, la Maman, j’en ai souffert, l’Evêque en a souffert et je crois que même l’un d’entre vous en a souffert.

Dieu, qui pardonne toujours, vous la donne la grâce et la joie de reprendre le chemin spirituel et de vous aimer réciproquement. Il est inutile que vous chantiez: "Aimez-vous, aimez-vous" et qu’ensuite vous ne vous aimiez pas; chanter, c’est deux fois prier. Si vous chantez et ne méditez pas les paroles que vous chantez, tout devient inutile.

j’espère que vous écoutez ce que j’ai dit. Hier encore, après bien des fois où je vous ai dit: "Mettez-vous devant Jésus Eucharistie", les chaises devant le Tabernacle étaient vides et les gens étaient derrière. Pourquoi agissez-vous ainsi? Pourquoi voulez-vous que Dieu et la Madone vous aident et vous ne faites rien? Répondez-y. Je dis comme votre Evêque: faites vos devoirs à la maison et dites vous si ce que vous avez fait est juste.

Je vous donne malgré tout, ma bénédiction ensemble avec mon Evêque. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Rome, le 2 février 2009 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Moi, mon époux bien-aimé Joseph et le petit Jésus nous entrons en ce moment dans le temple, où nous attendent le vieillard Siméon et la prophétesse Anne. Le petit enfant gigote, se réjouit et s’amuse à tourner mes cheveux autour de son petit doigt. Quand il voit Jésus, le vieillard Siméon est heureux de dire: " Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole, car mes yeux ont vu ton salut ". Vous aussi, quand vous entrez dans l'église, approchez-vous du Tabernacle, approchez-vous de Jésus. Combien de fois ne vous l’ai-je pas dit? Pourquoi n'obéissez-vous pas? Pourquoi êtes-vous si durs? C’est pourtant si beau de s’approcher de Jésus et de lui dire: "Jésus, je suis près de toi, je t’aime, comme le vieillard Siméon t’a aimé et attendu". J’ai donnée le petit à Marisella, qui le tient dans ses bras avec beaucoup d’amour. Sa mission devient toujours plus difficile, sa souffrance est toujours plus grande, mais elle aime le petit Jésus, elle m’aime, moi la Mère de l’Eucharistie, elle aime Saint Joseph et tous les hommes de bonne volonté. Et surtout elle vous aime, même ceux qui semblent suivre, changent et puis s’arrêtent. Le chemin spirituel est joie. Le petit Jésus se réjouit de voir les âmes qui viennent vers Lui. Aimez-vous comme Dieu Papa vous a aimés. Aimez-vous. Marisella, serre le petit Jésus sur ton coeur et sent la douceur de sa peau de velours; il est maintenant un peu plus grand, il n'est plus comme le jour de sa naissance.

Marisa - Oui, je le sais.

La Madone - Mes chers enfants, changez de tête, changez de coeur et offrez-le à Jésus avec tout l’amour dont vous êtes capables. Vous devez tous comprendre dans votre coeur quand vous agissez bien et mal.

Marisa - Le voici, prends-le, Marie; prends-le, parce qu’il est lourd.

La Madone - Voilà mon petit et bien-aimé Jésus. Comme Hérode craignait qu’il ne devienne Roi, il a tué beaucoup de petits enfants jusqu'à l'âge de deux ans. Il n’a pas réussi à tuer Jésus, qui est mort adulte pour nous sauver et nous rouvrir le Paradis, parce qu’il nous aime à l’infini. Vous aussi vous devriez aimer Jésus. Dieu vous a créés à son image et ressemblance et en quoi consiste cette ressemblance avec Dieu? Demandez-le vous dans votre coeur. Avec l’aide de Dieu, vous réussirez à avancer et à cheminer dans la vie spirituelle. Moi, la maman, j’ai eu une enfance tranquille et une vie pauvre à l'âge adulte et comme épouse de mon époux bien-aimé Joseph. Nous ne formions pas de petits groupes, mais nous nous réunissions tous ensemble pour prier. Ne formez pas des groupes de deux ou trois personnes, ne négligez pas les autres. Quand vous ne comprenez pas quelque chose, n'en parlez pas entre vous, dites-le à votre Evêque, il vous écoute, en dépit de tout ce qu’il a à faire et doit faire pour votre soeur; si vous lui demandez des choses sages, il ne dira jamais non. Continuez, pensez au Paradis. Je vous ai dit que vous me verrez tous dans le lieu thaumaturgique, mais si vous n'êtes pas en ordre avec Dieu, comment puis-je me faire voir de vous? Pourquoi créez-vous de petits groupes, pourquoi y a-t-il des rivalités entre vous? Aimez-vous tous comme je vous aime, et surtout comme Dieu vous aime et aussi comme votre Evêque et votre sœur vous aiment. Quand Marisella souffre et est seule, elle a toujours le chapelet en main et prie pour tous. Faites-le vous aussi. Je vous remercie d'écouter ce beau et simple message que Dieu vous a donné et surtout de réussir à le mettre en pratique. Merci à tous. Vous célébrez aujourd'hui la Présentation de Jésus au temple et ma Purification. Même si je n'en avais pas besoin, j’ai voulu donner le bon exemple à toutes les mamans. Je dis à toutes les mamans: tous mes vœux, aimez vos enfants, vos petits-enfants, aimez-vous entre vous, n’aimez pas seulement votre frère ou votre sœur ou votre fils, aimez tous les hommes. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, je bénis ceux qui sont ailleurs aujourd'hui pour fêter le petit Emmanuele et n'ont pas pu venir. Je bénis les malades qui désiraient tant venir et tous les petits enfants. Je vous serre très fort sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Invoquez le Saint Esprit, mes enfants, afin qu’il vous éclaire et vous aide tous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu, Jésus, adieu. Il est parti.

Rome, le 6 février 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme vous le savez bien, c’est avec une grande joie que je viens parmi vous. J’aime vous entendre prier Dieu. Priez les uns pour les autres, corrigez-vous les uns les autres, n’ayez pas peur de le faire. Je ne reviens pas sur le point que vous connaissez bien, je vous répète seulement: aimez-vous comme je vous aime. Chaque fois que je vous vois prier, je prie avec vous avec beaucoup de joie, même si quelqu’un est distrait ou continue encore à se retourner. Vous ne devez pas vous saluer dans l'église, devant Jésus Eucharistie, mais dehors. Je vous ai dit bien des fois: quand vous entrez dans l’Eglise, approchez-vous du tabernacle, regardez le tabernacle, là où se trouve mon Fils Jésus, celui qui est mort en croix pour tous. C’est mon grand désir de vous corriger chaque fois que quelque chose ne va pas. Suis-je ou ne suis-je pas votre Maman? Quand je vous fais des reproches maternels, je le fais seulement parce que je vous aime et c’est difficile. C’est difficile également pour les mamans et les papas de corriger leurs enfants, mais peu à peu, vous réussirez aussi à le faire, parce que je suis près de vous. C’est difficile quand les enfants sont petits, c’est plus difficile quand ils sont plus grands, et c’est très difficile quand ils sont majeurs. Que faut-il faire? Priez, priez, priez. Apprenez à aimer et puis priez, n'oubliez jamais cette phrase de Jésus.

Marisella, tu m’as vraiment fait plaisir aujourd'hui, car en dépit de la souffrance, des douleurs et de la passion, tu as réussi à sourire, à être gaie, à travailler et à peindre les armoiries du Saint Père. (Pas de l’actuel, mais du futur Pape).

Marisa - (A demi-voix) Silence, ils t’entendent. Je les dessine maintenant parce que je ne serai plus là quand il y aura le futur Pape. Je veux lui laisser quelque chose en souvenir.

La Madone - Tu es terrible, Marisella. Marisella et Mariselle, mises ensemble, vous êtes deux êtres qui vraiment …

Marisa - Quand je suis née, j'étais bonne, quand j’ai grandi j'étais moins bonne et maintenant que je suis à la fin de ma vie, je suis mauvaise.

La Madone - Ne dis pas ça, Marisella. Tu sais que tu n'es pas comme tu le décris, tu sais que tu aimes tous les hommes, même trop. Tu aimes tout particulièrement ceux qui te font souffrir, tu aimes parce que tu sais aimer, parce que tu as appris à aimer. Tu dois dire à ton cher Evêque que lui aussi a appris à aimer. Aimez-vous tous et je serai avec vous. Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit seront toujours avec vous. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis. Je serai présente lors de la rencontre biblique que votre Evêque fait avec tant d’amour et de souffrance. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 7 février 2009 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est le premier samedi du mois de février et je vois que vous êtes présents. Ce qui m’a le plus étonné de la part de l’Evêque, c’est qu’il a tout donné, il a tout refusé en faveur du prochain. Il s'est privé de tout, et avec lui, Marisella aussi. Vous ne pouvez pas vous imaginer quelle joie j’ai éprouvée! Comme c’est beau de voir Evêque se dépouiller de tout pour les autres.

Je vous en prie, conduisez-vous bien, travaillez bien, prenez exemple sur l’Evêque, parce qu’il vous en a beaucoup donné. Je suis ici pour le premier samedi, pour la réunion que vous avez faite, mais surtout pour admirer comment votre Evêque a tout donné. Quand les cadeaux arrivent, il les donne aux pauvres, aux aveugles, aux nécessiteux. Oh, quel exemple vous donne votre Evêque!

Marisa - Oui, je sais, je me suis trompée, mais je ne connais pas bien l’italien. Si tu es heureuse, si vous tous du Paradis vous êtes heureux de ce qu’a fait l’Evêque, oublie mon italien. Vois que même les professeurs et les journalistes commettent des erreurs.

La Madone - Marisella, unis-toi aux personnes, prie avec elles, aime-les et surtout aime celles qui t’ont tant fait souffrir.

Marisa - Pardonner oui, mais aimer c’est difficile.

L’Evêque - Tu as raison.

Marisa - Qui a raison?

L’Evêque - Toi, c’est difficile d’aimer ceux qui t’ont fait volontairement souffrir.

Marisa - Tu as entendu ce qu’a dit le Pape? (Pas Benoît XVI, NDLR.) Je pardonne à ces personnes, mais comment fait-on pour les aimer?

La Madone - Tu dois donner l'exemple à tous ceux qui sont présents. Je regrette qu’ils ne soient jamais nombreux. Si tous lisaient les lettres de Dieu et les mettaient en pratique, tout serai plus beau et plus facile. Ma fille, tu restes encore sur la Terre, parce qu’on en a tant besoin ici. Dieu t’a dit il y a quelques jours: "Mets-toi à la fenêtre et regarde comment est le monde".

Marisa - En quoi suis-je responsable si le monde est aussi corrompu? Mais ne me fais pas rester longtemps.

La Madone - Comme j’aime voir rire l’Evêque. Bravo, Excellence, ris mon fils, la fête viendra aussi pour toi, pour Marisella, pour tous les jeunes, les adules et surtout les enfants.

Marisa - A propos des enfants, je voulais te demander une chose. Nous avons des enfants très intelligents, mais aussi très vifs; ne pourrais-tu pas nous aider pour qu’ils soient un petit peu plus calmes?

La Madone - Marisella, à quoi servent toutes les prières que tu dis la nuit? Tu dis tous les noms.

Marisa - Oui, mais cela me fait de la peine que les petits enfants soient beaux, intelligents et ...

L’Evêque - Si vifs.

Marisa - Si vifs.

La Madone - Tu verras qu’ils se calmeront eux aussi peu à peu. Tu ne dois pas tant t’inquiéter et tu ne dois pas pleurer, quand tu entends un enfant qui pleure. Nous nous comprenons toutes les deux, n'est-ce pas, Marisella?

Marisa - J’ai Jacopo, Samuele, Mariasole, Sara, Emanuele, qui est maintenant plus sage; les touts petits: Ismaele, Miriam, Adrian qui est parti, Gioele et tous les petits enfants qui sont les petits-enfants de ceux qui sont ici; ils ont aussi de grands petits-enfants entre 18 et 20 ans. Je prie pour tous; mais j’aimerais que ces plus petits...

La Madone - Qu’aimerais-tu?

Marisa - J’aimerais qu’ils soient un peu plus calmes.

La Madone - d’accord, Marisella, mais ce n'est pas pour cela que je suis venue, je suis venue pour vous dire d’aimer et de prier.

Marisa - Aimer aussi les petits enfants.

La Madone - Je vous donne maintenant ma bénédiction, sinon, si tu continues à parler, nous irons jusqu'à neuf heures ce soir.

Marisa - Tu reviendras ce soir?

La Madone - Pas ce soir, après vingt quatre heures.

Marisa - Fais-moi dormir à cette heure là. Merci de nous aimer, merci parce que bien que nous ne soyons pas nombreux et pas si bons, tu viens quand même nous rendre visite, nous aider et nous dire tant de belles paroles.

La Madone - Alors, Marisella, souviens-toi qu’il faut pardonner pour aimer. Moi, la Mère de l’Eucharistie, j’ai toujours pardonné et aimé.

Marisa - Oui, mais je ne suis pas toi, je peux seulement pardonner. L’Evêque a dit que cela va de seulement pardonner. Je pardonne à tous, mais aimer reste difficile pour moi.

L’Evêque - Pardonner est déjà aimer.

Marisa - Chère petite Madone, pardonner est déjà aimer.

La Madone - Oh, merci, Excellence, je ne savais pas que pardonner c’est déjà aimer, j’attendais de toi cette explication, je ne la connaissais pas.

Marisa - Tu plaisantes. Si je pardonne à quelqu’un et que je lui parle, c’est déjà de l’amour. Non?

La Madone - Récitons tous ensemble le Notre Père.

Notre Père...

La Madone - Merci, Marisella, du rapport que tu as avec moi.

Marisa - Tu es heureuse?

La Madone - Ensemble avec toute la cour céleste près de moi et le saint Evêque, je vous donne ma bénédiction. Je vous recouvre de mon manteau maternel. Je vous serre fort, très fort sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Excuse-moi, petite Madone, d’avoir tant osé. Pardonner est aimer; tu me pardonnes, donc tu m’aimes. Adieu, maman.

Nonna Iolanda - Adieu, petite Selenia et Yari. Adieu, Excellence.

Marisa - Il y a aussi Lauretta, Laura et beaucoup de mamans qui ont des enfants. Merci, maman, Adieu. Comme tu es belle. Je ne le dis pas à toi, petite Madone, je le dis à ma maman.. Adieu.

Rome, le 8 février 2009 - 10h38 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je vous répète que c’est une grande joie pour moi de venir parmi vous. C’est très beau de réciter ensemble le Saint Rosaire, de faire deux chœurs et de ne pas courir. Cela fait plaisir à mon Fils Jésus. Je vous invite à prier pour une mission très importante. l’un de vous pense: "Combien de prières nous demande Dieu". Oui, c’est vrai, Dieu vous demande beaucoup, parce qu’il sait, que même si vous ronchonnez, vous réussissez tous à dire oui, petits et grands. Chaque fois que Dieu dit: "J’ai besoin de prières pour une mission", je suis sûre que vous, vous dites oui dans votre coeur.

Marisa - Je dis non, les autres peuvent dire oui, j’en ai déjà tant dit, cela suffit maintenant. Tu ne crois pas?

La Madone - Fais comme tu veux, ma fille. Si tu sens le besoin de le dire, dis-le, sinon ne le dis pas, je suis certaine de toute façon qu’il y a un immense oui dans ton coeur. Vous devez aussi prier pour la petite Mariselle, qui a un an aujourd'hui. C’est une petite fille très bonne, délicate et qui a besoin d’aide et de prières. Bien sûr, je ne peux pas le dire pour tous ceux dont c’est l’anniversaire, mais cette enfant, son papa et sa maman ont besoin de prières.

Marisa - Et la marraine aussi. Correct?

La Madone - Je vous invite à bien écouter l’Epître et le Saint Evangile d’aujourd'hui. Les lectures renferment des paroles très importantes et aucun homme de la Terre ne peut changer l’Evangile. Quand vous le lisez, essayez d'être attentifs. Quand l’Evêque l'explique, écoutez-le, ne soyez pas distraits, parce que ce qu’il dit est très important. Quand vous le pouvez, au lieu de vous réunir par trois et de faire de petits groupes, unissez-vous et priez pour les intentions de Dieu. Merci.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Fais-moi aller un petit peu mieux, fais-le pour eux, non pour moi. Je tremble intérieurement. Merci. Salue ma maman, pourquoi n'est-elle pas venue aujourd'hui?

La Madone - Allez, courage, Marisella.

Marisa - d’accord (Marisa envoie un baiser). Porte-le à ma maman. Adieu.

Il y a Laura, Yari, Lauretta et Selenia. Je te recommande Mariselle, tu dois l’aider. Merci de tout.

Rome, le 11 février 2009 - 19h15 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

La Madone - C’est aujourd'hui la fête des malades, priez parce que pour une raison ou pour une autre vous avez tous quelque chose à demander à Dieu pour la santé spirituelle et la santé du corps. C’est votre fête aujourd'hui, mes enfants, la fête des malades. Votre Evêque vous donnera sa bénédiction et vous fera l’imposition des mains avec moi à ses côtés. J’amènerai avec moi grand-mère Iolanda, celle qui a su aimer tous les hommes, même ceux qui la faisaient souffrir. Elle est heureuse de la relation existant entre frère et sœur, elle est heureuse au Paradis, elle est heureuse, Excellence, quand elle te voit sourire. Mais depuis un certain temps elle n'entend plus tes mots d’esprit, ne voit plus ton sourire. Tu sais combien son amour pour toi est grand. Elle dit toujours: "Prions pour l’Excellence".

Courage à tous, courage aux malades. C’est la vie sur terre. Il y a ceux malades dans leur corps et ceux dans leur esprit. Prions pour ces malades, pour qu’ils aient la force de résister et d’accepter la maladie. Priez pour les jeunes et les enfants. Combien d’enfants et de jeunes dans les hôpitaux! Ensemble avec mon saint Evêque, j’envoie ma bénédiction à tous les malades, de toute race, de toute nationalité, chrétiens et non chrétiens, pour Dieu il n'y a pas de dífférence, ils sont tous ses enfants, ses créatures. Courage à tous, et à toi, Marisella, je n'ose pas dire: "Courage, ma fille."

Marisa - Puis-je te dire une chose? Je voulais te demander d’aider beaucoup, beaucoup l’Evêque et mon Annarella, comme maman l’appelle. Fais qu’elle aille un petit peu mieux, non qu’elle doive guérir de tout, par charité, mais qu’elle aille mieux. Donne-moi tout ce qu’elle a, je pourrai ainsi l’aider, aider ses enfants et petits-enfants. Petite Madone, toi qui es maman, tu peux comprendre.

La Madone - Marisella, tu veux encore prendre d’autres souffrances sur toi? Tu n’as plus de place, tu es pleine.

Marisa - Oui, mais aide ma sœur et mes frères, mes parents, les parents de Son Excellence, et tous les parents de ceux qui sont en bas à attendre, à espérer une aide. Merci, petite Madone, merci.

La Madone - En ce moment, ensemble avec mon saint Evêque, je donne la bénédiction à tous les malades présents et absents. Après la Sainte Messe, l’Evêque, moi, grand-mère Iolanda, et mon époux, nous donnerons ensemble la bénédiction aux malades. Seigneur, je suis ta Maman, aide ces pauvres malades.

Marisa - Merci, merci, petite Madone.

La Madone - Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bonne santé à tous. Tous mes voeux. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu, maman. Adieu.

Rome, le 13 février 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est votre maman, la Mère de l’Eucharistie qui vous parle. Vous savez que mon amour pour vous est grand, mais ne posez pas tant de pourquoi, Dieu seul sait que faire et comment le faire. Je vous demande de prier pour les petits enfants, les malades, ils sont si nombreux, et pour le Tiers Monde. Faites bien votre travail, priez aussi en travaillant, si c’est possible et aimez-vous. Dieu a dit: aimez-vous comme Je vous ai aimés. Aimez-vous et priez.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, tous les petits enfants qui dorment et veillent, ceux qui ne sont pas présents et ceux présents, je bénis surtout les malades qui en ont besoin. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Rome, le 20 février 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je sais que tu aimes énormément tes neveux.

Marisa - Que devais-je faire?

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous ne savez pas tous que c’est aujourd'hui une autre de mes fêtes: celle de Notre Dame de la Confiance, protectrice des séminaristes du grand Séminaire pontifical de Rome. Puisque vous avez célébré l’année de la confiance, priez Notre Dame de la Confiance, priez moi toujours, afin que je vous aide tous. C’est aujourd'hui une grande fête pour les séminaristes.

J’ai formé votre Evêque dés l'âge de 8 ans et j’ai fait avancer sa formation jusqu'à ce Dieu l’ait ordonné Evêque, il est maintenant votre Evêque, plus tard vous verrez ce qu’il sera.

Je vous invite à prier la Madone, quel que soit son nom, mais pas celui du siège et de la ceinture Je ne suis pas Notre Dame de la Ceinture ou du Siège, je suis la Mère de l’Eucharistie. Invoquez-moi aussi en tant que Notre Dame de la Confiance et du Bon Conseil ou avec d’autres de mes noms qui sont appropriés.

Je vous invite à faire la rencontre, parce que votre Evêque vous dira quelque chose sur Notre Dame de la Confiance. Vous savez combien nous tenons à la rencontre biblique, surtout quand il y parle de Saint Paul et de ses épîtres, parce qu’ils sont beaux et importants. Essayez d'unir vos petites forces physiques aux grandes forces spirituelles et continuez toujours comme je vous l’ai enseigné. Attention: ne formez pas de groupes, ne parlez pas dans le dos des autres, vous devez vous aider mutuellement, petits et grands. C’est pour cela, que moi, Notre Dame de la Confiance, Mère de l’Eucharistie je vous remercie et que je vais souvent demander à Dieu les grâces dont vous avez tous besoin. Je vous prie, comme le dit votre soeur, de sourire à pleines dents, pour ceux qui en ont.

Marisa - (Marisa sourit) d’accord, mais tu dois nous aider, parce que nous n'y arrivons pas seuls.

La Madone - Mes chers enfants, approchez-vous toujours du sacrement de l’Eucharistie, tous les jours, et si vous ne le pouvez pas, comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, faites la Communion spirituelle, recevez Jésus spirituellement dans votre coeur. Merci.

Marisa - Je voulais savoir quelque chose sur la lettre que l’Evêque a écrite au Cardinal Vicaire.

La Madone - Laisse le temps faire son oeuvre.

Marisa - Oui, nous laissons toujours le temps faire son oeuvre.

La Madone - Ne commence pas à parler, coquine, Marisella. Courage, en avant. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, les enfants, les malades et tous ceux qui ont besoin de mon aide. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu.

Rome, le 22 février 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le dernier dimanche du Carnaval, beaucoup font fête et s’amusent, mais vous au contraire, vous êtes recueillis en prière. Vous devez vous aussi toujours vous réjouir dans la sainteté, la justice, la douceur, la charité envers tous, en particulier envers vos enfants. Dieu vous a fait un grand don en vous faisant avoir de belles et bonnes créatures, un peu capricieuses; elles ne peuvent être parfaites, souvenez-vous que seul Dieu est parfait. Qu’as-tu dans les mains, Marisella?

Marisella - Je voulais te présenter le livre des lettres de Dieu de l’année Sociale 2007-2008 et la présentation de notre Evêque. Regarde toutes ces paroles écrites; si nous réussissions à mettre en pratique le centième de ce qui est écrit dans tous les livres, nous serions déjà saints. Malheureusement, il nous reste encore beaucoup à corriger.

La Madone - Et vous pouvez y réussir, mes chers enfants. Je vous ai dit bien des fois que seul Dieu est parfait, vous ne l'êtes pas, mais vous pouvez améliorer votre caractère, devenir bons et braves envers tous. Quand l’Evêque parle, écoutez ce qu’il dit, ne le faites pas répéter toujours les mêmes choses. Il répète et répète et vous oubliez, oubliez. Que ceux qui ne se sentent pas capables de faire les tâches les plus difficiles, comme de préparer la Sainte Messe et les habits du prêtre, se mettent à part et laissent faire les autres. Il n'est pas nécessaire que tous soient autour de l’Evêque. Vous avez vu comment il s'est vêtu tout seul et a ajouté: "Je ne me suis pas décoiffé!". Vous pouvez l’aider, en premier en mettant en pratique ce qu’il dit. Si vous vous souvenez bien, combien de fois ne vous ai-je pas dit: "Quand vous entrez dans l’Eglise, occupez les premières places, approchez-vous de Jésus Saint Sacrement" et au contraire combien de fois ne vous ai-je pas réprimandés pour que vous avanciez et soyez près de Jésus. Vous demandez des grâces à Dieu, mais combien de choses Dieu ne vous a-t-il pas demandées? Les avez-vous faites? Avez-vous mis en pratique ce que Dieu vous a dit par l’intermédiaire de la Mère de l’Eucharistie? Non. Vous agissez parfois comme les petits enfants, auxquels on doit faire plusieurs fois les mêmes recommandations et quand ils n'obéissent pas, on doit élever la voix. C’est ainsi quand votre Evêque ou les ministres extraordinaires vous disent des choses plusieurs fois, à la fin ou vous vous fatiguez et obéissez ou bien vous faites comme si de rien n'était et ce n'est pas bien. Vous voulez que Dieu réalise de grandes choses, alors faites vous aussi ce qu’on vous demande: avancez, près de Jésus, ne vous retournez pas dans l’Eglise, ne regardez pas les autres, ne vous saluez pas dans l’Eglise. Entrez, saluez Jésus et c’est tout, il n'est besoin de rien d’autre. Ceux qui liront ce livre dans une bonne intention et tous les autres déjà publiés peuvent arriver à la sainteté; beaucoup les lisent en secret. Beaucoup de personnes prennent les livres et les donnent à d’autres qui ne croient pas à ce que Dieu a opéré dans ce lieu thaumaturgique. Ces derniers copient des phrases et répètent ce que l’Evêque dit. Ce pourrait être beau; mais ce n'est pas juste de prendre les paroles de l’Evêque, de les faire siennes et de ne pas en citer l’auteur. Travaillez en silence et si quelqu’un prend quelque chose de vos livres, cela ne fait rien. Dieu sait fort bien d'où viennent certains enseignements et de qui ils sont. N'oubliez pas que le 9 et surtout le 15 mars, la communauté fête l’Evêque. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis ce saint livre: les lettres de Dieu et la présentation.

Marisa - Es-tu contente de tout ce travail? Mais maintenant cela suffit de faire travailler l’Evêque, parce que ses doigts se fatiguent et il ne pourra plus écrire quand il sera Pape... Oh, cela m’a échappé!

La Madone - Cela ne fait rien, Marisella, on voit que cette parole devait sortir.

Marisa - Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos petits enfants, vos malades, ceux qui n'ont pu venir pour des raisons de santé et de travail. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 27 février 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Marisa - Petite Madone, puis-je te dire quelque chose avant que tu ne commences à parler? J’ai l’impression que nous mendions l’arrivée de ce que Dieu a promis. Si nous devons attendre et mendier, donne-nous en la force, parce que nous n'en avons plus.

La Madone - d’accord, ma fille. Je veux maintenant vous parler du Saint Carême. Vous savez, les personnes les plus âgées au moins le savent, qu’on faisait autrefois un Carême caractérisé par des privations, des sacrifices et que l’on ne mangeait pas de viande mais du poisson; cela ne veut rien dire parce que comme votre sœur l’a dit aujourd'hui en parlant avec ses êtres chers, le poisson est plus cher aujourd'hui que la viande, donc ce n'est pas çà le problème. Vous devez faire de petites privations, éviter les douceurs, réduire les fruits, vous contrôler en mangeant, vous ne devez pas,comme vous le dites, vous empiffrez en mangeant. Mais cela ne veut pas dire, essayez de bien me comprendre, que vous ne devez pas manger, bien au contraire je recommande absolument à ceux qui prennent beaucoup de médicaments pour se soigner, parce qu’il y a beaucoup de malades, de ne pas jeûner. Ceux qui ne se portent pas bien, qui n'ont pas de force, qui prennent beaucoup de médicaments doivent manger. Essayez de ne pas me comprendre de travers, essayez seulement de supprimer les douceurs, qui du reste, comme vous le dites, font grossir.

Marisa - Petite Madone, nous essaierons de mettre en pratique tout ce que tu as dit, mais nous sommes fatigués, éprouvés, déçus, et comme je te l’ai dit pour commencer, nous sommes ici devant Vous à mendier ce que vous nous avez promis et que l’on ne voit pas encore. Nous prions de toute façon; oh comme nous prions tous! Oui, d’accord, il y a entre nous de petits malentendus, personne n'est parfait, vous nous avez enseigné du reste que seul Dieu est parfait.

La Madone - Oui, mais je ne regarde pas ces défauts. Vous devez essayer de vous aimer, de vous aider mutuellement et de mettre en pratique les lettres que Dieu vous a envoyées, parce que tout serait plus facile et vous donneriez ainsi une aide non négligeable à votre Evêque et à ceux qui vous aiment. Faites ce Carême dans l'esprit dans lequel vous avez préparé le trousseau pour la naissance du petit Jésus, faites le Saint Carême, en attendant que Jésus meurt, ressuscite et rouvre le Paradis à tous, ce dont vous devez être heureux. Vous devez lutter pour aller au Paradis. Voyez que l'enfer existe, même si beaucoup de prêtres disent qu’il n'existe pas, il est plein, mais il y a encore de la place, oh il y a encore beaucoup de place pour ceux qui ne vivent pas comme Dieu le veut. Excellence, merci de ce que tu as dit à Dieu; Il sourit de votre engagement continuel, et même si la fatigue est grande, vous ne devez pas penser tous les jours à ce qu’il a promis, s’il l’a dit, cela arrivera. Pourquoi ne pas croire en Dieu?

Marisa - Je crois quand je vois! L’Evêque a dit que j’ai bien fait de le dire. Fais-nous voir un peu de lumière, donne-nous un peu de joie, envoie-nous des personnes qui nous aiment vraiment, nous sommes fatigués de devoir toujours souffrir. Tu m’as donné la tâche de protéger les petits enfants et jusqu'à présent j’ai pu la remplir. Merci, merci et dis à Dieu, toi qui le peux, de bien réfléchir à ce qu’a dit notre Evêque.

La Madone - Bien sûr, je le peux et je dirai tout à Dieu, mais Il a tout entendu. Courage, Yari; je sais que tu penses que je me moque de vous en disant: essayez de sourire. Je le dis parce qu’en souriant, vous aurez plus de force, si vous vous laissez aller, vous n’avez même plus la force de parler, de dialoguer quand vous êtes entre vous, ceci vaut également pour Laura, mais surtout pour l’Evêque. Vous avez deux petits enfants, essayez de faire en sorte qu’ils ne se rendent jamais compte de la situation dans laquelle vous êtes. Je les aime trop, j’aime tous les petits enfants. Marisella continuera à remplir sa tâche jusqu'à sa mort et après elle la remplira encore mieux et vous embrassera tous. Essayez de ne pas faire le Chemin de Croix que le vendredi, mais que ceux qui le peuvent le fassent à la maison, même tous les jours. Il a été composé par votre Evêque et il est très beau, beaucoup l’ont repris, copié, même dans les hautes sphères.

Marisa -Ils copient tout de toute façon.

La Madone - d’accord, préparez-vous maintenant pour la Sainte Messe et la rencontre biblique. En dépit de la fatigue, l’amertume, les nombreuses vicissitudes journalières, votre Evêque accomplit toujours ses tâches avec la mention très bien, pas seulement avec vingt sur vingt, mais avec plus, plus, beaucoup plus. Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants, les enfants du Tiers Monde, les malades. Je bénis également ceux qui n’aiment pas Jésus, j’espère qu’ils arriveront à l’aimer. Ne parlez pas de ceux qui ne valent même la peine qu’on les nomme. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Tu es belle, Marisella, avec un œil fermé, tes lunettes, l’oxygène et le spray.

Pense seulement combien Dieu t’aime.

Marisa - Ecoute ce qu’il dit! d’accord. Adieu, adieu. Donne un baiser à maman. Maman, je t’en prie, aide-moi, si tu pries pour tous les malades, prie aussi pour moi, pour que j’ai la force de tout accepter et que je puisse finalement partir pour le long voyage vers le Paradis. Adieu, ma petite maman. Ils sont partis.

Messages de Mars 2009

Rome, le 6 mars 2009 - 20h39 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es là depuis longtemps à nous écouter. Nous essayons de prier jour et nuit et attendons ce que Dieu a promis. Je ne te demande plus rien, faites comme vous le voulez.

La Madone - Mes chers enfants, le triduum pour la fête de votre Evêque, qu’il désire étendre à la Victime, a commencé aujourd'hui. Je vous remercie d'être présents et d'être venus prier, c’est très important de prier pour eux et pour chacun de vous. La prière, en particulier le Saint Rosaire, est d'une grande aide pour tous. C’est demain le premier samedi du mois et le deuxième jour du triduum, essayez de venir ici pour prier. Il vous semblera étrange que je vous demande toujours des prières, des prières et encore des prières, mais vous en connaissez la raison, je les demande surtout pour votre Evêque et la Victime de votre Evêque.

Marisa - Merci. J’aimerais pour ma part te demander une chose, même si tous l'entendent: je ne réussis plus à manger quoi que ce soit et je me nourris uniquement de l’Eucharistie, mais trois ou quatre heures après l’avoir prise, je ressens de nouveau une forte langueur qui me pénètre jusqu’aux os et les maux d’estomac recommencent; je ne sais pas ce que je dois faire. Si vous me conseillez en ce qui concerne ce que je dois manger, du moment que je dois vivre encore un peu, tous seront tranquilles. J’ai déjà reçu aujourd'hui trois fois la Sainte Communion, j’ai été bien pendant deux ou trois heures et puis tout a recommencé; dites-moi ce que je dois faire et ce que je dois manger. Il vous semblera étrange que je pense à moi au lieu de penser aux autres. Que dois-je faire? Vous ne m'emportez pas et me faites rester encore ici, je suis fatiguée de souffrir, je n'en peux plus, ce n'est pas ainsi que devrait vivre une chrétienne qui vous a beaucoup aimés et vous a sacrifié toute sa vie. Dites-moi quelque chose, ce ne sera pas difficile de dire à une âme de la Terre comment elle doit vivre.

La Madone - Tu dois t’abandonner à Dieu.

Marisa - Et qu’est-ce que cela signifie? Que je ne dois pas manger? Dites-le moi.

La Madone - Abandonne-toi à Dieu et Il te dira que faire. Vous tous aussi, ici présents, quand vous avez de petits problèmes, abandonnez-vous à Dieu, pensez à votre Evêque, à la victime de l’Evêque et à tout ce qu’ils souffrent. Vous verrez que vos souffrances deviendront de petites fleurs, ce ne sont pas des choses si difficiles. Souvenez-vous que la mort non plus ne fait pas peur, parce que mourir c’est ressusciter et ceux qui meurent en état de grâce vont au Paradis pour y jouir éternellement. Je vous en prie: faites bien ce triduum, ce sont à peine trois jours au fond. Vous faisiez autrefois la neuvaine, vous allez maintenant toujours en diminuant, mais je le comprends fort bien. Récitez le Saint Rosaire, priez et je prierai toujours avec vous. Tous mes vœux à tous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Rome, le 7 mars 2009 - 19h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je vous ai parlé hier du Saint Rosaire, ne l’oubliez jamais, récitez éventuellement dix Je vous salue Marie à la fois, pas le rosaire en entier. si vous n’avez pas le temps, mais ne l’abandonnez jamais. Pensez de plus à vous confesser au moins une fois par moi, avant je disais tous les quinze jours, je vous dis maintenant de vous confesser au moins une fois par mois, parce que tous les sacrements augmentent la grâce et vous en avez tous besoin pour aller un jour au grand Paradis. Je vous y attends, je vous y attends tous, il n'y a pas d'âge pour partir et aller au Paradis, on peut partir tôt ou tard, l’important est de se le gagner. Moi, la Maman, je prie beaucoup pour les petits enfants, les personnes âgées, les adultes, tous ceux qui en ont besoin.

Je m'en remets toujours à vos prières, pour les intentions que vous connaissez depuis longtemps. Aidez-vous mutuellement, priez les uns pour les autres, aimez-vous réciproquement et ne vous arrêtez pas à des choses stupides, puériles, mais progressez, montrez que vous avez mûris, que vous êtes devenus adultes. Je vous ai dit une fois que vous étiez à l’université et le lendemain vous vous êtes écroulés. Pourquoi vous écroulez-vous le lendemain quand je vous fais des compliments? Vous devez progresser, vous élever, croître toujours. Je veux que vous tous, petits et grands, fréquentiez l’université. Priez pour ceux qui doivent aller au Paradis, priez pour les malades qui sont si nombreux et, comme toujours, priez pour votre Evêque.

Merci. Faites bien ce deuxième jour du triduum et souvenez-vous de l’importance du premier samedi du mois, parce que je suis apparue le premier samedi et que je suis toujours restée avec vous.

Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Je dois vous dire encore une chose. J’ai entendu dire parfois: "La lettre de Dieu est courte aujourd'hui", mes enfants, vous avez tant et tant de lettres de Dieu à lire, relisez-les, relisez les livres, parce qu’ils sont importants pour tous. Merci.

Loué soit Jésus Christ.

Adieu à tous.

Rome, le 8 mars 2009 - 10h38 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Pensez au passage du Magnificat qui dit: "Il renverse les puissants de leur trône", c’est très important, parce que Dieu, en silence, renverse les puissants de leur trône. Vous ne vous rendez pas compte de l’importance de ce que Dieu fait depuis longtemps pour renverser les puissants de leur trône. Je vous ai invités hier à réciter le Saint Rosaire, c’est une prière très importante pour obtenir des grâces et de l’aide. C’est la prière la plus importante après la Sainte Messe, la sainte Communion et la sainte Confession. Les sacrements augmentent la grâce, le Saint Rosaire vous aide à grandir spirituellement, à êtres bons, compréhensifs, à aimer tous les hommes. Il est facile d’aimer ceux qui sont bons, il est difficile d’aimer ceux qui ne le sont pas, mais Jésus a dit: "Aimez-vous comme Je vous ai aimés", vous devez donc aimer tous les hommes, même ceux qui vous font souffrir.

C’est un moment tragique, un moment très malheureux pour votre sœur, mais tournons nos pensées vers demain, jour de l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque. La grande fête est restée au 15 mars, mais c’est demain le jour de cet anniversaire et que ceux qui le peuvent viennent à la Sainte Messe, avec joie et sourire. Que ceux qui ne peuvent pas venir, prient chez eux pour l’Evêque. Je serai toujours avec lui, près de lui et je l’aiderai en tout, vous pouvez en faire autant, si vous le voulez. Marisella, tu dois encore rester ici, tu ne peux pas descendre dans la chapelle.

Marisa - J’ai un nœud dans la gorge, si tu savais… Je ferai ce que vous dites. Mais j’aimerais descendre pour participer à la Sainte Messe avec mon Evêque.

La Madone - Si Dieu le veut, tu descendras le 15, Dieu doit le vouloir. s’il dit non, tu ne descendras pas, s’il dit oui, ma fille, tu descendras, tu seras avec les autres et vous ferez tous ensemble une grande fête spirituelle. Tous ceux qui sont malades et ne pourront venir, devront priez ce jour là pour l’Evêque et Dieu vous aidera et vous bénira.

Tous mes vœux, pour l’instant, Excellence, de la part de Nous tous, et demain viendront ceux qui le pourront et ceux qui t’aiment seront à tes côtés. Merci de out et merci des prières que vous avez faites pour votre Evêque.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous porte tous dans mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 9 mars 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

L’Evêque - C’est à Toi, très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit, Dieu un et trois, Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu ami ainsi qu'à toi, Mère de l’Eucharistie qui es toujours près de nous et à toi Saint Joseph, Gardien de l’Eucharistie pour lequel notre amour est seulement inférieur à celui que nous avons envers ton épouse, et à toi, grand-mère Iolanda, qui es notre maman, que nous nous adressons.

Nous avons attendu et craint cette rencontre: nous l’avons attendue parce que nous avions l'espoir que Dieu nous dise quelque chose sur ce que nous attendons; nous l’avons crainte, parce que nous avions la crainte que cette fois encore fois, il ne nous dise rien. Mon cœur et celui de Marisa, sont pleins de tristesse, mais je ne veux pas répéter, au moins maintenant, les lamentations de Jérémie; c’est surtout à Toi, mon Dieu, que je m’adresse. s’il est vrai, comme vous l’avez dit, que les souffrances de Marisa sont supérieures à celles de Jésus et que mes souffrances ont dépassé celles des saints du Paradis, alors nous pouvons vraiment dire avec Jésus: "Notre âme est triste à mourir". Jésus a prononcé cette phrase et, à peine vingt quatre heures plus tard, il était de nouveau à la droite du Père, au Paradis, là où il réside habituellement, puisqu’il est Dieu. Notre âme est triste à mourir depuis bien longtemps, trop longtemps, et toi seul, mon Dieu, peut transformer cette tristesse en joie, rendre à cette maison son atmosphère de sérénité, de joie et de paix qu’on n'y ressent plus depuis longtemps. Nous nous efforçons de vivre et nous vivons écrasés par la souffrance. Nous luttons contre l'espérance pour ne pas chuter. Tu sais, mon Dieu, combien de lamentations sont sorties de notre cœur, combien de larmes ont coulé de nos yeux. Nous n’arrivons plus à vivre ainsi, sans joie et en luttant en permanence, parce que tout s'est tourné contre nous et je ne veux pas entrer dans les détails. Si Toi, mon Dieu, Tu n'es pas notre refuge, qui l'est? Si Tu n'es pas notre Père, qui l'est? Si tu n'es pas, chère mère de l’Eucharistie, notre maman, qui l'est? Si vous n'êtes pas, Saint Joseph et grand-mère Iolanda, nos protecteurs et confidents, qui peuvent l'être?

Regardez ce qu’il y a maintenant en nous. Mon Dieu, ne nous demande pas encore des souffrances; nous pourrions dire oui, mais nous serions le lendemain de nouveau plongés dans la tristesse la plus totale, parce que nous sentirions consumés et écrasés. Nous sommes depuis longtemps dans cette situation, depuis de longues années nous mangeons en plus du pain Eucharistique, celui de la souffrance qui est dur, casse les dents et se digère mal. Nous en avons vu de toutes les couleurs et maintenant, mon Dieu, je t’en prie, je t’en conjure, je t’en supplie: dis cela suffit. Appelle Marisa au Paradis, Tu as ajourné tant de fois son entrée au Paradis et donne-moi un peu de paix. J’ai récité dans une prière que si quelqu’un peut choisir entre ce qui est beau et ce qui est laid, ce qui est bien et ce qui est mal et que s’il choisit ce qui est laid et mal, il n'est pas très intelligent. Nous choisissons le beau et le bien, qui consiste pour elle à aller rapidement près de Toi et pour moi à pouvoir me reposer, me détendre et reprendre, avant de monter à des hauteurs stupéfiantes, les directions spirituelles interrompues depuis trop d’années. Cela suffit, je ne veux rien ajouter d’autre, parce que Tu sais tout; Tu connais chacune de mes pensées, de mes préoccupations, mon amertume et ma tension avant que je ne Te les dises. Donne à celle qui s'est offerte totalement à Toi, jusqu'à l’immolation complète, avant d’aller vers Toi, quelques jours de paix et de joie en vivant pleinement avec ses êtres chers, l’Evêque ordonné par Dieu et cette communauté si éprouvée et que je Te recommande chaudement. Je Te recommande également les prêtres de Rome, et en plus des autres, mes ex-compagnons du séminaire, ceux qui m'ont tourné le dos et qui, cette année, ne m'ont même pas fait savoir où et quand ils se réuniraient. Je Te les recommande: sauve-les, Tu peux les sauver. Sauve les bons prêtres de Rome et envoie au coin tes ennemis. Fais-nous comprendre ce que la Mère de l’Eucharistie a voulu dire lorsqu’elle nous a dit hier que depuis un certain temps Tu détrônes tes ennemis dans l’Eglise. Merci de m’avoir écouté; et je crois avoir également parlé au nom de Marisa.

Marisa - Oui, il a parlé aussi pour moi, parce que ce qu’il a dit est la sacro-sainte vérité. Comme tu le vois, je ne suis bonne à rien. j’espérais, au moins aujourd'hui, passer une journée différente des autres, mais malheureusement, je ne suis pas bien. Je t’ai tout donné et je continuerai à le faire jusqu'à ce que Tu me prennes avec toi. Prends-moi avec Toi, parce que je suis fatiguée et si je pars bientôt, l’Evêque réussira à se reposer et se redresser.

Dieu le Père - Mon cher frère, c’est moi Dieu qui te parle. Tu as voulu que tous tes ex-compagnons du séminaire ne t'écrivent plus, ne t’appellent plus mais il leur a semblé faux d’accepter tes requêtes. Tu sais également que Je suis Moi, entre toi et eux, pour te protéger. La Maman, Saint Joseph, grand-mère Iolanda et surtout la Trinité sont prêts à t’aider. Nous préparons la place de Marisella, ne te fais pas de soucis. Tu penses: "Quand?". Souviens-toi que mes temps ne sont pas les vôtres. Je fais tout avec beaucoup de calme et avec la volonté de faire le mieux pour elle et pour toi. Je suis désolé de ne pouvoir rester, parce que ma Marisella n'est pas bien et tu devrais le comprendre mieux que les autres. Ne t’inquiète pas de toute façon, parce que je ferai ce que j’ai promis. Je ne te dis pas le jour, mais quand il viendra, tu l’apprendras le premier. Tout ce que tu as dit est conforme à la vérité, mais je suis Dieu et je sais ce que je dois faire et comment le faire. Je vous embrasse, tous les deux, mes chers enfants, je vous aime comme je n’ai jamais aimé personne. La Maman, Saint Joseph, grand-mère Iolanda et tous les anges et les saints du Paradis vous aiment et vous veulent du bien. Laisse tes compagnons, prie seulement pour eux. Poursuis tranquillement ton chemin, tu les verras à la fin tous à tes pieds en pleurs et te demander pardon. Sois patient, mais Marisella a besoin …

L’Evêque - De repos.

Dieu le Père - Moi, Dieu, je vous bénis tous les deux et vous embrasse tendrement, parce que je suis votre Papa. An nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 13 mars 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Mes deux chers enfants, votre Maman va toujours par mers, par monts et par vaux, se rend partout pour aider ceux qui ont vraiment besoin d’aide. Pensez-vous que je ne vienne pas ensuite vous aider? Vous avez reçu hier un aide très puissant dont je n'ose même pas vous parler, parce qu’il est difficile de comprendre ce qui s'est passé, mais vous avez reçu tous les deux l’aide de Dieu, de Jésus, de moi et de grand-mère Iolanda. Quand quelque chose vous arrive, vous ne devez pas vous faire de soucis, parce que je suis avec vous. Si je vais partout, croyez-vous que je ne vienne pas chez vous? C’est seulement qu’on ne peut pas toujours obtenir ce que l’on demande. Dieu dit ce que nous devons faire et Nous faisons ce qu’il nous dit de faire. C’est très beau d'obéir à Dieu, de faire Sa volonté, même si cela reste difficile pour vous les hommes. Il vous semble parfois que Dieu n'exauce pas vos prières. Non, il les exauce, mais il y a parfois des choses que l’on ne peut pas obtenir. Il doit rester quelques souffrances, sinon quand se rénovera ce monde? Quand se rénovera l’Eglise? L’Eglise a besoin de se rénover. Dieu s’adresse à vous, comme on s’adresse à Nous du Paradis pour aider, prier, que tout aille bien. Vous savez mieux que moi que les choses ne vont pas bien dans l’Eglise, il est inutile de le cacher, inutile de l’admettre avec réticence. Il faut changer l’Eglise, et pour la changer, il faut quelqu’un de fort et de puissant qui l’aime vraiment. Nous espérons que cela arrivera bientôt, parce que je n’aime pas voir Dieu triste et préoccupé. C’est beau de voir Dieu quand il parle et sourit, quand nous chantons des psaumes, mais voir Dieu triste Nous fait également de la peine.

Nous nous adressons à tous, petits et grands, pas aux tout-petits d'un mois, mais aux petits comme Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara, Mariasole. Ils ne sont pas maintenant présents, mais ils doivent faire quelque chose et c’est à leurs parent de leur apprendre ce qu’ils doivent faire. Vous verrez que finalement tout deviendra beau et que vous serez heureux. Le monde changera, parce que l’Eglise changera. Merci à tous.

Ensemble avec mon et votre Evêque je vous bénis ainsi que vos êtres chers, je bénis tous les petits enfants et en particulier votre Evêque. Je vous prie de lui faire une grande fête, même s’il est très fatigué. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 15 mars 2009 - 11h48 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui une grande fête, pour Nous du Paradis, pour l’Evêque, la Voyante et pour vous tous ici présents. J’ai entendu beaucoup de belles paroles que vous avez adressées à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit et tout cela m’a fait plaisir. Essayez de les mettre en pratique et de ne jamais les oublier. Pensez souvent à ce que vous avez dit, parce que vous devez le mettre en pratique.

Priez pour l’Evêque, la Voyante, votre petit cénacle et le monde, afin qu’il change. Comme je vous l’ai dit d’autres fois, les choses ne vont pas très bien. C’est à vous, mon petit troupeau, que je confie la tâche d'œuvrer et de faire en sorte que l’Eglise change totalement de haut en bas, et se renouvelle; c’est à vous d'y pourvoir. Vous direz: "C’est justement à nous qui ne sommes qu’un petit group que tu donnes une telle tâche?". Oui, c’est aux petits que Dieu a révélé les belles choses. Si vous ne devenez pas comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux: mettez en pratique cette parole et aimez le plus que vous le pouvez.

Votre sœur fait preuve d'une très grande obéissance envers Dieu le Père Tout-puissant. Elle dit toujours oui à ce qu’il lui demande, mais elle ne peut pas dire à tous "J'obéis", seulement à Dieu, à Jésus et au Saint Esprit.

Marisa - J'obéis. Je ferai tout ce que tu veux, mais tu dois également me donner la force de continuer et d’arriver au but le plus vite possible; vous savez depuis quand j’attends ce moment.

La Madone - Tout deviendra alors plus facile pour votre Evêque et pour vous aussi. Il semble aujourd'hui qu’on ne célèbre une grande fête que dans le lieu thaumaturgique, mais au Paradis nous fêtons également cet anniversaire et ces presque trente huit années de travail et de souffrance de mes deux enfants.

Ils n'ont jamais dit non à tout ce que Dieu leur a demandé. Quand la souffrance était grande, Marisa a dit quelques fois: "Non, cela suffit", puis elle l’a regretté et dit: "Comme Tu le veux, mon Dieu, que Ta volonté soit faite", mais elle le disait en silence, de façon à ce que personne ne puisse entendre ce qu’elle disait en son cœur à son Epoux, à Jésus. Je vous adresse à tous mes voeux.

Marisa - Vous devez me pardonner et m'excuser si je ne reste pas avec vous. Je dois remonter après la Messe, parce que ma santé décline et que je dois aller me reposer, mais vous restez, tenez compagnie à mon Evêque, rivalisez à celui qui est le plus proche de lui, qui l’aime le plus, sans dire de choses stupides. Parlez de l’amour envers Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et la Mère de l’Eucharistie et tous les saints au Paradis. Merci à tous et pardonnez-moi de ne pouvoir rester avec vous, parce que pour moi la Messe est assez longue.

La Madone - Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. N'oubliez jamais de prier pour Marisella, afin qu’elle fasse la volonté de Dieu et que cette volonté divine arrive le plus tôt possible.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Adieu à tous et tous mes voeux à tous.

Rome, le 19 mars 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Saint Joseph - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Dieu m’a envoyé, moi Joseph, vous apporter un petit message d’amour et de paix. Je vous regarde du Ciel et je vois beaucoup de souffrances, vraiment beaucoup de souffrances et je me demande: "Qu’aurais-je fait moi à leur place? Quelle aurait été ma conduite?" Comme vous: j’aurais pleuré, souffert et aimé.

C’est difficile parfois d’aimer ceux qui font souffrir, mes deux chers enfants, même s’il vous ne semble pas qu’il en soit ainsi. Moi, Joseph, qui suis fêté aujourd'hui, je suis avec vous et j’ai été avec vous toute la nuit, j’ai veillé avec vous, j’ai prié avec vous, afin que Dieu vous aide à supporter ce long et dur martyre, parce que votre vie est un véritable martyre.

Mes chers enfants, vous aussi, quand vous avez de petites souffrances, vous vous demandez:"Pourquoi Dieu permet-il ces douleurs? Pourquoi agit-il ainsi?" Vous ne pouvez pas non plus vous imaginer la souffrance de mes deux enfants, ils se mettent en colère, pleurent et aiment. Pour être sincère, votre sœur ne voulait pas que je vienne ce soir vous apporter mon salut, mais elle a ensuite respecté le désir de son directeur spirituel, de ses neveux et de ceux qui prient dans la chapelle et a dit: "Je ne dois pas penser à moi mais aux autres", et elle s'est alors préparée à me recevoir, moi Joseph, qui ne suis qu’un simple saint par rapport à la Madone, à Jésus et au Dieu Tout-Puissant.

Marisa - Selon toi tu es un simple saint, mais pour nous tu es un grand saint et tu sais que notre Evêque t’aime énormément. Nous ne savions pas que tu étais toute la nuit à prier avec nous; et nous t’en remercions. Aide-nous à supporter cette dure existence, fais qu’on m'emporte bientôt, très bientôt, pas selon le bientôt de Dieu, mais selon celui des hommes. Je veux m'en aller, je suis très fatiguée; je veux être forte et je ne veux pas pleurer. Vous devez m'emporter pour l’Evêque, pour mes neveux, pour tous ceux qui prient en bas, je ne réussis plus à supporter ces douleurs, ni cette dure épreuve, ni ce martyre atroce que je vis du matin au soir et du soir au matin. Pardonne-moi, Saint Joseph, si je te parle ainsi; j’ai appris moi aussi par l’Evêque à tant t’aimer.

Aide-nous, je t’en prie, fais que je puisse partir vite et que l’Evêque puisse s'envoler là où Dieu l’a promis. Les promesses de Dieu doivent vite se réaliser, parce que nous ne pouvons plus continuer ainsi, je suis si fatiguée, je ne réussis plus à rien supporter, mais en dépit de tout, je parviens à prier pour les malades, les pauvres, les petits enfants, le Tiers Monde, je prie pour tous, moins pour ceux qui ont détruit le monde et l’Eglise. Aide-nous, Saint Joseph, aide l’Evêque, il s'est entièrement donné pour l’Eglise, aide-le, je t’en prie et fais que je sois dans la grâce de Dieu, quand vous déciderez de m'emporter. Pardonnez-moi, pardonnez ma franchise, mais je dois dire ce que je pense. Aidez-nous tous, nous avons tous besoin de votre aide: les enfants, les mamans et les papas. C’est aujourd'hui la fête des pères; as-tu pensé à eux?

Saint Joseph - J’ai prié pour tous les papas, Marisella, ne t’inquiète pas.

Marisa - A qui dois-je demander de l’aide: à toi ou à la Madone, aux autres saints ou au Dieu Tout-puissant? Je vous en prie de tout mon cœur, emportez-moi, emportez-moi! (Marisa pleure) Pardonnez-moi …

Saint Joseph - Mon épouse bien-aimée arrive maintenant pour vous bénir avec moi et l’Evêque.

La Madone - Je vous bénis tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - N'oublie pas, Saint Joseph, que je t’ai dit de demander à Dieu de m'emporter rapidement: ce serait un bien pour tous, croyez-moi. Tous mes voeux, adieu.

Rome, le 20 mars 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Mon époux bien-aimé est venu hier soir vous donner le message. Je rappelle à tous que les messages que Nous apportons, viennent tous de Dieu, comme je l’ai dit une fois en plaisantant, nous sommes les messagers qui apportent les lettres de Dieu. Je vous ai demandé de prier et je continue à vous le demander; ne vous préoccupez pas pour qui vous priez, comme vous ne devez pas vous faire de soucis pour ceux qui doivent quitter le lieu thaumaturgique, l’Evêque pour une raison et la Voyante pour une autre. La Maman vous répète souvent de vous aimer toujours, de bien veiller sur vos enfants, de vous aider mutuellement, de ne pas penser aux choses qui ne sont pas belles, de ne pas porter de jugements injustes, parce que vous ne devez pas juger, mais seulement Dieu et l’Evêque. N'oubliez pas de prier beaucoup, surtout pour ceux qui sont gravement malades, qui ne savent pas à qui demander de l’aide pour souffrir moins.

Je ne veux pas rester plus longtemps, mais j’aimerais voir la petite médaille de Saint Joseph. La médaille est petite, mais Lui est très grand, et Moi, avec mon Jésus et mon époux bien-aimé, je bénis ce petit objet, donné avec tant d’amour par celle qui aime l’Evêque plus qu’un frère.

Mes chers enfants, combien de fois ne vous ai-je pas dit: relisez les messages, si vous avez les libres, lisez-les, ne vous contentez pas d’enregistrer ou d’aller sur Internet, parce que les messages revus et corrigés, sont ceux que votre Evêque, votre directeur spirituel, publie.

Tous mes vœux à tous et bon week-end et que Dieu puisse vous bénir tous et aider ceux qui aiment et réussissent malgré tout à retenir le peu qu’il leur est possible de retenir. Je sais, ma fille, que tu souffres énormément.

Marisa - Je voulais te demander une chose: fais que cette nuit se passe bien pour l’Evêque et celle qui se sacrifie pour venir ici aider sa tante …

La Madone - Aimez-vous bien, vraiment bien. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Petite Madone, attends un petit moment. Viens, Sara. Celui-ci est Emanuele et celle-là, c’est la petite qui a voulu hier soir se faire belle pour toi. Donne ta bénédiction à tous les autres petits enfants, Jacopo, Samuele, Mariasole, Miriam, Ismaele, Adrian…

Emanuele - Mariselle.

Marisa - Mariselle, merci de la suggestion, et Gioele. Bénis tous ces petits enfants, enfants de notre communauté. Merci. Adieu.

Emanuele - Pourquoi avez-vous acheté la petite médaille de Saint Joseph?

Marisa - Nous devons la donner en cadeau à l’oncle, parce qu’il est le père de tous.

Rome, le 22 mars 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Mes chers enfants, comme j’ai aimé vous entendre parler ce matin du Paradis; soyez tranquilles, la place n'est prête pour le moment que pour une seule personne, celle que vous connaissez. C’est une grande joie de parler du Paradis, d’entendre des âmes qui encouragent: "Elle doit mourir".

Marisa - Oui, oui, je dois mourir. Ils ont dit qu’ils me feraient une affiche où ils écriront: "tu dois mourir".

La Madone - d’accord, Marisella, vous avez beaucoup parlé du Paradis. Je dois maintenant parler à ces chères âmes qui attendent ma venue dans la Basilique et je suis aussi au milieu d’elles. Gardez pour vous ce que je vous ai dit au sujet de ce personnage. s’il en est capable, il le dira lui-même. Mes chers enfants, continuez à prier pour ceux qui souffrent tant et doivent utiliser certains appareils pour rester en vie. Mes deux chers enfants, je suis toujours avec vous, vous avez vécu six jours de douleurs et de sacrifice, mais la situation s'est un peu améliorée aujourd'hui, c’est pourquoi quand je vous dis de prier et d'être forts et courageux, vous ne devez pas être tristes, parce que je suis avec vous, cette nuit aussi quelqu’un m’a désobéi.

Marisa - Moi, toujours moi.

La Madone - Mais je la comprends, parce que c’est difficile de réveiller une personne qui dort profondément. Mes chers enfants, ayez le courage de vos actes et soyez un petit peu plus calmes avec vos petits enfants; ils sont petits et ne peuvent pas comprendre. Donc soyez plus calmes quand ils font leurs devoirs, ne veulent pas manger, font l'espiègle, ce sont de petits enfants, ne l’oubliez pas, même mon petit Jésus était un peu espiègle.

Quand un petit enfant aime la petite Madone et doit faire ses devoirs, il doit dire: "Oui, papa, oui, maman, je les fais tout de suite, rapidement, je pourrai ainsi jouer ensuite". Quand le petit enfant fait des caprices, soyez plus doux, la douceur est très importante pour les enfants, sinon ils s'exaspèrent, ceci vaut pour tous les petits enfants, également pour ceux que vous ne connaissez pas. Soyez donc calmes et doux, même si c’est parfois difficile. N'élevez pas la voix pour vous faire comprendre, parce que plus vous criez, plus ils s'excitent, avec la douceur au contraire, comme je l’ai vu faire quelques fois, vous obtiendrez bien plus. Priez pour le départ de Marisella, priez pour tous ceux qui ont besoin de se convertir. Convertissez-vous et croyez en l’Evangile. Emanuele, sois bon, fais d’abord tes devoirs, puis va jouer, tu ne dois pas obliger la maman et le papa à répéter quarante fois: "Fais tes devoirs, fais tes devoirs, fais tes devoirs", tu es un bon petit enfant. Les filles qui entreront en première année à l'école élémentaire, celui qui entrera en quatrième année et celui qui fréquentera le lycée deviendront également bons. Mes petits anges, vous devez aimer vos parents, aimer tous les enfants, ne pas vous disputer entre vous. Soyez bons parce que moi, la Maman, je suis toujours avec vous et je vous aide quand vous jouez, quand vous faites des dessins qui plaisent tant à Jésus ainsi qu'à moi. Chers petits enfants, soyez bons et doux; votre maman et votre papa sont des personnes importantes pour vous, vous devez donc leur obéir. N'est-ce pas, Mariasole, qui baille? Je voulais seulement vous parler des enfants, parce que nous parlerons du départ de Marisella quand nous serons seuls, moi et mes deux enfants. Je bénis en ce moment ces petits enfants ainsi que les autres, parce que je veux qu’ils soient bons. Ils doivent comprendre que leurs parents les aiment beaucoup et font tout pour eux.

Merci. Je recommande à tous les adultes d’avoir plus de douceur envers les enfants s’ils veulent obtenir plus. Une fessée peut être utile, mais ne les frappez jamais sur la tête, le dos ou les bras. Envoyez maintenant un petit baiser à la petite Madone qui vous regarde. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 25 mars 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une journée spéciale pour votre Evêque et votre voyante. Dieu cherche par tous les moyens à leur donner de la force et du courage et il vous en donne également. Je vous invite à prier toujours. Quelqu’un fêtera dans quelques jours, neuf années de mariage et je veux être pres d’eux en compagnie de leurs enfants. Je les accompagnerai là où ils désirent aller. Je veux d’abord remercier mes enfants du courage qu’ils ont montré en parlant à Dieu. On parle à Dieu comme à un père et s’il faut lui dire quelque chose, on le lui dit, sans hésiter. Je suis toujours avec vous, même si parfois vous ne sentez pas ma présence. l’un d’entre vous doit la sentir, parce que Marisella a beaucoup prié pour la naissance d'un enfant et un enfant est né. Ce sont de très grandes grâces.

Marisa - Je demande des grâces pour nous deux; des enfants ne nous naissent pas …

La Madone - Si vous vous confiez totalement à Dieu, si vous croyez à ce que Dieu vous dit, vous ferez votre chemin comme il vous l’a promis et cela doit vous donner la force et le courage de continuer. J’aurais tant voulu que tout se termine et qu’une belle vie commence pour l’Evêque, la voyante et vous tous, mon petit cénacle. Je sais combien vous aimez votre Evêque, continuez à l’aimer, restez près de lui, aidez-le, si vous le pouvez, pas en faisant de grands sacrifices ou en privant votre famille de quelque chose, il en a besoin et Dieu vous en remerciera à l’infini, parce que Dieu est bon, Dieu est généreux, Dieu est omnipotent.

Marisa - Et nous sommes méchants?

La Madone - Je n’ai pas dit cela, Marisella. Toi, pense au chemin que du devras faire d'ici peu pour le Paradis, et toi, Evêque, pense au tien, qui sera plus dur que celui de la voyante, parce que tu devras entrer dans la tanière des loups, mais moi, comme Dieu me l’a dit, je serai à tes côtés et je t’aiderai toujours. Merci de vos prières. Tous mes vœux à tous. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Ecoute: quand tu verras Dieu, dis-lui qu’il ne doit pas se fâcher après moi, parce que j’ai été un peu … polémique avec Lui. Il ne faut pas qu’il se fâche, je ne suis pas bien sinon où finit la charité? Adieu. d’accord. Ecoute, étant donné que vous m’avez fait faire quelques pas, jusqu'à quand pensez-vous que je puisse marcher? Est-ce un mieux momentané ou durable?

La Madone - Dieu te le fera savoir.

Marisa - Merci, adieu.

Rome, le 27 mars 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je me demande parfois combien de rencontres bibliques vous avez faites et combien de belles explications vous ont été fournies par votre Evêque? Il vous a donné des explications très importantes, il ne s'est pas contenté de faire une simple lecture uniquement pour dire avoir lu le Saint Evangile et la Bible sacrée, mais il a fait une lecture enrichie d’explications adaptées à chacun de vous. Avez-vous essayé d’apprendre et de retenir tout ce qu’il vous a dit? N'oubliez pas que la rencontre biblique lui demande un effort permanent, tout particulièrement en ces derniers temps, parce qu’il a beaucoup, beaucoup à faire et doit assister une personne malade à la maison. Il fait tout pour elle.

Vous avez un Evêque qui, pourrait vraiment être immédiatement canonisé, mais pour l’instant nous nous contenterons de l'envoyer à des hauteurs stupéfiantes. Je crois que vous en serez tous heureux, mais lui aura beaucoup et beaucoup à faire. Quelqu’un a dit de jeter de l'huile bouillante sur la terre pour en éliminer les méchants, mais ce n'est pas ainsi que Dieu résout les problèmes. Il faut prier, aimer, aider ces personnes à se convertir et ce n'est pas facile, croyez-moi. Il est plus facile de s'occuper d'un petit enfant, de lui expliquer les choses, que de convaincre un adulte de changer. Je me demande pourquoi les adultes ne comprennent jamais et ont toujours quelque chose à demander. Comme je vous l’ai dit bien des fois, posez des questions, mais ne les posez qu'à votre Evêque et lui saura vous donner les explications voulues. Il n’a certainement pas le temps dont il disposait autrefois, parce qu’il est seul, est très pris par son travail et très occupé à faire les livres des messages, à écrire des lettres aux personnages importants, mais surtout à s'occuper de celle qui va mal. Il est très pris en tout, par Dieu également, qui l’a pris totalement pour lui et ne l’a plus lâché. Priez, priez aussi pour le départ de Marisella, qui n’arrive jamais et pour votre Evêque. Priez aussi pour chacun de vous, parce que vous avez tous besoin de prières. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis le pupitre d'or et surtout celui assis derrière.

Merci. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

J’ai toujours dit beaucoup, beaucoup et beaucoup de paroles, comme en a dit votre Evêque, essayez maintenant de retenir et de mettre en pratique ce que nous avons dit.

Marisa - Adieu, ma belle.

Rome, le 29 mars 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Marisa - Ecoute, petite Madone, j’aimerais te dire une chose avant que tu ne parles. Quand tu viens, puisque je n’ai pas beaucoup de voix pour répéter ce que tu dis, essaie de nous dire quelque chose d'important, parce que nous désirons tous ardemment l'entendre.

La Madone - Mes chers enfants, me voici ici maintenant parmi vous pour vous parler de très belles choses, mais pas de celle que vous voulez entendre.

Marisa - Moi, j’ai déjà compris.

La Madone - Je voulais seulement vous dire que Dieu vous remercie des prières que vous faites pour l’unique intention demandée par votre Evêque: le départ de Marisella. Continuez, continuez à avancer ainsi. L’Evêque a dit: "Prions pour que cela arrive après Pâques" et votre sœur en plaisantant, a répliqué: "Oui, après les vacances d'été".

Marisa - Et nous recommencerons la nouvelle année? Non, je ne suis pas d’accord., Je me rebelle cette fois. Compris? Même l’Evêque se rebelle, ainsi que tous ceux qui sont présents et absents. Mariasole n'est pas contente, Mariasole veut que je parte.

Elle a aussi crié à haute voix ce que j’ai crié: "Je dois mourir". Tu m’as dit qu’après mon départ, je pourrai mieux aider les êtres humains, je pourrai aider à faire naître d’autres enfants et tu sais à qui je me réfère. Les petits enfants sont à la fois joie et douleur, mais plus que tout joie. Ils deviennent un peu tyranniques quand ils sont assez grands.

La Madone - Oui, mais ils sont toujours joie. Je vous prie de continuer à prier pour la venue d’autres enfants, nous ferons une nouvelle génération puisque les jeunes sont maintenant pratiquement adultes ou déjà adultes. Essayez de vous aimer tous, de vous vouloir du bien et priez pour l’intention proposée par l’Evêque. La Maman n’a rien d’autre à vous dire, parce que la lettre de Dieu est assez brève. Dieu n'écrit pas avec la plume et l'encre, parce qu’il n'y en a pas au Paradis. Ne confondez pas toujours les choses, au paradis il n'y a rien de matériel, il n'y a que la joie, le désir de chanter, de réciter des psaumes et de prier Dieu, seulement cela, rien d’autre. Oui, le Paradis est beau, grand, joyeux et prêt à accueillir les âmes de la Terre, si elles le veulent. Ensemble avec mon doux et saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Jacopo et Mariasole sont présents, le plus grand et la plus petite des neveux et nièces. Adieu.

La Madone - Mariasole, tu m'envoies un baiser?

Marisa - Elle semble être une rose mystique, mais elle ne l'est pas, elle est Mariasole.

Messages d’avril 2009

Rome, le 3 avril 2009 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Mes chers enfants, c’est le grand moment d'intensifier vos prières le plus que vous le pouvez. Vous n'êtes pas nombreux, pas tous présents, mais que ceux qui le sont, intensifient leurs prières pour Marisella. Elle souffre énormément et sa souffrance la consume, mais elle l’offre à Dieu. Elle va maintenant vous lire une lettre qu’elle a voulu écrire en s’adressant à vous tous, car elle ne peut parler à chacun de vous. Elle la relira dimanche pour ceux qui sont absents aujourd'hui. Ecoutez-la et mettez-la en pratique. Merci à tous.

(Marisa lit son testament spirituel joint à la lettre de Dieu du 5 avril 2009, dans sa version complète et définitive, NDLR)

La Madone - C’est bien, Marisella, tu as bien fait.

Mes chers enfants, il ne me reste qu'à vous donner ma bénédiction, ensemble avec mon saint Evêque, en rappelant tous, petits et grands, dans les prières.

Au nom du Père du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu, adieu, maman; adieu à tous.

Rome, le 4 avril 2009 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Aujourd'hui, premier samedi du mois, après avoir écouté la précieuse lettre écrite par votre sœur, je pensais que quelqu’un avait progressé un peu, mais je vois qu’il y a encore beaucoup à faire. Ce qui m’attriste le plus, c’est que l’on manque à la charité, tout en le sachant, même envers l’Evêque. l’un d’entre vous a parlé comme si l’Evêque avait manqué à la charité ou voulait vous faire manquer à la charité, c’est grave. Celui qui l’a fait, qui a fait souffrir l’Evêque, a commis un acte très grave. Vous savez que Dieu a dit: "Gare à ceux qui feront souffrir mon Evêque". Ce n'est pas en élevant la voix et en partant sans saluer que l’on résout les problèmes.

Il semble parfois que vous ne vouliez pas comprendre ce que vous dit l’Evêque, il parle pourtant un italien simple et parfait, adapté à tous. Croyez-vous que l’Evêque veuille vous faire manquer à la charité vis-à-vis d'un frère? Dans une communauté, aussi petite qu’elle soit, tous doivent pratiquer la charité, pas seulement un et toujours le même. Ce qui s'est passé n'est pas bien. Un geste grossier a été accompli devant deux êtres méchants qui s'en sont réjouis. Vous savez maintenant que mes deux chers enfants ont deux personnes qui les font souffrir tous les jours. Ils se sont tus, ont gardé le silence, n'ont rien dit et vous en ont finalement parlé en espérant obtenir votre aide, mais ne l’ont pas reçu.

Gare à ceux qui manquent à la charité, en particulier vis-à-vis de l’Evêque.

Votre sœur vous a adressé hier un message de bonté et d’encouragement, pour vous préparer à sa mort, parce que vous devez être tous prêts, et au contraire tout a été pratiquement détruit. Je permettrai demain à votre sœur de relire une nouvelle fois ce qu’elle a écrit de ses mains tremblantes et douloureuses et si quelqu’un désire une copie de cette lettre, il peut la demander à l’Evêque ou à Yari. Obéissez et vous constaterez que si vous obéissez, les choses iront toujours bien. Mais si vous commencez à vous replier sur vous-mêmes, les choses n'iront plus bien. Votre Maman vous dit que cette lettre de Dieu est une lettre très douloureuse. Je vous parle et vous corrige parce que je vous aime; l’Evêque a cherché par tous les moyens à faire de même, mais on l’a critiqué et ceci est triste et grave.

Mes chers enfants, voulez-vous monter à des hauteurs stupéfiantes? Voulez-vous aller au Paradis? Voulez-vous être braves, bons avec tous? Vous devez tous pratiquer la charité, ce ne doit pas être toujours les mêmes qui la pratiquent. Bien sûr si quelqu’un est malade, il ne peut pratiquer la charité envers ceux qui sont bien-portants. Je regrette que cet incident ait eu lieu après la lettre d'hier de votre sœur, c’est très grave. Je vous en prie: ne discutez pas entre vous, ne faites pas de commérages, parce que vous ne réussiriez qu'à détruire le bien que votre Evêque s'est efforcé de faire. Il a fait beaucoup de bien, donc si vous parlez entre vous, si vous faites des commérages, comme on le dit sur terre, ce n'est pas bien. Moi, la Maman, je suis très affligée de ce qui s'est passé. J’aime mon Evêque, et je ne veux pas qu’il soit maltraité par qui que ce soit. Les petits enfants, les jeunes ne sont jamais allés jusque là, mais quelques adultes oui. Pourquoi ? Sont-ils meilleurs que les jeunes?

Essayez de vous corriger, de vous aimer; apprenez à aimer et puis priez, si vous priez sans aimer, tout est inutile, mes enfants! C’est la Maman qui vous parle et c’est la lettre de Dieu! Faites ce qu’on vous dit de faire, vous êtes un petit groupe et je vous aime. Comme vous le voyez, je suis souvent avec vous, je ne suis pas dans les grands lieux, je ne les nommerai pas, je suis avec vous, même si vous n'êtes qu’un ou deux; je serai toujours avec vous. Je vous invite maintenant à prier pour l’Evêque et ceux qui ne savent pas aimer. Réconciliez-vous avec Dieu. Merci et pardonnez-moi mon franc parler.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que ceux qui vous sont chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Merci, petite Madone, parce que nous sommes de petits enfants et tu dois nous aider. Adieu, adieu, maman; adieu à tous. Je voulais te demander: quand m'emporterez-vous? Mais je n'en ai pas eu le courage.

L’Evêque - Ce n'était pas le moment.

Rome, le 5 avril 2009 - 11h30 (Lettre de Dieu)

(Marisa lit son testament spirituel à toute la communauté, NDLR)

Marisa - Chers frères et sœurs, c’est avec une grande joie que je relis cette lettre pour ceux qui étaient absents vendredi dernier, jour de la rencontre biblique. Je sais que vous avez fait vôtre l’invitation de la Madone de prier pour mon départ et que vous avez approuvé la suggestion de l’Evêque de commencer une campagne de prières toujours dans la même intention. Dieu le Père est heureux de cette initiative, Il l’approuve et l'encourage.

Jésus, mon doux époux, sait que je désire ardemment le rejoindre aussi vite que possible, non seulement parce que je suis maintenant au bout de mes forces, les médicaments n’agissant plus et je suis fatiguée de souffrir, mais aussi parce que je ne me sens plus capable de vivre dans ce monde sal et corrompu.

Je crie avec Paul: "Je désire mourir pour être avec le Christ".

Je vous remercie de vos prières et vous supplie de les continuer avec une grande persévérance. C’est un très beau geste d’amour à mon égard.

Si Dieu le veut, quand je serai au Paradis, je Lui recommanderai chacun de vous ainsi que vos êtres chers.

Je prierai aussi pour vos intentions.

Je n'oublierai aucun de vous, parce que vous avez été près de l’Evêque et de moi dans les nombreuses heures douloureuses de notre mission. Quand je ne serai plus, n’abandonnez pas l’Evêque, ne le faites pas souffrir et restez près de lui, surtout quand il s'élèvera très haut. Ce ne sera pas facile pour lui, ainsi que l’a dit la Mère de l’Eucharistie, "il entrera dans la tanière des loups". Il aura alors encore plus besoin de vous, de votre aide, de votre amour et de vos prières. Ne cherchez pas à jouer les prima donna, soyez humbles, parce que les derniers seront les premiers, et vous devez être les premiers. Ne parlez pas dans le dos des autres, ne discutez pas entre vous, mais aimez-vous; apprenez à aimer et puis priez.

Je porte avec moi le visage de chacun de vous parce que, d'une certaine façon, vous pourriez être devant Dieu Papa, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Si Dieu me le permet, je viendrai vous rendre visite dans vos maisons pour recueillir vos prières et vous apporter ses grâces. Ne pleurez pas ma mort, cela n'en vaut pas la peine, mais réjouissez-vous parce que j’aurai finalement trouvé le bonheur. Je pars vous préparer une place au Paradis, où je vous attends tous.

Je termine ainsi que me l’a enseigné ma maman: "Je vous embrasse tous tendrement. Votre soeur affectionnée Marisa".

Bonnes et Saintes Pâques à tous.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Après la lecture faite par votre soeur, moi, la Mère de l’Eucharistie, je n’ai rien d’autre à ajouter. Je serais heureuse si vous réussissiez à mettre en pratique le testament d’amour que votre soeur vous laisse et je vous invite à vous aimer et à ne pas vous conduire comme hier. J’ai employé hier une expression typiquement italienne: "Ne faites pas de commérages". s’il y a quelque chose que vous devez comprendre, vous savez à qui vous devez vous adresser, mais vous ne le faites jamais et si vous le faites, vous ne parlez pas de vous, mais des autres, ce qui n'est pas beau. Recommencez, retenez tout, mettez tout en pratique, continuez à prier pour l’intention dont vous a fait part l’Evêque et je serai toujours avec vous. Votre soeur aurait pu écrire une lettre très longue, même de cent pages, mais elle n’aurait certainement pas pu toutes les lire et elle a donc essayé de réduire du mieux qu’elle a pu, du reste, quand on met son coeur et l’amour dans ce que l’on fait, il n'est pas besoin de faire beaucoup de préambules. Vous savez que les médicaments n'ont plus maintenant aucun effet sur votre soeur et que chaque jour et chaque nuit il y a quelque chose qui ne va pas. Nous sommes avec elle, bien sûr pour lui donner de la force et du courage, pas pour la guérir, parce que la décision a maintenant été prise. Je vous demande de continuer à prier, ne vous disputez pas, ne créez pas de problèmes, là où il n'y en a pas. Le monde est déjà tellement corrompu et sal, essayez de tenir propre au moins votre coin de paix. Merci. Sainte…. Sainte… Sainte…

Marisa - J’aurais aimé que l’Evêque entre avec l'ânon, comme Jésus. Sais-tu, petite Madone, que je ne me souviens plus quelle fête c’est aujourd'hui? Je suis vraiment au bout du rouleau!. Si c’est Pâques dimanche prochain, c’est aujourd'hui le Dimanche des Rameaux. Je me sens étrangère à tout ce qui se passe autour de moi. Si quelqu’un ne participe pas à la Sainte Messe communautaire et ne prend pas part aux offices liturgiques, il oublie tout, mais c’est la vie de ceux qui doivent partir, pas avec le train ou l’avion, mais avec les anges au Paradis.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, que je respecte toujours, je vous bénis, vos êtres chers, vos petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je voulais te demander, si l’on pourrait mettre sur ma tombe ou sur ce qu’ils feront, je ne sais pas, parce que je veux aller sous la terre, la sculpture faite par Claudia.

La Madone - Oui, mais sa photo, parce qu’ils voleront immédiatement la sculpture.

Marisa - Oui, oui, la photo. Merci. Adieu.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu. Salue tous ceux du Ciel. Je les rejoindrai dans très peu de temps, Ne me faites pas attendre trop longtemps. Adieu.

Rome, le 9 avril 2009 - 20h38 (Lettre de Dieu)

Jeudi Saint

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Tous mes voeux à tous, mes chers enfants. C’est une très grande fête aujourd'hui, vous fêtez Jésus Eucharistie. Souvenez-vous que la trahison de Judas eut lieu justement lors de la dernière Cène. L' institution de l’Eucharistie lors de la dernière Cène fut le moment le plus beau et le plus émouvant et pourtant quelqu’un trahit. Je vous le dis, parce que je ne voudrais pas que quelqu’un trahisse l’Eucharistie, le Pain du Ciel et l’Evêque de l’Eucharistie. Les anges descendent, portant l’Eucharistie dans leurs mains, et vont jusqu'à L’Aquila, Onna et d’autres zones touchées par le tremblement de terre, parce que tous essaient de se réunir, pour autant que cela soit possible, pour célébrer la dernière Cène.

Qui peut comprendre l’importance de l’Eucharistie et de tous les miracles eucharistiques accomplis dans beaucoup de lieux? Priez, ne vous éloignez jamais de Jésus Eucharistie, quoique vous ayez à faire, à moins d'être malade ou contraint de vous absenter pour le travail. Aimez Jésus Eucharistie, pensez que Jésus fut trahi par un baiser. Vous, ne le trahissez jamais, essayez toujours d’aimer, comme Jésus l’a dit il y a des années: "Apprenez à aimer et puis priez". Il y a eu parmi vous, quelque chose qui a déplu à Jésus, mais tout est revenu en ordre et moi, la Mère de l’Eucharistie, j’espère beaucoup que tout soit toujours en ordre, que tous s’aiment, se respectent, mais surtout que l’Evêque de l’Eucharistie soit respecté.

Tous mes voeux ainsi que ceux du Paradis s’adressent à vous tous, petits et grands. Quand vous procéderez au lavement des pieds, soyez recueillis, ne vous regardez pas les uns les autres, mais recueillez-vous en silence et priez. Merci.

Marisa - Je voulais te demander une chose, parce que l’Evêque m’a ordonné de le faire: si je pourrais aller un petit mieux. J’ai obéi.

La Madone - Courage, Marisella, courage et merci.

Ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis, vos enfants, vos personnes âgées, tous les malades et tous ceux qui se recommandent à vos prières.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen. Tous mes voeux à tous. Vive l’Eucharistie, toujours!

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 12 avril 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Pâques du Seigneur

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui une grande fête et j’ai récompensé votre soeur en la faisant dormir cette nuit. Je ne me lasserai jamais de vous dire: approchez-vous de Jésus, faites la Sainte Communion en état de grâce. Etre en état de grâce signifie aussi être francs, ne pas mentir et être bons et braves. Ceux qui font les lectures doivent le faire d'une voix forte et claire de façon à être entendus de tous, même de ceux qui entendent mal. N'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Au lieu de me dire ces choses, pourquoi ne m'emportes-tu pas?

La Madone - Ce n'est pas le moment de parler de ton départ, Marisella. C’est aujourd'hui la fête de ton époux, Jésus, c’est Lui qui devra décider pour toi, tu es son épouse, Nous n’avons rien à y voir. Comment dites vous?

Marisa - Il ne faut pas mettre le doigt entre le bois et l'écorce. Je le fais parfois, puisque je ne suis ni épouse ni époux, je suis la maman de tous.

La Madone - Tu as raison, Marisella, tu as donné beaucoup à tous. J’aimerais vous rappeler un moment de la vie de Jésus, quand Il monta au Ciel et emporta avec Lui toutes les âmes qui attendaient sa mort et résurrection. Quand Il ressuscita, il était beau, très beau, plus beau que lorsqu’il vivait sur la Terre et tu le sais.

Marisa - Oui.

La Madone - Je vous le répète encore: aimez-vous, aimez-vous, mes chers enfants, le temps est proche pour tous, souvenez-vous qu’il n'y a pas d'âge pour mourir, il faut donc bien se conduire et aimer tous les hommes, même le petit frère, la petite soeur et la petite cousine. Les petits enfants doivent se conduire en petits enfants. Jésus a dit: "Laissez les petits enfants venir à moi".

Aimez-vous, aimez Jésus, aimez Marie, Mère de l’Eucharistie, aimez l’Evêque et la victime de l’Eucharistie. Mes chers enfants, je suis toujours près de vous, comme j’ai été pendant des jours et des jours à apporter mon aide dans les régions touchées par les tremblements de terre, avec mon époux bien-aimé Joseph, grand-mère Iolanda et Marisella. Priez pour ces petits enfants et ces personnes victimes d'un tremblement de terre si violent que beaucoup d’entre eux sont montés au Paradis. Les petits enfants sont bons s’ils le veulent. N'est-ce pas Mariasole que les petits enfants sont bons?

Marisa - Ce n'est qu’une petite fille.

La Madone - Je ne veux pas en cette grande fête, dire des choses qui ne sont pas belles, la lettre de Dieu est très belle, elle ne parle que d’amour, d’amour, d’amour envers tous, les petits, les adultes et les personnes âgées. Cette charité bénie n'est pas encore comprise. Vous tous du cénacle, vous devez exercer la charité, ne vous pavanez pas, ce n'est pas bien. La charité se fait en silence. Il ne faut pas se conduire comme ces personnes dont parle Jésus, qui mettaient leurs pièces dans le tronc pour faire du bruit et attirer l’attention de ceux qui étaient présents. La petite vieille a jeté doucement, doucement une piécette dans le tronc, pour ne pas se faire remarquer. Ceci est beau, l'humilité est silencieuse, la charité est silencieuse. Faites les choses avec amour, mais en silence. Il ne faut pas claironner, appeler quelqu’un. Aimez-vous, adorez-vous, si vous le pouvez, mais puisque l’on n’adore que Dieu, de l’adoration nous venons à l’amour. Aimez-vous tous comme j’aime, moi, Marie, Mère de l’Eucharistie, et comme aime l'époux de Marisella. Le voici ici, beau, rayonnant.

Marisa - Jésus, tu es plus beau que d'habitude. La chanson parle d'un époux tout vêtu de blanc. Moi-même je sais …

Jésus - Je sais, je sais, qu’as-tu Marisella…

Marisa - Jésus, quand m'emporteras-tu? Plus tôt je m'en irai, plus tôt l’Evêque renaîtra, tous sont heureux et je serai heureuse moi aussi, même ivre de joie.

Jésus - Moi, Jésus, je vous adresse tous mes voeux. Je suis votre Jésus et je vous souhaite à tous une Sainte Pâque. Que ce soit Pâques tous les jours, comme c’est Noël tous les jours. Il ne faut pas attendre Pâques ou Noël pour se confesser et faire la Communion, parce que c’est tous les jours Noël, tous les jours Pâques, donc tous mes voeux à tous. Adieu, Marisella.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, et les voeux du Paradis, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 17 avril 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est beau quand vous chantez "Mon âme magnifie le Seigneur et mon esprit exulte en Dieu, mon Sauveur ". Il y a quelques jours, je vous ai fait un gros reproche, parce que quelqu’un avait manqué de respect à l’Evêque; ceci s'est reproduit aujourd'hui. Je ne veux pas dire que vous le faites délibérément par méchanceté, mais faites attention. Essayez de le respecter, ce n'est pas ainsi que l’on traite une personne, pas du tout. Vous pensez faire les choses bien et au contraire vous commettez des erreurs. Respectez l’Evêque et ceux qui sont à vos côtés, chacun de vous doit être respecté. Si vous priez, chantez le Magnificat et d’autres chants et que vous manquiez ensuite de respect, de charité et d’amour, qu’obtenez-vous? Qu’est-ce qui arrive à Dieu? Combien de fois ne vous ai-je pas dit: aimez-vous! Est-ce si difficile d’aimer? Courage. Je suis toujours près de vous pour vous aider à devenir braves et bons. Respectez-vous et aimez-vous réciproquement.

Je vous répète encore une fois: apprenez à aimer et puis priez. Apprenez à aimer les personnes, à les défendre quand il est nécessaire de le faire. Aimez tous les hommes, même ceux qui pourraient vous marcher sur les pieds. C’est amour, charité. Si vous n’arrivez pas à la charité, à l’amour et à vous aimer, quand irez-vous au Paradis? Bon courage à vous tous pour avancer.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous, les êtres chers qui vous sont chers, les malades, les petits enfants et tous ceux qui souffrent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 24 avril 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants.

Je vois que peu à peu le nombre de personnes diminue toujours plus. Bien sûr, ce n'est pas ici un lieu qui attire, où l’on joue, se divertit comme dans d’autres. C’est ici un lieu où l’on ne fait que prier. C’est ce que je voulais et je crois que vous étiez d’accord. Vous savez aussi qu’il y a des personnes qui se rendent dans des sanctuaires et qui après en avoir fait la visite et participé à la Sainte Messe se conduisent mal entre eux. Alors il ne me reste qu'à prier et à m’accrocher à ce petit lieu.

Dieu le Père - C’est moi votre Dieu qui vous parle. Je suis très attaché à ce petit lieu, je vous aime tous et désire que vous veniez tous au Paradis avec Moi. Respectez votre Evêque.

Je vous bénis ensemble avec mon et votre Saint Evêque.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 25 avril 2009 - 19h43 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, j’ai écouté la Sainte Messe et participé aux chants avec vous. J’ai également donné à Marisella la possibilité de chanter comme elle le pouvait. Sa voix s'est jointe aux vôtres et a formé un choeur. La Maman vous remercie de ce que vous faites, mais faites encore attention, parce qu’il y a encore des petites choses qui ne vont pas. Est-ce que cela demande tant pour devenir des hommes? Il est facile de devenir hommes et femmes, mais devenir des hommes et des femmes de Dieu demande des efforts.

Approchez-vous toujours de Jésus, recevez toujours Jésus et il sera avec vous et vous donnera de la force. Aimez vos enfants, aimez vos femmes, aimez vos maris.

Marisa - Et moi?

La Madone - Toi, Marisella, aime pour l’instant l’Evêque et ton Epoux t’attend.

De toute façon, si vous réussissez, même en n'étant qu’un petit groupe, à donner aide et charité aux autres jeunes qui ne viennent pas, vous accomplirez une grande et belle action. Quand vous apprendrez à aimer, à vous aimer, à vous aider mutuellement, le Paradis sera avec vous.

Merci. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Maman. Tu as chanté avec moi, "Du ciel…". Ils sont tous partis.

L’Evêque - Tu as chanté.

Marisa - Avec la voix de maman

L’Evêque - C'était la même voix.

Marisa - Ceux qui vous disent directement ce qu’ils pensent, même durement, sont sincères, vous aiment, cherchez donc à vous aimer en vous disant toujours la vérité et la Madone sera toujours avec nous, avec nous tous. Merci.

Rome, le 26 avril 2009 - 10h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Louré soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Aujourd'hui, qui est dimanche, devrait être consacré au repos, mais c’est parfois difficile, parce que les hommes pensent à tout, sauf à la Sainte Messe qui est très importante.

Mes chers enfants, Paola et Marco, vous vous êtes engagés aujourd'hui envers Dieu, vous-mêmes et l’Evêque qui vous a formés, plutôt bien, bien que n’ayant pas eu tout le temps qu’il aurait aimé avoir. Cet engagement, cette promesse consiste à dire pour toujours "Oui" à Dieu, à être dévoués l’un envers l’autre, à s’aider mutuellement et, si une dispute survient, à ne pas faire la tête sans dire un mot, mais à faire la paix, à s’aimer et à prier. Cette promesse semble être une bagatelle, mais est très importante parce qu’elle vous prépare à dire "Oui" à Dieu, au Mariage qui est un grand sacrement, méprisé aujourd'hui. Il y en a peu qui respectent le sacrement du Mariage.

Conduisez-vous toujours bien, donnez le bon exemple. Vous qui êtes ici présents, aidez ces enfants, priez pour eux, afin qu’ils puissent arriver au but, sereins et confiants: cela semble facile, mais ce ne l'est pas. Si deux êtres s’aiment, ils réussiront à arriver au but, avec vous tous derrière qui priez, avec leurs parents, leurs proches et les petits enfants qui prient. Oh, le sacrement du Mariage est très beau! Ceux qui célèbrent le sacrement du Mariage sont très fortunés. Aimez-vous, respectez-vous, soyez sincères l’un envers l’autre et Dieu vous bénira toujours.

Ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos proches. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Merci.

Messages de Mai 2009

Rome, le 1er mai 2009 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est votre Maman qui vous parle. J’ai amené mon époux bien-aimé Joseph, parce que nous le fêtons, comme toujours le 1er mai et le 19 mars; c’est pour Nous une grande fête. Parle, mon époux bien-aimé, dis quelque chose à mes enfants.

Saint Joseph - Je n’ai pas l'habitude de parler comme la Mère de l’Eucharistie et mon Fils Jésus, mais je prie toujours pour vous et je vous invite également à prier. Vous avez tous, petits et grands, besoin de prier. Quand l'heure tant attendue viendra pour votre soeur, vous ferez une grande fête; vous ne devez pas l’oublier.

Je dois maintenant procéder à quelques rectifications au nom de Jésus, parce qu’il arrive parfois que votre soeur ne comprenne pas bien ce que nous lui disons quand elle est fatiguée ou a peu dormi. Elle doit continuer avec l’Eucharistie, manger l’Eucharistie, mais ne doit pas pour cela renoncer à la nourriture naturelle, si celle-ci est légère et ne lui fait pas mal à l'estomac. Elle doit de plus prendre ses médicaments, parce que Dieu ne les lui a pas retirés; elle doit les prendre tous. Hier elle a seulement pris un sirop contre les douleurs d’estomac. Quoi que ce soit qu’elle ait mangé, léger ou pas, elle aurait dû prendre du Maalox, trois cuillères à chaque fois et continuer ainsi pendant toute la journée. j’espère au moins que l’Evêque et la présidente des jeunes l’ont bien compris et compris aussi comment elle doit se nourrir. Elle ne parvient pas toujours à comprendre ce que nous disons. Elle doit prendre l’Eucharistie, faire de petites collations si cela ne suffit pas, et prendre du Maalox si elle a mal à l'estomac; elle doit prendre ses médicaments. Si la doctoresse décide d’en supprimer un, parce qu’il ne s’avère pas nécessaire, c’est bien aussi. j’espère malgré tout que tout a été bien compris.

Moi, Joseph, j’ai vécu plusieurs années avec l’Enfant Jésus, puis la maladie m’a pris moi aussi pendant huit ans et je n’ai pas pu suivre mon Fils. On souffre beaucoup quand on ne peut aider son fils. Je lui ai laissé la tâche de faire tout ce que j’aurais dû faire. Je suis son père putatif, même si je me sens être son père à cent pour cent. Je n’aime pas beaucoup quand vous dites: Saint Joseph, père putatif. C’est plus beau de dire papa de Jésus et je vous en remercie . Priez beaucoup pour tous ceux qui ont besoin qu’on prie pour eux et beaucoup de personnes ont besoin de prières; je prierai pour eux et vous vous joindrez à moi. J’aimerais, comme vous l’a demandé la petite Madone, que vous chantiez le Salve Regina quand vous récitez le Saint Rosaire, mais sans détonner; les uns prenant un ton et les autres un autre. Le Salve Regina a toujours été chanté. Une seule personne doit commencer à chanter et non plusieurs à divers moments; vous devez faire de même quand vous chantez à la Communion. l’un d’entre vous doit entonner le chant et les autres continuer. j’espère m'être bien expliqué. Vous pensez: maintenant, même Joseph commence à nous faire des reproches. Non, j’ai seulement dit ce que la petite Madone m’a dit de dire; en ce qui me concerne, vous pouvez faire ce que vous voulez, mais plus on donne et mieux c’est pour tous. Quand le testament de votre soeur et le sourire de Dieu seront prêts, vous recevrez ces présents. Merci pour la fête, merci pour les prières. Je vous invite à prier pour tous les petits enfants, qui ont eux aussi besoin de prières, ainsi que pour les grands et les super grands et surtout pour votre Evêque. Je me retire en bon ordre, et laisse le soin à la petite Madone de vous bénir.

La Madone - Et moi, en tant que votre Maman, je vous recouvre tous de mon manteau maternel. Je vous bénis avec mon saint Evêque. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu, Saint Joseph.

Rome, le 2 mai 2009 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est difficile pour moi, en tant que Maman, de vous parler par l’intermédiaire de celle qui a été appelée par Dieu comme voyante, parce qu’elle a souffert la Passion à trois reprises cette nuit et c’est déjà un miracle si elle parvient maintenant à prononcer quelques mots et à être avec vous. Je vous demande de prier pour sa bonne mort ou pour qu’elle souffre moins, parce qu’elle a des douleurs atroces. J’ai été très émue hier, quand mon époux bien-aimé vous a parlé et dit avec beaucoup de douceur de l’appeler papa et non père putatif, je désirais qu’il arrive à vous le demander, parce que c’est beau de dire papa et non père putatif. Je vous demande beaucoup de prières, je ne me lasserai jamais de vous répéter de prier. L'heure du départ de Marisella est proche, mais l'heure de Dieu n'est pas la vôtre: "Bientôt" peut pour vous signifier demain, mais pas pour Dieu, pour Lui cela peut être après-demain ou quand Il le décidera. Aidez votre soeur à supporter ces grandes douleurs. Je sais que vous priez, je sais que vous êtes proches d’elle, je sais que vous priez selon les intentions de votre Evêque et la Maman vous en remercie.

Si vous vous en souvenez, votre soeur a été déclarée sainte par Dieu il y a dix ans, elle ne désire pas que l’on rappelle cet anniversaire, cela la gêne. Etre saint signifie avoir toujours fait la volonté de Dieu; elle a toujours fait la volonté de Dieu, même si cela a été parfois difficile, parce que des personnes l’on fait beaucoup souffrir. Dieu l’a déclarée sainte il y a dix ans, et votre Evêque le fut une année auparavant, mais ce n'est pas pour raison qu’ils n'ont pas besoin de vos prières. Priez pour eux, montrez leurs votre solidarité, aimez-les, respectez- les et aimez-vous, comme je vous l’ai toujours dit et moi, la Maman, je serai toujours avec vous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Pardonnez-moi si ce message est court, mais c’est tout ce que Dieu a écrit et je vous l’ai apporté en tant que messagère de Dieu. Adieu et tous mes voeux à tous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Merci. Adieu. Tu salues maman de ma part? Je l’ai tant réclamée cette nuit.

Rome, le 3 mai 2009 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est moi votre Jésus. Si vous vous en souvenez, il y a des années j’ai seulement dit ces mots: "J’ai soif d'âmes". Ma soif permanente n’a pas été étanchée et je vous redis aujourd'hui: "J’ai soif, j’ai une soif intense d'âmes qui se convertissent, en particulier des grands hommes d’eglise et d’etat". Je n’ai rien d’autre à vous dire et je vous donne ma bénédiction. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Jésus, que veut dire cette phrase si pathétique?

Jésus - Oui, elle est très pathétique. Plus je crie que j’ai soif et moins on répond à ma prière. Je parle en général, pour tout le monde naturellement. Si vous le pouvez, étanchez ma soif. Merci.

Marisa - Adieu, adieu, Jésus.

Rome, le 8 mai 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Merci de la patience que vous avez montrée en supportant toutes les choses qui sont arrivées à mes deux chers enfants. Ils ont fait eux aussi preuve de beaucoup de patience envers Moi, Jésus, Dieu et toute la cour céleste. Cette grosse bouteille d'oxygène que vous avez voulu mettre au centre de la chambre pour que je la vois, me fait sourire, car nous ne disposions pas de tels moyens médicaux à notre époque et il était donc bien plus difficile de survivre. Je suis toujours avec vous. Quand l’Evêque récite le matin ces longues et belles prières qui Nous émeuvent tous, même si Nous n'y répondons pas et ne disons rien, Nous sommes là à l'écouter, Nous nous taisons, Nous nous réjouissons de ce qu’il dit et Nous souffrons. Nous ne pouvons pas répondre à toutes ses prières, sinon nous devrions être toujours en conversation avec lui, du matin au soir.

Marisa - Cela ne vous ferait pas mal! (L’Evêque fait un signe d’approbation aux paroles de Marisa - NDLR.) L’Evêque dit que je n’ai pas tort de parler ainsi, parce que converser avec vous nous donne la force et le courage de continuer. Le docteur a dit que l’Evêque ne se porte pas bien et que la santé de Marisella décline toujours plus, alors je te demande pour la énième fois: voulez-vous m'emporter, oui ou non? Dites-moi ce que vous avez décidé. Parce que si c’est non, je me résignerai et si c’est oui, je suis prête, il ne me manque rien ou mieux, il me manque seulement le cercueil blanc avec les petites fleurs: mon neveu l’a trouvé sur Internet. J’aimerais faire comme Saint Paul avec Jésus après sa conversion, j’aimerais accepter tout ce que vous dites, en union avec les membres du cénacle qui ne font rien d’autre que de prier, prier, prier et surtout avec l’Evêque. Oui, c’est vrai, j’ai pleuré toute la nuite à cause des douleurs. Mais qui était auprès de moi? Toi et maman. J’ai pleuré de douleurs, je n'en pouvais plus, c'était plus fort que moi. Vous pouvez m'emporter, si vous le voulez. Que vous faut-il pour m'emporter? Toutes les belles choses qui ont été préparées avec tant d’amour ne m’intéressent pas non plus. Prenez-moi et emportez-moi, parce que sincèrement je n'en peux plus. J’ai dit à mes êtres chers: au lieu de prier pour qu’on m'emporte, priez au contraire pour que je reste, vous serez ainsi exaucés. Me suis-je bien expliquée?

La Madone - Oui, Marisella, tu t’es fort bien expliquée. Tu es une petite fille, comme toujours, mais tu t’expliques très bien.

Marisa - Ecoute, si vous ne m'emportez pas, je donnerai cette bouteille à quelqu’un d’autre. Ecoute petite Madone, le docteur m’a donné aujourd'hui de l’Efferalgan, qui si je me souviens bien m’a fait mal à l'estomac l’autre fois.

La Madone - Marisella, tu ne peux pas prendre de médicaments, parce que ton estomac est en morceaux.

Marisa - (Tournée vers l’Evêque) Comment s’appelle cette partie du corps où j’ai des douleurs?

L’Evêque - La cage thoracique.

Marisa - La cage thoracique, l’appareil digestif, la rate et le foie sont atteints. Cela suffit, je n'en peux plus, je ne suis pas une sainte, je ne suis pas d’acier. Décidez-vous, tu verras qu’ils seront tous heureux et prieront encore plus, afin que ce monde écoeurant se tourne vers le bien. Si je ne dois pas prendre ce médicament, dois-je en prendre d’autres pour l'estomac?

La Madone - Pense entre-temps à faire les injections à raison de quatre par jour et nous verrons comment cela va. Croyez-vous ou ne croyez-vous pas cher Evêque, que nous vous aidons constamment? L'état de la malade est malheureusement très grave, je ne vais pas le répéter. C’est à vous de l’aider, de l’aimer, de ne pas la faire souffrir, de ne pas l’accabler avec sa maladie. Elle pense déjà toute seule à souffrir pour ce qu’elle a. Vous tous, mes chers enfants, continuez à prier et comme je vous l’ai toujours dit, aimez votre Evêque. Aimez-vous les uns les autres, ne chuchotez pas entre vous, ne parlez pas dans l'église. J’ai vu, il y a quelques jours, un jeune se retourner dans l'église et rire; ce n'est pas bien et j’ai forcé Marisella à le lui dire.

Marisa - Je dois faire toutes ces pénitences. Je voulais te dire que j’ai d’autres médicaments en plus de ceux-ci.

La Madone - Tu peux prendre du Buscopan et les autres, trésor. Du reste, même ta nièce, la doctoresse Selenia, t’avait dit que tu ne devais absolument pas prendre ce médicament.

Marisa - Oui, je sais, mais j'oublie. Notre médecin de famille sait que mon estomac est ruiné, mais il me prescrit ces médicaments et je ne sais plus ce que je dois faire.

La Madone - Je vous invite à lire la conversion de Saint Paul et à la méditer. Vous verrez que vous y trouverez beaucoup de similitudes dans les relations de Jésus et de Saint Paul avec celles de Jésus et de Marisa et de Jésus et de l’Evêque. Aimez-vous toujours. Je n’ai pas de mots pour remercier tes neveux et nièces qui viennent te tenir compagnie la nuit, afin que l’Evêque puisse se reposer. C’est dur, mais ils sacrifient une nuit de temps à autre, alors que l’Evêque, comme toi, ne dort pas toutes les nuits. Aidez mes deux enfants et Dieu vous en récompensera tous, petits et grands, vos enfants et petits-enfants. Mes chers enfants, petit cénacle, je vous remercie de ce que vous faites et je vous le répète: aimez-vous, c’est très important de s’aimer. Cela vaut pour tous, épouse, époux, enfants, petits-enfants, grands-parents, oncles, tantes, grands-oncles et grands-tantes.

Marisa - Je ne suis pas seulement tante pour faire des cadeaux, mais totalement.

La Madone - Tes petits-neveux t’aiment. Courage, Marisella. Je vous remercie encore une fois de tout ce que vous faites pour mes deux enfants, aidez-les, parce qu’ils en ont tant, tant besoin. Cette fois, même l’Evêque s'est écroulé, aidez-le, je vous en prie. Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis,vos êtres chers ainsi que tous les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Iolanda, salue tes êtres chers.

Grand-mère Iolanda - Boujour Annarella, bonjour Yari, bonjour Lauretta, bonjour Laura, bonjour mes enfants, même si vous n'êtes pas présents. Bonjour mon grand fils Evêque, bonjour Marisella.

Marisa - Bonjour maman, aide-nous, je t’en prie et sois près de nous, nous en avons tant besoin.

La Madone - Mon salut s’adresse à tous les autres enfants et petits-enfants qui ne sont pas ici ainsi qu'à tous les membres du cénacle. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Adieu, maman. Je n’arrive plus à être toujours bonne et brave, mais je fais de mon mieux.

Rome, le 10 mai - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

J’aimerais vous dire quelque chose au sujet du Magnificat; quand vous le récitez, pensez aux paroles que vous dites. Souvenez-vous quand j’ai dit trois fois: "il renversera les puissants de leurs trônes et élèvera les humbles"? Le Magnificat est le cantique à l’amour et l’amour, comme vous le savez bien, embrasse tout: patience, sincérité, loyauté, l’amour peut tout embrasser. Adressez votre amour à Dieu, à Jésus, à Joseph, à moi, Marie, Mère de l’Eucharistie et à tous les saints du Paradis. Souvenez-vous qu’il y a le Paradis d’attente où vont les bienheureux avant d’aller au Paradis de la vision béatifique. Les âmes qui sont au Purgatoire doivent y rester un certain temps avant de monter au Paradis. Quand vous récitez le Magnificat, récitez-le avec tout votre amour, tout votre coeur, afin que ceux qui sont dans le Paradis d’attente puissent passer rapidement dans le Paradis de la vision béatifique et ceux du Purgatoire monter au Paradis, et tout sera plus beau et plus doux.

Marisa - (Parle en privé avec la Madone)

La Madone - Je sais, je sais tout, mais certainement pas en rose.

Marisa - Je me confie à toi. J’ai tant espéré m'envoler le 13 pour le Paradis, mais je sens que ce ne sera pas la date de mon départ. Je me suis reposée un petit peu cette nuit, mais je ne me sens pas bien, mais cela ne fait rien, car je suis tellement habituée à me sentir mal.

La Madone - Cela ne fait rien, Marisella, tu y es tellement habituée! J’aimerais tant vous emporter tous à des hauteurs vertigineuses, vous emporter tous devant Dieu, jouir de Dieu, ne vous contentez pas seulement de ce petit oeil, ou de cette petite bouche qui bouge parmi les fleurs, vous devez jouir de Dieu, le chanter et le louer.

Marisa - Tu as dis que lorsque je serai là haut, tu me redonnerais ma voix: est-ce vrai ou dois-je en douter?

La Madone - Tu doutes de moi, Marisella?

Marisa - Je n’ai pas du tout de voix. Tout le monde me dit que je parle comme grand-mère Iolanda quand elle était en vie, mais maman a maintenant une voix merveilleuse.

La Madone - J’aimerais beaucoup que vous priiez pour les malades et surtout pour ceux qui ont souffert dans la région des Abruzzes, qui souffrent, et manquent encore du nécessaire. Si je devais faire une liste, je dirais que les intensions pour lesquelles vous pouvez prier sont nombreuses. Ne vous laissez pas aller, ne pensez pas qu'à vous, à vos familles, pensez à ceux qui sont loin, aux malades, à ceux qui n'ont plus rien, je ne me réfère pas seulement aux Abruzzes, il y a tant d’autres villes, d’autres pays qui se trouvent dans les mêmes conditions. Courage, ne vous lassez jamais de prier et, mon dernier mot est : "Aimez-vous", comme Dieu vous a aimés. Priez, afin que tout arrive comme Dieu le veut.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Ma voix s'en est allée.

Rome, le 17 mai 2009 - 11h20 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pourquoi es-tu silencieuse et ne dis-tu rien?

La Madone - Ne le vois-tu pas, Marisella? J’attends tous les Saints du Ciel, les Anges et naturellement Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, Saint Joseph et grand-mère Iolanda. Quand nous serons tous prêts, nous te fêterons sur la Terre et au Ciel.

Marisa - Je voulais te dire une chose, mais fais que toi seule l'entende.

La Madone - Comment faire pour qu’il n'y ait que moi à l'entendre, ils ont tous ici des oreilles pour entendre.

Marisa - Ne parlez pas toujours de Marisa, parce que cela me gêne, j’aimerais me cacher. C’est plus beau quand on parle de tout le monde. J’aimerais parler de mes jeunes, des petits enfants, du petit cénacle et surtout du saint Evêque: c’est cela qui me plaît.

La Madone - Devons-nous faire ce que tu dis ou ce que Nous disons?

Marisa - Oh non, par charité, faites ce que Vous dites vous, ce n'était qu’un conseil. Peut-on donner un conseil à la Madone?

L’Evêque - En tant que fille, oui.

Marisa - Je peux te donner un conseil en tant que fille.

La Madone - Mes chers enfants, c’est une grande joie pour moi de vous voir ici réunis, même si vous n'êtes pas tous présents, le nombre est pour Nous sans importance, ce qui compte c’est que vous réussissiez à aimer tous les hommes et à vous aimer. Marisella, si tu ne peux pas chanter, cela ne fait rien, chante avec ton coeur.

Marisa - Ce n'est pas la même chose.

La Madone - Mes chers enfants, j’aimerais vous remercier de l’intention que vous avez choisie pour votre soeur et des prières que vous continuez à réciter. Vous vous demandez pourquoi Dieu ne se décide pas.

Marisa - Oui c’est vrai, je me le suis demandée moi aussi plus d'une fois, mais pourquoi Dieu ne se décide-t-il pas, que veut-il encore? Je lui ai tout donné, plus que tout.

La Madone - Si Dieu ne se décide pas, cela signifie qu’il reste encore quelque chose à accomplir.

Marisa - Pas la souffrance, pas cela, cela suffit, j’en ai trop eu. j’en profite pour te dire que j’aimerais que vous aidiez l’Evêque, le cénacle, les jeunes, nous disons les jeunes, et les petits enfants qui sont très dégourdis. Tu as vu combien il y a de petits enfants ici? Tu es heureuse quand tu vois les enfants, n'est-ce pas?

La Madone - J’aimerais que vous continuiez à prier pour cette intention et pour que la décision soit prise rapidement pour elle et pour vous.

Marisa - Tu sais que j’ai tout préparé, il ne me manque rien. Je peux même aller au Purgatoire, il suffit que vous m'emmeniez, je suis fatiguée de vivre.

Chère petite Madone, combien je t’aime et combien je t’aimerai toujours et tout le Paradis.

La Madone - Au lieu de cela, mademoiselle Marisella, dis-moi où est parti le Sourire de Dieu?

Marisa - Il l’a. L’as-tu? L’Evêque l’a.

La Madone - Qu’attends-tu alors pour le réciter?

Marisa - Bien, quand il sera prêt. Notre Evêque a toujours à faire, quand il est assis à sa chaire d'or. Où est l’Evêque? Dans son bureau. Il a tant à faire, nous devons l’aider. Ma chère petite Madone, vois ce que tu peux faire pour moi. Je suis gênée de le dire, mais je suis si fatiguée de continuer à vivre sur la Terre. C’est un monde qui ne me plaît pas et dire que Dieu a créé l'homme à son image et à sa ressemblance, mais où est l'homme à son image et à sa ressemblance, qu’en est-il advenu? Le meurtre d’abel eut lieu déjà au commencement. Dieu a créé l'homme à son image et ressemblance, mais les hommes ne lui ressemblent pas, en particulier les grands chefs. Que devons nous faire?

La Madone - Vous rien, vous devez seulement prier de tout votre coeur. Je suis heureuse de te voir au milieu de tes êtres chers, même si, soit dit entre nous, cela t’a tellement coûté que tu étais sur le point de renoncer à descendre, mais la joie d'être parmi les autres a été la plus forte et tu es descendue. Tu verras, nous avons promis de t’aider afin que tu puisses toujours rester assise et tu resteras assise: on n’a pas besoin due fauteuil roulant, sois bonne, bonne et Nous t’aiderons.

Marisa - Comme tu veux. Ecoute, diras-tu à mon Epoux de voir quand il se décidera à venir me prendre pour que je sois entièrement sienne? Il dit que je suis son épouse, qu’il a même choisi un cantique et puis? Je suis ici, complètement raplapla, comme on dit en italien, je ne suis pas bien, je ne me sens pas bien du tout, mais je ne veux pas le dire aux miens. Tu dis toujours que mon état est très grave et pourtant je me sens comme une fleur qui renaît.

La Madone - Ne plaisante pas, Marisella, tu connais ton état.

Marisa - Oui, oui, mais le fait de plaisanter nous aide à regarder un peu plus haut. Je te remercie quand même d’avoir donné la possibilité au cénacle de prier pour mon départ. Je désire m'en aller, je suis fatiguée d'être sur la Terre, emporte-moi, j’ai tout donné maintenant. Je n’ai plus rien à donner.

La Madone - Tu crois?

Marisa - Non, ne me dis pas cela, parce que je n’ai plus rien à donner, j’ai tout donné, c’est fini. Je vois, Maman, que tu souris. Est-ce vrai que la petite Madone a plaisanté?

Grand-mère Iolanda - Oui, ma fille. Nous aimerions toujours prendre quelque chose de ceux qui sont sur la Terre, en particulier quand ils sont bons, mais la fatigue est grande et la douleur est grande.

Marisa - Silence, ils chantent en choeur: "Une voix…" Je n’ai pas de voix. Pourquoi ne m'en donnes-tu pas un petit peu et la possibilité de chanter, j’aimais tant chanter.

La Madone - Mes chers enfants, je m’adresse à vous tous, merci de vos prières, continuez à prier, aimez votre soeur, mais surtout aimez l’Evêque, il a besoin de votre aide, de votre compréhension. De temps à autre l’un fait fausse route, puis demande pardon et revient. Il faut toujours être bon.

Marisa - Je fais, moi aussi, parfois fausse route et je reviens. Je te remercie malgré tout au nom de tous et je t’implore de continuer à nous aider et de faire que mon départ arrive aussi vite que possible, sinon mon vêtement deviendra affreux.

La Madone - d’accord. Je me joins à tous les Anges et les Saints. Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, Saint Joseph, tous les Papes et les Saints sont naturellement présents. Je vous donne ma bénédiction avec votre Saint Evêque. Adieu à tous.

Marisa - As-tu entendu la voix que j’ai? Tu es toujours plus belle, maman aussi est belle, vous êtes tous beaux.

Rome, le 22 mai 2009 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’ai deux tâches à accomplir, je dois faire bénir les mystères lumineux composés par l’Evêque avec tant d’amour et les alliances des futurs époux. Voilà, la bénédiction de la Madone descend sur les mystères lumineux et les alliances des deux jeunes. Moi, malheureusement, il est inutile de le cacher, je ne me sens pas bien du tout, mais j’ai fait le peu que je pouvais faire. Merci et pardon à tous, soyez patients avec moi, ma santé décline malheureusement toujours plus.

La Madone - Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, les mystères lumineux et les alliances des deux jeunes. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Priez pour moi afin que mon départ soit proche.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Merci.

Rome, le 24 mai 2009 - 11h13 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers et doux enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête: deux jeunes deviennent mari et femme. Ils doivent s’aimer, se respecter, être généreux et sincères l’un envers l’autre. Quand quelque chose ne va pas, ils doivent se réconcilier immédiatement, avant d’aller se coucher. Tous les voeux du plus haut des Cieux, tous les voeux de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, tous les voeux de Saint Joseph et de la Maman, Mère de l'eucharistie. Tous mes voeux à tous, aux proches aussi, aux amis et surtout à leurs parents; aimez vos enfants, soyez près d’eux quand vous le pouvez. Quand ils sont dans le besoin, ne vous éloignez pas d’eux, mais aimez-les toujours. Vous, les proches, restez unis, ne vous divisez pas, ne faites pas seulement fête le jour de la noce. Pour les époux, ce doit être fête tous les jours, et le dernier doit toujours être encore plus grand, plus vous avancez et plus vous devez faire fête.

Vous, petit cénacle, qui êtes venus ici avec beaucoup d’amour pour être près de ces époux et les réjouir de votre présence, continuez à prier pour eux. Je vous dis à tous: soyez proches d’eux par la prière, il n'est pas nécessaire d'être près d’eux physiquement, parce que c’est parfois impossible, mais avec la prière c’est toujours possible. Mes voeux s’adressent aussi à grand-père Aldo, grand-mère Maria, aux parents de Marco, à son frère, sa soeur, j’envoie mon grand amour à tous. Priez et réconciliez-vous toujours, ne vous laissez pas aller.

Vous, mes chers époux, vous êtes beaux, parce que votre âme est belle, et lorsque l'âme est belle, la beauté est aussi extérieure. Il est très facile d'être beau, parce qu’il suffit d'être beau intérieurement et vous êtes beaux intérieurement et extérieurement. Je vous souhaite bien des choses, j’ai béni hier vos alliances et je bénis aujourd'hui le collier et les boucles d'oreille que porte l'épouse parce que c'était bien qu’elle les mette. Je vous bénis tous et vous étreins tendrement. La Maman, Mère de l’Eucharistie, et tous ceux qui sont ici avec moi, vous étreignent et vous embrassent, ensemble avec mon saint Evêque. Allez en paix. Loué soit Jésus Christ.

Rome le 31 mai 2009 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Marisa - C’est aujourd'hui la Pentecôte, une très grande fête comme Pâques, mais il manquait quelque chose. On ne comprend pas pourquoi ces jeunes oublient parfois quelque chose: le tapis manquait, il est si beau, rouge, de la couleur de l’Esprit Saint, de la Troisième Personne de la Très Sainte Trinité. Quand l’Esprit Saint descendit dans le Cénacle, il se posa sur Marie et les apôtres qui s'étaient réunis pour prier afin de solliciter sa venue sur eux. Ils purent tous parler toutes les langues et comprendre ce que les autres disaient. La Mère de l’Eucharistie était avec eux, priait pour eux et pouvait parler toutes les langues, comme l’a désiré l’un d’entre nous. L’Esprit Saint est la Troisième Personne de la Très Sainte Trinité, c’est Dieu infini; nous devons L’aimer, nous devons toujours Le prier pour tous ceux qui en ont besoin. Je prie l’Esprit Saint pour vous tous, pour qu’il vous donne la force et le courage de continuer et qu’il vous accorde ses dons. Merci à vous tous ici présents. Je dois vous laisser, parce que mon chemin est autre, différent. Vous devez prier, non plus pour moi, mais pour l’Eglise, pour tous et sans distinction. Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous ceux qui aiment l’Esprit Saint. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Adieu à tous.

Marisa - Petite Madone, j’ai oublié de te montrer ce présent que j’ai voulu faire à mon frère l’Evêque, en souvenir du dixième anniversaire de son ordination épiscopale. C’est très beau et très significatif. Quand il le voudra, il le mettra autour du cou, parce que c’est un don très précieux. Merci et pardonne-moi de te l’avoir présenté si tard.

Messages de Juin 2009

Rome, le 1er juin 2009 - 22h00 (Entretien entre l’Evêque et Marisa en extase)

Marisa - Cher Claudio, tu as dit des paroles très nobles, très agréables à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et Grand-mère Iolanda. Elles sont trop nobles pour qu’une petite personne comme moi puisse les comprendre, et pourtant je les ai comprises, je t’ai suivi et souri. Tu me semblait un petit enfant parlant à son papa, continue ainsi même après quand je ne serai plus là, continue ainsi à parler à Dieu et Il te parlera. Ne m'oubliez pas, souvenez-vous de moi, de cette enfant qui n’a pas su donner tout ce qu’elle aurait pu donner.

L’Evêque - Tu as donné plus que ce que tu aurais pu donner.

Marisa - J’aurais pu donner encore plus, j’ai même été méchante.

L’Evêque - Non.

Marisa - Continue ainsi à parler à Dieu, et parle moi aussi si tu le veux.

L’Evêque - Bien sûr, Marisa. Ce que j’avais demandé à Dieu est peut être arrivé, pouvoir nous parler et nous souvenir dans les derniers temps. Te souviens-tu de notre première rencontre, te souviens-tu quand tu es sortie en pleurs de cette église de Visso, consacrée à Notre-Dame de l’assomption?

Marisa - Je me souviens de tout.

L’Evêque - Je t’ai alors offert une glace …

Marisa - … Et tu m'en offres une aujourd'hui.

L’Evêque - Trente huit ans plus tard je t’ai offert une autre glace, mais avec une différence, tu t’en souviens?

Marisa - Oui.

L’Evêque - C'était une grosse glace …

Marisa - Celle-ci est une petite.

L’Evêque - … Que tu n’as pas finie non plus.

Marisa - Parce que j’en suis incapable, pas parce que tu ne veux pas me la donner.

L’Evêque - Je le sais, bien sûr. Te souviens-tu de la longueur des apparitions?

Marisa - Trois heures à genoux.

L’Evêque - Nous commencions le rosaire, puis tu tombais subitement à genoux, et alors que tous dormaient, même le prêtre dormait …

Marisa - Dormait et mangeait.

L’Evêque - …Nous parlions, ou mieux tu parlais, et je me demandais: mais qui est-ce?

Marisa - Qui est cette folle?

L’Evêque - Non qui est cette personne invisible. J’avais compris, pas immédiatement, mais assez rapidement, qu’il y avait une présence invisible, mais ce pouvait être Jésus, un ange, un saint, la Madone; parce que si tu t’en souviens, les apparitions étaient alors silencieuses, je ne pouvais donc pas suivre le dialogue, ni comprendre à qui tu t’adressais.

Marisa - C’est vrai.

L’Evêque - E puis, chaque fois que nous allions dans notre tente que nous appelions l'étable de Bethléem, qui nous dérangeait?

Marisa - Le prêtre et la taupe.

L’Evêque - La taupe.

Marisa - Le prêtre aussi.

L’Evêque - Non, il dormait. C'était la taupe qui nous dérangeait, sautant partout. Le matin, frais, très frais, tu prenais deux ou trois jeunes avec toi, roulais avec cette fameuse voiture et te dépêchais de faire les courses. Je te voyais foncer sur cette route, les pierres, les cahots, les trous ne te faisaient pas mal alors et quand tu rentrais, nous avions fort à faire pour donner à manger à ces jeunes qui ne le méritaient pas.

Marisa - Parce qu’ils jetaient la nourriture parfois.

L’Evêque - Et je me fâchais. Mais nous les avons convertis. Pense qu’aujourd'hui ils devraient être parents et peut-être grands parents, parce qu’ils auront maintenant plus de cinquante ans. Te rends-tu compte combien d’années se sont écoulées? Tu te souviens quelle a été ma plus grande joie après la souffrance de les entendre dire des gros mots et des alors que je célébrais la messe.

Marisa - Ils sont venus vers toi et t’ont dit: "Don Claudio, je voudrais me confesser ".

L’Evêque - J’ai répondu: "Quoi? Mais tu ne sais même pas ce que cela veut dire se confesser".

Marisa - Si, dire ses péchés.

L’Evêque - Et comment feras-tu pour les dire?

Marisa - Parce que Marisa m’a aidé et dit: "Souviens-toi que tes péchés sont ceci et ceci ".

L’Evêque - Après qu’ils se soient confessés et aient reçu la Sainte Communion, sachant que les jeunes n’aiment pas beaucoup le Rosaire, parce qu’ils le trouvent ennuyeux et répétitif, j’ai pensé: "s’ils disent aussi vouloir réciter le rosaire, je dois capituler", et ce soir là, je m'en souviens, j’ai capitulé et pleuré de joie. Après moi, tu as pleuré toi aussi, lorsque nous chantions le chant des scouts: "C’est l'heure de l’adieu". Et tu pleurais et pleurais. Pendant trente-huit ans, nous ne nous sommes jamais dit adieu.

Marisa - Mais nous devons le faire cette fois.

L’Evêque - Le moment de l’adieu est arrivé.

Marisa - Nous l'espérons.

L’Evêque - Avons-nous des visiteurs ici avec nous?

Marisa - Il n'y a que la Sainte Vierge.

L’Evêque - Pas Grand-mère Iolanda? C’est elle qui peut te dire la phrase que Jésus a dit aux apôtres: "Duc in altum, prenez le large et partez". Le large c’est le Paradis. Quand nous sommes rentrés du camping à Rome, nous n’avions rien à manger.

Marisa - Nous avions du pain sec.

L’Evêque - Et le riz que j’avais laissé brûler.

Marisa - Cela aussi.

L’Evêque - Tu t’en souviens? Et qu’avons-nous mangé?

Marisa - De la pastèque.

L’Evêque - Nous sommes allés acheter une pastèque, parce que c'était la saison des pastèques. Quel bon repas: du pain et de la pastèque.

Marisa - A Brindisi aussi, nous avons eu un bon repas: du pain et des tomates.

L’Evêque - Mais nous devons dire que nous n’avons manqué de rien.

Marisa - C’est vrai.

L’Evêque - Elle nous avait assuré que nous aurions le nécessaire, et quand pour économiser nous nous contentions de manger des petits pains, elle nous a réprimandés: "Si je vous envoie de l’argent, allez manger".

Marisa - Nous étions à Recanati.

L’Evêque - Et Numana, qu’est-ce que cela te rappelle?

Marisa - Qu’ils te jetaient des pierres et tu dormais, la tête appuyé sur mes jambes. Ils te jetaient des pierres et je les ai regardés.

L’Evêque - Où avions-nous mis la tente?

Marisa - Sur le sable.

L’Evêque - Nous étions vraiment naïfs. Mais elle a tenu. Te souviens-tu où j’ai célébré la Sainte Messe, n’ayant pas d’autel?

Marisa - Sur mon corps.

L’Evêque - Exactement. Et qu’est-ce qui est resté sur ton corps?

Marisa - La forme de l'hostie et du calice.

L’Evêque - Mais sans brûlure. C'était une douce et belle chose. Pense que c'était en août 1971, et nous ne le savions pas alors, mais c'était le premier signe, montrant que Dieu nous avait appelés pour le triomphe de l’Eucharistie.

Rome, le 5 juin 2009 - 21h47 (Lettre de Dieu)

Marisa - Seigneur, j’ai vu l'enfant monter les marches pour frapper à Ta porte, Te demander de l’aide et Tu lui as répondu, mais personne ne t’a entendu. Tu as répondu d'une voix douce et calme et dit: "Oui, je vous aiderai, parce que je suis l'époux de Marisella".

Tu nous as fait longuement bataillé, vivre une longue passion, faire un Chemin de Croix douloureux et nous pensions qu'à la quinzième station tout fleurirait dans le coeur des hommes: la bonté, la joie, la charité, l’amour. Tu as parlé du tabernacle et dit: "Salut Emanuele, sois bon", mais il ne t’a pas entendu. Répète le plus fort, Jésus: "Bravo, Emanuele, sois bon". Ce sont ces petits enfants, ces coeurs purs qui T'émeuvent. Les adultes peuvent changer, devenir saints, ils doivent aussi devenir saints, mais les petits le sont déjà, parce qu’ils sont bons et innocents. Toi, Jésus, dans le tabernacle, Tu as regardé le petit avec de doux yeux, pleins d’amour et Tu lui as dit: "Bravo, mon fils, sois brave, sois bon avec tous: avec tes parents, grands-parents, tantes et oncles, avec tous, si tu le veux, tu le peux. Je suis ton Jésus, le Grand Jésus, pas le petit Jésus, parce que je suis grand maintenant; mais toi, Emanuele, tu es petit". Que signifie Emanuele? Sais-tu ce que veut dire Emanuele? Je n'entends pas ta petite voix. Dieu avec nous.

Vous, belles âmes, âmes saintes, qui faites des sacrifices pour venir dans ce tout petit lieu où peu viennent, parce que les autres n'ont pas encore compris l’importance d'écouter, de prier, de devenir bons, braves et saints. Vous ne devez pas regarder l’un ou l’autre, vous préoccuper de ce que dit l’un ou l’autre, mais regarder le tabernacle de Jésus. Quand vous entrez dans l'église, allez dans les premiers rangs, regardez le tabernacle et dites à Jésus: "Mon Dieu, Jésus, aime-nous, emporte-nous au Paradis, emporte Marisa au Paradis, il est temps pour elle de s'en aller. Ne penses-tu pas que son heure soit venue?". Toi, dans cette maisonnette pleine de lumière, tu diras: "Oui, il est temps que tu partes, ma fille". Mais quand, mon cher époux, quand m'emporteras-tu? Je t’attends jour après jour, je suis si mal et maintenant tu as rendu l’Evêque aussi malade. Tu ne devais pas le rendre malade, il doit aller bien sinon comment fera-t-il pour m’aider? J’ai besoin d'être aidée. Fais que je puisse partir rapidement. Je partirai avec joie, amour, et j’aimerais avoir les petits enfants autour de moi, surtout le petit Emanuele. Où es-tu petit Emanuele? Jésus te regarde, te parle comme Il parle à chacun de vous. Si vous faites silence dans votre coeur, vous entendrez Jésus vous parler. Le silence a été long, la Maman, la Mère de l’Eucharistie n’a pas parlé pendant longtemps. Pardonne-moi, Jésus, mais j’ai envie de pleurer, les larmes me montent aux yeux, sois patient. Toi aussi, mon époux, Tu ne parlais plus, Dieu ne parlait plus, Saint Joseph, ma maman que je vois souvent pleurer, ne parlaient plus. Mais nous vous aimons. Pourquoi ne nous parlez-vous plus? Dites-le nous.

Jésus - Nous vous parlons, Marisella, c’est vous qui n'entendez pas.

Marisa - Nous ne sommes pas sourds. Si vraiment, vous nous parlez, je vous dis: emportez-moi, tout est prêt, repassé, en ordre. Emportez-moi et laissez libre le saint Evêque, qui est malade, si malade, vous n’auriez pas dû le rendre malade, je vous en prie, faites-le pour lui, emportez-moi.

Jésus - Et moi je te parle du tabernacle, ma fille, et te dis: "tu partiras, je ne peux pas te dire si ce sera demain, tu partiras et tu verras que ton saint Evêque sera heureux, content, même si son coeur souffrira et qu’il versera des larmes comme tous les autres également, mais la joie du départ restera". Où est le petit Emanuele?

Marisa - Il s'est caché, il fait ce genre de blagues, il se cache. Jésus, je t’implore seulement pour l’Evêque, aide-le, écoute Emanuele qui a frappé à la petite porte du tabernacle et dit: "Jésus, fais que ma tante et mon oncle se portent bien". Tu le feras? N'est-ce pas? Ou plutôt fais que seul l’oncle aille bien. Merci, Emanuele, d’avoir su parler avec douceur à Jésus, à mon Jésus, à mon époux. Quand viendras-Tu me chercher, mon époux bien-aimé? Quand m'emporteras-Tu avec Toi pour jouir pour toujours? J’ai souffert pendant tant et tant d’années et c’est maintenant le temps de se réjouir, ne crois-Tu pas? L’Evêque se réjouira ainsi.

Jésus - Merci mes chers enfants d'être ici présents. C’est dommage que ceux qui auraient dû être présents soient absents, mais ils sont partis, ils étaient pressés de partir, de rentrer chez eux, c’est ainsi que les gens ne sont pas présents quand il arrive de belles choses. C’est un très bel épisode accompli par le petit Emanuele. Mes chers enfants, je vous laisse la Maman, parce que c’est sa tâche de vous saluer.

La Madone - Oui, moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous salue tous ensemble avec Grand-mère Iolanda et Saint Joseph. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Que ceux qui le peuvent, reçoivent la bénédiction à genoux. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objet sacrés, je bénis tous les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le fils et Dieu le Saint Esprit.

Ceux qui le veulent, peuvent rester encore pour faire l’adoration et parler avec Jésus, même en silence; parlez avec Jésus. Mon Fils donne des grâces, mais aussi des pénitences, des souffrances, c’est la vie sur terre, puis viendra la vie céleste et le sourire de Dieu. Le soleil resplendit, la lune luit et tout brille au firmament. Les étoiles, la lune, les arbres, les montagnes, les collines et la mer s’inclinent devant Dieu qui sourit à tout. Pensez-vous qu’il ne sourit pas aux êtres humains? Adieu à tous. Je vous prie de ne pas délaisser la prière, priez toujours pour votre Evêque.

Marisa - Jésus, Tu te caches, mais je Te vois dans le tabernacle, viens me prendre, je t’attends. Adieu.

Rome, le 6 juin 2009 - 19h15 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pardonnez-moi si ma voix est faible, mais j’ai l’intention de répéter ce que j’ai dit avant. Il y a trois ou quatre choses qui ne vont pas bien dans cette communauté: I) vous devez réciter le Saint Rosaire à 18h30 pendant l'été et à 18h00 pendant l'hiver; II) la lecture des mystères doit se faire au microphone, sinon ceux qui sont loin n'entendent pas. J’ai appris aujourd'hui, et cela me déplaît beaucoup, qu’il y a des personnes qui se réunissent deux par deux, crânent comme on dit à Rome, et ne peuvent voir un tel ou une telle et ce n'est pas bien. Combien de fois votre prêtre, l’Evêque maintenant, ne vous a-t-il pas dit: "Respectez-vous, aimez-vous", ce n'est pas encore ça, le respect et l’amour manquent encore. Encore quelqu’un vient à demander: "Est-ce demain le premier samedi du mois?"; non seulement celui qui l’a demandé était dans l'erreur, mais celle qui devait être bien préparée l'était encore plus. Ces désagréments et ces défauts ne doivent pas exister; nous sommes si peu et nous devons nous aimer! Essayons d’avoir de l'estime réciproque! Combien de fois Dieu n’a-t-il pas dit: "Aimez-vous comme Je vous ai aimés", et nous au contraire nous ne nous aimons pas, nous trouvons toujours quelque chose à redire. Je ne cite pas de noms, parce que ce serait trop triste, mais si ces désagréments persistent, je le ferai si je suis encore en vie.

La Madone - Mes chers enfants, mettez en pratique ce qu’a dit votre soeur. Je suis la Mère de l’Eucharistie, je note moi aussi tous ces défauts et ils ne sont pas beaux. Quand vous entrez dans l'église, approchez-vous du tabernacle. Ceux qui étaient présents hier soir ont vu la joie de cet enfant, Emanuele, qui a frappé à la porte du tabernacle et demandé à Jésus avec simplicité et amour, que son oncle et sa tante se portent bien. Vous aussi vous devez être simples comme de petits enfants et vous aimer tous. Aujourd'hui, premier samedi du mois de juin, qui a essayé d'intensifier la prière? Qui a pensé à prier le Sacré Coeur de Jésus? C’est le mois dédié au Sacré Coeur de Jésus, priez. Parfois un petit enfant de huit mois joint les mains et essaie de prier, c’est le petit Gioele, mais qui le fait? Même pas les adultes, recueillez-vous donc en prière, priez et aimez-vous; apprenez à aimer et puis priez. Vous souvenez-vous de cette phrase? Mes voeux à tous, afin que vous mettiez en pratique tout ce que je vous ai dit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, qui n'est pas encore respecté comme il devrait l'être, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Rome, le 12 juin 2009 - 20h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. On fête aujourd'hui, dans cette chapelle au moins, Jésus Christ qui a versé son sang, qui est mort sur la croix pour chacun d’entre nous, afin de nous rouvrir le Paradis.

Marisa - Oh, comme c’est beau de savoir que Jésus est au ciel, lui qui a versé son sang, rouvert le Paradis et prie avec tous les anges et les saints, mais surtout avec Dieu, la Madone, Saint Joseph, Grand-mère Iolanda et tous ceux qui sont montés au Paradis. Sang de Jésus Christ, aide nous tous à devenir saints, fais que nous puissions tous augmenter notre foi en Toi. Qu’au moins la majeure partie des hommes soit sauvée par le sang que Tu as versé pour nos péchés, qu’ils se sauvent par le sang que Tu as versé pour nous tous. Tu sais que beaucoup d'âmes souffrent, versent du sang et vivent dans divers lieux du monde. Pourquoi versent-elles du sang? Pour sauver les hommes du péché, pour faire qu’ils deviennent saints. Avec son sang, le Christ les veut tous saints à ses côtés, il les veut immaculés, purs, en particulier ceux qui sont bons et souffrent.

La Madone - Je sais que la souffrance est parfois dure, n'est-ce pas, Marisella? Elle a été continuelle pour toi aujourd'hui, mais Dieu t’aidera, Dieu le Père sera avec toi, tu feras ce qu’il te dira de faire et l’Evêque fera ce que Dieu lui dira de faire. Faire la volonté de Dieu est la mission la plus grande, la plus belle et la plus complète. Nous devons tous faire la volonté de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, c’est pour cela que Jésus est mort sur la croix et a versé tant de sang, nous devons obéir à Dieu et faire toujours sa sainte volonté. Quand Jésus commença à verser du sang, les méchants continuaient à l’insulter: c'était triste à voir et personne ne pouvait rien faire, la Maman non plus. La petite Madone était seule auprès de, Saint Jean et les autres femmes pieuses n'étaient pas là, mais Jésus était heureux de verser son sang pour tous les hommes de bonne volonté. Je vous dis donc: quand quelque chose de ce genre arrive, quand votre soeur a perdu tant de sang, tellement qu’elle a presque gagné la compétition avec Dieu, avec Jésus crucifié, beaucoup d'âmes ont été sauvées.

"Où sont-elles?" dira peut-être quelqu’un. Elle les a sauvées, mais ce qui nous intéresse Nous, c’est d'être sauvés. "Salut, Christ, roi des Juifs!", disaient les bourreaux et lui crachaient dessus, il avait soif et ils lui donnèrent à boire du vinaigre, il avait faim, il avait froid mais il était heureux de souffrir et le jour même il emporta le larron repenti avec Lui au Paradis. s’il a emporté avec Lui le larron repenti, il emportera de même chacun de vous repenti. Quand une personne meurt, elle peut dans le dernier quart d'heure encore demander pardon à Jésus crucifié et sera sauvée. Courage, courage à tous, la mission d’aujourd'hui a été très dure et difficile et devra être poursuivie.

Marisa - Ecoute, je voulais te demander une chose, je ne sais pas comment le dire, je voulais te demander: mais quand irai-je là-haut?

Jésus - Tu dois seulement apprendre à faire la volonté de Dieu, alors tu monteras dans les hautes montagnes, les sphères du firmament, le soleil, la lune, les étoiles, tu monteras au milieu d’eux et tu seras heureuse, ma fille. Courage et en avant avec le respect mutuel.

Ensemble avec mon et votre Evêque, moi, Jésus Christ, je vous bénis tous.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Marisa - Jésus, quand m'emporteras-tu? Je suis fatiguée, je n'en peux plus d'être ainsi, je suis toujours mal, toujours mal. Qui ne dit mot consent. Adieu, Jésus. Ne ris pas (Tournée vers l’Evêque).

L’Evêque - J’ai retiré ma calotte, parce que j’ai compris à la fin que Jésus était là.

Marisa - Dieu était là aussi…. Merci d'être revenu, mais je dois obéir à Dieu, Il doit obéir à dieu, nous devons tous les deux obéir à Dieu. Cela Te plaît? C’est ainsi qu’on doit faire. Mais quand m'emporterez-vous? Vous m’avez fait dépensé un tas d’argent. Excuse moi de t’avoir rappelé, Jésus, mais Tu es si obéissant, que Tu viens immédiatement.

Rome, le 29 juin 2009 - 12h22 (Lettre de Dieu)

Jésus - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Amen.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui la grande fête de nos Pierre et Paul. Vous connaissez bien leur histoire: ils furent ordonnés Evêques par Jésus il y a bien des siècles, et après bien des siècles Jésus a personnellement ordonné Evêque votre prêtre. Pourquoi pouvait-il le faire alors et pas aujourd'hui? Pourquoi est-il critiqué, calomnié et diffamé aujourd'hui? Des siècles se sont écoulés depuis que Pierre et Paul ont été ordonnés et des années ont passé depuis l’ordination de votre Evêque.

Marisa - Laissons cela de toute façon. Nous te remercions, Jésus, que notre Evêque soit aujourd'hui ici parmi nous. Nous craignons jusqu'à hier, qu’il ne puisse descendre, qu’il soit contraint de rester malade à la maison, finalement Tu nous a fait la grâce de l’aider, Tu l’as rendu heureux également avec la collaboration de la doctoresse qui l’a aidé jusqu’au bout. Don Claudio s'est bien reposé toute la nuit, et nous espérons que cela continuera, Jésus, aide-nous tous, parce que nous en avons tous besoin, l’un d'une façon, l’autre d'une autre. Chers Pierre et Paul, aimez notre Evêque, il est votre frère, aimez-le le plus que vous le pouvez, défendez-le le plus que vous le pouvez.

Pourquoi as-tu levé le bras, Jésus? Tu ne veux pas le défendre?

Jésus - En vérité, je l’ai levé pour le défendre.

Marisa - Merci! Il se peut que nous ne soyons pas assez bons pour mériter autant, mais nous faisons de notre mieux. Nous essayons par tous les moyens à être bons, braves, à faire tout ce que Tu nous dis de faire. Tu as vu que nous avons fait tout ce que Tu nous as dit de faire, aussi bien nous que nos jeunes: c’est pourquoi je n’ai pas de mots pour les remercier.

Jésus - Grande fête, fête d’amour, de paix, de royauté devant triompher dans cette église. Quand tout triomphera et que la nouvelle Eglise renaîtra, l’Evêque commencera à travailler dans la nouvelle Eglise.

Marisa - Jésus, envoie lui de l’aide ainsi qu'à tous ceux qui collaborent avec lui, parce qu’il ne peut y arriver tout seul. Nous t’en prions et Te remercions de cet aide. Cher Jésus, reste près de nous, ne nous abandonne pas, ne nous laisse pas seuls. Petite Madone, Mère de l’Eucharistie, sois notre maman. Saint Joseph, Grand-mère Iolanda, soyez nos protecteurs, aidez-nous toujours, nous avons besoin d’aide. Merci.

La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, avec tous les anges et les saints du Paradis, où une grande fête est célébrée aujourd'hui, et tu le sais, Marisella, nous vous bénissons, vos êtres chers et vos objets sacrés. Nous bénissons les petits enfants, les adultes et les jeunes; nous bénissons tous ceux qui sont malades dans les hôpitaux, ceux qui sont pris pour cible et assassinés et toi, Marisella, tu le sais également.

Marisa - Bénis les tous.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Loué soit Jésus Christ.