Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 2001-02

Mon évêque , ordonné par moi , a remporté la victoire

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2001

Rome, le 12 septembre 2001 - 18h35 (Lettre de Dieu)

Marisa - As-tu demandé à Dieu de venir ?

La Madone - Oui, je suis venue avec la permission de Dieu afin de transmettre tous mes meilleurs voeux à celles qui se prénomment Marie ainsi qu'à toi, Marisella, parce que ton prénom est Marie.

Marisa - Attend, laisse moi un peu le temps de me remettre de la surprise, parce que j’avais peur que tu ne viennes pas.

La Madone - Mes chers enfants, je suis venue pour vous supplier de prier pour la paix dans le monde. Je vous demande cette fois, de le faire vraiment de tout votre coeur parce que le danger est grand. J’ai dit dimanche à votre soeur qu’une autre guerre allait éclater, faite par des hommes méchants qui veulent détruire l'humanité. Ceci s'est passé et vous savez comment. Quand je vous ai dit de prier pour la paix je ne me référais pas uniquement à la Yougoslavie toute proche, mais au monde entier parce qu’il y a beaucoup de guerres. Ce qui s'est passé aux Etats-Unis est pire qu’une guerre parce que des femmes et des enfants ont été tuées pour se venger de je ne sais quoi..

Souvenez-vous que lorsque Dieu parle, il n'exagère jamais. Tôt ou tard ce qu’il dit arrivera. Vous qui avez déjà tant prié pour éviter la guerre et pour le Saint Père, continuez à prier, faites le de façon à ce que tout se calme et à que la paix revienne. Pensez à ces milliers et milliers de morts et ces enfants laissés orphelins. Dieu m’a envoyée pour vous dire de prier, non seulement de réciter trois ou quatre rosaires mais de vivre chaque minute en état de grâce parce que vous ne pouvez savoir quand l'homme pourrait décider de tuer à nouveau .

Marisella, sens tu Emmanuele comme étant le tien ?

Marisa - Oui je le sens comme le mien, maman également parce que tu m’as donné la possibilité de les sauver.

La Madone - Mes chers enfants, puis-je compter sur vous pour prier pour la paix dans le monde ? Ce qui s'est passé ne concerne pas uniquement les Etats-Unis, mais toute la planète. Si une nouvelle guerre éclate, il y aura vraiment des larmes, des destructions et des morts; ne l’attendez pas pour commencer à prier, pour vous aimer, pour vous faire un sourire et mettre en pratique ce que je vous ai toujours dit: ne mentez pas, ne croyez pas être le premier, mais mettez vous toujours à la dernière place et Dieu vous mettra à la première.

Je désirais transmettre tous mes voeux à ceux portant le nom de Marie, parce que Dieu le voulait.

Marisella, les anges et les saints m'ont toujours escorté mais maintenant je suis seule parce que celui qui est seul souffre davantage et peut offrir cette souffrance pour la paix. Il en est de même pour toi parce que tu as toujours besoin d'une personne amie à tes côtés; alors quand tu te sens seule tu offres tout pour la paix.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Priez, priez et aimez-vous beaucoup les uns les autres, ne jugez pas, ne pensez pas uniquement à votre petit jardin mais à toute l'humanité qui pleure aujourd'hui la mort de tant de mères et de pères et parce que tant d’enfants sont laissés orphelins. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque - si tous les évêques étaient comme le votre ! - je vous bénis et vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Je bénis les enfants qui sont loin, les jeunes et les adultes qui n'ont pu venir pour de bonnes raisons.

Oui, Nicolas, envoie un petit baiser à ton petit cousin.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus-Christ.

Marisa - Merci d'être venue. Est-ce que Dieu t’a dit si tu pourrais venir tout le temps ?

La Madone - Non, il ne m’a encore rien dit. Aujourd'hui il m’a donné la permission de venir et je suis donc venue.

Marisa - Nous donnons tout et faisons de notre mieux. Tu devrais apparaître à tous les coins du monde pour que les hommes sachent comment agir. Adieu, Adieu. Don Claudio!

Don Claudio - Ton esprit a été soulagé d'un poids.

Marisa - Elle est venue!

Rome, le 14 septembre 2001 - 21h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus lève la croix en signe de victoire.

Ne nous faites pas souffrir, nous attendons toujours ta venue même si nous ne la méritons pas, mais nous faisons tout notre possible. Je t’en prie: demande à Dieu le Père qu’il te laisse toujours venir parmi nous.

La Madone - Aujourd'hui aussi, Dieu le Père m’a dit: "Marie, va vers mon petit troupeau", puis il a ajouté autre chose.

Marisa - Tu vas toujours voir Dieu le Père. Tu n'es pas seule aujourd'hui, tous t’accompagnent et Jésus porte haut la croix.

La Madone - Prions tous ensemble, en tournant nos regards vers la croix et en nous souvenant que c’est aujourd'hui le sixième anniversaire du premier miracle Eucharistique. Quel don Dieu vous a fait et combien de grâces avez-vous reçues! Chacun peut se demander dans son coeur s’il a mérité tout cela. Avancez en cherchant à vous convertir, à vous corriger et à vous aimer les uns les autres.

(Tout le monde prie ensemble avec la Madone)

Mes chers enfants, merci de votre présence et du sacrifice que vous avez fait pour venir dans ce lieu thaumaturgique; souvenez-vous que chaque sacrifice donnera de la joie. Les anges et beaucoup d’enfants m'entourent. Ils me regardent ainsi que chacun de vous avec un sourire céleste; mon époux bien-aimé Joseph et Jésus qui porte la croix en signe de victoire sont également présents. Tous les anges et les saints sont venus avec moi.

J’aimerais tant arracher à Dieu la grâce de continuer à toujours venir ici, pour vous, pour moi et pour tous les hommes. La croix est victoire, vie, joie, elle est tout, vous ne devez pas la regarder comme quelque chose de pénible et douloureux. C’est aujourd'hui la fête de L’Exaltation de la Croix. Qui de vous était présent le jour du premier miracle Eucharistique lorsque mon Fils Jésus Eucharistie est sorti du flanc du crucifix et est venu parmi vous? Essayez de faire un examen de conscience et demandez-vous: combien de grâces avons-nous reçues de Dieu ? Combien de miracles ? Combien de dons ? Méritons-nous tout cela?

Je vais tous les jours trouver Dieu le Père pour lui demander la permission de venir parmi vous et jusqu'à présent il m’a dit chaque fois: "Va, Marie!". Il le dit avec tant de douceur et tant d’amour, parce que Dieu vous aime tous, même ceux qui vivent en ce moment dans la souffrance, aussi bien physique que morale. Dieu est amour et comme pour Jésus crucifié, vous aussi vous triompherez finalement et vous vous réjouirez.

Je veux vous rappeler un évènement qui vous a fait beaucoup souffrir en 1999. Dieu a alors repoussé ce qu’il avait promis de faire, également pour que la catastrophe qu’il avait révélée en secret à votre soeur ne se réalise pas. Cette catastrophe est arrivée deux ans plus tard. Vous devez également vous en soucier, parce que tout ce qui est arrivé concerne le monde entier. Je vous demande de prier pour que Dieu éloigne le danger de la troisième guerre mondiale et aide ceux qui souffrent. Ceux qui ont accompli cet acte de destruction ne sont pas des hommes, ils sont pires que des animaux. Ils seront découverts tôt ou tard, ce sont des êtres diaboliques qui tuent pour le plaisir de tuer. C’est pour cette raison que je vous ai maintes fois demandé depuis 1999 jusqu'à ce jour de prier pour la paix. Les guerres ne sont pas terminées mais continuent, vous les connaissez et savez ce qui se passe, mais vous ne savez pas tout.

Courage, mes chers enfants, si Dieu vous invite à venir prier dans ce lieu thaumaturgique, il y a une raison et vous devez obéir à Dieu et l'écouter, comme je l’ai toujours fait.

Pensez au nombre de familles détruites et au nombre d’enfants laissés orphelins.

Je ne veux pas vous affliger davantage; les mass médias vous informent à ce sujet, même si leurs informations ne sont rien à côté de ce qui se passe vraiment.

Réjouissez-vous tous ensemble pour l’Exaltation de la Sainte Croix et priez.

En tant que maman, je désire, ensemble avec cet enfant près de moi, transmettre mes voeux à Jacopo. Tous mes voeux Jacopo, un baiser de la Maman et de l'enfant qui te regarde et te sourit. Des voeux peuvent être transmis aux enfants et aux personnes âgées. Quand tu étais tout petit, Jacopo, tu envoyais toujours un baiser à la petite Madone, maintenant que tu as grandi et que tu vas à l'école primaire, tu ne lui envoies pas de baiser ainsi qu'à cet enfant devant elle?

Mes voeux à tous les petits cousins et à tous les enfants.

Je vous laisse, mes chers enfants, le cœur plein d’amertume pour ce qui est arrivé sur cette planète Terre. Plus vous avancerez, plus la situation empirera.

Je vous laisse, mais je vous porte toujours dans mon coeur parce que vous êtes tous mes enfants.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Je bénis les petits enfants: certains pleurent, certains chantent et d’autres hurlent; je bénis tous les malades.

Je vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Priez Dieu afin qu’il me fasse venir vers vous comme par le passé. Que sa volonté soit toujours faite.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie. Elle n'est pas venue seule aujourd'hui comme le 12 septembre. Ils étaient tous là.

Rome, le 23 septembre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Nous avons besoin de toi. Je sais que nous sommes un petit troupeau qui parfois trébuche de tous les côtés, mais nous t’aimons. Merci d'être venue parce que c’est très dur de ne pas te voir! Je te confie tous ceux qui se sont recommandés à mes prières; ne nous laisse pas seuls, parce que nous ne pourrions pas continuer à avancer, nous avons plus de force et de courage avec toi.

La Madone - Ma chère Marisella, tu connaissais le secret depuis le début de 1999 et tu ne pouvais en parler à personne. Tu avais ce grand drame en toi et quand il s'est réalisé tu t’es rendue compte combien il était terrible. Combien se sont révoltés contre Dieu: "Dieu dit d’abord une chose et puis il en fait une autre. Dieu promet et ne tient pas ses promesses". Toi qui connaissais le secret, tu as eu le courage de dire: "Nous devons nous abandonner à Dieu, nous devons obéir à Dieu, Dieu sait ce qu’il fait". Tes paroles m'ont touchée.

Je ne suis pas apparue plusieurs fois dans le lieu thaumaturgique, non pour vous punir, mais pour vous inviter à faire pénitence et à faire des sacrifices pour la paix. Par ailleurs, si j'étais venue, je vous aurais parlé de la guerre et je vous aurais demandé de prier pour la paix. Que puis-je vous dire maintenant? Je n’ai rien de beau à vous dire, sinon vous répéter: "Convertissez-vous, remplacez vos coeurs endurcis par des coeurs de chair". Cette guerre est l’une des plus affreuses qui soit et elle sera longue et douloureuse. Vous ne devez pas penser que vous ne serez pas touchés, parce que vous êtes en Italie; pensez à prier, à faire des sacrifices et l’adoration du Saint Sacrement autant que vous le pouvez. Beaucoup d’entre vous font l’adoration et même souvent, mais pourquoi les autres ne répondent-ils pas à l’appel? Peut-être attendent-ils que quelque chose de grave se passe d’abord en Italie pour invoquer la miséricorde de Dieu et se traîner à genoux jusqu'à l’autel devant le tabernacle? Préparez-vous avant, priez en premier pour vous et ces mamans restées veuves et ces enfants devenus orphelins. Cette guerre est affreuse, pleine de vengeance et de violence, même s’ils disent que c’est justice de la faire, car il y a tant de violence en eux et la joie de gagner la guerre et vous savez bien que ceux qui gagnent une guerre gagnent aussi beaucoup d’argent. Et nous voilà revenus au même point: ils agissent, font la guerre pour le pouvoir et l’argent, aussi bien les grands hommes politiques que les grands hommes d’eglise. La Maman est venue pour rester un petit peu avec vous, mais elle n’a pas de bonnes nouvelles à vous donner. Vous, qui avez déjà arraché tant de grâces à Dieu, continuez à lui en arracher encore, n’attendez pas toujours que votre Evêque vous fasse la leçon et vous dise: "Faites ceci, faites cela". Vous devez prendre des initiatives et dire à l’Evêque: "Excellence, nous aimerions faire la veillée, le jeûne et l’adoration du Saint Sacrement", vous devez être prêts à tout. Mais que se passe-t-il? Seul l’Evêque est toujours prêt à vous parler, à vous dire ce que vous devez faire, à vous pousser à faire quelque chose; ce n'est pas bien, parce que vous avez grandi et vous devez agir seul, il est grand temps que vous agissiez seul. Quand vous rencontrez des personnes qui ne viennent plus dans le lieu thaumaturgique ou ne vont plus à l'église, dites leur ceci: "n’attendez pas que la guerre arrive en Italie pour vous traîner à genoux devant le Très saint Sacrement; prions avant".

Je n’ai rien d’autre à ajouter, mes chers enfants, sinon que je vous aime et même lorsque je ne viendrai plus, je vous aimerai toujours; souvenez-vous que Dieu aussi vous aime parce que c’est Lui qui m'envoie. Courage, courage, je m’adresse tout particulièrement à ceux qui sont forts, qui sont encore capables de marcher, d’avancer, de prier. Mettez-y toutes vos forces, arrachez cette grâce à Dieu pour le monde entier, sinon il y aura la guerre dans le monde entier, et ce sera une guerre dure et terrible. Revenons au secret de Fatima et réfléchissez. Combien d’années avez-vous attendu pour connaître le secret de Fatima? s’il n'était pas terrible, pourquoi l’avoir tenu caché et ne pas l’avoir révélé? Ce qu’ils ont révélé n'est pas le secret. s’il n'était pas terrible il n'y avait aucune raison de le cacher. Je le répète, si le secret n'était pas terrible, pourquoi le cacher?

Courage mes chers enfants, courage à tous.

Votre soeur n’a pu descendre aujourd'hui parmi vous, parce qu’elle ne va pas bien et par précaution. L'évêque lui a très justement ordonné de rester dans sa chambre, mais c’est très dur pour elle, car elle aime être avec vous, parmi vous; malheureusement sa santé a des hauts et des bas et plus de bas que de hauts.

Mes chers enfants, Dieu m’a envoyée et je suis venue, s’il devait me dire de venir tous les jours, je serais tous les jours avec vous, mais Il vous demande maintenant pénitence et sacrifices, vous qui ne me voyez pas, ainsi qu'à votre soeur qui me voit et ne me verra pas pendant longtemps; ce sera pour elle une longue souffrance et quand elle souffrira la passion, elle sera seule, je ne serai pas à ses côtés, elle devra souffrir seule beaucoup de douleurs, ce sera donc pour elle pénitence et sacrifice. Que ceux qui le peuvent fassent l’adoration, la veillée, le jeûne; c’est à vous de décider seul, vous êtes grands, vous devez savoir si vous pouvez faire le jeûne ou pas.

Merci de votre présence. Croyez-moi, même si ne je viens pas, je vous aime énormément. Je vous remercie si vous parvenez à faire ce que la Maman vous a dit de faire. Arrachons la grâce de la paix à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Excellence, courage, la victoire te semble fort lointaine, mais quand tout s’achèvera et que tu triompheras, il y aura beaucoup de monde devant la grille, mais il n'y aura pas de place pour eux.

Grand-mère Iolanda, courage ma fille, tes souffrances jointes à celles de ta fille sont très grandes, en les acceptant vous réussissez à sauver ces pauvres créatures restées seules au monde, sans père ni mère; l’aide que vous donnez avec vos souffrances et vos prières est énorme. Merci.

Je bénis toutes ces créatures restées sans père ni mère; je bénis tous les américains et tous les pays étrangers.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Tu dois faire des inhalations, Marisella, sinon tu n'en sortiras pas.

Marisa - C’est bon. Adieu. Je descends pour la Messe?

La Madone - Non, tu ne le peux pas.

Marisa - C’est bon, tu obéis à Dieu, je t’obéis ainsi qu'à l’Evêque. Je dois obéir à tous.

La Madone - Adieu, trésor de la Maman.

Marisa - Adieu, petit. Adieu.

Un moment, excuse moi petite Madone, penses-tu que tu tarderas à revenir?

La Madone - Je ne le sais pas, je viendrai quand Dieu me dira de venir, sois tranquille, je ne dirai certainement pas non à Dieu, je serai donc présente quand Dieu me le dira. Adieu, ma fille, adieu Marisella.

Marisa - Adieu, je t’envoie un autre baiser.

C’est bon, je refais le signe de croix. Loué soit Jésus Christ.

La Madone - Mes voeux et une bonne sainte Messe à tous.

Marisa - Elle est partie.

Messages d'Octobre 2001

Rome, le 6 octobre 2001 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci d'être venue, merci avant tout à Dieu le Père qui a bien voulu encore t’envoyer parmi nous. Je désire te recommander le petit Jacopo et Maurizio, tu sais qu’il est très malade; je te recommande également tous les enfants soignés à l'hôpital par Selenia ainsi que tous les malades, y compris notre évêque. Lui n'est pas gravement malade, mais je te le recommande quand même parce que lorsqu’il ne va pas bien, nous sentons vraiment que nous manquons de soutien.

Je te recommande tous ces pauvres gens qui ont perdu des proches et tous ceux qui meurent chaque jour. Jeudi, quand le miracle eucharistique a été accompli, Jésus a dit: "Si tous les hommes ne viennent pas à moi, il n'y aura pas de paix, mais beaucoup de morts, de morts et de morts". Tu peux tout obtenir de Dieu le Père, va lui demander de l’aide pour nous.

Quelqu’un a demandé pardon pour toutes les fautes commises il y a des siècles, mais nous devons maintenant demander pardon à Dieu de tout notre Coeur pour les fautes du présent en prenant la résolution de ne plus l’offenser et en nous engageant à aimer Jésus Eucharistie toujours plus chaque jour.

Nous avons fait l’adoration du Saint Sacrement comme il nous l’a été demandé et toi, si tu le veux, intercède auprès de Dieu, afin que cette guerre si affreuse, si dangereuse et pleine de méchancetés n'éclate pas.

La Madone - Marisella, il est difficile d’arrêter cette guerre. Vous continuez à prier comme vous le pouvez et autant que vous le pouvez et si Jésus-Dieu a dit: "Si vous ne venez pas tous à moi, il y aura des morts, des morts et des morts", que puis-je faire?

Marisa - Veux-tu que je te le dise? Tu dois simplement aller trouver Dieu pour lui demander son aide et qu’il nous pardonne. Nous sommes des pécheurs, mais nous vous aimons tous à notre manière. Chacun de nous cherche à faire ce qu’il peut et celui qui peut faire quelque chose et ne le fait pas, devra en rendre compte à Dieu.

La Madone - Marisella, tu as beaucoup prié pour beaucoup de malades que tu connais et qu’on te recommande, mais tu dois me recommander également les grands hommes d'état et de l’Eglise. Eux ne pensent pas à la grand tragédie où va le monde, ni à cette terrible guerre pleine de haine, de vengeance, de violence, faite pour accumuler de l’argent. C’est pourquoi la Maman vous invite à continuer à prier comme vous le pouvez et le plus que vous pouvez et si la fatigue vous prend, cela ne fait rien, reposez vous dans les bras de mon Fils Jésus. Il sera content quand même. Priez, priez beaucoup.

Il est temps maintenant que tu ailles accomplir ta mission, mais maintenant, tu iras en Afghanistan et au Pakistan, plutôt qu’aux Etats-Unis, avec notre évêque.

Marisa - Même s’il est malade?

La Madone - Oui, parce que vous ne vous sentez pas mal quand vous allez dans ces lieux.

Mes chers enfants, je vous invite à la prière constante et à l’adoration, pour autant que vous soyez en mesure de le faire; que ceux qui le peuvent le fassent avec amour. Que ceux qui hébergent des prêtres les invitent à venir en ce lieu. Continuez à prier en silence, en profonde adoration, sans vous retourner pour voir qui est dans la chapelle et qui a fait ou n’a pas fait son devoir, ceci ne doit pas vous intéresser, chacun de vous rendra compte à Dieu. Courage, la Maman est avec vous et elle le sera encore demain.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants malades, les adultes malades, en particulier ceux qui ont des enfants et je bénis vos objets sacrés.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisella, la passion a été dure cette nuit, mais j’ai toujours été près de toi. Tu devras encore souffrir la passion pendant plusieurs jours, mais tu ne seras jamais seule, parce que les anges et moi, nous serons près de toi. Adieu, ma fille, merci pour tout ce que tu fais pour aider les hommes de l’Eglise, les hommes d'état et tous ceux qui sont malades; la Maman te dit merci

Marisa - Et que dois-je dire?

La Madone - Rien. Adieu, ma fille.

Marisa - Adieu.

Rome, le 7 octobre 2001 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Ils veulent tous se battre, tous vaincre et les hommes sont pleins de haine et de vengeance. Combien de haine et de vengeance également sur le visage de ces enfants avec des armes à la main: leurs yeux étaient remplis de violence et de haine. Priez pour ceux qui pourraient être vos enfants et petits-enfants.

Je n’ai rien d’autre à vous dire, sinon de prier, prier et encore prier. Souvenez-vous de ce que Jésus a dit jeudi: il y aura beaucoup de morts, de morts et de morts si les hommes ne reviennent pas à Lui. J’ai entendu beaucoup de personnes parler, même des prêtres mais je n’ai pas entendu de paroles d’amour, d’affection et de charité; à quoi servent alors tous ces bavardages?

A vous, je dis de prier, prier et encore prier!

(Marisa a de fortes douleurs, elle vit la passion)

Marisa - Pour la paix, pour la paix, pour la paix, pour la paix, pour la paix, pour la paix. Cela suffit!

La Madone - Merci, ma chère Marisella, merci de tout. La Maman vous répète encore de prier, prier et prier.

Avec mon et votre évêque je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis les deux futurs époux, je bénis les parents, la grand-mère, les tantes et oncles proches et ceux éloignés de Nicolas, je bénis le petit Jacopo, Samuele, les pères et mères et toux ceux qui n'ont pu venir parce qu’ils sont malades.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Ils sont partis.

Rome, le 21 octobre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je suis désolée que votre soeur n’ait pu descendre parmi vous, mais sa santé laisse malheureusement toujours plus à désirer. Je vous demande aujourd'hui de prier aussi pour votre évêque, parce qu’il ne va pas bien. Il est seul et doit tout faire, mais soyez tranquilles, il descendra parmi vous et célèbrera la sainte Messe: offrez la pour tous ceux qui sont morts, non seulement aux Etats-Unis, mais aussi dans les autres nations. Beaucoup d'hommes meurent à cause de cette guerre affreuse qui voit fratricides, suicides, homicides; c’est une guerre terrible, faite pour amasser de l’argent et ceux qui en souffrent sont les pauvres, les enfants les malades, ceux qui ne peuvent la fuir. Cette nuit mes deux enfants ont vu que tous les morts étaient dépouillés de leurs vêtements, que l’on volait de la nourriture, de l'eau et des vêtements.

Vous avez fait beaucoup d’adorations du Saint Sacrement, mais la Maman vous demande encore, au nom de Dieu, de continuer à prier, parce que la prière faite avec le Coeur est puissante, est forte et peut sauver les hommes.

Pensez-vous, que la situation soit calme parce que vous êtes en Italie ? Non, il y a aussi des terroristes en Italie, ils sont partout, peu de nations en sont épargnées. Je vous demande seulement de prier et de faire l’adoration du Saint Sacrement. Souvenez-vous de ce que Jésus a dit: "Si les hommes ne reviennent pas à Moi, Jésus Eucharistie, il y aura beaucoup de morts de morts et de morts". Tout le monde ne parvient pas à comprendre le danger que renferme ce mot répété trois fois par Jésus.

Je vous demande aussi de prier pour les prêtres qui persistent à ne pas croire. Mais après la grande épreuve de Dieu, certains prêtres ont changé d’avis, en particulier à l'étranger et dans le Nord de l’italie, mais peu à Rome, car dans cette cité beaucoup, des séminaristes aux plus grands hommes de l’Eglise, continuent à dire du mal de ce lieu.

Mes deux chers enfants, vous souffrez et êtes fatigués, vous avez envie de tout arrêter, de tout abandonner et aimeriez avoir une vie plus facile: tous les hommes ont joies et douleurs, mais vous, humainement parlant, n’avez que des douleurs, mais votre temps viendra et il sera alors fort difficile à certains ecclésiastiques, religieux et laïcs d’entrer dans le lieu thaumaturgique. C’est aux jeunes et aux enfants, qui sont encore petits mais comprennent déjà, qu’il reviendra d’accueillir les nombreuses personnes dans le lieu thaumaturgique. Jacopo comprend très bien: il a l’air de ne pas écouter, mais il écoute et demande des explications. Vous mamans, papas, grands-parents, oncles et tantes, que raconterez-vous demain à vos enfants et petits-enfants sur cette guerre faite uniquement pour l’argent et par intérêts personnels?

Que puis-je vous dire? Courage? Merci? Il me semble presque me moquer de vous, mais, mes deux chers enfants, mes enfants adorés, je dois vous dire: courage, continuez, continuez, faites que le malin ne gagne pas, ne le laissez pas entrer, comme cela s'est produit ce matin.

La Maman vous salue et adresse ses vœux à tous. Ne vous lassez pas de prier. Vous direz: pourquoi devons-nous venir dans ce lieu pour prier alors qu’il y a beaucoup d'églises plus proches ? Parce que Dieu a choisi ce lieu et l’a rendu thaumaturgique; ici où que vous posiez les pieds, tout est thaumaturgique, saint.

Courage, la Maman est avec vous, les anges, les saints et ces enfants qui m'entourent sont avec vous.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Souvenez-vous qu’aujourd'hui commence le triduum pour le huitième anniversaire des apparitions ouvertes à tous. Vous n'êtes pas nombreux, mais la semence a été jetée partout et elle est maintenant dans le monde entier.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Même cet objet est sacré parce qu’il a été fait avec amour.

Je vous bénis tous, en particulier les malades, parce qu’ils en ont le plus besoin et bon nombre d’entre eux sont seuls. Toi, petite Selenia, tu fais bien ton travail, tu t'y donnes vraiment toute entière. Mes félicitations et mes voeux.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Est-ce que tu te sens bien Don Claudio ?

Rome, le 28 octobre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, j’en reviens encore à parler de 1999. Quand il semblait que votre triomphe était proche, j’ai commencé à parler de la grande épreuve de Dieu. Vous ne compreniez pas et disiez: "Si Dieu a promis, il tiendra sa promesse". Bien sûr, Dieu tiendra sa promesse, mais la grande épreuve devait avoir lieu avant. Vous savez comment cela est arrivé. Souvenez-vous quand les hommes de l’Eglise ont parlé du secret de Fatima et que j’ai immédiatement dit dans la lettre de Dieu que ce qu’ils avaient dit n'était pas vrai? Même en cette circonstance, ils ont essayé de jouer avec Dieu et de façon négative. Maintenant, tous se rendent compte peu à peu que ce secret n’a pas été révélé. Mais les prêtres et les grands prélats continuent à jouer avec le secret de Fatima, impliquant également la pauvre soeur Lucie. Parce qu’elle est âgée maintenant, ils ont incriminé que ses affirmations étaient fausses: "J’ai menti, j’ai dit un mensonge, je me suis trompée"; la pauvre soeur Lucie dit cela pour défendre les grands prélats et les grands hommes. Vous souvenez-vous quand le cardinal Ratzinger, monseigneur Bertone et monseigneur Fisichella ont parlé du secret de Fatima? Beaucoup de vous ont alors pensé: "Mais s’il n'était pas catastrophique, pourquoi l’avoir caché pendant tant d’années?". Beaucoup d’années se sont écoulées, divers papes se sont succédés sur le trône de Saint Pierre et vous vous êtes rendus compte que le secret n'était pas aussi simple qu’ils l’ont dit. La grande épreuve de Dieu a commencé, la guerre s'est déclarée, la terre a tremblé, les terroristes ont durement frappé. Ce n'est qu’après l'éclatement de la guerre, les attaques des terroristes, les tremblements de terre, qu’eux aussi ont commencé à parler. Où est la vérité? Où était la vérité? Seul le pape et ceux qui ont lu l’original de la lettre de sœur Lucie, la connaissent. Ceux qui détiennent un secret ne peuvent le révéler avec autant de légèreté, comme le font beaucoup de prêtres qui prétendent connaître le secret de Fatima. Que savent-ils? Le secret reste gardé tant que Dieu ne décide pas de le révéler. Votre sœur garde beaucoup de secrets que nous lui avons confiés et se tait; elle détient certains secrets depuis son enfance et ne les a jamais révélés à quiconque, parce que Dieu lui donne la force et l’aide de ne pas les révéler.

A vous, Dieu demande de prier, de faire des adorations du Saint Sacrement, si vous le pouvez; Je ne veux pas vous demander encore de faire l’adoration en vous relayant, c’est à votre coeur d’en décider. La guerre continue, le nombre des morts va toujours croissant et ils sont nombreux: femmes, vieux et enfants. Cette nuit beaucoup de petits enfants ont été secourus par mes deux enfants, beaucoup ont reçu le baptême, certains ont été sauvés, mais la majeure partie d’entre eux sont morts avec leurs mamans. Mes deux enfants, l'évêque et la voyante, n'ont rien pu faire d’autre que de les baptiser. Leur tâche n'est ni fatigante, ni dangereuse parce que surnaturelle, mais tristesse, amertume et souffrance restent dans leur coeur. A vous, Dieu a demandé de prier, de faire l’adoration du Saint Sacrement, mais je vous laisse libre cette fois de la faire ou non, mais d'ici le commencement des rencontres bibliques, le jeudi, je vous implore de faire l’adoration et de prier pour ces hommes qui se battent et tuent seulement pour gagner, pour avoir de l’argent, beaucoup d’argent et ne comprennent pas que finalement ils devront mourir. Que feront-ils avec tout cet argent? Bénis sont ceux qui n'ont rien, bénis sont ceux qui vivent au jour le jour, bénis sont ceux qui souffrent pour l’amour de Jésus.

Mes chers enfants, si je vous aimais pas comme je vous aime, je ne serais pas ici avec vous, mais dans les grands lieux où les gens accourent mais où je n’apparais pas. Je viens ici parce que Dieu m'envoie vers vous afin de prier et rester avec vous.

Je souhaite à tous de ressentir dans son coeur la joie de faire l’adoration et de prier pour que la guerre se termine aussitôt que possible. Voyez-vous comme la vérité se dévoile peu à peu? Voyez-vous comment ce que Dieu vous a dit se révèle lentement? Dieu n'est pas pressé. Ce que je vous ai dit dans les apparitions se répand peu à peu. Ceci procure de la joie et beaucoup d’amertume parce que les hommes sont encore en naufrage; ils pensent encore à l’argent, au pouvoir et aux femmes. Quand je dis les hommes j’entends aussi les prêtres, les évêques et les cardinaux. Remerciez Dieu d’avoir un évêque saint, bon, pur et honnête; ce n'est pas facile d’avoir des évêques comme le vôtre.

Marisa - De toute façon tu as déjà lu la lettre. Tu es d’accord?

La Madone - Bien sûr, je suis d’accord, mais si les jeunes l’avaient écrite entièrement …

Marisa - O.K., mais un papa cherche toujours à aider ses propres enfants.

La Madone - Je bénis cette lettre et espère beaucoup qu’elle fera du bien aux prêtres, surtout à ceux qui ont si peur de Mr. Ruini.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Souvenez-vous que: celui qui s'humilie sera élevé, celui qui s'élève sera humilié, toujours.

Marisa - Adieu, adieu.

Messages de Novembre 2001

Rome, le 1er novembre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tout le paradis descend.

Jésus - C’est aujourd'hui la fête de tous les saints et des âmes sauvées, mais c’est également votre fête si vous êtes en état de grâce. Moi, Jésus, j’ai voulu amener tout le paradis avec Moi dans le lieu thaumaturgique où il y a un petit troupeau et à la différence de beaucoup d’autres endroits, beaucoup d’amour. Marisella, tu vois que quelques malades sont aussi ici avec vous.

Vous attendez de Dieu quelque chose de grand et vous avez raison mais que puis-Je dire si le monde entier va à sa ruine? Que faire? Devrais-je faire seulement quelque chose pour ce petit troupeau? Quel serait le sort de tous les autres, en commençant par le Pape, de tous les hommes d'état et de ceux appartenant à d’autres religions? Que se passe-t-il dans le monde ? Vous pouvez encore dire que vous êtes ici au paradis, mais les tribulations commenceront aussi ici parce que les terroristes renouvelleront ce qu’ils ont fait dans d’autres nations. s’il y a ailleurs des terroristes, pourquoi pas aussi en Italie? Pourquoi pas en Europe et dans le monde entier? Ils continuent à tuer: il y a ceux qui tuent parce qu’ils sont convaincus qu’en allant à la rencontre de la mort, ils vont vers Dieu et ceux qui tuent pour la joie et le désir de tuer, sans être conscients de rien. Apprenez à faire toujours la volonté de Dieu. Quand je dis que Dieu tient sa parole, vous devez nous croire, mais vous comprenez vous-mêmes que la situation est fort préoccupante et ce que vous voyez n'est rien comparé à ce que Nous voyons du Ciel.

Moi, Jésus, la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, je suis venu avec ma maman, mon papa, tous les anges, les saints et les âmes sauvées dans ce lieu thaumaturgique. Que puis-je vous dire? Priez, priez, priez. Il n'y a pas d’autres solutions. Vous pensez que Dieu peut tout faire et tout changer en un instant. Oui, c’est vrai, mais cela signifierait tuer beaucoup d'hommes, il en resterait très peu et l'histoire de l’arche de Noé se répèterait. Je ne crois pas que vous le vouliez.

C’est aujourd'hui la Fête de tous les saints, mais Je dis que c’est aujourd'hui la fête de tous ceux qui font la volonté de Dieu, qui prient et acceptent la souffrance pour le salut du monde. Je vous ai demandé une fois de prier pour votre belle Italie, mais je vous demande aujourd'hui de prier pour le salut du monde, ce monde que Dieu le Père a créé.

Avec la prière, la vie en état de grâce, l’adoration du Saint Sacrement et le jeûne, vous devez arracher la paix à Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et à moi, Dieu le Fils.

Quand il y aura la paix, tout sera plus facile pour tous, mais la situation empire et les hommes continuent à tuer, même ceux qui se disent pratiquants et vont à l'église tuent. On tue partout, pas seulement au Pakistan et en Afghanistan, mais aussi en Europe, en Amérique, en Afrique, partout. Même ici en Italie, on tue, mais davantage avec des mots qu’avec l'épée.

Je ne veux pas vous affliger davantage avec ces mauvaises nouvelles, mais je devais les dire pour vous faire comprendre les nombreux pourquoi de Dieu. Vous en fait, vous vous posez toujours beaucoup de pourquoi.

Merci à ceux qui continuent à faire la volonté de Dieu et qui ont compris mes paroles. Ne vous posez pas tant de pourquoi; il suffit de regarder la TV et ce que vous y voyez n'est rien en comparaison de ce qui se passe.

Merci. Ensemble avec mon évêque, tous les anges, les saints du paradis et toutes les âmes sauvées, je vous bénis et vous serre tous sur mon coeur.

La Madone - Moi, votre maman, je vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Mes petits enfants, je vous en prie, apprenez à toujours faire la volonté de Dieu, dans le bien et dans le mal; cela suffit avec les pourquoi, Dieu ne déçoit jamais, mais ce sont les hommes qui déçoivent beaucoup. Mes vœux à tous

Marisa - Adieu. Ils sont venus peu à la fois et sont partis tous ensemble.

Rome, le 4 novembre 2001 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Qui es-tu?

Dieu le Père - Je suis Dieu le Père et je suis venu en ce lieu que j’ai choisi, pour vous remercier et vous inviter à prier, comme Marie, la Mère de l’Eucharistie, vous l’a souvent demandé. Je vous invite cette fois à prier pour tous les prêtres, du pape au plus petit prêtre et pour tous les supérieurs, du plus grand au plus petit. Je suis las de voir tant d'iniquités dans ce monde que j’ai créé et dont les hommes n'ont toujours pas conscience. La fange provient des jeunes, des adultes et des personnes âgées, j’en ai assez de voir tant d'ordures. Je vous ai choisis, je vous ai envoyé Marie, Mère de l’Eucharistie, pour prier avec vous et vous remettre mes messages, qui ne sont pas toujours pris en considération.

Oui, Je suis Dieu. Tu ne peux pas me voir, Marisella, car personne ne peut voir Dieu. Lorsque votre vie s’achèvera, après le jugement, vous connaîtrez Dieu, ce Dieu qui a créé le monde, qui a livré son fils à la mort pour vous et toute l'humanité.

Vous vous demandez pourquoi Dieu n'intervient pas et vous répétez sans cesse "Pourquoi, mon Dieu, pourquoi ?". j’entends souvent tous ces pourquoi, ces longues litanies de pourquoi, et cela m’afflige. Restez sur le droit chemin, pensez à prier pour la paix; ne cultivez pas les inimitiés ou les sympathies réciproques, ne succombez pas à l'envie, la jalousie, la calomnie et la diffamation. Je vous invite à participer à la prière la plus sainte, la plus grande, la plus noble, c’est-à-dire à la Sainte Messe et à recevoir la Sainte Communion. Combien de fois vous a-t-il été recommandé, de recevoir la Sainte Eucharistie en état de grâce ou sinon de ne pas la recevoir. Vous ne pouvez pas recevoir Jésus-Eucharistie en état de péché, car vous commettez ainsi un sacrilège et le démon vous attire alors à lui. Lorsque le démon s'empare d'une âme, il est difficile de lui faire lâcher prise, à moins de lui opposer une volonté ferme et inébranlable.

Je me répète, je suis fatigué de voir toute cette fange sur la planète Terre que j’ai tant aimée, et que je continue malgré tout d’aimer et où je continue d’envoyer la Mère de l’Eucharistie pour vous. La Mère de l’Eucharistie n’apparaît qu’ici, parmi vous. En ce moment, votre soeur la voit agenouillée à mes pieds, prosternée, la tête courbée jusqu’au sol et tous les petits enfants, les âmes sauvées, les saints et les anges font de même, car je suis Dieu et il n'y a pas d’autre Dieu que Moi. Mais ce n'est pas pour cela que les membres d’autres religions ne seront pas sauvés s’ils se conduisent bien. Je suis le Dieu de tous les hommes, je les aime tous et veux les sauver tous.

Et maintenant, Moi Dieu, je me recommande à vous, petit troupeau, comme toujours. Les réunions bibliques vont commencer d'ici peu. Quelle est la prière la plus importante après la Sainte Messe ? Connaître la Parole de Dieu, Ma Parole. Vous apprendrez à connaître le grand Paul et j’enverrai chaque fois vers vous la Mère de l’Eucharistie avec tous ses petits enfants; mais qu’il y ait amour, prière et sacrifice entre vous.

Marisa - Je ne l'entends plus.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre maman. Avez-vous entendu les paroles de Dieu ? Cette planète Terre n'est que fange. Ses paroles étaient graves et tristes, mais je vous aiderai à prier pour les âmes qui ne savent pas prier et vivent dans la saleté.

Marisa - Petite Madone, je voudrais te confier tous les enfants. Ne permets jamais qu’ils souffrent de la méchanceté des hommes ou des femmes, protège-les. Les petits enfants sont radieux, rayonnants, bons, protége-les. Je te confie tous les enfants et tous les malades.

La Madone - Je te recommande l’Eglise entière, Marisella.

Marisa - Pas comme la nuit dernière, un peu moins.

La Madone - Je confie à tous mon Eglise, l’Eglise de Jésus. Que tous ceux qui le peuvent, pratiquent le jeûne et l’adoration du Saint Sacrement. Je vous en prie, assistez aux réunions bibliques, faites ce sacrifice une fois par semaine, vous serez ensuite plus heureux et contents.

Avec mon saint évêque, je vous bénis, ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants. Soyez tranquilles mes enfants les protègent.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Au revoir, petite Madone. Lorsque j’ai entendu la voix de Dieu j’ai ressenti un peu ..je ne sais pas si c'était de la peur ou de la crainte. Nous continuons à patauger dans toute cette boue. Tu as dit une fois que même dans la boue un lys garde sa blancheur, si c’est ce qu’il veut.

La Madone - Tu t’en souviens?

Marisa - Au revoir. Don Claudio, Dieu le Père est venu.

Don Claudio - Nous l’avons entendu.

Marisa - j’en avais la chair de poule.

Rome, le 11 novembre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je vois une grande lumière.

Jésus - Puisque Jésus Eucharistie est présent sur l’autel, moi, Jésus, je suis venu pour être avec vous et vous apporter une simple lettre du Dieu Tout Puissant. Vous avez fait l’adoration mais peu parlé, vous parlez peu avec Moi. Réciter le Saint Rosaire est très beau, mais vous devez regardez, bavarder, parler avec votre Jésus et lui demander tout ce dont vous avez besoin: puis si c’est la volonté de Dieu que ce que vous avez demandé arrive, cela arrivera.

Marisa - Jésus, je me suis préparée pour recommander les malades à la Maman, c’est à Toi maintenant que je recommande nos malades, en particulier Jacopo, Nicola, le petit Samuele, tous les enfants malades, les adultes et les malades présents qui viennent pour Toi, Jésus, parce qu’ils t’aiment. Fais en sorte que tous les malades parviennent à faire ta volonté, à accepter ce que vous voulez.

Jésus - Lorsque quelqu’un est malade, il lui arrive parfois de dire des paroles très dures; c’est la fatigue et la douleur qui le font parler de cette façon. Quand la souffrance est grande et permanente et que l’on ne sait plus quel calmant prendre, on arrive même à dire des paroles acerbes.

Marisa - Je suis l’une de ces personnes et je t’en demande pardon.

Jésus - Marisella, ne penses-tu pas qu'à ta place n'importe quel homme de la Terre, y compris Moi et la Maman, la Mère de l’Eucharistie, nous ferions ou dirions la même chose? Il est difficile, très difficile, humainement parlant, de supporter toutes tes souffrances, c’est pourquoi ne te fais de soucis si parfois tu te lamentes. Nous te remercions, au contraire, pour tout ce que tu fais pour ce monde si sale, si abject qui ne pense qu’au pouvoir, au plaisir et à l’argent comme l’a dit Dieu le Père. Il est facile de dire du haut d'une fenêtre ou d'un balcon "Priez pour que la paix vienne", et puis de ne rien faire pour l’obtenir. Il est aisé de converser avec de grands personnages et d’assister ensuite à un copieux banquet et c’est tout. Au lieu de cela, il y en a qui souffrent et donnent leur vie pour la paix. A vous, nous demandons beaucoup parce que vous pouvez donner; vous avez beaucoup reçu et vous devez donner beaucoup, certains plus, certains moins. Si vous avez reçu dix, vous devez donner vingt pour la paix dans le monde entier, dans l’Eglise, dans les familles. La guerre règne partout, prenant ses origines dans la calomnie et la diffamation. La lutte est permanente entre les amis, les parents, les hommes d’eglise, les institutions religieuses et les grands hommes d'état, uniquement pour arriver au pouvoir.

Vous n’agissez pas ainsi, vous êtes restés humbles, simples, bons, mais ce n'est pas pour cela que vous devez tirer avantage de ce que je vous dis; vous devez toujours travailler et prier. Comme nous l’avons déjà dit la semaine passée, priez et jeûnez. Tout le monde ne peut le faire; que ceux qui ne peuvent jeûner se privent en s’abstenant de fumer ou de regarder la TV. Participez à la Sainte Messe, faites la Sainte Communion, la Sainte Confession. Quand vous êtes dans la grâce de Dieu, prenez le chapelet dans vos mains et récitez le Saint Rosaire et si vous ne le pouvez pas parce que le temps est un tyran, dites seulement dix fois le Je vous salue Marie et puis quand vous aurez un peu de temps libre, dites dix autres Je vous salue Marie et puis dix autres et vous ne vous rendrez pas compte que vous réciterez ainsi presque tout le chapelet.

Il semble presque que Dieu attende tout de vous. Il veut que vous soyez les hommes de la paix, les hommes qui soutiennent l’Eglise, les hommes qui savent aimer tous les hommes; mais en premier, vous devez vous aimer entre vous. Il y a tant d'hommes qui pour le vil argent et le pouvoir, calomnient, diffament et condamnent. Levez vos yeux vers le ciel et dites: "Jésus, aide-nous à combattre ces gens si méchants qui ne se rendent pas compte combien ils font souffrir".

Oui, c’est vrai, la guerre est affreuse, la guerre continue et les hommes rivalisent à qui aura le plus d’armes, à qui est le plus fort, à qui gagne le plus. La guerre ne règne-t-elle pas au sein des familles, entre les parents, les amis, les communautés? Ne trouve-t-on pas partout calomnie et diffamation? Ce n'est pas le monde que Dieu a créé; c’est l'homme qui détruit le monde, qui détruit la planète Terre, mais personne ne s'en rend compte. Il leur suffit d’avoir beaucoup de monde autour d’eux et ils sont heureux, le reste ne compte pas. Ils disent: "Priez pour la paix!". Non, il faut dire: "Prions pour la paix!". Il est inutile de monter à une fenêtre, sur une terrasse, ou un balcon et de dire: "Priez pour la paix"; tous doivent prier, tous doivent jeûner, tous doivent s’aimer.

Souvenez-vous lorsque l'hostie a saigné deux fois sur le calice de la petite Madone? Ceux qui l’ont vu ont pleuré, puis ont tout oublié. Pourquoi êtes-vous ainsi? Les hommes qui sont méchants n'oublient rien, au contraire ils continuent à aller de l’avant et cherchent comment détruire. Vous au contraire, vous oubliez. Si l'évêque ne vous rappelle pas les évènements les plus importants, vous oubliez tout. Non, cela ne doit pas être ainsi. Vous devez vous souvenir des miracles qui sont très importants. Les hommes commencent lentement à parler des miracles Eucharistiques; ceux accomplis dans le lieu thaumaturgique seront les derniers. Vous êtes à Rome et ils ont très peur que toute la cité se rende dans ce lieu et abandonne les autres. Mais Jésus a posé ses yeux sur vous et vous demande votre aide; non qu’il en ait besoin, mais il le demande parce qu’il veut que vous fassiez partie de cette mission et jouissiez de ces grands dons que Dieu a fait à tous.

Marisa - Jésus est parti et la petite Madone est arrivée. Ecoute, petite Madone, je suis plus familière avec toi et je te demande pourquoi Jésus est-il parti sans nous bénir?

La Madone - Mais tu sais que sa présence est déjà une bénédiction.

Marisa - Oui, c’est bon, mais cela fait plaisir quand il nous dit "adieu". C’est bon.

La Madone - Et si la Maman vient pour vous le dire?

Marisa - C’est pareil, tu le dis toujours.

La Madone - C’est bon, prions maintenant tous ensemble comme Dieu l’a enseigné.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, et tous les malades; je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu à tous. Ils sont tous partis.

Don Claudio - Il y a le Très Saint Sacrement.

Rome, le 25 novembre 2001 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus, Christ Roi, c’est toi qui es venu?

Jésus - Oui, parce que c’est ma fête, mais comme tu le vois je suis venu sans couronne. Je suis le Christ, le Roi des Rois, sans couronne. C’est une grande fête aujourd'hui au Paradis et la joie y est grande. Vous fêtez aussi l’anniversaire du grand miracle qui vous a procuré tant de souffrances. Ce jour là, l’Esprit Saint est intervenu et avec une forte pluie a chassé ceux qui voulaient vous détruire. Vous fêtez aussi deux de mes petits enfants qui vont devenir aujourd'hui ministres extraordinaires de l’Eucharistie. L’Eucharistie est un mot qui embrasse tout l’amour qui peut être dans le monde. On m’aime en tant que Jésus miséricordieux, patient, mais malheureusement il y en a peu qui m’aiment en tant que Jésus Eucharistie, en tant que Jésus mort sur la croix. Vous savez que la mort est vie. Certains ont peur de la mort, de la croix, mais la mort est vie pour ceux qui vivent en état de grâce.

Mes chers petits enfants, je devrais transmettre bien des vœux à un grand nombre de personnes, mais mes voeux s’adressent aujourd'hui aux deux jeunes qui vont recevoir le mandat de ministre extraordinaire de l’Eucharistie. Ceux qui ont le mandat de porter la Communion aux malades, doivent avoir une grande joie dans le cœur.

Revenons au Christ Roi. Tu vois, Marisella, comme je suis simple? Je suis vêtu comme toi, j’ai une tunique blanche et un manteau rouge. Je n’ai pas de couronne, mais mon cœur est grand et plein d’amour pour tous.

Marisa - Jésus avant que tu t’en ailles, en silence, j’aimerais te recommander un grand nombre de personnes malades. Je te demande si tu pourrais faire aussi quelque chose pour la famille. Je ne dis rien de plus, seulement que nous avons besoin de ton aide et l’attendons anxieusement. Pense à ta maman, à ton papa, pense à Toi quand tu étais petit et alors tu penseras aussi à nous et aux familles.

Adieu, Jésus.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Je suis venue également pour la fête de mon Fils Jésus, le Christ Roi. Moi aussi je n’ai pas de couronne et je suis venue surtout pour transmettre mes vœux à ceux qui vont recevoir le mandat de ministre extraordinaire de l’Eucharistie. Je sais que vous êtes émus parce c’est beau et important d’avoir le mandat de ministre extraordinaire de l’Eucharistie et tout le monde ne peut le comprendre. Je sais, Marisella, que tu as recommandé quelques personnes en particulier, continue à prier pour elles.

Je veux que ce jour soit un jour de fête pour le Christ Roi, pour l’anniversaire du miracle eucharistique du 26 novembres et pour ceux qui vont devenir ministres extraordinaires. Ce doit être fête dans les âmes et dans les cœurs. Fête signifie joie, vivre en état de grâce, cela veut dire aussi que si vous avez des douleurs, vous devez les garder pour vous et donner de la joie aux autres. Je sais que c’est difficile, très difficile d’avoir des souffrances et de devoir parler, sourire, toujours donner, n'est-ce pas Evêque? C’est difficile, je le comprends. Vous pouvez dire: "Si vous le comprenez, Vous du ciel, pourquoi ne nous aidez-vous pas?".

Marisa - Nous ne sommes pas des saints, mais faisons tout ce que nous pouvons, nous faisons tout pour être bons pour prier. Parfois c’est l’amour, la charité qui viennent à manquer, qui sait pourquoi? Je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que c’est pour nous la tâche la plus difficile.

La Madone - Non, Marisella, quand on aime on les aime tous, les bons comme les méchants, les antipathiques comme les sympathiques. Aimer la fiancée, l'épouse, le mari ou les enfants est naturel, mais aimer ceux qui sont loin, ceux qui sont malades, les vieux qui sont malades, c’est être chrétien. Vous connaissez tous grand-mère Iolanda, mais vous ne savez pas combien grande est sa souffrance; vous devez l’aimer parce qu’elle a besoin d’affection, elle est qui est toujours enfermée dans sa chambre.

Aidez les malades, si vous le pouvez. Il y a beaucoup de malades qui sont seuls, aidez-les; parfois ils ne veulent pas qu’on les aide parce que l’orgueil prend le dessus et ils doivent au contraire être plus simples, plus humbles et accepter l’aide du frère.

C’est aujourd'hui le dernier dimanche du temps ordinaire, le prochain sera le premier dimanche de l’avent. Où est-ce que je me trompe de date comme cela arrive de temps à autre à votre évêque?

Marisa - Parce qu’il a tant de pensées.

La Madone - La neuvaine commencera le 29 novembre ainsi que ton abstinence, Marisella.

Marisa - Cela arrive au bon moment. L’abstinence arrive quand je suis dans le besoin, c’est bon, il suffit que vous m’aidiez.

La Madone - Mes chers enfants, bonne fête à tous. Tous mes voeux à tous, en particulier aux deux jeunes. Quand je vais vers Dieu le Père, je m’agenouille et me prosterne devant lui et je lui demande de ne jamais vous laisser seuls et de vous donner la force d’accepter la souffrance quand elle arrive. Je suis avec vous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Don Claudio - Quand commence l’abstinence?

Marisa - A partir de dimanche.

Messages de Décembre 2001

Rome, le 2 décembre 2001 -10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est toi qui es venu, Père Pio?

Père Pio - Mes chers enfants ici présents, je suis venu pour vous dire que les groupes de prière du Père Pio ne sont pas venus dans le lieu thaumaturgique par peur de perdre leur propre petit domaine. Quand je suis sur Terre, cela me fait mal comme cela m’a fait souffrir de voir mes moines danser avec des femmes, des danses pas belles à la télévision, pour ne pas dire autre chose. Je n’aurais jamais pensé que mes moines puissent en arriver là, même si vous êtes maintenant entrés dans le troisième millénaire et que les choses ont beaucoup changé. Il est vrai que nous étions très sévères auparavant, mais maintenant ils sont trop libres et chacun fait ce qu’il veut, ce qui me fait souffrir en tant que prêtre et moine.

Les hommes d’eglise dissent du mal de l'évêque ordonné par Dieu et puis défendent ceux qui font des choses pas belles, même fort vilaines. Ils défendent ceux qui se conduisent mal, manquent au sixième commandement et calomnient celui qui obéit à Dieu. Je demande la pénitence, le sacrifice de ne pas fumer, mais les prêtres fument, les moines fument et dansent à la télévision d'une façon fort incorrecte, c’est pourquoi, maintenant que je suis sur terre, je me sens mourir intérieurement.

Mes chers enfants, mes chers frères, remerciez Dieu d’avoir un évêque comme Don Claudio, bien en tout. Croyez-moi, sa souffrance, comme je l’ai déjà dit, est bien plus grande que la mienne; il n'y a pas que les stigmates qui fassent souffrir, il y a bien d’autres choses. Vous n'êtes pas parfois capables de le défendre, il vous arrive parfois d’avoir peur de dire la vérité aux hommes. J’ai vu votre soeur répondre d'un ton décidé à deux prêtres, avec charité. Elle savait fort bien ce qu’elle disait et comment parler pour défendre l'évêque.

Ceux qui se conduisent mal sont défendus par les hommes d’eglise, ceux qui se conduisent bien sont détruits. Vous savez que Mr. Ruini cherche par tous les moyens à détruire les œuvres de Dieu; il a maintenant divulgué calomnies et méchancetés sur Don Claudio à tous les évêques d'Italie et même hors d'Italie, parce que les évêques se réunissent de temps à autre pour parler entre eux.

Dieu m’a dit: "Père Pio, va toi porter la lettre à mes enfants parce que votre Maman ne se sent pas en état d'y aller". Vous êtes-vous demandés pourquoi la Madone ne vient pas? Pas à cause de vous bien sûr, mais à cause des hommes d’eglise qui vivent dans le faste et le luxe, dépensent beaucoup d’argent et prennent des initiatives qui ne servent pas à bâtir l’Eglise mais seulement à rassembler beaucoup de monde. Ils sont prêts à tout pour avoir beaucoup d'âmes autour d’eux comme cela s'est passé lors des dernières journées mondiales de la jeunesse, quand ils ont demandé argent et hospitalité aux familles.

J’ai toujours été un moine simple, mais j’ai toujours été ferme et fort quand je devais pratiquer la correction fraternelle. Je ne regrette pas de l’avoir été, car la plupart de ceux que j’ai traités avec dureté se sont convertis et ont suivi le droit chemin.

Je remercie Dieu que vous ayez un évêque comme lui et si je l'en remercie, vous devez vous aussi l'en remercier du matin au soir en priant pour lui, afin qu’il ait la force de lutter. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien d'humiliations et de souffrances, mes deux enfants reçoivent chaque jour, par téléphone, de vive voix, par lettres. Vous ne savez pas que de temps à autre certains trahissent l'évêque, mais ils ne trahissent pas seulement l'homme et l'évêque, mais Dieu avant tout. Après avoir menti, trahi et bafoué l'évêque et la visionnaire, ils s’approchent de Jésus Eucharistie et avec le comportement d'un saint, vont recevoir Jésus Eucharistie. Ceci est grave! Combien de fois notre petite Madone ne vous a-t-elle pas dit: "Ne recevez pas mon Fils Jésus si vous n'êtes pas en état de grâce! Avez-vous peur que les autres puissent vous juger? Cela n'est rien, mais ne recevez pas Jésus Eucharistie si vous n'êtes pas en état de grâce. Vous devez être toujours bien dans votre âme pour recevoir Jésus-Eucharistie. Chère Marisella, la vie terrestre est dure pour toi, n'est-ce pas?

Marisa - Oui, Je n'y arrive pas toujours, mais quand je vois que je reçois de l’aide d’en haut, je fais avancer ma mission, même si je ne peux faire beaucoup.

Père Pio - Tu fais beaucoup! Mets-toi le bien dans la tête, sinon je vais aussi rouspéter après toi: tu fais beaucoup! Tu dois être plus simple et dire: "Oui, je fais beaucoup".

Marisa - Ce sont des mots! Je les dis parce que tu les dis. t’ai-je dit que tu es plus beau depuis que tu es au paradis? Tu n'étais pas si beau sur terre. J’ai dit aussi à Saint Paul et Saint Pierre qu’ils sont beaux au paradis, de sorte qu’il y a peut-être aussi de l'espoir pour moi.

Père Pio - Ne répète plus que tu es inutile: souviens-toi, tu fais beaucoup, beaucoup beaucoup. Et je le répète: ne me fais pas élever la voix!

Marisa - Non, sois bon, soyons bons, bons.

Père Pio - Quelqu’un a dit que l'évêque est trop bon avec toi, je n'en dirai pas le nom, qu’il te chouchoute.

Marisa - Non, il ne me chouchoute pas, quand il doit me reprendre il le fait et comment! Aimes-tu notre évêque?

Père Pio - Si tous les prêtres et les moines étaient comme Don Claudio, l’Eglise serait sauvée. C’est pourquoi lorsque la petite Madone vient, elle demande toujours prières, privations, sacrifices et le jeûne. Pas toi, tu ne dois pas jeûner.

Marisa - Dois-je t’obéir aussi maintenant?

Père Pio - Bien sûr, si Dieu m’a envoyé c’est parce que tu dois m'obéir. Courage, mes chers frères et soeurs, courage. Vous savez que la Mère de l’Eucharistie est connue dans le monde entier. Des chapelles lui sont dédiées, des groupes de prière portent le nom "Mère de l’Eucharistie". Tous n'en mentionnent pas l’origine, même ici à Rome, car en le faisant ils inciteraient beaucoup de gens à venir dans ce lieu et alors la peur de perdre leur propre petit jardin les assaillerait. Le saviez-vous? Soyez heureux ainsi, vivez en état de grâce, approchez-vous des sacrements, faites tout ce que la petite Madone vous dit quand elle vous apporte la lettre de Dieu et vous serez heureux vous aussi.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Merci de votre présence. Mettez en pratique le message de Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ces deux anneaux devant marquer le début d'un chemin allant au mariage, à la sainteté, avec sincérité, loyauté et courage.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Ils sont partis.

Don Claudio - Tous?

Marisa - Oui, quand ils s'en vont, ils s'en vont tous. Père Pio a parlé et quand la Madone est arrivée et il s'est profondément incliné.

Rome, le 6 décembre 2001 - 20h35 (Lettre de Dieu)

Marisa - Etes-vous rangés par ordre de taille ou de grandeur?

Voici maintenant que tous les saints s'éloignent parce que la Madone entre, les yeux fixés sur Jésus.

La Madone - Oui, je désire tout de suite embrasser et bénir mon Fils. Merci, Marisella de l’idée que tu as eu de faire mettre, Jésus, Doux Maître, sur la croix épiscopale de Don Claudio; c’est une très belle pensée; cela veut dire que tu aimes ton époux.

Marisa - Oui, nous y avons déjà pensé, ne te fais pas de soucis.

La Madone - Je suis très heureuse de cette idée que vous avez eue. Mes chers enfants, merci de votre présence. Mon Cœur Immaculé est près de triompher, on parle dans le monde entier de la Mère de l’Eucharistie et de l’immaculée Conception, c’est toujours moi au fond. On me connaît dans le monde entier, il y a ceux qui m’apprécient et ceux qui ne m’apprécient pas par la faute de ceux qui se prennent pour Jésus sur la Terre. L'envie et la jalousie font obstacle à mon triomphe, mais mon Coeur est en train de triompher et il est plein de joie en voyant le nombre d'âmes qui invoquent la Mère de l’Eucharistie dans le monde. Même le Saint Père l’a invoquée au cours d'une audience générale; mais cette invocation a été malheureusement rayée des documents publiés par le Vatican, quoi qu’il en soit lorsqu’il prie seul, le Pape dit aussi: "Mère de l’Eucharistie, Mère de Jésus, notre Mère". Ces invocations font plaisir au Cœur de mon Fils et au mien. Oui, je triompherai dans le monde entier, c’est ce que Dieu a dit, je ne peux vous dire quand et comment, mais je triompherai. Vous subirez encore de grandes souffrances, mais je triompherai avec les âmes qui ont aimé mon Fils Jésus, qui ont aimé Jésus Eucharistie. Je triompherai au milieu des petits, des pauvres, des malades, au milieu de tous ceux qui ont aimé et n'ont pas seulement pensé à eux, mais ont donné leur propre vie pour les autres. Oui, on prie la Mère de l’Eucharistie et l’immaculée Conception dans le monde entier. Il est inutile de donner tant de noms à la Madone, c’est toujours moi. Je suis la Mère de Dieu, la Mère de l’Eucharistie, la Mère de Jésus mort pour tous.

Mon amour pour vous qui aimez Jésus Eucharistie est très grand, très fort. Il n'est pas difficile d’aimer, mes chers enfants, si vous avez Jésus dans votre coeur. Parlez lui, conversez avec lui, ne critiquez pas et ne soyez ni envieux ni jaloux des autres. Ceux qui font partie du groupe doivent tout donner, il y en a malheureusement encore qui ne donnent pas le maximum au prochain. Le prochain est parfois notamment le propre enfant ou le petit-fils. Ceci n'est pas de l’amour! Il est facile de venir écouter le catéchisme et toutes les belles paroles que dit votre évêque, mais il est difficile de les mettre en pratique. Vous devez aimer, surtout ceux qui vous sont proches. Quand vos enfants, petits-enfants et je dirais même aussi vos belles-filles sont malades, vous devez les aider. Quand je soignais mon époux bien-aimé Joseph, je n’avais pas besoin de faire appel aux femmes pour me faire aider, c'étaient elles qui venaient frapper à ma porte et me demandaient: "Marie, pouvons-nous t’aider?". Je disais oui, parce que c'était un geste de charité de leur part. Lorsque quelqu’un est malade, il ne doit pas appeler les autres pour se faire aider. Ceux qui sont en bonne santé, en particulier ceux qui ne travaillent pas et sont libres, doivent aller rendre visite à ceux qui sont malades pour voir s’ils n'ont pas besoin d’aide. Faites silence dans votre coeur, faites votre examen de conscience et demandez-vous: Comment est-ce que je me conduis ? Ai-je aidé dans les moments difficiles ceux qui en ont besoin?

Dire aimer la Madone, assister à la Messe, recevoir la Sainte Communion et ne pas pratiquer la charité ne sert à rien. J’aimerais tant vous inculquer la charité, l’amour envers ceux qui vous sont proches et ceux qui sont loin, parce que vous faites parfois plus pour ceux qui sont loin que pour ceux qui sont proches et cela croyez-moi, mes chers enfants, n'est pas bien; vous devez les aider tous, en particulier, les malades, les vieux, les enfants malades et prier pour eux. Ceux qui travaillent dans les hôpitaux savent fort bien comme il est triste et douloureux de voir souffrir tant de personnes et de les voir mourir parce qu’elles ne comprennent pas que mourir c’est vivre et que la mort est vie. Avez-vous vu? Vous vous êtes un peu plaints de l'horaire incommode et nous sommes presque arrivés à la fin de la neuvaine; ceux qui ont fait le sacrifice de venir seront bénis par Dieu.

Mes chers enfants, je vous aime trop pour ne pas vous dire ce que j’ai dit, du reste c’est Dieu qui parle, c’est Dieu qui écrit les lettres, c’est Dieu qui invite les hommes à aider ceux qui ne vont pas bien, avant tout vos êtres chers.

Merci. Faites demain soir la veillée, dernier jour de la neuvaine; la Maman ne viendra pas parce que votre soeur est en abstinence. Je viendrai pour la fête de l’immaculée Conception, j’espère que vous serez tous en état de grâce; que ceux qui ne le sont pas, fassent une bonne confession afin de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce, comme le sont ces petits enfants, ces adultes, ces personnes âgées, ces saints qui sont auprès de moi. Merci encore pour la croix épiscopale de Don Claudio sur laquelle se trouve Jésus Doux Maître. Merci.

Pardonnez à votre Maman de vous avoir adresser des reproches maternels parce qu’elle désire vous aider à vous corriger, autrement on ne fait pas partie d'une communauté. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Bonne participation à la Sainte Messe, bonne participation au catéchisme. Je vous implore: ne dormez pas et si le sommeil vous prend, laissez-vous aller dans les bras de mon Fils Jésus.

Marisa - Adieu. O.K., adieu.

Rome, le 8 décembre 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme ils sont nombreux à descendre du Paradis pour nous petit troupeau. Ils sont tous là pour les grandes fêtes. Il y a la Sainte Trinité, la Mère de l’Eucharistie et l’immaculée Conception, deux Madones! Elles se ressemblent énormément, mais la Mère de l’Eucharistie tient l’Eucharistie dans ses mains. Il y a beaucoup de saints et beaucoup d'âmes sauvées.

Comment allez-vous quand vous venez sur la Terre? Nous ne nous sentons pas bien à cause de la guerre et de toutes les méchancetés qui se passent dans le monde. Je ne sais pas lequel d’entre vous a la lettre de Dieu. Je veux vous recommander tous les malades et tous ceux qui souffrent aujourd'hui pour diverses raisons.

Jésus - C’est moi, Jésus, qui apporte la lettre de Dieu le Père et de Dieu le Saint Esprit qui sont à côté de moi; C’est Moi, Dieu le Fils, qui ai la lettre.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui une grande fête au Paradis et j’aimerais qu’il en soit de même sur la Terre. Ne vous contentez pas de participer seulement de tout votre cœur à la Sainte Messe, mais répandez des Je vous salue Marie ici et là le long de votre chemin; il faut des prières parce que cette maudite guerre se poursuit et que les grandes leaders ne se soucient pas de ceux qui meurent. Mes deux enfants, qui ont été envoyés en bilocation là où la guerre sévit, ont vu beaucoup de morts, beaucoup de misère, beaucoup d’enfants meurtris, de corps brisés et éparpillés sur la terre. Les soldats, prêts au combat, marchent sur ce tapis de morts. C’est pourquoi je vous demande: répandez partout vos prières et récitez la courte prière fervente: "Cœur Eucharistique de Jésus, Tu sais, Tu peux, Tu vois, pourvois à nos besoins et aide nous de ta grâce".

Regardez votre montre, il faut peu, si peu de temps pour dire ces prières que vous pouvez réciter également en vous promenant, en vous divertissant, lors d'une rencontre avec des amis ou lorsque vous êtes seuls. Invoquez Marie. Je dis: "Invoquez Marie pour arriver à Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi, Dieu le Fils". Marie dit: "Invoquez mon Fils Jésus pour m’atteindre". Pendant votre trajet, en particulier si vous devez aller loin, priez et parlez de la Mère de l’Eucharistie. Certains d’entre vous n’auront pas oublié quand mes deux enfants épuisés et déchirés, partirent à la rencontre de cinq cents personnes dans une ville de la province de Gênes et y donnèrent beaucoup d’eux-mêmes. De ces cinq cents personnes, peu sont restées, beaucoup ont trahi, en particulier celle choisie comme présidente par la Madone. Vous vous demandez si la Madone se trompe ? Non, elle fait toujours confiance et peut même faire appel à un grand pécheur pour une tâche particulière, afin qu’il se convertisse sous sa caresse maternelle. Elle a appelé une personne qui semblait sincère, courageuse et forte aux yeux de tous, mais elle s'est révélée être tout le contraire. Dans combien de lieux se sont rendus mes deux petits enfants? Combien de gens ont-ils rencontrés? Combien de ces personnes sont venues ensuite dans ce lieu thaumaturgique? Deux, trois, dix au plus; ceci nous fait souffrir, parce que Nous du Paradis nous avons aidé, sauvé beaucoup de malades et guéri des personnes qui ne faisaient même pas partie de ce groupe. Au contraire, ceux qui appartiennent à ce petit groupe et sont malades, ne sont pas guéris, mais Jésus leur donne la force d’endurer leurs souffrances, la calomnie et la diffamation afin de sauver beaucoup d'âmes.

Mais je ne veux pas vous attrister; fêtez Marie, la Mère de l’Eucharistie, fêtez l’immaculée Conception, c’est toujours elle, la même Madone, ma maman.

Mes vœux à tous.

La Madone - Oui, je suis votre Madone, je suis la Mère de l’Eucharistie, je suis l’immaculée Conception. Il est un peu difficile d’expliquer ce qui se passe, il semble que nous soyons deux à parler, mais c’est toujours une Madone qui parle, toujours moi l’unique, la Mère du Christ, la Mère de l’Eucharistie.

Mes chers enfants mettez en pratique ce que Jésus vous a dit, semez vos prières, Je vous salue Marie et oraisons jaculatoires où que vous soyez. Priez pour ces âmes qui ont beaucoup reçu mais n'ont rien donné à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes vœux à tous. J’aimerais expliquer quelque chose au sujet de mes cheveux. Votre Evêque vous racontera ce que lui et Marisa ont vécu, d’abord hors de Rome puis dans Rome. Il s’agit de ma seule relique sur la Terre. Personne ne possède une relique de moi, personne ne possède un de mes cheveux. C’est un cheveu joint a celui de Joseph et de l'enfant Jésus. Quelqu’un s'est emparé du premier cheveu, le démon peut-être, mais je ne peux en dire plus, Votre évêque vous expliquera.

Merci de votre présence, merci des chants des enfants qui ont glorifié Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Tous mes vœux et remerciements à ceux qui sont venus de loin.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 13 décembre 2001 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. La guerre continue, les hommes se détruisent et les puissants s'enrichissent. La guerre se poursuit aussi entre les cardinaux et les évêques, comme je vous l’ai dit dans d’autres messages et comme je l’ai prédit à Fatima. Cette guerre a commencé entre eux il y a un certain temps; ils cherchent à le cacher mais ils ne le peuvent pas. Ils essayent même de mettre en croix celui qui commande dans le monde entier mais sans y parvenir pour l’instant. Tout ce qui arrivera est présent dans l'esprit de Dieu et ce n'est pas beau. Quand j’en ai parlé il y a quelques années, vous n’avez pas tous compris que les cardinaux se battraient contre les cardinaux et les évêques contre les évêques, mais ils s'en prennent maintenant même au pape. Pour empêcher l'éclatement de luttes furibondes, lourdes insultes et courses exténuantes au pouvoir et à l’argent entre les ecclésiastiques, il faudrait pratiquer la correction fraternelle à leurs égards.

Votre évêque a été harcelé et continue de l'être. Don Claudio est l'évêque le plus proche du Saint Père. Ils prennent maintenant aussi le pape pour cible. Les riches et puissants francs-maçons se sont emparés des radios catholiques, ils encerclent tout Medjugorje et sont prêts à se battre, mais pour défendre qui? Les faibles et les pauvres? Non. Pour se défendre eux-mêmes et s'enrichir. Après avoir calomnié les innocents et les honnêtes, ils récitent le saint Rosaire, célèbrent la Sainte Messe et font le catéchisme. Les radios catholiques doivent être écoutées pour recevoir des biens spirituels et non pour écouter des discussions entre des prêtres disant du mal les uns des autres. A qui sert de prier à l’aide de la radio ? Peut-être aux personnes malades et seules, contraintes de rester alitées et qui écoutent la radio pour avoir un peu d’aide et de compagnie, mais cela est inutile à ceux qui travaillent à la radio et la dirigent. Ceux-ci savent fort bien qu’il est inutile de prier après avoir calomnié et diffamé. La prière est donc valable pour les pauvres, les malades, les simples et les humbles, mais pas pour les vaniteux et les puissants. Vous vous rendez compte que tout s’aggrave peu à peu et que ceux qui ne font pas partie de la franc-maçonnerie ont deux possibilités, se taire ou mourir. C’est notre grande souffrance lorsque nous venons sur la Terre.

Quand je vois du Paradis tout ce qu’il y a d’affreux et d'horrible dans le monde, il me vient souvent à l'esprit la phrase que je vous ai déjà dite: "Dieu a créé l'homme à son image, à sa ressemblance, mais qu’est l'homme aujourd'hui?". Que chacun de vous fasse son examen de conscience et vive en paix.

Mais malheur à ceux qui disent du mal du frère, qui cherchent à détruire ce que Dieu a créé et qui ont reçu des dons de Dieu. Ces dons ont été donnés pour le bien commun et non pour ceux qui les ont reçus. Bon nombre d'hommes d'église sont envieux de ceux qui ont reçu des dons du Seigneur et ne tiennent pas compte de leurs souffrances pour avoir dit oui à Dieu.

Est-ce que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, l'évêque et tous les hommes de la Terre qui aiment Dieu ont échoué ? Non. Est-ce que ces gens croient à la vie éternelle et au Paradis ? Le Saint Père a canonisé beaucoup de saints, mais aucun homme de la Terre ne peut connaître leur degré de sainteté. Seul Dieu le connaît, comme seul Dieu peut déclarer saints des personnes vivant encore sur la Terre.

Les hommes d’eglise calomnient, diffament et dépensent beaucoup d’argent pour s'opposer à celui déclaré saint par Dieu et vivant encore sur la Terre. Parfois un grand Saint selon Dieu n'est pas canonisé par les hommes, parce que ses enfants et ceux qui lui sont dévoués manquent d’argent pour faire avancer les procès de canonisation et de béatification. Tu me comprends, Excellence. Tu sais ce que je veux dire.

La neuvaine du saint Noël commencera dans peu de temps, faites la selon ces intentions: pour les hommes bons, pour ceux qui aiment vraiment mon Fils Jésus, pour la paix; il n'y a pas de paix dans le monde, seulement de la haine.

Faites des privations, des sacrifices et le jeûne pendant la neuvaine. Je serais heureuse si ceux qui le peuvent, jeûnaient demain pour la paix, en union avec le Saint Père.

Mes chers enfants, avant quand je venais, je vous apportais de bonnes nouvelles, mais maintenant quand je viens, votre sœur n'est pas heureuse, elle est triste parce que je vous apporte des nouvelles qui ne sont pas bonnes, pas belles, qui font souffrir les cœurs de ceux qui sont bons. Personne n'est parfait, vous avez tous des défauts, mais vous aimez mon Fils Jésus: continuez à l’aimer en dépit de tout. Je vous encourage à vous battre pour la vraie paix, la paix faite avec honnêteté, simplicité, amour, pas la paix voulue par les grands hommes. Aimer est tout.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je suis triste parce que la situation devient toujours plus critique.

Rome, le 30 décembre 2001 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. L'enfant Jésus est dans les bras de votre sœur qui le serre contre son cœur. J’aimerais que vous aussi vous serriez le Dieu Homme contre votre cœur quand vous recevez l’Eucharistie. L"Eucharistie" est un nom grand et sublime, qui embrasse beaucoup de choses. Si les hommes l’aimaient, tout serait plus facile; mais qui la connaît ? Qui connaît réellement l’Eucharistie? Pas même les prêtres. Beaucoup ne disent la Sainte Messe que par devoir, par habitude et en fonction du nombre de fidèles. Ils ne la célèbrent solennellement, en portant les ornements sacrés qu’en présence d'un grand nombre de personnes, mais leur coeur laisse beaucoup à désirer.

Dans ce lieu au contraire, votre évêque se comporte toujours de la même manière, qu’il y ait peu ou beaucoup de monde. Il parle bien dans chaque cas et cela surprend beaucoup mon Fils Jésus. Si l'église est vide, votre évêque en souffre, mais il parle, fait le catéchisme, la rencontre biblique, explique le Saint Evangile; c’est alors le Christ qui parle et il ne regarde pas s’il y a peu ou beaucoup de monde. Bon nombre de grands prélats au contraire, ne parlent pas lorsqu’ils sont entourés de peu de personnes, ils célèbrent même parfois la Sainte Messe en un quart d'heure. Comment une Messe peut-elle être si courte? Déjà la consécration, la communion et l’action de grâce devraient durer un quart d'heure et au lieu de cela la Messe est célébrée en 15, 20 minutes parce qu’il n'y a pas foule, parce qu’il n'y a pas beaucoup de monde. Vous au contraire, vous cherchez à assister à la Messe sans vous presser, sans penser à votre travail, à vos études, à la maison, vous pensez seulement à vivre la consécration et à recevoir Jésus en état de grâce. Votre évêque fait réciter toutes les prières après la Sainte Communion afin de prolonger le temps d’action de grâce, ceci est bien; il ne s'enfuit pas, la Messe terminée, il ne donne pas la bénédiction puis sort rapidement de l'église pour aller retirer ses ornements, mais reste dans l'église et chante et prie avec vous; ceci veut dire aimer Jésus.

C’est aujourd'hui le dernier dimanche d'une année qui s'est avérée difficile pour tous les hommes de la Terre, bons et moins bons. Je ne désire pas employer le mot "méchants" mais beaucoup continuent à tuer et à s'entretuer, car ceux qui gagnent peuvent obtenir plus de pouvoir et d’argent. Les hommes d'église et d'état assument de grandes responsabilités. Vous vous demandez: est-ce que ce sont toujours les hommes d'église et les puissants qui ne font pas leur propre devoir? Mais que peuvent faire les humbles, les simples et les pauvres? Que peuvent faire les enfants? Ils peuvent jouer, crier et chanter; ceux qui sont âgés peuvent prier. Et vous? A vous je demande prières, sacrifices, jeûne pour ceux qui le peuvent, et de petites privations. C’est si beau d'être toujours uni à Mon Fils Jésus, même en accomplissant les travaux domestiques et en travaillant. Où que vous soyez, restez unis à lui, serrez le sur votre coeur comme si vous embrassiez vos propres enfants quand ils sont petits et avancez.

Remerciez Dieu, malgré beaucoup de souffrances, pour cette année qui s’achève. Je vous souhaite que la nouvelle soit meilleure que celle-ci qui aurait dû être belle. Je vous souhaite une année de sainteté, non seulement à vous qui avez continué avec la souffrance à suivre le Christ, mais à tous. Vous devez cultiver la bienveillance, la patience, la charité et l’amour réciproque; comme il serait beau d’aimer sans regarder comment se comporte et agit le prochain! Si vous notez quelque chose qui ne va pas, priez ou dites-le à l’intéressé, mais avec charité, patience et beaucoup d’amour.

J’adresse tous mes vœux à tous ceux qui sont en vacances, aux jeunes et aux enfants qui sont loin. Le jour de l’Epiphanie je serai ici avec mes deux enfants. L'évêque a dit qu’il ne serait absent que le jour de l’an, mais le 6 janvier, jour de la fête de l’Epiphanie, je serai ici et mes deux enfants aussi, je vous y attends donc vous aussi. Essayez de comprendre que lorsqu’on vous parle, vous devez prêter attention.

Je souhaite à tous une année de sainteté, même à ceux qui probablement vous quitteront et iront rejoindre le Père, s’ils meurent en état de grâce. Certains ne partiront pas encore cette année afin de souffrir, de sauver ceux qui ne se conduisent pas bien et continueront à prier pour tous: du pape au plus petit homme de la Terre. Je dis à ceux qui vous quitteront, qu’ils ont de la chance car ils iront faire un très beau voyage.

Ensemble avec mon et votre évêque, je bénis avant tout les malades et ceux qui vous quitteront cette année. Je bénis les enfants; je bénis mon évêque et je désire qu’il me bénisse parce qu’il est prêtre et je ne le suis pas. Marisella, tu sais que ta vocation n'est pas un sacrement mais soutient le sacrement; moi aussi, j’ai soutenu mon Fils Jésus, le Prêtre éternel, le grand Prêtre.

Je bénis vos objets sacrés. Je vous souhaite à nouveau une bonne année de sainteté et vous serre tous sur mon coeur comme votre soeur serre l'enfant Jésus.

Marisa - Tu le veux?

La Madone - C’est mon enfant, je le veux.

Marisa - Il a grandi un peu.

La Madone - Je vous couvre de mon manteau maternel. L’Enfant Jésus vous bénit aussi.

Merci! L’Evêque vous a tous bénis, mais avant tout il m’a bénie avec l'enfant serré sur mon coeur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Souvenez-vous mes enfants, que par l’intermédiaire de votre site Internet, ces lettres que je vous apporte vont dans chaque coin de la Terre. Moi aussi j’apprends à m'exprimer en fonction de vos temps.

Messages de Janvier 2002

Rome, le 5 janvier 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te vois enfin! Merci d'être venue me voir en ce moment si difficile.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vous répète chaque fois que le premier samedi du mois est très important, parce que mes apparitions en ce lieu ont commencé ce jour là, mais malgré cela, seul un petit nombre d’entre vous sont présents. Ne vous découragez pas, car quelqu’un souffre et offre ses souffrances pour vous tous ici présents, car vous le méritez.

La nouvelle année vient à peine de commencer et vous devriez être plein d’amour et de paix, mais la paix ne règne pas encore malheureusement; c’est pourquoi je vous demande de continuer à prier. Je suis venue pour vous pour prier avec vous et vous dire combien je vous aime et combien je désire être avec vous et écouter vos prières. Votre soeur ne va pas bien et je suis près d’elle pour l’aider. Vous devez prier pour l’aider, car vivre la passion est très dur. Les souffrances sont très fortes et elle ne peut les supporter seule, la pauvre. Vous pouvez vous agenouiller et prier le Dieu Tout-puissant de lui venir en aide, comme je le fais. Aimez, aimez-vous les uns les autres, ne vous repliez pas sur vous-mêmes et soyez humbles et simples. Votre sœur vous en donne l'exemple; sans ces vertus, vous ne pouvez avancer dans la vie spirituelle, vers la sainteté. Je vous ai adressé mes voeux de sainteté à Noël et je le répète aujourd'hui: tous mes voeux de sainteté à tous. Vous êtes trop pris par les choses terrestres, vous les mettez en premier et Dieu après. Il y a quelque temps, je vous ai demandé dans un message, combien de temps vous consacriez à Dieu dans la journée et combien aux choses terrestres? Vous avez constaté que vous donniez peu à Dieu. Quand vous avez besoin d'une chose matérielle, vous êtes prêts à faire des sacrifices. Si je vous dis ceci, c’est pour vous aider à vous corriger et vous amener tous à la sainteté. Vous devez tous courir vers le Père et rivaliser à qui donnera le plus à Dieu. Il vous demande la sainteté, la pureté du coeur, l'humilité et la simplicité. Dans beaucoup d’autres lieux, les hommes ne prient pas, ne sont pas humbles et mes enfants de prédilection n'ont pas le courage de dire quoi que ce soit, même en face de choses qui ne sont bas belles: ceci n'est pas le chemin conduisant à la sainteté.

Courage! Je vous veux saints! C’est ce que dit Jésus Eucharistie et c’est ce que dit votre évêque, ordonné par Dieu, l'évêque de l’Eucharistie. Je vous veux saints! Rivalisez tous, grands et petits, pour arriver à la sainteté; pas les petits comme Jacopo, Samuele, Emanuele, mais les petits en esprit, humbles et simples comme votre sœur qui vous donne tant de témoignage. Elle semble être dure parfois, mais elle est sincère et loyale envers tous. Elle possède ce grand amour que Dieu désire dans tous les hommes, mais que tous n'ont pas malheureusement.

Je dois maintenant vous laisser, car je dois rester auprès de votre sœur qui souffre énormément, pour l’aider. Mettez en pratique ce que je vous ai dit, car je suis venue pour vous, pour vous aider.

Marisa - Comme tu es belle! Comme tu es belle!

La Madone - Je vous ai dit bien des fois que je suis belle parce que l'âme est belle. Tout homme est beau, s’il reflète la beauté de son âme.

Je vous remercie d'être venus pour le premier samedi du mois, très négligé car incompris. Certains ne comprennent pas quand l'évêque parle.

Je vous laisse dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

N'oubliez pas que je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Tous mes voeux à grand-mère Iolanda, qui repose sur un lit de douleur, comme Marisella, mais elle souffre bien plus encore. j’envoie un baiser aux enfants et je vous répète: soyez plus forts, aimez vous encore plus et Dieu sera content.

Je vous bénis avec l'évêque.

Loué, soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Restes-tu avec moi? Je n'y arrive pas toute seule. Adieu, adieu.

Rome, le 6 janvier 2002 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, avez-vous offert des cadeaux à l’Epiphanie (tradition de la Befana) à l’Enfant Jésus? Je vous ai apporté beaucoup de lettres de Dieu; les avez-vous mises en pratique ou les avez-vous oubliées? Si je vous dis ceci, c’est parce que je vous aime et vous le savez; si je ne vous aimais pas, je ne serais pas ici à vous parler et à vous apporter les lettres de Dieu.

Les fêtes de Noël s’achèvent, il reste encore l’octave de l’Epiphanie, mais pour vous qui recevez Jésus Eucharistie tous les jours, ce doit être Noël, en dépit des soucis, des douleurs physiques et morales et des maladies. Vous devez essayer d'être toujours sereins, car pour celui qui reçoit Jésus, c’est toujours Noël, mais recevez-le toujours en état de grâce. Ne le recevez pas, si vous n’avez pas le coeur propre, saint et vous vous rendrez compte comme le chemin que je vous ai indiqué vers la sainteté deviendra plus facile.

Marisella, je sais que tu ne respires pas bien, mais ne te fais pas de soucis, c’est une douleur...

La Maman n’a rien d’autre à vous dire. Mettez en pratique tout ce que je vous ai dit. Relisez les messages, ceux qui vous frappent le plus et dont vous avez l’impression qu’ils sont directement pour vous et ne pensez pas à autre chose. Aidez le frère avec charité et amour. Dans la vie spirituelle, on ne doit jamais se sentir arrivé, tant que l’on vit sur cette planète Terre. Je vous veux saints! Si vous êtes saints, celui près de vous peut vous regarder et dire: "Qui ai-je près de moi? Une personne sainte!". Les saints peuvent aider les autres à devenir saints, c’est ainsi que le cercle s'élargit peu à peu et s’agrandit toujours plus. Dieu vous a choisis, Dieu a choisi ce lieu, votre évêque qu’il a ordonné; pour ceux qui n'y croient pas, tant pis pour eux. Malheur, malheur à ceux qui calomnient et diffament mon évêque, malheur à eux! Dieu peut faire ce qu’il veut, avec qui il veut et quand il le veut. Dieu peut choisir l'homme le plus misérable de la Terre et l’ordonner évêque et personne ne peut rien y trouver à redire parce que Dieu a créé le monde et peut faire tout ce qu’il veut.

N'oubliez pas: apprenez à aimer, puis priez. Que votre amour soit grand, écrit en lettres majuscules. Je vous demande l’amour vrai, l’amour sincère, je ne vous demande pas autre chose: c’est le chemin vers la sainteté.

Je bénis ces anneaux et ceux qui se font la promesse de mariage.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, les personnes âgées et la grand-mère malade. Grand-mère Iolanda, merci, merci, merci de la part de tout le paradis.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez en paix et croyez jusqu’au bout dans Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Je t’en prie, aide moi parce que je reste maintenant seule sur la Terre. Adieu.

Ils sont partis.

Rome, le 10 janvier 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est la première rencontre biblique de l’année nouvelle; je recommande que cette rencontre soit le début d'une nouvelle vie. Vous naissez de nouveau aujourd'hui avec Jésus, les anges et les saints. Pensez que lorsque vous recevez Jésus, vous avez la Trinité en vous: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Quelle plus grande joie, quelle plus grande grâce pouvait vous faire Dieu? Bienheureux vous!

Mais malheur à ceux qui reçoivent mon Fils Jésus alors qu’ils ne sont pas en état de grâce, malheur à eux! Il vaudrait mieux pour eux qu’ils se retirent.

Malheur à celui qui fait souffrir mes enfants!

Je dois également vous dire que vos prières ont conduit à la victoire mon fils de prédilection, mon évêque, votre évêque. Priez, mes chers enfants.

Vous avez beaucoup de lettres à consulter, à relire et à méditer. Dieu ne pouvait vous dire autre chose que de vous adresser ses vœux pour quand vous recevez Jésus et avez la Trinité en vous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Quand pourrai-je parler? Adieu.

Rome, le 13 janvier 2002 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, participez aujourd'hui à la Messe de remerciement pour la victoire remportée par votre évêque; c’est une victoire grandiose qui embrasse toute l’Eglise. Beaucoup ont en eu connaissance, d’autres pas. Vous devez toujours vous réjouir de cette victoire; vous ne devez plus chanceler, ne pas regarder comment se comporte votre frère, s’il rit ou s’il pleure, car cette victoire est également le fruit de vos mérites; elle doit vous procurer tous les jours de la joie.

Qu’est-ce que la Maman a encore à vous dire? Vous avez tout reçu et aucun voyant de la Terre n’a reçu autant de messages que ceux que vous avez entendus. C’est pourquoi je vous ai dit jeudi: "Relisez et méditez les messages", et j'y ajoute aujourd'hui: "Mettez-les en pratique". Il n'est pas difficile de les mettre en pratique, il suffit de les lire calmement et d’en méditer deux ou trois lignes; vous verrez comme tout deviendra facile et sera utile pour vous conduire à la sainteté. Je ne m’attarde pas davantage.

Jésus entre en ce moment dans les eaux du Jourdain pour se faire baptiser par Jean, une colombe descend sur lui et une voix proclame: "Celui-ci est mon Fils Bien-aimé, écoutez-le!". Jésus triomphe comme toujours; il a triomphé dans le saint baptême et a triomphé avec la mort, parce que sa mort a conduit beaucoup d'hommes à la vie et à la résurrection. Que puis-je vous dire encore, sinon de vous réjouir de cette victoire remportée avec tant de sacrifices, de petites privations et de souffrances? Bien sûr, le démon continuera ses tentations et quelques hommes de l’Eglise continueront à vous fustiger parce que la dernière attaque de satan n'est pas encore arrivée, à moins que vos prières, adorations, jeûnes et privations ne puissent contribuer à l'éviter. Pourquoi Dieu vous demande-t-il tout cela? Pour vous conduire à la sainteté, parce qu’il vous aime démesurément et vous êtes tous ses enfants; même ceux qui ne sont pas bons, même ceux qui se trouvent aux plus hauts postes de l’Eglise et ne sont pas bons, sont ses enfants. Dieu les aime tous et espère jusqu'à la fin la conversion des hommes. Je vous laisse, mes chers enfants et j’aimerais que vous ressentiez profondément cette victoire. Vous savez que la pierre de cette victoire est votre évêque et je veux y ajouter, et votre soeur également qui a demandé à souffrir dans le silence et en secret. Je vous invite à faire une Messe solennelle et à la vivre du mieux que vous le pouvez. Chacun combat avec ses propres soldats et vous chantez avec ceux ici présents.

Tous mes voeux au grand évêque, tous mes voeux à toi, ma fille, à vous tous ici présents; la Madone vous remercie. Quelqu’un continue encore à prier et à souffrir pour vous. Croyez-moi, nous en avons besoin.

Marisa - Mon papa est là! Tous mes voeux, papa, je me souviens que c’est ton anniversaire aujourd'hui et je veux t’adresser tous mes vœux. J’ai pensé hier à Giuseppe et je lui ai également adressé mes voeux.

Petite Madone, je chercherai à faire tout ce que tu dis, dans les limites du possible, mais donne-moi un peu de soulagement, car ce n'est pas la maison du soulagement mais celle de la souffrance.

Padre Pio rit!

Padre Pio - Je ris, ma fille, de ton mot.

Marisa - Merci. Adieu, papa. Je te donne beaucoup de baisers, comme je ne t’en ai pas donnés sur la Terre. Adieu à tous, à toutes les âmes présentes.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les malades, les enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Tous mes voeux à Jésus qui a été baptisé aujourd'hui.

Marisa - Adieu. Adieu, papa, la maman te salue. Oui, tu as ici tes petits-enfants et arrière-petits-enfants. Il ne parle pas!

L’Evêque - Mais tu le vois.

Marisa - Son visage était très détendu.

L’Evêque - s’ils n'ont pas le visage détendu, qui veux-tu qu’il l’ait?

Rome, le 17 janvier 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Sois tranquille, ce n'est pas toi qui me préoccupes mais d’autres personnes haut placées.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Beaucoup d’adultes et de jeunes sont absents pour divers motifs et à cause de la grippe qui sévit sur la Terre. Je vous ai annoncé la victoire il y a 8 jours, mais tous ne l’ont pas comprise. Je compte que Son Excellence explique avec des mots simples en quoi consiste cette victoire remportée par lui en premier et par vous tous qui le suivez. L’Evêque n'ose pas dire qu’il est le roc de l’Eglise. Il en est la pierre parce qu’il s'est battu pendant bien des années et a toujours été seul à lutter, à défendre la vérité et l’Eucharistie, en particulier quand il l’a apportée à des personnes très haut placées qui l’ont tournée en ridicule au lieu de l'examiner. La victoire a été remportée précisément par son courage et sa force. Vous devez être reconnaissants à votre évêque, car il a beaucoup fait pour chacun de vous: grands et petits. L'évêque est le roc et vous êtes les petites roches.

Mes chers enfants, cela fait huit jours aujourd'hui que Dieu a voulu vous donner la bonne nouvelle et il vous en donnera encore d’autres, mais vous devez continuer à prier, faire des sacrifices et jeûner en union avec Jésus Eucharistie, formez tous une grande union et priez. Ne vous enorgueillez pas, que la joie soit en vous, car vous le méritez, mais restez toujours simples et humbles, je parle d’ailleurs à une créature très humble et simple; votre soeur souffre énormément, vous le savez, mais elle ne veut pas que l’on parle d’elle et elle a en partie raison. Comme l’a dit votre évêque, quand le soleil brille dans le ciel, c’est-à-dire Jésus, la lune, c’est-à-dire moi, s'éclipse; il en est également ainsi pour votre sœur, quand l'évêque est présent, elle veut disparaître. Vous ne savez pas qu’elle veut s'éclipser même avec vous tous, parce qu’elle veut vivre cachée, dans l'humilité et la simplicité. Voilà, j’aimerais que vous agissiez tous ainsi.

Oui, Emanuele chante: "La, la, la...", c’est un chant de joie pour Jésus Christ, pour le pain eucharistique qu’il a donné à tous. Défendez toujours l’Eucharistie, défendez toujours la vérité, n’ayez peur de rien, personne ne peut vous faire quoi que ce soit et puis pensez au paradis.

Je ne m’attarde pas davantage parce que je vois que votre soeur est très fatiguée, la journée a été très dure, riche en souffrances aujourd'hui. Ce que Dieu a dit vous suffit, c’est très important: tout ce qu’il dit est très important, mettez le en pratique. Puis un jour, quand vous serez tous guéris de la grippe, vous ferez une grande fête pour la victoire remportée. Je vois en ce moment les nombreux malades et je les bénis.

Merci, merci à tous. Ensemble avec mon et votre évêque, le roc, je vous bénis, vos êtres chers et les enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

(Marisa s’adresse à ceux présents dans la chapelle)

Je suis Marisa. Excusez moi si aujourd'hui encore je ne suis pas parmi vous, mais la souffrance m'en empêche. Je suis toujours seule, mais croyez-moi, je vous aime et prie pour chacun de vous. Merci et bonne veillée de prière à tous.

Rome, le 20 janvier 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vois que la grippe a frappé les jeunes en majeure partie auxquels j’envoie ma bénédiction. Ils sont malades malheureusement à cause de la grippe.

Marisa - Ecoutes, tu vas partout, sais-tu si la grippe est arrivée aussi dans d’autres pays ? La grippe asiatique est passée ici, la grippe japonaise, d'où vient la grippe actuelle ?

La Madone - Tu as réussi à me faire sourire, Marisella! Tu as vu cette nuit comme la situation est difficile et grave en Argentine?

Mes chers enfants, ce qu’a dit l'évêque est très important, cherchez à le comprendre et à le mettre en pratique. Vous vous êtes rendus compte par vous-mêmes comme il est difficile d’avancer lorsque l’orgueil, la vanité, le manque de sincérité et le mensonge règnent. Tout est plus beau avec la pureté, la simplicité et la sincérité. Eliminez l’orgueil et la vanité qui sont la ruine de tout et surtout de la vie spirituelle. La victoire remportée est très grande et j’espère que vous comprendrez aujourd'hui en quoi consiste la victoire de l'évêque, de la voyante et la vôtre, car vous y avez également participé avec la prière, l’adoration, le sacrifice, le jeûne. Vous ne devez pas vous arrêter, mais continuer à avancer.

Jean Baptiste, ceci est un passage de sa vie, savait fort bien qu’il y aurait quelqu’un de plus grand que lui. Jusqu'à la venue de Jésus, il a continué à avancer, à baptiser et à parler du Sauveur, l'homme qui devait être le plus grand du monde. Vous aussi, vous savez tout ce qui doit arriver, mais vous ne devez pas vous arrêter. Même si la grande victoire est arrivée, la victoire du Pape et des prêtres fait encore défaut; vous devez donc continuer à prier et à faire l’adoration du Saint Sacrement. Je vois que quelques femmes viennent souvent prier, cela est plus difficile pour les jeunes parce qu’ils travaillent. Vous ne devez pas les juger, car vous ne savez pas si quelques uns d’entre eux ne cherchent pas à faire l’adoration à la maison, en particulier maintenant qu’ils sont malades. En tant que maman, je vous demande d’aider mes jeunes ou ex-jeunes, comme dit l'évêque. Aidez-les à marcher, à suivre cette route si belle, si pure et si saine. Vous devez vous sentir maman de tous ces jeunes qui cherchent par tous les moyens à aider l'évêque, à travailler pour la communauté. Mes chers enfants, l’amour de Dieu est si grand qu’il embrasse tous les hommes de la Terre, même ceux qui ne l’aiment pas, ceux qui ne croient pas. Dieu aime tous les hommes, j’aime tous les hommes. Vous aussi, vous devez les aimer tous et surtout exercer la charité envers autrui. Vous ne devez pas être uniquement charitables envers ceux qui vous sont sympathiques ou envers l'évêque et la voyante. Non, la charité doit être exercée envers tous, spécialement envers les malades. Les malades ne doivent pas rester seuls, mais être suivis et aidés; cela je l’attends de vous. Quelqu’un aurait très bien pu rester aujourd'hui à la maison avec les malades, puis aller à la messe à côté de chez lui: ceci est charité. Vous savez combien la Maman aime les malades, vous aussi vous devez les aimer.

Même le petit Emanuele, le pauvre, a de la fièvre. La grippe l’a également touché ainsi qu’un autre qui n'est jamais seul lorsqu’il est malade. C’est ainsi que vous devez agir. Si vous n'êtes charitables qu’envers ceux que vous aimez ou estimez, vous commettez une erreur car la charité doit être exercée envers tous les hommes. Je répèterai ce message de charité aussi longtemps que votre soeur vivra, mais on n’a pas encore compris ce que signifie être charitable envers tous, en particulier envers les malades.

Pendant que vous attendez que commence la Sainte Messe, faites un examen de conscience et demandez-vous: "ai-je été charitable envers mes frères, envers tous?", si vous avez manqué de charité envers votre prochain, réparez avec amour, douceur et charité.

Petit Emanuele, la Maman t’adresse tous ses voeux; c’est demain ton premier anniversaire; ta tante aussi était malade lors de son premier anniversaire, elle avait la grippe. La Maman te serre dans ses bras et t’embrasse. Je viendrai demain et serai avec toi, petite fleur, née sur cette Terre souillée par tant de personnes qui ne sont pas bonnes.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les malades; vous êtes-vous rendus compte qu’il manque beaucoup de jeunes? Je bénis les enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Elle est partie.

Rome, le 24 janvier 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Le mariage est un sacrement, mais se donner complètement à Dieu est aussi très beau et très important. Vous n’avez pas fait la connaissance de beaucoup de voyants; malheureusement parmi les derniers, aucun ne s'est totalement consacré à Dieu et cela me fait souffrir ainsi que mon Fils Jésus. Quand Dieu appelle une âme et lui fait un grand don, il désire qu’elle se consacre à lui. Il n'est pas dit que tous doivent se consacrer à Dieu ou se marier, mais pourquoi aucun voyant ne s'est-il consacré à Dieu ces derniers temps? Tous cherchent le mariage, mais que donnent-ils à Dieu? Il est beau de donner des enfants à Dieu, mais c’est un plus grand geste de lui donner sa propre âme et de se consacrer à lui. Beaucoup de personnes disent me voir, même si ce n'est pas vrai, afin d'obtenir argent et pouvoir. Elles marchent tranquillement et joyeusement, car elles peuvent se procurer tout ce qui leur rend la vie facile.

Ma Fille, tu as tout donné à Dieu et comme tu le vois, tu n’as besoin de rien; Dieu t’aime et tu dois lui rendre son grand amour. Vous êtes-vous jamais demandés pourquoi beaucoup de personnes disent posséder le don de bilocation, de vision ou d’autres dons et renoncent lorsqu’elles doivent se donner complètement à Dieu? Est-ce difficile de se consacrer à Dieu? Je ne le crois pas. Essayez de me comprendre: le mariage est un sacrement, mais ceux qui sont appelés par Dieu et en ont reçu un don, doivent se donner totalement à lui. C’est si beau de le faire! Je me suis mariée et j’ai eu un enfant, mais j'étais toute à Dieu et ce qui s'est opéré en moi a été son oeuvre. Il a voulu que je devienne sa mère. Pourquoi ceux qui disent être voyants refusent-ils de se donner au Seigneur? Mes chers enfants, voyez-vous comme il est difficile de marcher sur cette route droite, sur la route de la sainteté? Il est bien difficile de comprendre ce que Dieu veut, mais quand vous faites sa volonté, tout devient plus facile plus beau et vous éprouvez une plus grande satisfaction. Les saints ne sont pas seulement ceux qui meurent, vont au paradis et sont canonisés, ce sont ceux qui ont toujours fait la volonté de Dieu.

Ils ont parlé aujourd'hui de paix et de justice, mais que signifient paix et justice? Les grands érudits disent tant de choses, font tant de beaux discours, rivalisent à qui sera le plus éloquent, mais l’amour fait défaut. C’est l’amour envers Jésus Eucharistie et envers tous que je veux. Dieu n’aime pas seulement les chrétiens ou les catholiques, Dieu aime tous les hommes, croyants et non croyants, athées et non-athées, blancs et noirs; Dieu aime les pécheurs même s’ils ne comprennent pas la grandeur de son amour.

Marisella, je veux te remercier de ce que tu fais pour l’Eglise, de t'être donnée toute entière à Dieu, d’avoir toujours accepté la volonté de Dieu. Ta vocation n'est pas un sacrement, mais elle soutient le grand sacrement si beau et si important de mes fils de prédilection qui vivent en état de grâce.

Vous devez prêcher la paix et l’amour, et non la paix et la justice.

Merci, mes chers enfants, mettez en pratique tout ce que la Maman vous dit, parce moi aussi je vous aime tous d'une façon particulière et spéciale. L’amour d'une maman envers son enfant est grand, mais l’amour de Marie, la Mère de l’Eucharistie, envers tous les hommes est immense. L’amour de Dieu envers ses enfants est infini.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Je vous implore: ayez du respect envers votre évêque, qui aime et a toujours obéi à Dieu qui l’a aimé et l’a choisi.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 27 janvier 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, j’ai attendu avec vous que vous finissiez de chanter l'hymne à l’amour.

Tu as beaucoup de personnes à me recommander, Marisella, mais recommande toi aussi quelquefois en disant: "Petite Madone, je te recommande aussi Marisella".

Marisa - Si je te le dis, tu me réponds que je dois faire la volonté de Dieu et souffrir pour l’Eglise. Tu me fais aller bien un jour et dix jours mal, un jour bien et quinze jours mal, mais il n'est pas possible...

La Madone - Tu as raison, mais c’est ce que Dieu veut de toi. Il t’a appelée, tu lui as dit oui, tu t’es consacrée à lui, tu t’es donnée tout entière à lui. Souviens-toi: la première fois que tu as prononcé tes voeux et que tu t’es consacrée totalement à Dieu, tu avais à peine dix sept ans, ton directeur spirituel n'était pas alors encore avec toi. Tu as dit oui à dix sept ans. Retrouve la petite image où est écrite la date du jour où tu as prononcé tes vœux.

Mes chers enfants, merci de votre présence et encore merci, parce que si votre évêque a remporté la victoire, c’est également grâce à vos prières. Merci surtout à ceux qui silencieusement sont venus faire l’adoration, merci à tous. Votre évêque a bien dit, en répétant tout ce que je vous avais déjà dit, qu’il n'est pas juste de dire paix et justice, mais paix et amour; l’amour envers tous, envers ceux qui souffrent, le grand amour, qui ne fait pas de différence entre le pauvre et le riche, le noir et le blanc, mais qui s’adresse à tous. Donnez de l’amour, uniquement de l’amour à tous ceux qui en ont besoin, alors il y aura la paix véritable.

Mes chers enfants, vous qui êtes toujours ici présents et répondez à l’appel de Dieu, continuez ainsi, vous êtes peu nombreux, mais vous êtes sur le chemin de la sainteté si vous faites toujours la volonté de Dieu, parce qu'être saints signifie faire la volonté de Dieu. Vous ne devez pas faire de grandes choses, ni de grands sacrifices, Dieu les demande uniquement à quelqu’un que vous connaissez bien. Dieu sait à qui demander la grande souffrance, le grand sacrifice qu’est la passion, mais il ne vous le demande pas. Souvenez-vous qu’il est douloureux d’avoir un deuil dans la famille, mais comme vous savez que la mort est vie, c’est donc moins douloureux que de souffrir la passion.

Je vous implore encore de prier. Parlez à tous de Jésus, du grand amour qu’il a pour tous ses enfants, sans regarder personne en face et si beaucoup ne répondent pas, ne vous en faites pas, vous avez fait tout ce que vous deviez faire.

Je dois vous quitter, mes chers enfants, parce que j’attends que votre soeur se reprenne un petit peu; je vous laisse tous dans le Seigneur, grands et petits.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Don Claudio, je suis épuisée, je n'en peux plus. Qu’est ce que je fais maintenant.

L’Evêque - Participe à la Sainte Messe.

Marisa - Je participe à la Sainte Messe.

Rome, le 31 janvier 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Aujourd'hui encore, je suis parmi vous. Jouissez et réjouissez-vous en Dieu le Père tout-puissant qui m'envoie chaque fois parmi vous pour prier et vous aider. Réjouissez-vous chaque jour, même si c’est parfois difficile, souriez même si la vie n'est pas par ailleurs si facile sur cette planète Terre. Mais vous qui cherchez à suivre un certain chemin qui plaît tant à mon Fils Jésus, vous devez vous réjouir et être heureux et contents.

Souvenez-vous et je continuerai à le répéter: aimez-vous les uns les autres, aimez-vous, aimez-vous et puis priez. Comme Jésus l’a dit: apprenez à aimer et puis priez. Dites toutes les prières que vous voulez, mais vous devez vous aimer. s’il n'y a pas en vous de compréhension, de générosité et de dévouement envers autrui, il n'y a pas non plus d’amour.

Vous avez aidé l'évêque à remporter la victoire, réjouissez-vous de cette victoire qui deviendra toujours plus grande et plus belle.

Merci de votre présence.

Saint Jean Bosco - J’aimerais bien parler à tous mes prêtres. Moi, Don Bosco, j’aimerais tant parler à ceux qui ont été appelés par Jésus et ne répondent pas à son appel, n’aiment pas et ne savent pas parler aux adultes. Ils savent seulement jouer avec les petits mais quand ils doivent dire quelque chose aux adultes, aux jeunes, mes prêtres laissent beaucoup à désirer.

Je vous invite à prier pour ma Congrégation, pour tous les salésiens.

Marisa - Oui, je me sens un peu raplapla.

La Madone - Mes chers enfants, votre Maman bénit ceux qui n'ont pu venir à cause de leur travail, de la famille ou pour des raisons de santé. Je bénis les enfants malades, en particulier ceux gravement malades à l'hôpital. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis vous tous ici présents. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Ils sont tous partis.

Messages de Février 2002

Rome, le 2 février 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est votre Jésus qui vous parle. C’est aujourd'hui la fête liturgique de la purification de ma maman au temple. Elle n’avait pas besoin de cette purification, mais elle l’a acceptée afin de donner témoignage à toutes les mamans du monde et a comme toujours obéi à Dieu le Père. Pour vous, il s’agit peut-être d'une fête secondaire, mais c’est en réalité une grande fête car la Mère de Dieu s'est humiliée jusqu'à aller se purifier. Chacun de vous doit toujours avancer avec un cœur pur et limpide; la pureté du cœur est aussi un grand Don spirituel. Bienheureux, vous qui avez pleinement compris l’appel de Dieu et êtes venus dans ce lieu thaumaturgique. Bienheureux vous, car vous êtes ici en prière. Bienheureux vous, car vous avez répondu à l’appel de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de Moi, Dieu le Fils. Le moment viendra où beaucoup viendront dans ce lieu et ce sera alors votre tâche de les y accueillir. Vous devez vous sentir petits et non grands, parce que le Royaume des Cieux appartient aux petits. Ce ne sont pas ceux qui sont savants, intelligents, ou qui se sentent grands qui entrent dans le Royaume des Cieux; le Royaume des Cieux est ouvert aux pauvres et aux humbles. Un riche peut aller au paradis, parce qu’il a été humble et simple. Jésus vous demande humilité et simplicité, mes deux petits enfants vous en donnent du reste l'exemple.

Courage à toi, ma chère épouse bien-aimée, continue à accepter ce que Dieu te demande. Je suis près de toi. Je suis venu ce soir te donner la Sainte Communion, afin que tu puisses avoir un peu de force et de courage.

Marisa - J’aimerais te voir un peu plus souvent, Jésus.

Jésus - Tu n'es pas heureuse que ma Maman vienne?

Marisa - Si, mais j’aimerais aussi Te voir. Je désire te voir, puisque tu es mon époux.

Jésus - Tu as raison, chaque époux doit ressentir le besoin de voir son épouse et chaque épouse de voir son époux, avec amour, simplicité et humilité, sans se sentir ni grands, ni arrivés. Courage.

Demain, les chandelles bénies aujourd'hui par votre évêque seront placées sur votre gorge. Demandez à être protégés contre les maladies et les maux de gorge; demande-le aussi, Marisella.

Tous mes bons vœux à vous tous et je vous dis encore une fois: bienheureux, vous qui venez dans ce lieu thaumaturgique.

Marisa - Ecoute, est-ce que la petite Madone ne se fait pas voir du tout ? La voilà! Jésus est parti et la petite Madone est arrivée.

La Madone - Je suis venue dire à votre évêque de s’asseoir et de ne pas rester à genoux, car il ne peut plus s’agenouiller. Je suis venue aussi vous répéter ce qu’a dit Jésus: bienheureux, vous qui venez dans ce lieu thaumaturgique. Soyez purs de cœur, simples comme des colombes mais prudents comme des serpents; vous ne devez pas vous laisser écraser par ceux qui n’aiment pas Jésus Eucharistie.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, même ceux que j’ai ici avec moi au paradis. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella. Courage, personne ne peut comprendre ce que tu souffres.

Marisa - Cela ne fait rien, il suffit que toi, Jésus et l'évêque, vous le compreniez. Adieu.

Ils sont tous partis. Jésus a parlé, puis s'en est allé quand il a eu fini. Il est parti puis elle est venue entourée des anges, des saints et des âmes sauvées. Elle avait tous les enfants autour d’elle.

Rome, le 3 février 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est votre maman qui vous parle. J’ai été purifiée alors que je n'en avais pas besoin et je suis heureuse d’avoir ainsi servi d’exemple à bien des mamans, parce que donner le bon exemple est agréable à Dieu et je l’ai fait.

Cette lettre de Dieu est courte, lui seul sait pourquoi. Comme votre évêque l’a dit, vous ferez jeudi prochain l’adoration du Saint Sacrement, afin de remercier Dieu du miracle eucharistique accompli le 6 février 1997, le premier miracle avec effusion de sang. Cette initiative m’a donné beaucoup de joie et vous pouvez vous imaginer combien elle en a donné à mon Fils, car c’est lui l’agneau immolé et c’est lui qui nous a rouvert le paradis et donné la vie avec sa mort. Agrippez-vous à Jésus Eucharistie et ne l’abandonnez jamais!

Jésus a dit hier: bienheureux ceux qui viennent ici. Je répète aujourd'hui: bienheureux, vous qui avez compris et continuez à venir dans ce lieu thaumaturgique. Tous ne le comprennent pas, mais vous ici présents, vous avez compris l’importance de prier dans les lieux thaumaturgiques, dans les lieux saints, dans les lieux où se trouve Dieu, s’il le veut, il peut accorder les grâces dont tous ont besoin. Mais souvenez-vous que vous devez toujours faire la volonté de Dieu et vous abandonner à lui.

Marisa - Je désire te recommander tous les malades, en particulier les enfants et ceux qui sont très malade à l'hôpital. Je te recommande aussi les personnes âgées, parfois abandonnées ou recluses dans un hospice, même quand elles ont beaucoup d’enfants. Je te recommande ceux qui sont seuls dans cette vallée de larmes. Je te recommande nous tous ici présents ainsi que toutes nos familles. afin qu’elles se convertissent et croient en Dieu le Père, Dieu le fils et Dieu le Saint Esprit.

La Madone - Mes chers enfants, comme l’amour de Dieu est grand pour vous. Dieu aime tous les hommes de la Terre, mais je crois qu’il a pour vous un amour particulier. Abandonnez-vous à lui, ne murmurez pas, ne pensez pas du mal des autres et ne jugez pas le prochain. Vous savez que pour celui qui juge et dit du mal, il sera difficile d’entrer dans le Royaume des Cieux.

Bienheureux vous, si vous avez compris tout ceci.

Merci et pardonnez à la maman si elle vous adresse parfois des reproches un peu forts, mais elle le fait pour vous faire grandir, pour vous faire avancer.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu à tous. Me feras-tu aller un tout petit peu mieux, uniquement un peu, pour que je puisse être avec les autres?

La Madone - Fais ce que Dieu veut.

Marisa - Adieu. Ils sont tous partis.

Rome, le 7 février 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, vous avez adoré aujourd'hui Jésus Eucharistie et lui avez tenu compagnie. Vous avez commémoré l’Eucharistie qui a saigné la première fois. Alors que vous regardiez Jésus Eucharistie, avez-vous dit: "Jésus je t’aime!"? Marisella, tu l’as pensé, mais tu ne l’as pas dit tout haut.

Marisa - J’ai l’impression que c’est une parole trop forte et je n’ai pas osé le dire.

La Madone - Quand vous dites: "Jésus, je t’aime", même si vous n'êtes pas parfaits, vous donnez une grande joie à tout le paradis.

Mes chers enfants, je veux vous remercier de toutes les adorations que vous avez faites, spécialement en 2001. Je sais que venir ici faire l’adoration du Saint Sacrement demande à certains beaucoup de sacrifices, mais Dieu vous remercie et vous aide toujours dans tous vos besoins.

Votre victoire est une victoire surnaturelle, mais cette victoire deviendra aussi humaine, parce qu’on entend parler partout de la victoire de l'évêque ordonné par Dieu, de la voyante et de vous toujours ici présents à prier. Ne célébrez pas la victoire avec des banquets somptueux et de grandes fêtes profanes. La victoire du Christ vous entraîne à des hauteurs stupéfiantes, à des altitudes vertigineuses et à jouir de Dieu. Tout cela, vous le devez à votre évêque pour son courage à affronter tout et tous et à faire avancer seul la mission. Vous savez bien que des prêtres sont venus ici dans l’intention de prendre sa place, mais comme ils n'y sont pas parvenus, ils se sont retirés, l’un d’entre eux s'est même fort mal conduit et en est arrivé à calomnier mes deux chers petits enfants. J'implore encore votre aide pour mes prêtres de prédilection.

Marisa - Je te demande de l’aide pour Giuseppe Costanzo.

La Madone - Nous en sommes encore à mendier votre aide pour les prêtres; cherchez à encourager les prêtres qui ont peur. Je vous demande aussi de prier pour votre sœur, parce que le Saint Carême sera très dur pour elle. L’année passée a été dure, mais cette année le sera encore plus; vous devez seulement prier et donner un peu d’amour a celle que vous ne voyez pratiquement jamais. Son grand désir est d'être avec vous et de prier avec vous, mais Dieu en a décidé autrement et vous devez l’accepter, vous devez aimer et dire: "Jésus, je t’aime, je t’aime comme je suis, avec mes défauts et mes imperfections".

Bonne sainte Messe, bonne rencontre biblique et aimez les tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 10 février 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous invite à prier. Ce dimanche est le dernier du temps ordinaire, puis commencera le Saint Carême qui sera une période très dure pour votre soeur, c’est pourquoi je vous invite à prier pour elle.

Cette semaine exige beaucoup de vous. Ceux qui travaillent ne pourront répondre à cet appel, mais certains d’entre vous peuvent rentrer plus tôt du travail pour être à l'heure en ce lieu thaumaturgique.

C’est demain la fête de Notre Dame de Lourdes; c’est toujours ma fête et je veux que la Sainte Messe soit célébrée pour les malades. Faites le savoir aux autres et faites leur comprendre combien il est important de participer à cette Sainte Messe parce que les malades sont très nombreux.

Mardi, dernier jour du carnaval, les gens se divertiront beaucoup et commettront également des péchés, pris par le plaisir frénétique. Ces dernières années, vous avez fait le soir une heure d’adoration, tout particulièrement pour la réparation de ces péchés, mais il se peut que je vous demande trop cette année, car la semaine prochaine sera bien chargée et je ne voudrais pas vous fatiguer. En fait certains se fatiguent facilement et disent: "Devons-nous réciter toutes ces prières et faire toutes ces adorations?". C’est Dieu qui le veut, pas moi, pas votre évêque. La semaine prochaine regorge d’engagements et le Carême est long, mais que chacun de vous fasse du mieux qu’il peut ce qu’il ressent dans son coeur et pense pouvoir faire plaisir à Dieu. La fatigue prend tout le monde et la santé de chacun se détériore un peu plus chaque jour, mais cela ne doit pas vous décourager et vous ne devez pas vous laisser aller, parce que je suis près de vous et je vous parle par l’intermédiaire de votre soeur. Elle vit des moments difficiles, mais vous la voyez rarement s'écrouler car elle fait tout par amour de Dieu.

C’est tous ensemble que vous devez vivre l’amour, être unis et faire des sacrifices. Aimez-vous comme Dieu vous aime.

A demain pour ceux qui pourront venir. Je me répète: informez les malades et annoncez leur que la Messe pour les malades sera célébrée ici. Je serai avec vous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, petite. Donne un baiser à la petite grand-mère, à l’oncle et à tous. Adieu.

Don Claudio, ils sont tous partis.

Rome, le 11 février 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Qui sont tous ces malades auprès de toi?

La Madone - Tu ne les reconnais pas ? Ce sont les malades auxquels nous avons rendu visite ensemble aujourd'hui dans les hôpitaux et les cliniques. Tu ne t’en souviens pas?

Marisa - Si. Je m'en souviens. Je veux te recommander les malades de notre communauté, je ne te dis pas le nom de tous parce qu’ils sont nombreux, mais je te recommande Maria d'une façon toute particulière; va la trouver. Je te recommande également tous ceux qui ont fait le sacrifice de venir ici. Tous n'ont pas compris l’importance de cette Messe pour les malades.

La Madone - Mes chers enfants, ma présence parmi vous est pour tous les malades, ainsi que pour ceux dans les hôpitaux. J’ai beaucoup de malades près de moi, surtout en esprit. Ce devrait être aujourd'hui une journée calme, sereine, pleine d’amour et de charité envers les malades. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de personnes âgées, même non malades, sont seules, elles ont donc aussi besoin d’amour et de charité.

J’avais espéré voir cette basilique pleine de malades qui ne connaissent pas ce lieu, mais nous devons encore nous contenter de prier pour tous ceux qui ne sont pas venus, pour tous ceux ici présents et pour ceux qui ne peuvent venir à cause du travail. Priez aussi pour ceux qui trouvent toujours une excuse pour ne pas venir. Même si on fête Marie, Notre Dame de Lourdes, dans beaucoup d’endroits, je suis ici parmi vous pour bénir tous les malades et les aider à accepter la souffrance et à l’offrir à Dieu pour la conversion des pécheurs. Beaucoup de personnes s'éloignent de Dieu, en particulier quand elles sont soumises à une épreuve.

Je n’ai plus parlé de la guerre, mais vous savez mieux que moi qu’elle dure encore et que la haine est grande dans le monde entier. Je viens pour vous parler d’amour au nom de Dieu; dimanche j’ai dit: amour signifie union, sacrifice et prière.

Ne vous laissez pas distraire par les enfants, laissez-les faire et écoutez ce que la maman est en train de vous dire.

Priez pour les pécheurs, qui sont si nombreux, croyez moi. C’est très important de prier pour ceux dont l'âme est malade et qui ne croient pas. Ceux qui ne croient pas et ne connaissent pas la Parole de Dieu sont pardonnés par Dieu. Vous devez prier pour ceux qui connaissent la Parole de Dieu mais ne croient pas dans l’au delà. Le paradis et l'enfer existent, mais je veux que vous alliez tous au paradis.

Votre soeur a visité beaucoup d'hôpitaux et vu comment les malades y sont traités: il n'y a ni charité, ni amour vrai envers eux; ils sont traités comme des objets, jetés dans un lit. Ils ont de la chance quand ils rencontrent quelqu’un qui fait tout par amour; c’est une grande grâce mais malheureusement ceux-là ne sont pas nombreux.

Vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre d’endroits où l’on fête Notre Dame de Lourdes et où les malades se rendent, mais je n'y suis pas, je suis ici avec vous et je suis heureuse d'être avec peu de personnes, comme j'étais heureuse dans la grotte de Bethléem où est né le petit Jésus. Nous y étions seuls, mais nous avions Dieu avec nous. Vous aussi vous êtes seuls, vous êtes peu nombreux, mais vous avez Dieu avec vous; c’est pourquoi vous devez toujours remercier Dieu de tout votre coeur.

Je veux adresser ma bénédiction à tous les malades auxquels j’ai rendu visite aujourd'hui, en particulier à ceux qui sont seuls et ne sont pas bien traités, aux malades de cette simple et humble communauté, à grand-mère Iolanda, dont le calvaire continue malheureusement et à tous ceux ici présents. Cherchez à vous aimer. Vous parents, aimez vos enfants, respectez-les et remerciez Dieu de leur avoir donné une bonne constitution. Remerciez l'évêque de les avoir si bien éduqués, même avec leurs défauts et leurs imperfections. Ils avancent et suivent ce chemin dur et fatiguant pour tous.

Merci également à vous tous qui venez ici aider, préparer et décorer cette basilique, petite aux yeux des hommes mais grandes aux yeux de Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos malades. Je vous serre tous sur mon cœur: grands et petits, croyants et non croyants. Je vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Nous béniras-tu ce soir quand nous serons au lit avec les douleurs? Il y a aussi des personnes qui ne peuvent plus se mettre au lit à cause des douleurs.

C’est bon, adieu. Ecoutes-tu la Messe avec nous?

La Madone - Bien sûr, je suis toujours près de mon évêque lorsqu’il célèbre la Sainte Messe.

Marisa - Elle est partie avec tous les malades.

Rome, le 14 février 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci surtout à ceux qui ont fait l’adoration: les malades de cette famille à la maison et les autres dans la chapelle. On a tant besoin de prières, d’adorations du Saint Sacrement, tant besoin d’amour. Dieu a créé l'homme à son image, à sa ressemblance, mais qu’en a fait l'homme, qu’est-il devenu par rapport à la créature créée par Dieu? Les hommes continuent à pécher, à faire tout ce qu’ils veulent et disent: "Dieu n'existe pas ou il est au paradis et nous sommes sur la Terre". Personne n'obéit à Dieu, ni mes chers prêtres de prédilection, car s’ils lui obéissaient vraiment, ils ne se conduiraient pas mal. Beaucoup de prêtres traitent mal les autres prêtres, les fidèles et surtout ceux appelés par Dieu. La mission du prêtre est très difficile et demande beaucoup de prières et de souffrances.

Vous savez fort bien maintenant que votre soeur vit la passion en cette période, jour et nuit, mais elle sait bien le cacher, sait plaisanter, rire et ne manque également pas de réparties spirituelles. Croyez-moi, la passion est la souffrance la plus grande et la plus forte, mais en vivant la passion on obtient beaucoup de grâces.

Vous pensez: "La Madone nous demande toujours de prier pour obtenir des grâces". Oui, je vous demande de prier pour obtenir des grâces et je vous dis merci pour ce que vous faites. Je vous demande encore des adorations du Saint Sacrement et des prières pour les malades, les enfants abandonnés qui sont si nombreux, le grand nombre de parents qui traitent mal leurs enfants, les enfants si nombreux qui ne traitent pas bien leurs parents. Dieu a créé l'homme à son image et à sa ressemblance, mais les hommes comment se conduisent-ils ? Comment agissent-ils ? Qui est Dieu pour eux ? Qui est Jésus Eucharistie pour eux?

Tout le monde fait maintenant l’adoration du Saint Sacrement et le catéchisme. Ils font ce que vous faites déjà depuis longtemps, car ils lisent les messages, même en cachette, mais ils ne diront jamais qu’ils font l’adoration parce que les messages sont venus de ce lieu thaumaturgique. Mais vous, ne vous en souciez pas, réjouissez-vous. Vous êtes de petites lumières qui ont crée une grande lumière pour toutes les églises et les paroisses faisant l’adoration. Beaucoup de petites lumières forment une grande lumière, lorsqu’elles sont réunies. Certains bavardent dans les églises et ce n'est pas beau, mais il y a aussi ceux qui prient vraiment, peut-être même plus que les curés et vicaires.

Comme votre évêque ne pouvait descendre dans la chapelle, car il a beaucoup à faire dans la maison, beaucoup d’engagements spirituels et matériels et doit aider également votre sœur, il a exposé Jésus Eucharistie dans la maison et les membres de la famille y ont fait l’adoration, alors que vous la faisiez dans la chapelle. Pensez comme c'était beau, d'être unis en prière devant Jésus Eucharistie; pour cela je vous dis merci.

Priez pour votre évêque. La victoire spirituelle est arrivée, celle sur la terre est plus difficile, mais celle spirituelle vous intéresse le plus. L'évêque a remporté la victoire, parce qu’il a combattu seul, défendu l’Eucharistie; il s'est fait calomnié et diffamé pour défendre l’Eucharistie. Il a remporté une grande victoire, aimez-le et priez pour lui.

Tous mes voeux à tous, mes chers enfants, et merci encore une fois pour l’adoration que vous avez faite.

Merci à Emanuele qui chante continuellement et aux autres petits enfants qui ne sont pas là. Ma paix et ma bénédiction vont au petit Samuele, un enfant d'un an et demi qui met en marche le lave-vaisselle et le surveille pour aider la maman, au petit Jacopo, à Davide Maria, et à tous les enfants. Merci, merci, merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Merci, grand-mère Iolanda, pour tes rosaires et tes prières et pour les souffrances que tu offres.

Marisa - Adieu, adieu, petite, adieu trésor. Ils sont partis.

Rome, le 17 février 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je t’ai entendu chanter avec nous.

Ecoute, petite Madone, j’ai beaucoup, beaucoup de personnes à te recommander, je ne vais pas te les énumérer toutes, parce que tu les connais. Mais c’est juste que moi, en tant que membre de cette communauté, je te demande des grâces pour ma communauté, les adultes, les jeunes et les mamans.

Tu sais ce que je te demande jour et nuit, mais que la volonté de Dieu soit toujours faite. Nous hommes de la Terre, nous ne réussissons jamais à comprendre les desseins de Dieu, mais tu vas le trouver et tu lui demandes ce qu’il peut faire pour aider notre communauté et les futures mamans. Tant de mamans jettent leurs enfants, aide celles qui désirent en avoir.

La Madone - Toi aussi, demande de l’aide à Dieu.

Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est toujours avec beaucoup de joie que je viens parmi vous et je suis surtout présente quand vous faites l’adoration. Je vous recommande d’adorer Jésus sans parler dans l'église. Si vous devez parler de choses sérieuses, appelez l’intéressé, faites le sortir de la chapelle et parlez lui.

Un miracle a eu lieu hier dans cette maison. Grand-mère Iolanda est tombée et cela aurait pu finir mal, mais Dieu a dit: "Cette grand-mère me sert encore pour sauver beaucoup d'âmes", et il l’a renvoyée parmi vous. Votre soeur a terriblement souffert toute la nuit de la passion et est ici au milieu de vous. Diverses personnes souffrent énormément en ce moment.

Je vous demande de prier en premier pour les membres de votre communauté, qu’ils soient grands ou petits, jeunes ou âgés. Je n’ai jamais insisté comme maintenant à vous demander de prier pour votre communauté, j’ai toujours dit: "Priez pour les prêtres, les religieux, les communautés religieuses". La Maman vous dit aujourd'hui: "Priez pour votre communauté, parce qu’elle le mérite". Un grand merci sort assurément de mon cœur pour ce que vous faites.

Il y a toujours quelqu’un, avec le démon, qui cherche à vous détruire. Il ne fait certes pas partie de la communauté mais veut la détruire, en se servant d'une personne qui en fait partie. Vous devez être forts comme je l’ai toujours dit, le bon chrétien doit être fort et simple, adroit et courageux. Vous avez l'exemple de votre évêque qui est très courageux. Les vrais chrétiens sont peu nombreux en comparaison de ceux qui se disent chrétiens mais ne le sont pas, et à vous je demande courage et force pour avancer.

Vous avez choisi cette communauté vivant retirée, dans la tempête, la bataille et pourtant vous êtes sortis victorieux. Dieu peut allonger les délais, mais il ne déçoit pas.

Souvenez-vous que le Saint Carême a commencé. Il y a des personnes qui souffrent beaucoup pendant le carême, par la volonté de Dieu. Vous faites quelques sacrifices pour les aider. De nos jours, il n'y a plus d’abstinence de viande mais ceux qui le veulent peuvent se priver de quelque chose, faire de petits sacrifices mais avec joie. Cela coûte de se passer de viande et de poisson, que ceux qui n’aiment pas un aliment en mangent, que ceux qui l’aiment n'en mangent pas.

Marisa - Alors, je devrais manger de tout parce que je n’aime rien?

La Madone - Non, toi tu es à part, comme le dit ton évêque. Je ne vous demande pas de faire de grands sacrifices pendant le carême, mais de faire plus de prières, d’adorations, de petites privations et petits sacrifices. Que ceux qui le peuvent fassent parfois le jeûne, mais ne vous forcez pas à jeûner ou ne jeûnez pas parce que la petite Madone l’a recommandé. Non, vous devez sentir dans votre coeur ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire. Je me répète: ceux qui prennent des médicaments, qui ne se portent pas bien, peuvent faire de petites privations mais pas le jeûne, vous pouvez manger de la viande ou du poisson le vendredi, mangez-en la moitié.

Je vous assure qu’on ne mange rien au paradis!

Marisa - Dieu soit loué, comme cela vous économisez.

La Madone - Vous y chanterez et ce sera une grande joie. Croyez-moi, mes chers enfants, le paradis existe et il y règne la joie, l’amour, la charité; vous vous y trouverez bien et vous y chanterez; même ceux qui chantent faux et n'ont pas de voix. Vous chanterez tous et glorifierez tous Dieu, ensemble avec moi, mon époux bien-aimé, les anges et les saints et ce sera une grande fête pour tous. Le paradis existe, mais l'enfer également. Combien et combien d'âmes, même celles les plus instruites, celles qui ont étudié la théologie, pensent échapper aux yeux de Dieu.! Non, personne ne peut échapper aux yeux de Dieu.

Courage et bon carême à tous, Saint Carême à tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis les malades en particulier. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Don Claudio, ils sont tous partis.

Rome, le 21 février 2002 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence et de la patience que vous mettez à attendre ce que Dieu a promis. Vous savez que si Dieu attend, c’est qu’il veut la conversion, surtout celle des hommes d’eglise. Il est triste de le dire et cela cause beaucoup de douleur à Jésus Christ, ainsi qu'à moi-même et à tous ceux qui aiment.

Nous commémorons aujourd'hui le jour où votre soeur trouva une hostie brisée et maculée de sang dans le reliquaire. Combien de miracles Dieu n’a-t-il pas accomplis et combien d’amour ne vous a-t-il pas démontré! Armez-vous de sainte patience, de bonté et d’amour. Le paradis est assuré à ceux qui aiment vraiment Jésus Eucharistie et qui vivent chaque jour en état de grâce, mais malheur à ceux qui continuent à bafouer celui dans les mains duquel s'est accompli le miracle eucharistique le 11 juin 2000, celui qui s'est entièrement donné au Seigneur, à l’Eglise et aux âmes. Ils continuent à ironiser sur l’ordination épiscopale de votre évêque mais ne parlent pas du miracle grandissime intervenu après dans ses mains; ils n’agissent ainsi que par envie et craignent que beaucoup de personnes ne viennent ici, en ce lieu. Les prêtres savent comment parler et aussi déconcerter les pauvres âmes ignorantes en théologie, ils répètent que les évêques de Vicenze, Chiavari, Bologne, d'Ivréa ainsi que les autres évêques et cardinaux ont raison. Ces ecclésiastiques, en revanche, ont peur d'un simple prêtre à qui Dieu a conféré l'épiscopat et tous les pouvoirs, l'envie qui entraîne la calomnie et la diffamation explose en eux. Mais vous qui aimez, ne les écoutez pas, ignorez-les, avancez, aimez mon Fils Jésus.

Malheur à ceux qui ont profané l’Eucharistie lorsqu’elle a été apportée au Vicariat pour y être examinée, qui lui ont montré du dédain avec leurs paroles et leurs regards; ceci est un péché grave comme il est grave également d’avoir calomnié et diffamé celui choisi par Dieu. Dieu est amour, mais il sera aussi juste.

La Maman vous répète encore une fois que Dieu a apprécié vos prières et les a exaucées. Je vous ai dit d’aimer l’Eucharistie, de faire l’adoration eucharistique et d’assister à la rencontre biblique. Aujourd'hui tout ceci est également fait dans d’autres églises. J’ai dit d’annuler l'horaire pour les confessions et cela été supprimé dans les autres églises. Par le passé, la confession avait lieu à des horaires fixes, par exemple entre 16 et 18 heures et si on péchait à 19 heures, on ne pouvait pas se confesser car c'était hors de l'horaire. Tout ce que vous faisiez déjà, est également fait aujourd'hui par les autres, avec de bonnes ou mauvaises intentions, pour imiter, mais cela ne doit pas vous intéresser; ce qui importe c’est qu’ils le fassent, parce que les âmes qui vont prier à l'église sont sincères, tandis que les prêtres veulent démontrer qu’ils font aussi l’adoration du Saint Sacrement et les rencontres bibliques. C’est bon, ceci est bienvenu et soyez en heureux.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Marisella, merci.

Rome, le 24 février 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Votre sœur m’a recommandé toutes les personnes malades, j'écoute toujours ses prières et je les présente à Dieu le Père qui sait ce qu’il doit faire. Un de vos comportements me laisse un peu perplexe. Vous faisiez avant l’adoration avec plus d’enthousiasme et plus d’amour. Maintenant que le nombre de personnes disponibles est moindre, ce sont les mêmes qui font l’adoration pendant plusieurs heures. Faites seulement une heure d’adoration, pour bien adorer Jésus. Si vous faites l’adoration pendant plusieurs heures, la fatigue et l'ennui viennent et vous ne réussissez pas bien à prier. Il est inutile de faire l’adoration du matin au soir, si ce sont les mêmes qui sont là toute la journée. Il est beau au contraire de se relayer toutes les heures, même si seulement une personne est présente, parce qu’elle récite d’autres prières, fait d’autre colloques, d’autres réflexions, parle avec Dieu. Chacun de vous a un mode de parler différent et les prières augmentent alors. Mais si la même personne reste dans la chapelle du matin au soir, que peut-elle dire à Dieu? Même les plus grands saints ne parviennent pas toute la journée, à vivre en contact avec Dieu en restant devant l’Eucharistie. Je vous ai dit de prier et on peut prier au travail, dans les hôpitaux, à l'école, à l’université, à la maison, en faisant son travail; mais il est impossible de rester en adoration du matin au soir, parce que l'ennui et la fatigue se font sentir, vous ne savez plus quoi dire et parlez parfois entre vous. Je vous demande de ne faire qu’une heure d’adoration, mais faites la bien. Parlez avec Jésus, conversez avec Lui. Quand il entre dans votre coeur au cours de la Sainte Messe, continuez à lui parler et quand vous sortez de l’Eglise, parlez lui encore et vous verrez que l’adoration prendra plus d'une seule heure. Participez à la sainte Messe et puis si vous le voulez, en rentrant en voiture ou à pied, vous pouvez encore parler à Jésus et priez pour ceux qui vous sont proches. Une fois rentrés à la maison, faites tout avec amour, comme si vous le faisiez pour Jésus.

Vous apprenez à connaître Saint Paul, un homme fort, loyal, sincère et bourru aussi. Au moment opportun, j’aimerais que votre évêque parle un plus fort, afin de faire entrer dans votre tête ce qu’il dit. A la rencontre biblique aussi, ne vous contentez pas seulement d'être des auditeurs, mais mettez en pratique tout ce que vous entendez. Chaque rencontre biblique est magnifique; celle de jeudi dernier a été grandissime, si belle. Ce que vous avez entendu n'était pas seulement de Saint Paul mais également de Claudio, de votre évêque. Paul et Claudio. Comme je vous l’ai déjà dit, il fait un poème de chaque parole des Saintes Ecritures. Vous devez comprendre combien la rencontre biblique est importante; cela ne consiste pas seulement à lire le chapitre, puis à rentrer à la maison comme on le fait dans beaucoup de paroisses. L'évêque cherche à faire pénétrer ce qu’il dit dans votre coeur. Paul est grand et votre évêque est grand.

Je n’ai pratiquement pas le courage de vous demander de faire la neuvaine pour la fête de votre évêque, pour la fête de son ordination sacerdotale, même s’il veut que l’on fête le sacerdoce, donc tous les prêtres. L’an dernier vous aviez répondu en plus au chemin de Croix et étiez nombreux même pour la neuvaine. Ne regardez pas les jeunes, ils travaillent malheureusement, ou mieux, travaillent heureusement et ne peuvent tous venir à l'horaire que vous désirez. Alors avancez vous, mamans, grand-mères et tantes. J’aimerais tant que vous fassiez cette neuvaine pour le sacerdoce, c’est très important de prier pour tous les prêtres, pour tous ceux qui ont reçu le sacrement de l’ordination. Continuez à aimer comme Jésus vous aime.

Marisa - Oui, c’est Silvano, je l’ai reconnu. Il y a aussi papa, grand-père Agostino, Ottavio, Stefanuccio, tante Lucia, oncle Domenico, grand-mère Speranza, grand-mère Carmela et les sœurs de maman.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous souhaite du bien à tous et désire que vous compreniez tout ce qu’a dit votre évêque. Courage, courage, avancez, avancez toujours. La victoire spirituelle est arrivée, la victoire humaine arrivera aussi. Je vous répète, comme je vous l’ai déjà dit jeudi: on ne connaît pas les temps de Dieu, mais Dieu ne déçoit pas et accomplit ce qu’il a promis.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, ils sont partis.

Rome, le 28 février 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui le premier jour de la neuvaine pour la fête du sacerdoce. j’espère que certains viendront les jours prochains pour faire cette sainte neuvaine; il faut prier énormément pour tous, pour le monde entier, car le monde ne va pas bien. Je ne veux pas continuellement vous dire que le monde va mal, mais vous vous rendez compte vous-mêmes que les hommes deviennent toujours plus durs et plus méchants. Ne pensez pas que ces milliers de personnes qui vont prier dans d’autres lieux soient toutes en ordre, il n'en est pas ainsi, priez aussi pour elles.

Dieu a choisi une victime parmi vous et l'éprouve par tous les moyens; elle offre ses souffrances spécialement pour vous qui faites partie de cette communauté si petite et si faible aux yeux des hommes mais pas aux yeux de Dieu. Vous pensez que vous vivez sur la planète Terre, n'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui nous le disons.

La Madone - Mais qu’est-ce qui vous intéresse, vivre en état de grâce dans cette vie afin de sauver votre âme et de jouir du paradis ou vivre comme les autres, ne pas sauver votre âme et ne pas aller au paradis? L’amour envers Dieu doit vous amener à accepter les souffrances grandes ou petites. Tous les hommes ont des souffrances et la majeure partie d’entre eux y réagissent mal: ils se droguent, s'enivrent, tuent leurs enfants et les enfants leurs parents. A quoi cela sert-il si l’on perd ensuite le paradis? Vous au contraire, vous cherchez par tous les moyens, à vous aimer, à aimer Dieu et surtout à aimer Jésus Eucharistie.

Je sais que cette période du Carême est très difficile et très dure pour toi, Marisella, d’autant plus que même les plus grands saints n'ont pas été mis à l'épreuve comme toi, mais tu souffres pour l’Eglise, les âmes et le Pape. Essaie de comprendre ce que je te dis entre les lignes.

Marisa - Ce qui importe c’est que tu m’aides, que tu nous aides tous, parce que quand l’un souffre dans une famille, tous souffrent; alors aide surtout l'évêque. J’ai donné ma vie pour lui, mais je vois qu’il ne va pas bien, même s’il est heureux de s'être donné tout entier pour l’Eglise et j’en souffre. Je ne suis pas heureuse de voir mon frère souffrir. Je suis la sœur de Padre Pio, mon frère, et en ce moment je cherche, nous cherchons l’aide du ciel. Vous devez nous aider, nous en avons tant besoin, grands et petits, pour la santé, pour avancer dans ce monde …., je n'ose pas dire le mot qui fait peur.

La Madone - Vous ne devez pas avoir peur, tant que vous vivrez en état de grâce, serez mes disciples et aimerez Jésus Eucharistie.

Le sang et la sueur que tu as versés servent à aider les âmes, celles qui veulent changer et qui ont besoin d’aide, les autres ont fait leur choix, patience; que Dieu ait pitié d’eux.

Courage, mes petits enfants. La Maman va maintenant vers le Père, puis je reviendrai pour être près de mon évêque pendant la Sainte Messe. Je veux être aussi avec vous, même si vous êtes peu nombreux, cela n’a pas d'importance, ce qui importe c’est que vous aimiez Jésus-Euchatistie et que vous vous aimiez entre vous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades, en particulier ceux contraints de rester à l'hôpital. Je te bénis, Marisella, toi qui en as tant besoin.

Marisa - Si je dois dire la vérité, j’ai besoin de toutes les bénédictions du paradis.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. C’est bien, adieu.

Messages de Mars 2002

Rome, le 2 mars 2002 - 18h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est aujourd'hui de nouveau le premier samedi du mois, un jour très important, car c’est précisément un jour comme celui-ci que je suis venue la première fois parmi vous et depuis je ne vous ai plus quittés. Combien sont partis entre-temps parce qu’ils voulaient en faire à leur aise, vivre une vie comme tout le monde et ne voulaient pas s'unir à la Sainte Messe, au sacrement de l’Eucharistie, à la confession et respecter les commandements.

Cela fait longtemps que je viens dans ce lieu thaumaturgique avec mon époux bien-aimé Joseph, le petit Jésus, les anges, les saints et tous les petits enfants qui m'entourent aujourd'hui. Soyez patients, le jour viendra où je pourrai vous parler plus librement. J’ai déjà révélé à mon évêque une chose que personne ne savait sur la terre: lorsque Jésus est mort, mon époux bien-aimé était près de moi en esprit et m’a aidé de ses douces paroles, ainsi qu’il l’avait fait tout au long de sa vie. Il était aussi près de moi lorsque Jésus est ressuscité.

La victoire spirituelle est arrivée, mais celle humaine viendra aussi; vous devez rester calmes et sereins, laisser le temps faire son œuvre et ne pas poser de questions tous les jours. Dieu ne déçoit jamais, parce qu’il n'est pas n'importe qui, il vous aime tous. Comme j’aimerais que vous compreniez la grandeur de l’amour que Dieu a pour vous et ceux qui souffrent! N'oubliez pas que la souffrance morale est bien plus grande que la douleur physique, et vous pouvez bien comprendre que pour celui qui souffre des deux, il doit être parfois très difficile de devoir sourire et faire semblant de rien. Il y en a parmi vous qui disent vous aimer et vous vouloir du bien, mais finalement ce sont les premiers à vous faire souffrir. Non ceci n'est pas de l’amour, ils s’aiment mais n’aiment pas les autres. Il est très difficile d'être toujours prêt à corriger et reprendre les autres. Parlez avec amour et douceur et aidez-vous les uns les autres; si l’un chute, a des problèmes ou souffre moralement ou physiquement, que l’autre l’aide à tout supporter, ceci est le véritable amour! C’est si beau de faire un reproche et de dire: "Frère, sœur, corrige-toi. C’est si beau de faire preuve de tant d’amour et de fermeté.

Quelqu’un a eu un très grand geste de générosité et dit: "Je veux donner tous mes biens pour la construction de la future basilique". Combien de sang a versé votre évêque pour en arriver là et combien devra-t-il encore en verser! Mais ce n’a été qu’un geste d’amour passager, il a ensuite tout rétracté. Mes chers enfants ne soyez pas versatiles quand il s’agit de faire le bien.

Merci à ceux qui ont compris l’importance de la neuvaine pour le sacerdoce. C’est vrai qu’il y a beaucoup de fêtes et de neuvaines, mais cherchez à faire ce sacrifice. Courage! Nous avons tellement envie de vous faire prier et de vous faire arriver facilement à la sainteté. Souvenez-vous que l’amour et la charité continuent au paradis, alors que la foi et l'espérance y cessent. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Bonne neuvaine et tous mes voeux à tous, bonne Sainte Messe.

Rome le 3 mars 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vous ai parlé hier de mon époux bien-aimé Joseph et je vous ai dit qu’il était près de moi en esprit et m’avait aidée et soutenue lors de la passion, de la mort et de la résurrection de Jésus. Mon époux bien-aimé n'est pas beaucoup acclamé, invoqué ou prié. Les hommes ne se souviennent de lui que le jour de sa fête alors qu’il est un quelqu’un de très important dans l'histoire de l’Eglise, comme au paradis.

Il a fait beaucoup de grâces et tout ce qui a été demandé par son intercession a été accordé. Mon époux a vécu dans le silence, l'humilité et le secret au cours de sa vie terrestre et il continue à le faire au Paradis où il prie pour tous ceux qui en ont besoin. J’aimerais tant que vous fassiez quelque chose pour faire triompher mon époux bien-aimé Joseph, parce qu’il vient après Jésus et moi, même si j’aimerais le mettre avant moi, et après tous les anges et les saints.

Je parle parfois aussi des saints qui vivent sur la Terre, vous ne les connaissez pas tous, mais peu importe car ils ne sont pas nombreux. Ceux qui ont toujours fait la volonté de Dieu, accepté la souffrance et vécu en état de grâce sur la Terre sont saints sur la Terre; ils sont fort peu nombreux.

Aujourd'hui, je peux ajouter une nouvelle centaine de millions de convertis aux trois autres milliards. Un prix très élevé a été payé pour eux. Je souffre que peu de prêtres soient parmi eux, mais beaucoup de laïcs simples, humbles, pauvres et malades. Je ne vous dis rien d’autre au sujet de ces conversions, car j’aimerais qu’il y ait parmi eux des prêtres, et quand je dis des prêtres, j’entends des évêques et des cardinaux. Mais ceux-ci continuent à courir après l’argent et le pouvoir; se soucient de faire bonne mine et de se montrer pieux et dévots quand ils sont devant la caméra. Mon Fils Jésus et moi nous ne voulons pas de cela. Vous, vous essayez de vivre comme nous le voulons. Bien sûr vous êtes dans le troisième millénaire, tout change et le progrès continue, mais vous devez vivre avec humilité et simplicité, sans toujours rechercher le vil argent pour arriver, car il ne sert à rien. Recherchez au contraire ce qui aide à bien vivre chaque jour et à bien faire votre devoir.

Quand le désir de faire des offrandes naît dans votre coeur, en particulier pour la construction de la future basilique, ne reprenez pas ce que vous avez offert, n'en faites pas une souffrance et une charge pour les autres, car quelqu’un a versé du sang de façon invisible. Si vous avez fait un acte de générosité, quel motif y a-t-il pour le retirer ou pour attendre ? Mes chers enfants, si vous faites un Don à Dieu, vous ne pouvez le lui reprendre; Dieu vous donnera en échange la force de tout supporter et accepter.

Une âme est appelée à souffrir la passion avec mon Fils Jésus pour des motifs bien plus importants: la conversion de toutes les nations, de tous les hommes, même s’ils appartiennent à d’autres religions; c’est le grand désir de Jésus Eucharistie.

Mes chers enfants, comme je vous l’ai dit hier, vous vivrez aussi au paradis l’amour et la charité alors que la foi et l'espérance prendront fin avec la vie terrestre. Cherchez toujours l’amour et demandez-vous: "Est-ce que je veux les aimer tous?". Il est certain que l’amour pour les malades, les personnes âgées, les enfants, les mamans qui attendent un bébé, les parents, les vrais parents doit être plus fort. Je le répète: les vrais pères et mères ne sont pas ceux qui ont procréé mais ceux qui aiment, savent aimer et se sacrifient pour leurs propres enfants.

Courage, cherchez toujours à faire la volonté de Dieu, même si Dieu se fait attendre.

Dieu n'est pas une personne quelconque, il a créé le monde propre, mais ce monde est sale aujourd'hui, plein de choses et de paroles affreuses; le sexe et l’argent y règnent. Dieu ne veut pas d'un monde immonde et vous comprenez ce que je veux dire, parce que vous avez tous suffisamment grandi.

Aimez-vous, priez, souffrez, privez-vous un peu, renoncez à la cigarette, ni les adultes ni les jeunes n'y parviennent. Pourquoi? Ce serait si beau de le faire au moins pendant le Carême! Si vous le faites pendant la période du Carême, vous réussirez aussi à le faire autrement, parce que vous aurez perdu ce vice; vous pouvez aussi vous priver de la télévision et de manger. Quelqu’un jeûne tous les vendredis, mais Jésus ne le veut pas, parce que cela brûle trop de calories. Vous devez faire ce que vous vous sentez capables de faire, ne jouez pas les héros si vous ne le pouvez pas. La Maman remercie de toute façon ceux qui ont voulu pratiquer le jeûne. Que ceux qui le peuvent fassent le jeûne au moins pendant le Carême, mais ne venez pas ensuite ici, l’air abattu presque fâché, parce que vous l’avez fait. Les autres ne doivent pas savoir que vous avez jeûné, mais au contraire comme le dit Jésus, parfumez votre tête. Avancez, donnez l'exemple et témoignez, ceci est le plus bel engagement que vous pouvez prendre pendant ce Saint Carême.

Continuez la neuvaine pour le sacerdoce et que ceux qui le peuvent, viennent dans ce lieu. Fêtez votre évêque et le sacerdoce. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 7 mars 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci à tous pour la neuvaine que vous faites pour votre évêque et le sacerdoce, un sacrement si grand et si beau, mais qui n'est pas compris par tous. Mes deux chers enfants souffrent pour la conversion des prêtres, des âmes consacrées et de ceux qui font partie de cette communauté. C’est si beau d'être humbles et simples, de baisser la tête et de dire: "Fiat voluntas tua" (que ta volonté soit faite). Au lieu de cela, l’orgueil, la présomption, le dédain et le refus des caresses maternels se déchaînent dans certains. Ils ne réussissent pas à faire mourir l’orgueil. Dans certains il n'y a ni humilité, ni simplicité, mais uniquement orgueil, présomption, ce qui les empêche d’entrer dans le Royaume des Cieux. Souvenez-vous que la conversion est très importante; si l’on ne se convertit pas, mais reste enfermé dans son moi, dans son orgueil et sa vanité, on ne peut entrer dans le Royaume des Cieux. C’est pour cela que je demande à mes deux anges, à mes deux petits enfants d’aider ces âmes, mais malheureusement quand on les aide, elles se rebellent, font une crise et pleurent parce qu’elles sont réprimandées et corrigées. La correction fraternelle est pour tous, grands et petits. Mon Fils Jésus parle à travers l'évêque, mais pourquoi acceptez-vous ses éloges et refusez-vous ses réprimandes? Faites-vous ce chemin pour Dieu ou pour le démon ? Je veux espérer que c’est pour Dieu. Si quelqu’un n'est pas encore O.K. parce que l’orgueil et le dédain sont en lui, alors il lui sera bien difficile d’entrer dans le Royaume de Dieu. Quand on est réprimandé, il est si beau de dire: "Merci, merci, mon frère, de m’avoir aidé à comprendre". Au contraire l’orgueil, le dédain, la susceptibilité se déchaînent, ces personnes n’acceptent pas les reproches, se détruisent intérieurement, se ruinent et ne font pas ce qu’elles doivent faire en famille.

Cela arrive dans beaucoup de familles, mais ne devrait pas se produire dans ce lieu thaumaturgique. Même dimanche dernier, après la Sainte Messe et la Sainte Communion, après l’apparition et le catéchisme quelqu’un a fait une scène dans le lieu thaumaturgique. Cela je ne vous l’ai pas enseigné. Depuis des années je vous parle toujours de l’amour. Je ne veux pas vous décourager, mais que ceux qui se sentent coupables, se confessent. Quand la petite Madone vous parle, elle s’adresse à tous, mais tous ne doivent pas prendre pour eux ce que je dis, chacun sait ce qu’il doit prendre pour lui pour mettre en pratique mes paroles.

C’est ainsi, Marisella, ta souffrance si sanglante, forte et douloureuse, est pour aider toutes ces âmes. Bien sûr, Dieu n’a pas besoin des souffrances, mais tu as dit ton oui, ton "fiat". Merci, merci, de la part de tous.

Mes chers enfants, courage, il ne reste plus que quelques jours d'ici la fête de votre prêtre, de votre évêque, ne le faites pas souffrir, cherchez à l’aider et soyez proches de lui. Vous ne pouvez pas non plus vous imaginer ses souffrances qui sont si nombreuses; cherchez vous au moins à ne pas le faire souffrir.

Merci.

Marisa - Oui, le petit Emanuele pleure, ne peux-tu t’approcher de lui et lui faire une caresse pour le faire dormir?

La Madone - Le tout petit ne va pas bien.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

J’aimerais que tu imposes tes mains sur celui qui est malade, Marisella; fais-le par obéissance, toujours si l'évêque le veut.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Comme vous le voulez. Je me sens si petite que je n'ose rien demander. Don Claudio, elle est partie.

Rome, le 9 mars 2002 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, si vous êtes en fête aujourd'hui sur la Terre, vous pouvez vous imaginer comme la fête est grande au paradis. Nous sommes maintenant sur la Terre pour fêter avec vous le grand évêque de l’Eglise. Il a donné toute sa vie pour l’Eglise. La victoire spirituelle est arrivée dans toutes les parties du monde. Cette victoire est connue partout et moi, la Mère de l’Eucharistie, je sais comment vont les choses.

La souffrance est encore grande, mais la joie sera plus grande si vous parvenez à accepter ce que Dieu veut. Dieu a appelé votre soeur et l’a voulue entièrement pour lui. Il a appelé avant sa naissance une créature simple et humble qui est devenue son fils de prédilection, petit aux yeux des hommes mais grand aux yeux de Dieu. En effet, Dieu l’a ordonné évêque, lui a donné l'épiscopat et l’a appelé évêque de l’Eucharistie. Ne l’oubliez jamais : Don Claudio est le véritable évêque de l’Eucharistie.

Toutes ces personnes à côté de moi et que voit votre soeur, ont été sauvées par mes deux chers petits enfants. Des papes, des évêques, des prêtres et des religieuses sont présents, mais les laïcs sont plus nombreux; il y a également des petits enfants mais ils n'ont pas besoin de vos prières parce qu’ils sont dans la grâce de Dieu. J’aimerais vous amener tous dans les bras de Dieu.

J’ai été stupéfaite de tout ce que vous avez préparé pour votre évêque: les décorations, les fleurs, les tapis, tout est très beau. Vous avez une tente comme basilique, mais elle est pleine de l’amour de Dieu et pleine d’anges qui tournent tout autour et se réjouissent de tout ce que vous avez fait avec sacrifice et engagement, même si les petits nuages habituels ne manquent pas, mais c’est normal. Le temps n'est pas propice; il ne fait pas soleil. Mais Jésus-Eucharistie est le soleil, la lune c’est moi, la Maman, qui veut vivre presque dans le secret et vous êtes les étoiles, mes chers anges. Les enfants sont les créatures les plus chères au coeur de Dieu; ils ne souffrent pas, mais rient, pleurent et chantent.

Mes deux chers petits enfants, vous avez beaucoup joui tous les deux, mais aussi beaucoup souffert parce que Dieu vous a donné une mission qui humainement parlant vous dépasse de beaucoup, petites créatures, mais il vous a également donné la force et l’amour de tout accepter, même en grognant; le découragement vient aussi parfois, mais vous levez vos yeux vers le ciel et dites toujours: Notre Père...

Marisella, je sais que tu veux me recommander beaucoup de malades; je connais tous ceux qui ont besoin de mon aide, mais avant tout de l’aide de Jésus Eucharistie.

Ma Fille, mon doux ange, que d'épreuves le Dieu Tout-puissant t’a données! La passion que tu souffres pour les âmes est forte, dure et pénible et même si nous sommes toujours près de toi, la souffrance ne cesse jamais. Jésus a voulu te mettre à l'épreuve et tu as si bien tout accepté, tu es vraiment l'héroïne de la souffrance, la victime de l’Eucharistie, la victime d’amour pour tous. Tu es prête à te taire quand quelqu’un te reprend, petit ou grand, tu es prête à tout accepter, même si parfois il semble aux autres que ce n'est pas ainsi, mais Nous te connaissons, ma fille.

Tournons maintenant nos regards vers notre saint évêque. Il vous semblera peut-être excessif que je dise: "saint évêque", mais je vous ai expliqué il y a quelque temps que les saints ne sont pas seulement ceux qui sont canonisés et pour lesquels sont dépensés des millions et des millions, mais également ceux qui vivent sur la Terre, comme votre évêque. N'oubliez pas que lorsqu’il vous parle et pénètre dans vos coeurs, Jésus parle à travers lui, c’est pourquoi vous devez même accepter les paroles qui vous déplaisent. Certains pensent au contraire que c’est Jésus qui parle lorsque l'évêque parle avec douceur et vous choie et que ce n'est pas Jésus qui parle lorsqu’il élève la voix et doit se faire respecter. Eliminez l’orgueil et tout ce qui vous éloigne de Dieu. Jésus a dit: "Apprenez de Moi qui suis doux et humble de coeur"; vous devez être doux et humbles de coeur.

J’adresse cet appel surtout aux nouveaux époux et à tous les jeunes couples qui sont arrivés au mariage. Souvenez-vous que: l’amour s’accompagne de sacrifices, de souffrances et de prières mais reste toujours amour.

Au nom de tout le paradis, j’adresse tous mes vœux à l'évêque, Monseigneur Claudio Gatti. Beaucoup de prêtres sont jaloux du fait qu’il ait été appelé par Dieu, mais toi prie pour eux et ne t’afflige pas davantage, Dieu ne le veut pas. Mes chers enfants, vous aussi, ne vous affligez pas davantage, mais tournez toujours vos yeux vers le ciel et cherchez toujours l’amour.

Je désire également adresser mes voeux à grand-mère Iolanda, qui prie et souffre. Vous ne pouvez pas comprendre combien la chère grand-mère Iolanda souffre pour l'évêque, ses enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants et pour sa fille qui a cherché à lui dissimuler ses souffrances mais la maman a finalement tout découvert. C’est si beau d’avoir une maman, une grand-mère comme elle; vous ses petits-enfants, vous avez de la chance d’avoir une telle grand-mère. Sans la grand-mère, sans Marisella, sans l’aide de leurs prières, sacrifices et offrandes quotidiennes, l'évêque ne pourrait faire tout seul, mais Jésus aussi est en lui.

Mes chers enfants, merci de tout ce que vous avez fait pour mon et votre évêque.

Saint Joseph - Mon épouse bien-aimée, puisque l'évêque m’aime tant, puis-je dire encore quelque chose? Don Claudio, c’est moi Joseph et je t’adresse tous mes meilleurs voeux. Merci de l’amour que tu as pour moi et pour nous tous.

La Madone - Mes chers enfants, merci à vous tous ici présents. Ensemble avec tous les anges et les saints du paradis, les âmes sauvées de vos parents et Marisa, je te bénis, Excellence, et je vous bénis tous. Je bénis les malades et tous ceux qui n'ont pu venir pour diverses raisons; je bénis également ceux qui sont loin de ce lieu thaumaturgique et les malades en particulier.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Excellence Révérendissime, un baiser pour toi de la part de tout le paradis, des enfants à Joseph, aux saints, à Saint Claude. Adieu à tous.

Marisa - Adieu. Don Claudio, ils sont partis. Tout le paradis était descendu.

Don Claudio - Sont-ils entrés tous sous la tente?

Marisa - Oui, il y a beaucoup de place pour eux.

Rome, le 10 mars 2002 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - La fête du sacerdoce est une grande fête. Le grand désir de Jésus est d’avoir tous les prêtres, ses et mes enfants de prédilection, dans ce lieu thaumaturgique. Je ne peux oublier la neuvaine que vous avez faite pour remercier Dieu du sacerdoce et pour tous les prêtres, du Saint Père au plus petit et plus humble. Je vous remercie de tout ce que vous avez préparé pour fêter votre évêque, le grand évêque ordonné par Dieu, l'évêque de l’Eucharistie, l'évêque qui aime les âmes.

Pourquoi Dieu ne pouvait-il pas l’ordonner évêque? Qui sont ces gens qui entendent donner des ordres à Dieu? Dieu peut faire ce qu’il veut et peut choisir n'importe qui et l’ordonner évêque; ceci a fort ennuyé les autorités ecclésiastiques. Nous souffrons du fait qu’elles n’acceptent pas Don Claudio comme évêque. Pourquoi repoussent-elles l'évêque ordonné par Dieu? Vous savez qu’après son ordination épiscopale, le miracle eucharistique a été accompli dans ses mains pendant la consécration. Dieu l’aurait-il accompli s’il ne l’avait pas ordonné évêque ? Mais l'homme est toujours prêt à tuer avec des mots. Souvenez-vous qu’on tue plus avec des mots qu’avec l'épée. Ils ont tué, calomnié et diffamé, c’est pourquoi aujourd'hui vous ne rencontrez pas ici de prêtres, de religieux, de sœurs, ni beaucoup de laïcs. Dans les premiers temps des apparitions j’ai apporté une lettre de Dieu reprenant le décalogue du prêtre. Un commandement y dit que la jalousie conduit à l'envie et l'envie à la calomnie et à la diffamation. Quand la jalousie conduit à l'envie, à la calomnie et à la diffamation, elle devient un fort vilain défaut.

Je ne veux pas vous affliger avec ces reproches maternels; mes chers enfants, vous connaissez bien maintenant toutes les lettres de Dieu, mais je me répète encore afin de bien faire comprendre à tous, grands et petits, que tout devient plus difficile lorsque la jalousie et l’orgueil se déchaînent.

Rappelez-vous lorsque votre prêtre a dit qu’il ne voulait pas de l'épiscopat et a pleuré? Il n'en voulait pas, mais il ne pouvait pas dire non à Dieu et il lui a obéi. Les supérieurs font parfois du chantage avec l’obéissance, comme ils l’ont fait avec Don Claudio: "Ou bien tu reconnais que tu t’es trompé ou tu seras suspendu de tes fonctions. Si tu acceptes tout ce que je te dis, je te ferai évêque, si tu jettes ce morceau de pain tu auras tout". Il devait jeter l’Eucharistie qui avait saigné parce que c'était pour eux un morceau de pain, un phénomène de foire, le fruit d'une intervention diabolique.

Pensez, mes chers enfants, que selon eux, le démon est présent dans ce lieu thaumaturgique choisi par Dieu. Mais ce sont eux qui disent vivre dans la grâce, qui pèchent contre l’Esprit Saint.

Adieu tristesse, pensons à ce second jour de fête et à toute la neuvaine que vous avez faite pour notre et votre évêque. Continuez à prier pour lui et pour le petit nombre de prêtres qui l’aiment, l'estiment et ont foi en lui, ainsi que pour ceux qui ont peur de dire: "Je crois". La victime de la souffrance a souffert la passion pour les prêtres. Elle, la pauvrette, voulait prier pour les laïcs, les malades, pour que les guerres cessent, mais Dieu a voulu cette souffrance aussi pour la conversion des prêtres. Les prêtres étudient la théologie, connaissent bien l’Ecriture, pourtant ils n’aiment pas l’Eucharistie et les âmes. J’aimerais qu’au moins la moitié de mes fils de prédilection se sauvent, c’est pourquoi je vous invite à prier pour eux. C’est aussi pourquoi votre évêque désire que l’anniversaire de son ordination sacerdotale soit la fête du sacerdoce. Naturellement, Nous du paradis et vous de la Terre, nous le fêtons.

Saint Joseph - Mon cher évêque, c’est moi ton Joseph. J’ai été chargé de te dire que tu donnes beaucoup de joie à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, avec ton amour et les souffrances que tu offres. Ce que tu dis est parfois difficile à faire comprendre aux hommes, mais ils savent que Jésus parle à travers toi. J’ai beaucoup de joie à savoir que tu m’aimes et moi du haut du ciel, je t’aide comme je le peux - parce que moi tout comme toi je me considère comme le dernier, même si Dieu m’a placé après Jésus et Marie.

Marisa - Petite, c’est toi qui parle maintenant. O.K.

La Madone - Mes chers enfants, bonne Sainte Messe à tous. Tous mes vœux au prêtre qui veut concélébrer et est venu donner témoignage. Tu es toujours béni par Dieu.

Ensemble avec tout le paradis, mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ceux qui ont eu la force de dire: j'y vais parce que je veux être près de l'évêque Monseigneur Claudio Gatti, pour qu’il ne soit pas seul et puisse avoir beaucoup d’amis près de lui. Je bénis les enfants présents, les enfants malades et ceux qui ne peuvent venir parce que leurs parents ne viennent pas.

Je bénis grand-mère Iolanda; courage, grand-mère Iolanda.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Bonne fête à tous, bonne Sainte Messe à tous. Participez à la Sainte Messe avec tout votre amour et quand vous recevez mon Fils Jésus dans votre coeur, parlez lui et faites silence; silence intérieur et extérieur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, petite. Ils sont tous partis, Don Claudio.

Rome, le 14 mars 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, vous avez récité les prières et du moment que la Sainte Messe et la rencontre biblique font suite à l’apparition, la Maman vous communique tout de suite la lettre de Dieu.

l’un d’entre vous est allé à la maison pour voir comment souffrait votre sœur, mais ne pensant qu'à lui-même et sans se préoccuper de ce qui s'était passé, a parlé d’autres choses; comme il lui reste beaucoup à faire!

A peine la Maman vous a-t-elle dit que vous progressez et vous remercie de ce que vous faites, que quelqu’un recule, parce que l’orgueil se déchaîne en lui, il se sent arrivé et veut carrément prendre la place de l'évêque et commander. Ces personnes parlent également dans le dos des autres; heureusement il y en a peu qui se conduisent ainsi, mais même s’ils sont peu nombreux, ils font souffrir. Je vous ai demandé bien des fois de respecter l'évêque et je vous ai dit souvent: "Personne au monde n’a un évêque comme le vôtre". Combien d’enseignements ne vous a-t-il pas donnés, combien de remontrances même sévères n’a-t-il pas faites, mais en dépit de sa fermeté, de sa force et de son courage, certains continuent à lui manquer de respect.

Vous ne devez pas aimer uniquement l'évêque et la voyante pour les dons particuliers qu’ils ont reçus de Dieu, mais parce que l’amour se donne à tous. Certains continuent à se sentir arrivés et croient posséder un sixième sens pour comprendre les autres. Ils disent aider ceux qui sont en difficulté, mais ne se rendent pas compte qu’ils agissent uniquement par orgueil, qu’ils surpassent l'évêque et lui manquent de respect.

Samedi et dimanche, j’ai été très heureuse de votre conduite, de votre manière de faire, de travailler, d'être unis, avec quelques petits nuages autour et j’ai éprouvé beaucoup de joie à le dire. Mais que s'est-il passé ensuite? L'évêque a dit quelque chose et les adultes ont fait autre chose; l'évêque a donné des tâches, mais eux ont fait le contraire.

Je vous avais dit qu’il y avait à l'extérieur de la communauté, une personne diabolique qui continue à dire du mal, à calomnier et diffamer l'évêque, la voyante et toute la communauté. Je me demande ce que vous avez fait pour défendre la communauté? Vous n’avez rien fait et ne faites rien d’autre que de parler entre vous sans vous rendre compte que vous manquez à la charité, même si ce n'est pas d'une manière grave. Ce sont chaque fois toujours les mêmes qui doivent être réprimandés. Que feriez-vous à la place de l'évêque?

Je vous parle avec beaucoup de douceur, mais aussi beaucoup d’amertume, parce que dès que je vous fais un peu avancer et vous donne une petite poussée, vous reculez. Basta avec ce désir de vouloir toujours se distinguer, de vouloir être les premiers, cela suffit! L'évêque et la voyante vous donnent le bon exemple. Ils ne se sentent jamais les premiers et se mettent sur le même plan que vous. Pourquoi tout cela? Si vous ne relisez pas et ne mettez pas en pratique les lettres de Dieu, comment pouvez-vous marcher sur le chemin de la sainteté? Heureusement que peu se comportent ainsi, car grâce à l’aide du Dieu Tout-puissant, votre évêque a toujours eu la force et le courage de tenir bon. Mes chers enfants, souvenez-vous que si l'évêque faisait comme tant d’autres prêtres qui disent toujours oui, même lorsqu’ils devraient dire non, vous l’auriez détruit encore plus qu’il ne l'est déjà. Ce n'est pas bien.

Il y a quelqu’un qui souffre tant pour l’Eglise, les prêtres et aussi pour la communauté. Vous l’avez vu et croyez-moi, sa souffrance est très grande même si elle reçoit l’aide de Dieu et que c’est une femme capable de bien dissimuler tout ce qu’elle souffre. Elle souffre aussi pour vous, pour tous, parce qu’elle vous aime, mais vous que faites vous? Vous devez cesser de contrôler comment elle s'habille. Laissez-la vivre en paix; sa vie est si dure et si difficile; elle aussi a besoin de tranquillité, de paix et de sérénité. Si vous ne pouvez lui en donner, laissez-la au moins vivre en paix.

Mes chers enfants, c’est une lettre de Dieu douce et amère à la fois, mais ceux qui le veulent peuvent comprendre ce qu’il dit et peuvent changer, parce qu’on peut changer. Vous ne pouvez pas comprendre l'énorme souffrance de mes deux chers petits enfants, parce que vous ne pouvez et ne devez pas le savoir, c’est pourquoi je vous demande de prier beaucoup pour eux.

Marisa - C’est bon. Puis-je te demander quand tout cela finira ? Il était convenu que je devais souffrir mais que les autres ne devaient pas le savoir.

La Madone - Vois-tu, Marisella, je dois faire ce que Dieu me dit, je dois obéir et m’abandonner à lui, comme tu dois obéir et t’abandonner à Dieu. Si tous les hommes s’abandonnaient et obéissaient à Dieu, tout serait plus facile. Il n'y aurait plus de guerres, les mères ne tueraient pas leurs enfants, alors qu’elles continuent à avorter et à commettre tant d’autres vilaines actions.

Oui, Marisella, IHS. Courage! Jésus est ton époux et ne te privera pas de son aide. C’est dur, je le sais; même moi j’ai eu les stigmates invisibles et je sais ce que cela signifie. Courage!

Courage, mes chers enfants, vous aussi ne vous laissez pas aller. Je vous répète encore une fois, remerciez toujours Dieu, tous les jours d’avoir un évêque comme Don Claudio qui vous aide toujours et se tient toujours disponible pour tous. Ne parlez plus dans le dos des autres, ne concourez pas à qui parle le mieux; ce n'est pas beau. j’espère que vous avez bien tout compris. Courage, Marisella, courage.

Ensemble avec l'évêque, je vous bénis tous.

Rome, le 17 mars 2002 - 10h35 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je désirais depuis bien longtemps, te recommander tous ceux qui s'en remettent à mes prières, les malades en particulier, parce que cela me tient beaucoup à coeur.

Quand tu vas demander à Dieu quelque chose pour nous, est-ce qu’il t'écoute, te répond, te dit quelque chose?

La Madone - Tu ne veux rien savoir d’autre, Marisella?

Marisa - Non, je te le demande par curiosité.

La Madone - Je demande tout à Dieu, mais je n’attends pas sa réponse, parce que je vais au milieu des anges et des saints chanter et réciter des psaumes. J’aimerais que vous aussi, vous vous conduisiez ainsi: quand vous demandez quelque chose au Seigneur, apprenez à faire sa volonté et n’attendez pas de réponse parce que Dieu sait quand la donner.

Je demande à votre soeur de prier et de souffrir. Beaucoup de souffrances lui sont demandées et c’est très dur, humainement parlant, mais si Dieu le veut, que sa volonté soit faite. Apprenez à faire la volonté de Dieu, apprenez à obéir à Dieu et vous serez tous heureux et satisfaits.

Il ne reste que deux jours de la neuvaine pour mon époux bien-aimé Joseph, puis ce sera la grande fête mardi. Cherchez à mettre tout l'engagement dont vous êtes capables pour faire une grande fête à mon époux bien-aimé Joseph qui n'est pas aimé de tous et presque oublié. Les saints passent avant lui, alors que je désire qu’il soit mis au premier rang, parce qu’il a vécu caché et dans le silence. Même si aucune de ses paroles n'est reprise dans l’Evangile, il a accompli de grandes actions dans le silence et la clandestinité, comme mes deux enfants. Il n'est pas besoin de sonner matines et de faire savoir à tout le monde ce que l’on fait, Dieu ne le veut pas. Dieu demande uniquement l’amour envers tous et surtout envers celle qui souffre pour l’Eglise, les prêtres, les âmes consacrées, les laïcs, beaucoup d’enfants malades, ceux qui souffrent de la guerre, les parents qui tuent leurs enfants et les enfants qui tuent leurs parents.

Plus vous avancez et plus il devient difficile de vivre sur cette planète Terre et parfois, comme le dit votre soeur, le désir de s'enfuir est grand; mais puisque Dieu veut qu’elle reste sur la terre pour faire le bien, elle reste encore ici-bas. Ceci doit valoir également pour vous, pour tous. Faites du bien, aimez aussi ceux qui ne savent pas aimer. Il y en a tant qui ne savent pas aimer et ne savent parler que de la pluie et du beau temps, mais ne font rien de concret; aimez les aussi, aimez les tous.

Marisa - Je voulais te demander: que dois-je dire à ce prêtre?

La Madone - Marisella, quand les prêtres sont bons ils tombent parfois dans le piège tendu par ce genre de personnes. Par contre quand ils sont méchants, rien ne les intéresse de ce qui se passe autour d’eux et ils sont gagnants. Ce prêtre ne doit pas suivre cette route.

Marisa - Comment dois-je faire pour le lui dire?

La Madone - L'évêque y pensera, ce n'est pas à toi de parler au prêtre.

Marisa - C’est bon, j’en suis heureuse, cela ne me déplaît pas de me retirer en silence.

Pourrais-tu apaiser un peu mes douleurs? Tout mon corps est dévoré par la souffrance, ma maman me regarde et puis souffre en me voyant souffrir.

La Madone - Courage, le carême se termine, faisons la divine volonté jour après jour et puis nous verrons ce que Dieu décide. En attendant embrassons cette journée, demain est un autre jour.

Marisa - Je ne sais que dire. C’est bon, embrassons cette journée.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous remercie de votre présence. Que celui qui a commencé le chemin spirituel, continue à le suivre; que celui qui ne s'est pas encore mis en chemin, s'y mette aujourd'hui. Cette vie spirituelle s’avère difficile pour beaucoup d'hommes mais est facile pour ceux qui disent: "Que ta volonté soit faite, oh mon Dieu".

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je dois toujours dire oui. C’est bon, j’en parlerai à l'évêque. Adieu.

Rome, le 19 mars 2002 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Oh, Saint Joseph! Quelle joie de te voir ici parmi nous. J’ai tant de choses à te dire et tant de personnes à te recommander, mais tu sais déjà tout ce que chacun de nous désire te demander. Tu es pour nous, l'homme chaste, le gardien de l’Eucharistie.

Saint Joseph - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui ma fête. Quel âge aurais-je si vous me fêtiez tous les ans? Mais parlons de la sainteté. Qu’est-ce que la sainteté? Il n'est pas difficile de devenir saint, il suffit de s’abandonner à Dieu et c’est ce que j’ai fait dès les premières années de ma vie. Je suis heureux que Dieu m’ait chargé de vous apprendre combien d’autres âmes se sont converties. Pensez qu’il y a un an, le 19 mars, leur nombre n'était que de 90 et qu’aujourd'hui nous en sommes à 3 milliards et 250 millions d'âmes converties. Ceci nous réjouit tous beaucoup au paradis et doit vous réjouir également, vous qui avez prié et fait la neuvaine, même s’il y a eu ces nuages qui ne vous laissent jamais en paix. Le démon a tenté de faire quelque chose de très mal: il a cherché à pousser des personnes qui n'étaient pas dans la grâce de Dieu à dire du mal de l'évêque et de la voyante. Ces personnes sont diaboliques et ne pensent qu'à elles. Il y a eu beaucoup d'obstacles, petits et grands, mais vous avez continué à prier et à venir dans le lieu thaumaturgique et Dieu vous a promptement récompensés en convertissant 150 millions de personnes supplémentaires; nous en sommes maintenant à 3 milliards et 250 millions de conversions.

Je sais que tu as du mal à dire les nombres, Marisella, mais ne t’en fais pas, je ne m'en fais pas non plus.

Marisa - Tu ne te fais pas de soucis, parce que tu sais tout.

Saint Joseph - Ma grande joie est surtout de voir votre évêque plein d’amour, même s’il est accablé par tant de souffrances. Vous ne pouvez pas comprendre à quel point il souffre et aime. Moi aussi j’ai souffert et beaucoup aimé, mais quand on aime, la souffrance est moindre. Quand on aime, on arrive à accepter n'importe quel sacrifice, comme de faire la veillée pendant laquelle vous ressentez la fatigue ou le sommeil. Vous êtes maintenant ici avec moi et nous glorifions ensemble Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Continuez à prier. Comme le dit mon épouse bien-aimée, vous êtes peu, mais Jésus préfère que vous soyez peu mais saints; peu de prêtres, mais saints, ce n'est pas le nombre qui compte mais la sainteté et vous voulez devenir saints. Dieu m’a dit: "Joseph, va toi chez mes chers enfants, va voir l’Evêque et donne lui beaucoup de force, de courage et d’amour même s’il a beaucoup à donner et à offrir à tous".

Priez, priez pour tous, grands et petits: pour les hommes d’eglise, les hommes politiques, les malades et ceux qui sont en guerre; pour les parents qui n’aiment pas leurs enfants et les enfants qui n’aiment pas leurs parents. Souvenez-vous qu’on ne rend pas heureux un enfant avec de l’argent mais avec l’amour; il faut beaucoup d’amour et de compréhension envers les enfants. Les enfants doivent également faire preuve de compréhension envers leurs parents dont la mentalité est différente, mais qui les aiment. Vous au moins qui êtes ici présents, qui faites partie de cette communauté, aimez-vous tous, parce que Dieu vous veut saints.

Je sais que vous êtes fatigués, essoufflés et avez besoin de repos, c’est pourquoi je vous laisse dans le Coeur de Jésus, de Marie, Mère de l’Eucharistie, mon épouse.

Marisa - Tu t’en vas comme ça?

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre maman et je vous remercie de votre présence. Mon époux bien-aimé a parlé pour tous.

Ensemble avec mon et votre évêque et tout le paradis, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis les enfants présents et ceux qui sont absents. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis le petit enfant de choeur Jacopo qui sert si bien à l’autel.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel comme le faisait mon époux bien-aimé qui nous couvrait de son manteau, le petit Jésus et moi, quand le vent soulevait le sable dans le désert.

Tous mes vœux à ceux qui s’appellent Joseph, à tous les malades et à ceux qui réussissent à faire la volonté de Dieu. Tous mes vœux à toi, père spirituel de cette communauté.

Courage, Marisella, le carême n'est pas encore terminé mais comme tu le vois, nous t’aidons sinon tu n'y arriverais pas.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Adieu ma petite. Adieu à tous.

Rome, le 21 mars 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus. Je ne devrais pas être aujourd'hui parmi vous, mais je suis venu parce que je vous aime. Aujourd'hui encore, deux mille ans après, je suis toujours harcelé, poignardé, bafoué, calomnié et diffamé comme cela arrive à mes deux petits enfants.

Jésus ne vous abandonnera jamais. Je suis venu sur la Terre pour les malades et non pour ceux en bonne santé, car ceux-là n'ont pas besoin de médecin. Combien sont malades, parce qu’ils sont nés et ont grandi dans le mensonge, la calomnie et la diffamation! Votre sœur souffre énormément tous les jours. Pourquoi certains d’entre vous la font-ils aussi souffrir? Elle est alitée, seule, malade, a des souffrances atroces, mais il y en a qui ne le comprennent pas, n'éprouvent ni pitié, ni compassion et s’ils le peuvent, lui répondent et la maltraitent. Grâce à Dieu, seules deux ou trois personnes se conduisent ainsi. Pourquoi tout cela? La Maman et moi nous vous parlons toujours de l’amour, mais quel amour éprouvez-vous pour votre évêque et la voyante? Pourquoi vous justifiez-vous toujours et dites des mensonges? La vérité est si belle, la vérité donne joie, lumière, donne tout.

Je suis venu pour les malades, mais pour les malades qui veulent guérir; pour ceux qui ne veulent pas guérir, je me retire, car je ne peux les aider s’ils ne veulent pas être aidés. Ceci s’applique à tous, grands et petits: un malade ne veut pas du médecin s’il ne veut pas être aidé. Alors, le médecin se retire; c’est ce que fait votre Jésus. Si vous voulez être aidés, je me dévoue pour vous et votre évêque vous aide, mais si vous voulez vous distinguer, allez où votre orgueil et votre dédain peuvent triompher car c’est ici un lieu saint et thaumaturgique, un lieu choisi par Dieu, où il n'y a ni premier, ni second, ni troisième. Ici, vous êtes tous sur le même plan; seul votre évêque vous est supérieur, parce qu’il doit vous aider, vous enseigner et vous aimer et il vous aime vraiment. Jésus vous garantit que votre évêque vous aime et que la voyante aussi vous aime. Elle souffre tant, parce qu’elle n’a pas l’amour de ceux qui vivent dans la maison et qu’elle appelle frères et soeurs. Ils n'éprouvent ni pitié, ni compassion en voyant son visage, ses mains, ses pieds et son côté ensanglantés; ils ne sont pas impressionnés plus que cela, ni émus, mais l’ont fait souffrir jusqu'à la faire pleurer. Croyez-moi, ce n'est pas beau, cela ne plaît ni à Jésus, ni à Dieu le Père, le Saint Esprit et la Mère de l’Eucharistie.

Je me demande: pourquoi vous, qui avez tant reçu de Dieu, agissez ainsi? Pardonnez moi ma franchise, mais je ne veux absolument pas que cette pauvre créature ait à souffrir, même par votre faute. Elle souffre déjà du fait de sa santé, et il ne doit pas se faire que des personnes la fassent souffrir volontairement, en parlant contre elle et en la maltraitant. Je veux espérer qu’au moins dans l’une de ces personnes, il n'y ait pas la volonté de la faire souffrir. Pourquoi ne la laissez-vous pas en paix et jouir de ce que Dieu lui permet ensemble avec l'évêque, ses chers petits neveux, la maman et le petit Emmanuele qui vit ici avec eux ? Pourquoi sa maman doit-elle toujours la voir souffrir? Elle a crié aujourd'hui: "Cela suffit, ne faites plus souffrir ma fille!". Pourquoi faut-il en arriver là ?

Marisa - Tu me le demandes? Sincèrement je ne le sais pas, mais s’ils sont contents en agissant ainsi, laissons les faire.

Jésus - Non, Marisella, Je n’ai pas enseigné cela, votre évêque ne l’a pas enseigné et la situation est plus grave que ce vous pouvez imaginer; la jalousie et l'envie se déchaînent surtout à ton égard.

Marisa - Envers moi? Telle que je suis? Alors cela me fait de la peine.

Jésus - Mes chers enfants, priez pour chacun de vous, aimez-vous les uns les autres comme je vous aime, comme votre évêque vous aime, comme la voyante vous aime. Je ne vous ai jamais dit auparavant que Marisella vous aime et est l’unique voyante au monde qui sait souffrir et aimer.

Je ne veux rien dire d’autre parce que vous devez participer à la Sainte Messe. Je serai de nouveau avec vous pendant la consécration, lorsque le pain et le vin deviendront mon corps et mon sang.

Courage, je ne vous dis cela que pour vous aider. Avec quelle ardeur faites-vous souffrir un être humain qui a déjà tant de souffrances surnaturelles? Vous vous sentez de plus offensés et faites la moue, ne parlez pas ou répondez mal; ceci n'est pas beau aux yeux de Dieu. Cela ne me plaît pas, la lettre de Dieu était différente mais au dernier moment Dieu a donné cette lettre. Je l’ai prise à la maman, car elle aurait souffert en la lisant et je lui ai dit: "Maman, ne te fais pas de soucis, j’apporterai la lettre".

Vous faites la fête, faites des cadeaux à l'évêque et la voyante, faites voir que vous les aimez, mais que faites-vous ensuite derrière leur dos? Cela suffit! Je veux vous amener à la sainteté, je veux vous amener au paradis et je continue à venir ici parmi vous pour vous conduire au paradis. Le paradis existe et l'enfer existe aussi; vous ne pouvez pas vous imaginer combien d'âmes souffrent dans l'enfer à cause de l’orgueil, du dédain et de la vengeance. Voulez-vous peut-être ceci?

Mes chers enfants, Jésus vous remercie, mais je vous remercie surtout si vous mettez en pratique ce que je vous ai dit. Demandez pardon, faites des excuses à celle que vous avez fait souffrir, mais la demande du pardon doit être définitive, vous ne devez pas demander pardon tous les jours et vous confesser; si vous agissez ainsi, vous n’avez rien compris. Adieu, ma douce épouse.

Marisa - Adieu, Jésus.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Je suis venue pour vous saluer. Mettez en pratique ce que mon Fils Jésus vous a dit. J’ai beaucoup souffert, mes deux petits enfants ont beaucoup souffert et grand-mère Iolanda souffre de voir souffrir sa fille. Marisella est sereine même lorsque la passion arrive et que les stigmates s'ouvrent, parce qu’elle sait que cette souffrance contribue à sauver beaucoup d'âmes. Mais les souffrances qu’elle éprouve quand les créatures de la Terre la blessent, l'humilient et la maltraitent, ne sont pas voulues par Dieu. L'évêque qui était aujourd'hui présent, sait comment vont les choses. C’en est assez, mettez en pratique ce que mon Fils Jésus vous a dit.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je te bénis toi, grand-mère Iolanda; ne souffre pas pour ta fille, prie pour elle et offre tout au Seigneur. Je bénis les enfants qui dorment en ce moment. Je bénis en particulier les malades de corps et d’esprit.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, ils sont partis.

Rome, le 24 mars 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est beau de voir Jésus entrer à Jérusalem. C’est une scène merveilleuse, ravissante.

La Madone - Oui, Marisella, tout ce que tu vois est beau. Mes pauvres enfants ne voient rien, mais ont fort bien compris ce qui se passe ici. Tout le monde, même ceux qui ne croient pas, continuent à élever des palmes et à crier "Hosanna au fils de David".

C’est une grande fête, un grand triomphe, mais je sais dans mon coeur que lorsque cela finira, ce sera la mort de mon Fils Jésus, de Celui qui s'est donné tout entier pour les hommes, qui a toujours fait de grands miracles et de grandes guérisons; en fait après "l'Hosanna" si éclatant, si beau et puissant, il y a la "Croix". Mais aujourd'hui, nous exultons, nous chantons "Hosanna" à mon Fils Jésus, à celui qui aime et continue à aimer les hommes, même si ceux-ci ne sentent pas son amour. Ils se rendent à Saint Pierre et dans d’autres églises, mais ne sentent pas dans leur coeur le vrai motif pour lequel on chante "Hosanna au fils de David". Les prêtres n'en expliquent pas la signification véritable à ceux qui fréquentent l'église ce jour-là, plus que les autres jours, les autres dimanches et autres jours de fête. Le dimanche des Rameaux ils ne chantent "Hosanna" (sauve-nous) que pour chanter. Vous quand vous chantez "Hosanna", pensez à ce que vous dites, peu importe d’avoir une belle voix, pensez aux paroles. Chantez "Hosanna au fils de David" de tout votre coeur et avec tout votre amour.

Que ceux qui ne sont pas en état de grâce, ne s’approchent pas pour recevoir mon Fils Jésus parce qu’ils commettraient un péché grave, un sacrilège. Ils doivent faire auparavant une bonne confession et surtout sincère; s’ils ne font pas de vraie confession, il est inutile qu’ils reçoivent mon Fils Jésus. Vous êtes toujours prêts à vous excuser et à accuser, à dire des mensonges et des faussetés, mais ce n'est pas de vous. Continuez à porter en avant le chemin fait et chantez de tout votre coeur et avec tout votre amour "Hosanna au Fils de David". Cet "Hosanna" devrait toujours être chanté dans vos coeurs, tous les jours.

Chaque jour devrait être la Pâques de la Résurrection, chaque jour devrait être Noël; il n'est pas besoin d’attendre les grandes fêtes pour faire fête. Pour vous chrétiens, pour vous qui fréquentez ce lieu thaumaturgique, ce devrait être fête tous les jours, vous devriez être toujours unis à mon Fils Jésus, à la Mère de l’Eucharistie et à mon époux Joseph.

Courage, la Maman est avec vous. Je vous invite à prier pour votre soeur qui hier soir et cette nuit a continué à saigner et à souffrir la passion, une passion véritable, sanglante et fort douloureuse. Priez, afin qu’elle ait la force de la supporter. Il est peu probable qu’elle se lamente, vous la voyez souvent sourire, plaisanter, se moquer d’elle-même pour cacher ce qui la fait souffrir. C’est ainsi qu’elle ne s'effondre pas, ne se décourage pas; quelques larmes ont coulé sur son visage, mais elles sont davantage dues à la souffrance que lui causent les hommes qu'à celles que lui donne Jésus. Prenez donc exemple sur elle. N'exigez pas d’elle toujours plus, elle n'est pas parfaite car c’est une créature comme vous; la différence est qu’elle souffre la passion de Jésus et vous pas, aidez-la donc avec vos prières et chantez tous les jours "Hosanna au fils de David". Chaque jour devrait être la Pâques de la Résurrection, devrait être Noël; n’attendez pas les grandes fêtes pour partir en vacances, pour manger mieux et plus. Regardez, votre sœur, la pauvrette ne peut manger parce qu’elle doit suivre les prescriptions médicales, elle ne peut donc également pas se réjouir de cela.

Nous voulions lui demander une semaine de jeûne, toujours si son évêque et directeur spirituel est d’accord; un jeûne de pain et d’eau.

Marisa - Je ne sais pas si je pourrais le faire.

La Madone - Tu feras ce que ton directeur spirituel te dira, lui te commande, tu n'es rien. Dois-je te répéter que tu ne vaux qu’au moment de l’apparition et lorsque tu souffres la passion? Tous ne peuvent le comprendre. Le parfum qui émane de ton corps et que tous sentent provient du fait que je suis en toi et que Jésus est en toi.

Aimerais-tu faire le jeûne pour sauver cent mille âmes supplémentaires?

Marisa - Cent mille? Cent millions.

La Madone - Que fais-tu, tu me fais chanter?

Marisa - Je suis prête à tout, mais je dois écouter ce que dit mon directeur spirituel et devrais également savoir ce qu’en pense le docteur.

La Madone - C’est bon. Nous te l’avons dit, l’important est que tu obéisses. L’obéissance est une vertu si belle, elle te donne force et courage, obéis donc à celui qui est au-dessus de toi.

Mes chers enfants, merci de votre présence.

Quand l'évêque entrera, brandissez les rameaux d'olivier et les palmes et chantez avec joie "Hosanna au fils de David".

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Je bénis tous les malades alités en ce moment, tous les enfants et toutes les personnes âgées; je bénis ceux qui ont quitté cette terre et surtout leurs parents. Que Dieu les accueille dans son royaume.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle a béni tout le monde.

Rome, le 28 mars 2002 - 21h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es arrivé triomphant et en fête. Tous les apôtres sont près de toi.

Jésus - C’est le jour de l’institution de l’Eucharistie et de l’ordre, deux sacrements très grands, très importants, purs et chastes pour ceux qui sont purs et chastes.

Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus qui vous parle. Je suis heureux d’avoir donné ma vie pour vous tous et de vous avoir rouvert le paradis. Aujourd'hui, jeudi Saint, j’ai institué l’Eucharistie et l’ordre. Toute l’année passée et les premiers mois de cette année 2002, j’ai demandé à Marisella de souffrir avec Moi la passion: c’est pourquoi tant d'âmes ont été sauvées, mais peu de prêtres se sont convertis. j’espère et désire que les prêtres donnent beaucoup plus: ils ont beaucoup reçu et je veux qu’ils donnent le double de ce qu’ils ont reçu. Qui peut être meilleur que le maître? Personne. Je suis le Maître, mais je suis également votre serviteur, je suis ce Jésus qui a lavé les pieds à ses disciples, je suis Celui qui a racheté le monde et donné sa vie pour tous les hommes. La vie vient après la mort, la vraie vie, celle qui plaît à tous ceux qui croient et aiment surtout moi, Jésus Eucharistie.

C’est aujourd'hui un jour très important, mais tout le monde ne le comprend pas, car on ne l'explique pas. Les prêtres se contentent de lire l’Evangile mais sans l'expliquer; l’Evangile doit être bien expliqué. Le prêtre doit transmettre à l'homme la Parole de Dieu, mais cela n'est pas fait, le temps manque et il y a beaucoup à faire. Dans beaucoup de paroisses, il y a beaucoup de prêtres, ces jours-ci en particulier, parce que des prêtres étudiants qui ont terminé l'école viennent pour aider. Mais le temps manque pour expliquer la Parole de Dieu. Pourquoi votre évêque trouve-t-il lui le temps de tout préparer, de tout faire, en cherchant à donner le meilleur de lui-même?

(Marisa vit la passion)

Marisa - Seigneur, quand tout cela finira-t-il ? Tu m’as promis que cela finira, tiens ta parole.

Jésus - Bois, mon enfant.

Marisa - Jésus, Tu m’as promis que lorsque le Carême se terminerait, la passion se terminerait aussi.

Jésus - Oui, ma fille, c’est aujourd'hui une journée très dure, très difficile, mais tu dois souffrir pour aider mes fils de prédilection. Moi, Jésus, je te remercie, mon épouse bien-aimée, parce que tu réussis à te surpasser, à parler, dialoguer, bien que ton coeur soit percé d'une lance. Une lance m’a transpercé et t’a transpercée.

Mes chers enfants, votre Jésus vous remercie tous de ce que vous avez préparé, et si quelque chose n’a pas bien réussi c’est parce que vous ne pouviez la faire. Les prêtres peuvent donner plus, mais ils ne le font pas à moins que ce ne soit pour les journalistes et la TV; vous faites tout ce que vous pouvez faire parce que je vous ai enseigné l’amour.

Je vous attends demain et ce sera une journée d’amour très grand. J’aurai de l’amour envers vous et vous en aurez envers moi et finalement nous nous réjouirons tous ensemble.

Courage! A toi, ma fille, mon épouse bien-aimée, je dis merci, tu as été vraiment héroïque en supportant toute la souffrance.

Marisa - Jésus est parti avec tous les apôtres.

La Madone - Après les paroles de mon Fils Jésus, que puis-je dire moi, la Maman, devant tant de grandeur et de beauté? Je peux seulement vous dire: aimez-vous comme Jésus vous aime.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, et vos objets sacrés. Je bénis les enfants qui sont ici présents: Samuele, Jacopo et le petit Emanuele qui dort, et les autres enfants qui à cette heure reposent avec les anges. Je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ

Courage, ma fille.

Marisa - Tu ne nous dis pas les millions? milliards? Attends un peu, milliards ou millions?

L’Evêque - Milliards et millions.

Marisa - Milliards et millions.

La Madone - Tu sais que tu as sauvé beaucoup d'âmes.

Marisa - Oui, mais à combien sommes-nous arrivés?

La Madone - Je te le dirai dimanche.

Marisa - O.K.

La Madone - Adieu, ma fille.

Marisa - Rappelle-toi que tu me l’as promis. Ne fais pas en sorte que tu ne viennes pas parce que tu as pris froid ou attrapé la grippe et m'envoies Jésus qui lui ne me dira pas le nombre de personnes converties.

C’est bon, adieu. Adieu, petite.

Ils sont tous partis. Ils ont formé le cénacle: Jésus avec tous les apôtres autour de lui; mais ils n'étaient pas assis, mais étendus. Puis-je le dire?

L’Evêque - Oui, oui on peut le dire.

Marisa - Dis-tu étendus ?

L’Evêque - Non, moi je dis, allongés.

Rome, le 30 mars 2002 - 23h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus. Tout ce que vous avez fait ces jours-ci était merveilleux, mais ce qui m’a frappé et poussé à venir parmi vous a été le Chemin de Croix : un chemin de Croix doux, sensible, profondément ressenti.

Je ne pouvais pas venir ensemble avec ma Maman, mon papa et tous les anges et les saints. Je suis maintenant ici avec vous. Ma Maman a participé à la Sainte Messe avec vous, à côté de mon prêtre préféré, l'évêque ordonné par Dieu.

Ils sont en fête dans beaucoup d’autres églises, mais les fidèles n'ont pas en eux l'harmonie et la douceur que vous avez démontrées. Vous avez couru d'une place à l’autre avec beaucoup de sacrifices, en cherchant à faire du mieux possible pour mon Coeur, pour votre Jésus qui vous aime.

Je suis mort sur la croix, mais je vis pour vous, au milieu de vous.

Tous mes vœux à tous.

Pour ceux qui n'ont pas compris l’importance de ce lieu, patience! Je suis ici.

Merci à tous d’avoir participé pendant ces trois jours si beaux, aux cérémonies liturgiques préparées avec amour et intelligence.

Marisa - Maintenant les apôtres emportent Jésus.

La Madone - Je reste moi, votre Maman. Ne vous faites pas de soucis, je vais bientôt vous envoyer dormir, je vous adresse uniquement tous mes vœux de tout mon coeur. Je vous remercie de ce que vous avez fait pour mon Fils, pour votre Jésus. Tous chantent alléluia, alléluia, alléluia: Gloire à Dieu au plus haut des Cieux, gloire à Jésus qui vous a tant aimé et continue à vous aimer.

Tous mes vœux à tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, en chantant dans votre coeur alléluia au Dieu ressuscité, alléluia, alléluia.

Marisa - Pourrais-tu m’avertir quand tu viens.

La Madone - Je viens quand Dieu le Père me dit de venir pour vous parler.

Courage, Marisella, pour le moment, ta grande souffrance est sur le point de se terminer. Dieu allonge ses temps.

Marisa - Que sa volonté soit faite. Que dois-je dire?

La Madone - Adieu, ma fille.

Marisa - Adieu. Don Claudio n'est pas là?

L’Evêque - Je suis là.

Rome, le 31 mars 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est aujourd'hui la fête de la Résurrection, qu’elle le soit pour tous. Donne-nous un peu de sérénité et de paix. Je veux te recommander tous les malades et ma maman; beaucoup de malades sont ici présents. Fais que ce soit une Pâques de Résurrection aussi pour nous. Merci.

La Madone - Mes chers enfants, alléluia, alléluia. Le Christ est ressuscité et est fêté par tous mais ce devrait être surtout une fête spirituelle. Vous ne savez pas que beaucoup de personnes ne vont pas à la Messe et ne viennent pas ici parce qu’elles doivent préparer le dîner, car elles ont des invités. Amenez les invités à la Sainte Messe et préparez avant le repas.

Nous avons aussi fêté la Résurrection, surtout en nous unissant au Christ ressuscité. Pendant la passion, mon époux bien-aimé était toujours près de moi. Personne ne savait combien j'étais proche de mon Fils Jésus pendant sa passion. A sa résurrection, la famille s'est réunie et les apôtres étaient de nouveau avec Jésus. Il est ensuite retourné vers le Père mais est toujours resté avec nous dans l’Eucharistie. Je vous parle toujours de l’Eucharistie et votre évêque vous parle de l’Eucharistie; aimez l’Eucharistie, aimez Jésus Eucharistie.

Je veux encore vous remercier de la façon dont vous avez préparé les cérémonies de la semaine sainte, avec gravité et engagement. Pensez que si beaucoup de personnes avaient été ici présentes, combien de grâces Dieu aurait données ? Mais les hommes veulent se rendre dans les grands lieux, là où il y a beaucoup de monde et même s’ils sont au dernier rang et ne voient rien, ils préfèrent y aller. Ils ne comprennent pas encore que ce lieu est thaumaturgique, est saint.

Criez toujours alléluia, parce que ce doit être toujours alléluia. Je vous ai déjà dit dans un message: qu’il n'existe pas de jour de Pâques ou de la Nativité de Jésus parce que chaque jour doit être Pâques, doit être Noël et que vous devez crier tous les jours alléluia, alléluia, alléluia. C’est ce que je veux de vous. Peu importe que vous ne soyez pas nombreux; même si vous n'êtes pas nombreux, vous voyez que votre évêque vous parle; que Jésus vient parmi vous et que je suis avec vous.

Maintenant, Marisella, donne-moi la petite Elisa.

Marisa - Regarde comme elle dort, si tu la réveilles ce sera de ta faute et non de la mienne.

Celle-ci sera d'ici peu une nouvelle chrétienne et dans très peu de temps aussi tienne. Aide la et bénis-la toujours, fais-la croître bonne et sainte.

La Madone - C’est ainsi, tout enfant devrait être présenté au temple, tout enfant devrait être consacré à Jésus et à Marie.

Tous mes voeux à tous, mes chers enfants.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Oui, c’est Emanuele, il chante et te parle aussi.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, alléluia, alléluia, alléluia.

Marisa - Adieu. Elle est partie. Il y avait toute une rangée d’anges et de saints.

Messages d’avril 2002

Rome, le 4 avril 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous remercie d'être venus écouter la Parole de Dieu et surtout participer à la Sainte Messe.

La lettre de Dieu ne contient que peu de mots: prière, sacrifice et amour. Où il y a la prière, le sacrifice et l’amour, il y a Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Je désire, tout comme votre évêque, que vous fassiez samedi une journée de prière pour la paix dans le monde afin que les guerres cessent. Je n’ai pas dit "la guerre", mais bien "les guerres", parce qu’il y en a beaucoup.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Cela aurait été mieux pour nous que la lettre soit un peu plus longue.

La Madone - Vous devez participer à la rencontre biblique et à la Sainte Messe, allez donc tous en paix. Adieu, Marisella.

Marisa - Aide-moi. Adieu, petite.

Rome, le 6 avril 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Mon cœur est triste parce que vous ne répondez pas tous à l’appel. J’avais demandé que l’on fasse aujourd'hui, premier samedi du mois, une journée de prière pour la paix. Je sais que lorsqu’il fait beau, les familles veulent sortir, aller se promener, mais le premier samedi n’a lieu qu’une fois par mois et pour les autres vous n’avez pas d’engagements, vous êtes libres. J’ai demandé de prier pour la paix dans le monde et je vous demande maintenant de prier pour la paix dans la communauté et les familles; que la paix règne entre parents et enfants, entre enfants et parents et entre vous.

Il n'y a pas de paix sans amour et il n'y a pas d’amour sans prière, sacrifice et jeûne pour ceux qui peuvent le faire. Il n'y a pas d'obligation, mais ceux qui veulent aider leur prochain peuvent le faire. Quand nous vous demandons de prier pour la paix, peu y répondent alors que quand il faut se rendre à Saint Pierre parce que le Pape a demandé un jour pour la paix, tous y courent, comme si le Pape les voyait tous un par un. Quand nous vous demandons de venir prier pour la paix dans ce lieu thaumaturgique, vous êtes peu à y répondre. Ceux qui travaillent et ne sont pas à Rome sont excusés, mais ceux qui sont à Rome, même s’ils habitent loin, doivent venir. Il n'est pas difficile aujourd'hui de se déplacer en ville d'un lieu à l’autre, alors que ce l'est pour ceux qui viennent de l'étranger. Même moi, j’ai beaucoup voyagé et parcouru bien des chemins. Je n'étais pas motorisée et j’avais parfois un petit âne. Pouvez-vous vous imaginer quelle fatigue c'était pour nous de parcourir cent cinquante kilomètres avec l'ânon, au milieu des épines, des ronces et des pierres; mais nous sommes toujours allés où Dieu le voulait.

Quand je vous ai demandé de prier pour la paix dans le monde, je vous ai dit que cette paix était liée à la paix entre vous, dans les familles et la communauté où la fraternité et l’amour qui viennent à manquer malheureusement, devraient régner. Si quelqu’un est réprimandé, il se sent irréprochable et dit: "Je ne me sens pas comme me décrit celui qui me reprend, je ne me sens pas mauvais, je suis bon". Qui est bon? Qui est saint? Qui est maître? Dieu seul. Comment peux-tu, simple créature, te juger bonne, te faire même juger comme sainte par les autres ? La prière ne consiste pas à s’agenouiller la tête baissée et à prier, mais à aimer le prochain, en particulier ceux qui souffrent, à obéir et à accepter la correction fraternelle. Vous attendez que les âmes se convertissent, mais vous est-ce que vous vous sentez convertis ou encore chancelants, grandissant en orgueil et vanité ? Vous vous lamentez parce que Dieu n’a pas dit combien d'âmes se sont converties. Dieu ne vous a pas dit "je vous dirai", il a dit à la voyante "je te dirai". Aujourd'hui, en fait, la voyante sait combien d'âmes se sont converties, mais elle ne doit pas en parler parce que Dieu lui a défendu de le dire tant que vous créatures ne ferez pas preuve pas de grande reconnaissance envers Dieu. Vous avez tant reçu de Dieu et de votre évêque. Vous avez joui des apparitions eucharistiques, des apparitions de la Mère de l’Eucharistie, vous avez vu tant de miracles de vos propres yeux, vous avez vu votre sœur verser le sang pour la paix et les conversions. Qui êtes-vous pour vous lamenter parce que Dieu n’a pas fait ce qu’il a dit? Dieu peut aussi repousser ce qu’il dit. Et souvenez-vous en bien, surtout ceux qui connaissent bien l’italien, il n’a pas dit "Je vous dirai", mais "je te dirai".

Je me répète: la voyante sait et avec elle celui qui doit le savoir.

Ne vous préoccupez pas de cela, préoccupez vous plutôt de prier, d’aimer, de faire des sacrifices et de vous aimer entre vous. Vous avez formé de petits groupes, selon vos lieux de provenance de Rome. Non! Vous devez vous aimer tous, grands et petits; il n'est pas mieux ou plus mauvais d'être le premier ou le dernier, vous êtes tous égaux pour Dieu; celui qui peut faire un pas de plus vers Dieu, c’est l'évêque, mais vous, vous êtes tous égaux. Aidez-vous et aimez-vous réciproquement. Demandez la paix car si demain la guerre se poursuit et s'étend, ce sont vos enfants et vos petits-enfants qui en souffriront. Ne pensez pas à autre chose, demandez seulement la vraie paix, avant tout en famille, entre vous, au sein de la communauté, entre parents et amis et vous verrez que la prière, la vraie, la grande pourra aussi faire cesser les guerres et éviter tant de morts. Ils sont si nombreux encore à mourir.

Jésus et la maman remercient de toute façon ceux qui ont répondu à la demande de faire un jour de prière pour la paix et tiendront compte des sacrifices et des prières que vous avez faits. Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants. Je te bénis, grand-mère Iolanda. La souffrance t’use avec ta petite fille. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Pardonnez-nous, si nous ne savons pas être bons comme tu le désires, aide-nous à le devenir parce que nous cherchons à aimer, mais nous sommes des hommes. Est-ce vrai que tu nous aides tous?

La Madone - Je vous aide, mais vous devez mettre en pratique ce que Jésus et la petite Madone vous disent.

Adieu, Marisella, merci de ce que tu fais pour l’Eglise et le monde entier.

Marisa - Adieu.

Rome, le 7 avril 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, je suis venue aujourd'hui pour ceux, qui avec sacrifice et amour, ont pu faire la journée de prière. Je parle devant Jésus-Eucharistie qui a saigné pour la seconde fois. Vous savez que lorsqu’une grande hostie saigne, c’est à cause de la situation spirituelle des prêtres et quand ce sont des petites, c’est à cause des laïcs. La Maman vous remercie aussi de la procession du Saint Sacrement que vous avez faite en silence et avec beaucoup d’amour.

Vous commencez peu à peu à comprendre que cela coûte peu de chose de faire tout avec amour. Comme je vous l’ai déjà dit maintes fois, prières, sacrifices, petites privations et le jeûne aussi, pour ceux qui peuvent le faire, sont nécessaires pour arriver à l’amour; c’est ainsi que vous arriverez à l’amour le plus grand et le plus beau, à l’amour envers Dieu. Dieu est Amour et vous aime tous, Dieu vous a créé à son image et ressemblance et désire beaucoup que les prêtres de prédilection et les laïcs qui se disent engagés, cheminent sur le droit chemin.

Cela fait plus de deux mille ans que Jésus est entré triomphant dans Jérusalem, puis a été crucifié. Depuis deux mille ans, les hommes disent qu’ils aiment et glorifient Jésus, ils participent à la Sainte Messe par habitude et puis, la célébration une fois terminée, tout se termine et ils passent "de l'Hosanna à la Crucifixion". Pour mettre Jésus en croix, pour le clouer sur la croix, il suffit simplement que vous ne vous conduisiez pas bien et n’aimiez pas votre prochain.

Votre évêque a dit de faire trois jours de prière pour la préparation de la fête de la Mère de l’Eucharistie qui devait être célébrée le 25 mars, mais a été repoussée parce qu’elle tombait pendant la semaine sainte. Que ceux qui le peuvent, viennent et restent avec Jésus. Un horaire a été fait, mais ceux qui veulent venir avant pour prier, qu’ils viennent quand ils le désirent. s’il n'y a qu’une seule personne, l'église restera ouverte, parce que Jésus vous attend tous. Il suffit que ceux qui veulent aller à l'église sonnent à la porte et disent: "Je veux rester avec Jésus et prier". Mais si vous vous en allez, vous devez avertir car les églises de Rome ne peuvent rester ouvertes sans que quelqu’un soit présent, sinon d’autres personnes qui ne veulent pas prier et n’aiment pas l’Eucharistie pourraient y entrer; comme ces pauvres jeunes dévoyés qui cherchent à dérober quelque chose, pour le vendre et acheter ensuite ce que vous savez.

Mes chers enfants, mon époux bien-aimé Joseph est à côté de moi. Il est le gardien de l’Eucharistie, on ne pouvait lui donner de titre plus grand et plus beau. Priez et dites: "Saint Joseph, gardien de l’Eucharistie, prie avec nous"; c’est si beau.

Il n'y a pas foule dans ce lieu thaumaturgique, pas de prêtres non plus, un seul, un évêque et peu de personnes. Ce lieu devrait être plein de monde, mais les hommes continuent malheureusement à se rendre là où il y a foule, où l’on ne parvient pas à prier et où les prêtres ne suivent pas les âmes. Ici en dépit de tout, le prêtre suit ceux qui veulent être aidés.

Mon petit troupeau, contentez-vous de ce lieu thaumaturgique parce que vous y gagnerez le paradis si vous vous conduisez comme vous l'enseigne votre évêque, car Jésus parle à travers lui.

Je vous souhaite à tous bien, bonheur, joie, et d’aimer toujours tout le monde.

Marisella, il y a ici beaucoup d'âmes sauvées, et j’ai aujourd'hui près de moi ton Don Enrico qui t’a dit: "Ma petite fille, la souffrance est très grande pour toi, mais continue parce que celui qui aime le Christ doit souffrir".

Marisa - Hello, Don Enrico, te souviens-tu de moi?

La Madone - Bien sûr qu’il se souvient de toi et c’est lui qui t’a encouragée à poursuivre cette vie si difficile, pleine de souffrances et de sacrifices.

Toutes les âmes sauvées de vos parents sont près de moi. Ne demandez plus: "Ma mère, mon père, mon fils où sont-ils?". Toutes les âmes sauvées de vos parents sont ici. Bien sûr le prêtre Don Enrico est près de moi comme les autres prêtres; je dis prêtres mais j’entends par là aussi les papes et les évêques. Don Enrico est aujourd'hui près de moi parce que des personnes qui l’ont connu sont présentes.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Participez à la Sainte Messe avec tout votre amour, recevez mon Fils Jésus dans votre cœur et remerciez-le de vous avoir amenés dans ce lieu thaumaturgique choisi par Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 11 avril 2002 - 20h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Vous possédez une perle précieuse que ne possède aucun autre homme sur la Terre: mes cheveux. Le premier a été brûlé par le démon mais Dieu n’a pas permis que le second le soit également. Même le premier reviendra et vous verrez une mèche de cheveux comprenant le mien, celui de mon époux bien-aimé et celui du petit Jésus.

C’est pour vous une grande fête aujourd'hui, mais pour nous également qui avons voulu fêter avec vous la Mère de l’Eucharistie, l’annonciation du Seigneur à Marie, le "fiat" de Marie, son "oui". Dire "oui" à Dieu est un très grand cadeau, faire la volonté de Dieu vous donne la force et le courage d’affronter toute situation. Faire la volonté de Dieu n'est pas seulement un engagement pour les prêtres et les religieuses, mais également pour les laïcs, les jeunes et ceux qui veulent se marier et affronter un nouveau chemin. Le chemin peut s’avérer difficile parfois, vous pouvez y rencontrer beaucoup de pierres, d'obstacles et de ronces, mais si vous faites la volonté de Dieu, vous aurez la force de tout supporter. J’ai dit "oui", alors que je savais la souffrance qui m’attendait, mais j’ai fait la volonté de Dieu et je désire que vous la fassiez aussi.

Je sais que votre souffrance est encore forte et persiste; il y en a qui souffrent pour une raison ou pour une autre. Il y en a qui avancent avec fore et d’autres qui ont peur et reculent ou s'enfuient. Quelqu’un est parti uniquement parce qu’on lui a dit la vérité. Quand la Maman dit la vérité, pourquoi partez-vous ? Vous ne me croyez que lorsque je vous parle d’amour et que je vous dis que je vous aime, que vous vous conduisez bien et que je vous remercie pour tout ce que vous faites à l’occasion des grandes fêtes, mais si j'ose vous faire de petits reproches, que j’appelle caresses maternelles, pourquoi quelqu’un s'en va-t-il? Il arrive aussi que vous ne vous ne vous en preniez pas à moi, mais à l’Evêque. En quoi est-il responsable? Laissez-le un peu en paix; ceci s’applique à tous: aux grands prélats, prêtres, religieuses et laïcs; laissez vivre en paix cet évêque, cet homme qui avec son courage porte un tel fardeau sur ses épaules. Lui aussi a dit "oui" à Dieu, comme moi et mon époux bien-aimé Joseph. Ce n'est pas facile de faire la volonté de Dieu, croyez-moi. Mais au fond quelles grandes souffrances Dieu vous-a-t-il données? Il vous a donné de petites souffrances, acceptez-les.

Ne cherchez pas toujours à triompher. Vous pouvez rencontrer de nouvelles difficultés dans votre travail et dans vos études, mais souvenez-vous en: tant que vous serez sur la terre, vous aurez toujours quelque chose sur quoi vous lamenter, parce que les autres ne sont pas comme vous, parce qu’ils n'ont pas de purification intérieure. Alors, que devez-vous faire? Silence! Si vous pouvez aider, faites-le, sinon faites silence, entre vous, avec les hommes, avec tous. Mais rester silencieux ne signifie pas se taire par peur. Quand il faut combattre, combattez; votre évêque vous en donne l'exemple; quel courage et quelle force il a! J'étais forte parce que j’avais Joseph à côté de moi, mais qui est aux côtés de Don Claudio ? Il vous a les jeunes, mais vous êtes faibles. Vous devez vous montrer plus forts et courageux et quand vous savez que ce vous dites est la volonté de Dieu, vous devez la faire entendre à tous, vous devez la crier. Si vous remarquez que quelqu’un se trompe ou parle mal, vous devez défendre la vérité.

Vous laïcs ne continuez pas à vous taire pour vivre tranquille. Le vrai chrétien fait silence quand ceux qui doivent être corrigés ne font pas partie de la communauté, mais il doit réagir quand ils en font partie, il doit parler et défendre la vérité.

Courage, c’est aujourd'hui une grande fête; d’autres âmes se sont converties et elles sont nombreuses, je n'en dis pas le chiffre pour empêcher que vous vous écrouliez parce que beaucoup d'âmes ont reculé et sont fatiguées de souffrir et de lutter. Il y a plus de trois milliards d'âmes converties et d’autres continuent à se sauver grâce à la très grande souffrance de celle que Dieu a appelée et de votre évêque; que chacun de vous ajoute ce qu’il peut à leur souffrance.

Je vous remercie parce que vous priez et faites l’adoration depuis un long moment. Si tous les hommes répondaient à cet appel et comprenaient ce que signifie adorer Dieu et prier pour la paix, non seulement pour que les guerres finissent mais aussi pour que la paix règne dans les familles, la communauté, entre les jeunes, entre tous, alors ce serait le grand triomphe.

Je vous invite, ce que je n’ai pas dit depuis longtemps, à prier pour le Saint Père, dont l'esprit est très lucide mais qui n’a pas la force de combattre ceux qui cherchent à lui faire faire des choses qu’il ne veut pas. Priez pour qu’il fasse la volonté de Dieu et souvenez-vous que: dire que le Pape doit faire la volonté de Dieu ne signifie pas dire du mal de lui; celui qui l’a pensé n’a pas une bonne foi. Faire la volonté de Dieu signifie aussi aider le prochain, qui que ce soit. Priez afin que le Pape fasse la volonté de Dieu, à l'égard des hommes, des prêtres, de vous, de tous. Le Pape est aujourd'hui Jean Paul II et vous devez prier pour lui, Dieu sait qui seront ses successeurs.

Merci de votre présence.

Vous possédez un don précieux que personne d’autre ne possède: mes cheveux. Beaucoup disent posséder l’une ou l’autre relique de la petite Madone, mais ils n'ont rien car c’est l’unique relique existante et vous devriez être heureux et contents que Dieu vous ait choisis pour vous faire ce don de mes cheveux

Merci, merci mon Dieu, merci à vous tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Une colombe est descendue et s'est posée sur les cheveux de la Madone. L’Esprit Saint descend également sur toi, Don Claudio.

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Tous mes meilleurs vœux et bonne fête à tous. Participez à la Sainte Messe avec tout l’amour dont vous êtes capables, même si vous êtes fatigués et que le temps ne soit pas favorable; Il est bon qu’il pleuve, car on a besoin d’eau dans beaucoup d’endroits. Remerciez Dieu de tout: de la pluie, du soleil, de la lune et des étoiles, de tout ce qu’il a créé.

Merci encore.

Marisa - Adieu. Elle est partie. Elle a dit que ses cheveux reviendront, mais je ne sais pas quand.

L’Evêque - Les autres?

Marisa - Oui, ceux brûlés par le démon.

Rome, le 14 avril 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Tu ne vas pas bien, ma fille, mais je suis venue aussi pour tous.

Vous avez prié, chanté et écouté le catéchisme de l'évêque. Si je n'étais pas la petite Madone envoyée par Dieu, j’aurais beaucoup de mal à vous communiquer la lettre de Dieu. Après tout ce qu’a dit votre évêque, que puis-je ajouter d’autre? Tout ce qu’il a dit figure dans la lettre de Dieu. Vous devriez être heureux et contents, au moins parce que la majorité d’entre vous est en assez bonne santé. Pensez à celle qui se porte bien un jour et en jouit, puis est malade tant d’autres jours nuit et jour, jour et nuit et continue ainsi. Elle cherche à tout offrir pour la paix dans les familles et sur toute la Terre, mais c’est très difficile que le monde accepte cette paix tant désirée par les hommes bons, mais désirée surtout par Dieu.

Combien de patience a Dieu, combien de patience ! s’il devait perdre patience comme vous le faites pour des bêtises, combien seraient damnés! Dieu est patient et attend, car il veut la conversion, tout spécialement des prêtres.

Moi en regardant la lettre de Dieu, je ne peux vous dire que peu de choses qui ont déjà été dites et redites et répétées aussi par votre évêque. O, si vous méditiez ce qu’il a dit ce matin et le mettiez en pratique ! Tout y est. Ceci prouve que Dieu parle à travers lui, Jésus parle en lui et aide ceux qui veulent être aidés. Mais que ceux qui ne veulent pas être aidés ne viennent pas déranger, qu’ils restent à la maison. Vous devez venir ici pour prier, cela fait des années que je vous le répète. On ne doit venir ici que pour prier, se convertir et devenir saint.

Dieu donne des épreuves, mais il sait à qui les donner, il sait qui choisir. Je vous dis seulement, paix, paix, paix; amour, amour et encore amour. s’il n'y a pas d’amour, il n'y a pas de paix et s’il n'y a pas de paix, il n'y a pas d’amour. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Tu ne vas pas bien, Marisella, ma fille. Tu dois avoir de la patience beaucoup de patience. Je veille toujours sur toi, adieu.

Bonne journée à tous. Aimez-vous, si vous le pouvez et priez pour la paix.

Marisa - Adieu. Aide-moi maintenant un petit peu afin que je ne donne pas de soucis à l'évêque et à la maman ? Je ne peux même pas rester debout un court instant. Pardonne-moi si je n’ai pas su accepter les souffrances jusqu'à la fin et que j’ai pleuré, mais je n'en pouvais plus. Pardonne-moi si je n’ai pas réussi à tout supporter.

La Madone - Courage, Marisella, Dieu est content de toi, très content.

Marisa - Don Claudio, Je vais m’allonger maintenant car je ne sens plus capable de rester assise sur le lit.

Rome, le 18 avril 2002 - 20h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Avez-vous appris à aimer comme je vous l’ai enseigné ? Vous verrez que vous réussirez peu à peu à vous aimer comme Jésus et moi nous vous aimons. J’aimerais tant que la sacristie, qui se trouve à côté de la chapelle où il y a le Saint Sacrement, soit mieux rangée. Il y a trop de désordre. Si vous venez chaque jour à tour de rôle, pourquoi ne rangez-vous également pas la sacristie? Pourquoi laissez vous tout en désordre ? Jésus passe n'importe où, même dans les coins. Pourquoi ne rangez-vous pas ? Vous voyez que l'évêque est seul et doit s'occuper de deux personnes, l’une est âgée et l’autre malade, en fait ce sont deux malades qui ne peuvent rien faire. Tout retombe ainsi sur ses épaules. Vous, si vous le voulez, vous pouvez l’aider.

Mes chers enfants, Jésus est ressuscité, ressuscitez chaque jour avec Lui. Chantez "alléluia" au Seigneur ressuscité. Vous ressusciterez vous aussi; celui qui se conduit bien, sera heureux, serein, plein de gloire et chantera des hymnes à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes chers enfants, si vous pouviez comprendre combien la Maman vous aime, combien elle aimerait que chacun de vous se conduise bien et que vous vous aidiez réciproquement ! Aidez le malade fatigué et qui travaille.

Vous êtes-vous rendus compte que lorsque vous reprenez une personne, celle-ci s'offense, s'éloigne et invente des excuses contre l'évêque, la voyante et la communauté. Ceci signifie que cette personne n’a jamais été sincère et bonne, tant qu’on ne lui a rien dit. Si l’on vous reprend, acceptez-le au contraire et dites: "Merci, mon frère, merci ma sœur de m’aider à grandir". Ceci vaut pour tous, pour les jeunes comme pour les adultes.

Priez pour celle qui pour une raison ou une autre continue à être sur son lit de douleur, espérons que le Seigneur lui dise: "Va, ma fille, va te reposer, c’est l'heure".

Je vous laisse, mes chers enfants. Participez à la Sainte Messe avec tout votre amour, recevez Jésus dans votre cœur en état de grâce; puis écoutez la Parole de Dieu si bien dite et si bien expliquée. Vous êtes-vous rendus compte que lorsque l'évêque vous demande: "n’avez-vous rien à dire ?", vous répondez: "Non", parce qu’il a tout dit ? Vous rappelez-vous quand je vous ai dit: "Que peut dire la Maman après ce qu’a dit l'évêque?". Moi aussi, humainement parlant, je me trouve dans la même situation quand je suis avec vous sur la planète Terre.

Mes chers enfants, courage, priez et priez, parce que satan a commencé à lancer sa dernière attaque et continuera, mais pas contre vous, ne vous inquiétez pas.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu petite.

Rome, le 21 avril 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, mon âme magnifie le Seigneur et j’aimerais tant que toutes vos âmes magnifiassent le Dieu Tout Puissant.

C’est une grande fête aujourd'hui, parce qu’une petite enfant entre dans la communauté des chrétiens. Vous ici présents, soyez tous parrains et marraines: priez pour cette petite enfant, pour sa maman et ses parents.

Les souhaits partent du Ciel pour cette enfant, pour qu’elle soit une vraie et authentique chrétienne et qu’en grandissant elle continue à être brave, bonne et obéissante comme le petit Jésus qui lorsqu’il jouait, parlait et chantait, était un enfant comme tous les autres, mais qui était le Messie, le Sauveur quand il devait s'unit au Père dans la prière.

Mes chers enfants, que vous coûte-t-il de prier pour une enfant qui entre dans la communauté chrétienne?

Aujourd'hui, la lettre de Dieu ne parle que de la petite Elisa; je ne veux n'y ajouter aucun écho pouvant souiller cette petite fleur, ce lys pur qui vit parmi nous; Elisa est une âme innocente et j’ai demandé des prières pour qu’elle reste toujours ainsi. Il est maintenant facile pour elle d'être pure, mais ensuite au fur et à mesure qu’elle grandira et que la vie deviendra toujours plus difficile, sa mère et vous devront l’aider avec la prière.

Dieu bénit Elisa. Tous les anges et les saints du paradis bénissent Elisa. Quand elle recevra le Saint Baptême, invoquez le Saint Esprit sur elle et priez pour elle.

Petit ange du paradis, petite Elisa, Nous tous du paradis nous te transmettons tous nos vœux. Nous souhaitons à la maman d’avoir le courage et la force d’affronter la vie qui est parfois très difficile, mais heureusement les parents et les amis sont là et même la communauté peut aider.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, la petite Elisa, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Je prie pour les enfants, de Jacopo au plus petit; Elisa est leur petite sœur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Messages de Mai 2002

Rome, le 1° mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Ma fille, pourquoi pleures-tu et ne dis-tu rien ? Je suis ton époux.

Marisa - Jésus, j’ai tant de grâces à te demander et je m'étais préparée à les demander à la petite Madone. Je donne ma vie pour tous, mais aujourd'hui je veux te recommander un couple d'époux, la Signora Anna et avant tout notre évêque. Tu sais à qui je me réfère et pour qui je veux me donner toute entière. Je te remercie des quarante jours de passion que tu m’as fait souffrir pour le salut des âmes et surtout pour ceux que je t’ai recommandés jour et nuit.

Je veux te recommander également grand-mère Iolanda. Ce serait si beau si tu me prenais pour le salut des autres. Je t’ai maintenant tout donné, prends moi et fais vivre ceux que je t’ai recommandés; donne leur joie, courage et force.

Jésus - Marisella, l'héroïsme est très beau. Il y a des personnes qui se sont montrées héroïques et le sont toujours; même si elles souffrent, luttent et pleurent, l'héroïsme est toujours présent en elles.

Mes chers enfants, moi, Jésus, je suis venu vous apporter la lettre de Dieu et je veux vous recommander de continuer à avancer et de ne pas reculer, comme cela arrive de temps en temps aux jeunes et aux adultes. Mon grand désir est que vous me receviez dans votre cœur en état de grâce; il y en a qui parlent dans le dos des autres ou répandent des mensonges, puis s’approchent de l’Eucharistie. Cela ne je le veux pas. Combien de fois, ma et votre maman ne vous a-t-elle pas dit: "Recevez mon Fils Jésus en état de grâce!". Je désire que vous priiez et me receviez en état de grâce et si vous souffrez un peu, acceptez le. Il y en a autour de vous qui souffrent énormément; je ne parle pas de votre sœur parce qu’elle m’a donné sa vie et je l’ai prise toute entière, c’est pourquoi je la considère comme mon épouse bien-aimée; Dieu sait qui choisir. Vous la voyez sourire, parler et plaisanter, mais son cœur est plein de douleur; elle ne souffre pas pour elle-même mais pour les autres et avant tout pour ceux qui lui sont chers. Je ne vous demande que de prier et de me recevoir en état de grâce. Ne répandez pas de mensonges, n’apportez pas ici de messages qui ne sont pas de la Mère de l’Eucharistie; il ne faut venir dans ce lieu thaumaturgique que pour parler de la Mère de l’Eucharistie et la prier. Dieu l’a voulu ainsi et personne ne peut y dire quelque chose qui ne soit pas d’elle. Je le répète: personne ne peut y dire quelque chose qui ne soit pas de la Mère de l’Eucharistie. La Madone n’apparaît nulle part ailleurs dans le monde en tant que Mère de l’Eucharistie. Personne d’autre que vous ne possède quelque chose de beau et de grand de la Mère de l’Eucharistie: vous êtes les seuls à posséder ses cheveux: il n'y a pas de reliques de la Madone dans aucune autre partie du monde. Et pourtant les hommes ne viennent pas ici. Ils ne comprennent pas et ne réfléchissent pas. Vous avez eu beaucoup de miracles, vous avez vraiment beaucoup reçu de Dieu et malgré tout il y en a qui ne répondent pas à l’appel et ne se conduisent pas bien aux yeux de Dieu.

Faites que ce mois dédié à ma et votre Maman soit un mois de prière pour la victoire remportée. C’est une grande et belle idée de votre évêque et de la voyante de faire une grande fête pour le 29 juin, je l'espérais et le désirais. Quand ce sera le moment voulu, quand votre évêque se portera mieux, il vous dira comment préparer la fête du 29 juin. Ne vous faites pas de soucis, occupez-vous de la prière et de la Sainte Messe, le reste sera fixé après.

J’adresse mes vœux à tous ceux d’entre vous qui pourront venir ici chaque jour, même si pour certains cela sera difficile et leur demandera des sacrifices, mais si vous le voulez vous pouvez aussi faire ce sacrifice non sanglant, qui ne demande que courage et dévouement. Merci. Je retourne maintenant vers le Père.

Marisa - La voilà! Dieu soit loué, tu es venue. J’avais tant besoin de toi ce soir.

La Madone - Marisella, j’ai entendu tout ce que tu as dit.

Faites et observez ce que mon Fils Jésus vous a dit. Il vous a parlé en toute simplicité, car c’est ainsi que nous parlons à votre sœur, avec des mots simples et non compliqués comme ceux qu’emploient les grands théologiens; les grands mots ne font rien comprendre, c’est pourquoi nous nous exprimons simplement. Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bon mois de mai à tous.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. C’est bon, je ne pleure plus. Adieu. Merci.

Elle est partie. Jésus est venu le premier, puis la petite Madone.

L’Evêque - Et saint Joseph?

Marisa - Il était présent mais il n’a pas parlé. Nous devons faire la statue de Saint Joseph et la mettre bien en vue.

Rome, le 2 mai 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Saint Joseph! L’Evêque sera heureux de ta venue.

Saint Joseph - Mon Fils Jésus est venu hier. Il est Dieu et je ne suis qu’un humble serviteur de Dieu. Je suis venu vous apporter sa lettre qui vous demande de relire tous les messages que vous avez reçus jusqu'à présent, afin de mieux les comprendre. Dieu veut que vous relisiez les messages, lentement, sans hâte. Lisez en un par jour, cela ne demande pas beaucoup de temps. Certains sont longs, mais ce sont des messages de Dieu; c’est Dieu qui vous parle, pas une personne quelconque ou un saint, alors relisez les messages et mettez-les en pratique.

Que ce mois, dédié à ma chère épouse, soit un mois rempli d’amour, d’espérance et de charité envers le prochain, envers ceux qui souffrent, envers les malades, les drogués, les prisonniers et les alcooliques. Il y a tant et tant de guerres, pas seulement dans les pays étrangers mais également ici, en Italie, parce que les hommes continuent à tuer si facilement. Que demande Dieu? Prière et sacrifice. Si quelqu’un peut jeûner, qu’il le fasse; vous devez savoir si vous pouvez le faire ou non, mais ne dites pas: "J’ai jeûné aujourd'hui, je suis fatigué, j’ai mal à la tête et à l'estomac". Le jeûne demande également que l’on souffre de maux de tête et d’estomac. Réfléchissez, quand vous pouvez le faire.

Courage, mes petits enfants, vous êtes peu nombreux et chacun de vous doit faire pour cent, mille personnes, vous avez donc beaucoup à faire. Comme vous le savez bien, Dieu s’adresse à vous parce qu’il compte sur vous. Vous rêvez parfois et êtes fatigués. Vous ne comprenez pas bien ce qu’on vous dit, vous êtes distraits, mais Dieu ne s'en offense pas. Je vous recommande malgré tout d'être ponctuels, doux, affectueux, silencieux en particulier pendant la Sainte Messe et pendant ses préparatifs également. Vous devez comprendre que tout ce que vous dit votre évêque et toutes les réprimandes qu’il vous fait sont pour votre bien.

Jésus est passé hier et les prêtres présents ne se sont pas agenouillés, alors que vous laïcs vous étiez à genoux. Dans toutes les églises, les prêtres ne s’agenouillent pas lorsque l’on apporte le Saint Sacrement.

L’Evêque vous parle pour vous éduquer et faire que vous puissiez demain donner l'exemple dans les autres églises; demain quand votre évêque... vous pourrez faire ce qu’il vous a enseigné et vous pourrez dire: "Il avait raison de nous apprendre comment nous comporter en toute situation".

Le mois de mai est dédié à Marie, la Mère de l’Eucharistie. Mon épouse bien-aimée a vécu dans le silence et la pauvreté. Nous étions pauvres en fait, mais nous sommes toujours allés de l’avant jusqu'à ce que la mort nous emporte, moi en premier, puis Jésus et finalement Marie. Cette vie est un passage, je dirais presque un pèlerinage, avant d’aller jouir de Dieu dans l’autre vie. Nous devons tous mourir et le pèlerinage terminé, ceux qui l’ont fait avec amour, dévotion, charité et en silence entreront au paradis. Ce ne sera plus alors un pèlerinage mais une vie d’amour, d’amour et encore d’amour.

Tous mes vœux, Marisella.

Marisa - Tu t’en vas maintenant et la Maman arrive, comme Jésus l’a fait hier soir?

La Madone - Mes chers enfants, je ne suis venue que pour vous saluer, vous serrer dans mes bras et vous embrasser. Merci d’avoir été ici présents; cela a demandé des sacrifices à certains pour venir jusqu’ici, mais à qui nous en prendre si Dieu a choisi ce lieu thaumaturgique ? Il faudrait beaucoup de maisons à côté de ce lieu, mais qui sait, Dieu peut également y pourvoir.

Marisa - En attendant il faut faire ce qu’il a dit, puis nous penserons aux maisons.

La Madone - Toi, Marisella, tu dois toujours dire quelque chose, n'est-ce pas ?

Marisa - Oui, mais moins que l'évêque, il parle plus que moi; et même son adjoint parle.

La Madone - Alors, du moment que mon époux bien-aimé a commencé à parler après vos prières, tournons maintenant nos yeux vers Dieu et crions: Notre Père...

Mes chers enfants, merci de votre présence. Participez de tout votre cœur à la Sainte Messe et à la rencontre biblique.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Ils sont tous partis.

Rome, le 3 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est aujourd'hui le premier vendredi du mois, es-tu venue pour cette raison? j’en profite pour te recommander tous les malades, les jeunes couples qui ne peuvent avoir d’enfants mais en désirent tant, ceux qui doivent subir une opération chirurgicale, les malades spirituels et comme toujours, nous tous ici présents, qui sommes peu nombreux mais qui t’aimons. Protège nous aussi, nous qui sommes venus ici pour implorer ton aide, puis va vers Dieu et dis lui: "Mon Tout, tes enfants là-bas ont besoin de ton aide".

La Madone - C’est bon, Marisella, j'obéis. Mes chers enfants, quand l’apparition se termine, je vais toujours vers Dieu le Père, mais je suis également ici pendant la Sainte Messe, à côté de votre évêque, que je soutiens parfois car il ne va pas bien et a un poids très lourd à porter. Pour un petit évêque humble et simple, ce n'est pas facile de porter un tel poids et vous n'êtes pas beaucoup à l’aider. Comme mon époux bien-aimé Joseph vous l’a dit hier, vous ne devez pas prier pour une personne, mais pour dix, pour cent, pour mille selon le besoin.

Je vais trouver le Père et je l’implore quotidiennement de vous aider, d’aider tous ceux qui ont besoin d’aide et que les guerres finissent, car elles retardent malheureusement ce que vous attendez. Vous avez remporté la victoire spirituelle, c’est la vôtre, personne ne peut vous la prendre et maintenant moi aussi, j’attends comme vous la fête du 29 juin. J’attends ce jour comme une enfant, parce que si vous réalisez tout ce que vous avez en tête, vous nous ferez une grande joie, au paradis. Nous tous du paradis, nous serons ce jour là avec vous, même si vous ne nous voyez pas. Vous verrez une basilique simple et humble, mais nous verrons une grande vallée, un lieu infini, sans commencement ni fin, parce que je serai avec vous le 29 juin avec tous les anges, les saints et les âmes sauvées.

Je demande toujours à Dieu que vous puissiez me voir, comme il vous l’a promis, mais les conditions ne sont pas encore favorables et les temps de Dieu ne sont pas les temps de la terre. Vous avez fait preuve de beaucoup de patience, cherchez maintenant à en avoir encore plus et pardonnez-nous si nous ne vous donnons pas tout de suite ce que vous attendez. Dieu peut bien sûr faire immédiatement ce qu’il veut, mais il veut sauver d’autres âmes: il ne peut accepter que son Fils Jésus ait échoué et soit mort en vain, ni que son Eglise soit en si triste état, après deux mille ans. C’est pourquoi il vous demande de patienter, de prier et de souffrir; il ne le demande pas aux grands hommes, aux grands hommes politiques et aux dirigeants de ce monde mais à vous. Seuls des bergers, des hommes simples étaient présents quand Jésus est né, pas des puissants. C’est pourquoi Dieu a posé son regard sur vous et attend votre réponse. Obéissez à Dieu et ne le trahissez jamais; obéissez à votre évêque et ne le trahissez pas, ne le poignardez pas dans le dos, car beaucoup réfléchissent déjà comment détruire ce lieu thaumaturgique. Dès 1994, ils ont commencé à le détruire, mais vous êtes en 2002 et ici. Tous ceux qui sont venus dans ce lieu ne sont pas ici présents, parce que mener une vie spirituelle comme Dieu l'enseigne est difficile et ils ont préféré s'éloigner. Malheureusement, tous ne l’ont pas fait silencieusement, mais ont accusé l'évêque et la voyante, se cherchant des excuses pour justifier leur abandon. Si quelqu’un ne veut plus venir, on ne le retient pas de force et si vous décidez de vous en aller, ne dites pas de mal. Mais c’est ce qui s'est passé malheureusement: les prêtres qui sont venus ici se sont plaints qu’il y ait trop de spiritualité et trop de prières. Pensez-vous qu’il y ait ici trop de prières ? L’adoration Eucharistique, la rencontre biblique, la Sainte Messe peuvent-elles éloigner une religieuse, un prêtre ou un laïc? s’ils ne veulent pas faire cela non plus, que donnent-ils à Dieu ? Dieu vous demande plus parce qu’il vous a donné plus et vous savez que plus on reçoit, plus on doit donner.

Mes chers enfants, je suis toujours avec vous et je ne vous trahirai et ne vous abandonnerai jamais; l'évêque aussi ne vous trahira et ne vous abandonnera jamais, la voyante non plus, la pauvre, elle ne vous abandonnera jamais, parce qu’elle aime tant être avec vous. Elle était préoccupée ce soir parce qu’il n'y avait pas assez de jeunes pour l’aider à descendre; il n'y en avait que deux, puis finalement le troisième est arrivé; ils se sont tous fatigués, mais elle voulait descendre pour assister avec vous à la Sainte Messe.

Mes chers enfants, la Maman vous remercie de votre présence. Quel dommage que tous ne répondent pas à l’appel.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, petite; adieu, trésor. Ils sont tous partis.

Rome, le 4 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois; les apparitions ont commencé le premier samedi du mois. Combien sont passés ici depuis ce jour. Combien sont venus y demander des grâces et combien en ont reçues. Beaucoup y ont été guéris, mais malheureusement après avoir obtenu ce qu’ils voulaient, ils ont disparu parce qu’ils voulaient commander ici, prendre tout en main. Chacun d’eux disait que Jésus, le Saint Esprit et moi parlions à travers eux et quand la vérité fut découverte, ils ont disparu et ne se sont plus manifestés. Vous êtes ici depuis des années, quelques uns au moins, et vous n’avez jamais rien dit, parce que vous ne devez rien dire. Souvenez-vous que lorsque des hommes reçoivent des dons de Dieu, ils n'en parlent pas, ne disent rien, et si on vient à les connaître c’est parce que Dieu le veut. Je pensais voir la basilique pleine de monde pour le premier samedi du mois de mai et au contraire, au fur et à mesure que les fêtes et la chaleur arrivent, les plaisirs prennent la première place, avant Dieu. Il est bon que le divertissement existe et que l’on aille prendre un peu l’air, il est bon de prendre un jour de repos de temps à autre comme je l’ai souvent dit à votre Evêque, mais lui n'y parvient pas, car étant seul il n'en a pas le temps.

Le divertissement sain est bon, mais vous devez mettre Dieu à la première place, non à la seconde, à la troisième ou à la dernière. Mes chers enfants, je vous invite à parler avec humilité et simplicité; regardez votre sœur quand elle reste parler avec vous: elle est d'une si belle simplicité, elle plaisante, rit, blague, mais elle met Dieu à la première place.

Mes chers enfants, puisque le petit Samuel n'est pas là, nous adressons tous nos vœux à son cousin, le petit Emanuele. Samuel fête aujourd'hui ses deux ans. Laissez-moi la joie de lui transmettre mes vœux, puis demain, si Dieu veut qu’il soit présent, je les lui transmettrai à nouveau. Tous mes vœux également à tous ceux ici présents, des vœux surtout de sainteté, comme je le répète souvent, et des vœux d’amour et de charité envers tous: grands et petits. Apprenez à rester dans le silence de votre cœur, lorsque vous priez ne faites entrer personne d’autre dans votre cœur que Jésus, la Mère de l’Eucharistie et Saint Joseph.

Hier soir Marisella vous a dit que parfois lorsque j’apparais, elle vous voit également; elle vous l’a dit hier parce qu’elle s'était aperçue qu’une personne manquant la veille était présente le lendemain. Celle-ci s'est demandée si elle devait mourir, mais si votre sœur vous voit c’est parce que vous êtes en état de grâce, parce que vous cherchez à vivre en état de grâce, c’est pourquoi je vous veux autour et à côté de moi. Bien sûr, j’ai près de moi les saints et mon époux bien-aimé Joseph; sois tranquille Excellence, il y ait toujours, même si je ne le dis pas parce que je ne peux dire chaque soir que les anges, les saints et les âmes sauvées sont là. Il y a toujours quelqu’un de très petit qui glorifie Dieu. Vous aussi, vous donnez de la gloire à Dieu; quand vous êtes à la maison, quand vous chantez, priez, vous réjouissez et travaillez, vous mettez ainsi Dieu à la première place.

Tous mes vœux s’adressent également à l’arrière grand-mère du petit Samuele. Je sais que tu souffres beaucoup, grand-mère Iolanda, mais Dieu t’a choisie et les gens doivent prier pour que tu aies la force d’accepter et de tout supporter. Adieu, grand-mère Iolanda, la Maman est toujours près de toi, comme elle est près de ton adorable fille, de l'évêque et de tous ceux qui souffrent.

J’aimerais vous dire tant de choses, mais il se fait tard et vous devez préparer le repas pour vos maris et vos enfants.

Moi aussi je préparais les repas, mais nous n’avions pas de problèmes d'horaire, parce que nous n’avions pas d'horloge: nous mangions quand c'était l'heure, mais il n'y avait pas d'horaire. Aujourd'hui au contraire il faut le respecter pour ne pas créer de problèmes dans la famille.

Parlez à Jésus quand vous le recevez dans votre cœur et comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, dites lui: "Jésus Eucharistie, je t’aime, je t’aime tant" c’est tout, cela ne prend pas de temps.

Merci avant tout de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, aussi à Saint Joseph et à tous les autres.

Don Claudio, Saint Joseph est toujours présent, ne te fais pas de soucis, je ne peux te le dire tous les soirs.

L’Evêque - Mais je ne me fais pas de soucis.

Marisa - Il est toujours là.

L’Evêque - Je le sais.

Marisa - Tu le sais? Tu l’as vu? De toute façon tu l’as vu ici une fois.

Rome, le 5 mai 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’ai eu un peu peur parce que tu as tardé à venir cette fois.

La Madone - Non, j'étais là et j'observais vos visages. C’est beau d'observer les visages de ceux qui sont dans la grâce de Dieu; je désire tant que vous viviez toujours dans la grâce de Dieu.

Deux jeunes prennent aujourd'hui l'engagement de vivre suivant le Saint Evangile dans la vie conjugale. La Maman vous invite à prier pour ces deux petits enfants, afin qu’ils soient toujours obéissants, simples et humbles. Vous devez prier pour eux, ils pourraient être vos enfants.

C’est une grande fête pour nous au ciel parce qu’un nouveau saint, pas un saint célébré, est entré au paradis. Je vous ai déjà expliqué une fois que n'est pas seulement saint celui qui est déclaré tel par le Pape, mais également celui qui a fait la volonté de Dieu, mais qui parfois par manque d’argent n'est pas déclaré saint par l’Eglise; la canonisation demande beaucoup de recherches et d’argent. Dieu m’a dit: "Appelle ce saint et fais le monter", cela été une grande joie pour nous au paradis.

Si la traduction de votre sœur n'est pas exacte, il revient seulement à l’Evêque de la rendre exacte. La Maman se comporte parfois comme votre évêque qui parle beaucoup et aimerait encore dire tant de choses, mais qui après en regardant l'horloge dit: "Il est tard, cela suffit, nous devons terminer". Moi aussi j’ai beaucoup à dire mais je dois tenir compte de votre temps et terminer. Je ne vous dis pas qui Dieu a appelé, mais c’est un membre de votre communauté et vous devriez en être heureux et vous réjouir comme nous, mais vous ne savez pas vous réjouir. Quand je vous ai parlé des quatre vingt dix millions d'âmes converties, puis des trois milliards, c'était pareil pour vous, je n’ai vu ni joie, ni enthousiasme dans vos cœurs. Mais vous rendez-vous compte, mes chers enfants, qu’une âme de votre groupe est allée au paradis ? Vous devez comprendre qu’il n'est pas si difficile d’aller au paradis, il suffit de faire la volonté de Dieu, d'obéir aux supérieurs, aux inférieurs, à ceux qui vous sont égaux et d'être comme je vous l’ai déjà dit, sur la croix. Vous avez tous la possibilité d’aller au paradis où vous verrez des choses merveilleuses, seulement l’amour et chanterez tous les jours des hymnes de joie, de réjouissance devant Dieu et verrez le Père; ceci c’est la joie.

Il est important de faire une différence entre quatre vingt dix millions et 3 milliards d'âmes. Je me demande parfois pourquoi je vous dis le nombre des âmes converties, humainement parlant je devrais le taire, mais cela ne fait rien et c’est mon devoir de tout vous dire.

Priez pour vos prêtres. Ils ont reçu la lettre si belle et si indulgente, mais n'y répondent pas. Monsieur Ruini a donné cet ordre: "Ne répondez pas, laissez dire, laissez faire"; quelques uns seulement ont répondu, mais pas d'une belle façon. Il sont jaloux et disent: "Qui est ce prêtre ordonné évêque par Dieu?". C’est un simple prêtre qui sait aimer, qui aime les êtres et cherche toujours le meilleur pour arriver à Dieu. C’est votre évêque: un prêtre très simple et très humble qui veut le meilleur et la perfection en tous. s’il élève parfois la voix, parce qu’il n'est pas parfait en tout, acceptez-le, il le fait pour votre bien.

Cherchez aujourd'hui à ne pas fauter, jeunes gens et ne dormez pas, réveillez-vous de ce long sommeil, mes chers enfants, et priez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Tous mes vœux s’adressent au petit Samuel et à ses parents. J’aimerais ajouter aussi à ses grands-parents, arrière-grands-parents, tantes et oncles; la Maman adresse ses vœux à toute la communauté pour cet enfant. Priez pour ces enfants, afin qu’ils grandissent bien.

Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - C’est bien, merci, elle est partie.

Rome, le 6 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es venue avec l’Enfant Jésus?

La Madone - Oui, parce qu’aujourd'hui je veux bénir tous les petits enfants, en particulier ceux qui sont malades. Le petit Jésus les bénit maintenant de sa petite main.

Je viens parfois ici, le cœur lourd, parce que les hommes ne répondent pas à l’appel. Si peu répondent pour ce mois qui m'est dédié, combien répondront ensuite pour le mois dédié à mon Fils Jésus, quand il fera plus chaud ? Mais Dieu m’a dit: " Vas-y quand même, Marie, même si seuls l’Evêque et la voyante étaient présents". Me voilà ici avec le petit Jésus qui ouvrant trois de ses petits doigts bénit tous les enfants. En compagnie du petit Jésus et de la voyante je vais dans les hôpitaux pour y aider les malades et leur donner courage et force.

Mes chers enfants, je vous remercie d'être ici présents. Vous êtes toujours les mêmes et comme je vous l’ai déjà dit, Dieu vous fera un cadeau parce que vous le méritez. Il est très difficile pour l’Evêque d’abandonner son travail spirituel pour venir parmi vous, alors qu’il pourrait le continuer tard dans la soirée, mais c’est son devoir d'être ici. Humainement parlant, il semble presque qu’il néglige son travail pour être avec vous, mais il n'en est pas ainsi, il ne néglige pas les âmes, il ne néglige personne. j’espère beaucoup que vous venez pour mon Fils Jésus et pour la Mère de l’Eucharistie et non pour faire plaisir à l'évêque ou à la voyante; venez pour Nous, pour vous-mêmes, pour demander des grâces.

Mes chers enfants, si au lieu des miracles Eucharistiques, une statue avait pleuré ou saigné, beaucoup de personnes seraient venues ici. Il semble que le lieu thaumaturgique soit caché et ignoré de tous, mais il est en fait connu de tous et malgré tout peu viennent ici où il n'y a pas de Padre Pio qui pleure ou saigne, de petite Madone qui pleure ou saigne, mais où l’Eucharistie a saigné; cela l'homme ne le comprend pas; qui a expliqué ce qu’est l’Eucharistie et son importance, la raison pour laquelle elle a saigné et pourquoi il est nécessaire de la recevoir? Beaucoup d'hommes ne le savent pas. Pour eux il est difficile de comprendre ce qu’est cette Eucharistie qui saigne. Comment leur expliquer ce que sont le corps et le sang de Jésus, de mon Fils? Ils courent dans des endroits où il n'y a rien, où quelques uns de mes enfants m'ont vue, où une petite Madone a saigné, sans qu’ils sachent ni comment ni pourquoi. Une quantité énorme d’argent coule dans ces endroits pour construire des maisons, des villas, une plus grande église et des salles de jeu; ici par contre, il n'y a rien, il n'y a que Dieu et cette humble basilique, si belle à nos yeux et aux vôtres j’espère.

Priez beaucoup pour que les hommes réussissent à comprendre qui est Jésus-Eucharistie. Pensez aux nombreux sacrifices que vous faites pour trouver du travail et travailler, pour vous lever tôt, courir au travail ou à l'école et préparer à manger à vos enfants; vous faites tout en courant, avec soin et anxiété. Si les hommes faisaient de même pour mon fils Jésus, je ne parle pas seulement pour vous mais pour tous, alors tout serait plus beau et plein de joie et nous aurions la paix et plus de guerre.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Comme les prêtres doivent être peu nombreux mais saints, soyez vous aussi saints, peu vous l'êtes déjà.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Bonne participation à la Sainte Messe, priez également pour ceux qui ne sont pas venus.

Marisa - Adieu, adieu ma petite. Nous ne sommes pas beaucoup.

L’Evêque - Il te semble que nous sommes peu? Il y a ici l’Enfant Jésus, la Madone, Saint Joseph, les anges et les saints. Nous sommes beaucoup.

Rome, le 7 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je veux maintenant te recommander Selenia, Angelo, Anna et l’Evêque; je te le demande souvent.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman est descendue de nouveau parmi vous, mais elle veut seulement vous demander de prier pour le monde entier et pour votre sœur qui ne va pas bien. Sa présence est courte parmi vous parce qu’elle est ensuite de nouveau malade. Que celui qui le veut, prie aussi pour elle, pour Selenia, Anna, Angelo et l’Evêque, pour tous ceux qui sont malades, pour tous les enfants malades et en particulier pour ceux du tiers monde.

Je vous invite à être toujours bons, charitables, généreux, simples et humbles. Vous verrez que si vous devenez comme la Maman vous le demande, tout deviendra plus facile pour tous.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Bonne participation à la Sainte Messe.

Marisa - Adieu. Emanuele, envoie un petit baiser à la petite Madone.

Rome, le 9 mai 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, que Jésus Christ soit toujours loué. Même aujourd'hui je suis ici parmi vous, parce que ce mois m'est dédié. C’est aujourd'hui jeudi et la rencontre biblique. Dieu vous a fait un don si beau et si grand: un évêque qui vous explique si bien la Parole de Dieu. La rencontre biblique est faite avec amour, dévotion, souffrance et sacrifice.

Combien de fois a-t-il été dit: "La moisson est grande, mais les ouvriers peu nombreux?". Les ouvriers saints sont peu nombreux, c’est pourquoi je vous invite, comme toujours, à prier pour les prêtres: il vaut mieux être peu nombreux mais saints.

Je vous invite à faire un petit triduum pour toutes les âmes consacrées et en particulier pour votre sœur. Vous n’avez peut-être jamais remarqué sa timidité, quand elle plaisante et rit, elle le fait pour la vaincre. Priez pour elle, parce qu’elle vit de nouveau de très fortes douleurs spirituelles, morales et physiques. Vous devez prier pour qu’elle descende parmi vous, parce que si cela continue ainsi, il est peu probable qu’elle puisse être de nouveau avec vous. Je ne vous dis pas de prier pour sa guérison, mais de prier pour qu’elle puisse être avec vous pour prier et même plaisanter et rire et j'oserais dire, même pour jouer. C’est si beau d'être ensemble, de parler de Jésus même en plaisantant, parce qu’elle parle ainsi de Jésus depuis qu’elle est petite; elle est d’ailleurs son épouse bien-aimée.

Priez, mes chers enfants. Nous espérons que le temps annoncé par Dieu s’approche pour une chose et s'éloigne pour une autre.

Il est peu probable que votre sœur ait des douleurs pendant l’apparition comme ce soir; priez pour cela, afin qu’elle ait la force d’accepter et de tout supporter. Vous vous étonnez que je parle tant de votre sœur? Pas un de vous n’a vraiment compris la grandeur de la souffrance qu’elle offre pour vous tous, pour chacun de vous. Elle prie, non pas en récitant le Notre Père, le Je vous salue Marie ou le Gloire au Père, mais en souffrant nuit et jour, parce qu’elle vous aime comme je vous aime tous, de votre évêque au plus petit d’entre vous, le petit Emanuele.

Mes chers enfants, je vous laisse pour la Sainte Messe et la rencontre biblique. Savourez tout; participez à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie: savourez la rencontre biblique, buvez toutes les paroles de votre Evêque car les explications qu’il vous donne sont grandes et belles et inspirées par Dieu.

Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

j’envoie un baiser à grand-mère Iolanda qui est la plus grande en âge de vous tous et au petit Emanuele qui est le plus petit. Emanuele, envoie un baiser à la petite Madone. Je vois, Marisella, où il est.

Marisa - Adieu, aide nous tous un petit peu. Adieu. Adieu petite, adieu.

Rome, le 10 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Il est plus facile pour moi de parler aux enfants et aux petits qu’aux grands. Jésus, mon époux bien-aimé et moi nous vous avons parlé, l'évêque aussi vous a parlé pour vous inviter à bien faire pendant le mois de mai, mais vous ne répondez pas à notre appel. Quand vous avez besoin d’aide ou de grâces, vous êtes ici présents, mais quand vous n'en avez pas besoin, pourquoi ne venez-vous pas? Naturellement ce que je dis ne vaut pas pour ceux qui sont toujours ici présents. Je suis triste et mon cœur pleure parce que nous du Paradis, nous vous avons tant donné, l’Evêque et la voyante aussi, en tant que petite créature, ont beaucoup donné.

J’ai toujours dit: quand les temps durs viendront même ici en Italie, tous courront, se traînant à genoux par terre vers l’autel pour demander pardon et que se terminent toutes les choses graves qui arrivent sur cette planète Terre, mais il sera trop tard.

Je ne voulais pas vous parler ainsi, mais mon cœur saigne et pleure de voir si peu de personnes. Si certains réussissent à faire un sacrifice un jour, ils ne le font pas un autre jour. Peut-être ne viendrez-vous pas non plus pour la fête du 29 juin, à laquelle nous tenons plus qu'à tout. Si les gens ne devaient pas être là, patience; Dieu jugera et saura quoi dire et faire. Je m’abandonne à Dieu, abandonnez-vous aussi avec moi à Dieu. Si nous nous abandonnons à Dieu, tout deviendra plus facile, mais il faut naturellement s’abandonner avec le cœur et pas seulement en parole.

Aujourd'hui, la Maman vous remercie, vous qui êtes ici présents. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous ceux qui ne sont pas venus à cause du travail ou par paresse. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Pardonne-nous, nous sommes humains, nous sommes imparfaits. Pourquoi en échange ne fais-tu pas descendre dans la basilique quelqu’un qui aimerait y descendre?

Rome, le 11 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Merci de l’amour que vous montrez envers votre sœur, Jésus et moi en sommes heureux. Merci pour tout ce que vous préparez; certains d’entre vous sont très fatigués, mais participez tous à l'embellissement de la basilique pour la fête de toutes les âmes consacrées. Je vous demande de prier surtout pour votre sœur, afin que Dieu lui donne la force de descendre parmi vous.

Mes chers enfants, le 13 mai est une grande fête pour tous car c’est la fête de Notre Dame de Fatima et Notre Dame de l’Eucharistie devenue Mère de l’Eucharistie, mais pour vous c’est la fête de toutes les âmes consacrées; c’est pourquoi je vous invite à prier. Priez également pour les malades et les enfants. J’ai autour de moi beaucoup d’enfants qui prient pour vous et sont si heureux. Chantez et soyez heureux.

Vous célébrerez d'ici peu une autre grande fête à laquelle Dieu tient énormément: la fête de Saint Pierre et Saint Paul, la fête de votre Evêque, la célébration de la victoire et la clôture de l’année sociale. Cherchez par tous les moyens à ne pas la manquer. Quelqu’un a demandé à votre sœur: "Que dois-je faire ? Si je viens le 13 mai, je ne peux venir le 29 juin?". Votre sœur lui a répondu: "Venez le 29 juin parce que c’est une fête importante".

Mes chers enfants, je ne m’attarde pas plus longtemps parce que je sais que l’un d’entre vous doit terminer ce qu’il est en train de faire; priez le Dieu tout puissant pendant que vous travaillez afin qu’il accepte ma requête. Merci de votre présence et tous mes vœux à tous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Quand je vous dis que je vous couvre de mon manteau maternel, les manteaux de mon époux bien-aimé Joseph et du petit Jésus s'ouvrent également. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 12 mai 2002 - 10h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Nous sommes aujourd'hui un peu en retard parce que je ne savais pas si je devais descendre. Tu n'es pas venue me le dire et j’ai donc obéi à l’Evêque et je suis descendue. j’en profite pour te recommander Carmelo, Costanzo, Anna, la famille dont je t’ai parlé et tous ceux qui se sont confiés à mes prières. Je te recommande également ma maman, elle est aussi descendue aujourd'hui pour fêter avec moi et j’en suis très heureuse.

La Madone - Marisella, je prierai comme toujours pour tous ceux que tu m’as recommandés. Je ne suis pas venue te dire si tu devais descendre parce que je voulais que tu obéisses à l’Evêque. Tu lui as obéi et ceci nous a fait tous plaisir.

Mes chers enfants, la guerre continue, les hommes continuent à tuer et ceux qui détiennent le pouvoir continuent d’aller de l’avant. Vous demandez la paix dans le monde entier, mais comment arriver à la paix, si celui qui fait la guerre n’a pour objectif que le pouvoir et l’argent? Mes chers enfants, Dieu, comme toujours, s’adresse à vous et vous demande de prier pour la paix. Priez avec le cœur et non en paroles. On parle beaucoup, mais nous voulons également des faits, alors demandez la paix avec le cœur et tout l’amour dont vous êtes capables.

Sauvez ces pauvres enfants, ces mamans et ces hommes qui continuent à mourir chaque jour. Ils combattent, s'entretuent et celui qui est le plus fort vainc; c’est généralement celui qui est riche et puissant qui vainc toujours, alors que celui qui est bon et accepte la paix est toujours perdant. Souvenez-vous en: être bon ne signifie pas tout accepter; vous n’avez peut-être pas bien compris le Saint Evangile quand il dit de tendre l’autre joue. Il faut être bon, mais il faut aussi savoir se défendre de ceux qui avec leur manière forte et brutale veulent faire fermer le lieu thaumaturgique pour vaincre et gagner le plus possible. Ils abusent des gens bons mais n'osent rien dire contre les méchants. Je vous demande bonté et fermeté, vous devez être forts et bons à la fois, comme votre Evêque qui est fort et bon, très bon et quelqu’un ne l’a pas encore compris.

Mes chers enfants, excusez-moi, mais aujourd'hui je veux adresser deux mots à l'épouse de mon Fils Jésus, parce que c’est aujourd'hui l’anniversaire du jour où elle a prononcé ses vœux qu’elle a toujours totalement respectés. Elle aime mon Fils Jésus de tout son cœur et de tout son amour, non parce qu’elle prie du matin au soir, mais parce qu’elle accepte la souffrance et sait comprendre. Chaque fois que Jésus lui a dit: "Viens mon épouse bien-aimée", elle lui a toujours obéi.

Prononcer des vœux de pauvreté, de chasteté et d'obéissance est l'engagement le plus beau et le plus grand pour Dieu, pour nous tous au Paradis et pour les hommes qui le comprennent. Ma fille, tous nos vœux de la part de tout le paradis et tous nos remerciements pour tout ce que tu as fait pour l’Eglise; tous nos vœux pour l’amour que tu as montré envers les âmes, pour tes chers petits neveux qui te sont toujours proches. Tous nos vœux les plus grands et les plus beaux pour ton évêque fraternel.

Courage, ma fille, le moment approche.

Tu te demandes: quel moment, celui de Dieu ou celui des hommes?

Marisa - Oui, j’aimerais le savoir, parce que je ne comprends pas. Tu dis qu’il approche mais il me semble qu’il s'éloigne toujours plus; je parle de mon moment car celui de la victoire spirituelle est maintenant arrivé et celui de la victoire humaine arrivera ensuite également.

La Madone - C’est bien, Marisella, c’est ainsi qu’il faut parler et faire toujours la volonté de Dieu.

Merci. Sois tranquille, je prierai pour ceux que tu m’as recommandés et surtout pour l’Evêque. Je prie tous les jours pour vous tous ici présents; merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis surtout les malades et les enfants malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - C’est bien ainsi, je suis heureuse. Adieu.

Ils sont tous partis.

Rome, le 13 mai 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Quand vous chantez, mettez-y plus d’amour.

Puis-je vous faire une remarque? Quand vous chantez, je m’adresse ici en particulier à ceux de la chorale, vous êtes un peu distraits et vous devriez au contraire regarder celui qui dirige.

La prière doit être calme, lente, mais ne doit pas vous endormir. Je vous donne un exemple: quand je me suis fiancée à mon époux bien-aimé Joseph, je n’ai ni oublié ni abandonné mes tâches ou les autres choses que j’avais à faire. Vous, par contre, quand vous tombez amoureux, vous ne comprenez plus rien et abandonnez tout, vous ne pensez plus à aider l’Evêque et la voyante qui doivent faire tout tout seul et sont toujours en train de courir. Pourquoi cela mes chers enfants? n’aimez-vous plus la Maman et votre Evêque? Tant que vous serez sur cette planète Terre, vous devrez courir pour le travail et les autres engagements parce que toute la vie est une course; il y a ceux qui travaillent plus et ceux qui travaillent moins, mais tous courent. Celui qui a deux enfants malades doit rester auprès d’eux. La maladie, le découragement, l’abattement, la jalousie, l'envie et d’autres choses font partie de la vie terrestre. C’est très grand ce que je suis en train de vous dire: prenez exemple sur mon époux bien-aimé Joseph et sur moi qui avons tout fait. Mon époux bien-aimé travaillait du matin au soir, en plein soleil et sous la chaleur et le petit Jésus allait l’aider alors que j'étais occupée à la maison. Nous n'oubliions pas cependant de parler aux autres de Dieu, chantions avec eux et quand nous chantions nous regardions celui qui dirigeait la chorale.

Vous chantez bien la première fois, puis quand le chant se répète, vous vous trompez, vous êtes distraits, vous pensez à autre chose. Vous ne regardez pas non plus le prêtre qui est alors le Christ sur l’autel, vous êtes pris dans vos pensées et ce n'est pas bien mes chers enfants parce que celui qui chante, dirige ou célèbre, est autant fatigué que vous, car la vie sur la planète Terre englobe la fatigue.

Cela me déplaît, Marisella, de devoir dire ceci aujourd'hui, le jour de ta fête, mais je devais le faire. Mais, vois le présent que Dieu t’a fait: te faire voir la Mère de l’Eucharistie, l’immaculée Conception et Notre Dame de Fatima, nous sommes trois Madones.

Marisa - J’ai vu parfois auparavant deux Madones, maintenant j’en vois trois. Ce n'est pas très facile pour moi de le comprendre. La Mère de l’Eucharistie est au centre, Notre Dame de Lourdes d'un côté et Notre Dame de Fatima de l’autre; tous les anges et les saints sont autour d’elles pour les fêter.

La Madone - Ecoute, une petite créature chante à Dieu, à sa façon.

Mes chers enfants, la Maman vous remercie de votre présence, bien que tous n’aient pas répondu à l’appel. Quand vous ne répondez pas, cela me fait mal, et je crois également à celle que l’on fête aujourd'hui.

Marisa - Ne te fais pas de soucis pour moi, j’ai tant de douleurs que je n’ai pas du tout fait attention au nombre de personnes présentes.

La Madone - Je le sais, Marisella, mais la Maman doit dire ce qui doit être dit comme le fait votre évêque qui dit souvent: "Je n'en laisse pas passer une!".

Marisa - Mais tu pourrais aussi l’aider, car il ne va pas très bien, tu le sais. Donne au moins peu d’aide à ceux ici présents qui viennent tous les soirs.

La Madone - Je vous encourage tous à continuer ce mois de mai, ce moi que Dieu m’a dédié.

Marisa - j’en profite pour te recommander les malades dans les hôpitaux ainsi que Carmelo, Anna, l’autre Anna et cette famille que je t’ai indiquée; mais avant tout je te recommande l’Evêque. Nous n’avons que lui, nous n’avons pas d’autres prêtres, fais qu’il se porte bien, sinon comment ferions-nous ? Les gens ne savent pas comment il va parce qu’ils ne le voient pas, mais moi oui.

La Madone - Tu as raison, Marisella, mais quand la volonté de Dieu se manifeste, que puis-je faire ? Je vais à lui pour implorer, demander, mais il faut faire sa volonté.

Marisa - Oui, mais est-ce la volonté de Dieu que l'évêque n’aille pas bien ? Tu m’as prise, ne prends pas d’autres, tu en as pris plusieurs de ma famille. Tu as eu Joseph malade pendant huit ans, l'évêque lui, aide une personne toujours malade depuis des années?

La Madone - Tu me fais des reproches maternels, Marisella?

Ne te fâche pas, je suis venue avec tout le paradis pour t’adresser mes vœux, ma chère fille. Tu ne vois pas ton époux bien-aimé qui te regarde et t’admire?

Marisa - Si, je vois que tous me regardent.

Cent millions de personnes supplémentaires se sont convertis? Recommençons maintenant les comptes. Attends une seconde que je le dise à l’Evêque.

Trois milliards et trois cent cinquante millions. C’est correct? Oui?

La Madone - Je vous laisse maintenant mes chers enfants, parce que vous êtes fatigués et il est bon que vous alliez vous reposer, mais priez Jésus avant de vous coucher, afin qu’il soit toujours avec vous et vous aide toujours.

Ensemble avec tout le paradis, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis ceux qui sont malades à la maison, les petits Jacopo et Samuele. Je bénis les malades dans les hôpitaux et vous tous ici présents.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Jésus - Adieu, mon épouse bien-aimée.

Marisa - Adieu, Jésus. Tu ne me dis rien?

Jésus - Tu sais que nous parlerons quand nous serons seuls toi et moi.

Marisa - C’est bon, adieu.

Il est venu mais il n’a fait que saluer.

L’Evêque - Il te dira le reste cette nuit.

Rome, le 14 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Vous êtes peu nombreux et les bancs ne se remplissent pas. Vous faites la volonté de Dieu et si vous le pouvez, continuez à venir. Vous pouviez être plus nombreux, votre sœur ne descend pas parce qu’il n'y a pas de jeunes pour l’aider à descendre. Il en faut quatre et ils sont malheureusement absents à cause du travail et de l’université, mais elle est avec vous, vous ne la voyez pas mais je l’ai amenée parce que je voulais qu’elle soit avec vous. Continuez à prier ce mois-ci afin que vous réussissiez à comprendre ce que Dieu désire pour le mois de juin, dédié à mon Fils Jésus. Vous devez répondre à la question: êtes vous heureux de venir quand Jésus apparaît ou non? Puis je demanderai à Dieu que faire. Faites en sorte que ce lieu ne se ferme pas, parce que les gens ne répondent pas, sont malades, viennent de loin, ont des problèmes de circulation, de famille. C’est triste de ne pas être là quand Jésus vient, j’en souffre, j’aimerais que les âmes répondent davantage pour mon Fils; j’aimerais tant que vous fassiez pour lui ce que vous n’avez pas fait pour moi.

Je ne parle pas bien sûr pour vous ici présents, mais diffusez le message, dites-le aux autres. Je suis toujours prête à demander des grâces tandis que vous quand il s’agit de venir, de faire de petits sacrifices, vous n’avez pas le temps. Voulez-vous des grâces? Donnez quelque chose à Jésus Eucharistie, à mon Fils Jésus qui a versé son sang pour tous les hommes de la Terre, pour la paix, pour tant de personnes qui ont besoin d’aide, de réconfort.

Je n’ai rien d’autre à vous dire. Préparez-vous à accueillir Jésus; si au mois de juin, vous n'êtes pas disposés, ne pouvez venir, dites-le et l’apparition aura lieu dans la maison; si vous êtes disposés à venir, Jésus sera ici avec vous, moi aussi, mon cher époux Joseph et tout le paradis parce que Jésus est Dieu.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Courage, mes chers enfants, courage. Faites ce sacrifice pour votre Jésus, pour la Mère de l’Eucharistie et pour votre Evêque.

Merci. Emanuele, tu envoies un baiser à la petite Madone?

Marisa - Adieu.

Rome, le 15 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. La lettre de Dieu vous invite seulement à réciter tous ensembles dix "Je vous salue Marie ". C’est la lettre de Dieu que j’ai apportée; elle demande seulement des prières, elle ne dit rien d’autre, chacun de vous sait maintenant ce que Dieu désire.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Tandis que l'évêque se prépare pour la Sainte Messe, récitez ce que Dieu a demandé.

Marisa - Adieu.

Rome, le 16 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Avant, ce n'était pas moi. J’ai vu que tu regardais, mais ce n'était pas moi. Il portait ma robe, mais ce n'était pas moi, ce n'était pas la Mère de l’Eucharistie. Heureusement tu t’es rendue compte à temps que c'était le démon et tu as baissé la tête. Oui, je sais que tu en as souffert, mais ne te fais pas de soucis, la Maman est toujours près de toi. Il voulait te faire du mal; il s'est présenté comme si c'était moi, la Mère de l’Eucharistie. Tu as été brave, rapide à baisser la tête.

Marisa - Oui, maintenant c’est toi, parce que tu es si belle, si belle. Je veux te recommander beaucoup de personnes Carmelo, Anna, Anna Maria, la famille que tu sais, tous ceux qui se recommandent à mes prières et nous tous ici présents.

Je veux te remercier de ta patience à venir chaque jour dans ce lieu thaumaturgique. Tu ne regardes pas s’il y a peu ou beaucoup de monde, tu dois venir et tu viens. Je te remercie au nom de tous parce que je crois que nous sommes tous heureux que tu viennes parmi nous.

La Madone - Mes chers enfants, vous avez malheureusement oublié la neuvaine, mais Jésus, l’Esprit Saint et Dieu le Père n'ont rien dit, ils comprennent votre situation, le travail énorme de l’Evêque qui est seul. Je vous invite maintenant à faire le triduum pour la fête. C'était le devoir même des adultes et des jeunes de rappeler à l’Evêque: "Excellence, ne devons-nous pas faire la neuvaine?". Pourquoi ne lui rappelez-vous jamais rien? C’est une façon de l’aider et vous devez le faire. Est-ce l’amour et la charité dont vous faites preuve ? Cela fait maintenant bien longtemps que vous venez ici, aidez-le au moins dans ces petites choses.

Priez le Saint Esprit qu’il descende sur chacun de vous, qu’il vous protège et vous aide tous. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de péchés sont commis contre le Saint Esprit. Priez-le, demandez-lui son aide. Il y a quelque temps, je vous ai appris une prière. L’avez-vous dite? "Viens Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire mon esprit, enflamme mon cœur et fortifie ma volonté ". Il y a tout dans ces simples paroles. Préparez-vous au cours de ces trois jours précédant la fête, faites bien au moins le tridium.

Je vous ai dit que si chacun de vous parvenait à amener ici quelqu’un, il aurait déjà le paradis assuré; vous ne devez pas seulement penser à vous. Maintenant j'y vais. Cherchez à amener ici d’autres personnes. Bien sûr, ils peuvent faire la grimace ou dire quelque chose de désagréable, mais peu à peu ils se rapprocheront, parce que les temps sont proches également. Quand les temps viendront, quand la dernière attaque de Satan viendra, il sera trop tard, il sera inutile de se traîner par terre à genoux, vers l’autel et d'invoquer Dieu, Jésus et le Saint Esprit. Ce que vous devez faire, faites-le maintenant, au nom de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci de m’avoir aidée. Adieu.

Rome, le 18 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Hier soir, ma fille, si mon Fils Jésus, ton époux bien-aimé, n'était pas intervenu, tu nous aurais rejoint au paradis, mais Jésus désire que tu restes encore sur la Terre pour aider l’Eglise. Je ne suis pas ici aujourd'hui pour toi, parce que je peux te parler à d’autres occasions, mais pour ceux ici présents. Il n'y en a pas beaucoup, il y en a peu. Il y a une faute qui me fait beaucoup souffrir. Le respect manque entre vous. Quand je viens vous parler d’amour, de charité, de compréhension et d’aide fraternel, je vois que certains jeunes manquent parfois de respect envers les adultes. Le contraire peut aussi arriver et c’est l’adulte qui manque de respect envers le jeune. Ce n'est pas beau, je vous ai enseigné la communion, l’union et la charité. Et vous que faites-vous ? Vous n'êtes pas en communion, vous n'êtes pas unis. Vous avez fait deux clans: celui des jeunes et celui des adultes et ce sont toujours les jeunes qui marchent en avant. Jésus ne veut pas de cela, cela ne lui plaît pas du tout, vous ne devez faire qu’un. Quand j'étais en bilocation avec les apôtres, il n'y avait pas de division entre eux, ils étaient tous unis. Les disciples aussi étaient tous unis, ils ne faisaient pas de différence entre les jeunes, les adultes et les anciens et éprouvaient au contraire un grand respect pour les personnes âgées. Les jeunes doivent respecter les adultes et les adultes doivent respecter les jeunes, mais il n'en est pas ainsi malheureusement.

De temps à autre il y a quelque chose qui ne va pas, vous voulez tous être les premiers, être ceux qui font tout. Mes chers enfants, vous ne pouvez pas vous imaginer combien il y a à faire dans cette petite maison, dans ce petit lieu thaumaturgique parce que vous ne faites que ce qui vous plaît et si quelque chose ne vous plaît pas vous ne le faites pas. Si quelqu’un fait quelque chose avec beaucoup d’amour, laissez-le faire, en quoi cela vous regarde-t-il ? Je viens pour tous, je ne viens pas pour les adultes ou pour les jeunes, je viens pour tous et je veux l’union. Si vous n'êtes pas unis, comment faites-vous pour aider votre Evêque ?

Je vous demande aujourd'hui d’aider également votre sœur. Vous ne pouvez pas vous imaginer dans quel état elle est physiquement, ni les dix secrets, plus les deux autres, qu’elles gardent secrètement. C’est un fardeau très lourd. Et vous l’aidez ? Quand je vous dis ces choses, votre sœur souffre et votre évêque souffre. Vous êtes si peu nombreux, mes chers enfants, pourquoi ne vous aimez-vous pas, pourquoi ne vous voulez-vous pas du bien ? Demandez l’aide de l’Esprit Saint, pas seulement parce que c’est demain sa fête mais demandez-le tous les jours. Invoquez chaque jour l’Esprit Saint afin qu’il vous aide tous à être unis, à former une union parfaite. Dans quelques endroits où je suis apparue, deux ou trois partis se sont formés. Ceci s'est également produit ici et Jésus ne le veut pas, je ne le veux pas, continuez donc à prier et à invoquer l’Esprit Saint. Peut-être êtes-vous unis dans la prière. Quand vous priez, cherchez de l’aide, invoquez l’Esprit Saint pour vous et que chacun prie pour l’autre, ce serait si beau, tout serait plus facile, tout serait plus serein. Je vous ai déjà dit de prier pour les autres, pour ceux qui vous sont proches, ne priez pas seulement pour vous mais que chacun prie pour l’autre. Une certaine manière de faire ne me plaît pas, je n’aime pas cette envie d’exceller à tout faire, je n’aime pas ce manque de respect, parce que si vous manquez de respect entre vous vous manquez de respect à mon Fils Jésus, à moi, la Mère de l’Eucharistie, à votre Evêque et à votre sœur qui prie tous les jours pour chacun de vous. Elle ne fait pas de différence entre les adultes et les jeunes, elle prie pour tous. Faites de même, je vous en implore de tout mon cœur.

Maintenant, Marisella, lève-toi et va imposer les mains sur...

Marisa - Maman ? Pourquoi ne la fais-tu pas aller un peu mieux, nous sommes deux à aller très mal. Oui, j'obéis à tout ce que tu dis.

Merci, petite Madone... C’est trop douloureux, j’ai trop de douleurs. Nous n’allons pas bien et nous sommes une charge. Heureusement que tu as placé une personne sainte à côté de nous. Aide-la un peu, je ne peux pas la voir souffrir comme elle ne réussit pas à me voir souffrir. Fais que j’aille mal quand la maman n'est pas présente parce qu’elle souffre trop ensuite.

La Madone - Tu as raison ma fille, mais vois, nous faisons tout ce que nous pouvons, mais nous ne pouvons pas vous guérir, sinon nous devrions guérir tous les malades du monde.

Marisa - C’est bon, nous nous abandonnons à Dieu et ce sera comme il voudra. s’il ne nous donne rien d’autre, qu’il nous donne la force de supporter.

m’aideras-tu à descendre dimanche ? Le docteur m’a dit qu’il me faut le repos absolu, mais j’aimerais descendre, je t’en prie! Demande à Jésus de me faire descendre au milieu des adultes et des jeunes, comme cela nous serons ensemble.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades, Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Union, mes chers enfants, union pour toujours. Loué soit Jésus christ.

Marisa - Adieu. Souris un peu. Adieu.

Don Claudio, elle ne souriait pas beaucoup.

Rome, le 19 mai 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. J’ai prié avec vous et joui de tout ce que vous avez préparé pour la fête de la Pentecôte, pour la descente de l’Esprit Saint. Quand vous le voulez, vous savez très bien faire. Souvenez-vous du message d'hier! Vous devez être toujours en communion avec ceux qui sont près de vous, adultes ou jeunes.

Marisa - Elle est partie!

Les trois Jésus! L’Esprit Saint parle.

Dieu l’Esprit Saint - Oui. Moi, Dieu l’Esprit Saint, je descend dans vos cœurs, je viens purifier vos cœurs. Comme l’a dit la Mère de l’Eucharistie, priez l’Esprit Saint afin qu’il vous aide et vous éclaire. Moi, Dieu l’Esprit Saint, je veux vous aider, mais faites-moi entrer dans votre cœur, demandez mon aide en toute chose, et si c’est la volonté de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, tout vous sera accordé. Vous devez vous aimer. Ne regardez pas ce que font les autres, la façon dont ils se conduisent, ce qu’ils disent. Non, pensez seulement que je suis ici, dans ce lieu thaumaturgique, dans ce petit lieu, dans cette petite basilique, faite avec une si grande simplicité qui plaît à Dieu.

Mes chers enfants, nous vous aimons tant: Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, les anges, les saints, tous. Nous venons dans ce lieu parce qu’il a été choisi par Dieu. Que beaucoup ou peu de personnes viennent, nous sommes là. Jésus viendra au mois de juin, mais c’est à vous de le demander. Nous ne viendrons cette fois que si vous le voulez, sinon il n'y aura que l’apparition le samedi, mais cela ne plaît pas à Dieu. C’est à vous de décider. Quand la Mère de l’Eucharistie vous a demandé d'écrire "oui" ou "non" sur un papier et de le mettre dans une corbeille, vous l’avez fait, mais tous n'ont pas ensuite respecté ce qu’ils avaient promis. Pensez aujourd'hui que Dieu vous demande d'écrire à nouveau "oui" ou "non" sur des billets. Si vous écrivez "oui", nous viendrons tous les jours, mais croyez-moi, mes chers enfants, c’est votre sœur qui souffre tant et votre évêque qui a tant à faire qui font le plus grand sacrifice. Venez ici pour vous-mêmes, car demain quand la situation changera, vous devrez faire avancer cette mission en aidant l'évêque.

Ecrivez un petit billet, mettez-le sur l’autel dans une corbeille. Il n'est pas besoin d'y écrire votre nom, il suffit d'écrire "oui" ou "non" et nous serons toujours avec vous.

La Madone - Mes chers enfants, vous avez reçu la parole de l’Esprit Saint. Les trois Jésus sont rentrés l’un dans l’autre. Ils sont partis et m'on laissé moi, la Mère de l’Eucharistie, parce que je suis votre Maman. Comme les papas le font souvent quand ils quittent la maison, ils s'en vont et la maman reste avec les enfants. C’est ainsi que je suis ici avec vous pour vous donner ma bénédiction.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis les enfants, les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Elle est partie, ils sont tous partis doucement.

Rome, le 20 mai 2002 - 18h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. j’espère et serais si heureuse que l’Esprit Saint soit descendu sur chacun de vous. Quand vous priez l’Esprit Saint, dites: "Viens Esprit Saint"; ce "viens" dites-le de tout votre cœur.

Mes chers enfants, nous sommes arrivés au 20 mai et il ne reste plus que quelques jours d'ici la fin du mois qui m'est dédié. La Maman remercie ceux qui ont fait des sacrifices pour venir, et aussi ceux qui n'ont pu venir à cause de leur travail ou pour d’autres motifs sérieux. Je vous demande de prier et de continuer à invoquer l’Esprit Saint. Priez pour tous, priez surtout pour que les nombreuses guerres cessent. Vos prières doivent arrêter les guerres, il y en a trop et ceux qui meurent sont trop nombreux. Vos prières doivent aider les familles, faire que les hommes aiment mon Fils Jésus comme lui les a aimés.

Priez pour les malades. Beaucoup d’enter eux ont besoin d’aide. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

La Madone - Oui, cela m’a fait sourire moi aussi.

Marisa - Adieu.

Rome, le 21 mai 2002 - 18h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je suis ici avec mon époux bien-aimé Joseph et je m’adresse maintenant aux prêtres. Vous les prêtres, il faut que vous interveniez, que vous parliez si une âme, même appelée par Dieu, confond les concepts théologiques, vous ne devez pas toujours dire "oui". Toi, Père Paul, soit comme Saint Paul, fort et courageux. Il est beau d'être simple, mais il faut aussi être prudent. J’ai dit que je n’apparaissais que dans très peu d’endroits et n’apparais pratiquement plus, parce que les hommes cherchent par tous les moyens à me faire me tromper et que le démon tente les hommes. Il y en a tant et tant qui disent me voir et disent que mon Fils Jésus leur parle, mais ce n'est pas vrai. Attention, attention, attention, le démon peut également se servir de ces tromperies.

Don Paolo, ni moi ni le Seigneur ne t’avons dit de quitter la Congrégation Salésienne. Tu es libre, libre d'y rester ou de la quitter, personne ne t’oblige à l’un ou l’autre. Mais ne dis pas que "le Seigneur a dit " ou "la Madone a dit"!

C’est au nom de Jésus que je parle aussi. Dieu m'envoie au milieu de vous. Vous les prêtres, vous connaissez la théologie, les âmes simples elles ne la connaissent pas et peuvent se trompr, vous devez les corriger. Marisella, qui a été choisie par Dieu, sollicite toujours l’aide de son directeur spirituel et demande des explications sur ce que Dieu écrit dans les lettres. Je répète encore une fois que je n’apparais que dans ce lieu, en tant que Mère de l’Eucharistie. Attention, quelqu’un dit que j’apparais dans d’autres lieux en tant que Mère de l’Eucharistie, ou Dame de l’Eucharistie ou Vierge de l’Eucharistie. Mais, ce n'est pas vrai! Je n’apparais en tant que Mère de l’Eucharistie, que dans ce lieu thaumaturgique, si petit et caché, mais choisi par Dieu. Dieu envoie ses lettres, Dieu m'envoie sur la Terre, parce que je suis sa servante; je suis la servante de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, je suis votre servante, je suis la messagère de Dieu.

Ne dites jamais: "La Madone a dit " ou "le Seigneur a dit", faites attention, très attention, car ainsi vous discréditez aussi les vraies apparitions et les lieux où Jésus et moi nous nous rendons.

Mes chers enfants, je me recommande à vos prières. Merci de l’adoration du Saint Sacrement que vous avez faite tous les jeudis, remplissez votre journée en tenant compagnie à Jésus Eucharistie, soyez toujours avec lui. L’aimant lui, vous devez aussi vous aimer, parce que si vous ne vous aimez pas, vous ne pouvez pas dire aimer Jésus-Eucharistie. J'insiste toujours sur cette exhortation: amour, charité envers tous: grands et petits, pauvres et humbles, malades et enfants nécessiteux. Vous devez être simples dans votre comportement, mais être des hommes forts et courageux. Jésus vous veut courageux. Le vrai chrétien ne doit avoir peur de rien et si vous vous voyez que quelque chose ne va pas, vous devez intervenir.

Ce que les hommes d'église disent sur mon évêque me fait souffrir. Il était à prévoir qu’il y aurait une opposition. Nous savions fort bien qu’ils parleraient négativement de notre évêque, mais ils ne se rendent pas compte qu’ils offensent Dieu parce qu’ils ne croient pas que Dieu l’ait appelé et non les hommes. Cela a suscité en eux envie et jalousie. Le Dieu Tout-puissant, le Dieu miséricordieux ne peut-il faire ce qu’il veut? Qui êtes-vous donc hommes pour juger, calomnier et diffamer? Combien de fois dois-je répéter que celui qui calomnie et diffame l'évêque ordonné par Dieu, commet un péché grave ?

Courage, mes chers enfants. Je vous ai demandé de prier afin que les guerres cessent; continuez à prier, mais souvenez-vous que la guerre est d’abord en chacun de vous. Si vous êtes dans la grâce et O.K., ce sera la joie, le sourire, beaucoup d’amour pour tous.

Marisa - Oui, ce n'est pas facile pour moi, petite Madone, de parler avec Don Paolo parce que j’ai peur de me tromper. Comme tu l’as dit, je ne vaux que pour ce quart d'heure d’apparition puis je dois m'effacer et l'évêque doit s’avancer; je veux rester dans le silence, ne me donne pas cette tâche. C’est bien, si tu m’aides.

La Madone - Aujourd'hui, ma fille, tu as énormément souffert de la passion et elle n'est pas encore terminée. Dieu te demande tout cela pour les hommes d’eglise, pour qu’ils fassent eux-aussi la volonté de Dieu.

Merci, ma fille, ma petite fille. Merci, Marisella, pour tout ce que tu fais, merci pour l’acceptation de la souffrance, même si elle s’accompagne parfois de découragement, de grognements, de fatigue et d'épuisement. Je sais que tu es fatiguée de souffrir, mais tu seras heureuse ensuite, seulement au paradis.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Je bénis le petit Emanuele.

Rome, le 22 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je viens toujours pour vous faire quelques reproches maternels. Je vous en prie, ne soyez ni susceptibles, ni orgueilleux, mais en revanche humbles et simples. Quand je vous fais des reproches, c’est pour votre bien, pour vous faire gagner le paradis. Je suis préoccupée que les prêtres, qui sont appelés par Dieu, fassent souffrir mes deux chers petits enfants, parce qu’ils ne sont ni sincères, ni simples, mais orgueilleux et susceptibles. Quand on vous fait un reproche, acceptez-le de tout votre amour; c’est ce que désire Jésus, il ne vous demande pas de prendre d’engagements sérieux. Je vous ai souvent dit que Jésus ne vous demande pas de faire de grandes choses. Si une maladie vous frappe, nous n'en sommes pas responsables, c’est la nature qui le veut, du reste combien y-a-t-il de malades?

Parlez avec simplicité et loyauté. Ne soyez pas susceptibles, jaloux ou orgueilleux parce que, comme vous le savez bien par les lettres de Dieu, la jalousie conduit à l'envie, et l'envie à la médisance, à la calomnie et la diffamation. Cela vous ne le voulez pas car vous voulez du bien à mon Fils Jésus et à la Mère de l’Eucharistie.

Quand vous faites le signe de croix, vous savez fort bien qu’on dit: au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Si quelqu’un y ajoute quelque chose d’autre que la très Sainte Trinité, il est hérétique. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je viens bien, bien, bien après Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je suis la dernière devant la Très Sainte Trinité; je suis leur servante et je suis aussi votre servante. Chacun de vous doit être le serviteur de ceux qui lui sont proches.

Je sais que tu souffres, Marisella.

Même parmi vous, il ne doit y avoir ni premier ni dernier. Vous devez tous être serviteurs les uns des autres; toujours avec simplicité et surtout avec charité.

En ce mois de mai, beaucoup se sont rapprochés de Jésus, mais comme vous le savez bien, les guerres continuent, intensifiez donc vos prières. J’aurais aimé vous demander de faire souvent l’adoration du Saint Sacrement; j’aurais aimé vous dire: "Faites l’adoration toute la journée, 24 heures sur 24", mais je sais fort bien que je vous demanderais trop ainsi. Votre sœur a fait l’adoration même pendant la nuit. Deux jeunes étaient avec elle et se sont relayés. De nos jours, faire l’adoration permanente, même de nuit, semble impossible.

Je vous dis seulement ce que Dieu a mentionné dans sa lettre. Dans votre cœur vous savez que faire. Je ne peux rien vous imposer, vous savez que la Maman vous laisse toujours libres d’agir. Seul Dieu ordonne, comme il a ordonné votre évêque. Aimez-vous, aimez-vous, aimez-vous; si vous n’aimez pas, ne recevez pas mon Fils Jésus, ne le recevez pas dans votre cœur si vous ne savez pas aimer et savez seulement faire souffrir le prochain. Vous devez comprendre que celui qui fait des reproches agit par amour, afin de vous amener à jouir pour toujours de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le saint Esprit.

Priez maintenant avec moi: Notre Père...

Mes chers enfants, répétez souvent: "Ne nous soumets pas à la tentation". Attention, le démon est toujours proche, toujours prêt à vous faire chuter, ne le laissez pas s’introuire par une faille ouverte. Répétez souvent: "Ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre nous du mal". Comme vous le savez bien, Dieu veut que l’on récite aussi le Je vous Salue Marie.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je te bénis, petit Emanuele.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bon mois de mai à tous. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Fais-moi aller un tout petit peu mieux.

Rome, le 23 mai 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme toujours, je te recommande tous les malades. Si Dieu les guérit ou les emporte avec lui, que sa volonté soit toujours faite. Je te recommande Carmelo, Emilio, Anna, Annamaria, les petits Michele, Francesco, Giovanni et tous les autres. Permets leur de vivre, si c’est la volonté de Dieu.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de l’amour que vous montrez envers l’Eucharistie et pour cela priez le Saint Esprit. Priez-le toujours chaque jour, n’attendez pas sa fête pour l’invoquer.

Ce sont des temps très difficiles. Parfois, il semble que quelque chose s’approche et parfois s'éloigne. Ce songe que tu as eu Marisella, est prophétique.

Marisa - Alors que dois-je faire?

La Madone - Nous en reparlerons comme dans les premiers temps.

Marisa - Puis-je te demander quelque chose ? Si les temps sont si difficiles, Dieu ne peut-il intervenir et aider au moins ces âmes qui l’aiment vraiment et souffrent tous les jours? Je sais que Dieu a envoyé son Fils pour nous sauver tous, pour nous rouvrir le paradis, mais j’aimerais savoir: comment est ce monde que Dieu a créé? Tout ce que Dieu a créé est beau, mais nous les hommes nous sommes imparfaits, parfois même méchants, susceptibles, orgueilleux. Que devons-nous faire pour nous corriger? Nous nous efforçons d’aimer.

Pourquoi ne fait-il pas triompher l’Evêque aussi sur la Terre? Pourquoi continuez-vous à nous faire tant souffrir ainsi?

La très Sainte Trinité vient d’arriver!

Voilà, les trois personnes divines sont là, Dieu Unique et Trinitaire, les trois Jésus distincts. Je l’ai expliqué dimanche à Jacopo, mais ce n'est pas facile. Pourquoi la Très Sainte Trinité est-elle venue?

La Madone - Oh, ma petite créature, mes chers enfants, n’avez-vous pas compris combien nous vous aimons? C’est vous qui ne vous aimez pas.

Marisa - Nous y mettons tout maintenant. Toi, qu’attends-tu de nous? Que devons-nous faire encore pour que Dieu soit content de nous? Que devons-nous faire encore, nous pauvres créatures pour l’Eglise et le monde entier?

La Madone - Aimez.

Marisa - Nous cherchons à aimer, mais nous sommes sur la planète Terre, nous sommes pleins d'imperfections, mais nous aimons Jésus-Eucharistie et nous t’aimons.

C’est pour cela que tu es triste ? Nous aussi, nous sommes très tristes; heureusement que ce n'est pas vendredi aujourd'hui. C’est bon, je te remercie au nom de tous d'être venue ici, au milieu de nous. Même la très Sainte Trinité est venue parmi nous, merci pour tout!

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Oui, j’ai compris. Et maintenant?

L’Evêque - Maintenant, nous alllons de l’avant.

Rome, le 24 mai 2002 - 18h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je préfère que tu parles parce que je ne parviens pas à me faire comprendre.

La Madone - Il est fort difficile de comprendre ce qui se passe dans le monde parce qu’il y a des hommes qui sont sincères et d’autres qui sont hypocrites et ce sont surtout les hypocrites qui commandent. Il y a aussi des hommes qui commandent bien qu’ils ne soient rien, ce sont des hypocrites, des menteurs, des susceptibles et des orgueilleux. Vous devez essayer par tous les moyens de ne pas avoir ces défauts qui semblent insignifiants mais causent de grands dommages aux hommes.

Priez et continuez à prier le Saint Esprit pour qu’il vous éclaire, vous donne la force et le courage d’avancer et d’accepter la souffrance et la maladie.

Votre sœur prie aussi pour vous tous, en particulier pour ceux qui sont malades. Les prières sont reçues par Dieu, mais vous devez toujours faire sa volonté. Pour vous les hommes, il est parfois difficile de faire la volonté de Dieu, mais si vous être recueillis et unis à mon Fils Jésus, tout deviendra plus facile et vous aurez la force et le courage de tout supporter. Vous devez combattre les imperfections qui sont graves et non insignifiantes, car elles vous empêchent d’avancer spirituellement, de vous rapprocher de Dieu, du Paradis.

Courage, je suis avec vous. Je suis votre Maman, je ne peux pas vous abandonner, vous laisser.

Merci, mes chers enfants de votre présence.

C’est aujourd'hui la fête de Marie Auxiliatrice. Toi, Marisella, tu vois Marie Auxiliatrice et la Mère de l’Eucharistie, c’est toujours moi. J’ai beaucoup de titres, chacun prie la Madone comme il le peut. Tu vois, je parle très simplement parce que je suis sur la Terre et désire que vous compreniez tous ce que je dis.

Courage, soyez heureux.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Quand le feras-tu également parler. Cela fait longtemps qu’il ne parle plus.

La Madone - Toute chose en son temps, Marisella, ne te fais pas de soucis à ce sujet.

Marisa - C’est bon, adieu. J’aime bien obéir, mais c’est difficile.

La Madone - Continue ainsi.

Marisa - Elle a dit de continuer à obéir.

Rome, le 25 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te recommande tous ceux qui sont malades: Alessandro, Carmela, Emilio, Michele et les petits Francesco, Giuseppe et Maria. Donne de la force à nos jeunes pour affronter cette vie si difficile et pénible. Je te recommande tous ceux qui ont besoin de ton aide, en particulier les personnes âgées qui sont toujours seules.

La Madone - Tes prières quotidiennes, Marisella - même si tu ne veux pas qu’on sache que tu pries - sont toujours bien accueillies par Dieu. Ta maman prie aussi beaucoup et récite beaucoup de rosaires. Merci, grand-mère Iolanda, pour tes prières.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Vous préparez une nouvelle cérémonie et je vois que vous avez déjà commencé et que vous faites de votre mieux pour que ceux qui doivent recevoir le sacrement du mariage soient heureux et contents. Priez pour ces deux jeunes et leurs parents. Chaque fois qu’un jeune affronte quelque chose, c’est toujours difficile et éprouvant, mais quand Jésus est dans son cœur, il a la force et le courage de tout affronter.

Ne regardez pas les petits nuages qui tournent autour de vous, regardez toujours en haut, regardez mon Fils Jésus, les anges, les saints tous les enfants et les âmes sauvées qui sont auprès de moi. Tous ceux là prient pour vous, pour vous donner de la force. Ne vous alarmez pas du petit nombre de participants, ne vous faites pas de soucis si vous êtes peu nombreux, car si vous aimez Jésus de tout votre cœur, les autres vous imiteront, vous regarderont et prendront exemple sur vous.

Vous n'êtes donc pas seulement quarante, mais quatre vingt, cent soixante et multipliez toujours plus.

La Mère de l’Eucharistie est connue dans le monde entier, même dans les nations non catholiques où les hommes se demandent: "Qui est cette dame? Qui est cette Madone qu’on appelle Mère de l’Eucharistie?". Alors ils s’informent et se convertissent, ce sont de vraies conversions.

Courage, avancez et demandez toujours de l’aide à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Invoquez-les toujours, ce sont vos amis, invoquez-les avec les anges et les saints.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 26 mai 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Puis-je te recommander tous ceux qui se sont recommandés à mes prières ? O très Sainte Trinité, aide-nous à être bons, à prier, à jouir et à chanter en l'honneur de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Il y a trois Jésus égaux et distincts. Lequel d’entre vous va parler?

La Madone est toute courbée, inclinée jusqu'à terre, en prière.

Jésus - Moi, Jésus, je parle au nom de Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit. Vous ne pouvez pas comprendre le mystère de la Très Sainte Trinité, seul vrai Dieu en trois personnes égales et distinctes. Je suis Dieu le Fils et Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit sont présents. C’est aujourd'hui notre fête, si importante pour l’Eglise, mais malheureusement on n'explique pas dans toutes les Eglises ce que signifie Trinité, ce que veut dire Père, Fils et Saint Esprit. Ils parlent souvent de Jésus Miséricordieux et du Saint Esprit, mais de Dieu le Père? Ils parlent souvent de Jésus Miséricordieux, mais ne comprennent pas que finalement c’est à Dieu le Père qu’ils devront rendre compte. Nous sommes trois personnes et toi, Marisella, tu me reconnais parce que j’ai les stigmates. La passion que tu as vécue cette nuit a été très douloureuse et j'étais près de toi. L’Esprit Saint est reconnaissable à la colombe. Et Dieu le Père ? Nous sortons de Dieu le Père. C’est Lui qui m’a donné la tâche de vous rouvrir le paradis; Dieu le Saint Esprit est descendu sur chacun de vous, sur tous les hommes de la Terre pour vous convertir et c’est lui qui illumine les cœurs. Nous trois, nous vous aimons d'un amour immense.

O bienheureuse Trinité! Chantez à la très sainte Trinité, priez, aimez la très Sainte Trinité et je me répète, seul vrai Dieu en trois personnes. J’ai expliqué la Sainte Trinité si simplement que même le petit Jacopo a compris. Il a si bien compris qu’il en a fait un dessin. Donc si un enfant de six ans le comprend, vous pouvez le comprendre aussi. Je suis sorti du Père, l’Esprit Saint est sorti du Père et nous sommes égaux mais distincts: j’ai les stigmates, l’Esprit Saint qui illumine tout a la colombe. Vous ne vous souvenez de la Très Sainte Trinité que lorsque c’est sa fête. Souvenez-vous les autres jours de prier la Très Sainte Trinité: Le Père, le Fils et le Saint Esprit? C’est pourquoi la Madone vous a enseigné dans le premier livre des catéchistes de Dieu, à dire: "Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit". On ne doit pas invoquer Marie en faisant le signe de croix. Même si elle est la Maman, Marie est à la dernière place. Il y a une distance infinie entre elle et Dieu. Ne dites pas au nom du Père, de Marie, du Fils et du Saint Esprit, c’est une très grande hérésie. Si les prêtres ne savent pas corriger cette hérésie, que pouvons-nous attendre de plus d’eux? Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit: C’est tout, c’est cela la Très Sainte Trinité.

Merci, mes chers enfants de votre présence.

Marisa - Ils sont partis. Jésus et le Saint Esprit sont rentrés dans Dieu le Père. La Madone est arrivée.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Jésus vous a dit quelques mots sur la Très Sainte Trinité. Mettez-les en pratique. Je suis avec vous et je vous aiderai toujours.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades dans les hôpitaux, à la maison et ceux ici présents. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - J’ai vu que tu étais inclinée jusqu'à terre en présence de la Très Sainte Trinité.

La Madone - Oui, Marisella, on doit le faire devant la Très Sainte Trinité. Bien sûr vous ne pouvez le faire, mais nous au paradis, nous le pouvons et honorons, louons et adorons ainsi la Très Sainte Trinité.

Marisa - Adieu.

Ils sont tous partis. As-tu vu comme la Très Sainte Trinité était belle?

L’Evêque - Je me l’imagine.

Rome, le 28 mai - 18h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Préparez-vous à la Fête-Dieu. Je n'ose pas vous dire de faire la neuvaine et le tridium, parce qu’il y a beaucoup de fêtes de mon Fils Jésus, de votre Jésus, aux mois de mai et de juin, fêtes pour lesquelles vous devriez bien vous préparer tous les jours.

Nous nous approchons de la grande fête. Ce qui me chagrine et laisse beaucoup à désirer, c’est que les grands hommes d’eglise n’abandonnent ni le pouvoir, ni leur poste et ne se retirent pas. Quand ils arrivent à un certain âge, ils devraient se retirer. Ce serait beau s’ils entraient alors dans un couvent pour y prier jusqu'à leur mort, pour tous les hommes et leurs confrères.

Je dis ce que le Père m’a dit: Quand Dieu le Père parle, il sait ce qu’il dit et désire, parce qu’il sait et peut tout.

Vous n'êtes pas nombreux et même lorsque le grand jour viendra vous serez toujours les mêmes. Le nombre de fidèles n’augmente pas ici parce que ce lieu n'est pas considéré comme important et que beaucoup d'hommes d’eglise, grands et petits, ont dit du mal de mes deux chers petits enfants. En revanche, les hommes se rendent auprès de ceux qui se sont faits un nom, même s’ils se conduisent mal et sont vraiment prêts à payer pour les entendre. Vous ne savez pas qu’ils paient pour entendre parler un prêtre. Ici tout est spirituel, l'évêque ne demande rien. Comprenez bien mes paroles, j’ai du mal à parler de certaines choses. Votre Evêque vous-a-t-il jamais dit de payer pour l'entendre ? Et pourtant il y a des non-voyants qui suivent des prêtres-moines qui ne me voient pas et qui font payer quand ils parlent, parce que maintenant tout va disparaître peu à peu. Ils se sont faits un nom, peuvent même pécher devant tous, mais cela ne fait rien, les gens courent maintenant là où il y a foule. Combien de fois ne vous ai-je pas dit qu’ils courent tous là où il y foule, parce qu’ils disent: "Qu’irions-nous faire là où il y a peu de monde ?". Alors, viennent-ils pour Jésus, Marie ou parce qu’il y a du monde ? Dieu a voulu bien autre chose de vous et soyez en heureux et contents, sinon il y aurait eu ici aussi une grande confusion, car les hommes ne se déplacent que pour être des protagonistes et non pour aimer et prier.

Quand je vais au Père, je lui apporte vos prières, je lui apporte tout ce que vous lui demandez et lui me regarde et sourit: "Marie, sois tranquille, je sais tout et je sais ce que je dois faire, ne te fais pas de soucis". Dieu le Père me dit ceci et je baisse la tête et je dis: "Oui, mon Dieu, mon Tout". C’est ce que vous devez faire, ne regardez pas les autres, ne regardez rien, regardez ce lieu thaumaturgique choisi par Dieu, baissez la tête et dites: "Oui, mon Dieu, que s’accomplisse ce que tu veux, comme tu le veux, que ta volonté soit toujours faite".

J’aimerais tant que vous ressentiez profondément la Fête-Dieu, la fête du Corps de mon Fils Jésus, faites la procession du Saint Sacrement avec l’Eucharistie qui a saigné, soyez recueillis, priez, ne cessez pas de prier. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bon mois de mai à tous.

Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Emanuele, petit coquin.

Marisa - Adieu.

Rome, le 29 mai 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je veux te recommander tous les malades qui se sont recommandés à mes prières: je te recommande à nouveau Agata. Donne-nous la force de faire la volonté de Dieu, nous en avons besoin.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Préparez-vous à la Fête-Dieu. Faites que ce soit un très grand et très beau jour de fête parce que c’est la fête solennelle du Corps du Christ, de mon Fils Jésus, de votre Jésus.

Quand je voyageais avec Lui d'une cité à l’autre, il me racontait tant de choses du Ciel, me parlait doucement, mettait sa main sur mon épaule et me disait: "Ma chère Maman, même quand je partirai vers le Père, je serai toujours avec toi". Les parents ne doivent pas se séparer de leurs enfants et les enfants se séparer de leurs parents. Parents, embrassez vos enfants, et vous enfants embrassez vos parents et souhaitez leur du bien, vous verrez comme tout sera plus facile pour aller jouir du paradis.

Trois milliards et trois cent cinquante millions de personnes se sont converties, mais il reste encore beaucoup à faire et à prier. Quand vous arriverez à ce que Dieu a fixé, il faudra encore beaucoup prier pour la fin des guerres, pour les hommes d’eglise et les hommes politiques. Vous savez combien de paroles inutiles les hommes continuent à dire, alors que les gens meurent. Priez pour les enfants abandonnés, sans parents, sans nourriture et médicaments. Quand Dieu le voudra et quand vous serez arrivés aux trois milliards et cinq cent millions de conversions, les prières ne seront pas terminées pour vous, au contraire vous devrez même les intensifier, pour remercier Dieu et convertir les autres, tout spécialement les hommes d’eglise.

Il y a tant de prêtres pédophiles qui détruisent les petits enfants! Qu’arrive-t-il ensuite ? Les hommes qui ne savent pas que l’Eglise n'est pas uniquement formée de prêtres mais également de laïques, s'en vont. Les péchés continuent, les offenses envers Dieu continuent. On a beaucoup parlé à ce sujet de l’amérique mais pas de l’italie! Mais en Italie comme dans d’autres pays également, il y a de mes fils de prédilection, des fils que j’ai choisis, qui détruisent les enfants. Ces prêtres en lisant les lettres de Dieu se scandalisent et disent: "La Madone parle de nous!". Bien sûr que je parle d’eux, ils ont été appelés par Dieu, ce sont les fils de prédilection de Dieu et que lui rendent-ils en retour ? Ils détruisent les petits, les petites créatures; c’est pourquoi je vous demande de prier pour ces prêtres. Je n'ose répéter le mot, c’est trop dur.

Marisa - Je pense que je ne peux également pas le prononcer. J’ai tant pleuré ce jour-là, mais je ne peux pas non plus le répéter.

La Madone - Cela ne fait rien, Marisella, cela n'est pas important de savoir dire les mots, il est important d’aimer et de défendre les faibles.

Les prêtres se réunissent pour dire du mal d'un évêque alors qu’eux-mêmes sont dépravés. Priez. Je vous demande aujourd'hui de prier pour ces prêtres corrompus qui ont voulu tout posséder, ont pris ce qui était mal, tout ce que Dieu ne voulait pas et ont ruiné si brutalement cette planète Terre. Dieu cherche par tous les moyens, à les aider, à les sauver, mais ce sera difficile pour quelques uns au moins. Vous, priez et aimez. Ne regardez pas les petits manquements parmi vous, ils ne sont rien comparés à ceux de mes fils de prédilection.

Merci si vous mettez en pratique cette lettre de Dieu. Merci à tous. Pardonnez à la petite Madone d’avoir osé vous parler de cette façon, mais le Cœur de mon Fils Jésus saigne tous les jours et le mien aussi. Combien d’eucharisties avez-vous reçues d'où sortait son sang? Dans ces hosties, mon sang a également coulé sur celui de mon Fils Jésus.

Courage et en avant. Tous ceux qui courent dans les sanctuaires, il y en a des milliers et des milliers, devraient savoir que là ils n'y rencontrent pas de prêtres qui les suivent, font la direction spirituelle et organisent des rencontres bibliques. Les gens se rendent souvent dans les sanctuaires pour y passer quelques jours de vacances.

Bienheureux, vous, bienheureux, vous qui avez choisi ce lieu.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bon mois de mai à tous.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 30 mai 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Comme toujours, la Maman vous dit de prier et de vous aimer. Le jeudi, jour de la rencontre biblique, Dieu ne donne pas de longue lettre parce que vous devez écouter sa Parole. La Lettre de Dieu renferme un encouragement pour avancer, prier et aimer. Quand le jour tant attendu et désiré de tous arrivera, vous vous réjouirez, mais ce ne sera pas le cas pour tous. Les hommes ne seront pas contents de ce que vous aurez, parce qu’ils ne savent pas aimer; c’est pourquoi je vous invite tous à prier.

Aujourd'hui, mon Fils Jésus s'est réjoui de vous voir adorer son corps, son sang, son âme et sa divinité. Je m'en suis réjouie moi aussi. Mes chers enfants, merci de tout ce que vous faites.

Je vous ai dit hier que le Cœur de Jésus saignait, mon Cœur s'unit au sien et saigne pour toutes les vilaines choses qui se passent sur cette planète Terre; avec vos prières, vous devez les aider tous et les sauver. Tout ce qui a été écrit sur les prêtres et vous savez à quoi je me réfère, a éloigné beaucoup d'âmes de l’Eglise. Ils ne croient plus maintenant dans le sacerdoce, ne croit plus dans les prêtres, ne considèrent plus le prêtre comme le doux Christ sur la Terre, le ministre du Christ. C’est pourquoi la Maman vous invite toujours à prier. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades. Je bénis grand-mère Iolanda qui égrène rosaire après rosaire et aide tant d'âmes.

Je vous serre tous sur mon cœur, Emanuele, amour, la Maman te serre très fort sur son cœur. Je vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Embrasse aussi Emanuele et fais qu’il aille bien. Merci, adieu.

Rome, le 31 mai 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Saint Joseph - C’est moi Saint Joseph, l'époux bien-aimé de Marie. Je suis venu pour vous remercier parce que vous avez dédié ce mois à mon épouse bien-aimée. Merci à ceux qui ont fait des sacrifices pour venir ici. La Mère de l’Eucharistie cède la place à notre Fils Jésus parce que le mois qui lui est dédié commence.

Vous fêtez aujourd'hui la visite de Marie à Sainte Elisabeth quand mon épouse accomplit un acte de charité envers sa cousine. Elle n'y alla pas par curiosité pour voir et discuter du nom à donner au fils d’elisabeth et de Zacharie, mais pour rendre service à Elisabeth

Voyez-vous comme un geste de charité peut faire de bien à une autre personne? Sans charité, il n'y a pas Dieu, quand il y a Dieu il y a la charité.

J’ai presque toujours vécu dans le silence et le secret parce qu’il y avait Jésus, il y avait Marie, la Mère de l’Eucharistie; et moi, Joseph, appelé à être l'époux de Marie, gardant la chasteté, la pureté, la virginité, j'étais le dernier.

Le mariage est un très beau sacrement, quand on observe tous les commandements. Les hommes ne doivent pas arriver au mariage seulement pour être ensemble, mais par amour, ils doivent penser l’un à l’autre et puis aux enfants.

Marie a fait tout ce qu’elle devait faire en tant que Mère de Dieu, servante de Dieu et de tous les hommes.

Ce devrait être aujourd'hui une grande fête: la clôture du mois de Marie, dédié à mon épouse bien-aimée, mais les fêtes sont si nombreuses et l’un dira peut-être: "Que de fêtes! Qu’est-ce que nous demande l’Evêque!". Non, c’est moi qui demande au nom de Dieu, c’est la Mère de l’Eucharistie qui demande au nom de Dieu et ce n'est pas l’Evêque, lequel accuse une fatigue que vous ne pouvez comprendre.

Nous apportons les lettres de Dieu et Lui continue à nous demander l’adoration du Saint Sacrement et de prier pour tous ceux que je n'énumère pas.

Mes chers enfants, imitez Marie, la Mère de l’Eucharistie, imitez-la en tout et pour tout. Dites souvent: "Que ferait Marie à ma place ? Comment agirait-elle ? Comment se comporterait-elle ?"; alors tout deviendra plus facile. Adieu la nervosité et l’angoisse. Quand vous avez envie de crier, de répondre de travers à quelqu’un dites: "Est-ce que Marie le ferait?". Non, à moins que ce ne soit quelque chose de grave concernant l’Evangile, parce qu’alors il faut intervenir et être aussi fort, mais toujours avec charité et bonté.

Je vous laisse, mes chers enfants, je vous laisse à la Mère de l’Eucharistie parce qu’elle est au-dessus de moi et je m’incline devant elle.

La Madone - Mes chers enfants, ce qu’a dit mon époux bien-aimé Joseph est vrai; c’est ce que Dieu veut. Je ne peux rien y enlever ou y ajouter, je peux seulement vous dire que je vous aime parce que vous êtes tous mes enfants.

Merci pour tout ce que vous avez fait durant le mois qui m'était dédié, mais j’aimerais que le mois de juin dédié à mon Fils Jésus, à Jésus-Eucharistie, soit davantage rempli de prières; donnez plus que ce vous pouvez, donnez plus que ce que vous pouvez. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bon mois de mai à tous.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Le mois de mai est fini, le mois de juin commence.

Messages de Juin 2002

Rome, le 1er juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus ne vient pas?

La Madone - Si, ton époux vient mais comme c’est aujourd'hui le premier samedi du mois j’ai voulu venir également pour vous adresser tous mes vœux. Je vous souhaite que ce mois de juin soit plein d’amour et fidéle à ce que vous avez promis.

Jésus - Loué soit Jésus Christ. C’est moi votre Jésus, mes chers enfants. Je suis arrivé après que ma et votre maman vous ait adressé ses vœux et je désire vous remercier de votre présence. Le mois dédié à mon Cœur doit être plein d’amour pour tous et envers tous. Le temps où je marchais le long du Jourdain avec mes apôtres, est gravé dans ma mémoire; je me retournais pour les regarder, je lisais dans leurs cœurs et je savais qu’ils attendaient de grandes choses de moi. Ils pleuraient quand je leur parlais de ma passion et de ma mort, mais après la mort vint ma résurrection. Je veux qu’il en soit aussi ainsi pour vous; puisque vous attendez quelque chose de grand, ne pleurez pas, mais priez, parce que ce sera votre victoire, votre résurrection.

Votre sœur voit le sang sortir de mon Cœur et s'unir à celui de ma et votre Maman, pour tous les hommes de la planète Terre.

Je suis descendu sur Terre, dans ce lieu thaumaturgique, pour être avec vous, prier avec vous ainsi que le fait souvent ma et votre Maman, la Mère de l’Eucharistie. Oh, priez la, mes chers enfants, priez la! Dieu écoute les prières de votre Maman ainsi que les vôtres.

Soyez dociles à l’appel de Dieu, fidèles aux missions que Dieu a données à tous, grands ou petits, Dieu sait que faire, comment faire, vous devez seulement écouter et obéir. Vous devez d’abord obéir à Dieu, puis aux hommes.

C’est une grande joie pour moi de venir ici au milieu de vous. Même si vous ne me voyez pas, vous devez être heureux parce que vous faites un grand acte de foi: vous croyez sans voir. Bienheureux ceux qui croient sans voir, mais entendent ma voix dans leur cœur, mon appel. Continuez ce long chemin si dur, si pénible, si douloureux parce que vous devez contribuer au salut de nos frères. Qui plus que vous peut le faire ? Le mois dédié à mon Cœur commence après le mois dédié à ma et votre maman. Je suis Jésus, la deuxième personne de la Sainte Trinité, je suis toujours avec vous et tout particulièrement pendant la Sainte Messe parce que Je suis le Prêtre éternel, Je suis le Christ, Je suis votre Jésus.

Aimez-vous les uns les autres, je peux ainsi comprendre si vous m’aimez aussi.

Merci de votre présence.

Marisa - Tu t’en vas et tu ne m’as même pas saluée? Voici la Maman qui revient.

La Madone - Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Je vous recommande de bien faire pendant ce mois de juin pour la paix dans le monde entier.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Donne un baiser à Jésus parce qu’il est parti sans me saluer. C’est bon, adieu.

Rome, le 2 juin 2002 -10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu étais présent parmi nous il y a peu de temps dans le corps, le sang l'âme et la divinité de l’Eucharistie; tu viens maintenant nous apporter la lettre de Dieu.

Jésus - Mes chers enfants c’est aujourd'hui un jour très grand et très beau, en particulier pour ceux qui ont reçu tant de miracles eucharistiques. Les hommes d’eglise ne les reconnaissent pas ? Cela ne fait rien, ne vous faites pas de soucis à ce sujet; Dieu saura vous aider, Dieu sait que faire et Dieu est avec vous.

Je vous remercie de tout ce que vous avez fait: le triduum, toute la journée d’adoration eucharistique et la procession. Il y a eu beaucoup de recueillement et de silence ce qui n'est pas le cas ailleurs où les gens parlent au contraire en permanence. Votre évêque vous a enseigné le recueillement, la prière, le silence et mon cœur s'en réjouit.

Mon Cœur ne saigne pas aujourd'hui, je me réjouis et je suis heureux de la façon dont vous vous êtes conduits, mais vous ne devez pas vous reposer et dire que vous êtes sans reproche. Souvenez-vous: tant que vous serez sur cette planète Terre, vous ne serez jamais irréprochables, les imperfections persisteront toujours. Le démon cherchera par tous les moyens à vous faire chuter. Vivez près de moi, embrassez votre Jésus, parlez lui. Quand vous me recevez dans votre cœur, parlez-moi et soyez heureux, alors mon Cœur ne saigne pas. Il saigne quand je vois tant de méchancetés sur la planète Terre que Dieu le Père a créée, belle, propre, bien en tout et pour tout. Puis l'homme a commencé à se sentir le maître, depuis Adam et Eve jusqu’au troisième millénaire et la situation s'est encore aggravée. L'homme est rempli d'orgueil, de fierté, d'égoïsme: il recherche pouvoir et argent. Qu’est-ce qui a changé depuis que Dieu a créé le monde jusqu'à aujourd'hui? Rien! L’aspect extérieur de la situation humaine a changé. Vous avez tout mes chers enfants, vous ne manquez de rien. Mettez mon Cœur, le Cœur de votre Jésus dans votre vie. Essayez de changer. Vous semble-t-il étrange que l’Eglise repose sur vos pauvres épaules, humbles et simples ? Sans fin, nous disons avec ma et votre maman: "Priez, priez mes chers enfants pour que l'homme change et redevienne comme Dieu l’a créé". S'enorgueillir et chercher à être plus grand et plus puissant que Dieu est un péché grave. Quand Dieu dit quelque chose de beau, tout le monde est content mais s' il dit quelque chose de grave, de dur, alors personne ne croit plus que c’est Dieu qui parle. Combien de fois entendez vous dire "Jésus est miséricordieux, Jésus est plein de compassion et a pitié de tous". Oui, c’est vrai, mais pas jusqu’au point où l'homme puisse faire ce dont il a envie. Beaucoup disent que l'enfer n'existe pas. Oh non, l'enfer existe, mes chers enfants, oh oui il existe bien! Combien d'hommes y sont!

Que cette journée soit belle, cherchez à la vivre bien jusqu'à ce soir; faites que le démon et les petits démons n'entrent pas dans votre famille, dans votre cœur. Luttez, réjouissez-vous, priez, chantez, faites tout ce que vous voulez, divertissez-vous, mais toujours en union avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes meilleurs vœux à tous. Adieu, Marisella, sinon tu diras que ton Epoux ne te salue pas.

Marisa - Il me semble dire ce que je pense.

Il est parti maintenant et n’a rien dit de plus. Les anges sont en fête. Voici la Mère de l’Eucharistie.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Merci de tout ce que vous faites par amour de Jésus Eucharistie, merci de réussir à mettre en pratique tout ce que nous vous disons et surtout de faire preuve d’amour, de montrer votre amour envers le prochain, votre amour envers Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis les enfants, tous les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisella, si tu le veux, tu peux te lever et faire aussi quelque chose. Tu participeras à la Sainte Messe; tu n'y es quasiment jamais présente, ma fille. Je sais que tu souffres et c’est bien triste, mais Dieu t’a demandé ce sacrifice. Aujourd'hui il te fera marcher et rester avec les autres.

Marisa - Mais je n’ai pas marché durant la procession.

La Madone - Cela ne fait rien, tu es restée très unie à Jésus et j'étais à côté de toi.

Marisa - Vas-tu me dire quand me lever?

La Madone - Bien sûr, je suis près de toi.

Marisa - Adieu, merci.

Tu es si belle, trop belle. Aucun peintre, aucun sculpteur ne peut te faire aussi belle. Adieu, douce petite maman. Je ne te demande rien pour les prochains jours: si Dieu décide que je doive rester à la maison, je resterai à la maison même s’il m'en coûte, s’il décide de me faire descendre, je descendrai; je veux toujours faire la volonté de Dieu, toujours, toujours jusqu'à ma mort.

La Madone - Plaise à Dieu que les autres aussi, les grands hommes d'église inclus, disent: "Je veux faire la volonté de Dieu". Merci, Marisella.

Marisa - Don Claudio, elle était belle, belle, on ne peut réussir à comprendre, à expliquer.

Don Claudio - Quand nous la verrons, nous nous en rendrons compte également.

Rome, le 3 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Quand vous recommandez des personnes à votre sœur, je sais déjà dans mon cœur celles qui ont besoin d’aide; que la volonté de Dieu soit faite ensuite.

La Maman vous remercie de tout ce que vous avez fait hier: vous avez fait la procession en silence et avec recueillement et vécu la Sainte Messe; vous devriez être toujours ainsi. J’attends aussi la fête de Saint Pierre et Saint Paul, faites une grande fête; vous ne devez pas seulement vous fatiguer, mais aussi vous réjouir de ce que vous faites.

Mes chers enfants, comme je vous aime, comme j’aimerais vous voir tous heureux et sereins; c’est malheureusement difficile tant que vous êtes sur la planète Terre. Il est également fort difficile de coopérer avec des personnes qui se croient arrivées, sans reproche et d’aimer ceux qui vous font souffrir! Mais vous pouvez le faire car en vous apportant les lettres de Dieu je vous ai donné beaucoup d’enseignements; mettez-les en pratique.

Jésus devait venir aujourd'hui, mais il est en conversation avec Dieu le Père. Que préparent-t-ils? Et s’ils préparaient quelque chose pour vous? C’est si beau de converser avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. N'est-ce pas Emanuele? C’est beau de vivre ainsi, trésor!

La Maman vous remercie de ce que vous faites, elle remercie surtout ceux qui sont venus prier quotidiennement dans le lieu thaumaturgique. Vivez de l’Eucharistie. L’Eucharistie est le cœur de l’Eglise, sans l’Eucharistie vous ne pouvez rien faire. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ

Marisa - Adieu. Vas-tu également vers le Père?

La Madone - Bien sûr, je suis toujours avec le Père.

Marisa - Jésus est en conversation avec le Père.

l’Evêque - Espérons qu’ils préparent quelque chose pour nous.

Rome, le 4 juin 2002 - 7h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus. Loué soit Jésus Christ.

Je vous aime tant que j’aimerais monter à nouveau sur la croix pour vous aider, mais vous savez que c’est impossible car Jésus est mort une fois et ressuscité. Chaque fois que les hommes me font souffrir, mon cœur saigne parce que je vous aime trop.

Restez unis au nom de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de moi, Dieu le Fils. Aimez la Sainte Trinité, aimez la Mère de l’Eucharistie et son cher époux Joseph.

Mes chers enfants, il est si doux et si bon d'être avec vous, même si vous ne me voyez pas, mais vous devez sentir ma présence parce que mon amour est si grand, immense.

Priez afin d'obtenir tout ce que Dieu a promis; nous voulons espérer avec vous que cela se réalisera bientôt.

Mes chers enfants, comme je vous aime! Je suis toujours avec vous, même si vous souffrez de douleurs physiques et morales, parce que je vous aime. Vous êtes déjà bénis par ma seule présence, mais la Maman, la Mère de l’Eucharistie va vous bénir.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Emanuele, donnes-tu un baiser à la petite Madone?

Marisa - Adieu. m’as tu entendue? Je me recommande à toi. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 5 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es là. Je savais que tu viendrais parce que c’est le mois de Jésus. Jésus j’ai une prière à t’adresser du fond du cœur: je sais que tu lui as donné onze années de vie, mais si tu le peux, aide encore Giuseppe. Mais si son heure est venue, donne avant tout à sa fille la force de l’accepter et de faire ta volonté. Si tu le veux, tu peux encore lui donner quelques années. Je sais que onze années c’est beaucoup, mais je te le recommande, puis fais selon ta volonté. Je te recommande tous les autres malades qui se sont recommandés à mes prières. Il y en a tant et je te recommande également ceux que je ne connais pas. Quand la Madone et moi, nous allons dans le monde et visitons les hôpitaux, nous y voyons un si grand nombre d’enfants malades et de personnes souffrant dans ces petits lits d'hôpitaux. Je te demande seulement de les aider et quand vient leur heure de leur donner la force, le courage, la sérénité et la conversion pour rejoindre le Père. Aide les tous, Jésus.

Jésus - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vous parle toujours de l’amour, comme le fait souvent ma et votre maman, de l’amour vrai, l’amour sensible englobant sacrifice et souffrance. Je vois que beaucoup de personnes se replient sur elles-mêmes; je vois en elles la susceptibilité et l’orgueil; malheur si on les réprimande et ou leur fait un simple reproche, elles sont immédiatement offensés et ne font plus ce qu’elles devraient faire; elles répondent mal, disent qu’elles sont bonnes, mais ce n'est pas vrai, mes chers enfants. Le véritable amour embrasse la souffrance, le sacrifice, l’immolation et embrasse aussi le doux sourire d'un enfant, d'une mère, d'un père; le doux amour pour tous. L’amour ne doit pas avoir d’entraves.

Je veux que vous soyez tous frères, je vous répète encore une fois: je suis mort pour vous parce que je vous aime, parce que Dieu est le grand Amour. Je ne vous demande pas de mourir pour votre frère mais de vous aimer comme des frères. Si l'enfant ne sait pas aimer ses vrais parents il n'est pas un vrai enfant et si les parents ne savent pas aimer leurs propres enfants ils ne sont pas de vrais parents. Les parents, les enfants, les communautés de tout genre, sont beaux et grands s’ils possèdent l’amour vrai avec un grand A. Combien de fois devrai-je répéter ce mot, combien de fois ma et votre maman ne l’a-t-elle pas prononcé: amour, amour, amour; sans l’amour on ne fait rien.

Ne soyez pas égoïstes, ne pensez pas uniquement à vos êtres chers, mais pensez également aux autres, pensez au frère près de vous même s’il n'est pas votre frère par le sang, ce qui est mieux parfois. Il est inutile de pleurer pour un fils qui ne sait pas aimer ou pour des parents qui ne savent pas aimer et sont remplis d'égoïsme, vous devez seulement prier; rien d’autre, croyez moi.

Merci, mes chers enfants. Ne faites pas qu'écouter la lettre de Dieu, ne l’oubliez pas en sortant, mais mettez la en pratique, méditez la et vous constaterez qu’elle contient toujours le mot " amour ".

Merci.

Moi, Jésus, je vous donne ma bénédiction ensemble avec mon évêque bien-aimé, l'évêque ordonné par Dieu, l'évêque de l’Eucharistie. Je vous bénis tous ici présents.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu Jésus, puis-je t’envoyer un baiser? Aide-nous, sinon nous allons nous effondrer tous les deux.

Les anges sont venus et l’ont emporté.

Rome, le 6 juin 2002 - 20h45 (Lettre de Dieu)

Jésus - C’est moi votre Jésus. Mes chers enfants, c’est aujourd'hui l’anniversaire du grand miracle eucharistique: miracle du miracle dans le miracle. Vous souvenez-vous que la grande hostie a saigné une première fois, puis une deuxième. A chaque fois, le sang est sorti de mon Cœur par amour pour vous tous ici présents.

Comment pourrais-je ne pas vous répéter que mon amour est grand et que mon Cœur veut pénétrer dans vos cœurs pour vous faire comprendre la grandeur de mon amour. Le miracle de l'effusion de sang s'est répété le 6 juin 1999. Combien de miracles eucharistiques ont été accomplis par Dieu dans le lieu thaumaturgique! Entre ce miracle eucharistique et celui du 11 juin lorsque mon sang est sorti dans les mains de votre évêque, Dieu a ordonné évêque Don Claudio. Cet évêque ordonné par Dieu a commencé à faire partie des miracles eucharistiques. Quand vous en avez parlé, ils vous ont critiqués, se sont moqués de vous, vous ont ridiculisés et commis d’autres offenses que je ne veux pas répéter parce c’est aujourd'hui un si grand jour anniversaire.

Combien, combien de fois le sang n’a-t-il pas jailli de mon Cœur pour sauver les âmes, pour les aider parce que mon Cœur saigne pour les âmes bonnes et mauvaises. Mon Cœur veut les sauver toutes, mais c’est difficile; moi, Jésus, je trouve qu’il est parfois bien difficile d’aider les hommes et pourtant je pourrais à tout moment changer la tête de ces hommes si durs qui vont jusqu'à calomnier, diffamer, jalouser et envier. Pourquoi l'évêque a-t-il été ordonné par Dieu? Qui a souffert autant que lui ? Qui comme lui a toujours aimé Dieu, la Mère de l’Eucharistie et les âmes? Dieu ne peut-il- faire ce qu’il veut ? Qui sont ces hommes qui se permettent toujours de juger? L’Evangile dit d’aimer, non de juger; ils parlent d’amour mais en même temps continuent à juger. Toute la force que vous avez eue pour arriver jusqu'à aujourd'hui vous a été donnée par Dieu, donnée par mon sang.

Courage, mes chers enfants, c’est une belle journée. Ceux qui se sont souvenus de ce grand miracle auront passé une journée d’amour, de joie et de prière.

Je sais que vous avez fait l’adoration du Saint Sacrement et moi, Jésus, je vous en remercie. Merci de tout ce que vous faites, mon Cœur est si heureux quand vous priez, adorez et surtout quand vous vous aimez.

Ensemble avec mon et votre évêque, ordonné par Dieu, évêque de l’Eucharistie, je vous bénis.

La Madone - C’est moi votre maman, je viens vous adresser mes salutations.

Marisa - Je te recommande Giuseppe, Marco, tous ceux qui font appel a mes prières et tous les enfants, les malades en particulier.

La Madone - Oui, ma chère enfant, sois tranquille, Dieu sait ce qu’il doit faire; vous devez toujours faire la volonté de Dieu.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Un baiser. Adieu. Merci, merci de toutes les grâces que vous nous avez données. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 7 juin 2002 - 19h15 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Votre Jésus est venu aussi ici aujourd'hui parmi vous. Nous sommes le 7 juin et je viendrai même jusqu'à la fin du mois; celui qui le veut profite de ma venue sur la Terre. Je vous demande de bien vous préparer pour le 29 juin et de jeûner. Quand je vivais sur la Terre, j'étais un homme comme les autres et j’ai jeûné pendant quarante jours. Je ne vous demande de jeûner que les quelques vendredis restant jusqu’au 29 juin. Jeûner pour tout ce qui se passe dans le monde.

Quand je prêchais et marchais à côté de ma Maman, elle savait ce que l’avenir me réservait. Elle savait fort bien que je devais souffrir la passion et mourir pour vous rouvrir le paradis. Aujourd'hui j’apparais ici dans ce lieu thaumaturgique et suis content de vous parce que vous êtes pleins de foi. J’ai dit: "Bienheureux ceux qui croient sans voir", vous ne me voyez pas, mais vous voyez Jésus Eucharistie, dont le corps, le sang, l'âme et la divinité sont présents dans l’Eucharistie. Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et moi Dieu le Fils, nous sommes présents dans l’Eucharistie. Je demande avec beaucoup de simplicité à ceux qui le peuvent en leur âme et conscience, de jeûner les vendredis restant jusqu’au 29 juin. Priez, récitez le Saint Rosaire à ma et votre maman; c’est une arme puissante pour arrêter les guerres, convertir les pécheurs, donner de la force aux malades. Si Dieu rappelle à lui celui qui est malade, que sa volonté soit faite; si Dieu le guérit, que sa volonté soit faite. C’est toujours Dieu qui agit, c’est toujours Dieu qui cherche par tous les moyens à sauver les hommes.

Mes chers enfants, mes très chers frères, votre Jésus est très heureux lorsqu’il descend sur la Terre parmi vous, pour prier avec vous, entendre tout ce que vous dites au nom de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et moi Dieu le Fils. Soyez charitables envers les âmes qui en ont besoin, les malades, ceux qui souffrent spirituellement et physiquement: ensemble avec moi aidez-les et aimez-les.

Merci, mes chers enfants, je vous bénis ensemble avec mon évêque et je laisse la maman terminer les prières.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Et comment je fais maintenant?

Rome, le 9 juin 2002 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Quand tu viens, Jésus, je suis si émue. Je te recommande notre Joseph (Giuseppe), Annalisa et ses proches, donne leur la force et le courage de faire la volonté de Dieu. Je te recommande aussi Marco et tous les malades qui ont fait appel à mes prières. Si tu le veux, Jésus, tu peux tout faire. Nous, comme la Mère de l’Eucharistie nous l’a enseigné, nous sommes prêts à faire la volonté de Dieu. Aide-les tous. Merci.

Jésus - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vois que le groupe augmente et diminue de temps à autre, même jeudi vous n'étiez pas nombreux. Avez-vous eu peur de la pluie ? Ressentez-vous la fatigue? Ce sont les derniers jeudis du mois, essayez de venir et de retenir ce que vous dit votre évêque. Vous pouvez aller où vous voulez, mais vous ne trouverez pas d’autre évêque qui fasse le catéchisme et explique l’Evangile comme le vôtre. Je sais qu’il est tard, mais quand vous regardez la télévision, assistez à une soirée, vous ne faites pas attention au fait qu’il soit tard ? Je veux que vous veniez dans ce lieu thaumaturgique; ce n'est pas un ordre car Dieu sait à qui donner des ordres, je vous dis seulement: si vous le voulez, vous pouvez faire tout ce que Dieu vous demande; si vous avez un peu de volonté, de force et de courage, vous pouvez venir à la rencontre biblique les derniers jeudis qui restent. Je vous ai également demandé de jeûner les derniers vendredis; je ne dis pas pour la paix ou pour les malades, mais pour le monde entier. Vous savez que quand je dis pour le monde entier, c’est un grand groupe de personnes qui en ont besoin sous toutes ses formes, y compris les bonnes et les mauvaises. Je vous laisse cette tâche, il vous semblera peut-être difficile de jeûner, mais ce n'est pas difficile de le faire une fois par semaine. Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai jeûné pendant quarante jours et je ne vous demande de jeûner qu’un jour par semaine; bien sûr, je le répète, vous devez en assumer la responsabilité, devez savoir si vous pouvez le faire ou non. C’est à vous de prendre la décision, vous êtes grands maintenant, la Maman a dit que vous êtes à l’université; prouvez-le.

Courage, la Maman, les anges, les saints et moi, nous sommes tous avec vous. Ne croyez pas que tous les hommes soient bons dans les sanctuaires où il y a foule, oh, non! Ils prient, mais commettent également des fautes qui ne sont pas belles et mon Cœur saigne alors. Vous êtes préparés, prêts, vous pouvez aussi aider votre prochain parce que vous avez reçu beaucoup d’enseignements. Merci.

Je vous bénis ensemble avec mon et votre évêque.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Combien de temps encore? O.K., adieu.

Rome, le 10 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, merci de votre présence et de l’amour que vous cherchez à avoir les uns pour les autres, mais il vous reste encore beaucoup à faire. Vous m’avez fait plaisir hier parce que vous avez cherché à faire quelque chose de beau, même si vous n'y avez pas réussi. Tout ce que vous avez préparé pour le 29 est beau, mais vous ne pouvez pas arriver à ce jour, fatigués, épuisés, déprimés: Certains souffrent même beaucoup. Ne vous faites pas de soucis, faites tout ce que vous pouvez faire, du mieux que vous le pouvez, cela suffit. Si vous n'y arrivez pas, arrêtez. J’ai vu votre bonne volonté, le désir de faire et de me donner de la joie, d’en donner à la Mère de l’Eucharistie à mon et votre évêque, mais j’ai vu aussi votre fatigue qui est malheureusement grande pour tous. Tant que vous vivrez dans ce monde, vous subirez les conséquences de la méchanceté des hommes, de ceux qui ne savent pas aimer, qui cherchent par tous les moyens à vous détruire, mais ne vous en préoccupez pas. Moi, Jésus, je suis heureux de ce que vous faites; mettez l’amour en toute chose et ne vous préoccupez de rien d’autre. Donnez de la joie, donnez l'exemple et donnez témoignage à tous. Dans votre manière de faire, les gens comprendront l’amour que vous éprouvez pour moi, la Mère de l’Eucharistie, votre Evêque qui est notre prêtre de prédilection, l'évêque ordonné par Dieu, l'évêque de l’Eucharistie. Vous les jeunes réjouissez-vous davantage.

Courage, je vous invite à la prière et je le répète encore une fois, au jeûne. Quelqu’un attend le vendredi pour jeûner, mais vous pouvez jeûner quand vous le voulez; j’ai indiqué le vendredi, mais si vous avez des invités ce jour là et comme on ne peut jeûner quand on a des invités, choisissez un autre jour à votre convenance. Celui qui ne peut le faire sait fort bien qu’il ne doit pas le faire. Jésus ne veut pas que l’on se force à faire les choses, mais que l’on fasse tout uniquement avec amour, avec tout l’amour possible.

Merci, mes chers enfants. Je vous bénis tous ensemble avec mon et votre évêque.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 12 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Mon doux Jésus, je veux te recommander Giuseppe et Annalisa. Nous faisons ta volonté, mais aide-le, si c’est la volonté de Dieu. Pense, Jésus, que l’opération durera dix heures et c’est dur pour ceux qui attendent. Je t’en prie, fais quelque chose pour lui, ne le fais pas souffrir. Je te recommande Anna, le petit Francesco, Giuseppe, Matteo, tous les enfants malades et tous ceux qui sont à l'hôpital et sont seuls; je te les recommande tous.

Jésus, je te recommande aussi ce prêtre que tu as dit être bon mais qui n'est pas empressé à aider les âmes.

Jésus - Ma chère Marisella, je suis heureuse que tu puisses reconnaître et comprendre toute seule lesquels sont mes prêtres; même si les bons ont peur, ils croient à tout, même à ce qui n'existe pas. Je sais que tu as beaucoup souffert, physiquement et moralement mais ne te fais pas de soucis, tu devais pleinement comprendre qui sont mes prêtres de prédilection, ceux qui ont été choisis par Dieu. Ils arrivent à un âge avancé et ne parviennent pas encore à se corriger, ils sont faibles, ils ont peur et ne possèdent pas le courage de ton et notre évêque; il est vrai que le moule dans lequel il a été fait a été jeté, ainsi que l’a dit quelqu’un.

Essaie de comprendre, Don... est un bon prêtre, mais il ne peut absolument pas aider les âmes qui ont reçu des dons de Dieu. Il faut avoir un don particulier pour pouvoir aider ces âmes, mais toutes ne l’ont pas, car Dieu choisit à qui donner ce don.

Mes chers enfants, nous nous approchons du 29 juin et ce serait bien de faire une neuvaine de préparation pour ce jour, mais parfois la Mère de l’Eucharistie et moi n'osons pas trop vous demander car vous pourriez également vous fatiguer et dire: "Que devons nous faire encore pour le Seigneur ? Nous faisons tout ce qu’il nous demande". Mais je continuerai à demander et si vous voulez faire ce que je demande, faites-le, si vous ne pouvez ou ne le voulez pas, je ne vous aimerai pas moins pour cela, je vous aime tous. Celui qui suit mes traces est aimé encore plus, mais celui-là accepte ma souffrance, ma passion et a également le courage de lutter.

Je sais que vous commémorerez demain le miracle eucharistique accompli il y a deux ans, veillez à être tous présents. Vous ne savez pas que lorsque nous avons demandé qui voulait être présent au mois de juin et participer le soir à la rencontre de prière, soixante quinze personnes ont répondu "oui", mais je n’ai jamais vu ces soixante quinze personnes, le dimanche non plus. Que faites-vous? Vous demandez beaucoup de grâces à Jésus, à Dieu, vous ne faites rien d’autre que de demander des grâces à Dieu et puis quand, sans violenter votre volonté, je vous demande de remplir l'engagement pris par soixante quinze personnes, elles ne répondent pas. Combien de personnes se rendent dans les lieux où l’on dit que la Madone apparaît encore et en fait n'y apparaît plus? Ils font des sacrifices, prennent le train, l’avion, la voiture pour aller là où il n'y a rien, rien de rien, croyez-moi. Vous avez la chance d’avoir Jésus, la Mère de l’Eucharistie les anges et les saints.

Priez pour vos êtres chers, vos enfants, vos petits-enfants afin qu’ils se convertissent. Vous enfants, priez pour vos parents, il est temps qu’ils se convertissent. Cela fait deux mille ans que je demande des conversions, des conversions, des conversions et rien n’arrive. Je vous souhaite d’arriver à la vraie conversion, je le souhaite avant tout à vos êtres chers qui ne vont pas à la Messe et ne suivent pas la Parole de Dieu.

Courage, priez avec moi pour les malades, Giuseppe, et que la volonté de Dieu soit faite. La petite Anni est prête à tout parce qu’elle fait la volonté de Dieu. Priez pour toutes les âmes qui ont besoin de l’aide de Dieu, merci.

Je vous bénis tous, ensemble avec mon et votre évêque.

La Madone - et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je m'en remets à toi, pense à Giuseppe. Adieu.

Oui, je sais, il y a tant de grands malades, alors pense à tous, tu peux le faire. Adieu.

Rome, le 13 Juin 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Merci de vos prières, notre cher Giuseppe a supporté l’opération, mais vous devez maintenant intensifier vos prières parce que des jours plus durs et difficiles viendront. Demandez chaque jour à Dieu que sa volonté soit faite pour Giuseppe, un homme bon et qui aide Annalisa en tout. Je suis heureux que vous priiez pour les malades et tout spécialement pour ceux qui font partie de la communauté, comme Giuseppe. Je sais que tous ont prié, l’un plus, l’autre moins, pour que Giuseppe supporte l’opération: ce cap est franchi, mais la période la plus dure et la plus difficile commence maintenant. Quand il a été opéré, votre sœur a vu ce qu’avait le pauvre homme. Je vous demande seulement de prier.

Vous fêtez aujourd'hui le grand miracle eucharistique du 11 juin 2000. Comme je vous l’ai déjà dit, tous les miracles sont grands mais celui du 11 juin est le plus grand: il s'est accompli dans les mains de Don Claudio, une année après son ordination épiscopale par Dieu. d’autres miracles avaient été accomplis avant lui, puis ce fut l’ordination épiscopale et finalement le grand miracle eucharistique. Ceux qui ne croient pas, qui disent du mal et calomnient, devront pour finir en rendre compte à Dieu. Cherchez à ne pas vous occuper de ces personnes, à être au-dessus de tout cela. Même si je sais que c’est très difficile, vous pouvez le faire parce que vous êtes unis à Moi, Jésus, à la Mère de l’Eucharistie, à mon père Joseph, à tous les anges et tous les saints.

Je vous répète encore une fois, que ni Moi ni la Mère de l’Eucharistie ne sommes pas présents là où il y a foule. Je vous ai déjà dit que lors de sa canonisation, Padre Pio était ici avec vous, même si vous étiez peu nombreux. Cela m’a fait mal de voir que soixante quinze personnes qui avaient promis par écrit de venir prier ici, ne sont pas venues. Avez-vous écrit "oui" pour faire plaisir à l’Evêque ou à Dieu? En ne respectant pas l'engagement que vous aviez pris, vous m’avez fait souffrir ainsi que votre évêque. On ne plaisante pas avec Dieu: si l’on prend un engagement on doit le tenir jusqu’au bout.

J’attends avec impatience la fête du 29 juin. Même ce jour là sera accompagné de souffrances et de soucis, mais faites ce que vous pouvez et si vous ne parvenez pas à faire tout ce que vous avez préparé, cela ne fait rien: Dieu voit dans les cœurs, voit combien d’amour vous mettez à faire les choses. Même quand il y a eu des nuages par le passé, Dieu ne vous en a pas tenu rigueur, parce que vous êtes des hommes et qu’il est normal qu’il y ait des mésententes entre vous ou que vous ayez des goûts différents, mais Dieu n'est pas prompt à juger pour cela. Vous devez seulement faire tout avec amour. Nous sommes tous avec vous.

Je vous recommande d'intensifier les prières pour Giuseppe, Annalisa, Anna, Annamaria, les petits Francesco et Matteo; il y a tant d’enfants qui en ont besoin, ne vous lassez jamais de prier pour toutes ces personnes.

Vous ne devez pas vous lamenter si l'évêque demande toujours quelque chose. Ce n'est pas lui qui le demande, mais moi, dites-moi ensuite: "Ouf, Jésus, combien de choses nous demandes-tu!", ne le dites pas à l'évêque.

Merci de votre présence. Je vous bénis tous, ensemble avec mon et votre évêque.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Fils, Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Don Claudio, il n'y a plus rien. Qu’est-ce que tu vois?

L’Evêque - Rien, je ne vois rien. Je prie.

Rome, le 14 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus. Nous en sommes au 14 juin. Avez-vous remarqué comme les jours passent vite ? Nous sommes pratiquement arrivés à la moitié du mois et comme je l’ai dit hier, tous n'ont malheureusement pas répondu à l’appel, comme cela arrive partout ailleurs. Ce n'est pas un prêtre ou un laïc quelconque qui a demandé que l’on vienne prier ici, mais la Mère de l’Eucharistie.

Je vous demande de prier parce que l’on continue à massacrer les hommes, à les tuer sans pitié, sans compassion. Il n'y a aucun respect pour l'homme créé par Dieu qui est traité pire qu’un animal. Parfois quand il arrive quelque chose aux animaux, ils sont secourus, on a pitié d’eux, mais les hommes eux sont massacrés, tués sans pitié. Les terroristes continuent à agir en bon nombre d’endroits que vous ne connaissez pas. Les terroristes ne sont pas seulement aux Etats-Unis ou en Grande Bretagne, mais partout et là où ils se trouvent ils peuvent très bien tuer beaucoup d’enfants et des milliers d'hommes. Jésus et la Madone demandent toujours de prier parce que le monde ne va pas bien. Dieu n’a pas besoin de vous, mais il demande votre aide parce qu’il veut être avec vous et aider beaucoup de pauvres âmes.

Marisella, quand nous étions hier chez Giuseppe, tu as vu comment les docteurs se sont comportés et tu en as souffert et pleuré; pas tant à cause de la souffrance de Giuseppe, parce qu’il ne souffrait pas à ce moment là, mais à cause du comportement des docteurs; il n'y en a qu’un qui a fait son devoir jusqu’au bout, avec douleur, et cela se lisait sur son visage. Tu as aidé avec la Maman, Vous étiez là en prière et avez continué à prier pour cet homme bon qui aime tant la Mère de l’Eucharistie et ce lieu thaumaturgique. Vous avez baissé la tête et dit: "Que la volonté de Dieu soit faite ".

Marisa - Jésus, puis-je te recommander également Alessandro? Que la volonté de Dieu soit toujours faite. Si même lui a été choisi pour aider ces hommes, ces terroristes de l’armée rouge, que la volonté de Dieu soit faite; du reste tu as appelé d’autres personnes il y a quelque temps, tu as fait appel à ma maman, ta grand-mère Iolanda qui souffre tant. J’ai maintenant l’impression que tu as également appelé notre évêque, il ne va pas bien et tu le sais, toi seulement sais qu’il ne va pas bien, essaie de l’aider nous avons tous besoin de lui. Que ferons-nous sans lui? Merci.

Jésus - Mes chers enfants, je vous bénis ensemble avec mon et votre évêque.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 15 juin 2002 - 19h00 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Oui, chantez "Que la Terre entière loue le Seigneur", parce que toute la Terre doit louer le Seigneur. Malheureusement la planète Terre ne loue pas le Seigneur, mais continue à courir à sa propre perte, ne pense pas aux pauvres, aux malades à ceux qui sont seuls. " Que la Terre entière loue le Seigneur", répétez toujours ce cantique. Qui loue le Seigneur ? Les prêtres, les sœurs, les laïcs engagés, les religieux? Non, ce sont les petits, les humbles, les simples qui louent Dieu.

Quinzième jour du mois du Sacré Cœur de Jésus, de mon Cœur, de ce Cœur qui saigne toujours. Louez Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et moi Dieu le Fils. Quand vous chantez, exprimez tout votre amour, ne pensez pas seulement à donner de la voix, mais méditez les paroles que vous dites et vous trouverez tant de choses à méditer. Que la Terre toute entière loue le Seigneur.!

Combien de fois la Maman ne vous a-t-elle pas dit: "Convertissez-vous et croyez à l’Evangile "? Ce sont les paroles que j’ai dites. Tant qu’il n'y a pas de vraie conversion, vous ne pouvez croire en Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Les messages que je vous donne, cela je l’ai déjà dit maintes fois, ne concernent pas seulement ceux ici présents, mais tous les hommes de la Terre, car ils vont partout. Tous les hommes doivent savoir ce que signifie louer le Seigneur, se convertir et croire à l’Evangile. Mon Cœur le désire. Souvenez-vous en: tout ce que je vous dis est répété dans le monde entier.

La Mère de l’Eucharistie qui apparaît dans ce lieu choisi par Dieu, continue à y apporter les lettres de Dieu. Ces lettres ne sont pas de petits messages de trois ou quatre lignes mais de longs messages, par desquels Dieu veut que le monde apprenne qui est vraiment Celui qui a crée l’univers, Celui qui a envoyé son Fils à la mort pour sauver les hommes. Demandez vous souvent: "Qui est Dieu?".

Je veux maintenant vous remercier, parce que je vois qu’au moins quelques jeunes et quelques adultes viennent souvent ici pour travailler et aider. Faites le avec amour, seulement avec amour. Je sais qu’il fait très chaud, moi aussi maintenant que je suis sur la Terre, je souffre beaucoup de la chaleur. Il peut arriver que l’on s`échauffe en parlant, que des nuages passagers s’amoncellent, que l’on élève le ton en parlant; je le comprends et ne vous en fais pas de reproches, mais cherchez à faire tout avec amour.

Mois aussi j’attends comme vous avec impatience la fête du 29 juin; ce que vous devez faire, faites le avec amour.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous, vos objets sacrés, les malades et ceux que Marisella me recommande toujours. Je vous bénis tous.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Répétez: "Que la Terre entière loue le Seigneur ".

Marisa - Elle est partie.

Rome, le 16 juin 2002 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tous les anges et les saints t’accompagnent, Padre Pio, tu es si beau.

Padre Pio - Je suis ici, petite sœur, parce que Dieu m’a dit: "Va dans le lieu thaumaturgie que j’aime tant, va, restes-y avec mes enfants et prie avec eux ". Je suis donc venu prier ici avec vous.

J’avais demandé à mes groupes de prière de venir dans ce lieu thaumaturgique, mais personne n'est venu; ils n'obéissent jamais. Si l’on demande quelque chose de beau procurant joie et bonheur, même dans le divertissement, alors tous accourent; j’avais demandé que l’on vienne ici faire de temps à autre, pas toujours, un pèlerinage. Ma canonisation a eu lieu aujourd'hui, grâce à votre mérite également, parce que vous m’avez aimé et avez continué à m’aimer en silence et en secret.

Courage, petite sœur, la vie est très dure pour toi comme elle l’a été aussi pour moi, mais je te répète que tu souffres bien plus que ce que j’ai souffert, ce qui vaut également pour mon frère, l'évêque Claudio.

Je suis avec vous et je prie avec vous. Je fais tout ce que Dieu me dit de faire pour vous tous, mes frères ici présents. C’est une grande fête dans le Ciel et sur la Terre. Des milliers de personnes sont réunies à Saint Pierre et là où je suis né et j’ai vécu, mais vous vous demandez s’ils prient et écoutent Dieu, ou s’ils sont seulement là à cause de ma canonisation ? Ce serait très beau pour moi d'être canonisé en silence et en secret, mais cela est également utile parce quelques conversions peuvent avoir lieu. Se convertir ne signifie pas faire ce dont on a envie, puis allez où il y a foule et priez un peu. Si Dieu n’aide pas aujourd'hui ceux qui sont rassemblés sous le soleil brûlant, beaucoup vont se trouver mal et je n’aime pas que cela arrive à cause de moi.

Quand ce sera ton tour, Marisella, cela ne se passera pas ainsi. Il y aura une très belle cérémonie mais plus recueillie.

Marisa - Parles-tu de moi?

Padre Pio - N'es-tu pas ma petite sœur ?

Marisa - Pourtant je ne suis venue te voir qu’une fois.

Padre Pio - Et moi je suis venu te voir des milliers de fois. Je me retire maintenant pour laisser la place à Jésus.

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. J’ai voulu que Padre Pio soit parmi vous pour vous donner joie et courage pour affronter toutes les difficultés et les souffrances. Priez et aidez-vous les uns les autres.

Ce qui nous fait souffrir, comme je vous l’ai déjà dit, c’est d’avoir écrit des petits messages à Dieu et de ne pas avoir ensuite tenu vos promesses. Il est honnête de dire "je viens" ou "je ne peux venir". Je sais qu’il fait chaud et que beaucoup ne supportent pas la chaleur à cause de leur santé ou pour d’autres raisons; quand je viens sur la Terre je souffre des mêmes désagréments que vous: si vous avez chaud, J’ai chaud; si vous avez froid, J’ai froid; si vous souffrez, Je souffre avec vous, mais si vous ne m’aimez pas, je vous aime et je vous aime tous, même ceux qui font souffrir. J’aime vos enfants, vos parents, vos petits-enfants et arrière-petits-enfants; j’aime en particulier les couples mariés.

Courage, mes chers enfants, c’est aujourd'hui la canonisation de Padre Pio, mais il est ici avec vous, remerciez en Dieu; il ne se trouve nulle part ailleurs en ce moment. Courage, imitez le dans la prière, en secret et en silence parce que même en agissant ainsi, vous pouvez donner beaucoup et aider le prochain.

Ensemble avec mon cher évêque, je vous bénis tous.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Tu es vraiment beau, Jésus.

Jésus - Tu seras belle aussi.

Marisa - Il nous faut d’abord souffrir beaucoup, puis nous irons au paradis, je dois encore souffrir.

C’est bon, adieu.

Don Claudio, comme Padre Pio était beau!

L’Evêque - Peux-tu le décrire?

Marisa - Comment faire pour le décrire ? Il n'était pas vieux comme lorsqu’il est mort, mais jeune et beau. Ses yeux étaient lumineux et envoyaient de très beaux rayons de lumière.

L’Evêque - Nous sommes privilégiés de l’avoir eu parmi nous le jour de sa canonisation.

Marisa - Oui.

L’Evêque - Sous cette tente!

Marisa - La tente est sans importance, ce sont les âmes qui comptent pour eux.

Rome, le 17 juin 2002 - 19h20 (Lettre de Dieu)

Jésus - Moi, le Fils de Dieu, quand je cheminais le long des routes de Palestine, je n’avais rien, je cherchais seulement à évangéliser les hommes que je rencontrais, je leur parlais de Dieu le Père, je leur enseignais à s’aimer et à se vouloir du bien. Ni moi, ni les apôtres n’avions d’argent. Aujourd'hui les hommes d’eglise s'enrichissent. Vous ne pouvez vous vous imaginer comme je suis heureux de venir en ce lieu, sous une simple tente: votre Basilique. Ici l’argent ne circule pas comme dans toutes les autres églises, en particulier dans les plus grandes. Deux mille ans se sont écoulés et qu’ont fait les hommes d’eglise ? Ils ont cherché à s’amuser, à posséder le pouvoir, à commander, à exiger l’obéissance en exerçant du chantage et à condamner ceux qui se conduisent bien. Oui, je suis très affligé, mes chers enfants et je suis désolé de vous le dire car vous ne le méritez pas et vous êtes peu, si peu; Je souhaiterais pouvoir le crier au monde entier, mais avant tout j’aimerais le crier dans les grandes églises. Je ne m'en prends pas aux laïcs, car il y a beaucoup de choses qu’ils ne peuvent comprendre, mais aux cardinaux, aux évêques, aux prêtres et à celui qui dirige tout.

Oh, que mon âme est triste! A cause de tout ceci je continue à demander plus de souffrances à votre sœur. Personne ne peut comprendre ce qu’elle souffre pour tout ce qui se passe sur la planète Terre, si éprouvée et ruinée. Le monde créé par Dieu est presque complètement détruit. Beaucoup essaient de s’imposer et d’accroître leur pouvoir alors que tant d’autres meurent de faim et que beaucoup d’enfants sont malades. Ceux qui font partie du volontariat lancent des projets pour les personnes démunies, mais quand leurs poches sont pleines…

Oui, je suis triste, mon cœur saigne. Je vous remercie, même si vous n'êtes pas nombreux, je vous remercie de tout l’amour que vous mettez à vous préparer pour la fête du 29 juin; je vous remercie de tous les sacrifices que vous faites pour être ici présents tous les soirs et je remercie ceux qui travaillent pour la gloire de Dieu.

Priez, priez, afin que votre évêque devienne la tête de tout cela. Même alors l'envie et la jalousie naîtront et les prêtres continueront à dire du mal de lui et à le piétiner. Quelqu’un souffre à cause de ses propres parents et moi Jésus, je vous dis: "Soyez heureux de souffrir pour la gloire de Dieu ". Merci.

Ma Maman ne viendra pas ce soir, car elle est très triste. Je vous donne ma bénédiction avec mon prêtre bien-aimé, avec l'homme que Dieu a déclaré saint. Je vous laisse au nom de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, et en mon nom.

Loué soit Jésus Christ.

Assistez à la Sainte Messe avec tout votre amour, priez autant que vous le pouvez et aimez toujours.

Marisa - Courage, Jésus, j’essaie de t’aider autant que je le peux. Il y a des gens qui t’aiment profondément.

Jésus - Les enfants m’aiment bien, vous m’aimez bien. Merci.

Marisa - Adieu, Jésus.

Jésus - Adieu, mon épouse bien-aimée, merci pour tout ce que tu fais, merci, merci.

Marisa - Adieu. Tu es trop triste. Adieu.

Je ne l’ai jamais vu aussi triste.

Don Claudio - Je m'y attendais.

Marisa - et à quoi sert-il de lutter alors?

Rome, le 18 juin 2002, 19h20 (Lettre de Dieu)

Jésus - Votre Jésus est seulement venu pour vous donner la bénédiction ensemble avec votre évêque. Le message d'hier contient tout ce que l’Eglise doit faire: renaître. Je n’ai rien d’autre à vous dire.

Marisa - Je voulais te recommander Giuseppe et bien d’autres malades, Jésus. Tu as hâte de partir? Tu nous aimes?

Jésus - Bien sûr que je vous aime et je ne veux pas vous faire souffrir comme vous avez souffert hier. La lettre que je vous ai apportée hier devait être connue de tous. Mes deux enfants de prédilection souffriront encore plus, mais c’est ce que Dieu veut. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

La Madone - Et moi, votre Maman, obéissant toujours à Dieu le Père, je souffre avec vous. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Courage, mes chers enfants, la guerre peut se gagner même avec peu de soldats.

Marisa - Adieu, Padre Pio est également derrière eux.

Padre Pio, intercède pour nous tous, pour tous les prêtres, auprès de Dieu. Adieu.

Rome, le 19 juin 2002 -19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Je vous invite à prier pour votre sœur qui souffre la passion depuis maintenant près de vingt quatre heures; celui qui n’a jamais souffert la passion ne peut le comprendre. Je suis heureux de votre présence et des prières que vous récitez, mettez-y tout votre amour.

Je suis heureux des préparatifs faits avec zèle par les adultes et les jeunes. Je vous invite à prier pour cette journée si importante pour Nous au Ciel, pour la Terre et pour l’Eglise qui ne va pas bien.

Mes chers enfants, c’est votre Jésus qui vous parle et vous demande de vous aimer et d’aimer les autres; aimez-vous comme je vous ai aimés. Je vous aime toujours, même si vous ne vous conduisez pas bien, si vous avez des imperfections et commettez des péchés. Votre sœur continue à souffrir pour l’Eglise, les enfants qui meurent de faim, tous les malades et vous tous ici présents.

Loué soit Jésus Christ.

La Madone - Et moi, ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Adieu, petite victime de la souffrance, amour au milieu des épines. Adieu.

Marisa - Jésus m’a fait deux croix sur les yeux et m’a redonné la vue, car j’ai été longtemps sans voir, je ne voyais que Jésus et rien d’autre.

Merci de cet aide, même si ne je ne la mérite pas, Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 20 juin 2002 - 20h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Merci, Marisella, pour tout ce que tu as supporté. Je t’adresse tous mes vœux ainsi qu'à l'évêque auquel Dieu a dit il y a trois ans: "Je t’ordonne évêque", tous les vœux de tout le Paradis.

Mes chers enfants, c’est un très grand jour et si important, mais si vous vous engagez, chaque jour sera toujours plus important, toujours plus beau. Vous devez participer à la joie et aux beautés que Dieu prodigue dans ce lieu thaumaturgique.

Mes chers enfants, c’est avec beaucoup de joie que je viens ici parmi vous et parviens à rester ici en dépit de tout ce qui se passe sur la planète Terre. La souffrance de votre sœur est très forte; je dois même dire que votre soeur est très héroïque car elle a voulu s'unir à vous dans ce lieu thaumaturgique. Tout y est thaumaturgique: la maison, le jardin, la basilique, la chapelle. C’est un coin de paradis. C’est une grand joie pour nous d'être ici avec vous.

Mes chers enfants, Dieu demande beaucoup de souffrance à Marisella, non parce qu’il ne l’aime pas, mais parce qu’il a besoin, si je puis dire, d'âmes qui l’aident à redresser l’Eglise à la faire renaître. Ses douleurs sont fortes et notre aide est considérable. Pensez qu’elle souffre maintenant sans arrêt depuis quarante heures et qu’elle a été complètement aveugle pendant 2 heures. Je lui ai ensuite rendu la vue en lui imposant les mains. Qui peut comprendre ces choses ? En dépit de sa force et de son courage, l'évêque a beaucoup souffert en la voyant souffrir. Il se tenait près d’elle et ne pouvait l’aider, mais il a prié beaucoup prié. Vous devez savoir que ces souffrances interviennent toujours dans un très grand dessein; la Terre a besoin de ces âmes. Mon Cœur est heureux, car je vois avec quel amour votre sœur sait accepter tout ce que Dieu lui envoie. Priez et aidez-la en priant. Elle ne voulait pas que la passion qu’elle vit soit visible. Elle voulait souffrir, mais sans que les autres le voient. Que la volonté de Dieu soit faite et elle a fait la volonté de Dieu pour tous les hommes de la Terre, pour vous ici présents, pour vos familles, pour tous ses parents.

Oh, comme nous avons besoin de prières et de souffrances! Des parents veulent détruire mes deux enfants, uniquement parce qu’ils disent la vérité. La vérité vous rend libres, mes chers enfants; soyez toujours libres, sincères, simples et adroits. Attention, vous devez être attentifs car le démon pourrait vous faire chuter. Fermez toutes les portes de votre cœur et ne le laissez pas entrer. Que seul, moi Jésus et mon Cœur entrent dans votre cœur, alors tout sera plus facile et plus beau. Merci. J’adresse de nouveau tous mes vœux à mes deux chers petits enfants; Il arrive souvent que vos fêtes coïncident, cela est également voulu par Dieu

Courage et en avant.

Marisa - Je ne peux te donner plus?

Jésus - Aide et prie pour tous mes prêtres, je t’en prie Marisella, tu es mon épouse bien-aimée, aide-moi.

Marisa - Je ne t’ai jamais dit non, Jésus, je t’ai toujours dit oui, même en bronchant j’ai toujours fait ce que tu me demandais.

Puis-je te demander une toute petite chose ? Que ma maman se porte un tout petit mieux, parce que je la vois toujours souffrir; un peu, un tout petit peu. Aide Giuseppe, Annalisa et tous ceux qui sont malades et qui ont besoin de ton aide, Jésus. Tu as vu comme ton papa souffrait. Il a été malade pendant dix longues années, tu étais soucieux, tu restais près de lui et tu cherchais par tous les moyens à l’aider dans le silence, en priant, en faisant la volonté de Dieu. Nous aussi, nous cherchons pas tous les moyens à faire la volonté de Dieu.

Jésus - Adieu, Marisella, je retourne vers le Père.

La Madone - Mes deux chers petits enfants, la maman vous adresse tous ses vœux. Tous mes vœux de sainteté en particulier à tous les deux. Je vous adresse également tous mes voeux parce que vous arrivez à bien faire tout ce que Dieu vous demande; Jésus est heureux de ce que vous faites et je le suis aussi.

Marisa - Padre Pio, tu ne dis rien?

Padre Pio - Non, ma fille, ma petite sœur, je comprends ta grande souffrance et je suis près de toi.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Merci, Marisella, pour ce que tu as fait pour mon Fils et pour tous les hommes de la Terre.

Marisa - Adieu.

Rome, le 21 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Mais tu es Saint Louis de Gonzague!

Saint Louis de Gonzague - Oui, Dieu m’a envoyé pour vous aider à prier, afin que vous arriviez à trois milliards et demi de conversions. Des milliers et des milliers de prières sont nécessaires pour la conversion d'un homme; c’est pourquoi je vous aide aussi à prier.

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est moi votre Jésus. Je viens vous complimenter encore une fois pour tout ce que vous préparez pour le 29 juin. Vous pensez: "Combien de fois Jésus répète-t-il cette date!". Oui, je la répète parce que je tiens à ce que ce soit une belle fête, ressentie et vécue avec tout l’amour dont vous êtes capables. Vous devez ressentir cette fête intérieurement, les activités extérieures ne suffisent pas, elles sont belles et nous plaisent, mais la fête doit être préparée avec tout l’amour que vous pouvez donner. Moi, votre Jésus, je vous remercie toujours.

A toi, ma douce et chère épouse, je dis qu’avec chaque jour qui passe, l’intensité de la passion augmentera, les douleurs augmenteront et seront nombreuses. Nous t’aidons; quand tu es seule, je suis prés de toi et je t’aide. La douleur si intense ne t’a même pas permis aujourd'hui de manger seule et l'évêque a dû te donner à manger comme on le fait avec un petit enfant, car tu es au fond pour nous une petite fille même très douce, au caractère un peu particulier. Nous t’aimons et notre amour est grand, même si tu dis: "Jésus, plus je t’aime, plus je t’embrasse et plus je sens tes épines". Quand Dieu décide quelque chose, arme toi de courage, de patience et de résignation. Celui qui est près de toi doit t’aider avec amour, patience et te supporter même si tu peux parfois être brusque sous l'effet de la douleur, mais tout est dicté par l’amour.

Je vous demande, mes chers enfants, de prier pour cette petite fille et de prier pour le 29 juin. Vous savez pourquoi je vous demande de prier: la planète Terre est corrompue, ruinée par les hommes que Dieu a créés et qu’il a choisis comme ses préférés. Vous donnez énormément dans votre petit groupe, mais ne vous en enorgueillissez pas si je vous le dis, cherchez toujours à rester simples et humbles. Regardez votre soeur qui a parfois même honte de faire voir quand elle souffre tant pour vous, pour tous et reste humble, simple, honnête, dans la vérité. Vous devez tous vivre dans la vérité, la simplicité et l'honnêteté. Malheur, malheur à ceux qui mentent sciemment, malheur à eux. Comme je vous l’ai déjà dit une fois: il sera trop tard pour se convertir une fois que tout sera arrivé.

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

La Madone - Moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Don Claudio, as-tu entendu ce qui a été dit?

L’Evêque - Oui, j’ai entendu.

Marisa - Nous devons encore prier; prier, prier, prier; qui sait si nous ne nous rapprochons pas un peu plus du but.

Rome, le 22 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est encore votre Jésus qui vous parle. Courage, il ne reste plus que quelques petits jours d'ici la fin de la neuvaine, puis vous célébrerez la fête, avant tout spirituelle. Combien de fois vous ai-je dit: "Priez, priez, priez pour que tout s’aplanisse et devienne plus facile, pour que les hommes se convertissent, pour que ce monde si corrompu change littéralement". Oh, comme il est beau et doux de jouir du paradis ! Toi, tu le sais, Marisella, parce que tu en as déjà fait l'expérience. Tu m’a dis tant de fois: "Jésus, je suis fatiguée d'être sur cette planète Terre. Quand tu m'emmènes voir le paradis, ne me laisse plus redescendre, garde moi là haut avec toi". Oui, je te comprends très bien. Vous pouvez jouir du paradis, si vous goûtez l’Eucharistie, le Pain du Ciel, si vous goûtez mon amour.

Je vous aime et j’aimerais que vous aussi vous m’aimiez et que vous vous aimiez tous. Tout ce que je désire, ainsi que je l’ai dit à mes apôtres, c’est manger sans cesse la Pâques avec vous! Chaque jour est Pâques, si vous recevez l’Eucharistie. Il n'est pas besoin d’attendre les grandes fêtes pour aller à la Messe, pour se réjouir. Chaque jour devrait être fête pour tous, même dans la souffrance. Marisella, tu as dit une fois: "je souffre et j'offre"; oui, souffrez et offrez, c’est beaucoup de souffrir et d'offrir.

Mes chers enfants, vous êtes ici présents en dépit de la chaleur si torride. Bien que vous soyez peu nombreux, vous pouvez aider et sauver les âmes en fonction de votre générosité. Mon Cœur est heureux et joyeux maintenant parce que je suis avec vous, mais il saigne quand je vois les hommes qui ne m’aiment pas, qui ne croient pas en Moi.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui samedi: vous célébrerez la grande fête samedi prochain. Je serai avec vous. La Mère de l'eucharistie et tous les anges et les saints seront avec vous. Vous ne les verrez pas, vous verrez seulement votre soeur heureuse et joyeuse mais vous sentirez leur présence.

Merci, merci, mes chers enfants.

Marisa - Courage, Jésus, as-tu vu que nous t’aidons peu à peu?

Jésus - Oh oui, toi oui. Même vous qui êtes ici présents, m’aidez. Quand je descends sur la Terre, mon Coeur saigne parfois, mais il est aussi heureux parfois quand je viens ici parmi vous, dans ce lieu thaumaturgique. N'oubliez pas que l'endroit où vous posez les pieds est thaumaturgique.

Merci de votre présence. Ensemble avec l'évêque, je vous donne ma bénédiction.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

La joie des enfants me rend si heureux.

Marisa - C’est bon, comme tu veux.

Don Claudio, as-tu entendu?

L’Evêque - Bien sûr!

Rome, le 23 juin 2002 - 10h35 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est moi votre Jésus. Aujourd'hui aussi je suis ici avec vous. J’ai beaucoup prié avec vous. Vous devez être heureux, même si vous ne me voyez pas. Vous devez me sentir dans votre coeur, parce que Je suis en vous, en particulier lorsque vous me recevez dans la Sainte Communion avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité.

Vous devez être conscients de la préparation que vous faites pour la fête du 29 juin, comme nous le sommes, Nous au paradis. Même si nous n’avons pas besoin de ces choses, nous nous en réjouissons et en sommes heureux.

Marisella, je vois que tu regardes les anges autour de moi, de la Mère de l’Eucharistie et tu vois même quelqu’un de ta connaissance.

Marisa - Oui, Jésus, mais n'en disons pas plus.

Jésus - Tu as raison mon enfant, ma chère épouse.

Mes chers enfants, Je vous dis qu’il est temps de se convertir car personne n'est parfait, seul notre Père qui est aux cieux est parfait. Vous êtes tous imparfaits et vous avez tous quelque chose à corriger. Vous avez suivi la rencontre biblique, écouté les commentaires de l’Evangile et les lettres de Dieu. Combien, combien d’enseignements avez-vous ainsi reçus! Les avez-vous tous notés ? Si vous avez oublié quelque chose, prenez le livre des messages. Vous y découvrirez toujours quelque chose de nouveau ou que vous n’aviez pas compris. Même en vacances, où que vous soyez, vous ferez bien de lire les messages. Ces vacances seront très dures pour mes deux petits enfants qui auront beaucoup de travail. Aidez-les par la prière.

En ce moment je me souviens du temps où je me promenais avec mes apôtres: ils étaient juste douze et l’un d’eux trahit. Vous avez plus de chance, car vous êtes peu nombreux. Bien que vous ne soyez pas une foule de personnes comme on en rencontre dans d’autres endroits, je suis heureux: vous êtes bons mais saints. Peu, mais saints. Marisella traduit bien.

Marisa - C’est bon, mais ne perds pas le fil car je suis un peu fatiguée.

Jésus - Je le comprends très bien, mais tu verras que le moment viendra où Dieu te laissera libre de faire ce que tu désires et les stigmates visibles au moins disparaîtront. Tu as saigné deux fois ce matin, ma fille; Je sais par expérience combien c’est douloureux. Depuis mardi, tu as souffert chaque jour à cause du sang écoulé, même coagulé. Courage, cela passera aussi, mais souviens toi que ton corps conservera toujours les stigmates invisibles.

Marisa - Jésus, en tant que ton épouse, puis-je te dire quelque chose? j’espère ne pas dire quelque chose que je ne devrais pas. .. , alors il vaut mieux que je ne dise rien. Je sais seulement que tu me veux du bien, comme à tous ceux ici présents qui te recommandent en mon nom tous les malades, surtout les plus gravement atteints et ceux qui font partie de la communauté. Tu sais tout ce que j’ai fait et donné pour mon Giuseppe; je t’en prie, Jésus, nous sommes prêts à faire la volonté de Dieu, mais aide-nous. En plus de lui, Anna également et beaucoup de malades attendent ton aide, mais que ta volonté soit toujours faite, même si c’est parfois difficile.

Jésus - C’est vrai, je le sais par expérience.

Marisa - Toi aussi, tu as fait la volonté de Dieu ? mais tu es Dieu!

Jésus - Quand je vivais sur la terre, c'était pour moi aussi difficile, en tant qu'homme, mais je l’ai toujours faite.

Marisa - Peux-tu attendre une seconde ? Don Claudio, même Jésus a fait la volonté de Dieu?

L’Evêque - Jésus est vrai Dieu et vrai homme.

Marisa - Jésus, homme, a fait la volonté de Dieu.

L’Evêque - Mais qui est au fond sa volonté.

Marisa - C’est ce que je voulais lui dire. Puis-je le lui dire?

L’Evêque - Dis le lui, dis le lui.

Marisa - L’Evêque dit que lorsque tu as fait la volonté de Dieu, tu as fait au fond ta volonté, parce que Tu es Dieu! Tu vois, j’ai réussi à te faire sourire? Je suis heureuse parce que quand tu souris, tu es si beau. L'époux que j’ai choisi est beau. Ah non c’est toi qui m’as choisie.

Jésus - Mes chers enfants, priez pour les conversions, en particulier pour celles des grands hommes. Priez pour la conversion de vos êtres chers, tous doivent prier pour les conversions. Vous verrez qu’ils se convertiront peu à peu, mais cela prend du temps. Merci d'être tous ici présents et d'écouter votre Jésus qui vous aime tant.

Marisa - Il est parti maintenant, sans même nous donner sa bénédiction. Padre Pio, Don Bosco et tous les saints dernièrement canonisés sont également présents. J’ai vu beaucoup de prêtres et de soeurs que j’ai connus, mais également beaucoup de laïcs et d’enfants

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis tous les malades, grands et petits. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. j’envoie ma bénédiction surtout aux malades alités dans les hôpitaux. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci des souffrances que tu me donnes, si je peux ainsi aider l’Eglise comme tu l’as dit.

La Madone - Sois calme, Marisella, car les souffrances sont trop grandes, trop fortes.

Marisa - C’est bon, salue moi, ma toute petite. Un baiser, ma toute petite. Adieu.

Rome, le 24 juin 2002 - 18h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es toujours plus beau, Jésus. Tu connais toutes les âmes que je désire te recommander. Je te les recommande toutes à nouveau. Que la volonté de Dieu soit toujours faite.

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est si beau, si bon et si doux de vous voir ici rassemblés, prier votre Jésus et réciter le Saint Rosaire, une arme si puissante pour recevoir des grâces et arrêter les guerres; récitez le Saint Rosaire. Hier soir vous m’avez ému quand vous, membres de cette maison, l’avez récité; vous avez prié, médité simplement et chanté et j'étais là avec vous et me je réjouissais. Ce serait beau si en plus des prières à réciter pour suivre les règles, les membres de chaque communauté et de chaque famille se réunissaient pour prier et rester en compagnie de moi, Jésus, la Mère de l’Eucharistie, les anges, les saints et les âmes sauvées de leurs êtres chers. Il est si beau de prier ensemble, mais l’un d’entre vous a honte de prier avec son conjoint. Il est si beau de réciter un Notre Père le soir avant de s'endormir, peut-être main dans la main; que ceux qui ont des enfants prient en les tenant par la main.

Vos préparatifs pour le 29 juin sont très beaux. Je vois la joie dans vos coeurs tandis que vous avancez dans vos travaux faits avec beaucoup de zèle mais également avec beaucoup d’amour. Je vous le répète: cela ne me dérange pas si quelqu’un bronche parce qu’il fait froid ou que quelque chose ne va pas, ce qui m’afflige c’est lorsque vous n’agissez pas avec amour, mais j’en lis beaucoup dans vos cœurs.

Là où il y a la charité et l’amour, il y a Dieu; Dieu est seulement là où il y a charité et amour.

Continuez ainsi. Vous sentirez le manque de cette union dans la prière au cours des mois d’absence de mes deux enfants. Quand j’apparaîtrai à votre soeur, quand ma Maman lui apparaîtra, vous serez unis à mes deux enfants, parce que vous devez être unis dans la prière. Faites comme les jeunes: Donnez-vous rendez-vous pour la prière et à l'heure fixée priez ensemble en disant un Notre Père, un Gloire au Père et un Je vous salue Marie.

Pour toi, ma fille, mon épouse bien-aimée, je n’ai pas de bonne nouvelle: tes stigmates resteront visibles, les douleurs seront toujours plus fortes et le sang continuera à s'en écouler. Mais malgré tout je vois ta joie, ta sérénité et ton courage même pour aider les autres. C’est beau qu’en dépit de ta grande douleur et de ta grande souffrance, tu réussisses à plaisanter, à faire des blagues, à rire et même à pleurer quand la douleur est si forte. Je suis près de toi; tu es mon épouse bien-aimée, mais je ne peux pour cela t’enlever tes souffrances, Dieu ne le veut pas, mais il te donne la force et le courage de les accepter.

Oui, dis-moi ma fille.

Marisa - J’aimerais te demander quelque chose: peut-être est-ce trop tôt pour te le demander. Que vais-je faire le 29 juin, que tu désires tant et que nous attendons tous avec joie?

Jésus - Continue en attendant de faire la volonté de Dieu, comme tu l’as fait jusqu'à présent. Si Dieu le décide, les stigmates se fermeront, mais le sang continuera à en couler. Qui a fermé la plaie du côté, cette belle croix que tu aimes tant et dont tu as dit : "Comme elle est belle"? Celle-la s'est fermée, mais la douleur est restée. Courage, ma fille.

Et vous, mes chers enfants, pardonnez-moi si je parle souvent de mon épouse bien-aimée, mais il est juste que je parle d’elle, comme le font deux époux qui cherchent à être ensemble et parlent entre eux. Je parle avec elle devant vous, pour que vous sachiez vraiment combien grande est la souffrance qu’elle offre pour vous tous à Dieu, pour la paix dans le monde pour les prêtres et surtout pour l’Eglise.

Je vous bénis tous ensemble avec mon évêque, aimez-le parce qu’il vous aime, vous donne tant et est prêt à tout pour vous aider. La majeure partie d’entre vous connaît ses souffrances, aidez-le avec la prière, et parfois, avec le sacrifice.

Adieu, mon épouse.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, ma petite, envoie un petit baiser à Jacopo, Samuele et Emanuele.

Adieu. C’est bon, ce sera comme Dieu le veut.

Don Claudio, elle est partie.

Rome, le 25 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, loué soit Jésus Christ. Dieu, notre Père céleste qui est aux cieux et a envoyé son Fils sur la Terre, vous invite à prier chaque jour pour les âmes appelées à souffrir sa passion. Vous avez vous-mêmes compris que les âmes qui acceptent de souffrir la passion de Jésus, ne sont pas nombreuses. Moi, Jésus, j’aurais aimé avoir plus d'âmes, plus d'épouses à mon côté, mais elles diminuent chaque jour, parce qu’elles ne pensent qu'à elles, à leur petit jardin. Ceux qui m’aiment vraiment et continuent à m’aimer ne sont pas nombreux: je parle des âmes consacrées qui donnent toute leur vie pour les hommes et le salut du monde entier.

Quand vous viendrez avec moi au paradis, vous y trouverez beaucoup de joie et vous y donnerez tant de gloire à Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et à moi, Dieu le Fils.

En ce moment, Moi, bien qu'étant Dieu, je me sens un homme comme vous et je souffre parce que je vois que les choses ne vont pas bien. Les hommes me trahissent si aisément, ils disent croire en Dieu mais tuent ensuite avec la calomnie et la diffamation; il n'est pas besoin de prendre une arme pour tuer. Il y a toujours beaucoup de guerres dans le monde, mais il y a aussi ceux qui tuent avec les mots et cela me fait très souffrir en tant qu'homme, maintenant que je suis ici avec vous et tous les hommes de la Terre.

Quand je dis que cette planète Terre est corrompue, je parle sérieusement et mon Coeur saigne. Vous attendez tant la fête du 29 juin que vous préparez avec beaucoup d’amour, comme je vous l’ai demandé tous les jours. Faites ce que vous pouvez, mais ne négligez pas pour cela la prière. La Maman a dit une fois: "Combien d'heures consacrez-vous au labeur humain ? Il est juste que vous y consacriez beaucoup d'heures parce que le travail anoblit l'homme, lui permet de se nourrir et d’aider son corps, mais combien d'heures donnez-vous à Dieu, à celui qui vous a créé ?". Vous êtes ponctuels quand vous allez travailler parce que vous devez pointer et vous l'êtes également même quand vous allez vous divertir et c’est juste qu’il y ait également l’amusement sain. Mais vous laissez à désirer pour le rendez-vous avec Dieu.

Il y en a encore qui arrivent en retard dans quelque église que ce soit: si les offices commencent à 8 heures, ils arrivent à 8h10 et non à 8h moins cinq. Où les offices commencent à 18h30, certains arrivent à 18 h35 et non à 18h 25. Que font ces cinq minutes de mal? Celui qui s'unit à Moi, Jésus Eucharistie, est celui qui cherche à arriver tôt pour prier ou arranger l’autel et les fleurs.

Certains arrivent en retard parce qu’ils savent qu’il y a des personnes qui préparent tout. Il peut arriver qu’on soit en retard quand on vient du travail, mais si l’on est à la maison, cela ne demande pas beaucoup d’arriver tôt et de vérifier que l’autel est en ordre et que les fleurs sont fraîches. Il n'est pas besoin de beaucoup de fleurs, il suffit d'une cueillette dans le jardin pour me glorifier.

Mes chers enfants, il ne reste que quelques petits jours d'ici le 29 juin, puis ce sera la clôture de l’année sociale, mais avant tout, comme le dit votre évêque, votre célébration du triomphe du Christ Jésus. Glorifiez le Christ Jésus, mais moi Jésus, je dois également vous dire: fêtez votre évêque, parce que vous ne trouverez pas d’autre homme comme lui sur la Terre; fêtez la clôture de l’année sociale, fêtez les ministres extraordinaires de l’Eucharistie, parce que le tout est de glorifier le Christ Jésus. Obéissez à votre évêque et faites comme lui vous dira. Je suis certain qu’il est d’accord avec moi sur ce que vous devez faire.

Jésus vous remercie encore une fois parce que vous cherchez à faire de votre mieux, non pour votre satisfaction personnelle mais pour la gloire de Dieu le Père, du Saint Esprit et pour ma gloire. Merci.

Marisa - Jésus est parti et la Madone arrive maintenant.

La Madone - Aujourd'hui je n’apparais que dans ce lieu et dans aucun autre; aujourd'hui je ne suis qu’ici avec vous. Mettez en pratique ce que mon Fils Jésus vous a dit; je ne peux rien ajouter à ce qu’a dit Dieu le Fils.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella, tu souffres encore. La neuvaine se terminera pour toi dimanche et Dieu sait comment.

Marisa - Mais tu ne me dis jamais quand tout finit, il me semble vivre dans le noir le plus complet.

L’Evêque me l’a demandé et puisque tu dis toujours qu’il faut obéir à l'évêque, je l’ai demandé.

La Madone - Tu as bien fait, tu dois obéir à l’Evêque.

Adieu, Marisella. Tous mes meilleurs voeux, ma fille.

Marisa - J’ai perdu à nouveau ma voix, tu me l’as reprise ? Il y a l'enfant qui crie oncle, tante, Yari. Jésus était ainsi enfant ? C’est une tempête! Adieu.

Elle est partie avec tous les enfants qui l'entouraient.

Rome, le 26 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus je t’ai vu et je ne t’ai pas vu. J’ai tant de personnes à te recommander mais une surtout que tu as voulue avec toi cette nuit. Je t’en prie, aide nous tous, cher Jésus.

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Nous sommes arrivés au 26; avez-vous remarqué comme les jours de ce mois qui m'est dédié se sont envolés ? Je dois dire que vous avez été braves, même si tous n'ont pas répondu à mon appel. C’est si beau de vous voir prier et mon Cœur se réjouit de vous voir unis dans la prière et surtout dans l’amour. L’amour doit régner entre les fiancés, entre les époux, entre les enfants, entre les communautés. Croyez-moi, c’est l’amour que je désire tant, mais qui ne règne pas partout. Vous qui avez été comblé avec la présence de la Mère de l’Eucharistie pendant tout le mois de mai et de Jésus pendant tout le mois de juin, vous devriez être heureux et ravis parce que nulle part ailleurs sur la Terre ma Mère et moi ne venons aussi fréquemment. Pourquoi ce lieu a-t-il été choisi? Vous l'êtes-vous demandés? Pourquoi Dieu vous a-t-il choisis vous justement? Quelqu’un pourrait me répondre: pourquoi pas? Vrai, Marisella?

Marisa - Oui, je l’ai pensé.

Jésus - Tu étais très préoccupée pendant le Rosaire, tu étais totalement prise par ce lointain 12 décembre que tu as vécu d'une façon si tragique. Mais tu dois dépasser tout cela et ne pas t’affliger; maintenant c’est presque toute la journée que tu te trouves dans cet état. Prie, prie afin que tous fassent la volonté de Dieu et je serai toujours à côté de toi dans la douleur, dans l'épreuve et dans la joie.

Marisa - Mais si je dois être sincère, j’ai plus de joies que de douleurs; non pardon Jésus, j’ai plus de douleurs que de joies. Si nous devons avoir ces douleurs pour la conversion des âmes, comme Tu le dis toujours, nous y sommes prêts, même si ce n'est pas facile et nous cherchons par tous les moyens à faire la volonté de Dieu.

Jésus - C’est ce que Dieu veut: que l’on fasse sa volonté, comme l’a fait ma et votre Maman. Son oui prononcé avec tout l’amour, embrassait tous vos ouis, comme votre oui doit embrasser les ouis des âmes qui doivent se convertir.

Je vous bénis ensemble avec votre évêque.

Marisa - Jésus a dit: "Je vous bénis" puis est parti subitement.

La Madone - C’est vrai, Marisella, Jésus est parti et c’est moi maintenant qui suis là pour vous dire que je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Marisella.

Marisa - Adieu, petite.

Ne parlons pas pour l’instant. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 27 juin 2002 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La fin du mois approche et vous célébrerez bientôt la grande fête, le triomphe de la vérité, de l’Eucharistie, le triomphe de tout ce que Dieu vous a enseigné.

Oui, je suis la Deuxième Personne de la Sainte Trinité, Je suis le Fils de Dieu. Il est difficile de vous l'expliquer: Je suis le Fils de Dieu, je suis Dieu; je suis la Deuxième Personne de la Sainte Trinité; mais nous sommes un. L’amour qui nous unit doit également exister entre vous. Mais je vois que de temps en temps quelqu’un manque fortement à la charité, je dirais même cruellement, faisant souffrir son prochain, ceux ou celles qui aiment beaucoup et sentent poignardés dans le dos par tous les mensonges et menteries.

Combien de fois vous ai-je dit: "Attention aux mensonges et menteries!". Vous devez toujours parler loyalement et sincèrement avec tous, surtout avec mes deux petits enfants, qui souffrent tant pour chacun de vous, mais comme toujours, ce sont ceux qui sont les plus proches d’eux qui les font le plus souffrir. C’est si beau de dire la vérité, d'être toujours rayonnant, d’avoir le visage plein d’amour et de joie et d’aimer tous. Rappelez-vous que la fausseté conduit au mensonge, à la calomnie et à la diffamation; ceux qui tombent dans ces péchés ne pourront entrer dans le Royaume des Cieux, il sera fermé pour eux.

Ma douce Maman a dit: "Même une femme de quatre vingt quatre ans peut se convertir, il n'y a pas d'âge pour se convertir, pas de raison pour ne pas se convertir"; mais si l’orgueil et la vanité croissent, le chemin spirituel s’arrête. On ne peut cheminer avec Dieu, on ne peut dire aimer Dieu, aimer la Mère de l’Eucharistie, si l’orgueil et la vanité détruisent l'homme.

Oh, Jésus aimerait vous donner des enseignements beaux et joyeux, mais il y a tous les jours quelque chose qui ne va pas, quelque chose qui m’amène à parler de cette façon.

Mais revenons au 29, jour fixé pour célébrer la victoire de tout ce que Dieu a accompli. Seul un jour et demi nous en sépare, puis nous le fêterons. Votre sœur a souffert pendant neuf jours, ses plaies sont encore ouvertes et la font souffrir. Pourquoi toute cette souffrance? Pour la victoire, pour votre évêque et pour vous tous ici présents. Attention: si l’un d’entre vous n'est pas en état de grâce, il peut aussi détruire ceux qui sont à ses côtés par des actes mensongers et le mysticisme qui ne plaît ni à Dieu, ni à l’Esprit Saint, ni à moi, Dieu le Fils. J’ai tant travaillé mes enfants pour vous conduire à la vérité: finalement vous fêterez le 29 le triomphe de la vérité. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: "Ne faites plus souffrir mes deux enfants, il y a déjà tant de personnes qui les font souffrir", vous au moins cherchez à les aimer comme je les aime. Merci.

Moi, Jésus, je vous demande pardon de vous avoir parlé ainsi, mais je devais le faire. Celui qui ne dit rien et ne pratique pas la correction fraternelle manque de charité. Voulez-vous que votre Jésus manque à la charité ? Je dois vous réprimander; combien de reproches maternels la Mère de l’Eucharistie ne vous-a-t-elle pas faits ? Mettez-les en pratique. Vivez bien les jours que Dieu vous accorde: ils peuvent être peu ou nombreux mais vivez les en pleine sainteté.

Marisa - Merci, Jésus, pardonne-nous si nous ne sommes pas comme tu le veux. Je veux te recommander de tout mon coeur Giuseppe, mais comme toujours, je baisse la tête et je dis: "que ta volonté soit faite." Aide Annalisa et tous ceux qui aiment Giuseppe.

Merci, Jésus, je te demande encore une fois pardon au nom de tous, mais tu as vu que nous disons la vérité et cherchons à faire vivre les gens dans la vérité, plusieurs d’entre eux se révoltent contre nous. Si nous vivions comme les autres, nous ne souffririons probablement par autant, mais la vérité rend libre, comme notre évêque nous l’a enseigné. Dieu est toujours la vérité.

Adieu, Jésus, donne un baiser à ton épouse. Adieu.

Je voulais te demander si tu vas m'enlever ces choses pour le 29. Comme tu le veux, que ta volonté soit faite.

La Madone - Mes chers enfants, je suis votre Maman. Je ne suis venue que pour vous bénir ensemble avec mon et votre évêque. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Ecoutez mon Fils Jésus et mettez en pratique ce qu’il vous a dit.

Marisa - Adieu. Adieu à tous, comme le veut Jésus. Oui, patience.

Don Claudio, nous devons faire la volonté de Dieu.

Rome, le 28 juin 2002 - 19h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Le jour tant attendu est sur le point d’arriver. Comme ce mois dédié à mon Coeur s'est vite envolé! Je suis heureux que vous ayez répondu tous les jours à mon appel.

Comme il est beau de méditer cette phrase: convertissez-vous et croyez à l’Evangile. Ceux qui ont suivi régulièrement la rencontre biblique, ont emmagasiné beaucoup de choses, ont appris à connaître à fond le Saint Evangile. Ne l’abandonnez pas dans ces mois où vous ne vous verrez pas, continuez à le méditer, à aimer et à vous aimer. Comme je vous l’ai dit hier, ne racontez pas d'histoires ou de mensonges, parce que le mensonge conduit à la calomnie et à la diffamation. Dieu pardonne tout, mais pour arriver au pardon de Dieu il faut beaucoup de pénitence et d’amour.

Je vous implore: ce sera demain une grande fête pleine d’amour et de spiritualité. Ne parlez pas pendant la procession, ne vous retournez pas, regardez Jésus Eucharistie, regardez moi et j’entrerai en vous pour vous aider.

Mes chers enfants, il est si beau et si doux de s’aimer, de se vouloir du bien et de faire la volonté de Dieu.

Il y a tant de personnes malades que vous recommandez constamment à Dieu pour qu’il les guérisse; mais comme je vous l’ai enseigné, vous devez toujours ajouter: "et que ta volonté soit faite ". La souffrance physique est dure et fait beaucoup souffrir, la souffrance morale l'est encore plus. Celle spirituelle est la plus douloureuse, maist la plus sainte car elle aide à sanctifier les âmes.

Courage, Jésus est avec vous et vous bénis tous avec votre évêque.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Ma bénédiction est surtout pour les malades, les personnes âgées, ceux qui souffrent, les enfants, là où il y a tant de guerre ainsi que pour vous tous ici présents.

Marisa - Adieu.

Rome, le 29 juin 2002 - 10h50 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Votre Jésus est si heureux de la façon dont vous avez préparé cette fête; l’organisation en a été vraiment parfaite. Nous sommes tous descendus du Paradis sur la Terre et nous nous sommes réjouis avec vous. Vous n’avez pas peur de la chaleur; humainement parlant il est difficile de rester debout sans bouger sous le soleil, mais Dieu vous a envoyé un peu d’air et vous avez senti un peu de fraîcheur. Il y a parmi vous quelqu’un qui ne peut absolument pas supporter la chaleur parce qu’il risque de s'évanouir, mais il a vaincu cette faiblesse grâce à l’aide qu’il a reçu, tout comme votre soeur a reçu de l’aide pour marcher.

Pendant que vous étiez plongés dans le silence, je lui ai dit: "va ma fille, marche". Elle ne pourra pas toujours marcher, seulement pour cette fête. Après, tout sera comme avant, mais cela ne doit pas la décourager, car la vie continue même assis dans un fauteuil, dans un fauteuil roulant, dans une chaise. Si vous réussissez à aimer comme je vous aime, vous verrez que tout sera plus facile.

Comme il est doux et suave d'être parmi vous avec ma et votre Maman, mon papa Joseph, les anges, les saints et toutes les âmes sauvées. C’est une grande fête dans ce petit lieu thaumaturgique, appelé ainsi par Dieu. Ce lieu devra s’agrandir peu à peu, mais Dieu aime cette tente basilique, réalisée avec tant d’amour et de sacrifices. La Sainte Trinité est présente: le Père, le Fils et le Saint Esprit sont ici.

(On récite le Gloire au Père)

Baissez la tête avec moi et la Maman du ciel et continuez à prier en silence dans vos coeurs, parlez à Jésus, parlez lui.

Le dernier saint canonisé par le Pape, Padre Pio de Pietralcina, est ici car il aime ses enfants. Dieu le Père - Maintenant c’est moi, Dieu le Père, qui vous parle. Vous ne me voyez pas, personne ne peut me voir, toi non plus, Marisella, tu ne peux me voir. Je suis ici présent pour vous remercier de tous vos sacrifices, de votre souffrance et de votre amour qui ont permis

la conversion de trois milliards, cinq cent millions et une personnes

.

Mers chers enfants, c’est moi Dieu qui vous parle et vous remercie, petites créatures, de tout ce que vous avez fait. Mais vous n'en avez pas fini avec les prières et les grands et petits sacrifices. Dans ce petit lieu que j’ai cherché et rendu thaumaturgique, vous devez continuer à prier, pour mettre fin à la guerre, au terrorisme et à tant d’autres actes de méchanceté qui sévissent dans ce monde si corrompu, comme l’a dit mon fils Jésus. Vous devez continuer également parce qu’il est temps que les parents arrêtent de tuer leurs enfants et les enfants de tuer leurs parents avec autant de facilité. Les hommes montrent plus de compassion pour les animaux que pour les créatures de Dieu.

Vous vous réjouissez aujourd'hui de cette grande nouvelle que je vous ai annoncée; vous méritez cette joie. Je vous vois, même si vous ne me voyez pas. Je vous vois tous, j’aide tous ceux qui désirent être aidés. Ne vous demandez jamais: "Pourquoi Dieu ne fait-il pas ceci ou cela ?". Je suis Dieu et je sais ce que je dois faire. Quand j’ai ordonné évêque votre prêtre, je lui ai dit: "Je t’ordonne évêque", je n’ai pas dit: "Si tu le veux, je t’ordonne évêque "; c’est tout à fait différent. Mais les hommes ne l’ont pas accepté, mes hommes ne l’ont pas accepté. C’est pourquoi il faut tant prier pour les hommes d’eglise qui ne reçoivent pas Jésus en état de grâce; pour les hommes qui sont au pouvoir, qui parlent et n’arrivent à rien pour sauver le monde. Vous devez prier pour vos enfants, vos neveux parce qu’ils seront demain ceux qui gouverneront ce monde si corrompu, ce monde qui ne cherche que des plaisirs malsains; Je veux que vous vous divertissiez mais sainement.

Marisa - Je t’entends parler, mais je ne te vois pas, mon Dieu.

Jésus - Mes chers enfants, c’est de nouveau votre Jésus qui vous parle et vous remercie à nouveau pour cette messe. Vivez la, comme si c'était la dernière de trois milliards, cinq cent millions et une messes.

Je vous bénis tous, même si vous avez déjà reçu beaucoup de bénédictions aujourd'hui. Qui sait s’il n'y aura pas bientôt un saint parmi vous.

Marisa - Si tu ne le sais pas, Jésus, qui d’autre pourrait le savoir ?

Jésus - Adieu, ma fille, merci de tout ce que tu as fait pour l’Eglise.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous couvre de mon manteau maternel. Je vous porte tous serrés dans mon coeur; allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Encore un applaudissement et chantez l’alléluia pour honorer, Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Merci à vous tous.

(L’Alléulia est chanté en remerciement)

Une bonne Sainte Messe et une bonne journée à tous.

Marisa - Ils sont tous partis, ils étaient nombreux.

Don Claudio - Tout le Paradis était présent.

Marisa - Oui.